Mohammed, LE prophète de la religion islam, s’était ‘marié’ à une enfant de 9 ans. SOS, faites une vérification internet de cet état de fait, pour réaliser que ce n’est en nulle cas une exagération.

Mohammed, LE prophète de la religion islam, s’était ‘marié’ à une enfant de 9 ans. SOS, faites une vérification internet de cet état de fait, pour réaliser que ce n’est en nulle cas une exagération.

Quatrième ‘épouse’ de Mohamed, le prophète islamique polygame, était en fait une petite fille de 6 ans, abusée sexuellement par à l’âge de 9ans, il en avait plus de 50.

-En Inde, la plus grande démocratie du monde, toujours gouvernée par le système de castes, des femmes ne peuvent pas sortir des bâtiments ou elles sont exploitées sexuellement, avec des gens sur tous les toits, a toutes les portes, et coins de rue, prêts à les tuer a la première tentative de fuite, l’esclavage sexuel plus que mortifère, d’ une société qui a optée pour l’ enfer, d’ un monde de gens maintenant riches, éduqués, connectés, d’ un monde.

-Russie emprisonne gens contre l’invasion de la Crimée ou de l’Ukraine, ou écrivant des articles contre Putine.

-Aux USA (chiffres par le gouvernement) 300 000 mineures par an sont potentiellement les victimes d’exploitations sexuelles.

-40 millions d’esclaves dans le monde, dont 25 % sont des enfants et 80 % sont exploités sexuellement (chiffres ONU).

– Esperance de vie quand sexuellement trafiqué est de 7 ans. Décès provoqués par homicides, maltraitement, drogues, maladies vénériennes, suicides.

-Gens immigrants sans papiers en proie au trafic d’organes.

Sachez aussi que la censure dont on parle pour la chine est certainement plus étendue et grave que ce que la majorité des gens ont pu lire sur le sujet. LA CHINE INTERDIT TOUT ACCESS A TOUTES LES VIDEOS ET TOUS LES BLOGS OCCIDENTAUX SANS EXCEPTION. En chine on ne peut se connecter ni à google, ni à youtube, ni à facebook (en fait ces sites ‘sociaux’ étant d’énormes censeurs eux-mêmes), ni à toutes vidéos autres que chinoises car le son échappe aux possibilités de détecter les sujets traités, et donc les vidéos ont été simplement toutes mises hors de portée. 

Et la suicidaire fragilité de dépendre de la 5G, après la démonstration avérée de l’espionnage politique and industrielle de la chine (censuré est voler mais aussi jusqu’ aux vols répètes de brevets déposés et propriétés intellectuelles à l’espionnage de l’Union Africaine après avoir installé des serveurs dans ses locaux).

Vérifiez Chine, Système de crédit social, censure et aussi trafic d’organes.

Quant à vos médias, ce qui s’appelle la BB(defait)Cation, c’ est des médias flanqués de vedettes, spécialistes de plus que de (que 2) chie, payées des millions de francs, et qui ne vous diront surtout plus rien. Ou des émissions s’ enquissant de comment les gens vont, e.g. du niveau : ce qu’ ils ont mangés et ce qu’ ils ….

C’est-à-dire, payer une licence pour renflouer les Murdock, nieur, dénégateur, dénitrateurs, migrateur, de-u réchauffement du climat…

Des chefs d’états fascistes, tel que trump, sont pour la peine de mort. Quelles punitions devrait-être infligées à ceux qui s’arrangent pour aggraver la pollution et le mal a la nature, aux autres animaux et aux hommes déjà fait ?

Mutiler les enfants en les opérant (organes sexuels mutilation plutôt) pour les transformer en transgenre est en fait une tactique fasciste visant à couper le sexe aux enfants homos, ou à tout autres ne pouvant être caser proprement dans les catégories maintenues par des narcissiques specialos tous pros.

C’est entre autres pour toutes ces raisons que je voudrais vous demandez s’il est possible que je participe à votre blog/podcast.

Cetvies.

PS: Genocides we don’t know, or don’t want to know about.

S.O.S, Devenez végétaliens.

Mohammed, LE prophète de la religion islam, s’était ‘marié’ à une enfant de 9 ans. SOS, faites une vérification internet de cet état de fait, pour réaliser que ce n’est en nulle cas une exagération.

Mohammed, LE prophète de la religion islam, s’était ‘marié’ à une enfant de 9 ans. SOS, faites une vérification internet de cet état de fait, pour réaliser que ce n’est en nulle cas une exagération.

English version: www.inthenameofhumanrights.com

Mulitlingual version : https://www.inthenameofhumanrights.com/p/polyglot-version-of-letter.html

Un culte, Islam est le pédophilique culte par excellence.

Quatrième ‘épouse’ de Mohammed, Le prophète islamique polygame, était en fait une petite fille de 6 ans, abusée sexuellement par mohammed a l’âge de 9 ans, il en avait plus de 50.

http://www.islamweb.net › … › Controverse soulevée contre le

26 Apr 2009 – Le mariage du Prophète avec Aïcha

Le mariage du prophète Mohamed ﷺ avec aicha (Une claque pour …

https://www.youtube.com/watch?v=qGLrM5CFUj8

C : J’’ai dénoncé cette vidéo pour ‘incitation à la pédophilie. Des milliers de documents de ce type attendent tranquillement sur le web. Sur facebook, youtube, twitter, quora…et sur la majorité des sites et forums internet, mon compte s’est fait éliminer, condamné de telle façon à ne plus pouvoir en réouvrir un autre- dès que créer, bloqué, pour avoir tenté de distribuer ce document.

Aïcha la Mère des Croyants mariée à l’âge de 6 ans vérité ou mythe …

https://www.alterinfo.net/Aicha-la-Mere-des-Croyants-mariee-a-l-ag…

Si Aïcha était mariée au Prophète quand il avait 52 ans, l’âge du mariage d’Aïcha avec le Prophète serait donc de 12 ans. ….. Mohamed al Ghazali de son vivant n’a jamais pu faire admettre à la jeunesse et aux dignitaires musulmans que l’intelligence humaine, la parole divine et la création du monde ne …

Le mariage de Mahomet avec Aicha fillette de 9 ans …

troisiemeguerremondiale.net/…/la-verite-sur-mahomet-rappor…

Urwa a rapporté: Le Prophète a écrit le contrat de mariage avec Aïcha quand elle avait six ans et qu’il consomma son mariage quand elle avait de neuf ans, puis elle est restée avec lui pendant neuf ans. (c’est à dire jusqu’à sa la mort).

A quelle âge Aïcha a vécu avec le Prophète ( s a w s ) ?

www.mosquee-lyon.org/forum3/index.php?topic=15938.10;wap2

Cherchez  le site : islamweb.net › … › Controverse soulevée contre le Prophète

SVP, SOS, Recherchez sur le web : millions de pages en faveur de la vie de Mohammed, prophète islamique, polygame, tout le monde le sait et l’a oublié, mais en fait jusque dans les écoles, madrasa, etc., le culte islamique vénère mohammed dont la quatrième ‘épouse – a but sexuel, domestique, et esclave social ’ était en fait une petite fille de 6 ans, abusée sexuellement par mohammed a l’âge de 9 ans, il en avait plus de 50.

LIEN SUR CHARIA.

https://cetviesenfrancais.wordpress.com/charia/

Lien sur La takia (la dissimulation pieuse) : selon les écritures islamiques, la permission d’utiliser le mensonge et la dissimulation afin d’échapper à la ‘persécution’ ou sous de meilleurs auspices, d’aider à l’islamisation. Mentir sur ses convictions, (convaincus comme toutes pensées fascisantes, je ne crois pas en la réelle croyance d’adultes normaux dans des circonstances normales. Ce n’est que la montée de l’horreur des civilisations, et l’opportunisme malade, protégé qui peut gagner sur les hommes pour les rendre hitlérienne-ment déments.

Juste pour préciser, l’invasion islamique dans les pays du Maghreb par exemple est en fait un phénomène très récent. Comme les colonisateurs, islam était présent dans les villes, mais absolument pas dans les villages, dans les montagnes, dans les déserts, dans les parties encore préservées de l’urbanisation et du capitalisme- de la destruction humaine. En Algérie on peut rencontrer gracieusement tatouées des vielles femmes dans les villages, qui vont devoir dire qu’elles sont musulmanes alors que jamais. Et cela grâce aux colons blancs qui soutiennent le colon plus bronzé, et tout aussi doué pour l’exploitation. Voyons si ces civilisés vont bouger ne serait-ce qu’un crayon contre la pédophilie institutionalisée, ‘religieuse’ et étatique. Prions pour qu’il n’en soit point seuls à vous de juger ou d’en être les seuls espoirs ou responsables. Prier à en pleurer.

Un culte, Islam est le pédophilique culte par excellence (et ceci parce que la majorité des personnes ignorent ce cependant très reconnu et pourtant idolâtré personnage et précédent).

Une idole, pour laquelle la moindre discussion n’allant pas du côté de ceux qui dise que Mohamed est sacré, par sharia et lois islamiques est sanctionnée par la peine de mort. Il ne s’agit plus de terrorisme lorsque c’est la loi en vigueur par le pouvoir, ou l’un des pouvoirs dans un pays donne.

Comment ? certains gens attendent ça. Parce que ‘le droit religieux’ (même s’il est clair qu’une religion faisant cela, n’en est plus une) va l’emporter sur le combat contre la pédophilie et autres tortures (bien que moins atroces) faites à autrui, car ces horreurs ont déjà gagné la victoire dans les pays conservateurs qui en plus du voile (drapeau, enseigne de plus d’une soumission et de celle de la démocratie tout aussi) accepte la sharia tout autant.

Dans tous les milieux universitaires que j’ai fréquenté, des leçons sur la palestine sont en proie entièrement aux pro-palestiniens. Les cursus universitaires que j’ai suivi ne parlait, et cela sur des semaines de modules, que de la situation de l’occupation israélienne (ou plus possiblement une zone tampon). Je n’ai absolument aucune expertise en la matière mais je pense qu’il est très clair que compte tenu des politiques étrangères, religieuses et sociales menées par les états islamiques : être un voisin, d’une taille moindre, qui ne s’offrira pas aux cultes musulmans ne peut être qu’une bombe à retardement si tant est que les autres nations se mettent à collaborer. Nous, vous savez, les juifs, les homos, les gitans, les dissidents, les gens aisés a occulter, les camps on connait. Vérifiez les tribunaux de la sharia par centaines opérant en Angleterre par exemple, et svp vérifiez d’autres sources sur la sharia, la vie de leur prophète, adoré et révéré à ce jour, faiseurs d’esclaves et des plus viles exploitations humaines.

Pourquoi ? pour de simples et très sinistres raisons, comme les gens qui veulent plus de prostitution, plus d’esclavage, plus de viols, de meurtres, d’émeutes, sous forme de ‘mariages’, c’est bien plus discret, et puis il y a ceux qui veulent le renouveau d’un système religieux qui va pouvoir se jouer pour arracher jusqu’ aux plus misérables bienfaisances que la démocratie était parvenue à avancer.

https://cetviesenfrancais.wordpress.com

Certains liens ne sont dans le texte, pour des problèmes d’envoi. Vous retrouverez ces références sur le blog.

Je tente de partager une information qui si elle est dissimulée veut dire que des millions de petites filles vont être les victimes de ces atrocités, de ce qui devrait être sanctionné d’emprisonnement et plus encore. L’on ne trouve pas de mots appropriés à cette terreur diabolique et perverse qui trouve des collaborateurs dans chacune de nos institutions et dans chacun de nous- il va falloir plus que des mots. Voici la réaction de l’une de vos élus, je ne comprends pas vraiment, ou plutôt je préfère ne pas essayer. N’apparait pas le message ou elle me promet la prison. Depuis quand je fais ça, commence à être long. Je sais que nulle d’entre vous ne prendra aucune mesure afin de tenter d’aider ce qui est bien plus de l’oppression- ce qui faisant prouve que les titres dont on les a affublés sont dépourvus de déontologie, d’éthique, et sont donc usurpés- seront contents les gens scandant, et pas lésés mais honorés pratiquement, que l’histoire va se répéter, n’auront point torts les satisfaits, mais il y a des limites, vous voyez. Allez distinguer.

REPONSE D’UNE POLITICIENNE MEMBRES D’UNE FAMILLE DE ‘POLITICIENS’ ÉLUS DE L’AUDE, plus particulièrement du lieu victime d’une nouvelle attaque des extrémistes.

« Qui que vous soyez, sachez que je suis athée et votre message me conforte dans cette position. L’extrémisme (comme le vôtre) et d’où qu’il vienne gangrène notre société et ne fait qu’accentuer la haine entre les Hommes !

Votre attitude est irresponsable et

Profiter de la situation actuelle ne vous honore pas ! Honte à vous. »

La réaction d’un vendeur de bien et de rue, donc le sort possiblement de millions de mineures bien pires qu’exploitées n’a pas même effleuré.

Cette lettre et ses versions multilingues ont été envoyées aux membres des parlements européens, britanniques, espagnoles, catalans, australiens, néo-zélandais, allemands. Desquels les contacts sont possibles à trouver. Les parlements africains, indiens ou de l’Amérique latine sont pratiquement incontactables.

Dans ces pays, elle a été souvent envoyée aux professionnels les plus concernés par la maltraitance, les médias, les partis politiques, même la police.

Il est indispensable de contacter plus de gens et de nations, dans un cadre de campagne de conscience et d’information.

A chaque approche des professionnels concernés au plus près, la réponse est toujours la même, la liberté religieuse, et nous ne nous occupons pas de ceci en particulier- pour des organisations dont les propos est l’esclavage, cela ne fait aucun sens…

Aussi en Angleterre, des gens s’opposant à la charia, déjà établie et tolérée, dans le pays, on était convoqué par les médias, pour participer à des émissions et des débats. Un d’entre eux, célèbre au préalable pour son activisme, ayant été emprisonné en Angleterre pour avoir tenté de filmer l’extérieur d’une cour de justice où un procès a huit-clos avait lieu à propos du scandale du ‘grooming’- des centaines d’adolescentes, droguées, et abusées sexuellement par des dizaines d’hommes adultes différents et organisés. Les victimes n’ont été initialement pas prises en charge, ni aidées, mais en fait réprimandées, par la police qui a par exemple citée le principe de consentement de jeunes filles de moins de 14 ans…

Tommy Robinson a prouvé que lorsqu’il a tenté d’expliquer sur heures grande antenne de quoi est composée, la vie de mohammed, le fait en particulier que son dernier mariage polygame était en fait pédophile, et des plus extrêmes- la chaine tv a coupé ce moment-là, et donc ceci n’ai jamais paru sur grand écoute…

Combien de fois cette censure barbare et conciliante s’est-elle opérée ? De nombreuses fois il serait convenu d’oser penser.

Al Jazeera cuts Tommy Robinson because he tells the truth about Mohammad (improved)

https://www.youtube.com/watch?v=iG1pzNiL6RY

La censure au nom de l’islam

Le Théâtre du Soleil et Ariane Mnouchkine ont offert leur hospitalité à l’Association du Manifeste des libertés pour une soirée de réflexion et de débat sur « La censure au nom de l’islam ». Plus de six cents personnes ont participé à cette soirée, qui s’est déroulée à la Cartoucherie de Vincennes, le 24 février 2006.

L’épisode des caricatures n’est ni un événement isolé, ni accidentel. L’histoire contemporaine de la censure au nom de l’islam est jalonnée de meurtres, d’attentats, d’interdits de penser et de parler. Elle correspond à une politique menée, à la fois, par les États et les mouvements islamistes, afin de faire régner la peur, soumettre les consciences, imposer une morale unique, étouffer les voix de la liberté.

Se taire ou tergiverser, c’est accepter l’inacceptable, devenir complice de l’infâme.

http://www.manifeste.org/rubrique.php3?id_rubrique=51

www.inthenameofhumanrights.com

Sachez aussi que la censure dont on parle pour la chine est certainement plus étendue et grave que ce que la majorité des gens ont pu lire sur le sujet. En chine on ne peut se connecter ni à google, ni à youtube, ni à facebook (en fait ces sites ‘sociaux’ étant d’énormes censeurs eux-même), ni à toutes vidéos autres que chinoises car le son échappe aux possibilités de détecter les sujets traités, et donc les vidéos ont été simplement toutes mises hors de portée. La BBC radio qui cette fois produit un article d’investigation à la hauteur de son influence parle de stockage de l’information permettant, au parti communiste imperialistique et régnant, de pourvoir les citoyens chinois d’aide administratives, financières, communautarisées, professionnelles, etc…aux gens qui satisfassent le parti, tandis que de couper toutes aides à ceux qui se montrent moins doués. Tout ça et plus encore c’est à dire une censure d’ampleur indiscriminée, étatique, systématique et industrielle. Depuis 2017, il est légalement possible d’emprisonner quiconque pris à utiliser des logiciels (appelé VPN) permettant d’accéder à ces données- en détournant « la grande muraille virtuelle ».

La Russie a développé un missile quasi invulnérable à propulsion nucléaire

https://www.youtube.com/watch?v=DF_nIq2thEE

How Deadly are the New Russian Hypersonic & Nuclear Powered Cruise Missiles & ICBM’s?

https://www.youtube.com/watch?v=sPUZPDAdTD0

C.ET: la version anglaise est beaucoup plus convaincante.

L’ECHIQUIER MONDIAL. Mer de Chine méridionale : les eaux troubles

https://www.youtube.com/watch?v=JOla6cliYFI

Front National : L’oeil de Moscou – Spécial Investigation

https://www.youtube.com/watch?v=vVyQg9Db6SY

C : Front National

Lien écrit en anglais:

www.inthenameofhumanrights.com

Genocides we don’t know, or don’t want to know about.

http://www.inthenameofhumanrights.com/2013/10/the-inside-of-green-house.html

You eat animal you murdered nigh every day. Quand bien même, si j’étais vous, et quant à vos recruteurs- et leur procureur- qui tuent ou abandonnent leurs animaux familiers, ou se disent bien aimant en se disant que nourrir son chien et soi-même de sang, ça le fait, je me méfierais.

Devenez végétaliens, S.O.S., svp.

Par :

www.inthenameofhumanrights.com

https://cetviesenfrancais.wordpress.com/charia/

Lien écrit en anglais:

www.inthenameofhumanrights.com

–    Aux royaume-unis, merci la politique, 1 enfant sur 4 vit en-dessous du seuil de pauvreté.

–    Preuve d’une total inaction et incapacité de la police britannique a arrêté des networks de trafic and prostitution sur des centaines de mineures, bien que les parents des victimes, aient à plusieurs reprises implorés de l’aide.

–    Comment les universités vont devenir si chères, que seulement les cadres supérieurs pourront espérer repayer sans s’endetter, et que les banques vont refuser les prêts à l’éducation. Le simple droit à savoir, à étudier dans le cycle ‘supérieur’, congédié.

–    Comment il suffit d’avoir fait 6 mois de sciences politiques pour savoir que le référendum est en fait un procédé anti-démocratique (qui qui veut voter pour se faire des serfs, dans les temples ou séculiers, qui veut esclaves, dont vous marierez les enfants ou dont le mariage serait refusé, c’est pour les LGBT, ce passage. Seuls les esclaves se sont vus refusé de se marier, ou les castes.

–    Comment ‘mariages d’enfants’ bien qu’illégaux sont tolérés et atteignent les taux les plus graves dans des pays musulmans comme chrétiens, inclus les USA, tels que le Niger, CAR, Chad, Bangladesh, Burkina Faso, Mali…

–    Comment les gens tels que Charlie Hebdo (prior et après attentat) ont dû faire face aux tribunaux dans ce qui serait en France et ailleurs un retour aux lois du blasphème (ou d’ une justice inquisitoire), ou des réquisitoires mégalomaniaques entendus devant assemblée Attendus de plus en plus, par attendances éduquées, attenant, audiences, tanneurs en teneurs ténues, détenues, en tenues.

Aussi, la propagande pédophilique autour de ce ‘rôle modèle’ étant un phénomène mondial beaucoup de ressources sont en langue anglaise -quand bien même les principaux media sont parvenus à taire et à enterrer (les pédophiles et ceux et celles qui tentent de les combattre). Très peu d’information en français qui n’apparait pas toujours être langue prévalente de communication- particulièrement sur ce sujet.

Pensez à devenir végétariens. Merci.

CHARLIE HEBDO: VIE ET AVIS D’UNCERTAINS PERSONAGES.

CHARLIE HEBDO: VIE ET AVIS D’UNCERTAINS PERSONAGES.

Je voudrais faire une parenthèse sur les assassinats des membres de Charlie Hebdo.

Très personnellement, je ne suis pas quelqu’un de vraiment cultivé, et ai passé beaucoup de temps devant la télé. Pour ma génération Cabu était le dessinateur que notre enfance avait.

L’assassinat de ces personnages est extrêmement choquant. J’ai passé de longues heures à communiquer sur les vidéos sur youtube des interviews de ces dessinateurs avant le massacre. Mon compte a été bloqué, j’y avais sauvegardé les principaux moments, les commentaires visant à contre-carrer l’ignorance qu’ainsi l’on y perpétué…tout a été effacé, une porte, une perte.

Si vous le souhaitez, jetez un coup d’œil par vous-mêmes, pour ‘devenir témoin’ de que ce qui s’est passé en amont fait en fait partie de l’explication pour ce carnage. Les exemples ne manquent pas, dans presque toutes leurs interviews, par des journalistes de chaines nationales, par des arrivistes et riches pédants, la question, basse à souhait, les questions récurrentes pour ces artistes étaient :

Croyez- vous qu’il soit bien sage, ou bien nécessaire de dessiner sur mohammed ?
Ne pensez-vous pas que vous incitez à la haine, aux réactions échauffes, que vous heurtez les sensibilités, que vous faites le jeu des extrémistes ??!!??.
Ne pensez-vous pas que vous que vous le faites-vous redorer le blason, pour vendre votre choux?

Des dizaines dans le genre et puis la fatadique. Et pensez-vous aux millions de francs dépensés pour assurer votre sécurité ?

Moi, je pense surtout aux millions de francs ou d’euros ou de dollars dépensés pour protéger les gens qui nous tueraient ou qui chaque jour nous enlise, prenne l’argent et nous regarde crever. L’oie, l’œil, l’ Elisée.

Sut, vu et adopter.

Quand on a fini de visionner les entrevus télé invitant les gens de Charlie hebdo, et bien la conclusion est que le manque de respect total pour la simple liberté d’expression a été bafouée par la presse et les média de tous côtés. On pourrait parler d’un attentat suggéré.

Mohammed avait-il des esclaves sexuelles ?

http://lislampourlesnuls.blogspot.com/2017/12/mohammed-avait-il-des-esclaves-sexuels.html

De Mahomet à l’EIL : quatorze siècles d’esclavage sexuel dans l’islam

De Mahomet à l’EIL : quatorze siècles d’esclavage sexuel dans l’islam

Le viol des captives et esclaves est autorisé par le Coran et la Sunna
http://islamisation.fr/2016/01/05/la-legalite-du-viol-des-captives-et-esclaves-est-autorise-par-le-coran-et-la-sunna/

Femmes, enfants, pédophilie
http://lislampourlesnuls.blogspot.com/p/femmes-en-semi-esclavage.html

L’article, qui confirme des faits rapportés au compte-gouttes depuis un an, avance aussi une thèse audacieuse: Daech se revendique d’une  » théologie du viol ».

Selon les témoignages recueillis par la journaliste, Daech considère le viol des prisonnières comme étant conforme à la religion, mais aussi louable sur un plan spirituel. Elle relie ces témoignages à la place centrale que l’esclavage occupe dans la propagande de l’organisation, où l’asservissement des prisonnières atteste sa puissance.

« En Mauritanie, les filles esclaves de 9 ans sont violées par le maître, ses fils, son chauffeur ou son hôte de passage »
http://www.lalibre.be/actu/international/en-mauritanie-les-filles-esclaves-de-9-ans-sont-violees-par-le-maitre-ses-fils-son-chauffeur-ou-son-hote-de-passage-58aece08cd70ce397f183305

Charlie Hebdo : ils disent « Je suis Charlie »

C : au moins dans les autres langues, on se serait être victime du verbe suivre en lieu de celui d’état.

France2 sur le procès de Charlie Hebdo

Attaque contre Charlie Hebdo – Philippe Val : « Il ne faut pas nous laisser seuls »

Procès contre Luz et Charlie Hebdo : entretien avec Maître Elie Hatem
Dans l’affaire des caricatures du Prophète Mahomet, Yaya Gouasmi, président du Parti Anti Sionsite, vient de porter plainte contre Charlie Hebdo, pour « injures publiques ». En effet, selon le droit français, il n’est pas permis d’injurier publiquement l’ascendant (l’ancêtre) d’une personne.

C : merci napoleon, tas de bons.
Et ils ont une lignée.

Mgr Gaillot au proces de Charlie Hebdo

C : c’est bien, Gaillot.

Les premières images après l’attaque contre « Charlie Hebdo »

Procès de Charlie Hebdo
https://www.ina.fr/video/3281660001013/
C : -pourquoi ne poursuit-on pas en justice, les gens qui ont osé attenter à ce droit, à cette liberté. Un procès médiéval, s’il en est. Une victoire pour ces tarés, y compris le cureton qui ne veux pas d’un cercle de vengeance, mais comment va-t-on se venger de ce qu’il vient de dire ou de fuir, comment se venger quand on a pu le droit de dessiner ??.
La curée.

-Mener à l’auto-censure ?? mais de permettre que de tels procès ai lieu est le signe d’une France en train de collaboré, encore, a jai jamais. Même sí sí s’il peut être rassurant de savoir que la grande bretagne royaliste vient d’Allemagne dans les dernières années. Que vont les vichiistes pour ce coup invoqué, pas un vacher, eh pedro, le sacré, un troupeau de pédos, hétérosexistes, voulant tout violer. Pas d’obligation ? par décret.
Non des pédés.

La VÉRITÉ sur les VIOLS de TELFORD et Rotherham: Les Grooming Gang

Le reseaux pedophiliques musulmans, bien evidemment leur prophet ? en était.
l horreur c est que vous avez raison, meme il y a quelquechose que vous oubliez, c est que les scandales pedophiles il y en a partout, et ils ont ete couverts par toutes les DDASS, les profs, les parents. il suffit de travailler dans les reseaux sociaux et les pedos, les psychopates des entreprises, sont proteges. pourquoi. si pas pratiquemment pas par d autres pedo. c est la culture, c est dur, mais on comprend pas. mais principalement c est le travail mal fait donc quelqu un qui ne travaille pas va sombrer de sure dans, aux mains des plus demunis, sans rien, meme plus un cri. c est dur de travailler, c est dur d aider, alors on aide plus, et puis c est rassurant de savoir que les enfants abondonnes n auraont jamais le droit de pratiquer notre boulot. in-salope sociaux. https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

le pire c est que votre video ne fait pas serieux, les francais et francaises ne vont pas comprendre que vous faites ce que vous pouvez. vous avez raison, ces scandales heureusement commentes par les media les plus connus en angleterre, ne trouve pas leur echos en france. pourquoi?? parce que si les francais savaient ce qu il se passe en angleterre, le niveau de pauvrete par example qu il y ai instaure, pour ce pays si riches, les contracts d exploitation ehonte, un niveau d apprentissage et de responsabilite zero pour les employes, les meutres au couteau, la loi de la sharia et ses tribunaux, oui en angleterre, alors les gens se douteraient aussi que tous ces projets c est pour la france qu ils vont etre reserves. par qui, par les capitalistes, de droite ou socialo.

jusque dans les annees 80 l association PIE, etait une association pedophile officielle et authorise en angleterre. Un parti pedo authorise, aujourd’ui aux Pays-Bas. une politicienne encore au parlement aujourd’hui et au gouvernment hier en etait secretaire par proxi. des scandales de reseaux concernant des stars, une en particulier, du show-biz et des services sociaux a eclate apres la mort du predateur vers 2010. et puis il y a ces bonnes gens, tout rangs et classes, qui vont nous virer parce qu on est homos, nous insultant de pedo, alors qu ils nous ont par tous les moyens violer du droit au mariage et a tous les autres, et ainsi peuvent a longueur de journées nous torturés.
Point étonnant que tout le monde se félicite de la pauvrete, des massacres, du gachis, des richesses (a)venant de tous les délits- pour sans delais pouvoir violer en groupe et en paix.

https://www.programme-tv.net/videos/extraits/38034-dorothee-reagit-a-la-mort-de-cabu-charlie-hebdo-je-suis-en-plein-contrecoup/

:C c degoutant de dire que Cabu etait irrévérencieux et border line, ils veulent l incriminer, la france deviendra infirme mais avec ces jeuene pineux il, ce pays, déjà l’est. j’ai bcp regrette d’avoir tant regardé dorothee, parce que des heures, des journées devant la télé, mais pour devenir comme un de ces journalistes conne Fogiel ayant des bonnes notes à l’école pour plus tard collaborer, en fait jamais.
Ça s’entend qu’il joue avec l’opinion, des gens qui attendent de se faire du pognon facile en assassinant les autres essayant de briser le cercle mortifère du Je-m en-foutisme-flagrant et qui peut mieux gagnant.
Les français ont collabores, et au moins, bien que l’on savait déjà que les fruits de la collaboration ont fait certaines familles riches d’après-guerre, ceci prouve, même s’il on voudrait bien penser, que paris encore pris ne pouvait plus rien faire, que la complaisance, assure, bien avant, et établi, affichée, n’a pu que d’aider ? DE dé.

C’est sur les mecs, l islam est un pouvoir expensioniste et esclavagiste, et eschato. tu crois qu ils etaient musulmans les gens dans les montagnes dans le maghreb avant l’an 2000 AD???? ils l etaient pas, vous etes que des connauds, elle se moque que tu ne connaisses absolument rien, le toto, le zero, le colon parlant bas tant que la france peut payer ses bourreaux.
https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

CABU : « Je ne respecte rien »

C
C :
je suis Cabu, c est te tres encore bete, mais il etait une figure, ou en fait est une figure de mon enfance et adolescence. je regrettais d avoir passe tant de temps devant cette tele gland . mais quen quand j entends ces gens qui l interview tous le prennent pour un degenere, tout un chacun de ces journalistes lui parle comme s il etait retarde. quel desastre cette france, quelle bande, ne valant meme pas la peine de les citer. ces hommes du pouvoir unis, journalistes ou autres sont si degoutants que voila peut etre pourquoi on nous abreuve de niaiseries. mais un jour peut etre le fait de compter sur le trauma psychologique profond pour gouverner, va s etaler.

j aimias beacoup Mano solo, pour moi quand j ai compris qu il mourrait du sida, je me suis pose des questions sur la transmission…. quand on ne regarde que dorothee, on savait pas trop. pas du tout.

Lien sur La takia (la dissimulation pieuse) : selon les écritures islamiques, la permission d’utiliser le mensonge et la dissimulation afin d’échapper à la ‘persécution’ ou sous de meilleurs auspices, d’aider à l’islamisation.

PS : vous pouvez tous voter extrême droite et catholiques, ce n’est pas un hasard si on en est là. Ne faites pas confiance aux racistes et sectaires, ils attendent des gens aussi déguellasses et salasses qu’eux pour se nicher, tant qu’il y a de la viande sur l’os des victimes. Et ce n est pas une question d’intelligence, les opportunistes a savent que c’est eux qui bouffent. Leur restes, l’humour adultère est qu’après cela- tout un combat est pour, en revient à l’épuisement de la bonté et du courage. En vain, sans jamais plus de bons matins.
Pour se nicher, jusqu’au dégel, le prince des ténèbres, viendra nous parler et nous apprendre la lumière, les lueurs qu’on a fait se changer.

CABU : « Je ne respecte rien »

C
C :
je suis Cabu, c est te tres encore bete, mais il etait une figure, ou en fait est une figure de mon enfance et adolescence. je regrettais d avoir passe tant de temps devant cette tele gland . mais quen quand j entends ces gens qui l interview tous le prennent pour un degenere, tout un chacun de ces journalistes lui parle comme s il etait retarde. quel desastre cette france, quelle bande, ne valant meme pas la peine de les citer. ces hommes du pouvoir unis, journalistes ou autres sont si degoutants que voila peut etre pourquoi on nous abreuve de niaiseries. mais un jour peut etre le fait de compter sur le trauma psychologique profond pour gouverner, va s etaler.

j aimias beacoup Mano solo, pour moi quand j ai compris qu il mourrait du sida, je me suis pose des questions sur la transmission…. quand on ne regarde que dorothee, on savait pas trop. pas du tout.

Cabu : « Peut-on encore rire de tout ? »
https://www.youtube.com/watch?v=FEaiN_ThjXU

Nekfeu : « Je me suis senti con après l’attentat à Charlie Hebdo »

ce qui me fait marrer, c est en fait tous vos commentaires de traines, c est ca qui sur son ego accidente, son art facile, son maque, marque, manque de responsabilite et de travail reel, doit marcher. va t excuser.
mon billet sur qu il cahote et chante sur des structures, uniformes et copiees.

moi, je pense que c est le genre de penthouse, qui sait bcp plus que ce que son desir d etre premier peut a vous bou avouer.
An auto-da-fé or auto-de-fé (from Portuguese auto da fé [ˈaw.tu dɐ ˈfɛ], meaning « act of faith ») was the ritual of public penance of condemned heretics and apostates that took place when the Spanish Inquisition, Portuguese Inquisition or the Mexican Inquisition had decided their punishment, followed by the execution by the civil authorities of the sentences imposed.

The most extreme punishment imposed on those convicted was execution by burning. In popular usage, the term auto-da-fé, the act of public penance, came to mean the burning at the stake.
An auto-da-fé or auto-de-fé (from Portuguese auto da fé [‘aw.tu d? ‘f?], meaning « act of faith ») was the ritual of public penance of condemned heretics and apostates that took place when the Spanish Inquisition, Portuguese Inquisition or the Mexican Inquisition had decided their punishment, followed by the execution by the civil authorities of the sentences imposed.

The most extreme punishment imposed on those convicted was execution by burning. In popular usage, the term auto-da-fé, the act of public penance, came to mean the burning at the stake.

c est une salpe ce mec, jouant les intelos, et apres prenant les gens pour des tebes, ou wink wink ou clin d oeil aux autres parvenus, profiteurs, colabo et opportunistes qui savent ce qu il fait. et il y en a un paquet….no comment.
il joue les feche. qu a tout bien reussi, qui sait meme parler comme un enbourgoise rasasie. qui fait meme de la tele. qui est artiste, chef de ligne, malin, politicians et la tttttt des malendrains, sait se tapisser.

Ou alors je deviens noire ou noier(a), et débile, mais quand même a plus de 20 ans, on devrait se renseigner. Mon ami, mon ami, mon agent, mon argent, et est dedans. ma vie? mon combat? répugnant.
Tu sais quand même c est petit blancs qui veulent être premier à avoir un tiquet, puisque c’est sur c est la rue qui va gagnait, car l agent de l argent, de la violence en public relation vs vexe non hate, non athee va se masquer.
et de denoncer, pas les souffrances, mais comment se faire aimer. la carotte, enferme.

Il viole plus de 225 fois une petite fille de 6 ans
https://www.minutenews.fr/actualite/faits-divers/viole-plus-de-225-petite-fille-de-6-ans-308017.html

C : vous pouvez lire l’article en fait c’est un recidiviste, qui n a qu’a attendre ses 15 ans en prison (certainement passe a planifier ou a revoir, fantasmer les tortures infligees) pour sortir et recommencer.

Encore you, une pour la justice britannique. Comme ca, pour ca, au moins on peut etre content qu’il soit sorti de l’Europe.
Voir affaire Worboys.

ca se voit sur lui, c est pas souvent que je dis ca. mais je pense qu apres 15 ans en milieu carcerale et recommence la meme chose pour ecoper d encore que 15 ans de prison, c est clair il est envoye la bas juste pour se reposer, s amuser, se justifier et de plus belle y aller, parce que la rien de plus clair, c est cautionner par les autorites. pas que dans une famille…

Moi, je suis completement blessé par la reaction des journalistes qui comme celui-la insiste sur la normalite des reactions contre la caricatures. tout simplement je suis aterree.
ces journalistes, stupides, et cupides. prenant les gens pour des bebes, ces gens pele-mele pleins de superiorite.

✞Père HENRI BOULAD✞: « La TAQIYA » ou le mensonge dans l’islam

C : ceci dit il en est de meme pour les chretiens. c est logique quand on se croit les mieux, que dis-je quand on se rit d’etre affreux et torture tout le monde. quand on pense qu’on y croyait…les chretiens, rotissant leurs betes, c est jesus que pendant plus de 2000 ans ils tuaient. et bien maintenant dansez.

Avant de relancer la campagne, j’ai voulu discuter sur les attentats de Charlie Hebdo avec des gens et puis j’ai vu et entendu l’etendu de la haine, la jalousie, le dédain accablants fait par la majorite de la presse en fait mettant, dedoublant, triplant, multipliant aux centuples le danger dans lequel un homme comme Cabu, et suivi de tous les autres etaient. Il est certain qu’eux le savaient, durant ces ine interrogations ehontees faites par des sales gueules, comme vojiel, qui ne cesse de s meler ce dont ils ont pas une idee, et pour raisons ca fait des decennies qu’on doit se taper ces impertinents, toujours les memes, qui quand bien meme seraient des genies, ce qui est sur qu’ils ne sont pas, car un genie ne laissera pas delapider son savoir et son etre, dans ce bazar a pas d’idees.

Non pas a ces merdes de débauchés, comme ils le font sentir, mais à ces poux d’embauchés qui faut se taper sans cesse et sans broncher.

Embouchure.

à ma mère

Charb de Charlie Hebdo – On n’est pas couché 5 novembre 2011

Charb, Charlie Hebdo attaqué en justice pour « provocation à la haine raciale » – 13/12

C : on peut envoyer quelqu’un devant le tribunal pour ça ??? je vomis sur les français.
il devrait faire payer ces types pour oser demander à un tribunal… mais non, on envie, on envoie ce pauvre charbonnier sur l’échafaud.
Cap, pacte, Décapiter.

A l’autre qu’on vote contre le front et l’axe.
Quiconque a vécu dans la presque pauvreté avec bcp de voisins, bien que parfois il ne suffit que d’un, pour que ce soit l’enfer. Ce sont plutôt les jeunes gens qui ne se rendent pas compte que vivre entasser n’est pas sain pour le corps. voilà, le bruit et l’odeur, ne peut plus vivre. n a plus de sommeil, n’a plus d’intimité, d’espace à soi. Crever.
Il n’y a que la gauche caviar ou leur chiens batards ou bavards qui ne savent pas ca.
ou les faux de gauche qui ne le sont que quand elle est vampiristique, c’est à dire….quels cafards. Canards. A ceux qui savent que de parquer…

Tant qu’a ce cher président qui oublie qu’ il est ‘the lesser of both evil’ (issue du vote contre les fashs- mais moi franchement quand ils ont annonces qu’ il voulait envoyer le pen devant le psycho pour poster sur les tortures de Daesh, a cette instant, c’est pour elle que j’aurais voter).
Sur ces discours ailleurs, mais surtout à l’assemblée, avec sa bande de blondinets- pas en rapport aux colors de chez cheveux mais de petites putains attendant le paquet (sortie de l’école, des embellisseurs de parquets).
moi, j’aurais prefere qu il reste becheur, parce que ce gars des banques qui se prend pour le nouveau Platon, ne fera que de la france planqueton. quel megalo-maniaque. sur (de) seduire, pas les gens qui qu il a du en appauvrir, qui, pour qui reste transparent ces sourires. sous.
MEGALO, mes gallois !! Mais qui ne l’est pas.
LA France, SON FRIC PUANT QUI FAIT DES PROCES DE CE DEGRE DE DICTACTEURIAT, QUELLE HONTE ! VOUS EN ETES VENUS A REPRESENTER LE PASTICHE D UN DROIT DE L HOMME ET DU CITOYEN. ET QUI NE VOUS EN VOUDRA ?
Surdité.

Indices d’écoutes.

 

 

 

 

L’ABATTOIR D’ALÈS

214.com/enquetes/2015/abattoir-made-inhttps://www.l-france/

Abattoir made in France – Alès (English subtitles)

Des peines encourues dérisoires

La peine maximale ici encourue pour plus de 60 infractions est de 6 000 €… Tellement peu au regard des souffrances supplémentaires endurées par les animaux dans ces lieux déjà violents et cruels par essence. Peut-on imaginer que cette sanction dissuadera les abattoirs d’enfreindre la réglementation ?

https://www.l214.com/lettres-infos//2019/02/26-proces-abattoir-houdan-dr

Taqîya

 

La taqîya, parfois orthographiée taqiyya et takia, appelée تقيّة (taqīyya) en arabe, est une pratique, au sein de la branche chiite de l’islam, consistant à dissimuler ou à nier sa foi sous la contrainte afin d’éviter la persécution. Cette pratique est permise au sein du chiisme dans le cas où un fidèle fait face à une menace, mais elle est aussi permise au sein du sunnisme dans une moindre mesure ; dans les deux cas, elle relève de la charî’a. La pratique de la taqîya a un fondement coranique, notamment dans ces passages qui parlent du reniement de la foi en disant : « Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. » (3, 28) tandis qu’un autre passage mentionne « excepté celui qui a subi la contrainte et dont le cœur reste paisible en sa foi » (16, 106).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Taq%C3%AEya

 

La taqiya ou l’art de la duperie – Points de Repères

https://pointsdereperes.com/taqiya-art-de-la-duperie/

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8 Sep 2012 – Les musulmans qui pratiquent les diverses formes de duperie ou de … juristes et dirigeants musulmans, Mahomet utilisa le mensonge afin …

La Taqiya ou le concept coranique qui permet aux musulmans …

http://www.atlantico.fr/…/taqiya-ou-concept-coranique-qui-permet-aux-…

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19 Nov 2015 – Historiquement, cette pratique devait permettre aux musulmans de survivre et … 1 LA TAQIYA: est une forme de mensonge pour dissimuler son …

Islam: Mentir (la taqiya et le kitman) – Islam: Devoir de conquête, haine …

http://www.l-union-fait-la-force.info/modules/news/article.php?storyid…

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Les érudits musulmans enseignent que les musulmans se doivent de dire de façon générale la vérité, à moins que le but du mensonge soit d’apaiser des …

Re : La takia, ce mensonge pieux en islam qui pollue toutes nos …

http://www.l-union-fait-la-force.info/modules/newbb/viewtopic.php?…

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7 Dec 2012 – Qu’est-ce que la « Taqiyya » ? On trouve aussi les orthographes suivantes : taqiya, takia. Toutes les obédiences islamiques ont recours à cette …

La dissimulation et le mensonge dans le Coran, comme techniques d …

http://www.medias-presse.info/la-dissimulation-comme…dans…/23594/

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20 Jan 2015 – La Tawriyasignifie « dissimulation » et pourrait être défini comme étant l’« inventivité dans l’art du mensonge ».Imaginons qu’un musulman nie …

dans le monde arabo-musulman la takia c’est le mensonge dans l …

https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid…

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16 Jan 2009 – Salut ! Voici quelques éléments sur la taqiyya, pratique qui n’est pas spécifique auxmusulmans, mais à tous les croyants qui ont dû, lors de …

Images for takia mensonge musulman

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L’islam c’est le mensonge, la falsification, la dissimulation élevés au …

https://ripostelaique.com/lislam-cest-le-mensonge-la-falsification-la-…

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7 May 2012 – Encore un soumis à Allah qui vient nous asséner ses mensonges, falsifications et dissimulations conformément à la takia qu’il pratique.

la takia : Dialogue islamo-chrétien – forum religion

http://www.forum-religion.org/islamo-chretien/la-takia-t19225.html

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10 Mar 2008 – 15 posts – ‎8 authors

La takia (la dissimulation pieuse) est une pratique utilisée par … cette takia pour la cause de l’islampermet tout, notamment le mensonge sur …

 

Islam = takia mensonge – Publications | Facebook

https://fr-fr.facebook.com/Islam-takia-mensonge-343150659466588/posts

Le dard de l’islam. Quelques extraits du Coran : Infidèles, mécréants, opposants… Cette page recense quelques-uns des versets qui font du Coran un livre …

la takia : Dialogue islamo-chrétien – forum religion

http://www.forum-religion.org/islamo-chretien/la-takia-t19225.html

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10 Mar 2008 – 15 posts – ‎8 authors

La takia (la dissimulation pieuse) est une pratique utilisée par … cette takia pour la cause de l’islampermet tout, notamment le mensonge sur …

Takia=mensonge encouragé si c’est au bénéfice de l’islam …

https://francaisdefrance.wordpress.com/…/takiamensonge-encourag…

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8 Mar 2013 – Latifa Ibn Ziaten (ci-contre à droite), c’est la mère d’Imad Ibn Ziaten, la première des victimes de Mohamed Merah, assassiné d’une balle dans …

La Taqiyya et les règles de la guerre islamique | Middle East Forum

https://www.meforum.org/…/la-taqiyya-et-les-regles-de-la-guerre-is…

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En ce sens, il s’agit d’un mensonge altruiste, ce qui est autorisé. L’imam Mahmoud al-Masri a récemment donné en exemple une histoire où un musulman …

takia et mensonges musulmans by Mohamed Cyprien al Sadiq …

http://www.dailymotion.com/playlist/xducb/1

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Watch takia et mensonges musulmans by Mohamed Cyprien al Sadiq on Dailymotion here.

Le mensonge en islam (Takkyia) | SITAsecure

Le mensonge en islam (Takkyia)

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L’amour du mensonge III emprunté au blog Rebelles.info Publié avec l’autorisation de l’auteur : Le « makar » du monde Par séduction continue (éducation, …

Pratiquer la Takiya – Yabiladi.com

https://www.yabiladi.com/forum/pratiquer-takiya-4-5770676.html

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6 Aug 2013 – 19 posts – ‎8 authors

Vous voulez un Islam de masse, un Islam étatique ou vous aurez le … ce qu’on ne reconnait pas c’est tout le tissu de mensonge que vous avez …

La guerre des hommes-bombes – Page 416 – Google Books Result

https://books.google.co.uk/books?isbn=2844784550 – Translate this page

Paul Giniewski – 2006 – ‎Al-Aqsa Intifada, 2000-

«Les mensonges sont des péchés, écrit Al Tabarani dans Al Aousat, sauf quand ils sont dits pour le bien- être d’un Musulman, ou pour le sauver d’un désastre. … Les notions de kitam (discrétion, cachement), de takiya (évitement) évoquent la …

La Belge musulmane dont les selfies sont devenus viraux est …

mashable.france24.com/…/20160523-belge-musulmane-selfies-anti…

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23 May 2016 – Les selfies de Zakia Belkhiri, une jeune Belge musulmane, devant une manifestation d’extrême droite à Anvers sont devenus viraux ces …

 

[PDF]musulmans – Les ravages civilisationnels régressifs de l’islam – Free

jenmore.free.fr/Ravages.pdf

1 Mar 2017 – Or, un musulman ne peut pas être saint ni même avoir une image. …… La takiya ou taqiya, le mensonge recommandé envers les infidèles.

EN ISLAM LA « TAKIA » EST L’ART DU MENSONGE, UNE …

https://plus.google.com/114751017601194280618/…/VJPHSL9S3i…

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EN ISLAM LA « TAKIA » EST L’ART DU MENSONGE, UNE RECOMMANDATION FAITE AUMUSULMAN EN MILIEU HOSTILE – John-Michael Easter – Google+.

Imposture de l’islam | L’islam n’est pas une religion

https://unmondesansislam.wordpress.com/2012/08/25/imposture-de-lislam/

25 Aug 2012 – L’antisémitisme est partie intégrante de l’Islam. … Son but : que le monde soit Islamisé par n’importe quels moyens, la terreur et le mensonge. ….. faire porter l’horreur de ce geste à d’autres MAIS votre takia ne fonctionne plus.

Dissimulation, tromperie, mensonges – LA VERITE SUR L’ISLAM : Ex …

verite-islam.blogspot.com/…/dissimulation-tromperie-mensonges.ht…

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Dissimulation, tromperie, mensonges. Il ne faut dire que les … choquants ou violents. La « taqqya » aussi écrite « takia » (dissimulation) est enseignée dans l’islam.

Islam: le devoir de mentir… – Savoir ou se faire avoir – Sami Aldeeb

https://blog.sami-aldeeb.com/2011/02/…/islam-le-devoir-de-mentir…

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26 Feb 2011 – Il y a deux formes de mensonges autorisées à dire aux mécréants sous … Coran (3:28) – Ce verset demande aux musulmans de ne pas …

Missing: takia ‎| ‎Must include: ‎takia

Ahmet Ogras (CFCM) roi du mensonge musulman (taquîya …

resistancerepublicaine.eu/…/ahmet-ogras-ccfm-roi-du-mensonge-m…

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24 Feb 2018 – Du Figaro: INTERVIEW – Ahmet Ogras, président du Conseil français du cultemusulman, rappelle que les musulmans sont les premières …

Missing: takia ‎| ‎Must include: ‎takia

Chutzpah : l’escroc plagiaire Morgan Priest traite les musulmans de …

http://www.lelibrepenseur.org › Soralgate › Vidéos

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8 Nov 2016 – font quotidiennement la morale au monde, et aux musulmans en particulier, les accusant de takia, de tromperie ou de mensonge !!!

La fracture identitaire – Google Books Result

https://books.google.co.uk/books?isbn=221365848X – Translate this page

Ivan Rioufol – 2007 – ‎Social Science

… del’islam en France depuis trente ans relèvede l’amnésie,du mensonge ou … En tant quemusulman, j’affirmeque l’islamismene peut naître que del’islam. … majorité desmusulmans lucides qui n’aspirent pas au djihad,et privilégierla takia, …

Définition : takia – Le dictionnaire Cordial, Dictionnaire de français …

https://www.cordial.fr/dictionnaire/definition/takia.php

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takia – Définition en français : définitions de takia, synonymes de takia, … Mensonge autorisé pour tromper les non-musulmans et obtenir ce que l’on cherche.

islam | Ripostesita’s Blog

https://ripostesita.wordpress.com/tag/islam/ – Translate this page

Articles traitant de islam écrits par sementic. … Filed under: Actions Sita,dissimulation),islam,islamisation,takia(mensonge ou dissimulation) — sementic @ 10:25

 

 

 

 

Une fenêtre sur la vie du prophète islamique: viols, meurtres, esclavage.

 

Une fenêtre sur la vie du prophète islamique: viols, meurtres, esclavage.

 

L’Islam pour les Nuls: Mohammed avait-il des esclaves sexuelles ?

https://lislampourlesnuls.blogspot.com/…/mohammed-avait-il-des-e…

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20 Dec 2017 – Le viol des captives et esclaves est autorisé par le Coran et la …. dans la même journée après la décapitation de son mari et le meurtre du reste de sa famille. …. On sait d’ailleurs que le Prophète, tout au cours de sa vie, s’est …

Le vrai Mahomet dans les hadiths ( meurtres et tortures …

http://www.troisiemeguerremondiale.net/article-la-verite-sur-mahomet-ra…

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22 Sep 2012 – La vérité sur Mahomet rapporté dans les hadiths ( Meurtres et atrocités au … des compagnons du Prophète, qui ont eu à partager sa vie. … les plus authentiques paroles et gestes du prophète Mohammed , leur ….. Un aveugle avait pour femme une esclave, enceinte, qui insultait et dénigrait le Prophète.

Mahomet un saint homme? – Le blog de Vérité, valeurs et Démocratie

verite-valeurs-democratie.over-blog.com/article-36010806.html

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13 Sep 2009 – Une autre source sur la vie de Mahomet est la sira (biographie de Mahomet) ….. Mahomet est un violeur, il autorise clairement la pratique du viol: … cet « ajout » permet donc aux musulmans de violer leurs esclaves et captives car …. donne Amour. le coran est tous l’inversemeurtres, pédophilies, voleurs .

Théologie du viol : ce que dit vraiment le Coran – Le Figaro

http://www.lefigaro.fr › VOX › Vox Religion

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18 Aug 2015 – «Chacun doit se rappeler que réduire en esclavage les familles kuffars … Le Coran indique comment la vie sociale doit être organisée pour que les …. Céline Pina :«Quand le gouvernement reste muet face à l’appel au meurtre d’un imam … Mohammed s’est pourtant marié à une veuve et jusqu’à la mort de …

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Viols, prostitution, esclavage… L’enfer des jeunes migrants de la porte …

https://www.francetvinfo.fr › Monde › Europe › Migrants – Translate this page

26 Sep 2017 – Il y a des gamins qui ont été victimes de viols, il y a des gamins qui ont … Campement de migrants à Lille : des conditions de vie déplorables …

[PDF]Les exactions de Mahomet et de ses disciples face aux lois …

benjamin.lisan.free.fr/…/L-islam_face_aux_lois_internationales_et_…

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Le viol, l’esclavage sexuel, et autres violences sexuelles …. La disparition forcée de personnes (meurtres ou déportation) … 11 Source : http://www.stehly-islamologie.fr/vie-de-mohammed/epouses-et-concubines/rayh%C3%A2na-concubine/.

L’OIM découvre des « marchés aux esclaves » qui mettent en péril la …

https://www.iom.int/…/loim-decouvre-des-marches-aux-esclaves-qu…

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11 Apr 2017 – Ils ont tous confirmé le risque d’être vendu comme esclave sur des places ou dans … Cette victime aurait subi des viols et des agressions physiques. … La situation est critique », a déclaréMohammed Abdiker, Directeur des opérations … confrontés à la malnutrition, aux abus sexuels et même au meurtre.

Exécutions, viols, cannibalisme : un ancien esclave en Libye raconte « l …

https://www.nouvelobs.com › Monde › Migrants – Translate this page

28 Nov 2017 – Parqué dans un enclos, battu, obligé de travailler dans les champs ou les chantiers, un migrant de 32 ans, réfugié en France, raconte son …

Missing: mohammed ‎| ‎Must include: ‎mohammed

Centrafrique : des centaines de viols et de cas d’esclavage sexuel …

http://www.jeuneafrique.com/…/centrafrique-des-centaines-de-viols-et-de…

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5 Oct 2017 – Le viol et l’esclavage sexuel comme tactique de guerre : c’est ce dont … viols à répétition dont elles ont été victimes, mais aussi les meurtres de …

Le viol des captives et esclaves est autorisé par le Coran et la Sunna …

islamisation.fr/…/la-legalite-du-viol-des-captives-et-esclaves-est-aut…

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5 Jan 2016 – (1262) 95- « Ibn Muhayriz a rapporté : « j’entrai à la mosquée et à la vue de Abû Sa’îd al-Khudrî, je m’assis près de lui et je lui demandai au …

Missing: meurtres ‎| ‎Must include: ‎meurtres

 

 

Ca y est j’ai réussi a contacter la moitié des députés de france- le reste de la liste a été refusé ou rejeté,  sur la question de Aisha, et du prophète et de ses fidèles violeurs, esclavagistes et meurtriers, modèles, pris en adoration par des milliers de millions de musulmans.

Et la chine qui censure tout.

En outre…

 

 

De Mahomet à l’EIL : quatorze siècles d’esclavage sexuel dans l’islam …

https://ripostelaique.com/de-mahomet-a-leil-quatorze-siecles-descla…

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24 Feb 2015 – Ne reculant devant rien, ils cachent aussi bien le Coran et la vie de Mahomet, … Viol etesclavage sexuel : carburant de la guerre pour Allah.

Missing: meurtres ‎| ‎Must include: ‎meurtres

L’Islam et l’esclavage – islamophile.org – L’islam en français

http://www.islamophile.org › … › Muhammad Qutb

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1 Jan 2006 – Afin que le Romain puisse mener une vie de luxe et de faste, ….. le viol, la destruction des villes pacifiques, le meurtre des femmes, des enfants …

En Libye, des migrants vendus sur des « marchés aux esclaves »

https://www.lemonde.fr/…/en-libye-des-migrants-vendus-sur-des-m… – Translate this page

12 Apr 2017 – Le Monde Télérama Le Monde diplomatique HuffPost Courrier international La Vie L’Obs … En Libye, des migrants vendus sur des « marchés aux esclaves » … on nous a signalé beaucoup de mauvais traitements, de viols et des cas de … aux abus sexuels, voire au meurtre, affirme MohammedAbdiker, …

Au Maghreb, le racisme anti-Noirs persiste – Le Monde

https://www.lemonde.fr/…/au-maghreb-la-persistance-d-un-racisme-… – Translate this page

23 Nov 2017 – Victime d’un viol collectif à Oran (ouest), elle avait eu le plus grand mal à se faire soigner et à porter plainte. En mars 2016, à Ouargla (sud), c’est le meurtre d’un Algérien … L’esclavage est la forme la plus extrême du racisme » … de sa politique migratoire impulsée par le roi Mohammed VIdepuis 2013.

Libérer l’Islam : la question de l’esclavage – Oumma.com

https://oumma.com › Religion › Islam

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12 May 2017 – Ainsi, le droit musulman pour ce qui concerne l’esclavage, … sur tous les domaines dela vie, en direction de tous les humains ? ….. femmes domestiques soient violées par leurs employeurs sans que … différence entre Mohammed Prophète de Dieu et Gengis Khan. ….. Le meurtre est-il permis en islam ?

Le Coran n’a pas aboli l’esclavage mais… – angles de vue…

anglesdevue.canalblog.com/archives/2008/07/13/9910525.html

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13 Jul 2008 – Si tel est le cas, pourquoi l’esclavage a-t-il continué en terre d’islam … En cas demeurtre, la valeur de la vie des êtres humains n’est pas égale …

Egypte : l’islam justifie le pillage, l’esclavage et le viol des infidèles …

http://www.postedeveille.ca/…/egypte-lislam-justifie-le-pillage-lesclavage-…

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2 Jun 2011 – Relancer le djihad en vue de la capture d’esclaves et de saisies de biens (le … Dans Violet pillage dans le monde musulman publié par le Middle East … Ce meurtre avait pour but d’intimider les Chrétiens, de sorte qu’à …

Contre les séquelles de l’esclavage en milieux soninkés, les pistes …

guidumakha.com › Articles

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Président Macky Sall, vous saviez très bien que la vie d’une poule est plus cotée que …. Depuis un certain temps, l’avocat franco-mauritanien, Jemal Mohamed Taleb …… marcher d’esclaves, chaînes aux pieds, bastonnades, meurtresviols.

[PDF]La Cour aujourd’hui – ICC

Cliquer pour accéder à thecourttodayfra.pdf

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13 Jun 2018 – Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud … de meurtre ; viol ; esclavage sexuel ; torture ; traitements cruels ; atteintes à la dignité …. à la vie, pillage et fait de diriger intentionnellement des attaques contre le personnel, les …

Libye : des migrants africains vendus comme esclaves par des …

https://afrique.tv5monde.com/…/libye-des-migrants-africains-vendu…

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16 Nov 2017 – Libye : des migrants africains vendus comme esclaves par des trafiquants. Partager · Twitter … ©AP Photo/Mohamed Ben Khalifa … Cela peut aller jusqu’au meurtre et au viol pour les femmes. …. Brouteur.com · Taxi Sagat · Tantie Clarisse · Teenager · Courses pour la vie · Hospital It · Contes africains.

 

 

L’esclavage en islam – Islam & Vérité

L’esclavage en islam 1

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L’esclavage est encore pratiqué en nombre de pays musulmans[1] et de leurs ….. Ce qu’ils ont subi est un fort traumatisme, avec des viols, violence physique. …. aux abus sexuels, voire au meurtre», dit dans un communiqué Mohammed Abdiker, … Et qu’on ne perde pas de vue le fait que la mise enesclavage des Noirs …

[PDF]Ils disaient que nous étions leurs esclaves – Human Rights Watch

Cliquer pour accéder à car1017fr_web_1.pdf

5 Oct 2017 – ou jugé pour avoir perpétré de l’esclavage sexuel ou des viols. ….. Les violences sexuelles ont bouleversé la vie de la plupart des ….. En réaction aux meurtres et aux destructions généralisés, des groupes d’autodéfense …… Mohamed B. Elamin, Richard J. Seime, Larry J. Prokop, Ali Zirakzadeh, « Sexual …

« Pour les maîtres, violer les esclaves est un droit » – Seneweb.com

http://www.seneweb.com/…/quot-pour-les-maitres-violer-les-esclave_n_1…

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5 Jan 2015 – Le militant Biram Dah Abeid veut faire libérer tous les esclaves de son … je suis tout à fait d’accord avec toi. même les enfants nés du viol d’esclaves peuvent ….. d’un être humain ne suffit pas pour jouir de la légitimité à la vie et de se …. de l’esclave était acquise en réparation du meurtreaccidentel d’un …

Vente d’esclaves africains en Libye: la colère d’Alpha Blondy – L’Express

https://www.lexpress.fr/…/vente-d-esclaves-africains-en-libye-la-col…

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18 Nov 2017 – Vente d’esclaves africains en Libye: la colère d’Alpha Blondy. Actualité … « C’est la chose la plus incroyable que j’aie jamais vue« , dit la reporter …

Faits Divers France | L’immigration, une chance pour la France …

https://faitdiversfrance.wordpress.com/

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1 Jun 2018 – Emeutes,agressions,meurtres,escroqueries,bandes,viols,attentats… … 05/06: Théo Luhaka+4 membres de sa famille en garde à vue pour … 04/06: (33) Mohamed Benattou fonce sur des piétons sur un parking de … 31/05: (75) Proxénétisme Nigérian: prison pour Mama Alicia, nouvelesclavage (source)

Mahomet, Safiya et Kinânah | This is Sparta

https://www.thisissparta.eu › … › Mahomet, Safiya et Kinânah

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20 Jul 2017 – Frère Rachid revient sur le viol de Safiya bint Houyay, une jeune fille (d’environ 17-18 ans), à la beauté remarquable réduite en esclavage/épousée et violée par … Ibn Hichâm : Biographiedu prophète Mahomet : (Traduction Wahib … Le Prophète Mohammed a torturé Kinana – David Wood en francais.

L’AFRIQUE AVANT LES EUROPEENS – le blog ti.diak – Tidiane Diakité

ti.diak.over-blog.com/article-l-afrique-avant-les-europeens-101353…

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11 Mar 2012 – … un acte très grave (meurtreviol, brigandage) perdre sa liberté et devenir esclave. L’esclavage en Afrique est un thème qui revêt plusieurs aspects. …. était très peuplée et riche, et quela vie y était assez facile, apparemment. …. A l’inverse, son successeur, Askya Mohammed, un de ses lieutenants, fut un …

De Mossoul à Raqqa, l’odyssée tragique des esclaves de Daech

https://www.institutkurde.org/…/de-mossoul-agrave-raqqa-l-rsquo-…

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16 Jun 2017 – Alors que des esclaves de Daech sont encore prisonnières dans l’enfer de Mossoul, des fillettes de moins de 10 ans violées durant leur captivité et les enfants … où naître dans une minorité est un fardeau que l’on portera toute sa vie. …. Saleh a appris la disparition de son père ainsi que lemeurtre de son …

Racisme aux États-Unis — Wikipédia

https://fr.wikipedia.org/wiki/Racisme_aux_États-Unis

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Le racisme et la discrimination ethnique aux États-Unis sont un problème majeur depuis … Bien que l’existence de l’esclavage constitue sans doute la racine des …. de discrimination systémique dans une multitude de domaines de la vie. ….. de viol et condamné à mort (sa peine a été commuée en emprisonnement à vie).

Esclavage et ségrégation raciale aux Etats-Unis, une liste de films par …

http://www.vodkaster.com › Listes de films

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Esclavage et ségrégation raciale aux Etats-Unis, une liste de films par … le film retrace l’engagement de celui qui changera de nom pour Mohamed Ali aux côtés du … Ils tentent l’aventure de leur vie pour retrouver leur liberté et leur maison. …. Ces meurtres marquent le début de l’une des enquêtes les plus explosives de …

 

 

 

CHARIA

Pour une recherche sur le mot charia, on ne trouve que des explications sans explications, qui révèlent en 100 000 mots son historique, ses fondations ‘légales’, ses statuts et fonctions de un slogan politique (comme celui de na pas la définir dans les médias de masse) qu’en fait la charia est la loi islamique, appliquée et interprétée différemment selon les pays (et puis aussi il y a la charia commençant à servir de lois familiales (mariage, divorce, héritage et autorité parentale) avec ses tribunaux dans les pays européens.). Mais pas un mot sur les interdits ni sur les châtiments-la tuerie, les crimes, car c’est une religion et que les hommes attendent d’être débarrassés d’eux-mêmes en toute sérénité. Ces adorateurs d’eux-mêmes on là leur monothéisme trouvé.

 

 

TOUTES LES PHOTOS VIENNENT DE CE SITE, LA TRES GRANDE PARTIE DES ARTICLES AUSSI.

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QUELQUES EXEMPLES EXTRAITS DE LA CHARIA

Les règles énoncées ci-après sont extraites de différentes écoles de pensée, elles sont tirées d’interprétation des textes sacrés musulmans (Coran, Hadith, etc…) par des Imams. Certaines de ces règles sont appliquées dans des pays ayant une législation basée sur la charia.

Il s’agit de la volonté d’Allah الله en cas de vol, divorce, mariage, adultère, esclavage, etc…

Il n’y a pas d’âge légal pour le mariage. Mais la responsabilité religieuse d’un enfant est effective pour les filles aux premières règles, et à la première éjaculation pour les garçons. Le nombre d’épouses légitimes est limité à 4, le nombre d’esclaves, considérées comme des concubines, avec qui l’homme a des rapports sexuels est illimité. Le nombre d’époux est limité à 1.

L’adultère en islam pour la femme est le fait d’avoir des relations sexuelles avec une personne autre que son conjoint.

 

L’adultère en islam pour l’homme est le fait d’avoir des relations sexuelles avec une personne autre que sa (ses) conjointe(s) ou esclave(s).

 

Le chatiment est la lapidation à mort en public si quatre temoins peuvent témoigner de son acte ou s’il y a aveu. Dans ses hadith, Mahomet a prescrit de lapider le criminel avec respect, il ne faut jamais l’insulter ou porter atteinte à sa dignité pendant qu’on le lapide.

 LA POLYGAMIE

Un seul verset du Coran fait état de la polygamie, autorisée mais non obligatoire : la sourate 4 verset 3.

RELATIONS SEXUELLES HORS MARIAGE

Les relations sexuelles hors mariage en Islam désignent des rapports sexuels entre deux célibataires de sexe opposé, le châtiment est la flagellation en public si quatre témoins peuvent témoigner de son acte ou s’il y a aveu.

Néanmoins, il est licite pour le célibataire mâle d’entretenir des relations sexuelles avec sa ou ses esclave(s) femme(s).

La femme n’a pas le droit d’avoir des relations sexuelles avec ses esclaves.

 

RELATIONS HOMOSEXUELLES

L’homosexualité masculine est un crime dans la plupart des pays à majorité musulman. 

Les hommes qui ont des relations homosexuelles (sodomie) sont exécutés, de même pour les hommes non-homosexuels sodomisant une femme.

En Iran, l’homosexualité est punie ainsi ; « au nom de la charia »…

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 LE VOL

l est sévèrement réprimandé, lorsqu’il se déroule à l’intérieur de la communauté. 5:38 :

Au voleur et à la voleuse, vous couperez la main en punition de leur forfait.

Mais lorsqu’il est perpétré par un musulman sur un non-croyant, il est parfaitement licite.

La notion de tribut, absout totalement le vol et place le délit au rang de bienfait pour la communauté :

33:27 : Dieu vous a fait ainsi hériter de leur pays, de leurs demeures, de leurs richesses et d’une terre que vos pieds n’avaient jamais foulée. La puissance de Dieu n’a point de limite.

8:41: « (…)sachez que, de tout butin que vous avez ramassé, le cinquième appartient à Allah, au messager, à ses proches parents, aux orphelins, aux pauvres, et aux voyageurs (en détresse), (.) et Allah est Omnipotent ».

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LE VIOL

 

L’esclavage des femmes offrait un statut légal aux abus sexuels des hommes. La protection, toute relative, de la loi ne profitait qu’à une partie de la population féminine : celle qui était convertie.

La quatrième et la trente-troisième sourate définissent le cadre de la législation sur le sujet.

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L’APOSTASIE

L’apostasie en islam (arabe irtidād, ارتداد, recul, défection, rebond) est le rejet de la religion islamique par un musulman. Celui qui renonce à sa foi musulmane est puni de mort selon toutes les écoles de jurisprudence.

 

Le délit d’apostasie n’est pas nécessairement la conversion à une autre religion que l’islam. Le fait d’oser porter un regard critique sur le Coran ou l’islam en général, de s’en éloigner ou de ne plus être pratiquant est en soi assimilable à de l’apostasie. L’abjuration de la foi islamique est considérée comme un crime très grave.

 

Le droit islamique est clair en ce qui concerne les renégats : la peine de mort est le prix de l’abjuration considérée comme trahison. C’est dans les hadiths qu’il faut aller chercher la justification de la peine de mort qui est réservée aux apostats et qui demeure une sanction reconnue par tous les rites de l’islam.

 

Celui qui blasphème peut être punissable de mort selon certaines circonstances.

Le terme blasphème réfère aux propos méprisants ou irrévérencieux envers dieu ou le souverain.

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LA GUERRE

La guerre offensive, la djihad militaire est une obligation religieuse de la communauté.

 

Insatisfait de l’effet limité que recueillaient ses nouvelles lois sur les populations à convertir et lassé par ses exhortations répétées à le rejoindre, le prophète fit appel à un argument plus persuasif : l’élimination physique de ses adversaires.

L’appel au crime de masse ou individuel est explicite. Il résonne de manière entêtante dans presque chaque sourate et plus de cinquante versets s’en font l’écho.

L’extermination est le thème majeur et quasi obsessionnel de la « religion de la paix ». Le prophète donne l’exemple lui-même avec les massacres de Médine et l’élimination directe de ses concurrents. Le crime est sanctifié, prenant pour corolaire, la promesse du Paradis.

 

Officiellement la Mauritanie a aboli l’esclavage en 1980. Mais dans les faits il est toujours présent. On estime entre 100’000 et 500’000 personnes actuellement en esclaves. Ces personnes sont attachées à un maître et à une famille. Certaines familles disposent de milliers d’esclaves, qui ne sont pas payés. Ils appartiennent corps et âme à cette famille. Ils font tous les travaux pénibles, n’ont aucun droit sur leurs enfants, ne peuvent accéder à la propriété ni aller à l’école. Un esclave n’a pas d’état civil, pas de papiers. Il peut être loué, prêté, cédé, ou même gagé. On naît esclave de par sa famille.

Cet esclavage est fondé sur une version régionale de la charia, le code musulman malékite. En vertu de ce code le maître dispose des femmes comme il l’entend. Elles lui appartiennent, quel que soit leur nombre, leur âge, et cela avec ou sans leur consentement. Ce code lui donne un véritable droit de cuissage. Et les enfants lui appartiennent aussi, comme dans un cheptel. Certaines missions diplomatiques à l’étranger ont leur esclaves.

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 LE MONDE DIVISÉ EN DEUX

 

Pour l’islam, le monde se divise en deux :
les musulmans et les non musulmans, et les non musulmans ont toujours été la cible de l’islam, en tout temps.

Mahomet a dit : « J’ai été envoyé pour combattre et tuer les gens jusqu’à ce qu’ils récitent la profession de foi islamique. Après l’avoir récitée, ils seront en sécurité : leurs biens et leur vie seront épargnés. Dans le cas contraire, ils feront face à la puissance de l’épée. »

 

LA SOUMISSION SEXUELLE DE LA FEMME AUJOURD’HUI EN ISLAM

 

Manifestation de musulmans à Paris le 11 février 2006 contre les publications des caricature de Mahomet par « Charlie Hebdo ».

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Nigeria: Un Nigérien condamné à l’amputation d’une main pour vol

19.09.2005 par webmaster@kath.ch

Katsina, 19 septembre 2005 (Apic) Charia oblige, la loi du talion sera appliquée au Nigeria pour un jeune Nigérien qui avait volé une moto au Niger. Il a été condamné vendredi à l’amputation de sa main droite par un tribunal islamique nigérian. La condamnation d’un étranger à une telle peine serait une première au Nigeria depuis la réintroduction de l’usage de la charia en 1999. https://www.cath.ch/newsf/nigeria-un-nigerien-condamne-a-l-amputation-d-une-main-pour-vol/

 

 

 

 

 

 

 

 

Ne pas respecter Mohammed, le prophète de l’islam est généralement considéré comme un crime capital.  Si les cours de justice ou les gouvernements n’exécutent pas l’offenseur,  des volontaires spontanés et informels peuvent considérer parfaitement justifié de prendre cette tâche à leur compte quel que soit le prix qu’il puisse leur en coûter personnellement.

http://puteaux-libre.over-blog.com/pages/10_Questce_que_la_Charia_Quelles_sont_ses_origines_Et_pourquoi_la_question_est_dimportance_-8270541.html

 

 

 

Egypte: une loi pour criminaliser l’athéisme, un tour de vis contre les libertés

Par Alain Chemali@GeopolisAfrique | Publié le 03/01/2018

http://geopolis.francetvinfo.fr/egypte-une-loi-pour-criminaliser-l-atheisme-un-tour-de-vis-contre-les-libertes-174379

 

 

 

https://www.tdg.ch/monde/afrique/Les-gardiens-de-la-charia-promettent-de-punir-l-homosexualite/story/16975738

Les gardiens de la charia promettent de punir l’homosexualité

NigeriaLe président du Nigeria a approuvé lundi une loi punissant l’homosexualité. Les gardiens de la charia de la ville de Kano ont promis de «travailler sans relâche» à son application.

Comme bon nombre de pays africains – 38 sur 54 en juin 2013, selon Amnesty International -, le Nigeria bénéficiait déjà d’une législation réprimant l’homosexualité.

Peine de mort

Dans la plupart des Etats de cette région, où la charia – la loi islamique – est appliquée en parallèle du système judiciaire fédéral, les relations entre personnes de même sexe sont passibles de la peine de mort.

https://www.tdg.ch/monde/afrique/Les-gardiens-de-la-charia-promettent-de-punir-l-homosexualite/story/16975738

 

 

 

http://atheisme.free.fr/Contributions/Charia_droit_musulman.htm

La charia comme référence de l’islamité moderne

La liste des pays qui s’inspirent plus ou moins fortement de la loi islamique est la suivante : Arabie saoudite, Koweït, Bahreïn, Émirats arabes unis, Qatar, Oman, Yémen, Iran, Pakistan, Afghanistan et Libye.

La déclaration des droits de l’homme et la charia

La déclaration du Caire des droits de l’homme en Islam

La Déclaration des droits de l’homme en islam, adoptée au Caire le 5 août 1990 par l’Organisation de la conférence islamique (devenue Organisation de la Coopération Islamique le 28 juin 2011), est l’expression consensuelle des droits de l’homme selon l’interprétation de l’islam.

Cette adaptation s’est notamment traduite par une forte imprégnation religieuse et certaines modifications de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Cinquante-sept états musulmans l’ont ratifiée :

L’Afghanistan, l’Albanie, l’Algérie, l’Arabie Saoudite, l’Azerbaïdjan, Bahreïn, le Bangladesh, le Bénin, Brunei, le Burkina Faso, le Cameroun, Les Comores, la Côte d’Ivoire, Djibouti, l’Egypte, Les Emirats arabes unis, le Gabon, la Gambie, la Guinée, la Guinée Bissau, Guyana, l’Indonésie, l’Irak, l’Iran, la Jordanie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, Koweït, le Liban, la Libye, la Malaisie, les Maldives, le Mali, le Maroc, la Mauritanie, Le Mozambique, le Niger, le Nigeria, Oman, l’Ouganda, L’Ouzbékistan, le Pakistan, la Palestine, le Qatar, le Sénégal, la Sierra Leone, la Somalie, le Soudan, le Suriname, la Syrie, le Tadjikistan, le Tchad, le Togo, le Turkménistan, la Tunisie, la Turquie et le Yémen.
L’article 1 de la déclaration plante d’emblée le décor : « toutes les créatures humaines sont les sujets d’Allah. » Plaçant l’humanité entière sous la férule d’un dieu hypothétique, il rend illicite la liberté de conscience. http://atheisme.free.fr/Contributions/Charia_droit_musulman.htm

 

 

 

http://www.lefigaro.fr/vox/religion/2015/08/18/31004-20150818ARTFIG00082-theologie-du-viol-ce-que-dit-vraiment-le-coran.php

Théologie du viol : ce que dit vraiment le Coran

 

  • Mis à jour le 19/08/2015

 

Quant au rituel qu’ils adoptent, en priant ostensiblement avant et après ces viols, on peut estimer qu’ils s’en réfèrent non pas cette fois au Coran, mais plutôt à des hadiths, et l’on sait que le texte sacré, d’une part, et les hadiths, de l’autre, sont en islam les deux sources de la loi.

http://www.lefigaro.fr/vox/religion/2015/08/18/31004-20150818ARTFIG00082-theologie-du-viol-ce-que-dit-vraiment-le-coran.php

 

 

 

Charia : quelles sanctions physiques pour quels délits ?

Rédaction RTBF

 Publié le vendredi 06 février 2015 à 13h26

« Dix ans de prison et mille coups de fouet », c’est le verdict rendu en novembre dernier par la cour d’appel de Riyad à l’encontre du blogueur saoudien Raif Badawi. En cause, la création par ce dernier d’un réseau de discussion en ligne afin d’encourager les débats politiques, sociaux et religieux. Une violation pour l’Arabie Saoudite de l’article 6 de la loi anti-cybercriminalité. Quelles sont les sanctions physiques dans la charia ?

 

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_charia-quelles-sanctions-physiques-pour-quels-delits?id=8900393

 

 

 

http://marcusantinonus.canalblog.com/archives/2012/11/28/25695422.html

La polygamie en islam

Un seul verset du Coran fait état de la polygamie, autorisée mais non obligatoire : la sourate 4 verset 3.

Toutefois on trouve des traductions sensiblement différentes du verset 3.

 

Contrairement à la Bible et au christianisme, le Coran et l’islam n’ont jamais remis en cause l’esclavage comme institution dans la société ; néanmoins, au XXIème siècle l’esclavage a été aboli dans certains pays musulmans mais subsiste dans d’autres, plus ou moins officiellement : Arabie saoudite, Emirats Arabes Unis, Pakistan, Soudan…

http://marcusantinonus.canalblog.com/archives/2012/11/28/25695422.html

 

 

 

Musulmans de France: pour 29% des sondés, la charia est plus importante que la loi de la République

18/09/2016 à 10h52

https://www.bfmtv.com/societe/islam-francais-un-rapport-accablant-1038242.html

 

 

Manifestation pour l’instauration de la charia en Italie

Manifestation pour l’instauration de la charia en France

 DES REVENDICATIONS SANS FIN

Manifestation pour le port du voile en Belgique

 

ABATTAGE HALAL ET CASHER DES « MÉTHODES BARBARES »

Dans l’abattage rituel, l’animal n’est pas étourdi. Un « sacrificateur » l’égorge. Les animaux doivent être conscients lors de la saignée pour que l’abattage soit reconnu comme rituel.

 

TERGIVERSER, C’EST AcCEPTER LA RÉPRESSION ET LA SOUMISSION.

http://www.dnat.be/dossiers-speciaux/la-charia/quelques-exemples-extraits-de-la-charia

 

 

 

 

 

Je m’inquiète car si les documents sont difficiles à trouver en anglais, il y en a. C’est plutôt les documents publiés par les institutions de médias de masses qui sont manquants. Mais en français le nombre disponibles est effrayamment bas.

 

Ci-dessous, le lien de ce que j’ai pu collecter en anglais mais c’est très incomplet, le temps me manque cruellement. J’ai contacté des milliers de journalistes, politiciens et autres professionnels sans une réponse. Quand je téléphone ils me disent que leurs organisations ne s’occupent pas des pratiques religieuses !! ou que la campagne est trop ciblée…

Même les associations anti-esclavages, anti mariage d’enfants, etc, etc….

www.inthenameofhumanrights.com

 

 

 

 

 

 

Je respecte toujours scrupuleusement les copyrights et droits d’auteurs. Dans ce cas-là je ne peux pas. Alors que de nombreux documents sont disponibles en anglais, en français cela devient beaucoup plus compliqué. Aussi je me refuse, à étudier plus en avant (et n’ai aussi plus le temps), et surtout à donner les liens d’articles pro-islamiques. Je travaille pratiquement qu’en anglais, mais recherchez en français et vous êtes sûr de trouver quand même des exemples à foison puisque ces pratiques sont vrais- but et réalité- pour des millions de francophones.

DONC ICI TOUTES LES PHOTOS VIENNENT DE CE SITE, LA TRES GRANDE PARTIE DES ARTICLES AUSSI.

http://www.dnat.be/dossiers-speciaux/la-charia/quelques-exemples-extraits-de-la-charia

 

 

 

‘IS’ Fascisme ‘IS’ nazisme

‘IS’ Fascisme ‘IS’ nazisme

‘IS’  I

 

 

http://www.linternaute.com/histoire/motcle/1328/a/1/1/censure.shtml

 

1852 17 février

Louis-Napoléon censure la presse
Le président de la République Louis-Napoléon Bonaparte établit un ensemble de mesures préventives et de sanctions visant à museler la presse. Par décret, il est interdit aux journaux de rendre compte des débats parlementaires et des procès autrement qu’en reproduisant les procès-verbaux officiels. La censure des images est rétablie. Les journaux ne respectant pas ce décret pourront être suspendus après un avertissement et définitivement supprimés s’ils récidivent. Entre mars 1852 et juin 1853, 91 avertissements seront délivrés par le ministre de la Police, Maupas.
Voir aussi : Napoléon IIIHistoire de la CensureHistoire du Second Empire

1970 17 novembre

Hara-Kiri disparaît des kiosques

Voir aussi : Histoire de la CensureHistoire de Hara-KiriColombeyHistoire de la Presse

1988 octobre

Ken le survivant fait scandale

 

http://www.linternaute.com/histoire/motcle/1328/a/1/1/censure.shtml

 

 

 

 

 

 

« L’Innocence des musulmans », le film qui a mis le feu aux poudres

Ce film amateur a enflammé l’Egypte et la Libye, causant indirectement la mort de quatre membres de l’ambassade américaine en Libye, dont l’ambassadeur.

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/09/12/l-innocence-des-musulmans-le-film-qui-a-mis-le-feu-aux-poudres_1758964_3212.html

 

 

 

http://lislampourlesnuls.blogspot.com/2017/08/censure-autocensure-intimidation-dans.html

 

« La liberté d’expression est garantie »

 

Par ailleurs, Jean-Marc Ayrault estime que les caricatures de Mohamet publiées ce mercredi dans Charlie Hebdo peuvent « heurter » certaines personnes mais souligne que « nous sommes dans un Etat laïque, un Etat républicain ». « Nous sommes dans un pays où la liberté d’expression est garantie, la liberté de caricature aussi », soutient le Premier ministre tout en précisant que « si vraiment des personnes se sentent heurtées dans leurs convictions et pensent qu’il y a eu dépassement du droit – nous sommes dans un Etat de droit, cet Etat de droit doit être totalement respecté -, elles peuvent saisir les tribunaux. Ça s’est déjà produit concernant cet hebdomadaire ».

 

Pas très pertinent pour Fabius

 

Le ministre des Affaires étrangères se montre quant à lui plus ferme : « En France, le principe c’est la liberté d’expression et il ne faut pas y porter atteinte. Maintenant le contexte, compte tenu de ce film imbécile, cette vidéo absurde qui a été diffusée, il y a une émotion dans beaucoup de pays musulmans. Est-ce que c’est pertinent et intelligent de mettre de l’huile sur le feu ? La réponse est non », déclare Laurent Fabius.

http://lislampourlesnuls.blogspot.com/2017/08/censure-autocensure-intimidation-dans.html

 

C : je n’y arrive plus a commenter, très franchement.

Elles peuvent vous faire un procès, vous menaçant de famine et de précédent. C’est tout. Putain de pays.

 

 

 

merci pour lui. occupez-vous en bien, et avez l’une des plus belles histoires qu’un humain puisse vivre, vivre avec un animal, et partagez son repas.

 

 

 

 

 

 

La Russie a développé un missile quasi invulnérable à propulsion nucléaire

https://www.youtube.com/watch?v=DF_nIq2thEE

 

 

 

How Deadly are the New Russian Hypersonic & Nuclear Powered Cruise Missiles & ICBM’s?

https://www.youtube.com/watch?v=sPUZPDAdTD0

 

C.ET: la version anglaise est beaucoup plus convaincante.

 

 

L’ECHIQUIER MONDIAL. Mer de Chine méridionale : les eaux troubles

https://www.youtube.com/watch?v=JOla6cliYFI

 

 

 

Front National : L’oeil de Moscou – Spécial Investigation

https://www.youtube.com/watch?v=vVyQg9Db6SY

C : Front National

 DES CONNARDS, EN PLUS DE CELA VILAINS, COWARDS (= pleutres) ET TRAITRES, DANS TOUS LES SENS DU MOT. ET EN TOUTES OCCASIONS. 

PLANQUÉS, COUCHÉS ET TOUJOURS AUX ORDRES ?

 

Que les lepenistes pretendent etre anti quoi que ce soit c’est de la connerie, ils attendent des blaireaux, idiots aussi sataniques qu’eux, que ce soit blancs, noirs ou tout ce qui se trouvent dessous le soleil de peau. Un fasciste est un fasciste, c’est un prédateur avec la moitie d’un cerveau, pourquoi ? parce qu’il faut être une enflure pour cela, et pourrir a vouloir de se repaitre de tout, ce n’est pas beau.

 

 

Russie: Vladimir Poutine présente ses armes «invincibles» du futur

https://www.youtube.com/watch?v=7r4ms4Yg4W4

 

 

 

L ‘arme nucléaire la plus puissante au monde est Russe

https://www.youtube.com/watch?v=Ml5G4I0kNko

 

 

 

Normandie : jugé pour le viol d’une lycéenne, il est acquitté

 

Pas les « codes culturels »

L’avocate de la défense a plaidé les difficultés d’interprétation qui, selon elle, sont le fil conducteur de ces affaires. Difficulté d’interprétation de la part de son client qui « n’avait pas les codes culturels » pour prendre conscience qu’il imposait une relation par crainte ou par surprise. Difficulté d’interprétation de la part de la victime qui a pu prendre un regard comme une menace et donc une contrainte. Difficulté d’interprétation des enquêteurs qui n’ont pas su mesurer le désarroi de la victime.

Après l’énoncé du verdict, le président a pris soin de préciser que »la décision de la cour n’est pas une remise en cause de la sincérité » de la plaignante. La cour a estimé que l’accusé n’avait pas conscience d’imposer un rapport sexuel.

https://www.lamanchelibre.fr/actualite-620903-normandie-juge-pour-le-viol-d-une-lyceenne-il-est-acquitte

 

C: le juge devrait recevoir d’autres codes culturels dans la teté.

 

 

 

Le cauchemar des cailles pondeuses

https://www.youtube.com/watch?v=A1n2tTagv6k&feature=youtu.be

 

C : confier ca a un bebe, des siecles de maitres d’œuvre au maifa, maifa qui justement sont des brigands de n’etre nullement qualifie et au vrai bossant, a un paysan mecreant peu luné ramassant tout les salaires comme tous ses freres d argent, meme celui de la merde qu il sait faire, et des gens qu ils peuvent tuer, ca certainement, menant a l abattoir, au lieu d un orfevrier a une seule entreprise sans meme un gardien, sans rien en fait. Et personne ne sera inquiété, ainsi cette culture d incendiaire ne prendra jamais fin, qu’en se dissolvant.

 

 

 

 

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

 

Le 14 octobre prochain, nous sommes convoqués devant le tribunal correctionnel de Pau pour atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui suite à la diffusion des conditions de mise à mort des animaux dans l’abattoir de Mauléon-Licharre en 2016.

 

Pourquoi cette assignation en justice ? Nous n’avons pourtant jamais montré le visage des ouvriers ni diffusé leur nom : nous avons au contraire souligné que ces hommes, s’ils devaient répondre de certains de leurs actes devant la justice, ne devaient pas servir de boucs émissaires. Se décharger sur eux de notre responsabilité collective à faire tuer sans pitié 3 millions d’animaux chaque jour aurait d’ailleurs été trop facile !

 

Nous risquons un an d’emprisonnement et 45 000 € d’amende pour avoir dévoilé ce qui se déroule dans ces boîtes noires que sont les abattoirs…

Dans ce petit abattoir certifié bio, les agneaux étaient frappés, voire jetés pour les amener au poste d’abattage, ils étaient parfois assommés à coups de crochet métallique. Leur « étourdissement », ainsi que celui des veaux, était souvent défaillant, ce qui les amenait à reprendre conscience une fois suspendus par une patte, la gorge sectionnée. Surtout, on pouvait voir la terreur de ces animaux et les souffrances aigües engendrées par leur abattage. Aurions-nous dû garder ces images cachées, et laisser cette situation perdurer ?

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

 

 

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

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C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

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C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

 

VIE PRIVEE, MAIS ON CROIRAIT REVER.

LES ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????JUGES ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????

 

 

 

GOUJOE, GOUJEONS. HUGES ?

 

 

Tziganes : Origines et persécutions – Toute L’Histoire

 

https://www.youtube.com/watch?v=ncGsoWZOYHI

 

 

 

58 min

Chroniques estudiantines (3/4)

Tian’anmen : 100 ans de contestation étudiante

Les images, terribles, des chars fonçant sur la foule avaient fait le tour du monde et sont encore dans tous les esprits. Mais en Chine, c’est le silence total. Aucune commémoration n’est prévue bien entendue et toute évocation du 4.6 – du 4 juin – est soigneusement bannie de l’espace public.

https://www.franceculture.fr/emissions/cultures-monde/chroniques-estudiantines-34-tiananmen-100-ans-de-contestation-etudiante

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/04/26-campagne-groupe-avril-stop-oeufs-poules-cages

le groupe Avril, 1er producteur d’œufs en France et dans l’Union européenne, à tourner le dos à l’élevage en cage des poules pondeuses.

En campagne contre l’élevage en cage

Le groupe Avril refuse toujours de s’engager à mettre fin au calvaire des poules pondeuses

Pourtant factuelle, cette information rendue publique n’a pas plu à tout le monde…

Certaines affiches ont été vandalisées peu après leur mise en place après que, sur les réseaux sociaux, certains agriculteurs ou responsables de syndicats agricoles aient appelé à commettre des dégradations.

Levée de boucliers de la filière en soutien à l’élevage en cage

Alors que nous venions porter la voix des 90 % de Français qui souhaitent la fin des cages (sondage YouGov, 2018), la Fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles de Bretagne (FRSEA) a appelé au rassemblement et le groupe Avril a invité ses éleveurs partenaires à venir manifester contre L214.

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/04/26-campagne-groupe-avril-stop-oeufs-poules-cages

 

 

 

 

Cruauté envers les veaux nourrissons au centre de transit de Tollevast

https://www.youtube.com/watch?v=suaDqNamvXg

 

 

C : you will see, people who attempts to fight for human rights will be reduced to nothing. If ever the videos that are showed become more than entertainment and could start stir things up. Google and companies would start or would be made stop and forbid such accounts on behalf of privacy and also because it is so violent, that it is why not violence promoted.

 

It is often said that our species will pay for what she has done, but a bigger contentious issues here, we will never be able to pay back for these ingrained insanities.

And dully sorry for my duty-free, I cannot find the just word.

 

 

 

 

 

90 %

des Français sont défavorables aux élevages qui concentrent les animaux dans des bâtiments fermés sans leur laisser d’accès à l’extérieur 1

88 %

des Français considèrent que la protection des animaux d’élevage devrait être renforcée 2

https://www.l214.com/enquetes/2019/transport/veaux-nourrissons

 

 

C : et qu’est ce qu’on fait du reste ?

Dur eh ?

 

 

 

 

Charlie Hebdo : Caroline Fourest censurée par Sky News ?

https://www.youtube.com/watch?time_continue=23&v=R90BIPgqHbQ

 

C.ET: I am not backing fourest who have had an amazing, too strange, too flagrantly to be false tendency to lying and defamation. But this is just horrid, I ll never watch sky news again. Thank you for showing.

 

 

 

 

‘âge bête

Contre l’élevage en cage, la pression citoyenne s’intensifie en Europe

Signée par plus de 900 000 personnes et soutenue par 140 associations de défense animale, une initiative citoyenne européenne pourrait obliger l’UE à se prononcer sur l’interdiction de l’élevage en batterie.

Contre l’élevage en cage, la pression citoyenne s’intensifie en Europe

Signée par plus de 900 000 personnes et soutenue par 140 associations de défense animale, une initiative citoyenne européenne pourrait obliger l’UE à se prononcer sur l’interdiction de l’élevage en batterie.

 

 

C : tres bien, mais quoi s il donne des regles que que les tres tres riches puissent ou appliquer ou les inspecteurs se payer.

 

 

 

Blaspheme

c est meme pas dire, mais des choses qu’on ne peut meme plus evoquees. des choses.

 

 

 

 

Trudeau dénonce le projet de loi sur la laïcité

Lina Dib

2019-03-28

https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/trudeau-d%C3%A9nonce-le-projet-de-loi-sur-la-la%C3%AFcit%C3%A9/ar-BBVleng

 

 

 

08/08/2018 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/paris-un-chauffeur-de-la-ratp-accuse-d-avoir-refuse-a-une-femme-en-jupe-l-acces-a-son-bus-20190503

 

 

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/06/06/01016-20170606ARTFIG00356-notre-dame-de-paris-il-attaque-un-policier-pour-la-syrie.php

 

Notre-Dame de Paris : un terroriste islamiste attaque un policier «pour la Syrie»

 

Un étudiant algérien de 40 ans a touché au cou le fonctionnaire avec un marteau, au beau milieu du parvis de la cathédrale. Blessé au thorax, l’agresseur, qui avait prêté allégeance à l’Etat islamique, a été placé en garde à vue.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/06/06/01016-20170606ARTFIG00356-notre-dame-de-paris-il-attaque-un-policier-pour-la-syrie.php

 

 

 

Inquiry says killing or disappearance of indigenous women …

https://flipboard.com/@euronews/inquiry-says-killing-or-disappearance-of-indigenous…

World News. Inquiry says killing or disappearance of indigenous women is ‘Canadian genocide’ Euronews – By Lindsay Rempel. The disappearance or murder of thousands of indigenous women and girls in Canada is as a « national tragedy of epic proportion » according to the head of a national inquiry into the issue.

Deaths of indigenous women ‘a Canadian genocide’, leaked …

https://freuronews.blogspot.com/2019/05/deaths-of-indigenous-women-canadian.html

Leaked national report describes possibly thousands of deaths of indigenous women as genocide. from BBC News – US & Canada https://bbc…

LIVE Canada Genocide News | One News Page

https://www.onenewspage.com/topic/Canada+Genocide.htm

Canadian probe assails ‘genocide‘ of indigenous women Commission finds Canada‘s indigenous women and girls are « under siege, » and their deaths and disappearances amount to « a race-based genocide« .

Euronews English | AOL.com

https://www.aol.com/video/partner/euronews-english/518954218/5ca31599791cad63737bcfe3

Inquiry says killing or disappearance of indigenous women is ‘Canadian genocide’ Euronews English UEFA criticsed for climate impact of fans’ journeys to cup finals

Inquiry says killing or disappearance of indigenous women …

https://www.youtube.com/watch?v=nNS_Om6J9rc

A long-awaited report from Canada‘s national inquiry into missing and murdered indigenous women and girls will call it a ‘Canadian genocide.’… READ MORE : ht…

Canada must not ignore Indigenous ‘genocide’, landmark …

https://www.onenewspage.com/…/Canada-must-not-ignore-Indigenous-genocide-landmark.htm

Monday, 3 June 2019 (2 days ago) Canadians can no longer turn a blind eye to the “genocide” of Indigenous peoples in the country, a landmark report on missing and murdered women has concluded.

euronews (in English) – YouTube

https://www.youtube.com/user/Euronews

euronews on YouTube brings you a daily dose of international news curated and explained. Beyond headlines and sensationalism, euronews offers in-depth covera…

 

 

 

Interview de Pierre Conesa

https://www.youtube.com/watch?v=pBGxyIx0_Es

 

 

 

L’influence de l’Arabie saoudite par Pierre Conesa

https://www.youtube.com/watch?v=R816t_9G9E0

 

 

 

Pierre Conesa : les explications saoudiennes sur Khashoggi n’ont «aucun degré de crédibilité»

https://www.youtube.com/watch?v=xbUEV8GiTXw

 

 

 

Front National : L’oeil de Moscou – Spécial Investigation

https://www.youtube.com/watch?v=vVyQg9Db6SY

 

C : Front National

 DES CONNARDS, EN PLUS DE CELA VILAINS, CO-WARDS ET TRAITRES, DANS TOUS LES SENS DU MOT. ET EN TOUTES OCCASIONS. 

PLANQUÉS, COUCHÉS ET TOUJOURS AUX ORDRES ?

 

Le monde selon Xi Jinping | THEMA | ARTE

https://www.youtube.com/watch?v=ow_tQQzukfQ

 

 

Moi, je ne m’ inquieterais pas en m affolant, parce quand on est fait des purges comme ca, on se retrouve avec des gens corrompus et pas fait pour leur travail, sans cœur, courage ou intelligence.

Pour facebook, desole, mais facebook est un tres gros censeur comme tous les autres medias occidentaux.

Aussi la chine parait tres grosse, mais n a-t-elle pas envahit le tibet, avec toute l eau de l asie ?

 

Aussi la chine est un peu disloquee, avec des regions qui ne sont pas vraiment bonnement reliee. Quand vous voyagez en chine, a chaque nouvelle region toutes les demarches administratives sont a recommencer. Peut etre un peu comme un europe si l on ne veut pas parler d un etat federal. Avec le meme parler. Je ne sais pas trop sur ce sujet, mais se mefier du secret.

 

 

Une chose qui ne vous dise pas, c est qu en chine le passport francais ne vaut rien. Je suis francaise et ne porte pas particulierment les francais dans mon cœur, mais la je suis fier, les passports francais ne valent rien parce que la France defends les droits de l homme plus que les autres, ou que certains autres.

 

 

quand au capitalisme ou au communisme elles sont toutes deux des idéologies de guerre.

 

Affaires étrangères : podcast et réécoute sur France Culture

 

 

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Affaires étrangères : l’émission en replay et ses archives en réécoute sur France Culture. Consultez les … Affaires étrangères. Par Christine Ockrent. le samedi …

Affaires etrangeres

AFFAIRES ETRANGERES en replay sur France Culture …

Les conflits du monde orthodoxe

Les conflits du monde orthodoxe. 12/01/2019. Podcast. S …

Sahel, Mali, France et ONU

Sahel, Mali, France et ONU. 05/01/2019. Podcast. S’abonner via …

L’Inde dans les tumultes …

L’Inde dans les tumultes électoraux. 23/02/2019. Podcast …

Les convulsions du Brexit et l …

Les convulsions du Brexit et l’Europe … les Britanniques et l …

L’Ukraine avant les élections …

L’Ukraine avant les élections présidentielles. 23/03/2019 …

 

Sans débourka ni trompettes, le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=j_GOqImGV_s&list=RDAxxeFB_djNU&index=10

 

 

 

Un cimetière dans mon téléphone – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=K9Rp2bDai1M&list=PL1E33536725F84588&index=56

 

C : et Front inter, vous nous avez trouver une greluche de parlementaire qui est pour la liberte d expression, bon boulot, tres impressionnant. quel engagement. l elite, l avant-garde. lagarde! vous auriez du vous specialise dans l economie, on se serait de tout remis. intllectuels ensemble ensomme en solde et vendus. ne parler de rien, n enqueter sur rien, c est ca la liberte d expression. heureusement on ales a la halle les podcasts? quille qui les casse? les boulets, les boulons. pas les religions des croyants embourgeoises? pourquoi dire bourgeois. c est les castes, embaumant embauches.

 

 

 

Menacée de mort, Zineb El Rhazoui répond – C à Vous – 20/12/2018

https://www.youtube.com/watch?v=CVHevHxCK0U

 

 

 

c est un journal satirique, vous faites les serieuses, pretendant d etre choquer. une caricature qui caricature les journaux la presse, pas un enfant. vous etes tellement puant et sans merites que je suis sure que pour une fois ce n’ est pas de l hypocrisie, se moquant de ce que les moins medailles, pardon les moins diplomes, n ont pas compris. c est vous les …

 

 

 

Moi, je regarde ce qu’ il se dit sur Charlie a chaque fois que j ai besoin de pleurer sur la France. Et puis c’ est pas trop grave pour moi tres personnellement, parce que la France, j y suis plus depuis longtemps.

 

 

When Night is Falling – Trailer

https://www.youtube.com/watch?v=J5mszOh_Qis

 

C.ET: plutôt mauvais clip, pour un film culte et mythique. Bussières y est divine.

 

 

 

t.A.T.u. – All The Things She Said

https://www.youtube.com/watch?v=8mGBaXPlri8

 

 

All The Things She Said VOSTFR

https://www.youtube.com/watch?v=R27geMmhfws&list=RDR27geMmhfws&start_radio=1

 

Peur de rien blues – Concert 1989

https://www.youtube.com/watch?v=InbUc8RCm6Y

 

C : for you, Zineb.

 

 

 

 

ZINEB EL RHAZOUI | CHALLENGING POWER | OFFinJOBURG

https://www.youtube.com/watch?v=IaB7uhlixGs

 

 

thank you for the homos, Zineb. from one.

you know i really feel to answer those who dare insulting you, but the social media will delete my account, not theirs.

i d just want you to know, as a matter of fact, you cannot even answer. just like in society. their insults they could find some reply but no…they rule. and it is their insults that will be taken as a freedom of speech curtailing, but in fact, they obtain what they were asking. the rest? not any longer can we talk about, ‘us’ .

you know these many negative comments in comparison with positive one. i have one hope, i pray god, any god for that. is that people do not care about their theatrics and only them go watching people talking about how easy it is to be a fasho. let’s hope the monster will eat itself fast enough. but doing nothing will be it enough?? rhetoric here is so sad, that it should be sufficiently threatening even for a fat fag bigot- men loving themselves and women hating themselves or predating on it. religion gets something. this is hell, where animals and nature, life, god, can be sold and said by everyone to be good to eat.

 

 

Freedom?  Free doom.

 

 

 

 

2017 12 (3)

 

Di

 

Diabolic, dialogic.

 

 

 

N,           haine.

M                  aime.

 

 

 

Une émission BBC sur le secret. Certains problèmes mentaux viendraient de ne pouvoir garder certains secrets en soi même : ce qu’on parfois peut penser, imaginer, espérer.

 

 

 

Juste une emission de radio racontant comment des truands ont telephone une personne lui disant qu’il fallait qu’elle change de compte bancaires pour eviter des fraudes. elle telephone a sa banque et tombe sur sa banque effectivement. et decide en une seconde de le faire et tout cela par telephone, verse l argent sur un compte, l argent disparait du compte le moment meme…et bien sur les banques font mines de ne pouvoir rien retrouver bien qu elle ait essayer de s’opposer aux transferts appelant sa banque une deuxieme fois une demi-heure apres. je suis tombe sur des gens comme ca, me disant que mon ordi etait au mains d un virus, effectivement mon ordi etait scotche sur la meme page, qui se faisait passe pour des tecniciens microsoft. et le plus marrant c est que j y ai cru parce que j ai eu les pires problemes avec microsoft, le vrai.

vrai, vera.

very.

 

 

 

Commère,

Commerce.

Commence,

Comis

Commissurante.

C’est rance.

 

 

 

windsor? pas question, pas interressant et aussi trop de monde, et puis trop de monde adulant, et indolent.

t as entendu que ton con de president, a dit qu il allait le regarder avec sa femme le marriage royal. je les trouvais haissable avec trump. mami aurait dit ‘faire des manieres’ tu penses pas?

 

 

 

Pour une recherche sur le mot charia, on ne trouve que des explications sans explications, qui révèlent en 100 000 mots son historique, ses fondations ‘légales’, qu’en fait la charia est la loi islamique, appliquée et interprétée différemment selon les pays (et puis aussi il y a la charia commençant à servir de lois familiales avec ses tribunaux dans les pays européens.). Mais pas un mot sur les interdits ni sur les châtiments-la tuerie, les crimes, car c’est une religion et que les hommes attendent d’être débarrassés d’eux-mêmes en toute sérénité. Ces adorateurs d’eux-mêmes on là leur monothéisme trouvé.

 

 

 

profit de la chaleur, c si delicieu. cieux. qd l air et nous se melanger peu.

Peut, peu.

Eux.

 

Defaitiste, tant pis. Rien de pire que la vanite, si la fausse humilite, et le mets des mensonges sondés.

L

 

 

 

tu savais que kafka etait assureur. sure, sussure

 

 

et oui, cocteau, coteau, couteau. Œdipe, et fatalite.

 

 

 

ca y est j ai achete une radio internet, des annees a ecouter la radio, j ai en fait l impression d avoir ete lobotimise. optimiser.

peut ecouter france inter, et culture, tu sais c est plus intellectuelle que la bbc, vraiment plus. longues conferences, ou expose, bbc 20, 30 min maxi, avec bcp d emissions a parler des gens, de leur vies au lieu des problemes ou solutions.

 

 

 

aujour’hui, france culture 22:00. Mersault, la realite absurde d etre juge par les juris du meutre qu’il a commis parses, par ses, non parsemez, ou par serait, non-pleurs durant l’enterement de sa mere. sujet aussi de, je nome: ‘maman’ ou ‘mere’.

on parle d’un cheminement philosophique dans lequel la mere ne meurt pas. mere, more, mort, tout de même.

 

 

Des jeunés.

Jeune.

Dej.

Déjà.

Tonne.

 

Jamais.

Jadis.

 

 

 

Mot,

Monde.

Mon ?

M’ont.

2

 

 

 

je trouve ca interessant, moi comme toi, j ai evolue en dehors du guettho. mais. quand on se retrouve tout seul, epe pendant des annes, ausi ke lkl el le guettho evite parce qu il est trop loin, trop cher, trop petit, et puis meme la bas je suis trop tebe.

Elle n’est par pour toi cee celle-ci.

 

 

 

tu sais je pense que je parviendrais a gagner qch sur moi le jour ou je supporterai le silence. je suis lente trop preoccupe par moi meme, et prends enormement de pause. de plus quand energie est recupere je le passe en divertissement. je ne suis pas serieuse. mais apres je me prends au serieux et aussi en serietout se met a deconner.

serrure.

Elles sont toutes deux, chutes.

 

 

 

oui, j ai entendu, trebes, je les ai contacter a propos des marriages d enfants, une de leurs elus, seuls reponses que j ai de toutes manieres, m a repondu que ce genre de message etait le responsable de plus de haine entre les peuples, elle elle le sait bien l athee.

oui, les collines qu est ce que la chine me manque parfois. tropicale tempete, pluie mouvante, flottante, par cinglee, pratiquement compacte. la foret du haut des collines, de sa grandeur toute environnante. j ai tant aime la chine.

tu sais le rechauffement va causer la perte et l exinction de beaucoup de mammiferees, etc.

 

avec les reservoirs partout pres de Heathrow. et les zones d innondations regulieres, pres du thames.

 

 

 

mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm

Une vingtaine de deces, beaucoup ds un village ou il y a eu un attentat terroriste ds un petit supermarche il y a quelques mois.

 

j ai cru comprendre qu une famille a perdu des membres ds chacun des evenements

 

a priori c est le choc entre un air froid venu du portugal et l air chaud emanant de la mediterranee, toujours plus chaud, avec le rechauffement:

 

tout  est tombe au

meme endroit bloque par les collines

 

un tout petit village ou c est  concentre ttes les  problematiques de l epoque

 

Au royaume uni, il y a peut etre beaucoup de maisons sous le niveau de la mer

Mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm

 

 

 

Thomas becket.

je crois, tres connu, juste vue un quizz, ancien allie du roi recherchant a etendre sa propre puissance. puis apres a dit ok, je ne suis plus l allie du roi mais suis archeveque et veux la puissance pour l eglise. des chevaliers sont venus l assassiner au couteau???

A l epee.

 

 

 

Un jeu de dupes,

Un jeu de putes.

 

Peu du.

 

 

 

cain chains.

Chaos.

‘Cahin, cahan’.

 

 

 

Procès Séréna : la mère condamnée à 2 ans de prison ferme

 

Rosa-Maria Da Cruz, la mère de l’enfant de 2 ans retrouvée dans le coffre d’une voiture en 2013, a été reconnue coupable de violences suivies de mutilation ou infirmité permanente sur mineur de 15 ans par ascendant. Elle est condamnée à 5 ans de prison, dont trois ans de sursis.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers/bebe-coffre?r=nouvelle-aquitaine

 

C : la preuve dans ce pays un parent possede un enfant, un object, son object qu il est suppose ne pas tuer, rien de plus.

Mutiler son bebe pour la vie, après 2 ans de simagrées ??

Les femmes aux pouvoirs, c’est ainsi qu’elles sont censées se présenter.

 

 

 

you mean ‘je pense donc je….

 

se pen

dans

 

 

 

esclavage,

escalader.

Exclure.

 

 

 

non pas de grog, je ne veux plus toucher a l alcool sous aucune de ses formes, je sais que ce serait pour ‘retomber’ dans l accoutumée au mieux.

 

 

 

je t avais dit que j avais ete super malade apres avoir mange de l ail cru alors que normallement j adore ca. j en remange l autre jour un peu, je commence a me sentir un peu flou donc je verifie. il est super dangereux d essayer de conserver de l ail coupe surtout baignee dans l huile surtout hors du frigo, mais en fait meme dedans! peut se transformer en poison mortel! et qui etait au courant? sh evidemment, qui coupe, couple l ail pour plusieurs jours evidemment.

 

coupe, couple

 

 

et qui c est qui mange, ben c est bibi.

Sait.

Tais.

 

Est-est-ce ?

Etaie.

D

D

D

 

 

mais nous aussi on en a presque toujours mais faut pas le couper pour plusieurs repas. je vais m en occuper dorenavant. delicieux, ail, avec gimgembre en très petit morceaux, pratiquement purée, avec huile et eau, poivre, sel herbes et moutarde, tout melanger.

peut rajouter persil et oignon, c est delicieux.

 

 

 

Vivant » renverrait au vivant animal, végétal et humain.

And this examplifying what all that human being hb, did not understand nor respect. Thinking there were only what they can eat that were alive, and eating them all the same.

 

 

 

i was going back to this link because i know she traveled as a translator so i think i can remembered she might have encountered medical translation very grave problems. but in fact coming back to my link, france culture does not broadcast or podcast the program any longer. very distressing when radio- here not the case- reveal information or ideas or other that cannot be found after a time.

the link disappeared, should not have given it, it is from the radio itself. so links maybe even more volatile, though i wondering now whether this radio does have archives forever.

 

 

Partout.

Part wo two.

 

 

 

non permets moi de te dire, que tu as etais, et est ma maman, et que j’en suis tres contente et tres fiere, et que tu es a l origine de beaucoup des qualites que j’ai, je pense que tu as su nourir ou meme faire naitre ou eclore bienveillance et spiritualite, le respect de l au dela en moi, ce que j’ai de plus cher. et mami etait la pour le soin.

 

tu sais mon truc pour ne plus penser a vide, parce que meme quand on s occupe intellectuellement, des fois le corps, l esprit meme l ame vient a se sentir a vide. avide?       c est bien sur d avoir la chance d avoir quelqu un dans ma vie, mais mon truc, c est mes chiennes et puis maintenant gabi. c est magique un oiseau, je l ai mise derriere moi et les ordi pour avoir un max de companie, devant la fenetre aussi. elle est tres tres gentille et super expressive, bien plus que nos especes je crois, un pigeon ou une colombe sont gregaires, sedentaires et ne mordent pas.

 

Avide.

 

 

 

sh va chez sa mere avec lyra, donc ca va! les inspections ont changes de bureaux, deviennent draconniennes trois fois plus chere je paie 400 euros pour me faire inspecter 2 fois par ans, alors qu ils avaient annoncer une reduction du prix de la licence l annnee derniere. comment? cachee. il faut payer maintenant un droit de demande de licence….

ca va. je promene un chien stafford bull terrier de 8 ans, 3 fois par semaine pour le moment tres gentil, maitresse tres tres sympa egalement. universite recommence. je voulais faire une tradution, je crois que je fais faire une dissertation sur la censure, ou la ressemblance ou l invraisemblance, autrement.

il fait chaud aujourd’hui, premier jours ainsi. je vais donner un bain a mon pigeon,  ses plumes sont graisseuses depuis que j ai du la soigner pour ses plaies.

 

 

 

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

 

Le 14 octobre prochain, nous sommes convoqués devant le tribunal correctionnel de Pau pour atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui suite à la diffusion des conditions de mise à mort des animaux dans l’abattoir de Mauléon-Licharre en 2016.

 

Pourquoi cette assignation en justice ? Nous n’avons pourtant jamais montré le visage des ouvriers ni diffusé leur nom : nous avons au contraire souligné que ces hommes, s’ils devaient répondre de certains de leurs actes devant la justice, ne devaient pas servir de boucs émissaires. Se décharger sur eux de notre responsabilité collective à faire tuer sans pitié 3 millions d’animaux chaque jour aurait d’ailleurs été trop facile !

 

Nous risquons un an d’emprisonnement et 45 000 € d’amende pour avoir dévoilé ce qui se déroule dans ces boîtes noires que sont les abattoirs…

Dans ce petit abattoir certifié bio, les agneaux étaient frappés, voire jetés pour les amener au poste d’abattage, ils étaient parfois assommés à coups de crochet métallique. Leur « étourdissement », ainsi que celui des veaux, était souvent défaillant, ce qui les amenait à reprendre conscience une fois suspendus par une patte, la gorge sectionnée. Surtout, on pouvait voir la terreur de ces animaux et les souffrances aigües engendrées par leur abattage. Aurions-nous dû garder ces images cachées, et laisser cette situation perdurer ?

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

https://www.l214.com/lettres-infos/2019/06/03-appel-proces-mauleon-a/

 

 

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

C : CECI N’EST PAS UNE DEMOCRATIE, ET ON SERAIT BIEN EN MAL DE LUI TROUVER UN NOM.

 

VIE PRIVEE, MAIS ON CROIRAIT REVER.

LES ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????JUGES ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????

 

 

 

GOUJOE, GOUJEONS. HUGES ?

 

 

L

L

 

 

 

oui, bientot il l opereront… c est affreux ce qu il se passe. ils vont operer tous les homos, qui ne desirent qu une chose, pouvoir avoir un partner du meme sexe. et ces fashos vont leur faire pareil torture, en disant a des enfants qu ils leur faut avoir celui du sexe oppose. c est de la fashisterie cette histoire de transexuel. je ne dis pas qu ils n existe pas de transexuel, mais ce que ces heteros attardes sont en train d organiser ce n est pas cela. et en meme temps que de torturer des enfants pour la vie, c est enterrer les homos qui ne l auraient pas fait. tout le monde va se cacher ou se mutiler.

L

L

L

L

 

 

 

mais tu sais un truc si noir et blanc ca me ferait douter. je pense qu on pensait a un truc sentimental pour se demander si l absence de sentiment n est en fait pas la clef. ne pas savoir??? ne pas douter? ne pas se demander???

C est pas une histoire, ca une caricature passible, pas credible.

 

 

 

oui, bientot il l opereront… c est affreux ce qu il se passe. ils vont operer tous les homos, qui ne desirent qu une chose, pouvoir avoir un partner du meme sexe. et ces fashos vont leur faire pareil torture, en disant a des enfants qu ils leur faut avoir celui du sexe oppose. c est de la fashisterie cette histoire de transexuel. je ne dis pas qu ils n existe pas de transexuel, mais ce que ces heteros attardes sont en train d organiser ce n est pas cela. et en meme temps que de torturer des enfants pour la vie, c est enterrer les homos qui ne l auraient pas fait. tout le monde va se cacher ou se mutiler.

L

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oui, bientot il l opereront… c est affreux ce qu il se passe. ils vont operer tous les homos, qui ne desirent qu une chose, pouvoir avoir un partner du meme sexe. et ces fashos vont leur faire pareil torture, en disant a des enfants qu ils leur faut avoir celui du sexe oppose. c est de la fashisterie cette histoire de transexuel. je ne dis pas qu ils n existe pas de transexuel, mais ce que ces heteros attardes sont en train d organiser ce n est pas cela. et en meme temps que de torturer des enfants pour la vie, c est enterrer les homos qui ne l auraient pas fait. tout le monde va se cacher ou se mutiler.

L

L

L

L’Hexagone

https://www.youtube.com/watch?v=2RQHsn2ilfA

 

 

 

Gilets jaunes: un homme passé à tabac par des CRS, le parquet ouvre une enquête

https://www.lesinrocks.com/2018/12/04/actualite/societe/gilets-jaunes-un-homme-passe-tabac-par-des-crs-le-parquet-ouvre-une-enquete/

 

pic.twitter.com/BDL9OgIVtx

pic.twitter.com/BDL9OgIVtx

 

 

 

La mère du «bébé dans le coffre» témoigne

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/03/01016-20131103ARTFIG00196-la-mere-du-bebe-dans-le-coffre-temoigne.php

 

 

Elle est « cassée à tout jamais » : au procès de sa mère, « l’invisible » Séréna est au cœur des débats

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/bebe-dans-le-coffre/elle-est-cassee-a-tout-jamais-au-proces-de-sa-mere-l-invisible-serena-est-au-coeur-des-debats_3036225.html

 

 

« C’est très dur d’être confrontée à la réalité » : au premier jour de son procès, la mère de Séréna face au mal fait à sa fille

La cour d’assises de la Corrèze a commencé, lundi, à sonder la personnalité de l’accusée, Rosa-Maria Da Cruz, qui s’est exprimée pour la première fois à la barre. Elle cachait l’existence de son enfant, Séréna, 2 ans, qui a été découverte en 2013 dans le coffre d’une voiture, dans un état de santé très précaire.

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/bebe-dans-le-coffre/cest-tres-dur-detre-confrontee-a-la-realite-au-premier-jour-de-son-proces-la-mere-de-serena-face-au-mal-fait-a-sa-fille_3030849.html

 

 

« Bébé du coffre » : un second procès pour la mère de Séréna après l’appel du parquet

https://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers/bebe-coffre?r=nouvelle-aquitaine

 

 

Procès Séréna : la mère condamnée à 2 ans de prison ferme

 

Rosa-Maria Da Cruz, la mère de l’enfant de 2 ans retrouvée dans le coffre d’une voiture en 2013, a été reconnue coupable de violences suivies de mutilation ou infirmité permanente sur mineur de 15 ans par ascendant. Elle est condamnée à 5 ans de prison, dont trois ans de sursis.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers/bebe-coffre?r=nouvelle-aquitaine

 

C : la preuve dans ce pays un parent possede un enfant, un object, son object qu il est suppose ne pas tuer, rien de plus.

Mutiler son bebe pour la vie, après 2 ans de simagrées ??

Les femmes aux pouvoirs, c’est ainsi qu’elles sont censées se présenter.

 

 

 

https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-4687666-delibere-prud-hommes-sur-realiste-que-faire

Moi j’ai attaqué un de mes anciens employeurs (pizza pai) mais rien à voir avec vous.
Je voulais juste vous dire que quand je suis passée devant les prud’hommes j’ai eu aussi un délibéré hallucinant et ils me remettaient tout sur le dos. Mon avocate aussi été très étonnée. Nous avons décidé de faire appel et là j’ai tout gagné et même plus que ce que j’avais demandé car à la cour d’appel ils se basent plus sur les lois. Ce sont des juges tandis qu’au prud’hommes ce sont justes des reprèsentants une partie salariés et une partie patrons mais je me demande si ils ne sont pas tous pour les patrons…
Dans tous les cas si vous êtes sure de la véracité des faits et si vous avez toutes les piéces et les lois derrière vous pour le prouver, moi je pense que vous devriez faire appel et je pense que votre avocat vous dira la même chose.
Dans tous les cas je vous souhaite bon courage car c’est pas facile d’entendre la partie adverse vous détruire comme ils savent si bien le faire…

 

https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-4687666-delibere-prud-hommes-sur-realiste-que-faire

 

 

 

https://theconversation.com/a-quand-lanimal-reconnu-comme-une-personne-juridique-en-france-101863

 

Some dates on the recognition of extended rights bestowed on non-human persons :

A été reconnue « personne non humaine » en 2014 par un tribunal argentin, En France, l’article 515-14 du code civil, créé par la loi n°2015-177 du 16 février 2015, La Déclaration de Cambridge sur la conscience, proclamée le 7 juillet 2012 ( Caroline Regad)

En Inde, depuis 2013, le ministère de l’Environnement et des Forêts invite à reconnaître ainsi les dauphins. En Argentine, en 2014, une pareille qualification a été retenue pour une femelle orang-outan, Sandra.

Mais la décision fut encore plus forte en 2016, car dotée d’une véritable portée contraignante, au sujet de la femelle chimpanzé Cécilia, déclarée « sujet de droit non humain ». L’affaire de l’ours Chucho en 2017 a même permis au juge de la Cour suprême de Colombie d’affirmer que tous les animaux devaient être appréhendés de la sorte par le droit.

https://theconversation.com/a-quand-lanimal-reconnu-comme-une-personne-juridique-en-france-101863

 

 

 

a été reconnue « personne non humaine » en 2014 par un tribunal argentin, En France, l’article 515-14 du code civil, créé par la loi n°2015-177 du 16 février 2015, dispose :, La Déclaration de Cambridge sur la conscience, proclamée le 7 juillet 2012,       ( Caroline Regad)

En Inde, depuis 2013, le ministère de l’Environnement et des Forêts invite à reconnaître ainsi les dauphins. En Argentine, en 2014, une pareille qualification a été retenue pour une femelle orang-outan, Sandra.

Mais la décision fut encore plus forte en 2016, car dotée d’une véritable portée contraignante, au sujet de la femelle chimpanzé Cécilia, déclarée « sujet de droit non humain ». L’affaire de l’ours Chucho en 2017 a même permis au juge de la Cour suprême de Colombie d’affirmer que tous les animaux devaient être appréhendés de la sorte par le droit.

Caroline Regad

 

 

 

« Goodbye Emmanuelle » Theme (Translated Lyrics) Serge Gainsbourg

https://www.youtube.com/watch?v=yrzX-4qr_Zw

 

COMMENT VIRER SES PUTES ?

 

INFO LE FIGARO – Emmanuel Macron avait annoncé mardi soir que la reconstruction de la cathédrale de Paris devrait être achevée «d’ici cinq années». Il a convié les principaux acteurs du chantier du siècle mercredi après-midi pour rendre le défi possible.

http://www.lefigaro.fr/culture/notre-dame-une-reunion-a-l-elysee-cet-apres-midi-pour-accelerer-le-chantier-20190417/

 

C : en 5 ans, simplement impossible. Tourner en telle derision un tel batiment detruit par un de ses pseudo elegant enclin en clan. Mais remettre ses equipes sur le coup. Ca si. Reussir a mettre le feu a notre dame devrait se terminer avec la chaine de commande en prison. On ne neglige pas un batiment, une merveille telle qu’elle sans etre incrimine. La mafia du batiment.

 

you wanted a french and ‘fresh’ frite joke? emmanuel, emmanuel, emmanuel aime les manuels, an, an.

 

 

 

se trouve qu on retourne poussieres. si ere.

 

 

Les Damiénistes, telles que les filles de l’Ave-Maria, les Capucines, les Collectes, pratiquaient la règle dans toute son austérité. Les Damiénistes ne possédaient aucune rente, et vivaient d’aumônes; elles marchaient nu-pieds, sans socques ni sandales, excepté dans la cuisine et le jardin; elles ne mangeaient jamais de viande ni de bouillon gras, même dans les plus fortes maladies; elles jeûnaient toute l’année, à l’exception des dimanches et du jour de Noël; ces religieuses n’avaient point de cellules, point de sœurs converses, et faisaient elles-mêmes tous les travaux de la maison, enfin elles couchaient sur la dure, se levaient à minuit pour aller au chœur, où, jamais elles ne s’asseyaient, et où elles restaient jusqu’à trois heures du matin1.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_des_Pauvres_Dames

 

 

 

La société lorraine qui restaurait la flèche de Notre-Dame répond aux accusations: “Beaucoup parlent sans savoir”

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/notre-dame-paris-societe-mosellane-bras-qui-restaurait-fleche-s-exprime-face-presse-1656892.html

 

C : confier ca a un bebe, des siecles de maitres d’œuvre au maifa, maifa qui justement sont des brigands de n’etre nullement qualifie et au vrai bossant, a un paysan mecreant peu luné ramassant tout les salaires comme tous ses freres d argent, meme celui de la merde qu il sait faire, et des gens qu ils peuvent tuer, ca certainement, menant a l abattoir, au lieu d un orfevrier a une seule entreprise sans meme un gardien, sans rien en fait. Et personne ne sera inquiété, ainsi cette culture d incendiaire ne prendra jamais fin, qu’en se dissolvant.

 

« Jamais assez maigre » : une ex-mannequin raconte sa descente aux enfers – Le Magazine de la santé

https://www.youtube.com/watch?v=Y9RhsBPsYYY

 

 

c’est, c’est…

cessez

 

 

 

tiens-donc les gitans.

Pour vous tenir au courant, la nouvelle inquisiton pourrait venir de l islam. A rechercher mais je suis tombee sur des sites islamiques interdisant la sorcellerie.

 

 

 

ok, hercules.  mais en fait ils l ont cache ou quoi hardy, je ne connaissais pas. ca parle a l ame, ca essaye en tout cas, ce qui est sans doute, ce qu on peut faire de mieux.

 

attends. si tu passes du bon temps, a lire, surtout ne bouge pas. c est ton corps qui te demandera une activation plus physique, pour l’instant il veut bouquiner…jusqu’a quand…peu importe le temps.

le vent nous portera.

 

 

 

Je suis purement degoutee pour notre dame. tu sais je pense que pour moi elle etait Esmeralda.

suis degoutee pour notre dame. pense a esmeralda, a l amour, a la piete, a moi, puis a toi puisque tu la chante. de faire de l imcompetence 1 compete va tt tuer

 

 

 

Je suis le premier à la ligne d’arrivée mais je ne suis pas le vainqueur. Qui suis-je ?

hi Sarah, you know the pun between etre and suivre, i found people used in for charlie hebdo. puns are certainly not humorous all the time.

 

 

 

Le crypto-fascisme est le fait pour un group(uscule) d’adhérer au fascisme de façon détournée, en revendiquant les idées d’un autre groupe politique.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Crypto-fascisme

 

 

 

Frère lai

Sauter à la navigation Sauter à la recherche

Dans l’usage courant, les frères lais (appelés aussi convers pour les moines et sœurs laies ou converses pour les moniales) sont les membres des ordres religieux catholiques chargés principalement des travaux manuels et des affaires séculières d’un monastère. Les frères lais ont été connus, en divers lieux et à différentes époques, sous les noms de fratres conversi, laici barbati, illiterati ou encore idiotæ. Bien que membres de leurs ordres respectifs, ils forment une catégorie séparée des moines du chœur, qui se consacrent principalement à l’Opus Dei — « l’œuvre de Dieu » — et à l’étude.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A8re_lai

 

C.ET: frere de lait.

 

 

 

Colette de Corbie

 

Les sœurs font abstinence perpétuelle de viande même à Noël.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Colette_de_Corbie

 

 

 

Mohamed Bajrafil – Les mensonges sur l’âge de ‘Aîsha

https://www.youtube.com/watch?v=dp83SaKcrNk

C : tiens-donc les gitans.

Pour vous tenir au courant, la nouvelle inquisiton pourrait venir de l islam. A rechercher mais je suis tombee sur des sites islamiques interdisant la sorcellerie.

 

 

pascale bussières desobeissance

milene farmer

 

 

Le micocoulier et ses fruits méconnus

https://www.youtube.com/watch?v=gEsRnVMwp-A

 

 

 

Syrie : Lafarge mis en examen notamment pour «complicité de crimes contre l’humanité»

L’entreprise Lafarge SA a été mise en examen jeudi en tant que personne morale pour financement d’une entreprise terroriste et complicité de crimes contre l’humanité dans le dossier de sa cimenterie syrienne, a-t-on appris de source judiciaire.

Les juges d’instruction ont également retenu contre la holding les chefs de violation d’un embargo et de mise en danger de la vie d’autrui.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2018/06/28/97002-20180628FILWWW00149-lafarge-mis-en-examen-pour-financement-d-une-entreprise-terroriste-et-complicite-de-crimes-contre-l-humanite.php

 

 

 

Sans débourka ni trompettes, le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=j_GOqImGV_s

 

 

 

Schopenhauer (2/5) : Le pessimisme

https://www.youtube.com/watch?v=PDK5n4r6k4I

 

 

 

Céline Dion – Je sais pas (VIDEO)

https://www.youtube.com/watch?v=zCsuKp9ewLY&index=27&list=RD85lKsSCZm4k

 

 

 

Kyo – Dernière danse (Clip officiel)

https://www.youtube.com/watch?v=aU_TQcyGkvY&list=RD85lKsSCZm4k&index=27

 

 

 

Léo Ferré – Avec le temps (enregistrement TRS)

https://www.youtube.com/watch?v=ZH7dG0qyzyg&index=27&list=RD85lKsSCZm4k

 

 

 

. Lilith . | Dark Magic Music

https://www.youtube.com/watch?v=b7LC86PmZPs

C.ET: i was expecting violence from lilith…but no and as of course, it’s haunting, incessantly, inlassablement, hunting, serial, surreal.

 

 

 

Dark Magic Music | The Craft

https://www.youtube.com/watch?v=tkEcRKd_Tak

 

 

 

Attali : « Les élus n’ont plus de pouvoir et voici votre avenir » – Effrayant !

 

 

 

 

La vérité sur LES ‘anonymous’, je les ai contactés : Mohammed, the prophet of Islam, ‘married’ a 6-year-old. ils n’ont JAMAIS REAGIT.

DONC OUI ON VOUS MENT. Mohammed, Le prophète de la religion Islam, s’était ‘marié’ à une enfant de 9 ans.

https://cetviesenfrancais.wordpress.com

 

 

 

Charles Aznavour – Comme ils disent | Dièse | The Voice France 2013 | Prime 1

https://www.youtube.com/watch?v=QX3-DUEZ6Ac

 

BIEN FAIT AVEC PANACHE.

 

moi j adore certaines interpretation de fabian, malade, je t’aime, adagio. elle est une de mes pretresses de l amour lapide. de l amour tout court. mais la je crois que lara ne s imagine pas ce que d etre etre homo. i.e le victime d heterosexiste. a tous etages.

POUR MOI L INTERPRETATION MANQUE DE PANACHE ET DE PROFONDEUR. POUR CHANTER LE PLUS GRAND DESESPOIR QU IL Y AIT AVANT ESCLAVAGE SUR PAPIER. http://www.inthenameofhumanrights.com

L

 

 

homo sapiens sapiens without wisdom.  english has lost its latine…you see finally homo is more generic for some.  hetero just the other side, not an inch or anything else more of it all. www.inthenameofhumanrights.com

 

 

Cette vies.

Etc, et ce, est-ce.

Essen.

 

(Essonne, et sonne, la musique, la madonne. La derniere claironne, derriere, guerriere, saisoniere, enfer planifier plantifere. Lent, l’an. Zero a sonné.

La nature a donné.

Forme féminine de Raphaël et venant de l’hébreu rapha- qui veut dire guérir et -el qui veut dire Dieu

et -el qui veut dire Dieu

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rapha%C3%ABlle

 

 

 

Je suis choquée aujourd’hui d’apprendre qu’ils ont tué Cabu. tu avais dû me le dire mais puisque dans les infos internationales on ne parle que des directeurs. jamais je n’aurais pense ca. certainement venu du fait que pour les enfants des années 80 regardant la UNE, il était le dessinateur attribue. puis père de mano solo. je revois les réactions sur les attentats, les choses aberrantes qui on été dit par Bendit,  beaucoup d’hommes connus critiquant Charlie Hebdo et se faisant ralliant inimité. La France, (la farce) les aura donc tue.

 

 

 

moi je me fatigue de rien, prendre note faire attention et se concentrer sur devoir pas qu au dernier moment.

 

 

 

charlie hebdo : la liste des proces qui lui ont ete fait.

 

 

 

je me suis achete un bracelet de cuivre, plusieurs en fait, pour remplacer celui de       qu on m avait voler a londres, par ma faute, il y a 10 ans. je sens qu il est quelque part, c est troublant de penser a un object, de plus perdu, avec cette intensite. le cuivre me fait du bien, il m apaise des que je le mets au poignet. la aujourd’hui c est vraiment tres palpable et durable.

 

 

Avalon Jazz Band – Que reste-t-il de nos amours? (Charles Trenet)

https://www.youtube.com/watch?v=OddALnXIhkE

 

 

 

« Minor Swing » Romane – Stochelo Rosenberg – Richard Galliano – Christophe Cravéro

https://www.youtube.com/watch?v=f5UGmlSWQYs&start_radio=1&list=RDf5UGmlSWQYs

 

 

 

Francisco Tárrega – Capricho árabe

https://www.youtube.com/watch?v=neibvJHm55Y&list=RDFrqWYqye2sg&index=17

 

 

 

Le bouquiniste Mendel de Stefan Zweig

https://www.youtube.com/watch?v=a27xMK5tHKs

 

C.ET: un testament sur la concentration. Inhabituelle.

https://cetviesenfrancais.wordpress.com

 

 

 

Dalida. La chanson « Partir ou mourir »

https://www.youtube.com/watch?v=KCzLfyut4sU

 

 

 

LUCAS. DALIDA.

https://www.youtube.com/watch?v=8c2n6HxfAVA

 

 

 

Women with ovarian cancer symptoms are buying yoghurts instead of getting help

 

Women with ovarian cancer symptoms are buying yoghurts instead of gettin…

Ellen Scott

Don’t ignore persistent bloating.

 

 

 

ca dit, que les femmes ayant le ventre gonfle on tendance a acheter des yaourts alors qu’elles ont un cancer des ovaires.

 

 

 

Les Pensées de Pascal (2/5) : L’imagination

https://www.youtube.com/watch?v=wBUPjE6dDFI&feature=em-subs_digest

 

 

C : faudrait-il alors attendre newton et la gravite pour trouver d’autres reasons au vertige que le néant du moi.       L’ abysse du moins.

La chute, l’abstinence ou l’absentia.

 

 

 

Alfred De MUSSET – Les Nuits – Livre audio

https://www.youtube.com/watch?v=YctJdquCyIY

 

 

 

Dalida – À ma manière

https://www.youtube.com/watch?v=auKPfCzE9aE

 

 

 

Laurent Terzieff « le bateau Ivre » Rimbaud

https://www.youtube.com/watch?v=_TwHq8XCX2s

 

 

 

Jean Racine– Phèdre – Théâtre – Audio

https://www.youtube.com/watch?v=M2Iffn9VQuw

 

 

 

biograhie de Jean Racine

https://www.youtube.com/watch?v=mIY2R-gO6wY

 

 

 

Léo Ferré. Le Manque

https://www.youtube.com/watch?v=6rUiniY_-QY

 

 

 

Dalida – Une Vie d’Homme / Жизнь человека

https://www.youtube.com/watch?v=vx3oKYffbfk

 

 

 

Dalida – Pour Te Dire Je T’aime

https://www.youtube.com/watch?v=6JACyBVh5JA

 

C : comme avant, mais a présent, l’amour lui même, en tout ete, sans (elle) s’en, est allée. elaboree.

 

 

 

Léo Ferré – La mélancolie

https://www.youtube.com/watch?v=VB2b91-_O2k

 

 

 

Dalida – Nostalgie

 

https://www.youtube.com/watch?v=CSlnfG08U1Q

 

 

 

Dalida – Gigi L`Amoroso 1975

https://www.youtube.com/watch?v=9X-eqDmJ8CQ

 

 

 

Dalida Les Gitans

https://www.youtube.com/watch?v=vGT1SM6E0Z0

 

 

 

Johnny hallyday – Diego – live

https://www.youtube.com/watch?v=4BSCYfjwk4w

 

C; c est pas bien ce qu’il s’est passe a sa mort, enfin je crois, donc je n’enlèverai pas, mais je vais arreter de rajouter par contre. en renie pas ses enfants. c est abruti de faire ca. surtout quand on a eu la chance comme ca.

Comme j ai arrete Marley, rasta et ses/leurs delirs polygamiques.

On le  sait parfaitement, il n’est que trop faille facile de safari, de s’’ affilier.

 

Raggasonic – faut pas me prendre pour un ane

https://www.youtube.com/watch?v=nQAdYNB8nXU

 

 

 

 

Raggasonic Feat. Suprême NTM – Aiguisé Comme Une Lame (Maxi Version)

https://www.youtube.com/watch?v=V1IrljGXT3Y

 

 

 

PAS DE COKE, PAS DE CRACK, PAS D’HEROINE.

‘JE NE PRENDRAI PAS LA POUSSIERE’.

Raggasonic

 

 

Friedrich HÖLDERLIN – Face à la Folie : Quels moyens de défense ? (France Cuture, 1970)

 

https://www.youtube.com/watch?v=hUJOfLeSnIg

 

 

 

Dalida – Soleil, soleil (Italian/Spanish/French version)

https://www.youtube.com/watch?v=0sDDQ0OBQCQ

 

 

 

Dalida. La chanson « Partir ou mourir »

https://www.youtube.com/watch?v=KCzLfyut4sU

 

 

 

Philippe LEOTARD Le Bateau Ivre

https://www.youtube.com/watch?v=05xHyZAEf_0

 

 

 

Léo Ferré. Le Manque

https://www.youtube.com/watch?v=6rUiniY_-QY

 

 

 

Dalida – Les Hommes De Ma Vie

 

https://www.youtube.com/watch?v=dMPF9drf9uU

 

 

 

LUCAS. DALIDA

https://www.youtube.com/watch?v=8c2n6HxfAVA

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=R8VRm30OWHg

Une chatte qui adopte un bébé écureuil

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=FoeTLHPO2sQ

 

Incroyable ! Une chatte se prend d’amour pour des petits canetons !

 

mais sauvage c est quoi maintenant, c est des animaux traques sans territoires, temoins forces de la betise, de la haine, et de la salete humaine.

 

 

 

Alfred de MUSSET – Causerie 2/3 : Un Musset secret (Chaîne Nationale, 1959)

https://www.youtube.com/watch?v=Oh1SMI72vjo

 

C : ai ecout seri sur musset, le charmeur et musset le repli. les moi et les nuit. ou?

 

 

 

Jean Racine– Phèdre – Théâtre – Audio

https://www.youtube.com/watch?v=M2Iffn9VQuw

French on computer 2 11 2018

 

 

 

 

 

 

 

est privilegie le marriage homo? go fuck yourself, disappointingly fasho. the vote paysans paye pour massacrer leurs betes, c est ca le vote autorise. et il commence sa phrase par les pays des libertes. la liberte de torturer les autres, chez les francais. C est ca qu ils veulent, en disant démocratie.

 

 

 

vous devriez faire vos questions aux ralement.

X

 

 

 

Aux cathos, vous faites de messes pour les rois, vous? trop marrant, vous êtes bien comme les protestants alors? allez, ciao bonsoir.

 

Pathos.

F

 

 

ce qui oublie de vous dire le pere, c est que les monasteres ramassaient tout ce qui pouvait comme argent. tous les gens dependaient econonomiquement du clerge, sans son consentement tu crevais. comme l islam theologique de maintenant. tous des pedos, bien contents.

Pour eux-memes et pour le vatican.

 

 

 

On peut plus contacter les gens, meme politiques alors

mais alors qu’est-ce qu’ on fait contre la censure et les collabos?

 

 

L’eglise contre les droits de l’ homme

vous êtes un tas d hypocrites, predentat de rendre homage a la vie, en bouffant de l agneau et en vous prenant pour les dieux, ou le fils. le ton de cet emission est affligeant. se faire recatholiser, comme vous n attendez que de vous agenouiller devant l islam pour vous y aider. commencez l emission par vos menaces de rendre les droits de l homme absents, ou juste de les crucifier  et apres cela faire un expose de gens gentilés, par contre etait neant moins edifiant. www.inthenameofhumanrights.com

 

et puis professer gentiles, pour qu’ on vous la rende ainsi, en anglais on dirait ‘typical’.

Bafoués.

 

les droits de l’homme et les droits humanitaires ne sont absolument pas la meme chose, vous racontez n importe quoi. quant, camp a la croix rouge qui protege tous les gens, et ravitaille les meurtriers…

 

 

 

de denier, renier, le droit animal, prouve bien que vous etes un moins que rien. si seulement la polique etait un fait humain! ou aurions nous etre tue par les betes, pour qu elles empechent l homme de les trahir comme cela! vous n’ aidez pas les autres combats que vous pourriez servir en vous fashisant. quelqu un qui ne respecte pas la nature et l animal, ne respecte en fait rien, ou est quelqu un pourceau d epicure ou a la moral ou a l intellectualite affaisse. je ne citerai pas la sensibilite, ce serait, a vous, trop donner.

 

Dénier, denier.

B

 

 

 

vous savez, vous avez, pour quelqu’ un qui a fait sciences po, vous ne parlez intelligemment que pour les gens qui sont fin beurres ou bourres, ca veut dire que c’ est des petites gens que vous vous moquez. pas de surprise la.

B

 

 

 

vous savez, vous avez, pour quelqu’ un qui a fait sciences po, vous ne parlez intelligemment que pour les gens qui sont fin beurres ou bourres, ca veut dire que c’ est des petites gens que vous vous moquez. pas de surprise la.

 

et moi je min quiete enormement de l islam, comme l inquisition, laquelle ne se serait jamais arrete, sans la revolution. j ai un aieulle qui a finit sous les piques, et cela n aurait jamais du avoir lieu, mais vous qui felicitait les autres pouvoirs etrangers, comme le font les minoritaires dans leur propres pays, savait que la france etait seules faces aux autres royaumes et a l empire catholique. donc … croire a dieu est une offrande, un cadeau, mais deposseder les autres ou tout autres est une trahison, le demon des religions ou non.

 

 

 

Pour moi vous etes des charlatans et des bonimenteurs. tout, peut etre pas, mais la majorite chretienne dit que le fils est dieu, etc…et vous commenceriez par dire, non nous omm, sommes pas l equivalent de dieu! mais quand meme par rapport aux animaux on est quand meme mieux. donc le pecher originel qui nous a envoyer en enfer sur terre, renvvoyer du paradis ou l on ne tuait pas……..et bien sur ici on peut boufver bouffer de tout, de l agneau a la cocotte du samedi au dimanch matin de l’ an 01.

En enfer, bien que doux, en enfer et je ne le changerai point.

 

Vouloir trouver une autre veil vie??? si elle comprends ce qu’ on a fait avec les autres vies, cette autre vie, elle aura tout a fait tout interet a nous aneantir, bien jouer bande de sao saloperie. c est a dire que l human humain cherche quelque chose a exploiter encore et toujours. il le prouve mille fois, il est sand coeur, ni foi, ni conscience, et bientot sans ame. pas un humain veut trouver une autre vie, parce qu elle serait maltraite pas acceuiolli, et si ou s interesse a l humain et sait comment le dejouer. am amoins qu elle en ne soit superieur pratiquement au niveau tho theologique du mot, et du moi. elle devrait nous…exterminer. rien que pour ce qu on a torturer. se venger.

Et ne commencez pas ap a pretendre que ce serait alor une creature diabolique, elle le ferait en legitime dens defense, vous, mre me raser, parce qu il ne prendrait pas longtemps pour e cette creature de remarquer, que vous faites souffrir par appetit, par plaisir, et puis surtout par aisance.

 

A parole d’ initie : ecoutez des idiots attquant galile.. mais tu sais c est quand meme rassurant, la secte don’t vous etes la preuve. t es sur qu apres un discours comme ca, c est la dans-e des pedo

 

 

 

Objectif, subjective.

mais alors vous êtes dans le monde ent tant que sujet ou en tant qu’ objet?

 

 

 

Providence,

Rov.          More, rome.

 

 

 

avec leur voitures, come les fundamentalistes en mercedes, c est des menteurs c gens la.

 

 

 

DETERMINISME SOCIAL.

Reste un gros problem le la, ou las, hormis origines sociales ou classes. pour quoi vous a t on embaucher?? pour tuer du poulets. c est bien la france la terre agricole. cle de voute du sadisme. tuer l elevages, tus est. tout c est tu sais plein de pognons, venant d en faire que quoi? qu est ce que ce la est bon, tous a la meme inspiration.

TOUT va et tout se sait, et tous se tait.

 

 

 

Y A PAS DE SUPERMARCHE PAS CHER DANS MON PAUVRE QUARTIER.

y a pas parce que plus on est pauvre plus on doit payer. les perm supermarches et les autres, savent bien que les gens sans argent ne (te) peuvent pas bouger.

 

 

 

Mais pourquoi toujours dire que les fans ne veulent pas de chefs qui tuent les autres? c est pour vous auditeurs, tous adultes ou pour l’ audience d’ ecoute? prendre des connauds, souvent dangereux pour des chattes, c’ est verreux. note. is je participe a ce forum aussi regulierement, c est que je vous suis. donc que je vous …. aime. mais pas sur tout. ca c est pour ma moitie meme s il est est moyenne, et les meutres continueraient et puis c est out. tout. c est ainsi que l orientation ou la liberte d etre avec celle qu on …aime…n’ est autorise. parce que l on tous tue sans elle, alors que si j avais des enfatns avec elle? pas possible trop a deblayer. si j’ oser. joseph. rein reine, route de destier- destinee -rien, n y couperait. mais cela fait longtemps qu’ elle ne met…pas meme…parler. out-side-her.

 

 

 

Carole Bouquet et Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=Yd3jxnZGw9M

 

 

on dirait un pou dans ce coup, toi que si sexy habituellement. bouquet quand meme. tu sais celle dont l agent lui a fait perdre un role dans harry poter. un role permanent. remarque je sais pas comment elle s s en serait tirer avec le gros truc cannibale. elle a vire pardieu heureusement. svp ne faites pas se ce je ne peux pas avec des sexes symboles au moins montrer 1/100 de du desir que la femme lesbienne telle que moi s est vu pas palir, mais empaler c etait plus votre metier.

on dirait un pou dans ce coup, toi que si sexy habituellement. bouquet quand meme. tu sais celle dont l agent lui a fait perdre un role dans harry poter. un role permanent. remarque je sais pas comment elle s s en serait tirer avec le gros truc cannibale. elle a vire pardieu heureusement. svp ne faites pas se ce je ne peux pas avec des sexes symboles au moins montrer 1/100 de du desir que la femme lesbienne telle que moi s est vu pas palir, mais empaler c etait plus votre metier.

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REPLY

 

un peu des sentiment

 

 

la, c est l evanouissement. serieux sophia t es pas de la baise. t aurais pu nou offrir un peu d emotion la quand meme

 

 

la, c est l evanouissement. serieux sophia t es pas de la baise. t aurais pu nou offrir un peu d emotion la quand meme

alors j allais dire oui vous putain d heteros, blabla, bla, vous n y etes point, vous n y arrivais probablement expres pas. mais la je viens de revisioner. carole y va. :)))))

remake night is falling. pascale role sure et certain principal still. attend qu elle se detende la philo.

 

a mon avis votre marie sophia, de la facon dont bouquet pourrait fe ferre son affaire, votre mari il le sera ( en moins d 1 min) moins.

 

 

 

Les VRP d’Assad – Le Billet de Sophia Aram

 

Les VRP d’Assad – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=0dxNEtaJ68s&list=PL1E33536725F84588&index=94

 

 

 

Aude Lancelin : Indépendance des médias ?

https://www.youtube.com/watch?v=iBqDp_pSTxc

C : faites attention quand meme, 90 000 c est pas bcp, vous parlez a des gens qui le jour ou ils se font virere pensent a mettre fin a leur jours, parce que c est la rue qui les attends. et je parle aussi des gens qui devraient servir d exemplarite de courage et d integrite. etre aussi bien paye, ca fait pas de vous des gens pas vertueux, mais un peu pres.

 

tu as raison il sait jamais rien l interviewer, je dis, etrange

 

mais il n y a pas que le combat non plus parce qu une fois au firmament, elles sont pas belles mes dents?

 

 

 

Français candidats au djihad

 

https://www.youtube.com/watch?v=0jkROnkx6C8

:C je peux peut etre vous eclairer. le debut de votre reportage m a fait penser au traffic, oou quand on est pret a tout pour trouver du travail. c est dur a dire, mais c est aussi vrai.

 

 

 

Jihad : Les Recruteurs en France ┃ Documentaire 2016

https://www.youtube.com/watch?v=GtIDBTkthbo

C : et dire que mon language est mele a ca.

oh mon chou ca leur manque leur papa.

qu est ce qu’ elle a une voice douce cette salope!

il l explique tres bien, la france, cette farce, les soutient.

je ne veux pas m avancer mais au depart comme vous dites, il y a 20 ans deja? les femmes n étaienten pas la. les travailleurs premiere generations etait bien evide-ment! des hommmes.

 

c est cool quand meme les gens a la tele fabrique meme d avance les hitlers. un leader et les autres des pauvres moutons, les petits gentils comme on dit, sans parler verlan- levan elan. bien bien. des martirises il doit y en avoir, mais pas tant que ca. ou alors ne l est on pas? ce qu elle nous dit l avocate, il etait intelligent, energique marrant, navrant. c est brai bien brai il aurait pourri faire carrier avec ses qualites la. moi aussi d ailleurs! e oui, l on n est rien. cette terre est si fatigue de l humain, leas naimaux debraient pouvaoir nous hair suffisament, pour voir ce que l homm est , a fait, on a pu plus besoin de bouquin.

 

moi je trouve que vous avez raison, les sales cons a la fin qui deliberent. ils ont besoin d un pere, d ailleurs quoi de mieux que la religion pour perpetuer les marriages forces et jusqu a ce que mort s en suive, quand on est pas mal tombe! malin les diplomes!

 

Les colonies ! iannist.

 

 

 

BOKO HARAM, la secte terroriste

https://www.youtube.com/watch?v=mQbH3Bq9_-4

 

 

Ma vie de Punk à chien sur la route – Reportage Complet – FULL HD

https://www.youtube.com/watch?v=nr7Zk7Gl5cE

 

 

autres

reponse a un gars, , parlant lentement pendant plus d’ une heure, haranguant autres

toutes ces putains de religions a se rallier contre les juifs.

tu vois elle fait sa forte cette merde, mais en fait c est un putain de colabo qui est pour l islam.

 

quand je pense que c est gens infame se reclame d une figure religieuse qu’ il s empresserait d assassiner, ou de capitaliser. ceux qui pensent que jesus est more pour exu, eux. exodus. exumer.

Arrangent.

 

Hareng.

Harme,            harem.

 

 

 

on devrait interdire la sharia et ecoles islamiques. si vous etiez moins bigot, pas contre les homos, c est a dire une salope et un ecolo, je penserais qu il est peut etre bon de vous entendre. les pays ne sont pas une race..vous ne savez pas ca, c est a dire vous etes un petiniste.idiot. les musulmans pratiquant serait pour vous, parce qu on sait bien que les cathos sans foi, c est a dire beaucoup, et tout ceux qui se pavanent, ont tout abimes au mieux, en se disant spirituels.

 

vous avez pas mal parle mais mois je crois que vous savez que vous faites le boulot juste a moitie, vous croyez qu elle sait, qu ils savent ces rois de journalistes tout le temps a se la peter sure sur les ondes et les chaines, alors qu ils ne savent que poser des questions idiotes sans savoir un degré de ce qu ils se passent en realite. ces rois?? A un qui aurait aime bien l’etre et qui ne va pas si loin qui n expliquera pas ce que c est la sharia. Auriez-vous peur, ou toute la nation aurait-elle trahit ? bien sur vous ne sauriez dire jouant les chevaliers payes par la corruption, des belles paroles qui vous enorgueillît. Neuilly et ses campagnes de depraves qui vont a l eglise comme ils s en vont chasser… ces pervers, ces prostrés.

Ils citent la religion, pour se faire SM, avec un livre, alors qu ils n ont écrit que des choses pour être chefs des tares.

 

 

 

dire que il n y a qu un regime authoritaire qui puisse reduire et conduire la reduction de la pollution et d un systeme ecologique, est insulte le mot democratie, parce que la democratie se parre des droits et devoirs humains qui sont justement ceux-ci. c est une abherration d’ un economiste presque par nature, puisqu il a reussi, anarchiste qui fait sembland d etre marxiste. ou pas puisque le probleme du marxiste c est qu ils sont comme toutes les valeurs hypocrites pretendemment populo, ils veulent du boulot = detruire la nature! malin!

 

Apres la destruction presqu’ integrale des forets, maintenant comme bush, non trump ils disent ils veulent nettoyer, c est a dire transformer les bois en par cet plus un animal pres d un arbre feu—illu avec buisson et nature sauvage ou s abriter.

, ils veulent du boulot et décimer les champs

L homme qui n a comme pour seule état d âme, l’abattage d’ animaux.

 

 

Lllllllllll

 

 

 

LE FASCISME FRANÇAIS – ANNIE LACROIX-RIZ

https://www.youtube.com/watch?v=c7_KzTgM7LM

C : et pourquoi donc les musulmans ne liraient-ils pas Celine, puisque cette religion de l esclavage a decide comme toutes les demagogies du profit de se debarasser de tout ce qu’ ils pourraient les aider ou pas, dans le brouhaha, de faire tout pour ne plus a avoir que des gens, musulmans ou pas, les hitleriens n’ ont cesse de s auto-detruire, gens, choses et nature, qu’ ils fouleront au pied, que c’ est de-de-quelquepart utiliseront comme le font ou le faisaient les uis usuriers.

quand au capitalisme ou au communisme elles sont toutes deux des idéologies de guerre.

 

 

 

quand au capitalisme ou au communisme elles sont toutes deux des idéologies de guerre.

Ll

 

 

 

Annie Lacroix-Riz – François Mitterrand

https://www.youtube.com/watch?v=Jdtp7lQfryc

 

le flic musulman qui doit etre musulmans sinon les prochains esclavagistes ne parleront pas :

Racisme chez les flics, qui se mefient des religions ? putain arrete ca ; c pas que des fascistes ?

tu parles il est de mesh avec tout les imams du coin, ca fait du bien.faut avouer, il emballe bien. le regard est assez moyen quand meme du petit flicoune-flicaillon, rime racaille- sur toi femme journaliste, car t as du service, t as pas le voile et t es une pine. 🙂

 

donc enfant en fait il inflitre la police, pov pouilleux. allez je me casse, c pa interessant. Faites gaffe quand meme ca fait prolo agent de gauche, qu ont pas assez travaille pour comprendre que c aider ce type qui serait gauller la fascitis. allez les…

tu sais j ai bcp travaille et bcp fait de conneries surtout. Mais aussi de bonne foi, celui là tu vois a sa gueule qui te la casserais bien si t etais pas opportune pour les concentrations passage a tabac.

 

 

 

quand au capitalisme ou au communisme elles sont toutes deux des idéologies de guerre.

 

 

 

Le monde selon Xi Jinping | THEMA | ARTE

https://www.youtube.com/watch?v=ow_tQQzukfQ

 

a propos the video excellent but. Comme beaucoup de medias, comme certaines radios dont les enonces ne laissent donc pas de traces ecrites, ce documentaire va etre retirer par arte elle-meme. On dirait que les medias ne veulent pas parfois laisser de preuves de ce qu il ont avance ou denonce.

 

Moi, je ne m’ inquieterais pas en m affolant, parce quand on est fait des purges comme ca, on se retrouve avec des gens corrompus et pas fait pour leur travail, sans cœur, courage ou intelligence.

Pour facebook, desole, mais facebook est un tres gros censeur comme tous les autres medias occidentaux.

Aussi la chine parait tres grosse, mais n a-t-elle pas envahit le tibet, avec toute l eau de l asie ?

 

Aussi la chine est un peu disloquee, avec des regions qui ne sont pas vraiment bonnement reliee. Quand vous voyagez en chine, a chaque nouvelle region toutes les demarches administratives sont a recommencer. Peut etre un peu comme un europe si l on ne veut pas parler d un etat federal. Avec le meme parler. Je ne sais pas trop sur ce sujet, mais se mefier du secret.

 

 

Une chose qui ne vous dise pas, c est qu en chine le passport francais ne vaut rien. Je suis francaise et ne porte pas particulierment les francais dans mon cœur, mais la je suis fier, les passports francais ne valent rien parce que la France defends les droits de l homme plus que les autres, ou que certains autres.

 

 

 

en fiat ca me faisait mais c est comme charlie hebdo c est de la propaganda, sauf que charlie ils s en mefiat. vous savez pas que mohammed l une de ses ‘ epouses’ etait une enfant. c est pire que les pedos que vous proteger vous du coup. il y a pas besoin de religions pour un enfer et l une de ses cette porte, ce sera les gens qui les cache justement. ca me decoit franchement. Surtout que vous France culture, radio France, la bbc etc, vous etes payes par l etat pour parler aux gens. Donc on espère…sans fondement.

 

 

 

t as pas compris nicole, il faut enterrer les gens comme on les expedier sous la collaboration. ironie quand meme, je le dis au cas ou ils en profitent pour foutre le feu a mon blog.

 

 

 

La démocratie pour eux, c est se per preouccper de 10 sur 500. Pour le reste c’ est celui qui tue le plus de gens, ou le plus habillement, au sein de la démocratie.

ils auraient mieux fait des cahiers de doleances. ca 10, c est un truc de petits rois rotis a la cour.

 

 

 

vous nous faites chier avec vos histoires d aiguille a tricoter. moi j ai tres peur des gens, de tous les gens qui obligeraient le genre feminin, et masculin a se reproduire, la population allant en augmentant. mais tout de meme un embryon ca vit. on devrait parler d eviter les avortements. je sais c est une discussion sans fin et tres dangereuse. c est la discussion du droit a l enfantement et des droits de reproduction. c est tres tres severe surtout dans une societe de fashos et fashote comme la notre. mais quand meme un embryon ca vit. et il y a des gens qui aiment bien tuer ou qui devront vivre pour se debrouilller a comprendre qu il on tue leur bebe.

moi je suis pas hetero mais quand meme j imagine que bien informe, on est en mesure d eviter.

 

 

 

Moi, je suis partie d un pays, de votre pays dont je connais la langue et c est en ecoutna la radio, les infos que je comprends inopportunément pourquoi, ce film ca vous les flancs. Que comprends inopportunément comment.

 

 

 

emaux, embauche, embaume.

 

 

 

non aram, pas de terrorisme, d invasion, comme les musulmans l ont fait le siecle dernier en africa. dans les coins plus reculses our reculees, c est vrai nice c est international vous me dirait. raie.

pas de terrorisme, d invasion, comme les musulmans l ont fait le siecle dernier en africa. dans les coins plus reculses our reculees.

invasion, comme les musulmans l ont fait le siecle dernier en afric, etc, etc.

 

 

 

sujet interessant mais quand meme un male peut s occuper de la dislexie d un enfant, ou d un adulte. cette voie grave, en dirait long- qu il a envie de de s envoyer [tout] ce qui se touche sans payer un franc tres franchement.

freud? ce mysogynisme ou ce derterminisem social par ces pedants cacherait bien de la perversion sexuelle dont la version plait aux religieux de tout genre, epris ou non de la bouteille.

 

 

 

Le féminisme.

mais enfin infine les nanas elles ont collaborees. alors bien sur si ellles sont torturess par des collabos, non , mais quand elles sont nazis, que fait-on?

 

 

quant aux predateurs, on est dans une telle societe de salopes, meme aux pourris ce qu ils bouffent c est de la mort, d ailleurs, c est comme ca que ca ripaille le ramasssis.

 

 

 

moi j utilise aram, pour m offrir un resume, je ne vis plus en france, des chiens qui la leur sont appropriee.

priez.

Lure, louer, le, lueur, leurrer.

 

moi j utilise aram, pour m offrir un resume, je ne vis plus en france, des chiens qui se la sont appropriee. priez.

 

eh et votre invite, qui joue a se sentir comme son temps lui aurait ete vole. etait.

 

 

 

Chkoune Charlie ? Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=R8Bw4GnYNhs&list=PL1E33536725F84588&index=188

LES OPPORTUNS, QUE DE BOMBES. , CETTE CARITURE TRANSPORTEUSE D ORDURES, DURES, CAR

REGARDEZ, MI, MOI, CETTE CARICATURE.

C : mais tu vois cohen, ce chien, la cette bique , justement t aurais pas du l inviter. remarque il avait peur d un sacrifice apparement. mais moi je m en debarrasserais pas religieusement.

 

sophia, tu leur a dit que ce est un sale pedo le prophet, la quatrieme femme une enfant, t a pas, moi k j ai tout ecoute

 

quand meme fait pas semblant d eter encore au lycee bien que revendiquant: c est une salope tout simplement.

 

t as raison sophia, s il a pas compris que la societe est a gerber, et pas que france inter, sur les autres sont numero sous doue de pleureuse est mieux apprecier. t as raison sophia c un bebe.

 

 

 

Guaino dégaine son lance-roquette – Le billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=ylnNGCeAGPA&list=PL1E33536725F84588&index=125

C : le lance rocket sur tous les camions. la france s ‘ elance c est long.

la gaine, le gain et la degaine.

 

Et on en rit.

 

 

aram, c est quoi qui fait pas parie de la panopli jihadist? le kafta, et le beret?or you r jumper a tiret? aram, c est quoi qui fait pas parie de la panopli jihadist? le kafta, et le beret?or you r jumper a tiret? aram, c est quoi qui fait pas parie de la panopli jihadist? le kafta, et le beret?or you r jumper a tiret? aram, c est quoi qui fait pas parie de la panopli jihadist? le kafta, et le beret?or you r jumper a tiret?

 

C’est reparti comme en 1940 – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=3pXLqHKlkTY&list=PL1E33536725F84588&index=131

C : merci sophia arma, merci france inter.

Avez-vous fait devilliers ? non, ben c est bien. Les gens, ces grands philosophes, ne devraient pas se comparer aux animaux.

 

 

 

La racaille du XVIème – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=xHIZ3KZT_YA&list=PL1E33536725F84588&index=124

 

 

Le choix de Jean-Frédo – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=QyU4WQSGvBU&list=PL1E33536725F84588&index=120

 

moi j utilise aram, pour m offrir un resume, je ne vis plus en france, des chiens qui la leur sont appropriee.

priez.

Lure, louer, le, lueur, leurrer.

 

moi j utilise aram, pour m offrir un resume, je ne vis plus en france, des chiens qui se la sont appropriee. priez.

 

eh et votre invite, qui joue a se sentir comme son temps lui aurait ete vole. etait.

 

 

 

mari-ir-ame

aram

 

 

Un cimetière dans mon téléphone – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=K9Rp2bDai1M&list=PL1E33536725F84588&index=56

 

C : et Front inter, vous nous avez trouver une greluche de parlementaire qui est pour la liberte d expression, bon boulot, tres impressionnant. quel engagement. l elite, l avant-garde. lagarde! vous auriez du vous specialise dans l economie, on se serait de tout remis. intllectuels ensemble ensomme en solde et vendus. ne parler de rien, n enqueter sur rien, c est ca la liberte d expression. heureusement on ales a la halle les podcasts? quille qui les casse? les boulets, les boulons. pas les religions des croyants embourgeoises? pourquoi dire bourgeois. c est les castes, embaumant embauches.

 

 

 

Charlie Hebdo accused of hypocrisy as it suspends journalist after death threats over her articles attacking Islam

https://www.dailymail.co.uk/news/article-3084225/Charlie-Hebdo-accused-hypocrisy-suspends-journalist-death-threats-articles-attacking-Islam.html

 

 

 

 

Moi, je regarde ce qu’ il se dit sur Charlie a chaque fois que j ai besoin de pleurer sur la France. Et puis c’ est pas trop grave pour moi tres personnellement, parce que la France, j y suis plus depuis longtemps.

 

 

 

Fnac

Published on Apr 17, 2014

https://www.youtube.com/watch?v=2dIUgI7UJZM

 

 

 

Les effets magiques – Le billet de Nicole Ferroni

https://www.youtube.com/watch?v=_rzDajvpoY0&list=RDAxxeFB_djNU&index=27

 

 

La fête des « Pas-que » – La chronique de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=sF7O7LLLWMg&list=PL1E33536725F84588&index=41

 

 

Le mouvement « #Pasdevague » et souvenirs – Le billet de Nicole Ferroni

https://www.youtube.com/watch?v=kMCUflnOgq4&list=RDAxxeFB_djNU&index=27

 

C : t as pas compris nicole, il faut enterrer les gens comme on les expedier sous la collaboration. ironie quand meme, je le dis au cas ou ils en profitent pour foutre le feu a mon blog.

 

 

 

Pierre Bourdieu – Arrêt sur images – 1995

https://www.youtube.com/watch?v=l8TAr8Am95g

 

 

 

Djihad info service – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=5Jx7yOF6WCE&list=RDAxxeFB_djNU&index=15

 

 

Faut cogner ! Le billet de Sofia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=gR7EN0Ol_nA

 

 

Sans débourka ni trompettes, le Billet de Sophia Aram

 

 

 

Pas de glyphosate dans ma Teucha !!! Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=G0ygzBBhRq4&index=5&list=RDAxxeFB_djNU

 

 

 

Un roman d’amitié – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=UK-aW6IrYC8

 

 

 

Nous Toutes / Nous tous – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=iFaBXIr_Z6s

 

 

 

:  en fiat ca me faisait mais c est comme charlie hebdo c est de la propaganda, sauf que charlie ils s en mefiat. vous savez pas que mohammed l une de ses ‘ epouses’ etait une enfant. c est pire que les pedos que vous proteger vous du coup. il y a pas besoin de religions pour un enfer et l une de ses cette porte, ce sera les gens qui les cache justement. ca me decoit franchement.

 

 

#FreeAsiaBibi – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=NGfG_UWtNgU

 

C : oui, mais sophia le probleme c est que la tendance serait plutot a vous enfermer. vous savez par ces salopes qui font de la politiques, de la psychologie, du juridique, du générique et du marché. merci d avoir tenu. http://www.inthenameofhumanrights.com

au passage, on ne blasphème que devant le sacre, c est a dire que pour les prophètes ratés, c est manqué.

 

Vous avez vu en marche, marché !!!!

 

 

vous connaissez pas vous l utilisation de tout ca si vous venez d une theocracy. c est pour ca que finalement les oligarches aiment bien les etrangers, ils y croient, ceux qu aimeraient bien quelquechose de moins bafoues. ca mets tout un moment le choc culturel a s evaporer. et puis apres cela c est un choc bien plus grand qui y fait place et qui de coutume n est pas depassé. l enfer dans lequel on est, celui qu’ on a fait, fait place pour, assuré.

 

 

 

Énergies fossiles : du balai !

Nous appelons Société Générale à mettre un terme à ses soutiens aux énergies fossiles.

https://paris.demosphere.net/rv/63922

 

 

 

Poutine réfute les accusations de l’Occident conférence de presse

https://www.youtube.com/watch?v=n-2SNRkym9Q

 

 

C : a griot, agirait, mais il n y a plus d’ ours.

 

 

 

POUTINE est prêt pour une 3ième guerre mondiale « hypersonique ». La preuve !

https://www.youtube.com/watch?v=BTJchusDZEg

 

 

 

Réhabilitons le maréchal Pétain – Le Moment Meurice

https://www.youtube.com/watch?v=MHGVSRoehGQ

 

 

 

Peut-on tout dire en France ? Le Moment Meurice

https://www.youtube.com/watch?v=p8bC0sYZHpM

 

 

Alerte rouge – Le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=01MBFcVp-lY&list=RDAxxeFB_djNU&index=4

 

 

THE CASTE, WALKING OFF WITH THE STATE, WITH LAURENT MAUDUIT

https://www.youtube.com/watch?v=2mO0DN3tsAs

 

C: bravo. tres interessant, mais quand meme si c était tout du public alors se serait la mafia du fonctionnaire, qui veut un travail et des aides, etc… avez-vous une solution? un petit mot suffira. un debut.

 

Etati, était.

And what about the monopoly of the service public servant revering his peers only?

General interest on their s own by vampires and their sbires, vassal, context?

 

 

 

 LA LIBERTÉ D’INFORMER EN DANGER

https://www.youtube.com/watch?v=z-YeJWzAZNk&list=PLXJa1eyN_t2lJ6s666c7iaTQKrJUuO4Tb&index=4

 

 

 

Alain Badiou: élections, piège à cons? France 2, « Avant-premières » 01/03/2012

https://www.youtube.com/watch?v=0aHQrZof_jg

 

C : le problème c est que démocratie veut dire droits de l homme et equite, autrement elle n’est que tyrannie…

Et leur devoirs envers eux-mêmes, les autres espèces, et tout atu atur autres choses.

 

N’ est, nait. Ne, né

Vers autrui et la nature,

Vrai.

 

 

 

POUTINE est prêt pour une 3ième guerre mondiale « hypersonique ». La preuve ! (Hd 720) remix

https://www.youtube.com/watch?v=BTJchusDZEg

 

 

 

Era – Ameno live

https://www.youtube.com/watch?v=z9DwQmqVMSU

 

 

« NOUS VOULONS DES COQUELICOTS »

 Non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection. Nous exigeons de nos gouvernants l’interdiction de tous les pesticides en France. Pas demain. Maintenant. Assez de discours, des actes.

http://editionslesliensquiliberent-blog.fr/voulons-coquelicots-lappel-de-fabrice-nicolino/

 

 

 

Association
des Bibliothécaires
de France

L’ABF et l’ACIM prennent toujours position contre des tentatives de censure.

Aujourd’hui 7 janvier 2015 a eu lieu la plus abjecte qui soit : assassiner ceux qui portent une voix différente, au nom d’une idéologie extrême injustifiable, notamment dans un pays qui s’enorgueillit de laisser libre l’expression de chacun.

L’ABF et l’ACIM apportent tout leur soutien à l’équipe de Charlie Hebdo.
Elles réaffirment l’importance d’une presse libre mais aussi de bibliothèques où l’on peut accéder à toutes formes d’expressions, pour contrer l’intolérance et la censure et encourager le respect de l’autre et le vivre ensemble.

http://www.abf.asso.fr/2/22/498/ABF/-communique-charlie-hebdo

 

 

 

La Brèche – Zeitgeist #1 – L’effondrement (Pablo Servigne)

https://www.youtube.com/watch?v=AW29KAwVEEI

 

 

 

https://www.bastamag.net/Le-pouvoir-d-influence-delirant-des-dix-milliardaires-qui-possedent-la-presse

 

Dix milliardaires ont pris le contrôle d’une grande partie des médias français. Ces oligarques, venus du BTP, de l’armement, du luxe ou de la téléphonie, ont accaparé les grands quotidiens nationaux, les chaînes de télévision et les radios, pour asseoir leur influence. Avec à la clé, conflits d’intérêts, censures, pressions, licenciements, ingérence malsaine… Cette concentration des moyens de production de l’information entre les mains de quelques uns met en péril l’indépendance de la presse dans notre pays. Et porte ainsi atteinte au fonctionnement démocratique. Comment garantir la liberté de l’information et le pluralisme de la presse ? https://www.bastamag.net/Le-pouvoir-d-influence-delirant-des-dix-milliardaires-qui-possedent-la-presse

 

 

 

La prostitution des cités a quadruplé en deux ans

Ce phénomène d’abord détecté dans l’agglomération de Marseille s’est répandu dans toute la France. Il touche un nombre croissant de mineurs. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/12/04/01016-20181204ARTFIG00285-la-prostitution-des-cites-a-quadruple-en-deux-ans.php

 

 

 

La France est le pays d’Europe le plus touché par les catastrophes climatiques

 

  • Publié le 05/12/2018 à 16:45

La France occupe le 18ème rang mondial des pays les plus vulnérables aux intempéries extrêmes, au même niveau que Madagascar, l’Inde, le Bangladesh ou encore la Thaïlande.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/12/05/20002-20181205ARTFIG00216-la-france-est-le-pays-d-europe-le-plus-touche-par-les-catastrophes-climatiques.php

 

 

 

Mali: deux journalistes français de RFI enlevés à Kidal puis retrouvés morts

https://www.huffingtonpost.fr/2013/11/02/mali-journalistes-francais-rfi-enlevement-kidal_n_4202056.html

 

 

 

Front National : L’oeil de Moscou – Spécial Investigation

https://www.youtube.com/watch?v=vVyQg9Db6SY

 

 

 

Usul : et si on vidait les prisons?

https://www.youtube.com/watch?v=VLs_m996xrc

C : Ce que vous oubliez c’ est que les gens qui te presse comme du citron sont toujours en liberte, prac pr parce qu’il y en a un sacre paquet. c est ainsi qu’ ils tapelle le gaucho intentiné.

parce que quand on oublie ca ca veut dire qu’on y est pas alle.

Par contre que les gens payent des impots pour des companies privees s’ engraissent, oui. Le seul avantage, c’ est que ainsi les functionaires on peut etre moins a foutre les gens en prison, les gens innocents, pour embaucher. Leurs amis, du meme parti. Les moins ok.

Ca vous derange, que les prisoniers fassent leur menage ????????? pas moi. La gauche caviar versus la droite c est bonnet blanc et blanc bonnet. Faux écorchés. Faut écouter. Faux dans le pré.

Rem : remarque des gens pres a de t epouiller c est sympa pour les anar. Anal.

 

 

Réalité contre l’Insee : quand un économiste dévoile le grand mensonge autour du pouvoir d’achat

https://www.youtube.com/watch?v=GMvzKwW3408

 

 

Les droits de l’homme sont-ils universels ?

https://www.youtube.com/watch?v=08GcWMwOsc4

 

C : le mec qui boit, le premier qui parle, ne connait rien a l universalite, ou est un fasho d avant garde, un pedo recommandant la chastete feminine comme principes aux droits humains. va sucer ceux a qui tu fait plaisir.

Oui, on ne peut donner son consentement a sa propre reduction, c est ca qui est dit dans les droits de l’homme et ca en fache beaucoup, parce qu’ on ne peut dire oui a l’alienation de toutes sortes.

 

laisse tomber ce blanc lent est une calamite, envoye pour faire plaisir aux fashistes et putains de tout les pays, c est ainsi qu il traite l anti racisme en freres.

 

 

 

Le CSA démet Mathieu Gallet de ses fonctions de président de Radio France

 

 

 

 

LA LIBERTÉ D’INFORMER EN DANGER

https://www.youtube.com/watch?v=z-YeJWzAZNk&list=PLXJa1eyN_t2lJ6s666c7iaTQKrJUuO4Tb&index=4

 

C : je suis pas trop avec le richard de canal +, quand on demande millions d euro de compensations, qu’ on doit faire face a des proces les uns contre les autres sans que la partie adverse soit inquietes, et bien ca y est ce n est meme plus le chomage c’ est le couperet.

En tout cas sans rea redaction derriere, et puis mais meme, plus personne n’ ira.

Hante.

 

 

 

ENTRETIEN AVEC UN FICHÉ S – JULES PANETIER

https://www.youtube.com/watch?v=7T0NfzMG04o

 

 

 

L’homophobie en France – Le Moment Meurice

https://www.youtube.com/watch?v=uIXnO3zZ56o

 

 

C :

dois arreter d ecouter, je les deteste deja assez,

 

 

 

Gros salaires, privilèges et gaspillages : enquête sur les milliards de l’Europe

https://www.youtube.com/watch?v=fysrkg6l4q0

 

 

 

 

« VOTRE CROISSANCE, NOUS N’EN VOULONS PLUS ! »

https://www.youtube.com/watch?v=fRUxBKOq9kc

 

 

 

Traverser la rue pour retrouver un emploi – Le Moment Meurice

https://www.youtube.com/watch?v=uNGv6p_Au50

 

 

 

https://www.ecosia.org

 

 

 

Tourisme tous risques – Le Moment Meurice

https://www.youtube.com/watch?v=t5VZAackmdQ

 

 

 

Enquête | Les batailles du pape François

 

 

 

Les ressources (in)humaines – Le Moment Meurice

 

c : sur l espace public. pubic. poubelle.

 

 

 

 

 

Pierre Conesa : les explications saoudiennes sur Khashoggi n’ont «aucun degré de crédibilité»

https://www.youtube.com/watch?v=xbUEV8GiTXw

 

 

 

Front National : L’oeil de Moscou – Spécial Investigation

https://www.youtube.com/watch?v=vVyQg9Db6SY

 

 

 

Le monde selon Xi Jinping | THEMA | ARTE

https://www.youtube.com/watch?v=ow_tQQzukfQ

 

 

Moi, je ne m’ inquieterais pas en m affolant, parce quand on est fait des purges comme ca, on se retrouve avec des gens corrompus et pas fait pour leur travail, sans cœur, courage ou intelligence.

Pour facebook, desole, mais facebook est un tres gros censeur comme tous les autres medias occidentaux.

Aussi la chine parait tres grosse, mais n a-t-elle pas envahit le tibet, avec toute l eau de l asie ?

 

Aussi la chine est un peu disloquee, avec des regions qui ne sont pas vraiment bonnement reliee. Quand vous voyagez en chine, a chaque nouvelle region toutes les demarches administratives sont a recommencer. Peut etre un peu comme un europe si l on ne veut pas parler d un etat federal. Avec le meme parler. Je ne sais pas trop sur ce sujet, mais se mefier du secret.

 

 

Une chose qui ne vous dise pas, c est qu en chine le passport francais ne vaut rien. Je suis francaise et ne porte pas particulierment les francais dans mon cœur, mais la je suis fier, les passports francais ne valent rien parce que la France defends les droits de l homme plus que les autres, ou que certains autres.

 

 

quand au capitalisme ou au communisme elles sont toutes deux des idéologies de guerre.

 

 

 

Sans débourka ni trompettes, le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=j_GOqImGV_s&list=RDAxxeFB_djNU&index=10

 

 

 

Un cimetière dans mon téléphone – Le Billet de Sophia Aram

 

C : et Front inter, vous nous avez trouver une greluche de parlementaire qui est pour la liberte d expression, bon boulot, tres impressionnant. quel engagement. l elite, l avant-garde. lagarde! vous auriez du vous specialise dans l economie, on se serait de tout remis. intllectuels ensemble ensomme en solde et vendus. ne parler de rien, n enqueter sur rien, c est ca la liberte d expression. heureusement on ales a la halle les podcasts? quille qui les casse? les boulets, les boulons. pas les religions des croyants embourgeoises? pourquoi dire bourgeois. c est les castes, embaumant embauches.

 

 

 

Menacée de mort, Zineb El Rhazoui répond – C à Vous – 20/12/2018

https://www.youtube.com/watch?v=CVHevHxCK0U

 

 

 

c est un journal satirique, vous faites les serieuses, pretendant d etre choquer. une caricature qui caricature les journaux la presse, pas un enfant. vous etes tellement puant et sans merites que je suis sure que pour une fois ce n’ est pas de l hypocrisie, se moquant de ce que les moins medailles, pardon les moins diplomes, n ont pas compris. c est vous les …

 

 

 

Moi, je regarde ce qu’ il se dit sur Charlie a chaque fois que j ai besoin de pleurer sur la France. Et puis c’ est pas trop grave pour moi tres personnellement, parce que la France, j y suis plus depuis longtemps.

 

 

 

 

Peur de rien blues – Concert 1989

https://www.youtube.com/watch?v=InbUc8RCm6Y

 

C : for you, Zineb.

 

 

 

 

ZINEB EL RHAZOUI | CHALLENGING POWER | OFFinJOBURG

https://www.youtube.com/watch?v=IaB7uhlixGs

 

 

thank you for the homos, Zineb. from one.

you know i really feel to answer those who dare insulting you, but the social media will delete my account, not theirs.

i d just want you to know, as a matter of fact, you cannot even answer. just like in society. their insults they could find some reply but no…they rule. and it is their insults that will be taken as a freedom of speech curtailing, but in fact, they obtain what they were asking. the rest? not any longer can we talk about, ‘us’ .

you know these many negative comments in comparison with positive one. i have one hope, i pray god, any god for that. is that people do not care about their theatrics and only them go watching people talking about how easy it is to be a fasho. let’s hope the monster will eat itself fast enough. but doing nothing will be it enough?? rhetoric here is so sad, that it should be sufficiently threatening even for a fat fag bigot- men loving themselves and women hating themselves or predating on it. religion gets something. this is hell, where animals and nature, life, god, can be sold and said by everyone to be good to eat.

 

 

Freedom?  Free doom.

 

 

 

 

 

2017 12 (2)

 

 

Amy Winehouse – Back To Black

https://www.youtube.com/watch?v=TJAfLE39ZZ8

 

 

I am calling you (Bagdad café) – Jevetta Steel – Lyrics – English Subtitles

https://www.youtube.com/watch?v=mj2qFjBKxmI

https://www.youtube.com/watch?v=mj2qFjBKxmI

 

 

 

Une chatte qui adopte un bébé écureuil

https://www.youtube.com/watch?v=R8VRm30OWHg

https://www.youtube.com/watch?v=R8VRm30OWHg

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=FoeTLHPO2sQ

 

Incroyable ! Une chatte se prend d’amour pour des petits canetons !

 

mais sauvage c est quoi maintenant, c est des animaux traques sans territoires, temoins forces de la betise, de la haine, et de la salete humaine.

 

 

 

A l’autre qu’on vote contre le front et l’axe.

Quiconque a vécu dans la presque pauvreté avec bcp de voisins, bien que parfois il ne suffit que d’un, pour que ce soit l’enfer. Ce sont plutôt les jeunes gens qui ne se rendent pas compte que vivre entasser n’est pas sain pour le corps. voilà, le bruit et l’odeur, ne peut plus vivre. n a plus de sommeil, n’a plus d’intimité, d’espace à soi. Crever.

Il n’y a que la gauche caviar ou leur chiens batards ou bavards qui ne savent pas ca.

ou les faux de gauche qui ne le sont que quand elle est vampiristique,  c’est à dire….quels cafards. Canards.

 

 

 

Tant qu’a ce cher président qui oublie qu’ il est ‘the lesser of both evil’ (issue du vote contre les fashs- mais moi franchement quand ils ont annonces qu’ il voulait envoyer le pen devant le psycho pour poster sur les tortures de Daesh, a cette instant, c’est pour elle que j’aurais voter).

Sur ces discours ailleurs, mais surtout à l’assemblée, avec sa bande de blondinets- pas en rapport aux colors de chez cheveux mais de petites putains attendant le paquet (sortie de l’école, des embellisseurs de parquets).

moi, j’aurais prefere qu il reste becheur, parce que ce gars des banques qui se prend pour le nouveau Platon, ne fera que de la france planqueton. quel megalo-maniaque. sur (de) seduire, pas les gens qui qu il a du en appauvrir, qui, pour qui reste transparent ces sourires. sous.

MEGALO, mes gallois !! Mais qui ne l’est pas.

 

Surdité.

 

 

Though the secret of hinduism, at least the one of them i know, is to forbid people to enter their temples… you can imagine the rest. hitlerian theories of impurity, following a blood line, a religion = the fi filthier way of pretenin one wants t it for good.

 

 

Débat sur le port du voile entre Manuel Valls et Attika Trabelsi

 

https://www.youtube.com/watch?v=ow0QeLF3hbQ

 

 

C : alors on pourrait mettre le voile pour prier chez soi. le voile, s en remettre a dieu, c est religieux, pourquoi pas, mais pour les pretres, comme chez les Sikhs.

 

alors on pourrait mettre le voile pour prier chez soi. le voile, s en remettre a dieu, c est religieux, pourquoi pas, mais pour les pretres, comme chez les Sikhs. quand on doit le faire deveant les gens, c est qu on est en guerre. la guerre contre les gens je les comprends, mais pas avec cette philosophie demoniaque.

 

non vous n incluez donc pas les femmes qui veulent exploiter les autres…quelles erreurs.

 

 

le communitarisme, etc, ca c est la france et les autres pays, qui pensait qu il suffisait d enrain entrainer les classes travaillistes et les autres a s enculer, pour que leur aristocratie mondaine et bourgeoise et de l ouest au o’nord, en salope aisee …. et bien bref soit maitrise, quel defaite et pas de bee belle.

 

le communitarisme, etc, ca c est la france et les autres pays, qui pensait qu il suffisait d enrain entrainer les classes travaillistes et les autres a s enculer, pour que leur aristocratie mondaine et bourgeoise et de l ouest au o’nord, en salope aisee …. et bien bref soit maitrise, quel defaite et pas de bee belle.

 

 

ces gens ne sont pas des religieux, ce sont des servants. sans dieu.

 

 

 

C’est sur les mecs, l islam est un pouvoir expensioniste et esclavagiste, et eschato. tu crois qu ils etaient musulmans les gens dans les montagnes dans le maghreb avant l’an 2000 AD???? ils l etaient pas, vous etes que des connauds, elle se moque que tu ne connaisses absolument rien, le toto, le zero, le colon parlant bas tant que la france peut payer ses bourreaux.

https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

La VÉRITÉ sur les VIOLS de TELFORD et Rotherham: Les Grooming Gang

https://www.youtube.com/watch?v=FM94ISWoN_8

 

Le reseaux pedophiliques musulmans, bien evidemment leur prophet ? en était.

l horreur c est que vous avez raison, meme il y a quelquechose que vous oubliez, c est que les scandales pedophiles il y en a partout, et ils ont ete couverts par toutes les DDASS, les profs, les parents. il suffit de travailler dans les reseaux sociaux et les pedos, les psychopates des entreprises, sont proteges. pourquoi. si pas pratiquemment pas par d autres pedo. c est la culture, c est dur, mais on comprend pas. mais principalement c est le travail mal fait donc quelqu un qui ne travaille pas va sombrer de sure dans, aux mains des plus demunis, sans rien, meme plus un cri. c est dur de travailler, c est dur d aider, alors on aide plus, et puis c est rassurant de savoir que les enfants abondonnes n auraont jamais le droit de pratiquer notre boulot. in-salope sociaux. https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

 

le pire c est que votre video ne fait pas serieux, les francais et francaises ne vont pas comprendre que vous faites ce que vous pouvez. vous avez raison, ces scandales heureusement commentes par les media les plus connus en angleterre, ne trouve pas leur echos en france. pourquoi?? parce que si les francais savaient ce qu il se passe en angleterre,  le niveau de pauvrete par example qu il y ai instaure, pour ce pays si riches, les contracts d exploitation ehonte, un niveau d apprentissage et de responsabilite zero pour les employes, les meutres au couteau, la loi de la sharia et ses tribunaux, oui en angleterre, alors les gens se douteraient aussi que tous ces projets c est pour la france qu ils vont etre reserves. par qui, par les capitalistes, de droite ou socialo.

 

jusque dans les annees 80 l association PIE, etait une association pedophile officielle et authorise en angleterre. une politicienne encore au parlement aujourd’hui et au gouvernment hier en etait secretaire par proxi. des scandales de reseaux concernant des stars, une en particulier, du show-biz et des services sociaux a eclate apres la mort du predateur vers 2010.                                                et puis il y a ces bonnes gens, tout rangs et classes, qui vont nous virer parce qu on est homos, nous insultant de pedo, alors qu ils nous ont                                                     tortures.

 

 

 

non mais justement, c est la ou est la blague, on est pas libre. et de par la meme on est pas bon.

 

 

 

alternative

alter-native

altern hative

 

 

Judas [2000 ans d’histoire]

https://www.youtube.com/watch?v=WLgqqWi3RFo

 

 

 

institution,

destitution

constitution

 

 

 

Les machistes ne meritent pas la féminité.

C

 

 

 

c est plus la galere, c est l esclavage.

oui, prend soin de toi. a lundi.

Mais tout dialogue deviendrait en ces termes propagandiste.

B

 

 

 

une greffe du coeur quelle affaire,  meme apres une operation simple c est handicapant, donc une greffe de cet organe…oulala.

 

 

 

j ai regarde quelques documents sur la nouvelle course aux armements, j admets c est completement hallucinant, delirant. c est terrifiant.

 

 

 

tout ca. les financiers, les russes et macron! apres sarko je pensais qu on ne pouvait pas plus pedant.

 

 

 

Keny Arkana – V pour Vérités (with English Subtitles)

https://www.youtube.com/watch?v=622QUs5aZeQ

 

 

 

Keny Arkana, Victoria (with english subtitles)

 

 

 

Keny Arkana – J’viens de l’incendie/I come from fire subtitles

https://www.youtube.com/watch?v=4ghPxoZ60Pg

 

 

 

any

beni,

bani.

 

 

 

j’ai acheté 20 kg de graines a 14 euros pour les oiseaux, vais essayer de les concasser pour que les plus petits puissent manger.

 

 

 

-je veux dire refaire à l infini

 

-oui, cosmique comme les grecques aurait dit. tu sais il parait que il y a des interpretations moins idylliques de la relation penelope, Ulysse. pour Ulysse on le sait mais meme pour penelope pleines de tromperies. Se laisse, se lasse, et est seduite. ne le reconnait pas avant d avoir bander son arc, et puis tuerie.

 

 

 

Ceux qui évoquent les âmes (Psychagôgoi). ), soul invocator.

Gogol, Nicolaï.

 

 

 

Pourquoi ces films ont-ils été maltraités par la censure ?

https://www.linternaute.com/cinema/film/1423059-pourquoi-ces-films-ont-ils-ete-maltraites-par-la-censure/

 

 

 

https://www.linternaute.com/actualite/societe/1299691-la-cause-des-vaches-10-traitements-inhumains-reserves-aux-vaches-par-l-industrie/1300202-toujours-sur-linternaute-com

Un hangar pour seul horizon

Entourées d’excréments

Le rationnement en eau

Une traite douloureuse

L’abattage sans anesthésie

Dans l’enfer des abattoirs

Cachées des regards

 

« Machines à énergie »

Les maladies

Le manque de suivi vétérinaire

Et en cas d’incendie ?

 

https://www.linternaute.com/actualite/societe/1299691-la-cause-des-vaches-10-traitements-inhumains-reserves-aux-vaches-par-l-industrie/1300202-toujours-sur-linternaute-com

 

 

 

comme les voluntaires a l ONU, intermittents du spectacle.

1

 

 

comme les voluntaires a l ONU, intermittents du spectacle.

gugus

 

 

 

gourus et russe.

Rus, rue, ruse,

 

 

rule

 

Immigration Destroying Paris France Culture – French Women Being Oppressed

 

https://www.youtube.com/watch?v=Um-kFzRLxx4

 

C.ET: ya des putes sur le trottoir, des putains de mecs!? des putes, c’est tout. une trainee de putes devant le cafe sur le trottoir.

 

Et puis ces putains de francais (et francaises) qui n’attendaient que ca (accent marseillais).

Faut bien se marrer.

La mare au diable est pe préparé.

Pré-parait.

 

 

https://www.programme-tv.net/videos/extraits/38034-dorothee-reagit-a-la-mort-de-cabu-charlie-hebdo-je-suis-en-plein-contrecoup/

 

:C  c degoutant de dire que Cabu etait irrévérencieux et border line, ils veulent l incriminer, la france deviendra infirme mais avec ces jeuene pineux il, ce pays, déjà l est. j ai bcp regrette d avoir tant regardé dorothee, parce que des heures, des journées devant la tele, mais pour devenir comme un de ces journalistes like Marc-Olivier Fogiel ayant des bonnes notes a l ecole pour plus tard collaborer, en fait jamais.

Ca s’entend qu’il joue avec l’opinion, des gens qui attendent de se faire du pognon facile en assassinant les autres essayant de briser le cercle mortifère du Je-m en-foutisme-flagrant et qui peut mieux gagnant.

 

 

Charb de Charlie Hebdo – On n’est pas couché 5 novembre 2011

https://www.youtube.com/watch?v=6kkfPvr1D1g&t=4s

 

 

 

Charb, Charlie Hebdo attaqué en justice pour « provocation à la haine raciale » – 13/12

https://www.youtube.com/watch?v=D5xGA-H-qvk

C : on peut envoyer quelqu’un devant le tribunal pour ça ??? je vomis sur les français.

il devrait payer ces types pour oser demander à un tribunal… mais non, on envoye ce pauvre charbonnier sur l’échafaud.

 

C :

 

 

Sans débourka ni trompettes, le Billet de Sophia Aram

https://www.youtube.com/watch?v=j_GOqImGV_s

 

 

 

 

www.inthenameofhumanrights.com

 

https://cetviesenfrancais.wordpress.com

 

 

fais extremement attention en velo, moi a part dans les chemins de campagne, je ne prendrais pas les routes ou alors en etant sur qu elles soient vides et en descendant a chaque fois que j entends une voiture. c est super dangereux.

 

 

 

Des repast tres longs-c est bien de prendre le temps. c est un grand plaisir que manger. en plus de ces problemes de digestion.

 

 

 

Tres,

Res.

 

 

 

Novice,

Nocive.

 

 

 

arretez de depenser de l argent pour ce qui a ete le roi des chanteurs rock en france. sa deuxieme femme a eu tout son argent, phenomenal. ses autres enfants, des organisations charitables rien. ce n est pas normal, pas pour un type qui etait cense etre bien. moi j aimais bcp johny, mais plus maintenant. ma grand mere me la fait decouvrir notamment, sa voix, son grand coeur, je suis lgbt, et puis ses chansons plus superbes les 1 que les autres qu on lui a ecrit, qu on lui a donne….

 

 

 

il y a un super grand park juste a cote mais aucun chemin pour y aller, donc on est oblige de rester dans un petit parc au lieu d aller pres du lac. navrant.

 

 

Des dizaines

Devaine,

Divine.

 

 

 

 

Les deschiens le coming out CULTE !!

https://www.youtube.com/watch?v=8d5eXlnH5xY&index=4&list=RD-gbXZ-5fJLs

 

 

 

Je voudrais faire une parenthèse sur les assassinats des membres de Charlie Hebdo.

Très personnellement, je ne suis pas quelqu’un de vraiment cultivé, et ai passé beaucoup de temps devant la télé. Pour ma génération Cabu était le dessinateur que notre enfance avait.

 

 

L’assassinat de ces personnages est extrêmement choquant. J’ai passé de longues heures à communiquer sur les vidéos sur youtube des interviews de ces dessinateurs avant le massacre. Mon compte a été bloqué, j’y avais sauvegardé les principaux moments, les commentaires visant à contre-carrer l’ignorance qu’ainsi l’on y perpétué…tout a été effacé, une porte, une perte.

 

Si vous le souhaitez, jetez un coup d’œil par vous-mêmes, pour ‘devenir témoin’ de que ce qui s’est passé en amont fait en fait partie de l’explication pour ce carnage. Les exemples ne manquent pas, dans presque toutes leurs interviews, par des journalistes de chaines nationales, par des arrivistes et riches pédants, tel que Fogiel, la question, basse à souhait, les questions récurrentes pour ces artistes étaient :

  • Croyez- vous qu’il soit bien sage, ou bien nécessaire de dessiner sur mohammed ?
  • Ne pensez-vous pas que vous incitez à la haine, aux réactions échauffes, que vous heurtez les sensibilités, que vous faites le jeu des extrémistes ??!!??.
  • Ne pensez-vous pas que vous que vous le faites-vous redorer le blason, pour vendre votre choux?

 

Des dizaines dans le genre et puis la fatadique. Et pensez-vous aux millions de francs dépensés pour assurer votre sécurité ?

 

Moi, je pense surtout aux millions de francs ou d’euros ou de dollars dépensés pour protéger les gens qui nous tueraient ou qui chaque jour nous enlise, prenne l’argent et nous regarde crever. L’oie, l’œil, l’ Elisée.

Sut, vu et adopter.

 

 

Quand on a fini de visionner les entrevus télé invitant les gens de Charlie hebdo, et bien la conclusion est que le manque de respect total pour la simple liberté d’expression a été bafouée par la presse et les média de tous côtés. On pourrait parler d’un attentat suggéré.

 

L’oie, l’œil, l’ Elisée. Elire, enlister.

Sut, vu et adopter.

 

Jamais, j ai, ami.

 

B

 

L’embryon est une vie.

je suis d accord sur l embryon, mais que veux tu repondres a ce genre de tare. il te le dit il est superieur. l embryon au boucher. jusqu avec eux, il etait preferable de n etre point né. ou né pour les arreter.

Leur confier la vie, c est le but, pour qu’ils en fasse un –radis.

 

 

 

2017 12 (1)

 

C : confier ca a un bebe, des siecles de maitres d’œuvre au maifa, maifa qui justement sont des brigands de n’etre nullement qualifie et au vrai bossant, a un paysan mecreant peu luné ramassant tout les salaires comme tous ses freres d argent, meme celui de la merde qu il sait faire, et des gens qu ils peuvent tuer, ca certainement, menant a l abattoir, au lieu d un orfevrier a une seule entreprise sans meme un gardien, sans rien en fait. Et personne ne sera inquiété, ainsi cette culture d incendiaire ne prendra jamais fin, qu’en se dissolvant.

 

Avant de relancer la campagne, j’ai voulu discuter sur les attentats de Charlie Hebdo avec des gens et puis j’ai vu et entendu l’etendu de la haine, la jalousie, le dédain accablants fait par la majorite de la presse en fait mettant, dedoublant, triplant, multipliant aux centuples le danger dans lequel un homme comme Cabu, et suivi de tous les autres etaient. Il est certain qu’eux le savaient, durant ces ine interrogations ehontees faites par des sales gueules, comme vojiel, qui ne cesse de s meler ce dont ils ont pas une idee, et pour raisons ca fait des decennies qu’on doit se taper ces impertinents, toujours les memes, qui quand bien meme seraient des genies, ce qui est sur qu’ils ne sont pas, car un genie ne laissera pas delapider son savoir et son etre, dans ce bazar a pas d’idees.

 

Non pas a ces merdes de débauchés, comme ils le font sentir, mais à ces poux d’embauchés qui faut se taper sans cesse et sans broncher.

 

Embouchure.

 

 

à  ma mère

 

 

Cent grains, deux, faux lie.

Faucille.

Scille, scintilla ?   ?

music, scène, cynique.

 

 

 

cet. vies sa donne quoi en français

– beaucoup de choses. 7, est-ce, et puit un cycle, set et puis le débat.  http://www.inthenameofhumanrights.com

 

https://cetviesenfrancais.wordpress.com

et puis je ne suis pas très éduqué, alors pour moi au début je croyais que c’était le nombre de vies des chats.

 

 

 

-j ai passe l apres midi a contacte la caisse de retraite pour confirmer que j etais toujours vivante, enfin, je crois que c est bon

– mmh, et ca ne s arrangera pas. ils feront tout pour prendre l’argent. ou le perdre.

 

 

plusieurs livres, comme des serires. series. sait rire, serrure. c est dire, c est sur. et dur.

t en fait pas ca fait plus d une semaine, meme 2 que j ai comme un rhume de cer-veau. sert? faux.

 

 

 

Repas, part.

Repos.

 

 

 

et ton fils lui ressemble, il y a des fois, des hasards qui n’en sont peut-être pas. tu sais il y a des légendes qui racontent qu’on peut tomber enceinte, ou peut etre etre le pere, d enfants ressemblant à des gens qu’on a aimé, qu’on admire ou qu’on redoute, sans qu’il y ait à avoir un lien de parenté.

B

 

 

Chacun avez un rôle, marrant la présentatrice, a la même expression que ce c££ de Macon. Et aussi qu’il a besoin de volontaire pour relever la France bancaire. Ce s3l$ pet. Heureusement que la France moyenne, quand bien même moyenne, j est, j’espère, que vous me comprenez sans insister, connait comment on fait le centre gauche, droit anglais. Par l’argent, ils vont empoisonner. Que du fric partout et pour tout, et surcroit du surcoût, sr, surtout, et sourire à l’osier.

Et sourire à l’osier.

Oseille, la veille.

 

 

 

je te l ai dit, ca me fait vraiment de la peine, quand je realise que je ne reverrai plus mami. c est pauvrement dit, mais c est ainsi.

 

 

 

Vénérer.

Veiner, nerve.

 

 

 

tout le monde se bat pour le top

alors qu’il devrait n’y en avoir

 

 

le sentiment est la recherche de mieux déterminer

tandis que l’on décrit; l’on va vers troubler, trouver le mot qui nous semblait manqué.

r

 

 

 

Faut etre un peu…,  pour dire que c’est le propre de l’homme, alors que nous mangeons les animaux, que nous tuons la terre. l’homme est une m’rd’ parlant.

 

 

 

j’aurais d’ailleurs du prendre une femme, mais bon j’etais tres jeune

 

 

 

C’est une bonne idée sur l’éternité, mais sur la création zéro, donc en fait philosophiquement cela n’a pas spécialement d’intérêt. Donc électron inertes et éternels capable de s’associer à nos vies temporalisées. ok.

Cour : vous d’ailleurs pensez qu’on ne peut penser le néant mais peut-on penser le tout le temps ?? L’éternité, alors peut-on penser, quand on y pense. Peser.

Ll

 

 

 

IMPAYE PAR MAIRIE, ECOLES, CANTINES, ASSEDIC, LLLL                DIT DOSSIER AVEC PAPIERS QUI POSE PROBLEMES. REGLER PROBLEMES, S’IL EN ETAIT ALORS ??? SEMBLE RIDICULE MAIS OCCUPEE, COUD COUP APRES COUP, QUI NE FONT QUE MARCHER, ON VA ETRE ASSASSINNES. FINIR PAR ETRE ??

Coups, couds,               coucou.

on m a fait le meme coup en angleterre. j avais du encore change d adresse, on refuse mes papiers bancaires alors que bon depuis des annees, refuser de payer ce qu’íl me devait. et des coups en france, parce que j’etais en retard, mais c etait plus d un mois que saute. attendre sur des listes./

 

 

 

j aime l ete mais de moins en moins parce que maintenant je trouve les saisons, c est le temps qui passe, et ne se rattrapa jamais.

j aime aussi les soirees, les ballades dans la penombre sans qu’on est a dire qu’il etait minuit passé.

 

 

 

Retendue, ententu?

En temps tu. Hater, tater, t’attends,

Retenue, étends, entends-tu ?

G

 

 

 

Susurre, Saussure.

S’ensuivre, s’enduire, s’en suite, sangsue.

Suaire,

 

 

 

ca veut dire que c est un secret de longetivite, comme les graines, les haricots, comme tout et sure les arbres olives et les chataignes! mais bon on coupe tout.

Qui nous coupent- donc ?

 

 

 

tu sais je pense que je parviendrais a gagner qch sur moi le jour ou je supporterai le silence. je suis lente trop preoccupe par moi meme, et prends enormement de pause. de plus quand energie est recupere je le passe en divertissement. je ne suis pas serieuse. mais apres je me prends au serieux et aussi en serietout se met a deconner.

serrure.

 

 

 

C’est sur les mecs, l islam est un pouvoir expensionistes et esclavagistes, et eschato. tu crois qu ils etaient musulmans les gens dans les montagnes dans le maghreb avant l’an 2000 AD???? ils l etaient pas, vous etes que des connauds, elle se moque que tu ne connaisses absolument rien, le toto, le zero, le colon parlant bas tant que la france peut payer ses bourreaux.

 

La VÉRITÉ sur les VIOLS de TELFORD et Rotherham: Les Grooming Gang

https://www.youtube.com/watch?v=FM94ISWoN_8

Le reseaux pedophiliques musulmans, bien evidemment leur prophet ? en était.

l horreur c est que vous avez raison, meme il y a quelquechose que vous oubliez, c est que les scandales pedophiles il y en a partout, et ils ont ete couverts par toutes les DDASS, les profs, les parents. il suffit de travailler dans les reseaux sociaux et les pedos, les psychopates des entreprises, sont proteges. pourquoi. si pas pratiquemment pas par d autres pedo. c est la culture, c est dur, mais on comprend pas. mais principalement c est le travail mal fait donc quelqu un qui ne travaille pas va sombrer de sure dans, aux mains des plus demunis, sans rien, meme plus un cri. c est dur de travailler, c est dur d aider, alors on aide plus, et puis c est rassurant de savoir que les enfants abondonnes n auraont jamais le droit de pratiquer notre boulot. in-salope sociaux.

 

le pire c est que votre video ne fait pas serieux, les francais et francaises ne vont pas comprendre que vous faites ce que vous pouvez. vous avez raison, ces scandales heureusement commentes par les media les plus connus en angleterre, ne trouve pas leur echos en france. pourquoi?? parce que si les francais savaient ce qu il se passe en angleterre,  le niveau de pauvrete par example qu il y ai instaure, pour ce pays si riches, les contracts d exploitation ehonte, un niveau d apprentissage et de responsabilite zero pour les employes, les meutres au couteau, la loi de la sharia et ses tribunaux, oui en angleterre, alors les gens se douteraien aussi que tous ces projets c est pour la france qu ils vont etre reserves. par qui, par les capitalistes, de droite ou socialo.

 

jusque dans les annees 80 l association PIE, etait une association pedophile officielle et authorise en angleterre. une politicienne encore au parlement aujourd’hui et au gouvernment hier en etait secretaire par proxi. des scandales de reseaux concernant des stars, une en particulier, du show-biz et des services sociaux a eclate apres la mort du predateur vers 2010.                                                et puis il y a ces bonnes gens, tout rangs et classes, qui vont nous virer parce qu on est homos, nous insultant de pedo, alors qu ils nous ont                                                     tortures.

 

 

 

pour , our.

 

 

 

she a une bronchitte attraper chez son petit neveu, c est peut etre pour ca que je me sentais patrac. ca va, j ai pas le choix doit rendre le papier a la tutrice, specialiste medievale, histoire des saints. j ai lu un peu chez gorges, assez passionant, mais le fil conducteur ils trouvaient des patrons chez les nobles.

souvent les figures saintes en fait etaient patronées par les nobles, au moins dans les histoires que j ai lues.

 

 

 

pour la ‘campagne’ ca me prend bcp de temps, mais en fait a part quelques clicks sur mes blogs c est un complet fascio. pas 1 centimes, pas meme un commentaire, et un nombre ridicule d abonnes, malgre tous ces efforts, mais ca fait rien c est juste que je peux pas me taire. laissez a certain gens de penser que ce qu ils entendent sur les medias pendant des heures tous les jours est juste vrai, bien pensant, suffisant.

 

 

 

non j adore la pluie, j avoue que je l evite (eviet) levier, tout le temps mais il y a des fois je ne peux pas et c est tres bien comme ca. marcher sous la pluie je m en serais aller en manquant de ne connaitre son ruisselement.

par contre fait tres attention au vent. je t ai dit que des fois sous le vent fort, il y a des branches tombees juste la ou tout le monde se promene, milieu du sentier. plus d une fois, si t es en dessous c est mort assuree. fait tres attention au vent. la pluie n est pas dangereuse avec toit et bon vetement. le vent est lui mortel. en 2 temps 3 mouvements.

Protege-toi.

 

 

 

tu veux dire que personne ne t avais jamais rien dit de comment on s occupe d’enfants? tu sais ce genre de trucs – en bien ou en mal- ca se transmet.

 

 

 

l’egale,

legal.

 

 

 

Pep people call prostitution what is in reality the worst imprisoning and crimes against humanity. As prostitution is accepted.

 

 

 

 

 

Le cauchemar des cailles pondeuses

https://www.youtube.com/watch?v=A1n2tTagv6k&feature=youtu.be

 

 

 

✞Père HENRI BOULAD✞: « La TAQIYA » ou le mensonge dans l’islam

 

https://www.youtube.com/watch?v=MMng_QGAgKU

 

C : ceci dit il en est de meme pour les chretiens. c est logique quand on se croit les mieux, que dis-je quand on se rit d’etre affreux et torture tout le monde. quand on pense qu’on y croyait…les chretiens, rotissant leurs betes, c est jesus que pendant plus de 2000 ans ils tuaient. et bien maintenant dansez.

 

 

la mer n’existe pas…

https://www.youtube.com/watch?v=2yHCcIp7MS4

 

 

 

Vidéo ART MENGO. le chef de gare. montage par macdeglace

https://www.youtube.com/watch?v=v_naqpJGlng

 

 

 

ART MENGO – LA NOUVELLE ARCHE – PROVENCE

https://www.youtube.com/watch?v=820pcrlTpr8&index=14&list=PL94C01058EB646087

 

C : optimiste.

 

 

 

Art Mengo – L’enterrement de la lune

https://www.youtube.com/watch?v=rUOIz2MMQvo&list=RDPnSQf0C4ig4&index=4

 

 

 

Anne Roumanoff – Macron et les premiers de cordée

https://www.youtube.com/watch?v=BJgHHVZ7X8w

 

 

 

Anne Roumanoff – Le président Jupitérien

https://www.youtube.com/watch?v=-9RmWLZewZQ

 

 

 

 

 

FAITS DIVERS

Il viole plus de 225 fois une petite fille de 6 ans

https://www.minutenews.fr/actualite/faits-divers/viole-plus-de-225-petite-fille-de-6-ans-308017.html

 

C : vous pouvez lire l’article en fait c’est un recidiviste, qui n a qu’a attendre ses 15 ans en prison (certainement passe a planifier ou a revoir, fantasmer les tortures infligees) pour sortir et recommencer.

 

Encore you, une pour la justice britannique. Comme ca, pour ca, au moins on peut etre content qu’il soit sorti de l’Europe.

Voir affaire Worboys.

 

ca se voit sur lui, c est pas souvent que je dis ca. mais je pense qu apres 15 ans en milieu carcerale et recommence la meme chose pour ecoper d encore que 15 ans de prison, c est clair il est envoye la bas juste pour se reposer, s amuser, se justifier et de plus belle y aller, parce que la rien de plus clair, c est cautionner par les autorites. pas que dans une famille…

 

 

 

Moi, je suis completement blessé par la reaction des journalistes qui comme celui-la insiste sur la normalite des reactions contre la caricatures. tout simplement je suis aterree.

ces journalistes, stupides, et cupides. prenant les gens pour des bebes, ces gens pele-mele pleins de superiorite.

 

 

 

Nekfeu : « Je me suis senti con après l’attentat à Charlie Hebdo »

https://www.youtube.com/watch?v=eE7DmSPNCdA

 

 

ce qui me fait marrer, c est en fait tous vos commentaires de traines, c est ca qui sur son ego accidente, son art facile, son maque, marque, manque de responsabilite et de travail reel, doit marcher. va t excuser.

mon billet sur qu il cahote et chante sur des structures, uniformes et copiees.

 

moi, je pense que c est le genre de penthouse, qui sait bcp plus que ce que son desir d etre premier peut a vous bou avouer.

An auto-da-fé or auto-de-fé (from Portuguese auto da fé [ˈaw.tu dɐ ˈfɛ], meaning « act of faith ») was the ritual of public penance of condemned heretics and apostates that took place when the Spanish Inquisition, Portuguese Inquisition or the Mexican Inquisition had decided their punishment, followed by the execution by the civil authorities of the sentences imposed.

 

The most extreme punishment imposed on those convicted was execution by burning. In popular usage, the term auto-da-fé, the act of public penance, came to mean the burning at the stake.

An auto-da-fé or auto-de-fé (from Portuguese auto da fé [‘aw.tu d? ‘f?], meaning « act of faith ») was the ritual of public penance of condemned heretics and apostates that took place when the Spanish Inquisition, Portuguese Inquisition or the Mexican Inquisition had decided their punishment, followed by the execution by the civil authorities of the sentences imposed.

 

The most extreme punishment imposed on those convicted was execution by burning. In popular usage, the term auto-da-fé, the act of public penance, came to mean the burning at the stake.

 

c est une salpe ce mec, jouant les intelos, et apres prenant les gens pour des tebes, ou wink wink ou clin d oeil aux autres parvenus, profiteurs, colabo et opportunistes qui savent ce qu il fait. et il y en a un paquet….no comment.

il joue les feche. qu a tout bien reussi, qui sait meme parler comme un enbourgoise rasasie. qui fait meme de la tele. qui est artiste, chef de ligne, malin, politicians et la tttttt des malendrains, sait se tapisser.

 

ou alors je deviens noir, et debile, mais quand meme a plus de 20 ans, on devrait se renseigner. mon ami, mon ami, mon agent, mon argent, et est dedans. ma vie? mon combat? repugnant.

tu sais quand meme c est petit blancs qui veulent etre premier a avoir un tiquet, puisque c est sur c est la rue qui va gagnait, car l agent de l argent, de la violence en public relation vs vexe non hate, non athee va se masquer.

et de denoncer, pas les souffrances, mais comment se faire aimer. la carotte, enferme.

 

 

Cabu : « Peut-on encore rire de tout ? »

https://www.youtube.com/watch?v=FEaiN_ThjXU

 

 

 

 

 

Charb, Charlie Hebdo attaqué en justice pour « provocation à la haine raciale » – 13/12

https://www.youtube.com/watch?v=D5xGA-H-qvk

C : on peut envoyer quelqu’un devant le tribunal pour ça ??? je vomis sur les français.

il devrait payer, ces types, pour oser demander à un tribunal… mais non, on envoye ce pauvre Charbonnier sur l’échafaud.

 

 

 

« Si le gaspillage alimentaire était un pays, ce serait le troisième plus gros émetteur de CO2 du monde »

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_si-le-gaspillage-alimentaire-etait-un-pays-ce-serait-le-troisieme-plus-gros-emetteur-de-co2-du-monde?id=9923013

 

 

 

SELLIG Les animaux domestiques (Sous-titres français disponibles)

https://www.youtube.com/watch?v=dLU0Sxh5MHA

 

 

 

 

Michel sardou le France

https://www.youtube.com/watch?v=NYvRp8VVxNU&list=RDdnWkFwPQdr0&index=25

 

 

 

 

DALIDA – Je Suis Malade

https://www.youtube.com/watch?v=ZEoft6dypiQ

 

C : moi, je suis en fait fan de Dalida depuis tres recemment. Je l ai redecouverte grace a youtube. Mais pour je suis malade qui est une de mes favorites chansons de tous mes temps je trouvais que dalida ne l a chante pas a mon gout. Je l ai reecoute pourtant, et maintenant, ce matin en fait j ai compris, je trouve sa voix de diva et commandeur aussi gracieuse et effective, a une differente distance, elle m appelait non pas quand je restais a cote, mais a plusieurs metres de la source du son. Je crois qu a ce moment de sa cariere, ou cette interpretation, elle ne chantait pas particulierement pour les fauteils. Grace a mes grands-parents, j ai eu la chance de voir dalida dans un concert a ciel ouvert dans le midi de la France, mon grand-père l’aimait comme il aimait aznavour. Je n oublierai jamais ses yeux, pressant, percant, brilliant, priant, et l elegance somptueuse qu adorne les profs de francais, et les divas et leur distinctions.

Je suis fan, mais je crois de quelque qui est toujours la, voila, bon temps. Bon vent.

 

 

 

La collection invisible de Stefan Zweig, Version intégrale, Voix uniquement.

https://www.youtube.com/watch?v=i_yFFo16zf8

 

C : inflation et guerre. Le résultat sans contraire, et plus de lumière, rien de plus que des rues bouchères.

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=vpsz48vlTCM

https://www.youtube.com/watch?v=vpsz48vlTCM

 

 

 

 

Dalida – Bang Bang

https://www.youtube.com/watch?v=69U41WklpbI

 

 

 

Sheila – Bang Bang

https://www.youtube.com/watch?v=rm2Eg-4cED8

 

 

 

Alain Bashung : comment il a déshérité son fils

https://www.youtube.com/watch?v=rkY0Cf9eY4g

 

Couds.

 

Etienne Klein Qu’est-ce que la Mort ?

https://www.youtube.com/watch?v=lCMmxIF_6W4

 

 

C : C’est une bonne idée sur l’éternité, mais sur la création zéro, donc en fait philosophiquement cela n’a pas spécialement d’intérêt. Donc électron inertes et éternels capable de s’associer à nos vies temporalisées. ok.

Cour : vous d’ailleurs pensez qu’on ne peut penser le néant mais peut-on penser le tout le temps ?? L’éternité, alors peut-on penser, quand on y pense. Peser.

Bon physicien, pas philosophe.

 

 

Végétarien. Rien.

Human Carv, carnivore-   whore.

je sais, en fait je pardonne aux gens de ne pas s’y mettre, parce que moi avec la chance que j’ai eu d’etre elevee aupres des animaux j’ai mis des annees a me rendre compte de l’enfer, du malsain, de la perversion, de tous les maux d’etre plus qu’assassins et de le rationaliser. t aurais pu me renvoyer tes emails, chacun de tes mots me font toujours plaisir.

en fait ici c’est le pre-printemps, c’est Georges qui m’a appris cela, en me montrant des fois les plantes qui se réveillent en janvier deja. c est marrant je me suis rendu compte de l’enormite du printemps en hiver, je crois, la saison d’apres sa mort.

tu sais ici des qu’on marche il fait chaud, avec un petit manteau, ouvert souvent, trop chaud si gros manteau.

 

 

quand je pense a la cuisine francaise, ca me rend au trepas.

Repas.

 

😘🤗😴💅👙

 

 

 

Mais les sacrifices c’est dégueulasse, quand même. quand bien meme. 🙂  la, degeulars-degeulasserie,  les lards, hilards et lasse, helas, des gens qui qui plus est s’auto-satisfassent. faire, et laissez-faire, et oui, mais ne s’efface, ces dégueulasse-S. https://cetviesenfrancais.wordpress.com

QUI.

Q

 

 

 

QUO MO VAILLE.

 

 

dis lui d’ áppeler, un gars d orange, j essaye tjs de me debrouiller seule, des heures et des heures, des milliers de cliks tres souvent pour rien. nous on a juste changer, tellement de problemes qu en recherchant je me suis rendu compte ils sont champions des mauvaises connections.     ai just change d internet serveur et de compagnie,       juste vu pubs par eux a la tele. ils payent pour la publicite, pas pour le service.          c est comme pour ma petite entreprise pour les chiens.   les agences sont partout sur internet, donc il n y a pas 1 client local qui verifient localment, mais tout le monde sur internet donce je suis oblige de travailler pour des contracteurs, qui prennent 15 % du prix a chaque fois que je vais travailller.      dis-lui d appeler, qu elle demande a son voisin pour autres choses que pour ce quíls doivent eux meme arranger. bisous.

 

 

 

De Brunhoff uses two deaths as significant plot devices that allow his story to move forward. Very close to the beginning of the book, Babar’s mother is fatally shot by a hunter, and about halfway through the book, the King of the elephants dies after eating a poisonous mushroom. In the original French text, both of these parts of the story are illustrated with large pictures of the dead elephants.

In the edited French version by Hachette Livre, however, these two images have been removed. This means that there are fewer pages in the book, and less space prescribed for the text. As a result of this, the editor has had to abridge parts of the text and change the order of some of the events.

 

 

 

 

Fil,

Fils.

 

 

 

Vous ne comprenez pas, s’il n ‘y a pas plein et encore toujours plus de Charlie, s’il n’en reste plus qu’un ou quelques-uns, ils le tueront.

 

 

 

on la lobotomise, et pour vous c est selon lui, une victime de la societe. quand bientot les capitalistes vont vous faire votre suicide de compassion prier.

 

 

 

Vénalement, vainement.

Ave, aval.

 

 

 

Alzheimer

Tu sais il faut surtout que tu te trouves une activite que tu aimes et qui t’occupe et encore davantage parce que tu vas t’occuper de papi. au debut ca peut ne pas se remarquer, mais s’occuper de quelqu’un surtout pendant de longues heures ca peut devenir tres pesant, mais meme plus.

je ne sai pa si tu a internet sur ta tablet a distanc. ai bien recu tes mots, fai bien attention a t occuper agreablemen parce que s occuper des besoin de quelqu un d autre pdt longtemps est trop eprouvan mentalemen. dis moi qd tu es revenu chez toi. avec Alzheimer je ne pens pa que papi va pvr rester seul. ca va vite et surtou comportemen peuve se degrader en 3 jour. avant ok avec bcp prbs, mais 1 semaine des foi suffi pour perdr une capacite au complet.

c est pas pour te mettre le moral a ras des paquerettes, mais je n avais pas realise la situation. tu sais s occuper de quelqu un c est tellement prenant, si on est tout seul, que les auxiliaires de vie sont toutes en depression. et elles n ont plus de vie, certaines, parce qu elles doivent y rester tout le temps. quand on arrive a cela c est meme plus un metier, plus longtemps. je suis desolee, je n avais pas compris la gravite de la situation. aussi meme quand les gens ne sont pas violents, c est comme tu l as dit, il vous pas les contredire ou faire des choses que tu sais va les enerver. le probleme c est que plus alzheimer y est, plus les choses qu’ils font peuvent etre dangereuses ou occasionees encore plus d attention, de travail…donc on est oblige d intervenir. surtout ne te laisse pas deborder et s il a besoin de medicaments pour ses comportements alors n hesite pas, parce que sinon tu deviendrais completement dependente de papi faits et gestes, et mentalement tu vas avoir besoin d energie. et puis il y a toi, et ta vie, et aussi tes envies. les bouquins, la radio, des rencontres, des amis..

demande de l’aide, administre les medocs par la nouriture, ne te laisse pas manger.

 

 

quand je dis ne te fais pas manger, par la maladie. avec Alzheimer on perd ses inhibitions, etc… le meilleur conseil que je donnerais c est de ne pas trop y penser. c est bizarre a dire, mais en quelque sorte l esprit est devenu trop puissant, car tout concentre en cet instant. c est bon pour la personne mais pour son entourage pas forcement, et puis on a assez de sa propre vie. donc lis et fait des trucs pour toi tant que tu peux.  mais si vous tentez de vous occuper de papi comme il le serait necessaire ou au mieux financierement, tu vas avoir des moments tres tres durs, sans compter que mentalement and apres physiquement il puisse arriver a un point ou il a besoin de 2 voire 3 personnes pour le changer…

 

 

 

oui, en fait elles sont tres bien ces photos je suis contente de les avoir mais je suis fachee d en avoir pas pris assez. tu es tres bien. je remarque tu as le regard fuyant et des mains sculpturales et je suis comme ca.

c est vraiment con de réagir de la sorte, de ma sorte, puis tu me manques comme ca. severement.

 

 

 

aussi ca fait des annees que je resens des brulures aux pieds. c est bete parce que j ai tjs pratiquer un sport, mais piscine ou art martial, les autres pas dans des clubs. et bien depuis 3 mois je change mes chaussettes apres l effort, et bien sur ca n a pas gueri mais cela va mieux. je change d ailleurs tout, sous vetements, tee shirt, pantalon et je me rafraichi au gant. j admet ne pas l avoir fait avant, n etait pas hygienique, pas du tout. La meme que dormir avec son tee shirt de jour. S empoisoner soi meme. Pose.

 

 

 

La vie uni, nid, la ville universitaire, j ai bien aime mais pas comme la premiere fois. mais quand meme je la trouve super sauf que pour moi elle devrait reste dans le silence pour vraiment honorer l etude.

Ni de bières.

 

 

 

Lien sur La takia (la dissimulation pieuse) : selon les écritures islamiques, la permission d’utiliser le mensonge et la dissimulation afin d’échapper à la ‘persécution’ ou sous de meilleurs auspices, d’aider à l’islamisation.

 

PS : vous pouvez tous voter extrême droite et catholiques, ce n’est pas un hasard si on en est là. Ne faites pas confiance aux racistes et sectaires, ils attendent des gens aussi déguellasses et salasses qu’eux pour se nicher, tant qu’il y a de la viande sur l’os des victimes. Et ce n est pas une question d’intelligence, les opportunistes a savent que c’est eux qui bouffent. Leur restes, l’humour adultère est qu’après cela- tout un combat est pour, en revient à l’épuisement de la bonté et du courage. En vain, sans jamais plus de bons matins.

Pour se nicher, jusqu’au dégel, le prince des ténèbres, viendra nous parler et nous apprendre la lumière, les lueurs qu’on a fait se changer.

 

 

CABU : « Je ne respecte rien »

https://www.youtube.com/watch?v=xEEyW54q_j4

 

C

C :

je suis Cabu, c est te tres encore bete, mais il etait une figure, ou en fait est une figure de mon enfance et adolescence. je regrettais d avoir passe tant de temps devant cette tele gland . mais quen quand j entends ces gens qui l interview tous le prennent pour un degenere, tout un chacun de ces journalistes lui parle comme s il etait retarde. quel desastre cette france, quelle bande, ne valant meme pas la peine de les citer. ces hommes du pouvoir unis, journalistes ou autres sont si degoutants que voila peut etre pourquoi on nous abreuve de niaiseries. mais un jour peut etre le fait de compter sur le trauma psychologique profond pour gouverner, va s etaler.

 

 

 

j aimias beacoup Mano solo, pour moi quand j ai compris qu il mourrait du sida, je me suis pose des questions sur la transmission…. quand on ne regarde que dorothee, on savait pas trop. pas du tout.

 

 

 

tu es chez toi? tu sais la france, le sud de la france, en fait la campagne, le temps, me manque. je n y pensais jamais puisqu en projet de partir, mais maintenant que je suis sedentarisee. la nature me manque cruellement meme si je me calme en me disant qu elle est tuee, qu elle n est plus…que c est alarmant.

Se consoler ainsi.

 

 

 

Suicide d’un commissaire qui en savait peut-être trop sur l’affaire “Charlie Hebdo”

https://phi-europe.org/suicide-dun-commissaire-qui-en-savait-peut-etre-trop-sur-laffaire-charlie-hebdo/

 

 

Un commissaire de police de Limoges se suicide dans son bureau

https://www.lepopulaire.fr/limoges/faits-divers/2015/01/08/un-commissaire-de-police-de-limoges-se-suicide-dans-son-bureau_11283307.html#refresh

 

 

 

 

arrete tes betises, tu fai peur a tt le monde avec tes croyance affirme de psychotic. tu m invent 1 vie que je n ai pa, me pren donc pour une person que je ne sui pa. tu sai tt le mond est fou donc les gen te comprenne meme te parle en esperan se comprendr mieu eux meme. mais c effrayant, et pui surtou a quoi bon?

a quoi sert de frequenter quelqu un qui va te prendre pour un extra terrestre, un espion, un je ne sais pas qyoi encore. il ne te prendra jamais avec ta vrai personne, character, et vrai verite, en fait ca ne faut plu rien notre amitie, t est comme tout les autres gens, t a simplement d autres facon de t exprimer et de balancer les choses precieuse, ou qu il pourrait.

 

 

 

moi j ai aimé si jamais j avais à cause des drogues tues une femme que j aimais, sans meme parler de la femme de ma vie revee, alors je terminerais ma vie en reclus et donnerai tout ce qui me reste de sang a sauver des vies sans sauver la mienne. l autre version de celle de me tuer. cantat est un ecrivain donc il ecrit. mais de toutes les facons, c est maintenant une vie de damnee. comme nous autre dans cet enfer, mais encore plus brulé.

 

 

traduce

play

verb truh-DOOSS

PrevNext

Definition

1 : to expose to shame or blame by means of falsehood and misrepresentation

2 : violatebetray

Did You Know?

Traduce is one of a number of English synonyms that you can choose when you need a word that means « to injure by speaking ill of. » Choose traduce when you want to stress the deep personal humiliation, disgrace, and distress felt by the victim. If someone doesn’t actually lie, but makes statements that injure by specific and often subtle misrepresentations, malign may be the more precise choice.

https://www.merriam-webster.com/word-of-the-day/traduce-2018-04-22?pronunciation&autoplay&utm_campaign=newsletter&utm_medium=email&utm_source=wotd&utm_content=pron

 

 

 

chronophage, my new favorite word! de toute facon, c est vrai ce qu’on dit on passe une vie dans les papiers. on ne fait rien parce que faire c est avoir des heures a arranger. pas de temps pour penser ou pour etre, et on pretend que l’on a, mais a quoi bon? etre prisonier de tout cela.

mais tu sais chronos mange ses enfants, il est ‘eventre’ par zeus, etc….ca c est pour les titans, et les olympiens.

 

j ai moins, j ai augmente les prix- pour pas me sentir completement exploite et vide, surtout pour ralentir les allez et venus pour les voisins. mais prix augmente plus personne ne vient. je suis en train de preparer le linge avant d aller marcher le labrador creme, et qu’est ce que j entends pas? chronophage! sur france culture, compare aussi a la notion de … negoce. et des gens a vendre.

 

 

Sentire, tir, cent, scent. Sentier. Ca.

 

 

 

Geneviève de Fontenay : « Non, je ne suis pas Charlie »

 

https://www.youtube.com/watch?v=n7H1eF1Bg18

 

C : a france tendress et colabo. ou allons-nous? marchons, … camp de concentration, merci madame.

Evidemment, il pourrait etre de mauvais gout que tous les nobles se retrouveront.

Evidemment, il pourrait être de mauvais gout que tous les nobles se retrouveront, venu de tous les mondes et sur soi ou sur l’autre, à cracher sur tout. Balancer.

 

Abbé de la Morandais « Je ne suis pas Charlie » – C à vous – 25/02/2015

 

C : la religion se moque des gens.

Le cure en raconte beaucoup sur le juif mais pas la moindre sur l islam, oui forcement.

 

 

 

INDE : Deux sœurs condamnées à être violées et exposées nues – Explications

https://www.youtube.com/watch?v=Hknc5ZXAais

 

C : quand on croit avoir tout entendu, ou qu’on ne se rappelait plus.

 

 

 

 

 

Alma Forrer – Bobby (Version Single)

https://www.youtube.com/watch?v=F6hY9qOaev8

 

Je me suis souvent demande s’il m’aurait été possible d’écrire des chansons. je sais que je n’ai pas une vie intérieure ou intuitive satisfaisant le format. Mais quand on a votre talent poétique et le tact littéraire, peut-être la lecture, s’inspirer d’une histoire, d’un élan peut occasionner ou la rencontre possible avec cet autre autre texte, ces autres êtres, ces réalisations, ces libertés se faisant, et aventures de tous les temps, ces mondes décrits aussi bellement que bobby.

Si le vent.

 

 

Quo ? aplati.

 

 

j adore la pluie, c est un tres bon son, et aussi moins de sons venus d autres que la nature.

 

 

 

et toi? hier c etait ete indien, mais d un chaud qui suggeste que la pollution donne la fievre. c est pas une sensation de chaleur normale, je crois pas.

 

 

 

 

 

Marine Le Pen, le fin du plafond de verre ? – Les Terriens du Samedi

https://www.youtube.com/watch?v=AHgBr0yy54Y

 

C : evidemment, c est lepen et la pollution. et les skinheads. et ce brule d aardisson. mais qu est ce qui raconte ils sont petiniste. Ardis-s-on, comme harley, il est cuit, mais pour essayer de se la jouer gainsbourgh laisse, lasse tomber.

En fait j ai une eût esthete, teh thoe theorie, ils gardent les memes gens comme ca ca reste au meme niveau de debilite. L esprit, l oseil, rien a grand, craindre des grain galet.

soyez extreme droite, et bien j estpere que nous immigrerons, les francais, pour etre sure de vous degommer.

selon cette vipere, il faudrais plus mauvais? il aurait pu etre un bon truc quand meme, la psycho de toi. avec un petit detecteur encore pu plus chagrinant, le velin qui s octroie.

il aurait pu etre un bon truc quand meme, la psycho de toi.

 

 

 

Tape, tape,

Etape, étape, étape.

 

 

 

 

Probleme d’higiene dans locaux.

pour une installation tres pauvre, moi je trouve que ca va. mais bon tant qu on sera pas vegetariens, on meritera toutes les maladies qu’on aura.

inspecteure veterinaire, sympa comme metier, qui en general et bien ils abat. ouir, ouar, chouar. choisir cette maudite histoire.

bon ok apres 5 min de video tu comprends que c est vraiment degeu. mais moi j ai eu les cafards au foyer, personne ne pouvait s en debarrasser, et c etait a la mairie ou une annexe qu elle appartenait, paris banlieu. en fait c etait nos copains,  animaux domestiques pas humains autorises. e n chine j ai pratiquemment adopte un lezard squattant dans l appart, beaucoup beaucoup je l ai aime. mais comment elle peut dire qu ils se sont essuyes les mains avec??? c est du parti pris ca. et comment on fait avec la solution qui a remplace la facon traditionelle de laver, par des plastiques qui vont nous faire bientot plus que tout creuver. les germes ca vous inquiete? a mon avis pas. si ca vous inquietez on ferait pas cette polution en boucle multipliee.

 

 

 

prend-bien soin de papi parce qu a mon avis il doit bien souffrir sans mami. au debut ca peut etre si deroutant, que la tristesse occupe le corps mais apres on ressent l absence, l oublie etc. donc ca peut tourner a l horreur…

j espere que t a rencontre quelqu un ca fait toujours du bien et puis aussi c est rassurant d avoir ete avec quelqu un quand on est seul apres. je trouve.

 

 

 

Vite,

Vo, vit.

 

 

 

je t ai dit je perds ma meilleure cliente parce qu elle divorce et donc s’en va. je lui ai bien dit, prenez votre temps pour vendre la maison, ne perdez pas de l’argent par simple raison d’empressement.

elle m a carrement dit que son mari n etait plus gentil, ne s occupait pas de leur enfant, se contente de jouer a des jeux videos, boire et etre disrespectueux apres. elle m a dit je ne veux plus etre miserable et avec un adoslescent. j avais senti il est trop moqueur. assez feminin mais du type qui te renvoie d ou tu es dans les cuisines. trop, mais vraiment trop belle pour lui, avec bon metier….a mon avis, il a du lui en faire miroiter. tu parles un chef de chantier, menuisier, normallement ca promets. mais voila quand on est dedaigneux… ca en cache. hideux.

 

 

 

oui, mais bon le 1er on a le droit de faire c que bon plait. et puis t as raison ca reconnecte de voir ou faire des niaiseries. ca recharge quelque part. l annee de mon retour de chine, je regardais bcp de tele realite, tu sais pour savoir ce que les gens disaient de leurs vies, de leurs experiences. beaucoup, des journees entieres, aussi pour me remettre de la peur d avoir perdu mon francais courant.

et puis adjani est pas mal. clooney a fait quelques films interessant. mais je le trouve un peu bof quand meme, ainsi que macron.

‘on resiste!’

 

 

 

Normandie : jugé pour le viol d’une lycéenne, il est acquitté

 

Pas les « codes culturels »

L’avocate de la défense a plaidé les difficultés d’interprétation qui, selon elle, sont le fil conducteur de ces affaires. Difficulté d’interprétation de la part de son client qui « n’avait pas les codes culturels » pour prendre conscience qu’il imposait une relation par crainte ou par surprise. Difficulté d’interprétation de la part de la victime qui a pu prendre un regard comme une menace et donc une contrainte. Difficulté d’interprétation des enquêteurs qui n’ont pas su mesurer le désarroi de la victime.

Après l’énoncé du verdict, le président a pris soin de préciser que »la décision de la cour n’est pas une remise en cause de la sincérité » de la plaignante. La cour a estimé que l’accusé n’avait pas conscience d’imposer un rapport sexuel.

https://www.lamanchelibre.fr/actualite-620903-normandie-juge-pour-le-viol-d-une-lyceenne-il-est-acquitte

 

 

 

tu vas voir s il elle a pas une conscience al lan l la nature.

Lalalal

 

 

 

quand j etais chez georges pendant une saison d ete j ai passe quelques nuit dehors, je sortais de chez lui en pleine nuit. george etait jardinier est m a appris beaucoup sur les cycles de la nature. que la nature commence a reeclore en janvier je ne l avais meme pas remarquer, sans lui me montrant les bourgeons super avances en fevrier. et la nuit est si belle, les oiseaux qui annoncent l arrivee de la lumiere avant que l humain ne la voit, en ete a 3 heures du matin, marchant sur londres a lisier des bois et park, grand pre, seule, que des gens pres des routes ou les pubs encore ouverts apres minuit. c est un des souvenirs qui m aura le plus marquee.

 

en fait c etait ca l aventure, je n ai jamais eu peur, la nuit etait bienveillante, je pouvais voir tout ce qui etait autour, simplement leur ombre changeait. en fait j ai arrete parce que il y avait une fois des gens faisant des trucs bizarre dans l herbe, je crois que c etait un couple ou plusieurs amis mais recherchant du frisson, et la raison pour laquel j ai arrete c est que la derniere fois a l oree du bois, se trouvait un groupe de gars, qui commencait a se demander pourquoi je me baladais, tu sais je marchais plusieurs heures sur juste 5 hectares…

mais je veux recommencer. avec mes chiennes.

 

 

 

oui effectivement. j admets que pour moi c’etait la maison revee aussi. mais tu sais ca casse trop d avoir une centaine de kms a faire pour aller travailler. moi je la laisserais aussi sauvage que se peut. la campagne me manque terriblement, mais c est vrai la vrai, ou il n y a que la nature, donc plus possible d y acceder ou au moins d y vivre. se trouver, plutot que de se retrouver.

ah un gros conseil: achete une cocotte minute electrique, c est simplement parfait. ca cuit tout, sans qu il y ai de vapeur sortant du pot, c est silencieux, et n a pas besoin d etre surveille, auto-regulation, je viens de l acheter -premier prix, avec haricots secs option- 50 euros-, c est simplement genial.

 

 

 

‘écrire comme un cochon

i don’t think it is insulting, it is french. also it may be used because it is important that the pupils treat their tools correctly, that you need them to reread and to be read, and also it might help the teachers for the pupils to be less hectic however.

i don’t think it is insulting. i think people find it insulting as they just find convenient to forget how other animals are, or may be intelligent, intuitive, knowledgeable and decent. but of course as they would eat pork. did they say ‘that is not a torchon’? is still transferable good study skills. and life one, if the torch did not mean a beacon.

 

 

 

privation de liberté

deprivation of liberty

 

depraved, private.

Prive. Prix.

Privé ?

Rive. Riz.

 

 

 

Before, without her, i saw my life like death. Now death is the smile in which I would find her like the sun is Ra.

Mile is in the sequence and the essence of the travel.

 

 

 

C est incroyable votre histoire ? meme pas c est ce gros flic qui demande que la racaille al plus viles fassent parti des effectifs pour qu ils finiessen (finir en finesse) pas terroristes. Tu suce soit il est tare, un gros probleme mental et intellectuelle, et fait parti integrante, inter-integristes des pourris. Paris ? parti.

A mon avis il est ou tout d un peu ce bene.

Et la il y a pas la gauche fashiste et conne mais bien tout comme la droite, une option en plus de merde qui vient les consoler, les chagriner, parce qu on sait bien que de toute facon on est pas a l écrevisse-decret et creux, epave, pavé,  échafaud a crever de la cheville de cette gauche poisonier.

Pas d echelle de serrurier. Urier. Usure, urn, uriner.

 

 

Bien, beh, baie, bay.

 

 

 

OUI, c’ est le meme systeme. je me bourre de qch et apres je redeviens ou reviens a quelque rythme plus constant ou disons regulier- pas cesser.

.

oui, moi la tele avec sh. mais ca y est je ne veux meme plus etre dans la meme piece quand elle regarde sa serie. toujours les meme gens pdt des annees, pas tres bon comedien la plus part du temps. ca me tape sur le systeme surtout qu au depart pour etre avec sherry et pour mon anglais je regardais.

par contre moi c est youtube…

 

 

 

 

ca c est une super nouvelle. mais pas d hotel, tu ne nous derangera pas. faut avoir un letmotiv pour se concentrer, et des fois c est s evader de ses propres pensees. c est tellement barbant d etre dans son propre esprite etrique, et puis des fois c est tellement passionant, et puis la majeure partie du temps on passe completement a cote. merci de venir. merci bcp.

 

 

 

ils travaillent tous pour le consulat c est gens – la qui fetent un evenement comme ca. ils ont raisons comme les functionnaires qui sont plus nombreux dans les temps ou la tete est plus a gauche, comme ca ils sont sur de se marier entre eux. Ca requiert une certaine promiscuite quand meme.

 

 

 

auteur teur, ture. Tenure.

High in French, auteur = writer.

Rite, write.

To transmit.

 

 

 

et la guerre de seccession, c est tjrs les memes sujets…moi je me suis trouve a pleure comme une madeleine quand la mere de l heroine se fait assassiner, ou que des trucs comme ca. mais j engeule sherry apres, parce qu il y a encore tant d escalave, et de servage aujourd hui, pourquoi rechercher l emotion, dans ces series, c est navrant.

 

 

 

 

je traduis si il y a 1 truc qui te dit, fennel c est fenouil et c est bcp recommande pour de nombreux trucs.

 

 

 

moi je m achete des vitamines contre le veillissement des yeus, c est pour les plus de 50 ans mais j ai commence de s 30 ans. irregulierment et maintenant serieusement de temps en temps.

 

et les carottes. je my remet surtout au printemps ete.

 

 

 

ND : Je pense que nous sommes là qu’ une seule fois,

 

Qu’est ce qu’ elle a ta chienne?

 

 

rien, mais je dois renouveller son assurance, et je commence a faire mes comptes. je pense que le truc c est que si la maladie est normale on peut payer, et si la maladie est chronique alors l assurance ne prend en charge qu une partie peut etre infime du prix. ca me fait flipper. des betes a chagrin. donc situation ou tu prends 1 animal et lui fait tout les frais vetos, mais pas possible d en prendre un autre apres ou…

 

tu crois pas en l ame?

ou comme certaines philo antiques, tu crois qu elle serait detruite??

 

L

L

L

L

 

 

 

oui, mais si tu dis a un homo, la seule facon d etre avec une personne de ton sex, c est d’en changer. alors la personne va dire d accord.

moi je ne suis pas trans, mais meme aujourd’hui je prefererais etre torturer…i.e etre opere si la seule solution pour etre avec une femme etait celle-ci.

 

enfin maintenant a mon avis je dirais non et preferais en zigouiller.

 

interessant, que tu ne comprennes pas l argumentation, ca veut bien dire que ca va marcher. pour moi, ca tombe sous le sens. quand meme pour te dire, puisque j aime porter des attributs plutot masculin, j aurais pu etre identifie comme trans, sans problemes….

 

l

l

l

 

 

 

notre dame.

Nd

A dn.

 

 

 

des heures de tele en attendant les 2 min de philo. ils sont malins

 

 

 

oui, le temps va nous tuer. de l humour, mond mon dieu que je suis lourde.

j aime bcp le jeu feminin. elle garde le ballon.

ne me pas de collants qui colle a la peau, c est mauvais, la peau ne peut pas respirer. je t ai dit que je saignait noir de sistite l hiver ou j ai mis des collants, maintenant je mets des calecons longs ou des pantalons qui couvrent mes pantalons.

 

 

 

murmures.

mures.

Mur ?

 

 

 

 

 

Finkielkraut sur le Mondial de football féminin: «Ce n’est pas comme ça que j’ai envie de voir les femmes» (vidéo)

https://www.lesoir.be/229203/article/2019-06-06/finkielkraut-sur-le-mondial-de-football-feminin-ce-nest-pas-comme-ca-que-jai

 

 

C :je pense qu’il faut laisser tomber. Tout le monde ne le sait pas, mais il suffit d’avoir fréquenté les lieux a philo pour savoir que la plus belle des niques est de se faire une place de ‘penseur –‘peseur’

Quand on est à des années lumières de philosopher. Vous pensez être paye pour se que l on ne fait et de par la arriver a commander !

 

Comme si vous payez un macon qui construit un trou a fiente a la place du coin cuisine-salles de bain-wc. Chambre-salon peu apres.

Garage a la tome, tombe.

M

M

Mm

 

 

 

Greenwashing : La mascarade écologique des entreprises

https://www.youtube.com/watch?v=OhUybwER2sQ

 

Tziganes : Origines et persécutions – Toute L’Histoire

 

https://www.youtube.com/watch?v=ncGsoWZOYHI

 

 

 

DURGA MANTRA

https://www.youtube.com/watch?v=O5wlqRcTLDA

 

 

 

je trouve que c est hilarant.

 

COMPLEXE G Saison 1 Episode 10

https://www.youtube.com/watch?v=J8exExZdvqU

 

 

C.ET: en fait je crois que le truc c est qu elle aime la simulation. peut etr e pas grand chose d autres, c est marrant. tordant. ce serait bien si c etait ca au boulot quand meme.

 

 

 

Bob Marley « natural mystic » traduction FR

https://www.youtube.com/watch?v=EyHnwGFzgl4

 

 

 

Dalida – Ton prénom dans mon cœur

https://www.youtube.com/watch?v=FZG3XWFVuUM

 

 

 

J’irai pas au marché

https://www.youtube.com/watch?v=q1XI5atYGkg&list=RD-gbXZ-5fJLs&index=5

 

LES 7 ARMES SECRÈTES — QUE LA RUSSIE NOUS CACHE –

 

 

 

ai recu ton message tard, me sert de tel – en -. une tres bonne anne a toi, ta famille, et bien sur tes chats. prend soin d eux et de toi. rester soi et sympa.

Rester roi ?

 

 

 

Le nouveau statut juridique de l’animal : une idée audacieuse pour une réforme ineffective

Gandhi disait « on reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux ».

https://www.lepetitjuriste.fr/droit-civil/le-nouveau-statut-juridique-de-lanimal-une-idee-audacieuse-pour-une-reforme-ineffective/

 

 

 

Chine : Mon week-end dans 2m² – L’Effet Papillon – CANAL+

https://www.youtube.com/watch?v=1uJvBiPDbiY

 

 

 

https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/ https://www.l214.com/

 

 

 

metra (womb)

maitre, metre.

Mettre.

 

In french Meter, master, put in.

 

 

 

Mylène Farmer – A L’Ombre

https://www.youtube.com/watch?v=4VH7Eg5LJpc&list=PLYzWav8Mn3txnQjmotHxpaKe_RTlefi_M

 

 

 

Définition : Droit subjectif – toupie.org www.toupie.org/Dictionnaire/Droit_subjectif.htm

Subjectif: de sujet, celui qui dépend, du latin subjacere, être placé dessous, être situé dessous, être soumis à, être subordonné à, dépendre de. L’adjectif subjectif qualifie ce qui a un rapport au sujet , ce qui se passe dans l’esprit, ce qui est en nous, qui relève du jugement ou du goût personnel.

 

 

 

Proverbes haïtiens.

L’arbre le plus haut dit qu’il voit loin, mais la graine qui se promène dit qu’elle voit plus loin que lui.

https://dicocitations.lemonde.fr/citations/citation-157753.php

 

 

 

pensez a ses collegues comme ca a pres toute cette merde, c est un peu bourg. Parce que les gens pou populaires sont des diables, et leurs sous fifres sont si tune trend tendres.

c est marrant, ca m arrange or m arrangue, la chance de vivre en campagne, si on ne pense pas que l homme vit pour tuer l animal, duquel il est en dessous, parce quel malchance au change, le predateur est une pest- pese, mais quand on en est on s endoute pas.

 

 

 

Comb-ine, com-bin-e.

Co-bien.

Combine.

 

 

 

Les Deschiens – Chirac à l’île Maurice .avi

https://www.youtube.com/watch?v=SrHu1XZHZx4&list=RD-gbXZ-5fJLs&index=18

 

 

 

Vicky Leandros – Apres Toi

https://www.youtube.com/watch?v=ZA5KP-WwIuQ

 

 

Livre audio : Omphale, ou la Tapisserie amoureuse, de Théophile Gautier

 

 

 

[RARE] NERVAL – Une Vie, une Œuvre : Les portes d’Ivoire (France Culture, 1984)

https://www.youtube.com/watch?v=cvAXpUrGq7A

 

 

 

 

 

 

La Bataille de Roncevaux

https://www.youtube.com/watch?v=wbj1MnuxuC8

 

 

 

https://cetviesenfrancais.wordpress.com

 

https://www.youtube.com/watch?v=-ba3B4ICqkE

 

 

 

comme les voluntaires a l ONU, intermittents du spectacle.

gugus

 

 

 

gourus et russe.

Rus, rue, ruse,

 

 

rule

 

 

 

 

Arnaques téléphoniques: enfin de grosses amendes!

1 février 2017 • 5 commentaires

Deux sociétés françaises viennent d’être condamnées par la justice à plusieurs centaines de milliers d’euros d’amendes pour avoir incité des millions de personnes à appeler à leur insu des numéros surtaxés.
Lire la suite

https://www.annuaire-inverse-france.com/actualites/arnaques-telephoniques-ou-abus/r3

 

 

Saint-Malo victime d’un piratage téléphonique à 80 000 euros

25 novembre 2016 • 1 commentaires

80 000 euros, c’est la somme délirante que doit verser la mairie de Saint-Malo à son opérateur téléphonique. En cause: une vaste arnaque téléphonique dont a été victime son standard. Retour sur cette affaire.
Lire la suite

https://www.annuaire-inverse-france.com/actualites/arnaques-telephoniques-ou-abus/r3

 

 

Mouchard Portable, Mouchard Iphone, Mouchard Telephone

https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=4XA9l4tkCOs

 

 

Un mouchard chinois découvert dans des milliers de smartphones

https://www.annuaire-inverse-france.com/actualites/un-mouchard-chinois-decouvert-dans-des-milliers-de-smartphones/1186

 

 

 

DF et Cerk – La conscience et l’égotrip (Prod. DjCerk)

https://www.youtube.com/watch?v=V1pY3kXZqFE

C : je dirais prononcez mieux le refrain, mais ce dialogue est tres malin. prononcez incitera a inserer plus de variation, precision, incision, en bon pire et puis point.

Bon sens…

Bon……………….

no

 

(knob)

 

 

 

portrait vincent guillot intersexe, arte (sous titre)

 

https://www.youtube.com/watch?v=oOx1pzT8BcA

 

C.ET: mon dieu, quel horreur je suis d accord c est des branleurs les medecins,. c est des cowbaie (pas la bete, moi je suis contre l experimentation animale aussi bien)

ou des martyres qui cherchent. certains

 

 

 

moi je pense qu il est toujours trop tard, rien ne rattrapera la souffrance de tous ces humains et ces animaux. peut etre un miracle, mais pour cela on est pas assez beau.

 

 

 

tu sais je crois que quand on est dans le comble de l horreur, peut etre ne pouvons meme plus redouter. peut etre plus qu imiter ou souhaiter une fin, mais connaissant le monde, amer, aux hommes, a terre, peut etre esperer… plus rien.

 

 

 

bien réagit, pas trop mal, mais ce que je voulais dire c est que c etait par pure chance. d avoir ete dans tous ces trucs compliques, pueriles, sans dangers aussi, parce qu en fait j avais pas un challenge. ou pas un vrai. la fuite.

tu sais c est a cause de cela que j ai quitte la campagne mais meme soufrante, mais meme presque partie elle me manque tant. je ne supporte plus l idee de la ville.

 

 

 

 

moi je pense qu il est toujours trop tard, rien ne rattrapera la souffrance de tous ces humains et ces animaux. peut etre un miracle, mais pour cela on est pas assez beau.

 

 

 

d accord mais etre tout seul c est pas bon a la longue. a moins qu on veuille rencontre une entite cosmique, mais bon, le voyage d apres je sais pas, etre seul ca devient facilement morbide, fais attention.

Rien qu’un chat.

 

 

 

 

Un referundum n’est pas forcement democratique mais devrait etre illegal si les votants ne presentent pas de papier d’identite. Un regard sur les anglais.

 

Un referundum n’est pas forcement democratique mais devrait etre illegal si les votants ne presentent pas de papier d’identite. un regard sur les gagas d’ anglais.

 

JE NE SAIS PAS exactement comment présenter ce poste car très peu de littérature sur le sujet ou littérature peu renseignée.

. De peur que ceci soit tellement pas representé et pourtant si gros de procedures democratiques ehontes que mon blog ne soient disqualifié, tant que va la bonhomme ambiante et dont nous sommes tous infligés incredulité. Innocent tant que pas prouvé coupable, donc les elites vont s’arreter d’ecrire et de pavoiser (on a tant dit que les mots sont que des mots remarque -de les avoir tant trompé et dénigré par toutes les classes et couches par couches tout langer.

Simple en angleterre pas de carte d’identité obligatoire, et pas dans l’obligation de présenter sa carte d’électeur non plus. Alors qui vote ? apres l’example des morts votant pour le maire de Paris, je suis sûre que vous voyez.

 

 

 

https://www.lemonde.fr/europe/article/2017/01/02/le-projet-d-imposer-la-carte-d-identite-fait-debat-au-royaume-uni_5056438_3214.html

Le projet de contrôler l’identité des électeurs fait débat au Royaume-Uni

 

L’introduction de cette mesure fait suite à un scandale lors de l’élection du premier maire musulman d’un district du Grand Londres. https://www.lemonde.fr/europe/article/2017/01/02/le-projet-d-imposer-la-carte-d-identite-fait-debat-au-royaume-uni_5056438_3214.html

Les Britanniques n’ont pas de carte d’identité. Même après les attentats de 2005 à Londres, le gouvernement n’a jamais pu en introduire l’usage, jugé attentatoire aux libertés individuelles. Aussi le projet de Downing Street d’imposer un contrôle d’identité à l’entrée des bureaux de vote suscite-t-il la polémique, d’autant plus vivement que l’idée va d’abord être testée dans dix-huit zones jugées « vulnérables » à la fraude sous prétexte qu’elles sont habitées largement par une population issue de l’immigration.

https://www.lemonde.fr/europe/article/2017/01/02/le-projet-d-imposer-la-carte-d-identite-fait-debat-au-royaume-uni_5056438_3214.html

 

 

https://www.tdg.ch/monde/failles-systeme-electoral-viseur/story/10616028

 

Les failles du système électoral dans le viseur

Certains aspects du système «feraient honte à une république bananière», avait accusé en 2005 le juge britannique Richard Mawrey. Il s’exprimait après la condamnation de six élus travaillistes dans un cas de fraude massive via des votes par correspondance.

Autre spécificité du système électoral, il est possible d’aller voter sans carte d’électeur ni document d’identité: il suffit de décliner son nom et son adresse pour être autorisé à glisser un bulletin dans l’urne. Or, comme les registres électoraux sont réalisés à l’échelle locale, un électeur possédant plusieurs adresses peut s’inscrire dans différentes circonscriptions.

https://www.tdg.ch/monde/failles-systeme-electoral-viseur/story/10616028

 

 

C : après recherche assez longue les seuls articles en français traitant du sujet que j’ai trouvé, écrits par Le Monde et TDG, hallucinant.

La loi de la rue. L’hooliganisme. Les députés se montrant en faveur de rester dans l’union européenne ont étaient menacés physiquement en angleterre. Un pays de dérégulation totale et complètement capitalistique ou le profit est roi, et la loi a plat, ou tout le droit, et d’enfler, est le bien gardé de l’employeur (employé servant sans droit à rien qu’à opiner) et du propriétaire. Mais ne se voiler pas la face, cette sphère, la France en sera). Le droit deviendra complétement privatiser, et sans aucun sens des responsabilités, du devoir, de l’altérité. Prioritisé, la torture, la tyrannie, les viandes dont on se repaîtraient.

 

 

 

Pas mentionné, les adresses et noms de millions d’électeurs sont en ligne, ce qui veut dire qu’on n’a pas besoin de 2 adresses pour voter 2 fois (bien que traditionnellement les gens avec maisons secondaires le peuvent), mais simplement de coordonnées d’électeurs, qu’on peut obtenir par un simple clic sur le web depuis n’importe quel ordinateur.

En sachant que c’est les extrêmes qui sont les plus militants, qui va faire de son devoir démocratique, d’aller tricher, puisque c’est la course aux truchements ? mieux qu’a Rispa, on a pas même besoin de faire voter les morts.

Qui a voté pour le brexit des dizaines de fois par scrutin, les fashos, dont le chef d’origine lointaine francaise, farage, et député europeen, d’origine au moins un peu, et sa femme d’une autre nationalite, a perdu son parti. Mais en fait non, c’était le groupe électoral pouvant allant et venant dans les circonscriptions faire … perdre la France. Et bien voilà-voilà,  et avec les stations de votes dans les églises, c’est pas un père, c’est un vicaire, mais quand même avec ce degré d’honnêteté, on attend plus que lll le curé.

 

J’ai vu quelques articles, dont un universitaire, disant que l’on doit présenter sa carte d’électeur. 1 ce sont des cartons en noirs et blancs très facile à imiter, en 2 personnellement en angleterre j’ai voté pour les municipales et pour les européennes sans carte d’identité ni carte électorale – sans rien de plus que décliner nom et adresses (détails, informations visibles de tout le corps électoral sur internet si particuliers ne demandent pas de manière individuelle que leurs noms et adresse ne soient retirés) comme le mentionne dans les articles ci-dessus.

 

 

Ici rapport européen sur le manque patent d’authentification au moment du vote :

 

 

https://www.theguardian.com/science/2015/mar/18/genetic-study-30-percent-white-british-dna-german-ancestry

 

AVIS SUR LE DROIT ÉLECTORAL

DU ROYAUME-UNI

Adopté par le Conseil des élections démocratiques

lors de sa 23e

réunion

(Venise, 13 décembre 2007)

et par la Commission de Venise

lors de sa 73e

session plénière

(Venise, 14-15 décembre 2007)

sur la base des observations de

  1. Carlos CLOSA MONTERO (membre, Espagne)
  2. Ugo MIFSUD BONNICI (membre, Malte)

 

 

Strasbourg, le 9 janvier 2008

Avis n° 436 / 2007

CDL-AD(2007)046

Or. angl.

COMMISSION EUROPÉENNE POUR LA DÉMOCRATIE PAR LE DROIT

(COMMISSION DE VENISE)

 

 

1.1.3. Absence d’identifiants personnels au moment de l’inscription

  1. Le système d’inscription des électeurs de la Grande-Bretagne n’impose pas de fournir des

identifiants personnels pour s’inscrire. Le respect traditionnel des Britanniques pour la vie

privée rend les identifiants personnels difficiles à imposer. L

 

  1. Le système repose sur l’honnêteté des individus. On part du principe général selon lequel

ces derniers fournissent des informations véridiques, tout en prévoyant prudemment des

sanctions contre ceux qui fournissent des informations fausses.

 

Conclusion

D’autre part, l’absence d’identifiants

personnels et le fait que le système repose sur la conviction générale que les citoyens sont

de bonne foi peuvent être à l’origine d’erreurs, elles-mêmes sources d’autres inconvénients.

Il est vivement recommandé de recourir à des identifiants personnels plus fiables. Les

sanctions sont un mécanisme destiné à punir les abus a posteriori, mais elles ne peuvent,

par elles-mêmes, garantir la fiabilité du scrutin.

https://www.venice.coe.int/webforms/documents/default.aspx

 

 

 

 

La loi de la rue. L’hooliganisme. Les députés se montrant en faveur de rester dans l’union européenne ont étaient menacés physiquement en angleterre. Un pays de dérégulation totale et complètement capitalistique ou le profit est roi, et la loi a plat, ou tout le droit, et d’enfler, est le bien gardé de l’employeur (employé servant sans droit à rien qu’à opiner) et du propriétaire. Mais ne se voiler pas la face, cette sphère, la France en sera). Le droit deviendra complétement privatiser, et sans aucun sens des responsabilités, du devoir, de l’altérité. Prioritisé, la torture, la tyrannie, les viandes dont on se repaîtraient.

 

 

 

Pas mentionné, les adresses et noms de millions d’électeurs sont en ligne, ce qui veut dire qu’on n’a pas besoin de 2 adresses pour voter 2 fois (bien que traditionnellement les gens avec maisons secondaires le peuvent), mais simplement de coordonnées d’électeurs, qu’on peut obtenir par un simple clic sur le web depuis n’importe quel ordinateur.

En sachant que c’est les extrêmes qui sont les plus militants, qui va faire de son devoir démocratique, d’aller tricher, puisque c’est la course aux truchements ? mieux qu’a Rispa, on a pas même besoin de faire voter les morts.

Qui a voté pour le brexit des dizaines de fois par scrutin, les fashos, dont le chef d’origine lointaine francaise, farage, et député europeen, d’origine au moins un peu, et sa femme d’une autre nationalite, a perdu son parti. Mais en fait non, c’était le groupe électoral pouvant allant et venant dans les circonscriptions faire … perdre la France. Et bien voilà-voilà,  et avec les stations de votes dans les églises, c’est pas un père, c’est un vicaire, mais quand même avec ce degré d’honnêteté, on attend plus que lll le curé.

 

J’ai vu quelques articles, dont un universitaire, disant que l’on doit présenter sa carte d’électeur. 1 ce sont des cartons en noirs et blancs très facile à imiter, en 2 personnellement en angleterre j’ai voté pour les municipales et pour les européennes sans carte d’identité ni carte électorale – sans rien de plus que décliner nom et adresses (détails, informations visibles de tout le corps électoral sur internet si particuliers ne demandent pas de manière individuelle que leurs noms et adresse ne soient retirés) comme le mentionne dans les articles ci-dessus.

 

 

Ici rapport européen sur le manque patent d’authentification au moment du vote :

 

 

https://www.theguardian.com/science/2015/mar/18/genetic-study-30-percent-white-british-dna-german-ancestry

 

AVIS SUR LE DROIT ÉLECTORAL

DU ROYAUME-UNI

Adopté par le Conseil des élections démocratiques

lors de sa 23e

réunion

(Venise, 13 décembre 2007)

et par la Commission de Venise

lors de sa 73e

session plénière

(Venise, 14-15 décembre 2007)

sur la base des observations de

  1. Carlos CLOSA MONTERO (membre, Espagne)
  2. Ugo MIFSUD BONNICI (membre, Malte)

 

 

Strasbourg, le 9 janvier 2008

Avis n° 436 / 2007

CDL-AD(2007)046

Or. angl.

COMMISSION EUROPÉENNE POUR LA DÉMOCRATIE PAR LE DROIT

(COMMISSION DE VENISE)

 

 

1.1.3. Absence d’identifiants personnels au moment de l’inscription

  1. Le système d’inscription des électeurs de la Grande-Bretagne n’impose pas de fournir des

identifiants personnels pour s’inscrire. Le respect traditionnel des Britanniques pour la vie

privée rend les identifiants personnels difficiles à imposer. L

 

  1. Le système repose sur l’honnêteté des individus. On part du principe général selon lequel

ces derniers fournissent des informations véridiques, tout en prévoyant prudemment des

sanctions contre ceux qui fournissent des informations fausses.

 

Conclusion

D’autre part, l’absence d’identifiants

personnels et le fait que le système repose sur la conviction générale que les citoyens sont

de bonne foi peuvent être à l’origine d’erreurs, elles-mêmes sources d’autres inconvénients.

Il est vivement recommandé de recourir à des identifiants personnels plus fiables. Les

sanctions sont un mécanisme destiné à punir les abus a posteriori, mais elles ne peuvent,

par elles-mêmes, garantir la fiabilité du scrutin.

https://www.venice.coe.int/webforms/documents/default.aspx

 

 

 

 

COMMENT VIRER SES PUTES ?

 

 

Tout va très bien, Madame la Marquise

https://www.youtube.com/watch?v=T5WdpSPeQUE

 

 

 

C’est les rats, le pop. peuple est roi.

Ne serait pas fait, síl (cil) ce n’était pas primordialement pour de l’essence.

 

 

 

Tous les pédants, roulants vite, ne jetant pas un regard comme dédain, ou matant, enfourchant leurs voitures et riches se croyant. Maintenant que trop de bitume pour avoir de chevaux, c’est sans nos espèces, ces espèces, les espèces en liberté, sans avoir la crainte le danger, l’annonce de la fin d’une civilisation. Depuis des temps, de la civilisation humaine, d’une humaine civilisation. La rétribution sur épreuve échouée, ne sera pas (plus pluie) longtemps retardé.

Serge Gainsbourg Requiem Pour Un Con French & English Subtitles

https://www.youtube.com/watch?v=0ek7588O1V0

https://www.youtube.com/watch?v=0ek7588O1V0

 

 

« Goodbye Emmanuelle » Theme (Translated Lyrics) Serge Gainsbourg

https://www.youtube.com/watch?v=yrzX-4qr_Zw

 

 

 

INFO LE FIGARO – Emmanuel Macron avait annoncé mardi soir que la reconstruction de la cathédrale de Paris devrait être achevée «d’ici cinq années». Il a convié les principaux acteurs du chantier du siècle mercredi après-midi pour rendre le défi possible.

http://www.lefigaro.fr/culture/notre-dame-une-reunion-a-l-elysee-cet-apres-midi-pour-accelerer-le-chantier-20190417/

 

C : Tourner en telle derision un tel batiment detruit par un de ses pseudo elegant enclin en clan. Mais remettre ses equipes sur le coup. Ca si. Reussir a mettre le feu a notre dame devrait se terminer avec la chaine de commande en prison. On ne neglige pas un batiment, une merveille telle qu’elle sans etre incrimine. La mafia du batiment.

Emmanuel Macron promet que Notre-Dame de Paris sera …

https://www.programme-tv.net/news/tv/230496-emmanuel-macron-promet…

Alors oui, nous rebâtirons la cathédrale NotreDame plus belle encore et je veux que cela soit achevé d’ici cinq années. Nous le pouvons et là aussi nous mobiliserons », a-t-il promis.

 

Mobile, play-mobile.

Une roulette (rus-s-e).

Suggérer.

 

Bénédiction urbi et orbi

M-anuelle.

M – obi.

Obi-

Obi, en latin, Translation

To go to meet; to die

Mobile?

Maudire.

 

 

http://www.dicolatin.com/EN/LAK/0/OBI/index.htm

 

OBEO, IS, IRE, II et IVI, ITUM, tr

1 siècle avant J.C.CICERO (Cicéron)

atteindre v. t : (s’approcher de), parvenir à voir: atteindre

parcourir v. t : (visiter), aller d’un bout à l’autre de voir: parcourir

visiter v. t : (parcourir), aller voir voir: visiter

ens commun

OBEO, IS, IRE, II et IVI, ITUM, tr

1 before J.C.CICERO (Cicéron)

atteindre v. t : (s’approcher de), parvenir à see: atteindre

parcourir v. t : (visiter), aller d’un bout à l’autre de see: parcourir

visiter v. t : (parcourir), aller voir see: visiter

construction

DIEM OBEO, IS, IRE, II et IVI, ITUM, tr

1 after J.C.PLINIUS (Pline)

mourir v. i : cesser de vivre see: mourir

FACINUS OBEO, IS, IRE, II et IVI, ITUM, tr

1 before J.C.CICERO (Cicéron)

commettre un crime see: crime

MORTEM OBEO, IS, IRE, II et IVI, ITUM, tr

1 before J.C.CICERO (Cicéron)

mourir v. i : cesser de vivre see: mourir

OBEO, IS, IRE, II et IVI, ITUM, tr (ALIQUID)

1 before J.C.CICERO (Cicéron)

s’acquitter de (exécuter), (exécuter quelque chose) see: acquitter

se charger de see: charger

PROELIUM OBEO, IS, IRE, II et IVI, ITUM, tr

1 before J.C.LUCRETIUS CARUS (Lucrèce)

livrer bataille see: bataille

http://www.dicolatin.com/EN/LAK/0/OBI/index.htm

 

OBEIR

 

 

 

C : Tourner en telle dérision une telle construction détruite par un de ses pseudo élégant enclin en clan. Mais remettre ses équipes sur le coup. Ça si. Réussir a mettre le feu a notre dame devrait se terminer avec la chaine de commande en prison. On ne néglige pas un emblème d’histoire, une merveille telle qu’elle sans être incrimine. La (méfait) mafia du bâtiment. Pour ceux qui ne le savent pas c’est l’industrie en particulier ou tout est blanchit ou les vandales sévissent, casser du neuf, construire du mauvais, du vide, et s’octroyer les terres qui devraient rester aux forêts. La mafia dans toute sa splendeur, après les fillons, les ventes d’armes par le fils mitterand lui-même, sarkozy, les tapis et companies. Ils n’ont plus qu’a chanté en chœur.

 

 

NOTRE DAME NE SERA JAMAIS RECONSTRUITE PUISQUE SA MOITIE VIENT JUSTE D’ETRE DETRUITE, ANNIHILÉE, SACCAGÉE.

 

 

you wanted a french and ‘fresh’ frite joke? emmanuel, emmanuel, emmanuel aime les manuels, ‘ans, ans’.

 

 

Pierre Bachelet — Emmanuelle 1974 avec lyrics, Paroles

 

 

:C tiens, du Mozart pour toi et ton veston.

 

 

C.ET: THERE IS NO LIMIT OF IMBECILITY POUR LE PREMIER MEGALO MAL VENU.

ENCORE ¼ D’HEURE IL VA L AVOIR PRIVATISER. POUR QUE L ARGENT PEINEMENT DESSINNER PAR LES GENS, SOIT PRIS PAR LES PEDANTS. QUI ? LES SUIVANTS. AU SUIVANT. C EST CES DESPOTES QUI DEVRAIT ETRE DANS EN MUSEE. EXPOSÉ(E)$$$s.

. EXPOSÉ(E)$$ESEX.

 

 

Goodbye Emmanuelle – Side One – by Serge Gainsbourg

https://www.youtube.com/watch?v=nKoP8FW8VHY&list=PLNaK3P42Nh0SOhWmRo8JCIBC-CqRY_icL

 

 

Goodbye Emmanuelle – Side Two – by Serge Gainsbourg

https://www.youtube.com/watch?v=QIlWmqus-wI&list=PLNaK3P42Nh0SOhWmRo8JCIBC-CqRY_icL&index=2

 

 

Emmanuelle on the sea- Serge Gainsbourg

https://www.youtube.com/watch?v=7wzVykVwhb8

 

 

 

« Goodbye Emmanuelle » Theme (Translated Lyrics) Serge Gainsbourg

https://www.youtube.com/watch?v=yrzX-4qr_Zw

 

Apres benala le skin-head, ces parties de paris, de pourris, se reclament aussi d’un comite d’accueil tels que celui du FN, apres tout ne sont-ils pas l’extreme droite financiere, ces gens qui pire que racaille raque le Bubble budget jet-set et propriete de l’etat ?

Ce qui m’etonnne qu’il n’aime pas les habitants de l’angleterre, ange l’air, ces agneaux de royaux et leur tripotes de servants plus que ça. Bizarre, bizarre, etrange ça.

Il est peut-etre comme halliday, depardieu ou lepen, sur l’amerique ou la russie plus tournees. « Aurevoir les enfants ». D’ailleurs ca s’est vu a la manière dont il caresse le president des USA.

 

 

Serge Gainsbourg – Requiem Pour Un Con

https://www.youtube.com/watch?v=6Uzq82SHGGE&list=RDMdz2anm68kc&index=5

 

Serge Gainsbourg Requiem Pour Un Con French & English Subtitles

https://www.youtube.com/watch?v=0ek7588O1V0

 

 

 

Hillsong-Emmanuel (with LYRICS)

https://www.youtube.com/watch?v=n2QlTt18Y24

 

 

https://www.lepoint.fr/video/un-pretre-insulte-emmanuel-macron-en-chantant-lors-d-une-messe-dans-le-calvados-03-06-2019-2316531_738.php

 

C : tête de c–. Tête de fi–.

 

 

‘Que vite on oubliera

Que nulle part c’est chez toi, chez moi, chez nous, quoi !’

Téléphone.

 

 

T-Chez chaine.

 

 

 

Prendre les citoyens pour des complets impies, incapable d’apprécier l’art et l’artisanat Médiéval.

Puisque qui en serait héritiers ?

saurait serrer.

 

 

Un tartuffe, une                       de commercial.

Un philosophe scélérat ? Quels ingénus, le philosophe est ce que le pre-judice, pro-dis-je, Prestidigitateur prestige, agitateur, pro digit, bridge eat, voudrait vous v faire avaler qu’il est en cela nitro intéresser.

 

C’est les rats, le pop. peuple est roi.

Ne serait pas fait, síl (cil) ce n’était pas primordialement pour de l’essence.

Au bac, au banc, aux banques, banquise.

quizz.

En 1 mot, quel intérêt de ce faire passer pour un philosophe même raté ? et bien, la foire. La foire au marché.

Non, et que la philo peut bien (au beine) être laisser au soin des fumiers.

 

 

 

 

Ce qui a été (e)dit:

Reconstruite en 5 ans (notre dame ne sera jamais reconstruite sa moitié est partie en fumée)

Plus belle encore. Cette belle $@l%p&.

En 5 ans :                        +  seulement une grosse merde sans intelligence est en habilité (ici habilitation) de dire ça.

Plus belle encore :          +  seulement une grosse merde sans intelligence est en habilité (ici habilitation) de dire ça.

 

+De même oser ça.

 

=   ???????????????   Qu’est-ce-que ça fait d’elle ?

Et que fait-on de cette bouse véreuse et verbeuse ? osez dire cela d’un des plus grands chefs d’œuvre de la France et de la plus grande beauté de paris restée sans protection

aucune ? misère.

 

 

 

 

 

NOTRE DAME NE SERA JAMAIS RECONSTRUITE PUISQUE SA MOITIE VIENT JUSTE D’ETRE DETRUITE, ANNIHILÉE, SACCAGÉE.

SON AUTRE, HALTIERE, S’EST ENVOLEE, APRES TOUT, QUI S’EN REELEMENT PREOCCUPAIT ?

BETE A MANGER.

SON AUTRE, NATURE.

N’ A T UR E

N, n’a tuer. Naturer.

N’ATRE

N’AITRE.

T’AITRE.

L’ETRE.

LA CATHEDRALE, LA FORET. ELLE N’EN SONT, ELLES NE SONT POINT CATHOLIQUES. MAIS LE CENTRE DONT ON ESPERAIT UNE PAIX, UNE PROTECTION, PAS DES LOUPS MAIS DES HOMMES QUI VENDAIENT, PILLAIENT, ET MOQUAIENT. EN ECHANGE ILS (s)ONT TOUT BRULÉ(S).

LA CATHEDRALE PAIENNE, LA MERE NATURELLE. TENUE EN INFANTE RACEE, SERTIE, SACRIFICIELLE. MAIS UN JOUR NOTRE DIEU, SE RETOURNERA EN SON TEMPS, D’AVOIR PRIS LA FEMME DEVOUEE, D’UNE PLANETE QUI SEULEMENT VIVAIT, ET QUI DESSIMÉE…DES CIMES PLUIE L’ARC-EN-CIEL MAIS CETTE FOIS L’ARTIFICIELLE AVEC LES TORTURES FAITES (EU)(UE) HU-MAINS HUMAINS ARRETANT, PUISQUE NI STOPPEES NI DEPLOREES.

L’arrête de ce poisson se foi fossilisant.

L’homme en venant ou n’en venant point a l’eau sang poi(d)son.

 

 

Tour, êtes.

Bien que je m’aide de Gainsbourg, mon intention n’est neantmoins moi non plus pas vulgaire mais simplement la réponse a un genre bien plus violent et pédant. Le style abject et perdant et qui quand bien même se retrouve porte-parole de la liesse et liasse- après tout l’histoire présidentielle a prouvé le niveau de corruption lié aux plus pernicieux scandales. Donc après ça, se dièse et die disent-ils nous le pouvons ; nous pouvons nous le permettre, haut la main. Osez, osez Joséphine.

 

Et si cette porcine désinvolture va venait du fait que notre dame venait à représenter esmeralda, cette pierre rare et l’injustice et les méfaits orduriers de toutes couches, [car on finirait à penser ou a conclure que classes pour ses sociétés est tout bonnement pour faire distingué,] aux gitanes infligés?

 

2014 06

French 2014 06

Algues marines.

Francis Cabrel – Le Pas des Ballerines ( live )
http://uploadsociety.com/video_v36372

Francis Cabrel – Tournée Des Bodégas partie 5 (lyrics)

comme cette fois, c’est foule, fou. Foi.

Sur Londres la police prends des gens bénévoles avant de peut-être les embaucher. Je sais toujours pas comment ils paient leur loyer. Apparemment ils manquent de volontaires

Eh bien moi aussi, la même. Mais aussi si tout déviant (devient) discipline pour être discipline cela peut devenir très mauvais. j’ai récemment lu un article disant que les gens hyper actifs, ont souvent un rythme autre que la moyenne. cela veut dire qu’ ils font les choses dans un ordre différent, a une allure différents. donc ils ont aussi besoin qu on les laisse s organiser, penser, assimiler, réfléchir (peut être a autre chose qu a l’exercice mais pourquoi pas on a besoin de particularités)

The Hadiths: The True Face of Islam by Anne-Marie Delcambre

Le bonheur pouvant se trouver dans la solitude puisque que d’etre oblige d adopter ce que fait l’autre serait une restriction a mes libertes. Et c’est de ma facon de vivre et d’y etre dedie que l’ardeur se repend et dont l’harmonie depend.

Fiston
p
Piston

ma vie voudrait y etre devoue
et annee apres annee
j’essaye qu’ainsi il puisse etre perturbe par quiconque ou quoique ce soit.
And’etre, naitre an naiter.
f

Valet.
Te lave.
f

prostitues, tuer. Tu es = you are in French, tuer, = to kill
instituer.

Très beau et pensant.

Donc en fait il faut avoir fait Polytechniques pour transférer son I Tunes d’un PC à un autre…
Anon

C: et oui c est politic.

polio
poli—ic
tic.

Je pus,
Pus. Puruler.

Livid. Limpid.
Lipid.
Puruleler.

Nerf ? Bon a les ecarter tout en affirmant qu il est contre PD. Car a toujours compte sur aussez d arrêt. Fosset, faussaire d attribut. Qui est qui dans votre fosse
Osez, osez, lest derates en bmw, finalemtn le patronage a ses petits preferes.
Freres d armement. Art ! maman, comme la grande craft and corporation du moissonage de nos regions, aussi palatable que les voyous des porte ferres, seulement plus en costard detruisant la mousson, en votant devilliers.
Whoua, les belles bagnoles et le bougnioules – le socialiste qui veut justice ou bien qu essaye, ses parents ou bien le gay- comme portier. Assez, assez, de bebe pour qu ils apprennent par de belles baignes beignets, qu’il fuat lecher.

Faut, fuat, foi.

Elav, elaborer, labeur. Le beurre et l huile a l entendement capacity.

Narrate, naguere.

Prendre, rendre.
Reinder.

Guangdong.
Quand on. Canton.

verse)
vers = towards in french or around. and round and round.

vers, rev, reve = dream.

Willing, illing, healing,

il faut que t essaie de jouer de cette facon – entre autre. quand to petit veut quelque chose, il faut qu il le merite en t aidant ou il faut qu il se calme de maniere a le faire de facon ordonee, dans son ordre a lui, et autonome. laisse lui le temps et laisse lui son style. avec les enfants super active, on doit a tout prix respecter leur rythme. s il s enereve laiss lui le temps d arreter de soufler et de s y remettre.
montre lui ta patience, et qu aussi tu ne te laisse pas abuser. Pas violente mais ferme (ferme travailler, s activer), et avec de la chance il ne mettra pas 20 ans pour t imiter. aussi t’es sa maman, donc? il te ressemble drolement.

To je suis en train de visioner une prof emeritus, super interessante, sur religion, sciences et magie. elle dit que la pierre d amour est l emeraude.
j ai retrouve le bracelet d argent que tu portais quand moi bebe et qui tu m avais donne. il etait chez mami cecette. tu peux le dire a mami, elle me l avait demande.

C.ETTE, etait-ce
Hôtesse.

Mon amour, tu etais mon amour, comme tout etre vivant, le serait si moi meme l etait, vivant, vivant comme l enfant. Evite bien la guerre, car si je t ai vendu un jour, c est seulement par megarde, comme un innocent. Quand a ceux qui t acheterent, le roi, un homme manipule, les siens aveugles par le manque de savoir faire et de ne savoir que compter sans se tromper, a la loupe. Qu ont-t-ils creuse, la miniere, le diable se cachait la, a l abri de leur jeu d enfance qui se transformerent en jeu de salaud. De salaud comme on ne peut peux plus puiser l eau. Salaud comme on n en peut plus puise, epuises, tout a refaire et a garder. Cette revolution sanglante ne pas la refaire, d autres simplement pour compter les deniers. Cette revolution, comme des faux freres de la fraternite, comme aujourd hui l on rejete nos parents ou l on se fait commander, et par pour la sante. Mes ecrits, je voudrais les donner, tant qu ils me permettent de manger, si tant est qu ils me le permettront, tant de lettres, de conges, passez a faire ? l orgie dernier. L orgie.
Or, git,
Orgue git. Gite. Gitan.

Tesau
Saute, eaux. Eauxt. Hot.
Thesaurus.
Taureau.

Social interview :
C’est bien, c est bien, c’est bien.
…mon chien.
f

La poesie et son jeu, de voir les choses en peu mieux.

Qui prend cote. Debiais.
De billets.

Pour l avocat, c est pas possible je ne suis pas dans le quartier.

Classer de cette maniere la, sans meme avoir un seul psychologue convoque c est vraiment la preuve que vous etes la raison pour laquelle les gens peuvent se servir d autres gens sans etre inquite.
Vous me direz, les psychos ils pourraient se tromper et puis ce serait pas la premiere fois dans l histoire qu ils seraient au service des usuriers.
Donc pas de souci le cote fascisant du system je vois vous vous en chargez.

C est dommage d ailleurs parce que je serais plus pres, je me servirai de l avocat sans droit et c est a la cour européenne de justice que je m adresserai juste apres, mais pas en parlant de mon peu cette fois, seulement du procureur qui prend cote, debiais.

Vous devriez verifier ce que procureur veut dire en anglais.
De plus, je sais pas si vous savez mais dans des conditions normales de justice et procedure on peut etre deficient mental sans perdre ses droits de l homme. Ni ses devoirs d’ailleurs, je sais plus vraiment si vous etes au courant.
F

Vous etes d une beaute pure, sauvage, adoucie, simple, eclairee, fine, perspicace.
De la beaute, vous en etes ce que j’en sais qu’elle est.
F

Peu etre.
Peut etre
f

Hostie
Orgie.

Tu sais ca aller pas dimanche parce que de sa mere on a besoin d en voir le visage, de la voir bouger.
Je voudrais pas que tu me laisses trop longtemps.
f

Tu sais on peut pardonner aux gens mais si ces ne sont pas de la meme chose capable, que pouvait on bien faire pour s en tirer ?
F

Manon, amenons.

Riviere,
Rive
Eve. Ere.
Rivier, like isis, the nil representation.
Deesse of its fertility and redemption.
Dense, dance, eden.

Vous etes tout aussi capable d etre raisonable que que d etre passionelle.
Resolue.

A propos de mes deboires
Pas de sourires trop vainqueurs.
Pas d’amour.
Ou sinon un qui est voue a finir
J’ en ai bien peur.
F

Des vies.
Devier.

Evier.

©
Faites attention tot ou tard ils vous traiteront comme une renegat.
Be careful sooner or later they will treat you like a renegade.
H se comporte comme la pire des especes parfois vous savez.
H behave like, as, the worst of the species sometimes as you know it.
Ils chassent ou s’ignore en groupe.
They hunt or ignore each other but stay in group.
Restez detachee. Par pitie,.
Be, prove detached. By, and for pity.
For the silence remain, whispers for the crowd are all the same.
An opportunity for lose cowardice scene.
I beg you. Don’t think, don’t feel.
At least for this story. Ariadne, without her discretion and her maze secret, theseus (n est rien) is damned.
Taisez, niez rien.
N’EST RIEN.

j enleverai ton nom. de toute facon.
oublier mes certitudes, la demolition.

si j en voulais un autre, de choeur , ne serait permis, parmi.
j oublierai ton mom.
de mille facon.
johny halliday. ust une canh-son.
un canesson.

Si la bande de fumier vous demande, amende. Mes documents words vous n avez recu, parce que ma ‘literature’ au moins ce que j en ess-aid, n est rien que vous, grace and pour.

Par la, parla.

Par la, parla.

Ne t inquiete pas pour maman elle fait semblant de ne rien savoir, oh si l occasionelle reflexion qui me sauve de la psychiatrie.
mais elle est liberee, elle se libere maintenant de ne plus me parler.
cela faisait si longtemps qu elle me prevenait, on a 2 vies differentes, je peux faire sans toi, je ne te veux pas aupres, ne pense pas a quand je vais vieillir, je ne te veux pas a surveiller, j ai te l argent, c est pour cela que j avais interet a me pervertir- elle ne connait pas l etat du soin dans les hopitaux ou maison de retraite, je puis te l assurer.
et si de l argent je n en ai jamais eu moi et ton pere on a bien calcule que c est seulement la maison qu on a du vous faire partager. le reste ce n est pas, ca n appartient pas a la famille, on va heriter des grands parents mais a vous on ne va rien laisser. et qu on vous ai supporte vivant pendant votre enfance c est deja bien tu sais.

Te donnant mes clefs pour la seule et unique des fois ou je pense de quelqu un qu elle pourrait les avoir toutes, d avant, d’hier, deja.
Je ne m’en ferais d amere obcession, sourtout ne t en fait, de rien, tel sera le va-et=vient du voy-age.
Ne t’en fait plus, je t’appartiens ‘a la terre comme au ciel’, meme si si peu de nous meme si denu.
Appartenir a une autre femme, je n’y pensais plus.
Bien sur j ai aime après elle, j ai meme mis en garde, reussi, j ai meme voulu.
Mais pouvoir dire adieu a celle qui m a sauve du glas.
Bien que je me sais aussi vivante que pas.
Mais quand revient une femme qui l se peut un instant soi bien soi elle et forte et pleine aussi avec moi
Alors je comprends que celle que je prenais pour etre une uniquement
Pourrais m avoir montre le pas
Que desesperement je chercherais en tes bras.
Mes desespoirs son derriere, elle aura fait cela
Car pour ton ombre je suis prete a en fini mais l arme au poings.
Et le sourire pour attester que tu n es pas si loin.
Rien plus ne ment, je vis simplement pour avoir ete votre amants
Et mon entrain de savoir que tu, toi,
ou la femme que tu aidera
Pourrait etre mienne
Je veux dire main dans la main et bague au doigt.

Mameremeditcontinuellementdetreheureuseetcestainsiquellemexpliquecommentellepensaitcelacommentdansletempsdurdurmaistoutlesespoirssontpermitcependant.
Lafillequimedemandaitrienpuisquejenavaismemepasaluidonnerdemontempsletempsquilmefaudraitpassercommedantaninchangemaisaveccellequinetrouveraitpascelanavranthavreen

C j ai cesse de penser a toi tous les jours que le temps passait. tu peux me rappeler maintenant.
comment va L?
CL, ciel.

tiens c est just pour ce que tu saches ce que j ai replique, t inquiete pas c est fini, je perds plus mon temps avec de pareil traine, le meilleur des conseils avec des gens malhonetes c est de se barrer
you was born the usa american day?
you should dressed up, it more dangerous than it seems for the brave, little man.
t as note que ce gras double est pret a insulter nos mamans.
c est au couteau qu on arrange ca dans les bonnes familles.

N.B: tu sais je l appelle gras double mais je viens de realizer qu il porte le meme nom qu un vieux monsieur, george albert john, qui m a aide comme personne ne l avait fait pendant plus de deux ans.
et puis moi autour de la taille je me paye une bouee.

Moi, pour te dire la verite ca fait 3 decades que je chasse sans rien ramener. Et merci de t en inquieter.
Quand tu dis avec un mec, une nana ca t ai arrive?
Tu sais je ne me rapelle meme plus tres bien si c etait aussi clair que ca ma foi dans la reconnaissance du a l homosexualite quand on avait 16 17 ans.
Bien que je ne revais que de femmes- c est peut etre ca qui m a fait echouer, parce qu a l époque de n etre encore qu un bebe.
Aussi de realise que les rapport heterosexuels sont tres tres vulgarises, dans le sens de deromantise en general dans ce que j ai pu appercevoir de ce qu on raconte aux petits francais.

T as toujours ete si sexy, tu es ouvertement bi, pas vrai?
je devrais dire si ouverte-confirmee- et si sexy
dynamite?

G
je peux pas croire que je t ai retrouve.
ca doit pas faire longtemps que t es sur face book, j ai verifie il y a pas plu de 6 mois. j ai reverifie ca m etonnais que tu ne t y trouve pas.
tu n es plus a limoges? j ai essaye auparavant de trouver ton numero, mais t es nul part en france, alors evidemment…
tu veux mon email c est plus facile pour communiquer.

et bien tu vois moi je t ai aime
mais t en a rien a foutre,
ca c est pas une nouvelle

et d un tu es une (des premieres) a me mettre en ‘direct’ relation avec la notion du divin, tu vois c est pas toujours gras comme commentaires.
et puis de deux, on va s en passer je crois.

examen, demain sur les lois et le fait que les n.unies ne puissent pas intervenir autrement qu en parole et parade.

UN,
Nu n no.
Paroles, n parades.

J avais prepare une note, bien plus presentable.
Je ne sais ou je l ai laissee.
Simplement disant que c est un geste permettant de reassurer.
Mon angoisse devant la possbilite de perdre mes papiers.
Ils ne sont a lire
Je ne prends jamais le temps de les reviser.
Et s’ils n’ont leur place.
Juste, jetez.
On poems for a lover.

Haine (hatred in France). , chaine.

Ecoute pour mon petit mot t en fait pas tant.
Tu comprendrais l anglais tu serais que ce mois si j en ai ecrit cent.
Et tu jetterai un regard sur ce que j ecris,
Mais ca pas demain la vieille. Que crois tu curieusement, je moru, je meurs aussi.
Mouru, moru, tres amusant. Museau. Music, elle a raison de se refugier dans les oiseaux, mais qui comprends ca maintenant, les mangeurs de chair les mangeurs de terre, que ces petites gens.
Coui, couicuoi, couicoui, but les gens sont tellement intolerant que le chant d un oiseau ne passé pas, sale gardeur, sack, sale quart d heure pour le moineau.

Une guerre au mots, homo

Souris a la camera.
Je pense parfois que quand tu me disais souris, tu parlais du chat.
Auf ait lors de tes grands discours ne confondrais tu pas timide et discrete. Mais pas secrete. Si tu avais lu mon mot tu y aurais vu la confirmation (dans la premiere phrase) que je repondais a ton sos message.
Tu te souviens de mes premiers poems? Et bien moi je me souviens de tes encouragements et de ceux de mami. J ai une petite voix qui me trotte dans la tete actuellement, elle m a donne mes meilleurs vers, c est ainsi que je pourrai tirer le constat sur ce que serait (pourrait etre? Ca y est je vis mon fabuleux cauchemar, jamais je ne renoncerais a cela, la femme de ma vie. Je ne dis pas qu elle l’est, ils sont mes meilleurs vers (laids, l’aide), mais vers elle se trouverait l’infini. Ces vers sont vraiment mes plus beaux pots-pourris.

Peut etre une femme qui aurait les memes qualities et principles que les miens, ainsi nous ne abuserions pas mutuellement. C est bête comme choux cela va peut etre durer pas plus que 3 jours de plus, mais la ca y est, carole est dethronee. Ne lui en veut pas elle ne m a laisse aucun espoir, et lorsque je suis devenue plus mure. Je l ai compris, pas avale, mais compris 3 ans de cela chez georges, carole m a aime tres sincerement, mais d un amour spiritual et je crois en ne m avancant pas trop, comble d ironie (tu sais nous etions tres jeune toute les deux) comme une maman. Mon seul reel problem c etait lucas, parce que je ne sais pas si je te l aid it aussi clair que ca, mais elle est devenu soudainement fertile, après 3 ans deces, d essaie, elle n aimait pas guillaume, ca je le savais, elle a eu lucas d’une maniere consciente, je n entendais rien mais cette reflexion discrete, ne t en fait pas l echo, martel en tete. Elle a ete enceinte du jour ou de ma foutu vie, du seul jour ou j ai vecu ce qu est une caresse d amour.
Et encore j ai vecu 16 ans avec l impression que j avais eu une relation amoureuse, mais en fait pas du tout, je l admet maintenant elle etait dote de purete parce que nous nous aimions, mais au moment du couche, maintenant, pas avant, mais maintenant elle deviendrait incestueuse.
Ne t en fait pas de ces plans napoleon a tout restructure, j ai rencontre une femme, don’t je me dis qu elle pourrait apprecier mes journees comme ells sont actuellement. Et ma deposition et que sous ses orders, mon royaume cesserait d etre fantomes et gommes.

Moura, amour.

N’est.
Nier.

« Pour que tu m’aimes encore » ( « So That You’ll Love Me Again ») is the first hit single from 1995 album D’eux by Céline Dion.

D’eux
Deux

Je t aime.
Je t ai aime.
Jettez, aim.

Je veux que tu saches que mon degree de creativite n a jamais ete a la moitie de ces deux derniers moi, ne vous attendez pas a en trouver d autres comme ca.
J ai sur mes feuilles a la maison la part en francais (sur 5 – 7 ans), mais c est une periode tres affolee, prototype, sketchy et brouilllon,
Je pourrais toujours lire et faire des propositions.

Ecoute, tu n as jamais ecoute, mais je n ecoute pas vraiment, dans le sens je me tapes des petites lessons, comme ces batards, je dois l avouer.
Ecoute, je te conseillerais d arreter d insulter, d epier maman, le jeu du petit pede c est fini, et tu deverais l expliquer franchement a doudou, pas mechamment mais ouvertement, ca te changerai de ta comedie. Ta comedie de petit bourgeois rate et minable qui n attends que le dementi de sa propaganda en ce qui concerne ce qui l montre le plus ses fesses grandes ouvertes au qui me veut m a pris, argent content, content argent, une vraie petite poute. Pute.
Je te defends de toucher a mon argent, c est a dire des feuilles, de mes ecrits que maman va se recuperer dans pas longtemps. Maman, mamma, maman, mammal, madam, malvent qui te donnerai une idée de la toucher surtout si je devais etre au courant. Tu deviens vieux, tu le sais et moi de moins en moins distinguée, le petit vieux pourrait paye pour ses outrages du passé dont il fallait le remercier il ne nous tapait, le faire faire par sa femme etait plus amusant, et en ce qui te concerne ne bandant.
Tu ne dis rien, ta longue langue au chat ? hochat.
Le hochet pour les grands.

La femme don’t je suis eperdumment amouresuse qui me resemble comme la utre part e de moi meme.
Il est insolent la maniere don’t ses comportements, donc la dissimilaire aux miens, me rapelle vous, remarquez c est un prof de philo, traduction francais anglais, pour une anglaise c est comme une francaise apprenant le latin. Insolente de classicosite antique jusqu au carolingien et au dela du modern pour avoir compris les differences d eres et leur facilite a se repeater, elle est pas calme en revanche refinement posee. Je suis possedee. Avant j ai ete hante toutes ces annees par cette femme que vous connaissiez, vous mon seul souvenir de ces ecoles d une affection qui a effectivement duree, une affection qui me promettez qu un jour je pourrais me retrouver, mairies.
Elle est comme vous, une beaute de bonte, et comme vous, pire que vous je deveins critique, pire que vous car je suis l home, il ne me toucherait pour d autres choses que la tuerie, mais vous etes femme et sur vous deux fois plus de dangers.

Jamais, j’admets.
J aimais, j’aurais.
Je, amass.
Je a moi is.
Jeux a moise.
Jee a ma est.

Je t aime.
Je t ai aime.
Jettez, aim.

dis a papa qu il est de formation paychologue, et que c est certainement la raison pour laquelle tu peux ressentir qu il s en est depetre. mais ces actes. on ne se dedouane pas de tout. c est ces actes qui comme dirait l autre font pitie.

consequence, je me doois doigt, je pense pas au sex, je suis comme les autres c est avec mon sex que je devrais m arragner pour toucher le sien. je me dois, de m arragner, arranger, arranguer, argner, pour evoluer cote psycho, lo, lo. il me faut une femme, le seul tresor qu il soit, et si par pour les autres, ce qui est certain, fortuite fortitude, mais plus fiable que l’instant instinct, elle est ma plenitude.

ps, sur les doigts il faut avoir tres peu d imagination sur les positions appropries pour croire que les gens doivent en de telles circumstances intimes s imiter. je n en veud a personne, c est la premierre fois que je prends veraiment let temps de considerer la chose, sans penser au plaisir immediat. en parlant franchement je pense a ce que je devrais faire, a comment je dverais m approcher pour lui plaire et par de la plus que la toucher, l epouser. je peux y aller tranquillement elle parle francais.
et moi l anglais donce on se comprends, je ne me touche pas dans l intention d avoir avant d y passer au moins joui une fois de temps a autre en admettant qu une ou deux ou meme toris m avait souri tranquillement en pensant que j aurais pu etre pas amal avec plus d argent. mais je ne te crois plus en ce qui concerne le menage intensive, moi de te voir comme ca mer me rendait bien plus que depressif. tu sais ton hisotoire, ton isoloir, en espagne, m a dit que tu n avais aime finallement que ton pays. alors explique quelle gloire, celle de ta langue, melancholie, au lit, melancholie, echolalie, mele encore lie, mais encore lit, me langue, me lange, me, l ange, cho, lie down, une histoire de viole, ou la music n est bonne qu en d atures aventures, d autres pays ou futures

Maman.

Selection.
Sole, seal citation. Session. Secession. Recession, succession.

Velle, veler, lever. Elle. L’aile.

ecoute je veux pas t emmerder avec mes elucubrations, mais tu sais ma prof, elle est tout le temps en train de renifler, sauf que tu tomberais de sa distinction, c est plutot en le naturel qu est son intransigence.
je lui ai apporte un mouchoir, non pas qu elle soit sur tout tres tres eclairee, elle ne s est pas mouchee, juste pour se caresser le nez s en servati. mais au bout de la deuxieme heure de le garder dans sa main. ne t affole pas je ne fais pas de desobligeance. je suis heureuse, te l ai je dis une fois? laisse moi te repondre. jamais.
ne t affole pas tout est sous controle, elle est marxiste, feministe et lesbienne, thanks to me. enfin non grace a la philosophie, tu entends maman, grace.

Jinn, thin, nij, neige, egee,
Fine, ag., agee.
Hague, h agro.
Negro.

Je ne pense plus avous, j ai trouve (il se petu que je sois lasisser, inciser, lasser, laisser par elle mais par pour le moment) la femme de ma vie maintenant mais je veux, je VEUX, que vous compreniez, que vous m avez deliver, delivrer du mal.
Peser, penser a une autre femme, que celle qui m encor, en corps, ensorcele.

Ce ne sont que de vieilles photos, d abord je ne prends plus les cliches, ca ferait fuir ma femme, mon amour et c est tout ce que j ai. geai

Mon dieu.
Monde. Eux. Yeux.

You tu sais les gens se demande a qui la faute mon homosexuality.
ET ben moi je le dis.
Mon homosexuality tout du moins pour les femmes superbes et bonnes.
EST le paradis.
ET pour mon homosexualite qui n est pas bisexualite est bien j ai ete en position heterosexuel et peut etre certainement grace a toi puisque je pensais que ce etait l amour d etre avec papa.
Toi, justqu au jour ou tu insistais lourdement et tu sais c est plutot degoutant de pas tomber sure les bons gens.
Mais pour les gars, je veux dire ce que certain pieds nickes appelle les vrais hommes mais sincerement il n y a plus qu une solution de bien vieillance a son propre egards, corps et abilites:refuser.

Mais quand je te lis, mais quand je te vois, let me tell you that you are the paradise on earth for me.
How are you managing this dichotomy?? Mmmnnn, for goodness sake if I had your secret.
Doing the opposite, what should it exposit?

Mouroir,
Miroir.

Maman.
M’an.
Man.

Ceci est un joli moment,
Mais tu sais que je ne suis pas ton amant,
Je suis l home de ta vie,
Meme si elle n est aussi
Charmante puisque sasns toi, je ne serais moi,
M aime si demente.
Meme decidemment.

Ca y est j ai repere votre leger strabism, sur la photo de votre choix pour vous representer dans le milieu literaire. Moi j aurai choisi quand vous ressemblez a mes grand meres. Ne me pensez pas rigoler, c est pas du tout leger bine au contraire, c est par ces vieilles peaux que j ai ete eleve econiquement, economiquement oui, mq, mec, mais j en suis fiere.
Vous etes tellement comme ca parfois que tout le monde pourrez vous reconnoitre comme etant la derniere de cette caste de sage et douceureuse et bien aimante, et toute savant ma mi meme? Mais pas du tout, sorciere d avant gout.
M ime, hymn. Mine de crayon, mine pour pas un rond.
M aime, meme.

“The Westminster system has entered an endgame.” C est quoi ca?

Get going, ethics and d f difficulties. We would not go so fat and fast, but quickly at what? wart the wall kisses.

Je ne cherchais vraiment pas d un rapport masculine, mais la facon don’t vous marches quand vous voulez impressionner…tu sai, s’assis, sassy, saisi, en francais c est ma mere qui me l a appris quand on veut etre sure pour les t
Lest.
Lest les terminasons en ‘er’ (like impressioner, changer, chanter, de maitre chanteur, toi pas moi) ont le remplace par un verbe, nerve verve, au 3 groupe, mordre, finir, accomplir, sit u dis naturellement “voulez mordre c est er, out u m a impressionee, mordu c est a remplace par e, non pas tu m as impressioner. C est une regle de grammaire t as pas a ti inquieter c est simplement que c est pour te dire que c est ma mere qui m a responsabilise qui m a res repondu renseigner. Et toi?

Dis moi quand c est fini, dis le moi gentil, j ai pas besoin que tu sois fachee, je le suis deja assez, pas contre, contre moi, de perdre ma vie j en ai assez, a du cinema. t es avec quelqu un? c est tout ce que je veux te demander. et puis pour mes lettre maintenant comment je fais. parce qu au moins quand il me prend d ecrire a quelqu un son envie de moi je le connais, et les probabilites. je pourrais lire marx mais ce ne sera pas assez. s il y avait un espoir tu me le donnerais? du face book j en ai abuse, je me remettai pas en circumstances je suis desolee.

look le code tu le connais. mon face book code c est le code qu e j utilise tout le temps laisse moi le changer je vais te le donner, je vais effacer tout mes messages, dans caro b email aussi, si c est ta reputation qui t empeche d e me parler ce que je comprendrais, on revient a clean et on continue le discussion de salon ok
je ne vous aime pas par dessus tout mais je suis en train de vous demander la permission.

Je vais arreter de vous ecrier, ecriez, d vous ecrire seulemnt 1 fois par mois.
ET puis ce face book, ma mere, je n irais plus.

C etait le cas de ma mere et entre nous il y a quelquechose qui ne va pas. Entre tes ecrits, ta philo, tes copains, tes demons te demandent quoi?
Ok je n aurais pas du t envoyer tout cela. Mias surtout, surtout, pas d esclandre ce n etait qu (e)moi
Foi, fais le il nous faut mourir, parce que de cet embouteillages d etats d ames scarbreuses, empecheuse de s ouvrir, je pense que nous avons toutes deux fini d en rire.
Autre chose, si j ecris? Sinin j implose. Ou sont le reste de tes idees?
Ne me prend pas pour une idiote, pour un guru, pour un gauchet
Tu ecris moins que tu l aimerais.
Que tu le devrais?

Depuis que le Tibet est en voie d’ anéantissement , le monde entier est tibétain.
LE MONDE (1998)
http://www.collinsdictionary.com/dictionary/french-english/anéantissement

Le tibet vendu par l’angleterre aux chinois, al a la chine..
opur pour l’eau ils s’en font moins comme cela.


• adipeux

• adieux à
• adieu
http://www.collinsdictionary.com/spellcheck/french-english/adipeous?showCookiePolicy=true

http://encyclopedia.thefreedictionary.com/Creusa

Ne pensez pas que je sois en controle de rien, je ne suis que mon destin qui m enseigne pas a pas. Il en serait differement je ne ferais pas autant de conneries.

C’ est au contraire une dénonciation des manigances des pédophiles.
LE NOUVEL OBSERVATEUR (2002)
http://www.collinsdictionary.com/dictionary/french-english/manigances

Remarque c’est aussi logique, puisque tres technique et a la page, les contracts specifiques ne peuvent etre que de courtes durees.
dois-tu lire, etudier pour travailler, ou travaille tu principalement sur acquis?
Acquis, a qui.

si triste. surtout quand je passe tant de temps seule, a ne rien faire qu a ne pouvoir me reposer. a penser a des choses du passe. a ne pas progresser.
elle me manque, je lui manque, mais elle est bien sans moi, ca aussi je le sais, et moi je suis bien sans personne.
je suis une taree.
tarot, de ne plus quoi savoir de sa destinee. present, pase, peso, futor, futee. quo vadis? destinee, fin, future nee.
passable, ou a ep peu pres, appeuree.
rien que de la poesie des mots qui se succede. obsene. eux seine. hussein.
bebe. beu, beu, beu, vache la fee. l a fait. la fete au passe, o pre. pretre, prete a porter.
voila tu peux envoyer, renvoyer, s il te plait. chine est loin, et imparfait. pouvoir, par faire, sans faire, l affaire.

Salt, salut, salubre.
Salutaire, salaud, l eacu chaud au cul accule, accumule.
Va laid, fallait pas, me faire, sob, sombrer. Dom, sombre erreur.
Horreur, jetee.
Passee, pas sale, delabre, palabra, vraie.

Orgie,
Or git.
Manger de l’or, comme a la ceremonie des Oscars. Quelle cinema, grece antique. Par des acteurs pas terrible, en plus de cela, en tout cas pas pour des annees, et dizaines d’elles sempiternelles.
Olympe. De gouges.

: Human rights literature, maybe too concentred on redistributive justice, as effectively posing as naïve. Because of losing view of the danger for injustice to become worse. In every domains, freedom, creativity, research, invention, preservation, human, environmental,
Ever again.

Naïve, knave.

Navet.
Navette.
Navre.

Tes vannes.

bonjour, je vous envoie cette note, simplement parce que je recherche quelqu’ un portant votre nom et ayant votre age. Je suis j ai ete l amie d’une personne appelee . je voulais simplement vous demander si vous etes parentes?

Argument
Edmond Haraucourt
Ainsi prêt à l’amour, il attend, et soudain, il
comprend qu’il aime : pour sa douleur, sans doute,
car celle qu’il dut involontairement choisir est
trop haut pour l’apercevoir. N’importe ! Il s’extasie
dans la gloire d’aimer, s’abîme dans un culte,
roule dans un vertige, et, fou de sa nouvelle
ivresse, ne se reconnaît plus en lui-même.
Il chante l’adorée en de longues litanies qu’elle
n’entendra point : il est seul, mais sa solitude
maintenant lui est douce, car il la peuple d’une
idée, et, jour et nuit, l’absente l’accompagne. Elle
vit en lui, il vit par elle : il l’a revêtue de tous les
charmes souhaités, et ce n’est plus une femme ou
une enfant, mais l’idole dont il devient le prêtre
agenouillé, et qu’il ne faudra pas flétrir.
http://www.podcastfrancaisfacile.com/podcast/2014/05/argument-seul-edmond-haraucourt.html

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Du même recueil : rondel de l’adieu ∣ argument ∣ les plus beaux vers ∣ le pèlerin
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LE PÈLERIN
Edmond Haraucourt
Le plus parfait amour est fait de solitude,
Et toute sa richesse est dans sa pauvreté :
C’est le Pèlerin blanc qui va sans lassitude
Dans un manteau de chasteté.
On le plaint ; son exil vaut pourtant mieux qu’un trône,
Car l’œil de son esprit regarde par delà ;
Lorsqu’il a faim d’espoir et qu’il quête une aumône,
Moins on lui donne, plus il a.
Il marche sous la pluie et s’assied dans la neige,
Réchauffant son cœur pur d’un rêve surhumain,
Et les Elfes soigneux qui lui font un cortège
Mettent des fleurs à son chemin.
Loin du peuple, il s’endort, le soir, sur la montagne
Pour entendre chanter, entre le monde et Dieu,
Des songes que le chœur des anges accompagne
Sur des harpes d’or et de feu.
Et lui, le mendiant qui rôdait par les rues,
L’expatrié, devient un mage tout-puissant :
C’est le maître ; il commande aux formes apparues.
Il appelle et le ciel descend.
Il ordonne aux esprits de remuer la terre,
Et dicte son caprice à l’espace ébloui ;
L’immensité se fait esclave et tributaire
Du talisman qu’il porte en lui.
Il lève la main droite et parle à son armée :
— « Qu’on dresse un palais d’or incrusté de rubis,
« Et qu’on amène à moi l’unique bien-aimée,
« Dans la minute où je le dis. »
Et la voici qui passe et qui demande asile :
— « Nous nous sommes tous deux bien longtemps attendu
Et la voici qui vient, languissante et docile.
Dans un triomphe de vertus.
Elle n’est plus la femme au sourire frivole
Dont l’amour se reprend pour nous être plus cher
Elle est l’idée, elle est le culte, elle est l’idole,
Et le verbe qui se fait chair !
C’est son mythe tangible et l’enfant de ses larmes,
C’est son rêve vivant, c’est son œuvre et son bien,
C’est lui, c’est la Minerve auguste et tout en armes
Qui sort du front olympien !
C’est lui-même, sa chair pétrie avec son âme,
Et lorsqu’il tend ses bras, ses lèvres et son cœur,
C’est toute la beauté du monde qui se pâme
Sous les baisers d’un dieu vainqueur !
http://www.podcastfrancaisfacile.com/podcast/2014/05/le-pelerin-edmond-haraucourt-seul.html

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis1 demeurer2 loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
http://www.podcastfrancaisfacile.com/podcast/2010/11/demain-des-laube-victor-hugo-les-contemplations-1847.html

Papillon
Bonjour et bienvenue sur podcastfrancaisfacile.com. Aujourd’hui, un poème de Lamartine intitulé » le Papillon ». C’est parti.
Naître avec le printemps, mourir avec les roses,
Sur l’aile du zéphyr nager dans un ciel pur,
Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses,
S’enivrer de parfums, de lumière et d’azur,
Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes,
S’envoler comme un souffle aux voûtes éternelles,
Voilà du papillon le destin enchanté !
Il ressemble au désir, qui jamais ne se pose,
Et sans se satisfaire, effleurant toute chose,
Retourne enfin au ciel chercher la volupté !
Alphonse de Lamartine (1790-1869), Nouvelles médiations poétiques.
http://www.podcastfrancaisfacile.com/podcast/2011/01/alphonse-de-lamartine-le-papillon.html

C.ET: poesie, permis, pause, prose, leser, peser.
Proselyte.

http://www.eptramelan.org/exercices/Francais/Lecture/Texte/la_petite_fille_aux_allumettes/la_petite_fille_aux_allumettes_01.htm
La petite fille aux allumettes
Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l’année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n’avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu’elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu’elle eut à se sauver devant une file de voitures; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures; un méchant gamin s’enfuyait emportant en riant l’une des pantoufles; l’autre avait été entièrement écrasée.
Voilà la malheureuse enfant n’ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé; par cet affreux temps, personne ne s’arrêtait pour considérer l’air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n’avait pas encore vendu un seul paquet d’allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.
Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l’oie, qu’on rôtissait pour le festin du soir: c’était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.
Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d’allumettes, l’enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l’une dépassait un peu l’autre. Harassée, elle s’y assied et s’y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais elle grelotte et frissonne encore plus qu’avant et cependant elle n’ose rentrer chez elle. Elle n’y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.
L’enfant avait ses petites menottes toutes transies. «Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts?» C’est ce qu’elle fit. Quelle flamme merveilleuse c’était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu’elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d’ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s’éteignit brusquement: le poêle disparut, et l’enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.
Elle frotta une seconde allumette: la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise: elle était couverte d’une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s’étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes: et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s’éteint.
L’enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d’un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle: l’allumette s’éteint. L’arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une traînée de feu.
«Voilà quelqu’un qui va mourir» se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l’avait aimée et chérie, et qui était morte il n’y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu’on voit une étoile qui file, d’un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l’enfant, se tenait la vieille grand-mère.
– Grand-mère, s’écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh! tu vas me quitter quand l’allumette sera éteinte: tu t’évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d’oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.
Et l’enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n’y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin: c’était devant le trône de Dieu.
Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l’encoignure le corps de la petite; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d’autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d’un paquet d’allumettes.
– Quelle sottise ! dit un sans-coeur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait?
D’autres versèrent des larmes sur l’enfant; c’est qu’ils ne savaient pas toutes les belles choses qu’elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c’est qu’ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.
http://www.eptramelan.org/exercices/Francais/Lecture/Texte/la_petite_fille_aux_allumettes/la_petite_fille_aux_allumettes_01.htm

etant, etang.

Obseques,
Obsequieux.

Ascenseur,
Censeur.

Enounce, denounce
Enunciate, state.
Renounce.
Emaciate.
Emancipate.
Mass
Mc

Arrete de te plaindre tout le temps comme ca. t ‘as qu’ a demenager. nager.

Reve, ever,
Eve.

La génétique porcine française s’exporte ! [中文]
http://www.ambafrance-cn.org/La-genetique-porcine-francaise-s-exporte

cheveux,
chevaux,
chevreaux,

vaux et par vent.

Jeuner,
Dejeuner.
Manger,
Demanger,

je revis, non révise.

revies, ri reviens.
Rive, reve, eve, ere, reveries.

Débarrasser quelqu’un d’un défaut, le lui ôter : Elle m’a guéri de ma vanité en me ridiculisant.
En savoir plus sur
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/gu%C3%A9rir/38510

gaule
joaillier
jaulier

Ram.
Armee,
Mer, mar, ammares. Mourning, mourir, amour, morning.
Moorings.

Dors, dehors,

Celles, celles
Cell = cellules, cell, de prison.

Aurore, horreur,
Patience, patio, pathos,
Ardente, feux, feu.
Splendides, hydra, idees, hide,
Villes, vile, villain.
Lent, spleen, candide,
Aux, o, zoo, aux splendides, oser,

Candide, splendide, lent, spleen,
Lean, can,

« Et à l’aurore, armes d’une ardent patience, nous entrerons aux splendides villes » (Rimbaud)

-le chevalier d eon, homme ou femme?

Je ne sais pas si il y a eu d ‘autre cas de personnes célèbres.

si, si rependu, en tout cas pour permettre aux gens de mener les vies qu’ils preferaient. notamment quand une femme voulait faire la guerre, ou partir en mer, ou ecrire sous un nom masculin, ou sous le nom de son epoux suzerain, mais ouvert… car femme pas dans le donjon. personnes celebres? suivant ma lecture gay disons, oui repandu, no repondu, gaisha, acteurs, dans skashpeare c est tres marrant, tres enjoue, en jouaient. tu sais william est dit avoir ecrit des scenes d amour pour un homme, son patron,
de toutes facons homos et personnes vivant differement sont obliges de se cacher. comme pour l holocaust ou pour les gitans et les homos, le pardon est venu bien bien apres, on etait meme pas mentiones.
Vivre differement d un systeme qui a pour but de canon, cantoniser, de faire marques, de faire mal, de tuer toutes magies, tout amour, tout durable spontaneite, et d eradique nos plus profonds instincts. Comme empecher une femme de suivre un homme, (= femmes ou homme refuse le meme type de travail, comme justifie par des soldats violeurs ou des types assez ensorceles ou ordurier pour nier le rechauffement climatique) vivre comme des heteros, pseudo obeissant un system ils meprisent, comme ils meprisent les gens, tares.

Je la rappellerai. dis-moi ca a propos de toi d abord : Dis-moi comment se passeNT tes cours, ta cohabitation,tes lectures, tes rencontres éventuelles…..
j en ai marre de parler comme si tu étais mon psy. je suis pas malade, je suis seulement fauchee. essayant de faire des etudes qu a l age adolescent en m’ a refusees. je me rappelle comment on me parlait comme si j etais sous douee ou vouee a la misere. il est pas terrible le gars qui envoie quelqu’un a une carriere physique simplement parce que la personne ete d accord pour nettoyer les ecuries, tu sais j ai de la haine en moi. en fait j en avais elle est ‘sortie’, mais me prend pas pour une demeuree c est suffisament dur comme ca ici avec ces anglais a la con se croyant en territoire conquis et aussi facho qu hitler ou plutot mussolini, mais ca tu n en sera pas surpris. donc tu me dis ce que tu fais normalement et arrete de me faire comporter comme une enfant.
Tu sais pour moi mon passe est regle, je vis avec le present. Et c est regler parce que je n ai plus a voir Thénardier. Tu en penses ce que tu veux, mais ne joue pas le jaulier svp.

Tu me reponds, ce monologue c est tuant. Tu peux me dire t’es plus separer de corps, tu vas en Espagne avec lui et sa fille…je m en fous, mais ne me prends pas pour ce que j espere les autres ne me traiteront pas de cette maniere, avant la fin des haricots.
A si je ne sais plus ecrire francais, au moins j en connais un a qui ca plaira.
Alors, s’il te plait, de toute facon je n ai plus que toi.
Tu prends.
Prends.

Je t’écrirai un petit résumé après mais j’aimerais tout d’abord préciser que je t’embête.
Jumper, gero, les chats, sligo, les poules, bellegarde, toto, mistingue, eva, je ne vais pas tous te les citer, pas d’ordre de préférence juste d’apparence etc. tout le monde me manque.
Oui bien sûr plus de temps partages donc.
je sais pas pourquoi mais je pense beaucoup à jumpy en ce moment. il était protecteur, moqueur, salaud, compétitif et mulet. Je pense à lui comme si, aussi réel qu’encore vivant. Aussi vivant.

Exemple.

Ideal,
Debat,
Would, idee, aux, haut,
Bas.
Mylen farmer.

famous, famé.

Salut, ce que je voulais dire c’est de me le rappeler demain soir, parce que moi tu sais par moment ma tête est comme une passoire.
Vicky c’est pour victoire ?

Acéré
Mais bon je vais m’en souvenir, pas d’affolement.

Vais, vas-y.

Hi P,
Still remembering that gypsies and homos were never remembered on the day of remembrances until not long ago. Many people get away with war atrocities, including the people having made money out of collaboration in France notably.
I will edit your post in full on my blog if it is still ok.
I will do this with ‘conversion therapy as well’.

of the current USA

présentez, pressentez.

Heure.
Heureux.

Ltd le temps o- rageux.

Le temps qui gagne, le temps qui raconte,
Au temps…Athenian, aznavour,

http://fr.wikipedia.org/wiki/Coefficient_de_Gini

Les pays les plus égalitaires ont un coefficient de l’ordre de 0,2 (Danemark, Suède, Japon, République tchèque…). Les pays les plus inégalitaires au monde ont un coefficient de 0,6 (Brésil, Guatemala, Honduras…). En France, le coefficient de Gini est de 0,303 en 20121. La Chine, malgré sa croissance demeure un pays inégalitaire
http://fr.wikipedia.org/wiki/Coefficient_de_Gini

atteindre, étain, et, eteindre.
Tetin, tienne. Tetine.
Teigne.
Teindre, tonte.
Honte.

Papa,
Pas, ne pas,
Rient,
Rend
Rien.
Chine, chien,

Proposons, propre,
Propos, peur, pourrait.

Revenu, revu.
Venu.

Approprie,
Prier.

distinctement.
Deis tinctemment.

Inégalitaires,
Arriérés,
A trier, aviaire.
Rier, baver,
A trait.

Attirerait,
Trait.

Sociale,
Soi,
Soie.

Déclare,
Décalquer.
Décale,

Beaucoup,
Beau coup

Disparités,
Disparaître.
Prior parite.
Priori, priorite.

Evaluation
Vaut.
Value, valet.
Fautes.
lue, evolve,
Autre,
Tua, theatre.
Âtre, trau, trop, treau. Tréteau, très top, très haut.
Taupe.

Sans toi, l’amour n’est rien
Anon,
A lire : sans toi, l’amour ne serait plus rien.

Duepuis,
Due puis.

A les,
Aux,
Auxiliaire.
Axis.

Élèves,
Élevés,
enlevés,
enlèves.

Demain, deam, dim.
2.

Je sais.
Je saisi.
Says y.
Aise.
Mal aise.

Sociaux,
Soucieux.
J aime beaucoup ce que je fais mais mes eleves sont tres chiants.

Pour enfants agites, ou enfants tout courts, pas besoin de s’agiter pour obtenir l’amour.
t a déjà pense a lui prendre un animal, chat, chien, lapin, n importe?

Hi E, I ll certainly need you for revising my texts. However i was reviewing yours, and I know you need revising. I think you make it flowing, but some of the French in it is not grammatical. Since we have got the opportunity ll take more time to review yours. They are very important, key texts, for a very read institution, it is better if we make sure we double check everything.

Hi,
Huit,
Nuit.
Ni

Nu,
Jus
Hutte,
Joui,
Oui.

Plui.

Puit, puis.

Puisser, puissant, puiser, pousser.

Revenu,
Eve, venu.
Reve.
Nave,
Ave,
Nu.
Neuve.

Excède,
d ex-cède
décède.
Accede.

Mais j’aime les hommes.
Anyhow, for you it also translates into j’ ai mes hommes

Black,
Blanc.

Tait.
Tais.
T’es, a
Hais, lait, laid. Dale, dedale.

Décennale,
Décès.
Dèche.
Duchés.
Douces.

Soutenabilité
Souteneur, sous-de-table.

Cela
Ciel.

Combine,
Combien.

titi va revenir. il est un adulte puissant, il doit vivre son aventure, tous les jours. il doit explorer, c est sa nature d etre vivant et libre. que dieu me pardonne. je sais que cela ne sera pas le cas. j ai peche plus que ce que j imaginais etre perdu. je me suis faite avoir par ma propre ignorance sur ma nature de conne, sans pensees, sans coeur, sans aucune intelligence, meme pas comprendre ce que je faisais, la consequence de ca. meme pas reflechir simplement agir. je me deteste, j espere payer pour ca. meme pas comprendre qui j avais dans mes bras. être punie pour faire que cela ne s’inscrive pas.

je crois qu elle est franc macon je l adore. toute l universite se revendique d etre franc macon specialite. moyen age, history, religion… tous continents.

hostie
hostile.

Equestre,
Sequestre.

Faits, et méfaits.

Simon and Garfunkel – Sound of the Silence [Lyrics + French Translation]

Tu sais, vie, j’ai mal, pourquoi ?
pour toi.

Oui sur, et puis tu sais que quelqu’un l’ai pris pour le dorloter alors qu’il était très certainement en train de mourir dans la rue. ça me donne de la joie à chaque fois que je pense à lui.

Ur est en fait une ville Irakienne, les pyramides ont une forme différente de celles d’Égypte.

tu sais se marier ca peut etre l enfer meme avec quelqu un de charmant. je usuis vraiment desole que tu sois encore dans cette merde. de toutes facons bouge pas, c est l’horreur partout. dans ma vie je n ai parler qu’ avec 2 ecrivains tous deux a paris, leur agents leur avait derobe leur coyrights.

Seigneur,
Saigner.

Baigner.

Fais attention au soleil, maintenant que je te ‘revois’, je me demande si ta peau n’était pas légèrement ‘brûlée’, trop exposée. Même moi je ne suis pas aussi brune que ça. Peut-être sur la mienne je le ressens comme ça. Soleil en quantité mais pas trop longtemps, sinon cuire.
cuir.

NE T’ EN FAIS PAS C’EST PAS COMPLETEMENT INTROSPECTIVE, OU DELIRIEUSEMENT PASSIF, JE DOIS CHERCHER DES PRENOMS A MES PREMIERES ANNEES. C’ EST MARRANT DEPUIS QUE J’ AI LU SUR UN LIVRE QUE MON NOM ETAIT D’ ORIGINE GRECQUE, MAINTENANT J’ AI RETROUVE SUR 50 SITES DIFFERENTS QUE C’ EST EN FAIT GERMANIQUE. SUR INTERNET, PAS POUVOIR TOUJOURS TOUT TROUVER NI RETROUVER.

Arrose,
Rose = élévation, monter.

Universe,

Vers, the poetic of form.

Croire,
Cloitre.
Croitre.

Croire,
Carolingien.

Vérité,
Vre,
Vrai,
Rêve.

Revêt,
Revie, rivet.
Virer.

Or,
Oror,
Aurore.

Blue = bleu,
Bleue,
BELLE.
BLEUE.

REVE, REELLE.
Reve d’elle.

Treve, reve,

Eve.
Leve.

60.000 saïgas sont morts en seulement 4 jours au Kazakhstan
. « C’est du jamais vu ».
En savoir plus sur : http://www.toolito.com/news/60-000-saigas-antilopes-morts-kazakhstan/

C : Les animaux meurent en très grand nombre et on ne sait pas pourquoi.

je suis en train de faire un resume impose sur l’armee, le role des femmes dans les operations de maintien de la paix. tres jolie la statue.

Tu sais je ne veux pas m’immiscer ou sembler méchant mais si tu penses t’en aller, fait attention a ton fils. Tu sais si vous pensez vous séparer avec toi prenant ton fils sur le bras, leur relation vont changer. Tu peux prendre du stress, c’est ton choix, mais fais gaffe que ton petit bout ne se prenne pas tous sur le coin de la gueule. Avec sa grand-mère la même chose, c’est humain. Il le perdrait. Fait attention a sa nourriture, bien équilibre, plein de calcium, soya milk good idée, et puis pas trop, le fais pas grossir, c’est trop dur et sans espoir à perdre plus tard.
Bonsoir à toi.
Contacte-moi quand t’as le temps.

Morts massives d’animaux dans le monde
http://etat-du-monde-etat-d-etre.net/de-la-terre/hecatombes-animales/morts-massives-danimaux-dans-le-monde

J’ai eu un petit choc aujourd’hui, je voulais faire un exercice sur des articles de Radio France International, et bien en Chine c’est censure. Je suis toujours un peu surprise parce que de très nombreuses chaines d’information étrangères ici ne le sont pas. Mais apparemment la radio mondiale l’est.
http://www.rfi.fr/

potato,
pot age. The mat de mon bateau. Bat eau. Battre sot.
Pot eau.
Potache.

Pot, top.

Trop.

Tu, j’eus, hut.

Tappe.
Trap.
Calle,

Elec,
Lecture.
Celle, quelle ?
Clé.
Éclair.

http://www.artyfactory.com/egyptian_art/egyptian_gods/apis.htm
Apis was the Egyptian god of strength and fertility.
Egyptian God of Darkness
« Set » the Egyptian God of Darkness.
http://www.artyfactory.com/egyptian_art/egyptian_gods/apis.htm

https://en.wikipedia.org/wiki/Api_(mountain)
Api (mountain)

Api is the highest peak in the Yoka Pahar Section of Gurans Himal, part of the Himalayas in the extreme northwest corner of Nepal, near the borders of India and Tibet.[3]
https://en.wikipedia.org/wiki/Api_(mountain)

https://en.wikipedia.org/wiki/Seti_River
Seti River
From Wikipedia, the free encyclopedia
This article is about the tributary of the Karnali River. For the tributary of the Gandaki River system, see Seti Gandaki River.
Seti River

Seti River valley with Dipayal, Nepal (left side)

Origin
Slopes of Api and Nampa peaks

Mouth Karnali or Ghagra River

River system Ghagra River

The Seti River is an important tributary of the Karnali system that drains western Nepal.[1]
https://en.wikipedia.org/wiki/Seti_River

C.ET: Paname
, Paris, nickname.

Api, paris. Appris, learnt. pris = taken
Apprendre, = learn

Age, gâteau.

Étau.

Aveugle,
Ave.

http://booktrope.com/open-book-submission/

Prêcheurs de ‘mariage’ entre adultes et enfants.

« Cetvies » in french link, liens pour C.et en francais.

Un culte, Islam est le pédophilique culte par excellence

Quatrième ‘épouse’ de Mohammed, le prophète islamique polygame, était en fait une petite fille de 6 ans, abusée sexuellement par mohammed a l’âge de 9ans, il en avait plus de 50.

Et comment se fait-il que dans les ecoles francaises, les francais pourtant c’est bien connu bien pensant, n’ont meme pas pris l’initiative de prevenir les enfants, vulnerable par essence, la proie non point des pedophiles par definition et autres deglinges quand on a de la chance. aux USA aujourdh’ui une survivante d’abus incestueux repetees doit etre le leader d’une campagne,, prevenant du danger d’etre abuses aux enfants directement. Que ce soit tabous, est drolement arrangeant, la preuve, encore.

 

 

 

 

 

http://www.islamweb.net › … › Controverse soulevée contre le Prophète

 

26 Apr 2009 – Le mariage du Prophète avec Aïcha

 

Aïcha la Mère des Croyants mariée à l’âge de 6 ans vérité ou mythe …

https://www.alterinfo.net/Aicha-la-Mere-des-Croyants-mariee-a-l-ag…

 

Si Aïcha était mariée au Prophète quand il avait 52 ans, l’âge du mariage d’Aïcha avec le Prophète serait donc de 12 ans. ….. Mohamed al Ghazali de son vivant n’a jamais pu faire admettre à la jeunesse et aux dignitaires musulmans que l’intelligence humaine, la parole divine et la création du monde ne …

Le mariage de Mahomet avec Aicha fillette de 9 ans …

http://www.troisiemeguerremondiale.net/…/la-verite-sur-mahomet-rappor…

 

 

Urwa a rapporté: Le Prophète a écrit le contrat de mariage avec Aïcha quand elle avait six ans et qu’il consomma son mariage quand elle avait de neuf ans, puis elle est restée avec lui pendant neuf ans. (c’est à dire jusqu’à sa la mort).

A quelle âge Aïcha a vécu avec le Prophète ( s a w s ) ?

http://www.mosquee-lyon.org/forum3/index.php?topic=15938.10;wap2

 

 

 

 

 

Recherchez sur le web : millions de pages en faveur de la vie de Mohammed, prophète islamique, polygame, tout le monde le sait et l’a oublié, mais en fait jusque dans les écoles, madrasa, etc., le culte islamique vénère mohammed dont la quatrième ‘épouse – a but sexuel, domestique, and esclave social ’ était en fait une petite fille de 6 ans,  abusée sexuellement par mohammed a l’âge de 9ans, il en avait plus de 50.

Un culte, le pédophilique culte par excellence. On se demande pourquoi l’islam est la religion qui fait le plus de ‘converti.’ Ou perverti.

Ce qui se sait moins, du moins est encore moins clame, de plus en plus demeure, et ce que sa quatrieme ‘femme’ ici clairement l’egale legale, d’esclave asservie et prostituee, bien qu’on ne peut prostituer une femme encore moins une petite fille, on peut tout juste (pour aucun d’entre nous le mot juste ne doit etre utilise dans cette societe, pour cette societe de fumier, qui a tout laisser aller = perpetrer non perpetuer. mohammed quatrieme ‘marriage’ fut perpetre comme publie avec une petite fille dont l’age etait 9 ans. Ce qui fait du prophete islamic et de ses ‘fideles’ les pedophiles les plus assertifs et pourtant moins remarques.

S’il vous plait recherchez ceci sur internet et vous conclurez en deux secondes que les musulmans venere ce type comme ils venerent la pedophilie par cette voie des faits. Il ne faut meme pas reelement avoir cotoyer de musulmans pratiquants pour savoir que beaucoup au lieu de referrer au coran (dont de toutes les facons mohammed est l’auteur) deliver deliberemment se sert de ce prenom presque comme une maniere de ponctuer les echanges verbaux et ecrits. Affichant a cette heure les intentions de cette ‘grande nation’.

Tapez : mohammed, islam, quatrieme femme, age et vous verrez.

Verra.

Je crois aux musulmans qui en fait je pense prie pour que ce mariage n’est pas été consomme, et était juste une manière par les lois de protéger légalement et financièrement ses épouses qu’il n’aurait pas touche. Mais ceci, bien que seule version religieuse d’un mythe, qui pense autrement, dont les adorateurs, les prêcheurs et les imitateurs devraient être enfermes.

Une question encore plus importante pour nos propre conscience, comme se fait-il que ces grands crimes contre l’humanite, ne soit pas connu de nous ?

Reponse : nous avions dans notre ‘propre’ societe de l’ouest, cautionne tellement inceste, sans jamais le cite, interdit les mariages homosexuels tandis que seconder les marriages ou les enfants n’etaient pas traite plus dignement que nos philosophies, etres et institutions de traines.

Aussi, combien d’hommes blancs revent de goulags ou de bordello, pour avoir des harems, pas besoin de s’appeler mohammet.

Ne demandez pas aux autres religions, présumant tout prêtre a appris cela, l’histoire des livres plus au moins ‘sacrés’.

Pourquoi ces sessions de préventions (qu’il faudrait régulières) ne sont-elles pas instaurées ? Comment se fait-il que des enfants, des tout petits et après, vont aujourd’hui dans des ‘écoles’ prêchant (pas perchant) le culte islamique et par-delà même la normalité et la désirabilité de mariages pédophiles ? Sans que vous le sachiez ? En espérant que contre cela vous lutteriez.

Parce que les patriarches, males ou femelles, n’attendent que cela, avoir des esclaves à leur pieds, qu’on débourre, qu’on défait, qu’on inculque, qu’on détruit, qu’ils doivent détruire complétement pour qu’ils puissent le rester : esclave et dans cette exemple esclave du peuple français. Produisant ignorant qu’on est plus facilement en état de pitié, de virer. Les petits saints de l’empire socialo-libéral accoutumé.

Faudrait la fraude.

Affront, la fronde. La fonte.  Des neiges ou des esprits encastres.

 

 

Cetvies » french link, liens pour C.et en francais.

Recently, C.et has edited its manuscripts (DPF documents) written in French (other texts than English ones), approximatively year 1999 to 2005- documents are heavy and take over 5 minutes to download.

Cette année, C.et est finalement parvenue a mettre a disposition ses écrits en français (pas disponible en traduction anglaise). Pratiquement tous premiers écrits du reste de l’ensemble des séries. Premières années d’abondance, approximativement de l’an 1999 à l’an 2005.

Cetvies en francais est une serie de pages manuscrites. pour etre lu, chargement necessaire. cliquez simplement sur les liens ci-dessous pour ouvrir et sauvegarder les documents. Ces documents puisque sous formes de photos prennent entre 5 et 15 minutes pour etre telecharger-eventuellement ouvrez une nouvelle fenetre pour se faire plus rapidement et enchainer sur le document voisin – deux a la fois maximum conseille. Cliquez sur leurs liens avant de les trouver prets a lire ou a copier. Merci de votre patience.  These docs if easy DPF once on a computer or on a key demands time to upload. P.S Tres long documents vous ne perdrez pas votre temps en manutention  (environ = de 150 pages par dossiers).

 

 

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1er post.

 

 

« Cetvies » in french link, liens pour C.et en francais.

Un culte, Islam est le pédophilique culte par excellence

Quatrième ‘épouse’ de Mohammed, le prophète islamique polygame, était en fait une petite fille de 6 ans, abusée sexuellement par mohammed a l’âge de 9ans, il en avait plus de 50.

Et comment se fait-il que dans (ou peut-etre encore sous ou soul) les ecoles francaises, les francais pourtant c’est bien connu bien pensant, n’ont meme pas pris l’initiative de prevenir les enfants, vulnerable par essence, la proie non point des pedes, mais bien pedophiles ceux-la, par definition et autres deglinges quand on a de la chance. aux USA aujourdh’ui une survivante d’abus incestueux repetees doit etre le leader d’une campagne, champagne, prevenant du danger d’etre abuses aux enfants directement. Que ce soit tabous, est drolement arrangeant, la preuve, encore.

 

 

 

 

 

 

Recherchez sur le web : millions de pages en faveur de la vie de Mohammed, prophète islamique, polygame, tout le monde le sait et l’a oublié, mais en fait jusque dans les écoles, madrasa, etc., le culte islamique vénère mohammed dont la quatrième ‘épouse (et certainement pour l’occasion on etabli pu plus d’une image)- a but sexuel, domestique, and esclave social ’ était en fait une petite fille de 6 ans,  abusée sexuellement par mohammed a l’âge de 9ans, il en avait plus de 50.

Un culte, le pédophilique culte par excellence. On se demande pourquoi l’islam est la religion qui fait le plus de ‘converti.’ Ou perverti.

une petite annonce que je souhaite passer en priorite: nous savions deja que le prophete regissant l’islamic avancee et percee (du moins ce qu’en dit on) est, etait, est toujours puisque deifie, ou examplarise, etait polygame, nous le savions tous, mais l’avaient oublie.

ce qu’ils se sait moins, du moins est encore moins clame, de plus en plus demeure, et ce que sa quatrieme ‘femme’ ici clairement l’egale legale, d’esclave asservie et prostituee, bien qu’on ne peut prostituer une femme encore moins une petite fille, on peut tout juste (pour aucun d’entre nous le mot juste ne doit etre utilise dans cette societe, pour cette societe de fumier, qui a tout laisser aller = perpetrer non perpetuer. mohammed quatrieme ‘marriage’ fut perpetre comme publie avec une petite fille dont l’age etait 9 ans. Ce qui fait du prophete islamic et de ses ‘fideles’ les pedophiles les plus assertifs et pourtant moins remarques.

S’il vous plait recherchez ceci sur internet et vous conclurez en deux secondes que les musulmans venere ce type comme ils venerent la pedophilie par cette voie des faits. Il ne faut meme pas reelement avoir cotoyer de musulmans pratiquants pour savoir que beaucoup au lieu de referrer au coran (dont de toutes les facons mohammed est l’auteur) deliver deliberemment se sert de ce prenom presque comme une maniere de ponctuer les echanges verbaux et ecrits. Affichant a cette heure les intentions de cette ‘grande nation’.

Tapez : mohammed, islam, quatrieme femme, age et vous verrez.

Verra.

Je crois aux musulmans qui en fait je pense prie pour que ce mariage n’est pas été consomme, et était juste une manière par les lois de protéger légalement et financièrement ses épouses qu’il n’aurait pas touche. Mais ceci, bien que seule version religieuse d’un mythe, qui pense autrement, dont les adorateurs, les prêcheurs et les imitateurs devraient être enfermes.

Une question encore plus importante pour nos propre conscience, comme se fait-il que ces grands crimes contre l’humanite, ne soit pas connu de nous ?

Reponse : nous avions dans notre ‘propre’ societe de l’ouest, cautionne tellement inceste, sans jamais le cite, interdit les mariageshomosexuels tandis que seconder les marriages ou les enfants n’etaient pas traite plus dignement que nos philosophies, etres et institutions de traines.

Aussi, combien d’hommes blancs revent de goulags ou de bordello, pour avoir des harems, pas besoin de s’appeler mohammet.

Voila, frangins, frangines, de toutes nations, attention, dont certaines pensent que c’est bien, mieux, d’attendre a la maison pour ce faire baiser, et d’engendrer une fille pour les finitions.

Et comment se fait-il que dans les écoles françaises, les français pourtant c’est bien connu bien-pensant, n’ont même pas pris l’initiative de prévenir, d’enseigner les enfants, vulnérables par essence, la proie des pederastres par définition et autres déglingués quand on a de la chance, pas pede mais pedo, les bons petits pedo voudraient bien plus souvent, contentant les fashos contre libre mouvements,  mort à l’homosexualite. Aux USA aujourd’hui une survivante d’abus incestueux doit être le leader d’une campagne nationale pour instaurer des cours préventifs enseignant aux enfants, les informant de dangers par lesquels ils sont, en tant qu’enfants, adolescents et plus tard jeune adultes, menaces.

Pourquoi ces sessions de préventions (qu’il faudrait régulières) ne sont-elles pas instaurées ? Comment se fait-il que des enfants, des tout petits et après, vont aujourd’hui dans des ‘écoles’ prêchant (pas perchant) le culte islamique et par-delà même la normalité et la désirabilité de mariages pédophiles ? Sans que vous le sachiez ? En espérant que contre cela vous lutteriez.

Parce que les patriarches, males ou femelles, n’attendent que cela, avoir des esclaves à leur pieds, qu’on débourre, qu’on défait, qu’on inculque, qu’on détruit, qu’ils doivent détruire complétement pour qu’ils puissent le rester : esclave et dans cette exemple esclave du peuple français. Produisant ignorant qu’on est plus facilement en état de pitié, de virer. Les petits saints de l’empire socialo-libéral accoutumé.

Faudrait la fraude.

Affront, la fronde. La fonte.  Des neiges ou des esprits castres.

Encadrés, plutot qu’encastrés.

 

Encas trait.           Traite. Traitre.

Que le monde puisse se réveiller. Ou mourir d’avant.

 

 

 

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Cette année, C.et est finalement parvenue a mettre a disposition ses écrits en français (pas disponible en traduction anglaise). Pratiquement tous premiers écrits du reste de l’ensemble des séries. Premières années d’abondance, approximativement de l’an 1999 à l’an 2005.

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Ici, l’oeuvre originale. Les documents a lire.

Ici, l’oeuvre originale. Les documents a lire.

Les documents tapes par ordinateur sont sur ce blog pour que ses sujets soient détectés par les moteurs de recherche. Ces documents sont aussi pourvus d’annotations faites par un autre auteur.

Les postes ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite.

Œuvre modifiée et annote par partenaire porte le nom : ‘computerised doc’.

Œuvre originale sur les documents suivants, en bas de page, doc 1 a doc 60. S’il vous plait telechargez.

https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

Lire la suite

Ici essaie traduction d’anglais en français par Google. Poste dédie a la loi Erin. Comment se fait-il que les écoles ne préviennent elles pas les enfants contre les dangers que représentent les prédations pédophiles?

article en anglais: http://inthenameofhumanrights.com/2013/06/25/sexual-abuse-and-assault-awareness-and-prevention-law-aimed-at-children/

Traduction du lien anglais rendez vous sur: http://cettevies.blogspot.com

haut de la page un outil de traduction automatique est disponible (mais efficace qu’a moitie). Lecture en version originale vivement conseillee.

sujets d’extreme importance, s’il vous plait essayez.

computerised extra Doc 28

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

 

 

 

 

S’il vous plait, téléchargez prioritairement les DPF documents en page 1.

 

Les documents ci-dessous, tapes électroniquement- sont les copies partielles – i.e. présentation de certains tomes mais pas dans leurs version intégrales – et parfois non identiques ou incomplètement déchiffrés.

Ces postes, tapes digitalement, ne sont la pour lecture de textes premiers mais pour permettre de retrouver ou rencontrer les textes ou la nature de leur portée.

Les originaux et copies certifies sont en fait les photos de manuscrits, ceux-ci n’ayant pas de traduction électronique, n apparaissent et ne peuvent être enregistres ou répertories par ordinateurs.

Donc une fois que sur ce site il est préférable que vous ouvriez et enregistriez les documents DPF puisqu’ils sont –plus surement- le plus proche de ce que l’auteur a écrit.

Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

Doc 28.

 

Pagination :

N° 786 à 944.

 

 

§.1.

Il se nourrisait de macabre tellement il avait vu la mort et ne voulait baisser la garde un moment.

La mort devient macabre si on la croit ou l’envie seulement.

§.2.

Apparition roman car préoccupation et mort de la vie courante pour alphabétiser et  non lettrer « d’où l’apparition du logeant sur la T. V. « .

Les jeux de mots, la complicité des mots, de leur sens, de leur emploi, de leur contexte et de celui qui le fait ou raccordera « traduction avec ».

§.3.

Les gens ne se connaissent. Ce qu’il faudrait partager, cacher.

Avoir fait, ou éviter.

Tout ce qui revient de nous dans nos relations, pont de matière à s’embrouiller.

§.4.

Apprendre en série permet d’avoir rapidement à sa supposition (vocation).

§.5.

Pouvoir agencer, disposer sur une feuille des des mots créer un pan, une articulation.

Attendre que tout les mots et les idées soient présent.

§.6.

n auteur n’explique pas tous de ceux qu’il veut dire quand il sait qu’on peut le découvrir.

c’st ainsi qu’une oeuvre offre sciement des possibilités, d’études, de me comprenant et qu’est permis selon le degré de connaissance, de familiarité, l’apparition des différents degrés.

§.7.

Attendre que l’idée soit prescrite et ne précéder au temps qu’on tend à répondre à ses titillements.

L’incidence quand il y a à faire quoi que cessant qu’à releverl’enfant.

§.8.

Je ne pouvais plus élire à mes cotés personne puisque la vie m’avait fait avoir regretté ou devoir me séparer de mes amis, parce que la vie nous avait rendu cruel et que l’on détruisait ce qu’on aimait ) il ne fallait pas se laisser détruire.

Et puisque le désoeuvrementrendait tout un chacun comme jamais.

§.9.

Être chaque moment la personne et les moyens d’atteindre, de faire conjuguer les psychismes, dans tous les aspects en le prenant come un enfant, une aura, une blessure, une jouisance, un souvenir, une pensée, une compagne, une confidente.

§.10.

Apprendre des conneries que j’ai pu pratiquer.

§.11.

En dehors du temps d’un exercice de concertation, 1/2, 1, 2, Mais la nature à d’autres intérêt, priorités etceux-çi touveraient leur place.

§.12.

Marcher. Rencontrer d’autres groupe. La parade et l’attention qui s’exerce sur la symbolisation de l’unité.

Tenir sa fonction simplement pour que la tête soit à cela occupé.

Les questions existencielles et pro-éloignées.

§.13.

Tout le monde à besoin d’être encadré.

§.14.

Les défauts qui s’avèrent, des gens qu’on conaît.Et ressntir comme un pressentimentquand des fois nous prenait l’envie de gueuler.

§.15.

Tu me fais penser à mon sexe.

A mon envie de me multiplier.

A mon envie de vivre auprès d’une autre vie.

Faut-il pour cela avoir un entourage et que la hiérarchisation ne soit pas faite de manière à ce que les manières de s’émanciper et le défaut de l’autre nous tiennee cloué.

Clouage et reste là le cercle des qualités.

§.16.

Le poids de ce que je salive se reposant en moi.

§.17.

La vie qui nous déchire comme ce que sont ces sentiments que l’on ressent lorsqu’on se rend compte que l’on a divisé ses enfants.

La société ravagée.

§.18.

La non. non – assexualité.

Le fait de ne pas reconnaître l’amour entre femme et ne devoir reconnaître sa part de féminité.

Ne pas reconnaître être une femme ou un homme car activité sectorisée et ressentie comme incapacité dimensionnelle ésotérique aux domaines aux quelleson a été initiés.

Forcément on se sent perdu.

§.19.

Accepter l’attention, la force de l’autre c’est multiplier la force qu’au même moment flou on ne pourra apporter.

§.20.

Couple, amitié, sans projet et enfantillage. L’enfant et le efus de responsabilité. Restauration, affection, pomponage, faute bien sûr ses propres manquements s’appitoyer.

§.21.
Assis à un banc. ( C’était nous, mais mon minou partie moi maintenant toujours tout seul !) au monde on le vivait !

Le petit vieux (merçi quand même) à coté de moi vienne se reposer. Les histoires de familles quand et ce à quoi ils en vinnent à conter.

§.22.

Je ne peux plus te souffrir.

Lorsque les blessures ne font que saigner. lorsque l’on ne compte sur chacun d’eux mais la confiance et la stabilité à chaque fois remise en cause et plus personne pour croire et restaurer. ( Il n’y avait plus que toi, tu n’es plus là il ne restera que le vide ! )

§.23.

Une phrase en anglais : Je laisse !

 

§.24.

Je veux bien m’en occuper si on (nous partons) part du principe que c’est mon zizi aussi !

Eh , bien caro tu te dévergonde ma chérie d’amour ? Ton Dany.

 

§.25.

Un Week-end au lit genoux bousillé.Car mes entre – cuisses maltraités, assise sur le plumard.

N’ont plus peuvent les supporter eux restes de la jeunesse lié.

§.26.

Mes tics me venaient comme pour redresser cette machoire que je n’avais pas droite !

§.27.

Ces tics avant que le douleur , empêchant donnant une vibration me remettant d’aplomb, mettant et faisant que ce soit la douleur qui viennent à la place me réveiller.

§.28.

Connaître son corps;, le débit de ses possibilités.

Si son esprit à l’habitude à la réguarité de l’effort ( le fait qu’on ne le fasse pas plus ou moins relaché)

Alors on peut prévoir sa fatigue,son débit et son temps savoir aménager en prévoyant performances, constances.

§.29.

Quand je la rencontrais et que mon impulsion surprise.

Elle surprise aussi, s’exprmait alors 130 personnes en 15 gestes, explosaient elle me rappellait à toutes mes vie.

§.30.
Les forces même, si elles sont les terminales ne doivent pas venir des muscles de ma main. Mais je dois la poser, maintenir mon piquet rigide et c’est (ce sont) les muscles du bras et plus loin qui doivent marcher. (agir)

Elle ne doit pas être un instrument à forcer ( même pour l’étreint ).

Mais avoir primer.

La force venant des muscles plus développés et et engageant moins de travers à s’articuler.

§.31.

Je lui faisais l’amour lorsque j’écrivais, lisais, attendais , regardais, pensais, classais, étais aux aguets, contemplais. Ranger, enjamber, marcher, courrir, dormir.

Je lui faisais l’amour pendant tous ces moments là.

Je lui faisais l’amour de la même manière que je vivais celà.

Faire l’amour comme je vivais.

§.32.

On prenait à bouffer quand on en avait marre de travailler, pouoir nous changer de sensation. la possibilité de varier notre attention à dez touches complémentaires ne nous étaient pas permis. Du coup on baffrait !

§.33.

Ce grand méchant loup et ce qui t’arriverais si tu t’éloignais du groupe au lieu de travailler.

§.34.

J’étais contracté de tous mes muscles parce que se servait de mes membres le petit puisse grimper.

§.35.

Anglais ! je passe!

 

§.36.

Mais une chance !  Champion du monde en sa vie !  ( Toi !  Tu as rencontré les, patrons patronnes, de chez Prisme, M.B.P.M, : D 3. ! )

§.37.

Irack ! E-U veut changer le régime. O. K.

Les humanistes veulent changer le régime de l’Irak et des U- U.

Listes non exhaustive. La France à t’elle chaud aux seins.

§.38.

Savoir être en tension de tout son corps. ex : Se tenir par les abdominaux. Se tendre dans un même effort. et le corps devient un et circule et viennent ce qu’il en est de chacun à chaque organes.

§.39.

La découverte de mon hétérosexualité, fut active et à cete condition là pas rempli as trouvé.

Il me fallut re et repenser.

Et des marques d’affection, de loyauté renouvelée pour y accéder et de pouvoir me dire qu’il y avait des femmes vivants comme moi et physiquement je savais qu’un homme pouvait m’intéresser et que je n’aurais pas plus de –         – pour cela à me coltiner.

Il ma fallut pendant des années aller au devant de cela pour qu’un véritable désir (désir en général et possiblement voulu en particulier ) ( advienne )

Il me fallut clairement, volontaiement tel un long moyen pensée pour y parvenir , comme cet instinct auprès de la femmeme fît passer des larmes de mon homosexualité et de toute ma vie de couple ma projetter. ( construction identitaire devenus plus réflexe )

§.40.
Se raccrocher. invoquer en soi la symbolique pour s’éloigner du tournis des sens.

Le geste pour s’éloigner d’une symbolique incontrolable puisqu’une situation n’est jamais arrêté = ou rien l’on ne peut en réalité se prononcer.

§.41.

Dettes payées consolidées, après avoir été vampirisées est un scandale. Mais l’argent est un scandale qu’il faut arrêter, injustice partout.

Je pense que personne ne se presse de donner une opportunité  à d’autres puissances.

Puisque ce style de fait nous conduira tous (si pas arrêter) au cimetière.

Comment est-ce que ceci peut évoluer. En tout cas nos connaissances, nombre et influence sur le milieu naturel est terrible.

Et les éléments doivent être un à un et de mains de maître manipulés.

§.42.

La peur de l’arme.

Ne pas avoir conscience de pouvoir, peut – être de devoir tuer Lame homme et ne pas connaître l’arme et risquer de l’avoir dansla main sans savoir qui elle est et d’ainssi en tuer dix au lieu d’en tuer un.

§. 43.

Vivre son sujet.

L’écrivain ne peut rien sans celà.

Choisir sa vie, voilà ce qu’apporte l’artde nos vies. Cheminer jusqu’à ce qu’on veut qu’il soit inscrit !

§.44.

Grandir c’est ne plus se sentir coupable de ce qu’on peut inspirer.

–        – douceur. tous et toutes circonstances.

C’est savoir que rien n’est à interpréter.

Ainsi tous pouvoir jouer, accepter l’énergie qui descend en nous comme le plus grand des bienfaits.

§.45.

Le repport de position est un leurre parce que privé de but authentique lié à sa propre force créatrice.

§.46.

La fonction (dans ses privilèges et psychiques d’apparats ) nous avoir occuper , doper la société dans son exposition.

L’expressif ne révèle rien d’autre qu’une question à exprime au visage qu’on que tu voulais voir sans une certaine forme concerné se former.

§.47.

Tu sais pourquoi je me confierai pas ?

Parce que tu n’es pas mon copain comparé à bien des choses que je n’ai rien dit du tabou et combien que chacun garde pour soi.

§.48.

Contrairement à chacun de nos comportements dictées par l’expériences et considérés comme normal tant que l’expérience permet à notre réflexion de se poser la question ? L’invoquer à d’autre utilités.

La réalité tul’as affectés autant que nous.

§.49.

Être en accord avec le monde.

Il ne me surprend plus à partir ou je ne cherche plus à le surprendre non plus. M’affaire en d’autres utilités.

§.50.

Rester sur sa position.

Ni forçer.ou à acquiescer, ou a refuter.

Montrer ce qui pour soi il en est.

Et ainsi infos après infos on pourra se trouver.

Le tour de la terre une fois bouclée pouvant se penser.

§.51.

Action inconsidérée.

Car le résultat ne vient qu’après.

décalé.

§.52.

Abdos.

Poser son ventre à terre.

Contrôle de la courbure.

Et extension de la colonne.

§.53.

Ce poême.

La sensure des propositions.

Et découpe d’une pensée.

Rythme et écoulement de la pensée.

Sans fin est un rythme.

Un seul son rime à jamais.

§.54.

J’entendais mon corps ; Craqueler.

Je savais ce qu’il m’attendait.

La douleur, le bonheurPlus rien ne devait me troubler.

La douleur prépare à la mort.

Le bien être à la parer.

La raison; qu’elle n’est qu’une idée?

Lâchent justement tout ce qui ne sait.

§.55.
Lavabo mouillé.

Crache mon dentifrice.

Eclatée.

Etoile des neiges.

§.56.

Ce qu’à propos et schant ce qu’on tend à penser, nos systtématique de pensées et de reponses toutes faites en détachement de ce qui est à écouter, reconsidérer.

La véritable question ne peut jamais être la même.

§.57.

Attendre que vienne l’énergie pour expliquer ce qu’il y est.

§.58.

La mascarade du vêtement.

§.59.
Les gens sur un même but (collègues, élèves, –  —   —)

Le berceau de l’individu et de l’élaboration du projet.

§.60.

Le sentiment est le signal de laisser là aller. Le reste là se placer instantanément ou avec le temps.

Etat d’exitation dejà dépassé stabilité demandé requise. reprise de conscience en relation avec son débit.

§.61.

La poèsie.

L’art le chaînon manquant.

Le besoin souverain.

§.62

Quand la montagne revient en moi, par les souvenirs que j’en garde et que pierre après pierre je rejoints.

§.63.

Une boucle d’oreille.

Juste pour faire un peu plus branleur,

Juste un peu.

§.64.

Tu ne peux pas – m’as t’on dit.

Il ne faut pas tomber dans le panneau.

Ne pas faire ce qu’on ne doit.

Mais je le prends comme un défi.

Et ce que je sais comme devant m’expérimenter.

Je le ferais.

Et cela réussira.

Le record ou l’idée qu’on en avait explosera.

§.65.

Concentration, dévotion, exclusivité et efficacité.

§.66.

Je suis bête.

je n’ai pas encore trouvé de solution à ce que j’ai déjà la vérité d’avouer come étant des problèmes passés.

Je sui bête.

Et cette affirmation vient me libérer.

§.67.

Un enfant semble à soi.

Et le plus reconstitutif qu’il soit.

§.68.

Travail de l’estomac. à distribuer.

Et à se rétracter Quand assez à distribuer.

Contribue au maintien de la concentration.

§.69.

Rien ne pouvait, ne tremblait dans la décision de ne pas être choqué.

Ou par surprise de l’effet qu’il fait.

§.70.

Attention.

Energie de base.

Attention, ce qui attire notre attention.

N’est pas un but, mais un tout.

Mon énergie capte une énergie en action.

Les deux courants s’associent et vont dans une même et inconnue direction.

Attention porte vers un point et ricoche notre flux en des endroits qui dépassent ce qu’on sait de leur vie.

( Flux – Soi – Autre – Monde.)

§.71.

Forcer son énergie c’est prendre ou trop se départir que du but dont on était chargé.

Dont l’esprit était en train de se charger.

– Regarde devant toi.

– Elle réfléchit aussi.

§.72.

La muse. l’amour.

L’image à la vie. Le point entre ce qu’on en sent et ce que l’on en étudie.

La muse ne donne pas l’inspiration mais y conduit.

§.73.

Pas d’humain qui possède sa vie par la seule constatation qu’à chaque moment il peut périr.

On avait à insister sur le geste, tous ce qu’on a à vivr de soi c’est à être en vie. Au besoin de condition de mise en valeur de son énergie.

Ceci ne la chamboule que élaborée déjà a sa circulation.

§.74.

Et je pus soigner toutes mes plaies.

Lorsque je vois ma mère me rejoindre sous de pré-conception d’idées données de départ.

Car à –        – elle je ne le sais de m’accorder à ce qu’un succès dans le sens de ne pas refuser d’accueuillir, et de faire vie et puisque déjà c’est lui qui me propulse l’énergie qui est en moi.

La rencontre que mes sens ou le sens de mes réflexions étant en moi, juste attendre que puisse s’exprimer cette nouvelle configuration.

§.75.

Ne pas savoir à rajouter ou retrancher à l’énergie qui circule dans nos veines à ce que l’on à la vie vaut d’elle ce que l’on draîne.

Comme autant de conflit qu’on a accepté de porter, les maladies et tout ce qui nous gêne.

§.76.

Tu lui montre que tu es vieux.

Et volera de lui quelques pellicules rendant l’air neigeux.

§.77.

Ces plaies de ne m’être coordonnées a (deux voies) de ne m’être servie a d’avoir voulu qu’elle était autre que ce que j’en croyais et m’obstinant à l’utiliser (d’ailleurs utiliser quelque chose qui me contient suffit à l’erreur) en dela de la capacité à savoir comment se diriger.

Transporteurs, mais pas créateur.

§.78.

La douleur de la souffrance, sentir ma douleur parce qu’elle me dit que je devrais autrement mieux faire.

Correctement.

§.79.

Les richesses que produisit l’homme en garantissant à notre vie de pauvreté une future condition.

Des possibilités et de l’émulation.

Puisqu’il n’y avait qu’un décimal pour 10.000.000 d’hommes que l’homme pouvait tailler.

§.80

Un mot on croît connaître.

Jusqu’à tant qu’une situation nous apprenne qu’on le méconnaissait pour au moins une partie.

pour autant que ce ne sont pas les contextes tout entier qui reste incompris ou mésapris

§.81.

Connaître – Comprendre.

§.82.

Avoir des burnes c’est bander pour les gens et ainsi savoir se tenir de façon à ne pas dilapider cette énergie à ne faire qu’on a pas.

C’est à dire que l’émotion fasse comme elle veut mais ne vienne pas me gêner dans la réflexion, attention ou construction.

§.83.

L’objet commun de la chose qu’on a construit.

L’émotion qui se rattache non pas à la chose mais au comment puisque le temps est véhicule d’énergie.

La commande des troupes.

Puisque le groupe peut se rattacher à l’émotion si elle-même est rattaché à celui qui suit le but.

§.84.

L’hétérosexualité.

Moyen institutionnel pour faire que les gens sans pouvoir être soupçonnés (doù) vient leur passion tranquillement.

En balance aux mariages forcés, institutionnelle la passion dissimulée au grand jour.

§.85.

Je prends connaissance dans quel axe je dois travailler le mouvement plus la tension nécessaire à me décoincer.

Et ces deux paramètres là vont me premettre de m’exécuter et d’aller cette tensin là chercher, l’atteindre dans mon mouvement l’intellect et la technique.

Sensation, émotion me dira comment mon mouvement pourra être au ieux affiché.

Qu’est-ce que la technique va faire circuler.

§.86.

– C’est une bête qui disent.

– Ouais ben moi  maintenant qu’est-ce que j’ai l’air de quoi ?

§.87.

Les compliments qui m’ont grandi.

Faire tout son possible pour se sentir les avoir mérités et cela dés qu’on sent que le maître à chaque pas qu’on l’arrache vien lui-même nous récompenser.

§.88.

Hétéro.

Homo – Un problème.

Une façon intitutionnelle pour que les gens exerce un contrôle, réfrêne leurs instinct sexuel.(Pédophilie sont tout assimilés) car contrôle sexuel imposible dû à éloignement, insécurité.

§.89.
Les nouvelles.

Que des éditions spéciales.

On a l’impression que rien d’autres dans le monde n’est en train de se passer alors que d’habitude, il y a de quoi écouter.

Cela doit – être comme cela aussi d’autres périodes.

Le média reflete le tabou pourquoi parler de cela alors qu’en certaine société la nouvelle quotidienne celle qui en un coup peu t-on par maladies guerre est un peuple décimés.

La survie ne laissait pas de place à la vie.

§.90.
Mariage et famille forcée.

Système assurée d’entretien des personnes ( Maladie, vieillesse, folie )

§.91.

Permis d’épargner pour les hommes ne pouvait pas exister avant l’épargne.

Pour les classes riches cohésion du groupe.

§.92.

Pas de différences fondamentales dans la liberé inter-groupe.

Aristocratie et face opprimée.

§.93.

Les gens qui ont été le reflet quelque chose en moi.Ou ceux qui m’ont donné quelque chose à espérer de l’arrêt de mes conditions vie ou de mes conditions en qualité que je saurais ou savais comme horribles, ceux qui ont enlevé de la terreur en moi.

Pour cela moi ou tout un peuple aurait pu se donner entrouvant naturel. ( Te rends – tu compte de la beauté de ce que tu exprime ? )

§.94.
Femmes et foncions diplomatiques.

Femmes symboles de celle qui élève, qui protèse?

Le pauvre –  —      —— !

Symbole de protection et idée incitation de respect.

Fascination par l’homme du camp adverse.

§.95.

Travail en équipe ( ou seul ) création d’un système avantage sur sujet.

Code et simplification, efficace, très rapide.

Mais problème de transmission ( En dehors des membres totalement immergés au groupe )

Et force d’habitude restreint capacité d’adaptation.

§.96.

Dans un thermo le lair a une odeur de pied renfermé.

§.97.

Avec une femme, feuille je me promenais.

Son époux crayon contre elle collé.

On se promenait.

Il me promenait.

§.98.

Les pieds sur le sol.

Tee – shirt = Sandale.

Prévenir mon corps de la chaleur adéquate.

§.99.

Folie et communication.

Dire n’importe quoi.

§.100.

Puisque comuniquer comme seule possiilité de s’occuper l’esprit en dehors des taches dictées.

§.101.

Père absent.

Rapport à l’autorité comme saignant.

§.102.

Geste libérateur par rapport au conflit psychique et imbécilité.

Auune âme ne s’y refuserait.

Si ne s’y conforme pas et bien tant pis je m’en fout.

Et c’est qu’on voulait les y forcer si on en est vexé.

S’il refuse et que somm toute nous sommes en adéquation réelle, en harmonie avec les énergies alors leurs refus ne peut pas même nous effleurer.

Le conflit est la douleur partagé, donc émergeance.

§.103.

Interdiction de boire dans la bibliohèque. ? ? ? ?

Ilne m’interdit pas ( Sachant l’un et l’autre que l’autre savait ) Jusqu’à temps que je ne pris pas assez de précaution pur me cacher remettant son rôle qui était de me stopper sorti de sa boite et me le dit.

(Mon pauvre Minou d’amour si tu m’avais dit cela j’aurais abolie cette stupidité)

§.104.

Fascination et complémntarité.

Comment se couvre l’un et l’autre élément Porte les défauts l’un et l’autre et comtempler, analyser, s’inspirer des qualités de l’un et de l’autre.

Faxcination suivit comme complémetarité.

§.105.

La peur d’être faible.

A prendre sur soi une charge qui puisse nous écraser.

§.106.

Autorité – Sévérité.

1 – Tu ne mange – Je te réobserve.

2 – Tu m’apprends, tu me reconnais le pouvoir d’être sévère aussi.

Je te regarde en tan qu’autre.

Je te regare en tant que reflet.

§.107.

Le poids de la tension.

Accrache de la rencontre. Synergie.

Ou pour pouvoir sen décrocher.Arrêt d’échange .

Rebéllion aussi, changement de sujet, que le non alégorique.

Aussi chef que scrupuleusement défenseur de l’autorité. jusqu’à la rebellion aussi violente que sa loyauté si il venait à penser que quelque chose était plus juste.

Evocation. Comptant on y revenait.

§.108.
Je ressens la limite pour :

1) Mon corps.

2) La limite de l’autre.

3) La société.

Limte repoussée entre étouffement et expension.

§.109.

Habits militaires.

Pas encore le temps de changer mes vêtements.

Les visages eux et les autres voulait me pendre ou selon qu’une garde robe tient plus longtemps qu’une saison chez moi.

§.110.
Repasser les limites tant doit pouvoir s’exprimer sans épouffer.

Haronie et recyclage ou flux naturel s’adaptant se combinant.

§.111.

Employé extériaur.

Exemple domestiques.

Reproduction de la place de soi envers ces servants               intérieurs.

Noblesse     génère expression du terain et territoire gardé.

§.112.
Femme – acceptation – dialogue femme porte parole.

Femm – refus mais pas de dialoque par intermédiaire de femme,

mais tout le monde le sait.

Impossibilité à pouvoir parler.

§.113.

Une bonne odeur de plaie.

Elle suinte par la blesure occasionnée.

§.114.
La gène – Le surplus d’une émotion.

Comme une invective  – Demande à l’autre de la dégager.

Aide moi à l’expédier.

§.115.
Elle me passe moi et mon habit (-               -)

Désir caché de faire éclater une guerre.

Poufiasserie et creuses idées.

§.116.

Connaître tout ce que réserve la vie.

C’est savoir que persnne ne peut avoir confiance en soi e moi de même.

Je ne sais ce que deviendra la personne.

La Situation.

Mes conditions.

Une personne ne tient par le hasard que le déroulement des faits le veuille bien.

Sur moi, les autres etl’évolution des heures. ( Sensation personnelle d’obligation, devoir besoin  . ..  .. . je ne peux prévoir rien.)

§.117.

Elevé par l’auto-disciplineLes gens se retournait pour savoir si ce n’était pas un fou dans ses jours performant de (-    -).

Mais celui-là ne regardais plus la télévivion. ( La télé mon minou d’amour en ce qui me concerne il y a plusieurs années qu’elle est dehors )

§.118.

La tête baissée.

Les gens se demandais si je faisais exprès de les croiser sans les saluer.

A l’époque ou je ne savais pas que cela se faisait.

Avantage et que maintenant à nouveau n’a de sens de s’en soucier.

§.119.

L’habitude qu’on a d’être traité.

L’habitude qu’on a d’avoir traité.

Pour savoir qu’on va être dépassé et qu’on ai partout à faire.

Exercer ses quatre volontés, comme pour justifier qu’on puisse adorer.

Ou l’autorité comme image de ce que l’être croit avoir de limite et de contrainte lui même sur la personne,

l’être qu’il peut faire –     – ?

§.120.
Elle s’imprégnait des odeurs des lieux.

Avait la (capacité) de les transporter sur elle et de les redispatcher.

§.121.

Ne sesentir appartenir et dépendre de rien ca travaille pour le bien de chacun.

Plus de problème identitaire.

Conflit dépassé.

§.122.

Être toujours actif. se rendre compte qu’on glande quand même une grosse partie de la journée.

Question rendement concentration sur ce qu’on fait et prévoir, préparer, ce qui vient. Pas un moment ne devrait être à combler.

§.123.

Si désir se payer des vacances alors viendra d’accomplir se souhait.

Motivation dépend de projet.

Projet de société.

§.124.
J’essayais de lui montrer que j’étais amoureux d’elle sans m’apercevoir qu’effectivement je l’étais.

Et qu’on ne m’attendait pas pour voir les choses se –              -?

Vouloir les faire s’exprimer, leur donner un trait, établir qu’elle ne pouvait en fait se rencontrer.

§.125.
Entre activités et responsbilités (Maintenant assumé, travail sur l’individu occupait toutes ses pensées.)

Il y a la conscience d’être.

§.126.

Si on prend le compte.

Redémarer là où on sait qu’on a assurément –               – ?

Abdos.

§.127.

Déjanter c’st être en rapport avec le mouvement extérieur.

devenant le juste qui va tirer.

§.128.

Arrêter parce qu’il voudrait qu’il soit au lieu de s’adoner à ce qui peut être fait.

§.129.

Collecte d’éléments.

Et idée.

§.130.

Lire un million de pages avant de savoir trier. Lire comme on croyait être –                 – ?

En fait se transformant en la capacité que son attention se réveille seulement lorsque viennent à soi des indices qu’il faille s’y replonger.

§.131.

Je m’étais tout identifié à des – – que je ne pouvais plus être bien et me sentir gros.

§.132.

La revendication psychique. La restauration d’égal à égal.

Se sentir aussi fort car capable de bien –       – et d’êre aussi ainsi accepté.

Droit du choix du complément = motivation affective à soi même se développer, ses capacités et limites.

Droit à une moitié.

A vivre avec quelqu’un soutenant, partageant ses exigeances et particularités.

Les marques une méconnaissance.

§.133.

Ils étaient mal à l’aise en sa présence.

Mais que leur renvoyait-il ?

Mais Qu’est-ce qu’il leur renvoyait ?

Le malaise est là si on s’ocupe des problèmes et vient tout de même mais sans qu’on puisse s’identifier tant que l’on a rien réglé.

Il était ce qu’ils se savamment cachaient.

§.134.

Plus je prends possession de temps et peut me situer comme n’ayant pas rien à quelque chose mais comme imprédéterminé.

Ou comme parfois je forme un bloc, ou un électron libre.

Mais ma pensée s’organisant dans un tout apparaît sur, mais ne dépend pas de moi.

Ce que j’en sais (en crois savoir.

} Apparence autour de ça !

Ce qu’il y en a.

§.135.
A na pas affronter.

On ne connais pas la clef (deses angoisses et ce q’est la clef d’une vivtoire et bonheur diffusé.)

§.136.

Les polis peuvent-être bien plus acerbes, ne croyant pas qu’il y a autre chose à pencer que comme eux un peu moins soucieux.

Remarque : A réfléchir c’ n’est pas auprès de e présence non réfléchissante des autres qu’on va s’emmerder.

§.137.

La terre en feu, soit être dans le brasier soit n pas avoir les moyens de s’en douter.

§.138.

Respiration ventrale.

Et problème de gorge ?

Poitrine et gorge.

§.139.

L’énergie se met en place, se boit but et direction de se raccorder; c’est ainsi que condamner un geste est toujours bléssé.

§.140.

Le sport qui me disloque.Si symétrie npus apprend à travailler. Pointe les blessures que je ne connaissais. Savoir que régler.

Va au devant de la fracture à réparer est de vouloir certaine au dépard bien senti pour se réguler.

Perturbation de tout autre, puis après puis après puis après –  –  –  –  – !

§.141.

La simple pensée de rapidité d’exécution de moins de charge du travail organisationnel et un appel à l’intelligence.

Et toujours mieux classer, s’arranger déterminer es choses afin de faire des progrès techniques.

Gain de temps et rapidité sur le but et réflexion si toujours de la même qualité de point en point, de cran en cran peut-etre plus poussée.

Une réflexion = Une réflexion.

Une personne = Une personne.

Une intelligence = Une intelligence.

Et la construction en tout point peu partir, s’épaissit, va se prolonger d’où :

Différence de résultat.

Apparaît comme effectif.

§.142.

Le blocage.

N’a pas le même but conscient qu’inconscient, être à bout de souffle.

Le but conscient OPsychiquement et arrêté.

Un mort né était.

§.143.

Le mécontentement du physique qu’on a focalisé entretenir sa petite partie –                – se trouver un même complexe expliuant toute notre gène.

§.144.

Gène est l’élément qi se cherche mais ne se raccorde pas.

§.145.

Action ! Ce qu’ils ont occasionnés.

Repos psychique pour restaurer les faux mouvements et réflexions.

Et attention.

§.146.

MAisfinalement à par contraint on ne peut perdre de temps car la solution de mieux, l’aborder estvenue en attendant.

§.147.

S’admettre comme le terrain d’expérience d’énergie.

Ne plus s’en bouleverser.

§.148.

Recoupement de points sévères.

Générale en spécialité.

Même si doc contient certaine des informations nécessaires.

Permet de soi  «  Inculquer ou Inciter  ? «  Correction ?

Comprendre des mouvements annexes même si pas à appprendre.

Ramification plus nombreuses qui permet de mieux lier le sujet.

§.149.

Il devait en avoir bien bavé alors au dela ce qu’on en semblait-être un adulte avoir pas encore et au dela encore l’age convenant, au dela de ce que dans son milieu social on avait puen espérer. Peut-être aussi avec sa propre manère de concevoir, de rectifier, de calmer la douleur de ce que l’n voyait.

Chacun devait ce construire quelque chose, de développant son inviolabilité face à ce qu’on ne peut justifier.

§.150.

Les gens veulent se détacher de l’animalité en se détachants ds besoins les plus urgents vitaux. Ne comprenant pas par là qu’en cela, nous rendent anoralité car ne priviligie pas la mise de l’autre en premier.

On s’éloigne des règles instarées afin dans un but ultime de progrès ces mêmes règles probates, élitistes se basant sur l’inégalité.

§.151.

Ne se sentir pas rejeté !

L’impression de pouvoir être un éléphant, fermant le yeux. Pouvoir sur le corps d’un qui connaît la route, L’instat qu’il faut [ comme à haque fois u’on se sent, sentirait, rejetté on puisse ou pourrat se caller.

§.152.

Penser à une vérité de relation entr individu ou choses et essayer de l’imager sciemment (au dela de l’existence du théatre c’est à dire tenter d’y apposer sa force comme en quoi qu’elle ferait est dévaluée. Nous sers même dans la réalité.

Bodel psychique, forces contredites.

Chaque élément devant rejoindre le tout.

( Bien tu vas voir moi comment je vais te l’expédier ! )

§.153.

On ne peut penser les choses En termes de compatibilités mais d’exactitudes, compativité = comparaison stricte.

§.154.

La recherche de l’instrumentation idéologique de la supériorité.

C’est pouvoir auprès du problème (les impuants à la volonté de Dieu ) tout en conservant des gens plus mal loti, relativisant sa propr place. Et regarder condescendant un problème sans le résoudre. s’assure une rlative tranquilité d’esprit tant qu’à ce ue les problèmes ne soient pas mis en sa responsabilité. Problème de société, perso, idéo.

§.155.

La douleur du membre.

Ou l’obligation d’y remédier, de prendre conscience de la manière ont on peut se débloquer.

Rend bien la sensation de dons en perticuier dans ce corps en ce cas là ne faisant plus partie de tout.

Un dialogue avec l’harmonie auquel notre esprit peut se rattacher etdette sensation localisé est un morcellement.

Quelque chose tombant en ruine,un pont, une partie nétant plus connecté à ce à quoi il faudrait que l’on puisse l’inclure, la rattacher.

Chose et douleur :          Igorance.

Ségrégation.

Focalisation et analyse d’un fonctionnement = Particulier.

§.156.
Egalité et formation des personnes.

Force insoupçonnées.

Forces de chacun et chacun pouvant dire jamais je ne fut soumis et de toustemps jamais je n’ai dominé.

Commechacun à la recherche et responsabilité énergétique, interne comme externe est occupé entièrement.

§.157.

La compérence = voir les choses tant et autant de fois qu’on va les sentir, intrinsèquement les analyser.

Et aller à s’interroger, enseignement, donc didactiquement, à la recherche tout le temps de façon à toujours pouvoir êre interrogé.

§.158.
Un problème qui va s’arranger, commereconstituant les plaies dont on se croyait déffinitivement afflublé (affublées)

§.159.

La descendance comme le nature et son acceptation (à défaut de la société)

Puisse cette descendance. Le sexe psychique, comme reconstituant, comme première base instinctivement, auquel on va se raccroher en cas de flottement, d’incertitude du qui on est ou mort si on ne rouve de support en ce dernier. –    – descendane amour la transmission à l’autre ou la continuation de son art.

§.160.

Affronter sa tension. Dans toute condition y compris dans celle ou elle préfère à un revirement de situation.

exemple : Réveille toi, dis-je pour me faire comprendre, sentir clairement.

[donner, ouvrir la voie à ce que le sensation elle même puisse venir en moi]

§.161.

La douleur venant simplement que je m’entêtes à me croire hors d’atteinte des fois.

Hors d’atteinte laisser, avoir son petit soi.

L’assèchement.

Né de l’inconsidération.

Pas de pratique dans ‘échange et partage donc pas de logique de réciprocité.

Se savoir dans une dynamique et celle de l’autre ne pouvoir ignorer.

Toute une vie à sa tâche, àcettemême qu’on peut, doit à chaque fois mieux préciser.

§.162.

Temps et spécialité.

Acceptation de ses propres manifestations.

( Au dela de la personnalité )

Si possibilité structurelle dans le société de n’être pas coincé, par les états de consciences de chacun.

Bien qu’en société = état de conscience partagé.

§.163.

LA haine. Tester le répondant;

On le fait de ne pas se laisser entraîner dans l’auto destruction.

Ou celle d’être assez désoeuvré pour s’y lançer. Répondre inutilement.

Les réponses qui ne font pas chager les conditions.

§.164.

Sa forme me fascinnait car elle me prétait sa souplesse que je n’avais,

l’ homme  – – – –

Les muscles  – – – –

A loi que je juge qu l’insulte de l’autre pusse exiger ma vie.

Je crache sur la blessure.

Oubliant quel cache un terrain accidenté.

§.165.

On perd de son intensité (capacité à avoir le vecteur de problème) en sagesse à se comtempler puisque n’étant pas le moteur la cause seule du phénomène observé.

Continue à arnacher. La notion d’exploits souvent incite à des actes inconsidérés soit à se reposer sur des lauriers.

§.166.
A certainne époque, la propreté était le seul idéal auuel on pouvait penser, alimentation et narcissisme :

Sanitaire, alimentaire.

§.167.

Seule réalité psychique c’est comment l’on se stabilise soi et les choses consientes comme inconsciente que l’on peut draîner.

Ce qui n’a aucune incidence sur la qualification de ces choses puisue stabilisé c’est un bloc qu’on a pu d’elle former.

§.168.

La naissance aussi calmée que la mort.

§.169.

L’oeuf et l’univers.

Ou dans quel oeuf est projeté ce qui n’est plus à nos yeux, vivant.

( voyent les oeufs )

Sans voir en dedans.

La forme de l’oeuf.

§.170.
L’acteur à pour but ( faux terme impropreson rôle lui est impartit il ne se l’impartit pas  : pour mission ) de transformer ses sentiments en l’ex dot il doit se charger.

A moins que son rôle à d’autres moment lui, soit réalité émotionnelle.

( cela d’accord, le rôle est à se moment non plus joué, mais vécu, ressentit )

§.171.
Si chacun à besoin et à un déjà unique moyen, individu – société et voilà où sur quoi sa propre performanc tient.

Compétitivité décalé.

§.172.

Répéter les choses, les mots dans des ordres différents produisent en imagination qu’ils aient le mêmes sens globalement, la manière qu’on a eût de les appréhender ou comment eux se sont en nous organisé (après que quelque chos nous les aient fait rpenser dans le sens particulier ou général qui est donné ) La musique des mots dépeignants une situation ; donnée. ( Faux démonstration du contraire par la demande, non demande, non proposition de mariage, ordre de refus de )  (  »  Ne Voulez -vous, voulez vous ne, voulez vous-               – n’  –   —   — ! )

§.173.

Ré -ré -écrire.

Comme celui qui se fout en colère contre son camarade jusqu’à temps que celui-ci explose à son tour et lui confirme que de la colère il y avait.

l’humour c’est connaître toutes les réactions par rapport aux objectifs caractérisants les différences et de s’en amuser.

L’humour créer un climat pour pouvoir souligner des traits.

§.174.

Hétéro assure très bien leur homosexualité, on aime les gens de la manière que l’on à appris. ( Ou la loi des contraires, et oui encore ! )

Mais ne veulent simplement se l’avouer !

§.175.

Toute physique ou personne ou doctrine devient aussi cruelle, violente que les autres lorsqu’elles veulent les gens partager.

§.176.

Lidée de développement harmonieux peut uniquement se construire sur ce qu’on connaît de la situation, de ses moyens de progresser en elle et de ne cesser d’être assez au coeur des sujets pour que ce soit cette réflexion qui soit à chaque fois poussée ainsi que une situation réglée.

Ne jamais-           – l’harmonie en oublianr qu’elle n’est pas un état mais une perpételle recherche d’autres accès.

On cherche un sys^ème idéal alors que l’idéal est une recherche, un système qui se sache très bien perfectible, limité. Parler dans le vide cest ignorer  ( S’adonner à autre chose qu’à cet effet cette règle que permet toutes les tentatives actives qu’on adopte pas ) préférer opter pour l’autre chose que le développement de cela est ignorer, ne pas se rendre compte de ce qu’on doit faire par rapport à un déséquilibre auquel on rajoute notre poids.

Ignorance, et action relative sur connaissances.

§.177.

Entre se retrancher de ce qu’on devrait s’y plonger. Ignorer d’avoir à s’en charger.

Et le fait qu’on ne puisse dire ce dont on a fait partie. On ne peut définir l’harmonie

§.178. (Ou 1978, tiens sa date, non pas « Anouar el » Abrutit sa date de naisance à mon minou d’amour ! )

Diable – Rien – Ignorance des Nations.

De l’individu.

Et croyance de substitution.

Etablit un terme commun, l’objectif innomé de tous et peur de tous.

§.179.

Relation indépendante exclusion d’argent.

Rudesse que le couple puisse se construire autour de la régularité.

§.180.

Ces mêmes éclairs e tristesses avaient comme autant de traits de délivrance, joie qui après me faisait arivée.

§.181.

La très contrôlée maîtrise de son corps nous faisait admirer ses gestes comme profondémment détester, les mouvements ou le contrôle lui échappait nous faisant une sensation de lévée.

Croire qu’elle le possédait encore de nous se dégageait puisqu’elle voulait elle-même se persuader.

§.182.

Comme la fille que j’ai dans mon lit me permettant de ne pas être pressantie quant à celle que j’aimerais avoir dans ma vie.

§.183.

Parler avec son étoile de ce qu’on croyait comme pouvant se passer et ne retenir aucune amertume de nos plans avortés.

Il est bien des secrets, et d’aucun mystère que le bonheur est la minutie qui va s’écrouler, que l’on peut à loisir et en toutes circonstances épouser.

Il n’y a d’entrave dans la vie à pouvoir pour elle l’aimer.

§.184.

Le rapport à la mort dans toutes les existences ou si elle ne l’est c’est qu’elle sera pour cela là alors prématurée.

§.185.

Le plaisir de retrouver cette même personne peu à peu l’on sait changer.

§.186.

La mort l’ignorance de ce que le vie est l’ombre.

§.187.

Mise à nu et art.

l’auteur, ses relations, son savoir en condensé.

La plus sûre des pages à l’intimité.

§.188.

Il voulait des marques perticulières d’affection, alors pour vivre simplement respirer, était la preuve que lui comme l’autre j’aimais.

§.189.

Rencontre fortuite, un plus très inattendu hasard.

Je relève la tête de mes notes et tombe nez à nez, j’en ai eu un coup de tête identifier ces vêtements que je connais, son visage seulement à peine vu ses yeux je la reconnais, en ayant un comme un train 1/2 siècle d’un trait accéléré (même si son visage avait tant de fois chéri et comtemplé ) il était impossible visuellement que je pus la reconnaître aussi sur que je le fis.

§.190.

Ma seule explication c’est qu’elle m’approchait sciemment avait fait porter son esprit sur moi comme peu de personne sur terre à mon égard l’aurait fait. C’est ainsi que j’avais pu reconnaitre l’importance de la personne se dirigeant sur moi rien qu’à son gilet.

§.191.

Combien de personne m’ont adoré me le laissant paraître mais en moins aumoins autant que ce qu’il avait

pû percevoir de combien pour moi il comptait.

C’était le fait qu’elle avait porter souvent mes pas toutes la réalité de ce fait qu’elle et moi, dans l’esprit de chacun avait ce jour là rencontré.

§.192.

Recule devant allèger le malheur.

Défaillance devant maladies et pauvreté.

Le semblant de santé, de stabilité, d’acquis que l’homme n’a pas dans son psychique et doit se raccrocher àce qu’il peut toucher.

§.193.

Ce monde auquel je me sens appartenir car les infos que j’ai de lui on quelque chose de constant.

Cette constance que je peux ainsi définir. Voilà en quoi je le sens me contenir.

PLus loin que cela l’existence est imaginaire. Sans fondement qu’on soit à la hauteur de décrire et mes constances ne pouvant être celle d’un autre.

§.194.

La vie me semble sans contraste ou sans plus aucune possibilité d’en voir un me servir de repèreen l’imagination et son tourbillon de question.

§.195.

Les aussi volents qu’ils ne croyaient plus en la civilisation.

§.196.

Qu’est-ce que la manifestation de ce mouvement ou concentration va-t-elle bien m’inspirer comme élan ou support dans ma propre expression.

§.197.
Remarque si certains attaqués dans leurs droits pouvient se remuer le cul dans la défese du droit social en général.

§.198.

Je me sens dans la recherche de mon esprit assez tombeuse pour croire en son pic du midi, tel un astraunaute qui comprendrait que sa ie est maintenant à la vue qu’il a de l’univers dans l’esace, ( puisqu’il est à remplacer )

§.199.

Le ciel le symbole de l’univers désormais, ceui que pourtant où on connaît nous envellope et fait à faire ce que l’on est.

Comme un as tronaute seul dans son scaphandre sans ravitaillement ni fusée, un astraunome voyant une image, un but d’immensité et qui seul face à elle pleure explose de comprendre qu’elle est la dernière vision qu’elle voudra lui prêter. Mas pas donner puisque c’est à elle qu’en sa vie et elle (s) peuvent durer.

§.200.

Ne pas fuir qu’elle disait.

Se cacher en cela le désir d’aller à l’encontre de la pécore il est vrai illogiquement injustement jetée.

§.201.

Exitation et dépression;

Se croire sentir d’une pression Qu’on a pas à porter ( voile la face ) le contraire (et s’encombrer des choses qu’on aurait dû travailler,classer,

Résolver !

Tu veux que je te fasse la honte ?« résolver » c’est Français ça, résolver, résolver français ?

?

A Trifoullis les Oies ou sur la planette autunoise ?

Ah ! Peut-être dans la campagne sartoise !

Ou en cote d’Or qui sait ?

à Guise en Champagne ?

Dans le Lyonnais possible aussi !

Moi je suis idiot paraît-il  ?

Mais j’aurais quand même mieux vurésoudre. Verbe du troisième groupe andouilles !

Mais cela n’est pas extrait d’un écrit de Caroline : Elle ? N’aurait JAMAIS fait une telle erreur autrement que volontaire afin que je la corrige !

La scolarité, il y a quelqu’un qui a du passer à coté !

Je crois que même Fabrice ou Laurence que j’ai connu pourtant ignares n’auraient pas osés écrire cela !

 

§.202.

Englais : Je te le laisse.

§.203.

Les moments où l’on se voit où l’on perçoit où l’on est en ce qui nous a ammené là, ces moments où l’on se met à la place de notre vie pour contempler un moment l’objet qu’elle a produit.

§.204.
Je ne suis ni un pauvre ou maudit. Ere. Je n’ai simplement pas peur de cette dite malédiction. Je connais trop bien le monde pour cela , ses harmonies et ses contradictions contre lesquels on ne fait seulement que continuer sa propre raison autant qu’inconvennable.

( Je dis en ce qui me concerne inconvenante.

Attention :   LE sens n’est pas le même !

Inconvennable, qui n’est pas dans les usages, les convenances!

                                                                                      INCONVENANTE : Qui ne ME convient pas !

                                                                   Cette fois vous savez à quoi vous en tenir ! )

§.205.

Télé et géo, et tu peux ajouter infos.

Etalage de l’image et cancans. tu vois que nous sommes d’accord sur certains points importants tu ne l’avais pas et moi non plus !

§.206.

Cancans, contrôle social, avoir une vision d’ensemble, rapproche les classes, brise les tabous que les gens ne sont acunement différent.

§.207.

Devoir ne pas perdre de vue son devoir et sa continuité.

C’est ne pouvoir jouir.

Essayer de jouir de tout ce qui est en train de bouger.

C’est ne pas perdre de vu l’objectif en train, tout ce temps entrain, à mesure de votre compétence se modifier.

Mais cela converti en élément de percée, progrès dans le reflexion, savoir faire, santé.

Savoir, avoir trouver une motivation, une continuité, un but à la jouissance.

Une manière de l’-          – en –           – autant qu’être la fonalité et non en conséquence fortuite à l’inverse de celle qu’on construit, qui laisse des traces pour s’exporter, construit des repères plus notion d’intégralité.

§.208.

Je te fais la démonstration que je voulais te sauver.

Mais pas en mêm temps sinon je vais avoir moi même à me vautrer.

§.209.

Petit à petit le mot qu’on a appris revêt tout le sens de ce qui le représente.

De l’inconnu l’intrus devient symbole, essence même de ce qu’ils véhiculent, définissent, apprennent.

§.210.

Symbole gestuel.

Je crois que c’est une aggressive.

Tu crois  – – –

Je fais comme si  – – –

Tu fais comme  – – –

Alors que la parure ne pouvait être tout autre que ce qu’on veut l’en obliger.

§.211.

Tous geste qui porte en lui le problème est et comment, à tous moments, dans toute disposition.

§.212.

Le but ne peut-être de régler le problème puiqu’est déjà en soi, la solution.

Le but est d’enchaîner le mouvement sans transition, superflu, perte ou variation inutile.

Le but est dans l’énergie et sa conservation.

§.213.

La vanité des choses, évènement ou gens à penser que c’est à eux que l’on doit s’arrêter.

Provocation.

§.214.

Le problème de l’homme du passé.

Aussi présent dans les esprits revanchards que dans les habitudes fâcheuses qu’on a su remplaçer.

Marcher !

§.215.

La superstition.

LA solitude au monde.

Les seuls signes apportant des nouvelles ou éléments sur lequel se reposer pour prévenir ce qui arrivera.

La superstition et les endroits où les journaux n’arrivent pas.

§.216.

Je pense qu’elle n’avait pas le droit de vouloir me toucher, je pensais tout savoir de moi, et c’était plutôt vrai.

Elle essayait de me dire des choses que je savais déjà.

Mais sa tendresse était peut-être plus qu’un conseil mais un aveu. Le geste qui avait scelé le secret qu’il y avai entre elle et moi..

Sa façon à elle, dire que je ne tolerais que c’était cela que je ne comprenais pas.

§.217.

Elle – – et moi-même découvrait par mes mouvements implulsion combien de mouvement c’était à lle que j’avais pensé, dassé, ou but des gémissements.

Ou souffle, ou mouvement, d’apaisement délivré.

§.218.

La discussion sans quelque hose de construit sans action ua delà de la réflexion ou avoir déjà, en commun en ouvement en projet ne fait et ne peut véhiculer que des clichés.

La consomation des activités d’entrées, les gens se conformant dans la médiocrité.

Fade et le monde n’est-ce pas de ça que l’n veut se convaincre et ainsi n’enpeut plus n’en espérer, dégager.

§.219.

Je voulais cacher que j’écrivais, ais était constamment en train de courir la nouvelle hrase que je pouvais esquisser, même le cafard qui vivait avec moi devait s’en douter.

§.220.

La violence c’est la force qu’il avait fallu pour m’enlever cette tumeur mais je n’ai su conduire ou laisser aller jusque là.

§.221.

Cow – cow.

Le cri d’un bébé qui sourit. comme prenant conaissance de celle à laquelle ilfait faire est sa propre connerie.

§.222.

Ce petit de nos rencontes, chacun l’ayant jusqu’à notre fin du temps, le portant en soi.

§.223.

Bible mâle et femelle.

Brouillon et chef d’oeuvre dit-on devoir se prendre, une vôtre.

Le réflexion dont-on doit tiré une action. images d’une même chose. Mais seule ces deux rêvais pouvoir espérer la procréation.

§.224.

Sa Sbielberg et le clown dont j’avais peur.

Ce clown se montrant inofensif et râleur et se révèlait croque mitaine selon qu’on touche sa corde sensible ou bien que sa corde déjà touché il soit obligé d’être gentil avant que le nuit et lescompte à rendre puissent tomber.

Parce que bien des fois nous sommes cruel et pas en capacité de nettement ni le remarquer ni à l’autre le signifierlui fait prendre conscienc vraiment de ce fait.

Il est conscient de ce qu’il fait simplement il pense que cela ne fait pas de mal.

Il n’existe aucune fortune si l’on veut bien la prendre au trente huitièmedegré. de l’idéal (dans le sens rélisable) et réalisé que l’humanité nous apprends à nous déssensibiiser.

Transition de l’époque. Les conséquences d’une époque qui se prolonge dans un présent capable d’en changer.

L’impression de cruauté alors que temps d’adaptation et aux conséquences auxquelles on n’avait pas passé et rajouté auxquelles on ne sait encore réellement remédier.

Le bordel.

C’est là qu’il est.

§.225.

Le fait fractionnement des autres sur moi ou sur des tiers. S’apprenait à le comprendre, redéballer son système, utiliser, perfectionner sa compréhension et utilisation.

§.226.

Aussi désespéré, ou impertinant qu’il me fallait trouver une solution.

Et pour ce faire motiver instinctivement ce don il fallait ne pas s’arrêterde s’intérroger et roder autour du problème.

§.227.

Au temps les plus reculés, il y en avait déjà qui avait pour objectif d’explorer les satellites de pluton ?

( Une tellurique supposé d’adoption et d’orbite inclinée, qui n’avait pas encore été découverte bien sur, était encore inconnue, tu m’a déjà écris des trucs moins cons tu sais ! Découverte de façon cathégorique en 1930 soupçonnée en 1915 et Par deux observations photographiques en 1919 son seul satellite connu Charon à été découvert le 22 / 06 / 1978. Quatre mois et quatre jours après ta naissance donc ! Toujours à l’aplomb du même point de Pluton compte tenu de sa vitesse de rotation et de sa distance, altitude d’orbite. [Quid 1986 Page 24 a] )

Et de là ou avec les éléments de la bas donnait par leur regard les fruits de ce que cela avait apporté de réflexion.

§.228.

Inspiration et reste sans approfondissement mais réinvestissement. Qui t’as « inspiré » le § ci-dessus 227 ! c’était pas le bon choix !

Inspiration, action, motivationjamais ne cessant = non plus un apprentissage mais est suivi de soi plus l’autre = création, aller plus loin que ce qu’on était et est !

§.229.

Une sensation de désarroi mais que je n’osais briser, comtemplante médusée. Cete puissance en moi et ne cessant d’onduler, de circuler tel un serpent l’aurait fait ainsi éveillant en moi (en réaction à ) des capacités « aimantes? » animations?  correction?

Que mon corps avait de s’adapter que pour la première fois ainsi à se mobiliser était appelé.

§.230.

Tellement con qu’elle ne comprenait que je l’aimais ( bien c’est vrai aussi qu’elle m’agaçait ).

§.231.

Je ne faisais pas attention car persuadée que les autres n’y faisaient pas attention non plus. Ne réfléchissait pas à moi se trouvant devant, proposant faisant devant eux.

Voilà en quoi rsidait mon manque de finesse ou discrétion.

§.232.

Ses sectarisses ( sectarismes mon amour ) comme disait les autes moi me réveillaient, dynamisaient , me remettaient à la pae qu’un rien de connerie et quelques maux me prendraient.

§.233.

Le groupe me faisait parler des sentiments un rôle que je me devais, avait comme pour charge de démythifier.

Non pas ces sentiments là je ne serais pas bouffer et ne boufferai pas la cible proposée. La seule cible était de profiter de cette pulion d’énergie pour la canaliser, utiliser maintenant ou après dans quelque chose de juste et concret.

Le devenir était que ces deux là produisent ce qu’ils savaient avoir de mieux à donner.

§.234.

– T’es sans, t’as un petit caractère.

– Oui situ veux moi je m’en fous que tu pense cela.

– Tu vois.

– Je me fous des jugements, faiblesses de l’esprit comme de l’expérience et intelligence.

§.235.

Les rayons du soleil et les angles quandjusqu’à moi ou vers ce que je vois (où peu où mon incognito, mon attention va ) ce solel et les voies qu’il décline.

Ils se raccrochaient à leur sentiment et jugemen petits mortels quenous sommes.

§.236.

L’analyse, s’était revivre me rendre compte desgestes que j’avais fait ou vu et que cela n’avait ou avait pu procurer.

§.237.

Chacun pour chacun véhicule d’idée. Les idées et les hommes se valant chacun étant une clef e la clef de quel point suffisait d’être, se trouver nez à nez simplment.

La quête comme individuel classique.

§.238.
Ce coté étouffant. La reine mère. Entre récompense et chatiment. Ce qu’elle représentait pour moi cette personne pendant que à part une seaine par rapport à chaque semaine en cours de gymnastique depuis trois ans déjà.

C’est qu’elle aurait pu porter connaître un à un tout mes secrets depuis cette période là déjà.

§.239.

Tabou.

On est objectif sexuel puiqu’énergétique aussi pour les enfants, se récrier est récrier le désir élan la communication.

Ou l’exciter avec habitude à s’être échoué.

§. 240.

Bien ou je fantasme sur les pédés.

Symbolisais par cette abrutie.

Tout le monde l’aura compris.

§.241.
Tout ses cris d’efforts faisaient partir ceux de douleur.

§.242.

Elle nous faisait réfléchir dans la même mesure qu’elle réfléchissait à nous.

§.243.
L’aspect animal, t réfléchit comme les deux deux forces qu’on peut ainsi déterminer, comme ce qui s’impulse de soi et ce qu’on peut impulser

Lun dépendant de l’autre pour faire comprendre à l’autre qui il est; et que la notion du si puisse ainsi se révéler.

Révélation. Deux mondes coexistants appartenant à la même unité.

Et capableaussi de s’observer, que l’un sur l’autre puisse s’appuyer.

§.244.

Aucune autre réalité que l’humain, alors classes de faites. contraste, comparaison expérimentation.

Maintenant, humanité, unité. Et au dela du ciel comme horizon.

Ou face à face avec intelligence artificielle et transportation

( La honte vous en voulez encore ? Transport ! Bougre de grands et gros cons ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ) ou voyage interne,  jusqu’où les réseaux nous amenant, à partir de quoi nous repartisons ( textuel repartions ! )

( Je ne sais pas où tu as été chercher cela c’est un recueil de conneries doublés d’un cumul de fautes de tout ordre, de Français,

Grammaire, conjugaison, syntaxe, etc ! )

Société évoluée ( Tu y as été admis (e) ?) dépend de la connaissance qu’elle a de sa prope composition et par conséquence celle à ce que équation d’éséquilibrer (ée) Nous fasses plus grand ! ( par erreur !)

§.245.

Quand je n’ai plus d’énergies, que je me suis déjà donné ! ( A laquelle tu fonctionne ? )

( Par pitié dis-moi que ton dernier prof de français est décédé et qu’il ne risque en aucun cas de te relire, le pauvre, avoir perdu tant de temps ou dis moi que ces écrit ne sont pas de toi ou que tu avais vidé toute tes bouteilles de bordeau ce jours là ! )

§.246.

J’écris à peu prés juste ce qu’il faut pour pouvoir (que) le sport et mes études soient à peine satisfaisant. ( Ouais, et modeste avec ça ! )

J’écris à peu près ce qu’il est indispensable d’exécuter pour faire en sorte que mes études, le sport et mes écrits soient, tous, justes limites !

Tu as eu ton DEUG d’anglais ! Tu peux te remettre au Français et il y a urgence !

ATTENTION : Mais si jamais un jour je mets la main sur cet enculé de tique de mort, il va s’en souvenir, je te le promet !

§.247.

Ce flou se situe entre ce qu’on à trop dit ou pas assez.

§.248.

Le moteur de toutes les responsabilités que l’on prend. La responsabilité de ceux qui ont un but capable de prendre forme, les autres amenant.

Jusqu’en un point où le but des autresse discernera mieux qu’avant.

§.249.

On voit ses erreurs et lon modifie ses défauts en combattant. Et quand on ne surveille pas on explore pas le territoire alors illusoirement depart son éveil on rempli son ventre autant que ruiner ses réserves.

§.250.

Mon combat savoir que je ne sais rien mais que que c’est quand même sur l’élan vers le savoir que tout se tient. La vérité du tout comme façon de posséder le moi.

Le tout est ce que je déiens.

§.251.

Le conflit intérieur c’est ce qu’on était pas près à défendre ou à entendre. Comme il fallait que les questions viennent de celui qui les posent pour que la réponse se retienne.

§.252.

Les dangers et l’hypnose de la menace.

§.253.

Donner aux gens mon savoir c’était provoquer ma pensée.

§.254.

La violence est de se senir devoir changer ses senstions, sentiments ou transert d’énergie ou forçage, bourrage de crâne, obligation.

§.255.

Le choix de l’éventailde cause et résultat.

Mais quand on sait ce que de notre situation particuliaire que dégage alors de cela lui- même se fait le choix.

Je ne peux redire que ce que la vie m’a apprise.

§.256.

Frustration d’un couple:

1) Sur le pointde partir l’autre.

2) J’ai envie de toi !

3) Oui ben ce era pour une autre fois.

[ Si toutes »-« fois il y a une autre fois ! ]

§.257.

Tel la neige tombant lorsque m’était frotté le crâne mes pellicules se –                 – et se mettent à voleter.

§.258

Mais bien émotive qu’elle me plaît et peut-être aussi parce que sa trop grande loyauté permet à ma rigueur de découvrir que justement cela ne me rend pas mauvais de devoir la porter.

§.259.

Ma rigueur et ce qu’elle a propulsé.

Tant que je ne fais de ma à personne. Car un sentiment, une qualité ne s’oblige pas, chacun l’ayant déjà et devant trouver de lui-même comment l’appliquer.

Sinon incapacité et débordement.

§.260.
Tabou sexuel car hygiène.

§.261.

Hétéro plus séparation des sexes. = Pouvoir se séparer sans trop risquer de s’épprendre de la personne et briser les règles sociales du mariage.

§.262.

On voyait de quoi maints de ses instincts car l’instinct représentait toutes les situations où l’on pouvait se trouver qu’il entourait sa tête de ses bras protégeant et musclé (surprise de l’enfant ) comme on a dépassé tout des situation ainsi vécu par les grands.

§;.263.

on savait d’ou venait cette conscience dscipliné à être pysiquement prêt à calbomber, enfin autant que sa vie le lui permettait.

§.264.

Allez plus loin c’est savoir ce sur quoi l’autre avait raison comme pour faire que fasse des etits sa raison à soi.

§.265.

On ne voit que ce que l’on croit.

et ce à quoi on ne croit pas est soit un désir d’érradication sélection d’une réalité aussi entière que tout autre on soi, une pré-admission à ce qu’on sait être parfaitement capable d’exister.

§.266.
Tee-shirts ! Perdus dans le paradis.

§.267.

Le changement du monde.

A chaque fois que dans les profondeurs nous nous enfonçons ( de l’espace ou dans le fond même de ce qui est là et que nous étudions :

L’infinité.

L’accomplissement à chaque fois que quelque chose à pour nous une signification et cela se perpétuant cr ne cesse notre collecte d’élément.

§.268.

Harmonie = compréhnsion que l’on peut systématiser. Monde enchevêtrement  = de systême.

Harmonie permanente = mouvement constant et vital que cette recherche puisse être faite et les plus mondes, systèmes alors doivent nécessairement raccordés.

§.269.

L’univers doit avoir un nombre exactement de dimension que l’on peut découvrir. Pareil égale aux différentes position que l’on peut à un moment situation penser.

Avenir, présent, passé, à son bras, ses mains son ongle pas limé, à la bouffe, au pétrole, au tableau qu’on en aurait fait; A une direction angle subit de sur quoi elle va ou supposera qu’elle ira se buter.

§.270.

Je ne mettais plus les maillots de corps de mon grand père encore sentant sa raison, par les plus importantes batailles, mais la petite dizaine servirait tout au long de ma vie à m’accompagner dans les manifestationde ce que j’vais d’ors et déjà mérité et gagné.(Les deux étant synonymes ) en tout cas si multiplicité encore une fois pas simutualité qu’importe.

§.271.

Obsédé par son sexe et toutes les particules de son corps.

Crier encore et encore.

§.272.

Les infos.

Chaque jour je suis les conflits.

Attendat suicide. Geuerre de civilsationde profit. jusqu’au jour ou je refoule des larmes à l’annonce du désarroi de l’un de mes frères.

Les infos – Les infos.

Quel monde ? Où je suis ? Select doc DANY

Disque select doc DANY remis à jour et entièrement vérifié ce jour Lundi 7 Août 2006. Conforme à l’original ordinateur.

Je t’aime toujours autant tu sais mon minou d’amour. TON Dany bien sûr.

§.273.

Le raccord semi-consultant, car multiples problèmes pas résolu en profondeur.

Si dans un interne au groupe et donc le, les groupes.

L’expérimentation. Possibilité et le non contrôle des choses à l’élaboration. entre cherche toujours à trouver la part enfonsée qu’on ne connaît pas La part sacrificielle. Ce qu’on contraint de ne comprendre pas.

§.274.

Le monde des esprits ou psychose et le mouvement de nos sensations et réflexion qui se décompose devant soi, c’est la compréhension dans un différent décryptable.

Rien ni plus ni moins que la mort et caetera.

Même en ne traaillant plus sur l’objet mais l’objet devient ce qui nous hypothèque nous sépare de l’autre. Et l’énergie qui fait que deux n’est en fait qu’un à partir de ce mouvement là.

Phylosophie = ( Tibétaine ?) Produire des contre arguments sans prodire ou se servir encore d’autres arguments que ceux qu’on contredira.

§.275.

D’yeux – Rien.

I  – Yeu.

§.276.

Le conflit d’objectif comme celui qui s’applique à tous avec les moyens restreint. But restreint conflit et l’entraînement de qui servant celui-là va y parvnir le plus ou le moins. Méditation.

§.277.

Le sujet neutre n’appartient pas à un groupe, n’étant pas répertorié.

Aussi capable d’assembler que prit comme celui où ses propres fantasmes vont pouvoir se former comme une attetation à ce qu’on ressent des dangers ou de celui qu’ils seront écartés soit et puisse être représenté.

§.278.

Regarder un espace 1/3 puisque lui n’est pa sur moi attentionné plus une fois cette espace partagé pouvoir alors vivre l’inter-face, se regarder.

§.279.

Toutes des  –  –  –  – !

Certes je suis une femme et avoir aussi l’avantage de les supporter aussi.

§.280.

Juger les gens c’est se faire une idée fausse d’un plan qu’on ne connaît pas ( Juger l’histoire ) Faute de prendre position sur les choses devant soi et se rendre compte d’ailleurs quitte problème et dilemne dépassé l’idée qu’on en a.

Les problèmes extéieur révélant les problèmes qu’on a en soi.

se raccrocher en jugement pour condamner ce qu’on sait en même temps  que s’interdire à aller au devant de ce qu’on ne sait pas.

§.281.

La barricade comme la discrimination naît de la peur des épidémies, de la pénurie.La barricade du jugment et celle de se croure démuni.

§.282.

Il fallait à tout prix sauver sa vie puisque c’est lui qui portait le spectre en maître du commendement ou lui qui savait lire, compter et commercer.

Soit parce qu’il portait le trésor de tous soi dans une société ou qu’à peu on pouvait le transmettre soi que ses capacités s’accordait à la densée du moment.

§.283.

Incompréhension. je ne comprend pas ce qui se passe mais je fais semblant que si aggressivité, se diminuer

cette impression de ne pas se sentir, pouvoir analiser, avoir un repère dans l’espace qu’on a occupé.

Peut-être de légèreté car son esprit sans devoir le connecter à un but précis qu’on doit couvrir | on se donne à étudier un esprit en train de –         – ?

§.284.

Quel est la technique la combine que je vais trouver pour me rappeler de cela peut commun avec ce dont je ne me rappelle pas.

§.285

la misère et la colaboration passive.

On ne peut pas dire que ne pas dire non c’est dire oui , mais la misère n’a d’égale que nos esprits d’ignorants.

§.286.

La douleur par le dévelppement = trouver être tourmenter avant d’assembler d’étranger éléments.

La jouissance quand il forme un tout, être tout ce qu’on à regroupé et de ce poimt repartir à la logique d’assemblement.

§.287.

La psyché, ce psyché est la hauteur de ce que l’on sait, perçoit des jouissances et des douleurs du monde dont on est au courant.

= La pensée ne peut se passer d’être sans essayer et à long terme parvenir à résoudre la douleur, la conscience interne à la psyché l’y ogligeant;

§.288.

Question.

}        existencielle, exponencielle.

Réponse.

La réponse de l’autre est dans ce qu’on peut pacifier de la commune sphère, de l’élément qui entre nous s’est salué

§.289.

J’écris car je pense que la lecture entre au dedans procure le même état exaltation et structure l’action ou la réfléxion future.

§.290.

Des gensqui ont fait des gestes pour moi dont l’image revenait fréquemment image que j’ai béni tout au long de ma vie.

§.291.

Hétéro assise de l’autorité puisqu’on doit refouler les sentiments logique, légitimés

§.292.

Je n’étais bien que dans les différents labos où je savais que ma plus dense possibilité à travailler se trouvais.

§.293.

Être fort. Savoir que rien ne doit séparer les éléments.

La philosophie boudhiste est paciliste parce que réaliser ce tour de passe passe et ce qu’il y a de plus violent.

Concentration libérationréussir son fruit est de !

§.294.

Bi face.

Traîtrise ou englober.

§.295.

La réécriture toujours des différences on écrit sur la compréhension de ce qu’on croyait.

L’écriture et ses sonorités, le rythme et ce que l’absorbtion de la connaisssance a à ce moment là donné à penser.

Le même théatre évidement pouvant inspirer –    – choses et réalisation différentes en fonction de quelque chose et comment l’on va l’ assimiler.

§.296.

On donne ce qu’on croit pouvoir donner notre fonction, expérience

Ce que nous a permis d’être la société et les mêmes mondes traversés.

§.297.

Comprnedre pourquoi quelqu’un avait tord c’est ne contrer l’élément que lui n’avait pas.

§.298.

La symbolique gestuelle.

Empruntés à toutes les communauté, les personnes.

Communauté hommes et femmes même masturbation, mais différentes formes.

Séparation des sexes.

Doit être collé à son époux (se) pour avoir accès à ces mécanismes.

Là. Ommettre hétérosexualté.

A la diférence de quand on peut être copain, être en contact de l’un comme de l’autre et s’élever comme ça.

§.299.
Hétéro! Parkage du sexe, du patrimoine, comme ségrégation culturelle et développement du potentiel.

§.300.

C’est la hors complétivité qui permet à l’individu de produire ce qu’il est puisqu’à l’abrit des critères standard imposés.

 

§.301

Je sais que tout peut m’abandonner et l’autre seconduirait que d’une manière spéciale je prendrais sa considération ou réprimandes.

§.302.

Il se comporte ainsi car l’un et l’autre de ses cotés ne s’est pas découvert. Et découvrir cela par l’esprit va être surprenant, déstabilisation dans les premiers composants.

Puisque la faculté humaine et de pouvoir s’observer après que justements un nouvel élément prenne place.

§.304.

Dialogue.

La logique.

}                                              DU JOUR.

La science.

§.305.

L’exitation que provoquesi l’autre ne nous pense pas réceptif en tout occasion en train de porter le débat.

( Tu vas voir si je m’occupe de ton cas mon vieux.)

§.306.

Il se croit refusé ce qu’il ne sait pas c’est qu’accepter ses conditions on devrait lui rentrer ni plus ni moins dedans.

Titiller = lever, ne pas s’y méprendre c’est ainsi qu’on joue souvent la garde l’ignorant plutôt que laisser se déchaîner son instinct de pointeur ( Mais dommage pour celui qui n’en a pas bénéficié.

Ah ! Ce que l’on a su saisir ou transformer.

§.307.

Ecrire sur les ressources de réalité, de certitudes par lesquelles on s’est vu investir.

§.308.

Vouloir culpabiliser, rendre comptable quelqu’un de la psychique ou de l’ordre, de ce qui se passe et avoir traîner dans le monde organisé. C’est en même temps se vouloir persécuter, en fait le partage du péché.

Jusqu’à temps qu’on comprenne que le tout est par le temps passé et vouloir accuser c’est être l’origine et l’object de son malheur.

§.309.

Malheur. action désespéré et inconsidéré.

Le propre du petit c’est de penser les autres petits

§.310.

Mes correspondances, la correspondance automatique qui entretienne mon esprit et celui de n’importe qui ( y compris bébé d’un ami )

§.311.

Elle mangeait que des choses exactement bonne pour sa santé, Bien sûr qu’elle sentait bon.

§.312.

La surprise c’est de voir un undividu et ne savoir ce qu’il nous a réellement inspiré, ne pas savoir le transférer redonner, rester entre deux eaux.

Fasciner. C’est développer, observer l’autre dans ce qu’on avait jamais.

§.313.

Tenir le partenaire, ne pas qu’il bouge. Puisque l’on sait qu’il nous arrive de donner des gros coups, met d’énergie, qu’avec ceux-là on les a touché mais qu’il y était préparé que cela ne marque pas la jouissance, la jouissance est le propre effet, effort. mais on le touche de plein fouet et sait que le Mouvement devrait être synonyme de tranquilité.

§.314.

On renforce abusivement notre coté dirigiste parce que saisi de la monture comment notre être ne peut-être d’autres choix que d’ête transporté par les vents. Le dirigisme le temps de lentement se rendre compte que le meilleuret sur chemin est celuioù on s’apprend.

§.315.

1 – Histoire de rigoler / Dérision.

2 – Réponse sérieuse.

3 – Réplique sérieuse permettant d’en rajouter.

( On ne retrouvera pas dans les détails )

§.316.

Seule avenir, mon hypothèque comme fin d’arrangée de ma réalité, vérité, de tout ce que j’ai découvert du monde ou avoir pensé comment un monde va se terminer.

D’ailleurs on ne peut penser un bloc ou un vide pourtant, puisque là ou il n’y a de plein c’est qu’il y a du vide. Et se remélengera.

Notre rapport à la misère est le même.

§.317.

Il faut la combattre on y est tous affairé.

Mais on est sur une de ses manifestations et on tourne le dos pour voir qu’un autre est en train de nous dévorer.

Et ce savoir du temps, la vie est à accepter notre inconditionnel devoir à progresser bien que tous chemins pris par d’une fin sera remarqué.

§.318.

Rigidité musculaire.

Être, avoir cassé si le coup est mal accusé non rigidité.

motivement.

Contraction –        – replacer ou déboîter, mon squelette, dépendant.

§.319.

Chacun de mes pas étaient mes enfants, mes pas de romance ou d’avant ou quoi.

Mais je partais comme auant d’essaie et à chaque fois réussir la tentative d’essayer.

§.320.

La force n’est qu’une capacité à soi-même se centrer sur soi en tant que groupe.

§.321.

Ses phrases sur les murs jamais regroupé les demandes de fonction, d’expressions.

Acide.

Personne ne pouvant se diriger roule en teste et il est beau ce monde, moi je dis.

§.322.

Personne qui soit capable d’assumer l’éducation d’un autre, la société doit former ses agents et ses citoyens.

L’homme travaille sans contrainte à partir du moment où il se trouve dans son filon, la dynamique de sa pensée aux dynamique extérieures associées.

L’homme d’ors et déjà matrice de courant d’énergir toute action, réflexion une manière de le décrypter. La comunication de l’esprit et la matière.

Le monde et sa pensée.

§.323.

Le bien de l’apprentissage ou du projet commun par exemple : enfant, couple.

Moteur affectif.

Bavardage control social.

§.324.

Conversation de bar, picoler pour s’y intérresser.

Chercher des histoires.

§.325.

Je sentais que je mangeais encore trop mais je n’arrivais pas à comprendre que ma portion pouvait-être divisé par trois.

Il fallut avant que je me rende compte que trop d’énergie inutile , parasite se dégageait de moi.

§.326.

Loi heureuse que on ne peut se développer soi sans développer l’autre.

Se développer vers l’autre.

Et développer l’autre on doit se développer soi.

§.327.

Le climat et la santé.

La nature et la liberté.

La culture et les préserver.

§.328.

L’homme dépend de l’homme si par lui-même ou ce qu’il engendre parvient à ne pas se faire bouffer.

Et correctement s’alimenter !

§.329.

Elle fut ma dernière passion.

Lorsque je décidais que plus rien ne pourraitplus m’ébranler me coucher et fus assez forte, expérimenter pour se faire.

§.330.

N’avoir d’importance que ma figure s’étant équilibrée en nous.

Voilà ce qu’on a réussit.

Et savoir convié et traiter les éléments.

exitation de la réflection et le repos réparateur, préparateur de trouver s’avouer dans une dynamique devant se préparer, retrouver des marques, soi-même se réaclimater à ce qui a changer.

Bouleversement recherché, remise en ordre par rapport à l’absolu et réalité.

§.331.

Supression  de réflexion.

Prise telle une fatigue, incapacité ou innérante à l’inaction.Qui suis-je pour m’arrêter de vouloir continuer.

ou penser qu’il y a iren, quelque chose d’essentiel à ce que je pourrais en comprendre.

§.332.

La torture de l’esprit, erpars à l’existenciel, puisque être pensant par cela doit exister.

Exister – Progresser.

Penser, préparer le progrès.

Sensation de bien être dépend de lui.

Sensation de bienêtre à le réaliser, pour la conscience de son importance et de celle à le pourchasser.

§.333.

La pensée du monde sa réflexon qui ne fut jamais une histoire d’éducation ou de richesse.

§.334.

Le pensée d monde et le progrès ces capacités de l’homme à se découvir (progrès fu et est la compétence que l’on détient.

§.335.

Posséder son sexe comme le doner le pire ou le meilleur à la foisdes dons de ce qui ce pouvait être donné.

Les rapports se détendent une fois qu’on a ompris cela.

Comme d’habitude mon minou dès que tu reparle sexualité tu te remets à déconner, où va tu chercher des informations aussi connes que les tiennnent.

 

§.336.

A partir du moment où l’éducation générale de temps est prise en charge par tous. c’est le pointde départ de la liberté individuelle à la liberté commune indéflectiblement assoçiée.

§.337.

Le monde les raisons de ses portes et comment l’on les draînes ( Nous les draînons ! décidément mon miaou tu y tiens à tes conneries ) Pose, exploite, étudie, utilise.

(Tu te souviens ou je te raffraîchis la mémoire? Quand c’est gros, c’est noir, c’est souligné, cela veut toujours dire grosse conne)

Les problèmes ont une raison et doivent s’exprimer. –   -, s’étendre, afin de les trouver le pécher ( péché ) comme manière d’étudier

§.338.

Et tant qu’un problème n’est pas régler c’est que inclure ceux qui combattant contre ( se battant comme ceux visiblement en train de l’utiliser ) et en fait en le perpétuant. Si problème n’est pas régler c’est que personne retrouver comment l’arrêter.

Ex : Si je casse la gueule à un  F.N. je suis –         – ? !

Ex : Ne pas savoir ce qui se passe ne pouvant à être F.N. et discuter d’une et qu’on ne connaît pas ( ou qu’on reproduit ou dont on ne comprend pas quels problèmes nous engluent dans cela. )

( education pour tous et et pour tous .)

Le seul moyen d’ illisible la peur légitime d’être exclue aucunement à exclure soi-même.

§.339.

Mariage de choix et véhiculation des idées, concepts. Ne pouvait pas se faire avant d’arriver à notre point où on peut concevoir une propagation des idées sur le monde entier maintenant que pour cela nous sommes en assez grand nombre. Procréation et mariage automatisé.

La représentation sociale.

Mon couple venant de la valeur car dedans  (je sors ma femme, attribut.) c’est français cette composition de phase tu as voulu exprimer quelle idée?

Couple en dehors du coté mondain tend à s’éffondrer selon qu’il n’a pas d’activités en commun. = chose à construire dont on peut parler avec intérêt.

§.340.

Mariage forcé comme mondanité ( activités ayant ce but )

Voile l’absence de recherche pouvant nous structurer mais avant que s’améliore cette façon de se structurer.

341.

Il avait besoin de lire mais ça première n’y pensait pas ou n’y croyait pas, ou au lieu de cela il mangeait trop prétexant aide inconscent de ne pas, ou a platrer son ventre avant de boire plus de café, détruisant son coeur mais plus manger étant ne l’avouer, l’apprendre.

§.342.

Elle me faisait des problèmes. Je représenterais le nom, le papa et il y avait des plaies qui ne se refermait pas.

Enfin peu à peu, et patiemment quand on sait ce qu’il en est on rage seulement de n’être pas mort calmant.

La mort était l’unique avenir, mon hypothèque.

§.343.

Un passage sur l’irak developpant les idées des droits de l’homme mais illisible et à ne pas pouvoir recopier et développer .

A reprendre par Caroline.

Un coup de poing sur la table pour le réveiller une fois cela fait inutile de continuer. Ce seul but auquel je pouvais prétendre était fait.

§.344.

Tous gestes est fait à cet effet.

La construction de cela comme étant la seule chose qui finallement puisse nous toucher.

Savoir que rien n’est pour bous en dehors de cette stabilité psychique.

Que voilà ce qu’en un point le monde est pour tous.

Et peur se rapporter.

§.345.

Acte – Mouvement.

Se recharger en émotion que l’on va avoir à draîner. Esprit occupé.

Projet évolutif.

Réguler m’émotion pour le plus possible dans l’action / réflectionse vouer.

2motion. reconstitution de soi.

Aprés – Elaboration.

Action dans le cadre d’une action évoluant.

Travail du soi, sur la matière qu’on produit içi-bas.

§.346.

Mais les F.N. n’ont rien dans la tête, perpétue cela par l’amour de la haine.

Ou ne pas se fatiguer à penser au tréfond des problèmes. Ils sont trop cons toutes ces boites de gens, simplement.

§.347;

Conscience de soi.

Et come effarement, pause,transition ce constant changement de poids ou changement de soi dans sa maniabilité.

§.348.
Chaque mouvement est un mouvement ou se boutant à des limites ( Ne pas tenir, connaître compte, des forces en train de circuler.

Ou croire les délivrer à tord et ou aller comme oo ne s’en servir pas.

Chaque mouvementest a absorbé. Comme une recherche absolue et bientôt aboutira.

§.349.

On la voit maladroite mais c’est simplement qu’avant de la proposée quelquechose avant ce qu’elle va dire elle n’y peine pas.

La loi du –   –        – !

Accepter pour elle les comportements, apparition. Chacun restant seul.

Ou à ne plus s’inquièter, la psychique si la loi du bien être personnel et commune reviennent.

Maintenant que l’humanité de tout les coins peut s’observer.

La peine perdue est terminée.

§350.

Tout les gestes sont engagés afin de rassurer? assurer l’équilibre psychique.

Inconscient à nous, on n’y arrivait mais la résistance instinctive à la conscience à former une vérité et plus tramblante que jamais.

Consciemment, ce point d’équilibre hâtivement recherché.

§.351.

Combien de danger avaient-ils affronté, les pouilleux.

§.352.
Mariage forcé / marchant car la moitié bénéficiant d’un assemblant | Affection sans réflexion souveraine.

Emotion obligatoirement tradités mmême en cas de violence extérieure logique puisque portant le problème.

Exhortation de l’émotion car privé de créatif concret, agissant en réflexion sur le moi.

Pré-conditionnement à la réflexion sur la condition puisque le seul facteur de progrés expotentiel est là.

On ne pouvait pas de chez nous (enfermé dans le système tant que ne se dessinera pas la solution à tous au même rang de responsabilisation nous ramener.

§.353.

La progression par palier(inclue nécessairement de faire des choses que l’on ne sait pas indiqué) mais ordre des choses car chacun à besoin d’habitude qui reflètent non pas ce qu’on sait dire qui devrait mais de l’accoutumance = entrîne un instinct permanant vers elle qui s’est formée à cette idée.

D’ailleurs heureusement car la valeur de ce qu’on pense mieux adapté n’en a que parce que sa –          – car maché, assimilation nous révelle pourquoi est-ce mieux ainsi = nourrit la réflexion, et cette décorticaton est la condition à plus tard si retombant sur le même sysème alors faire un choix.

Opérer tout de suite au lieu de devoir attendre que se décompose les choses pour s’apercevoir que quelque chose ne va pas.

§.354.

Il me fallait quelqu’un qui me comprenne et soit satisfait qu’a mon esprit cherchait cequ’il l’avait titiller et ainsi devenait absent.

Puisque réfléchir n’était pas aller, laisser aller sa pensée mais à attaper un qu’elle que chose et s’évertuer à le chasser, rattraper.

§.355.

L’écriture était ce que j’écrivais dans le but d’expliquer ce qui me paraissait avoir souligner.

Mais l’écriture était également ce qu’il venait que j’en vint.

A écrire et ce qui ainsi m’expliquait ce que’était des éléments important, jusque là que je n,avais répliqué puisqu’on était demeurés que des érangetés isolément.

Emotions et angoisses. Fait-             – et inconnus quand on s’en réfère à eux et ne pense plus à passer aux choses extraordinaires que la réflexion propose d’en faire justement.

On stagne à quelue chose de pas forcément rassurant.

§.356.

Figures sexuelles et idées de souplesse, laïcité et stabilité musculaire higiène de vie, moteurs et repères.

Dans un an, j’aurais mon D.E.U.G. puisque pendant un an je vais toucher pour y arriver. Et que écrire mon livre et encore une nouvelle vie comme débouché.

§.357.

Le mouvement de soumission volontaire exige un suspens, un contournement des chemins en plus court différents entre ce qu’on était sur le point de réaliser, et la représentation d’un ordre préalable ( D’ors et déjà ayant prouvé sa défficience ) mai dans lequel on va se retrancher.

Donc soumission à cet oedre et à tout ce qui peut le représenter.

Echanger car nous met en position  d’avoir à forcer. L’inexplicable et les raisons cachées.

§.358.

La phrase qu’elle posait à tout le monde. Car la réponse L’inquiétait Oui la même phrase signifiant qu’elle était inquièteou prévenait cette inquiètude qui venait .

Un signal aux autres ou à elle-même.Un signal symbolique.

§.359.

La communication sexuelle voulant ni plus ni moins dire, de moi ou de toi chacun devant s’occuper du signal de l’entrée en matière.

§.360.

On doit toujours plus que ce qui à nous qu’avoir réussi ou échouer;

( Ta phrase Caro littéralement, je rectifie, même au troisième degré mon amour. C’est faux ! )

On doit toujours plus que ce que d’avoir réussi ou échoué.

§.361.

Externe, image.

Lié à la condition sexuelle. Obligation de ( caste ) oblige à la contrainte sans discussion assure cette obligation devant pauvreté de choix. Coercition générale.

Expression du non choix de formation.

§.362.

Fidelité et comprendre que chaque geste porte en lui un amou inné.

Assois son comportement.

certitude de fidélité et intimité à chaque être entre communication àvoir toujours le même être et pouvoir alors rejoindre tous les autres par l’application d’un comportement à l’aure par l’application d’un comportement à l’autre ( car comportement et but sans volonté d’imposer un position en particulier.

Le couple apprenant que chacune sont doué.

§.363.

xitation sexuelle et regrouppement, l’on veut se tendre vers le point le plus éloiné. Exitation, la limite qu’on ne parvient pas à repousser.

§.364.

Je ne dois ni étaler ni cacher mon savoir but d’en savoir plus et de faire réfléchir plus; sinon je deviens interdit de ceux qui –            -?

§.365.

J’ai perdu beaucoup d’idées à ne pas les remarquer, mon droit à écrire.

§.366.

La photographie brouillée, trafiquée, attire l’oeil pas le sujet à se damander , à décrypter à s’arrêter sur l’image représenté.

§.367.

Poche pantalon fragile pour commencer à mettre mes mains dans ces poches sans me reposer, sur les fils.

On réagit à quelque chose sans toucher ce que l’on croyait ou sentait comme étant touché.

carla douleur vient justement de penser un élément rentré en B, on insistait sur cela innocemment mais maintenant un déséquilibre.

Exemple : Mal de dos et équilibre, c’est la cruelle que cela va saigner. Car possible origin ou mis en relation avec un problème sans que même si majeur notre frustration est relié au dos en fait inconsciemment n’est être bon.

Cherche que l’on est traité de penser.

§.368.

T’as (tu as) quarante ans et ferais un peu de sport ne te poserais pas le problème d’être debout dans le R.E.R. pourvu que cela dure tant que c’est le quotidien que tu es seul.

§.369.

On ne peut affirmer aucune position aucun sujet car cela serait vrai. La question même avec le problème serait résolu. C’est à dire que tout ce que l’on peut dire dessus est nécessairement faux ou impomplet.

§.370.

Silence !

Performance de l’action et réflexion.

Recueillement.

§.371.

Je bravais son identité autant parce que je savais avoir des choses à lui apprendre, qu’il m’en avait apprise.

Je bravais car derrière moi l’inquiéude de ce qu’il n’accepte pas les fruits de mon expérience et que ce qu’il m’apprenait de la sienne me soit enlevée.

§.372.

Ensemble se connecter ou se déconnecter à une source qui est interpréter comme répussion / attraction par la subjectivité , ( mais fausse impression ) affolement ardc brisé dans le déployement energétique.

Par exemple pour que à toutes recherche en attendre travail mais chemin brouillé.

§.373.

Finasser et comment s’occuper de bots de chair à vif entre ses jambes.

§.374.

Mental. Ressntir le onde extérieur cette transposition intérieure. Utilisation d’énergie, inpiration.

Exemple se masser mentalement.

Ou masser l’autre .

§.375.

Accepter de l’incompétence un point car l’attention à un moment à tout intérêt à en expérimenter un autre.

§.376.

Acceptation invitation en un point à un moment permet d’être dans ce qu’on vise, continuer l’expérience handicap, utilisation  des gens forcés à ce quoi ils ne sont pas adaptés.

§.377.
Une phrase illisible.

§.378.

Pédophilie :  Il me semblait avoir depuis longtemps prévenu que je ne voulais plus entendre parler de cela où que ce soit Caroline ! Tu commence à devenir casse Bur  – — — !

Analyse, obsession de réaction de l’enfant affolé, ayant, développement des gestes de défense mais ne pouvant le contrer.

Analyse ( psychique –              -, thérapie, –                   – et encore et toujours illisible, tu écris encore et toujours comme une dégueulasse CARO ) Pour dédiadiaboliser, comprende. Que sévices ou phantasmes de sévices enfant n’étaient ps désirer.

Le psychisme pour expliquer son impuissanceà résister, au point de tenir psychiquement le fait de subir, la non capacité à stopper s’invente un désir pour justifier.

§.379.

Endroit totalement crispé et détente des autres parties du corps avant de le dévorer.

§.380.

Les chats s’étirent ausi le bout de patte ouvert.

§.381.

Le réfléchi élabore un –            – !

——————————————————–?

Lorsque l’élan des nouveaux éléments en train de se traiter est épuisé.

Le traité est épuisé. ( Le traité ? De paix ? Tout à fait d’accord !  )

Possibilité alors de jongler l’un sur l’autre, l’un ramenant les éléments à l’autre sans devoir pour autant perdre de sa concentrationcar si on suit l’un ou l’autre c’est à ses manifestations qu’on doit se jouer.

Expression corporative absorbant la lecture.

Ou réflexions absorbant l’intelligence dans l’espace, se mouvoir en toute sorte d’autres réflexions que celles qui ont cours au sens permettant de continuer à écrire.

§.382.

Afin qu’une action puisse se tenir sans prise d’impot sur celle là.

Réflexion.

Action :                     {                      } Sur lequel elle veut se reposer.

Mouvement.

Sinon réflexion uniquement implique (La tête dans ses bras sans bouger)

Ou capable animal à l’affût capable de n’importe quoi détecter.

§.383.

Tenir le coup c’est réagir à la hauteur de son attention ou réflexion sans la lacher.

Elle même était la modulation de fréquence assurant l’équilibre avec l’extéieur continué à chaque intérieur (qui n’en sont qu’un) mais peut apparaître s’observer de deux points de vue différenciés.

§.384.

Sports occupent les entrailles ainsi qu’qu’irrigue le corps et sa motivation d’ébulition, de transformation, d’exaltation.

§.385.

Symbolique de trop manger et problème de coeur.

§.386.

La peur de la nudité car du corps sans expression.

§.387.

Le temps de penser et celui où se mettre en place les idées. L’élément déclancheur, opportunités croyances et programme.

§.388.

Photocopies des premières feuilles sont celles qui rendent la culture.

Et ceux qui la détourneexpréssément en cette matière là.

Des robins des bois.

§.389.

Régimes de dictatures ?

Ces mondes obscures.

Je te ferais remarquer puisque tu aborde ce sujet que les U.S.A. par exemple, autant que l’Europe sont des mondes de dictatures pour certains autres pays dans la mesure ou faisant état de polices mondiales dans certaines façon de penser « la liberté » individuelle sont dictatoriaux dans un domaine sectariste, de ne pas envisager l’étude d’autres cultures que la leur et leurs façons de vivre ou voir la vie comme pouvant être agréée d’autres façon par d’autre peuple, c’est quelqu’un n’oublie pas qui a étudié le CORAN  qui te l’écrit. quels sont les comportements des Etats Unis actuellement en IRAK, et celui d’ISRAËL au LIBAN pour ne prendre que les deux exemples les plus flagrants du moment ou je te réponds, sinon ceux de dictateurs et des plus fourbes qui soient puisqu’ils impriment des dictatures sur des peuples étrangers.

La France a vécue la même chose, et c’est après résistances révoltées pour, avec des aides extérieures, qu’elle s’est délivrée du joug qu’elle subissait, c’était les années 1939 – 45.

Elle avait été parfaitement comprise, cette révolte, et acceptée, alors c’était la France.

Maintenant lorsque certains pays Arabes se révoltent, à juste titre, contre l’impérialisme Hébreu nous n’avons pas le doit de les condamner, ces terres il y a soixante ans étaient les leurs, ne l’oublions pas.

Il était facile pour la « S.D.N. », l’O.N.U. de distribuer des territoires qui ne lui appartenait pas !

Pas à la connaissance de comment vit notre voisin et les massacres et l’exploitation répendu sur toute la terre et qu’en fait on ne voit même pas de loin ou le mal est tapi.

Le secret bancaire.

Quelle dimplomatie.

Nous sommes en déffinitive bien d’accord, puisque de quoi vit à 90/100 ISRAËL ? :

De dons de gens de confession Hébraïque prévoyant un refuge possible en cas de nécessité.

Domage que certains pays Arabes, exception faite de l’IRAN, La SYRIE, la JORDANIE, et certains voisins immédiats, ne soit pas aussi solidaires à l’égard du LIBAN.

§.390.

On se cache puisque le monde tient à, je ne dis rien sans peine de me faire picquet mon morceau.

Dire les chose hautes, fortes , vraies et claires c’est savoir s’en tenir là où le mieux on vaut. (nous valons)

Avant tout tenir, et dans la limite du possible, nos promesses.  ton Dany

§.391.

La guerre de l’eau.

Le progrès sans partage nous amène à l’obligation de tuer son (notre) voisin pour son pain. ( Pin ? ……)

§.391.

La lueur est telle que dans la nuit son immeuble en face de mon appartement sans lumière à l’intérieur l’extérieur s’en éclaire. Vision de fin de –        – ???? illisible.

§.393.

Les –  – et puis tout le bordel.

§.394.

La dictature de l’être privé.

Une voix n’est pas plus un devoir dans une société où on vote (nous votons, et toujours les même erreurs de conjugaison et mise en forme)Pour une politique qui seulement gère le déplacement des biens dont l’extraction même creuse la tombe.

§.395.

La violence des sentiments ou l’infifféren ce n’a d’yeux que le réveil subit de ce que l’on avait perçu avant ou de ce que l’on ne comprend.

§.396.

Les fouilles nucléaires coupées de la racine.

§.397.

L’auto-destruction de tout groupesi permissivité aux êtres particuliersallant contre le groupe (et à – -) c’est à dire ne lui étant pas redonné.

§.398.

Le bout du monde, les mêmes retours.

L’horizon est le seul point qui se fixe en épargnant à l’oeil qu’il devienne sombre.

§.399.

J’ai eu des idées sur des images ; lorsque reviennent les mêmes images plus d’idée sur la question ou d’autres notions lorsque me reviennent mes idées. Autrement elles iront s’illustrer.

§.400.

Personne ne s’était occupé d’elle, il fallait qu’elle même se prenne.

§.401.

Vivre avec elle.

Cela était fait que ces hommes dans la journées où je m’étend, cuisine, nettoye, m’entend respirer, puisse être pour quelqu’un une récréation.

§.402.

Un moment qui puisse être autre –              – pour moi que /

[un mot qui me semble venu « d’ailleurs », inexistant en langue française : « L’irrepresible »] façon que ma solitude adapteafin de se parler.

§.403.

La jouissance est d’atteindre le but.

La jouissance renouvellée, filée, c’est de l’atteindre avec le minimum d’énergie. (Heureusement que cela n’engage que toi.)

Jouissance et parcimonie. (Tu vois que quand tu veux utiliser le français ……..)

§.404.

Se Repose t’on sur DIEU ou Diable. La matière est neutre et l’esprit, l’invisible qui lui permet de se défaire et refaire .

Diable étant celui qui défait arrimé du même merveilleux et but de celui qui refait. Ici Diable  et DIEU ne sont qu’une reproduction de tout ce que les religions en ont faite. De la seule logique sur laquelle la conscience humaine peut s’appuyer à vouloir que l’un ou l’autre puisse exister l’inconnue, l’incompris, l’impénétrable est sur cela que notre corps et esprit repose. La superstition substitue de la venue d’information. Constitution de repères.

§.405.

Emancipation populaire = possibilité d’assurer une fonction, ordre établi au sein duquel on peut se permettredes évolutions car assez bien ficelé pour que ses déplacements ne crée pas un total chamboulement.

§.406.

Ecrit comme une barre à un mot ou un trait à une figure. un mot une signification, changeant tout l’aspect et le fond d’une question.

§.407.

La recherche de sensation. Trop de bouffe, de dangers. toutes les quantités exagérées.

Pour piêtrement remplacés (remplacer) la sensation de la juste portion mais acquérissable que au travers un domaine que l’on peut découvrir et dans lequel on s’immergera toujours plus à fond.

§.408.

Stricte mesure et équilibre laissant de la place pour autre (vénérée) –         -.

§.409.

Le langage se fait mystique quand il parle d’harmonie ressentie forcément d’un point de vue intérieur dans une vue d’explicationà un individu extérieur.

Accord de subjectivité.

§.410.

Moi non plus je ne m’impressionne pas. Qui vois le contraire nous prend pour des bêtas. | Bien, superbe cette réflexion CARO ! |

§.411.

Education humaine. Besoin administratif.

Selon ce que l’organisation peut préconiser de recherche et distribution selon les progrès que peuvent mettre enplace à différente échelle de grandeur et quantité la société. Même principe émancipation des classes d’éducation  qualité = rapport produit qualité.

compréhension = respect de l’environnement. { Des environnements }

§.412.

Silence ou absolution profonde.

Cela par contre, c’est une idée stupide à mon point de vue, l’absolution peut être accordée dans ou par le SON, avec un S et non pas un C, pourtant cela le mériterait !

Le bruit ou à ce qui se passe à l’intérieur de soi.

§.413.

La rétention du savoirm’empêche de m’imspirer, de m’impreigner de lui et de me poser des questions (1° étape)sur sa véracité ou ce qu’il me faut approfondir de ses différents traits.

§.414.

Néanmoins quand elle m’agace trop je l’appèle sèchement le mulet. Heureux que tu ne m’ais jamais appelé ainsi j’apprend avec plaisir qu’il ya pire que moi.

§.415.

Etre absorbable (abondable, ou abordable) si l’on veut être par les autres enseigné,soigné, supporté, compris. (si tant est que le désir, l’envie, en soi ressentie !)

§.416.

Elle me possédait aussi bien quand je m’escrimait (je m’escrimais) en douceur et attention que lorsque me blotissait dans ses creux, comme recroquevillélégèrement (l’énergie concentré et s’explosant) je ruais dans elle. (Dis moi Caro lors de notre prochaine liaison  téléphonique que les photes (fautes) toi aussi tu les fais exprès ou que tu as recopiées, veaulongterremant, volontairement, les aigreurs d’autruis !)

§.417.

Illisible ! à revoir en correction.

§.418.

–        – et diversité d’activité dans la continuité de l’action.

§.419.

Séries. Collections.                  Conservation.

Continuité.

§.420.

Je n’ai besoin d’écrire qu’en drague, une femme pour sa tranquilité, profondeur et équilibre d’esprit. (Très très jolie cette pensée Caro je manque de superlatif)

Lesquelles se conbinant nous sommes attirés par un certain style de combinaison car trouve application directe à la sienne.

Mais comme tout sce qu’on écrit tout le monde se doute, on sait, (nous savons) intuitivement ceci.

§.421.

Pour briser la solitude ou bien n’ayant un temps pas assez de confiance et –                 – en l’avenir pour ne pas me laisser aller.

Comme après une semaine de sport, les étages paraissent n’êtres rien à monter contrairement aux semaines vides ou l’on va se fatiguer.

Je travaille 10 – 15 – 20 heures comme le fatigue lutte contre le me tenant compagnie, et le 2 eme jour après rentrait à la maison et dormait.

Ne rien faire d’autre que travailler, pas de ménage, pas de sport. A quoi servait de m’optimiser.

Eh, bien moi je regrette le temps ou je te les faisais ton ménage et ta vaisselle, c’était la seule façon tangible que tu me laisais de te dire : JE T’AIME.

§.422.

Une ouverture, dilatation des –                   –

(Tu as des textes bien écrits quelques parts parfois, nous croirions lire mes C.V. manuscrits de vrais torchons indécryptables si tu ne t’appele pas Champolion !)

Simultanément en règlement, interdisant tout accès à d’autres joues, désservies par d’autres ratures.

§.423.

Tenir une dçiscipline de strict, (tu n’aurais pas mieux aimer ceci : se tenir à une strite discipline, ou auto-discipline) –       – c’est savoir tirer de sa vie son plaisir de vivre sans être obligé de le fantasmer, (et non pas phantasmer.)doper. De ne pas y croire et voir le plaisir, la sensation de vie dans sa –         -. Car justement sans motivation constante élément essentielle à ce qu’elle puisse triompher.

§.424.

La réflexion et après l’essoufflement rien que de tenir. (Essouffler après controle petit Robert et à te souvenir les mot en souf prennent deux F.)

§.425.

Pouvoir penser à l’autre, rentrer dans sa peau c’est aussi connaître une interaction avec le monde (sentir une force active s’exercer tout en ayant un impénétrable rapport au monde. Emotion étant dans le fait de penser [s’être habitué] pour la personne, plus de place à l’émotion alors qu’on expérimente cela comme cela étant justement la manière qu’adopte cette personne à sa relation au monde.

Guidée par par la –                  – à l’être et absorbée par cela répend sur le monde –                – et totalement distancé.

Sens occupé à la mémoire du 1/3 et réflexion sur sa façond’absorber le monde.

§.426.

Quand je pense que cela faisait la bouffe, ripaille à certain, les réflexions que j’ai contracté.

§.427.

La circulation.

On doit d’abord débloquer ce qu’on ne croit bloqué pour que de bloc en bloc le mal puisse circuler jusqu’à ce que l’épicentre puisse commencer à évacuer.

Douleur = alarme.

Mais pas de raison, seulement effet.

§.428.

La réalisation de ce qui est inhabituel par l’apparence.

§.429.

Je ne comprenais tellement pas ce qui se passait en moi que j’en eût peur, me traitant de diable , cela allait, était plus simple, comme cela.

Et la force véritable, l’interrassable est de n’avoir cure de ce que l’autre ou même soi-même peut bien en penser car bien et mal existe car on les ressent tel une force à laquelle notre esprit donnera une appelation. Esprit confus entre force qui marche, qui échoue et dedans ces deux, celle qui paraît exterminer ou créer et qu’en est  -il pour nous hommes de ces actions.

Toujours est-il qu’on ne peut confondre force énergétique et moral (La morale ne dépendant de toutes les autres que de la qualité de notre société à pouvoir l’appliquer) de chacun. Et qu’avoir raison on est besoin de se servir, de draîner la nmorbidité (nous sommes ? Il aurait été préférable de mettre : Nous nous croyons dans le besoin de …..) (comme les instincts de destruction) [dixit, ceci explique et justifie cela] [celui qui vit dans la nature le sait. comme ceux qui paraissent moins en danger.

Ma perception que cela ensemble ou bien on a mal (nous avons mal,et ça continue ? ! et moi aussi ? !, CELA ; continue.] et simplement le poids moral, ( et non pas morale) lui aussi fantasmé, et ici la traduction de : Est-ce que c’est une force avec laquelle je suis à l’aise en sécurité ?

Même si elle peut-être considérablement, surprenante, force à laquelle je me suis préalablement habitué.

Le fait d’avoir droit sur la liberté des femmes, les hommes ainsi se « réappropriant » et des hommes, fils, vassals, (vassaux.)

{Je suis très proche, bien que de sexe masculin, d’être d’accord avec toi, mais je te fais remarquer que tu est en train de faire le même procès sexiste que tu reproche à la gent masculine des siècles passés et sans doute encore d’actualité dans certains milieux !}

Ce qi’il en avait égaré. (perdu le controle) de leur propre féminité et virilité.

§.430.

Je crèverais bien sans tes fers mon choux.

§.431.

La sensation au corps permet de se sentir accompagné et de partir seul sans « jamais » abandonner le chalenge qu’on suivait.

Là ! Transformation de notre compagnon.

Le loup solitaire infatiguable.

§.432.

Le magnétisme.

Faire du bien à l’autre si l’autre s’enrend compte (celui-ci peut avoir la réaction de s’enfuir ayant quelque chose dans les mains, la possibilité de faire du bien, dont il ne se croit pas capable. Cette capacité vient d’une liaison et à partir de làon peut agir de  n’importe quelle façon  étant relié l’énergie n’a plus qu’à circuler.

§.433.

Qu’est-ce que voulait, pouvait faire contre la richesse l’homme affaibli par faim, impossibilité d’hygiène et caetera.

Le riche portait dans sa condition la réalité que représentant de l’homme fort = en bonne santé, en bonne condition, représente l’espoir.

§.434.

La sensation personelle. conférer par le rapport intérieur / extérieur moteur de l’avant-gardisme.

§.435.

Se rapprocher de ses sensations (intérieur, introspection) = aller à l’encontre  de l’autre.

§.436.

La force mal maitrisée, la peur d’elle, de l’autre, de soi. On force = neutralité.

Peur = résultat incontrôlé. (Exact C’est la meilleure raison pour ne plus jamais se laisser faire faire ce que l’on ne VEUT pas de là à déduire que ce que tu me fais faire sur l’ordinateur ne me déplait pas il n’y a qu’un pas que je t’autorise à franchir.

§.437.

L’image de la maturité. En double veillant, ayant-                   – sur soi.

Veillant de l’enfant expérimentation du commandement base de toute avancée dans réflexion et toujours sans assurance préalable.

§.438.

Sauvage. Sans réflexion, possibilité d’organisationbarbare opprimant le mental.

Excision.

LE SENS VITAL.

Organisation anarchique et devant faire appel à la coercition.

§.439.

L’enfant.

L’adulte.

Et elle croyait pouvoir lui apprendre à dire au revoir.

Tout signe manifeste d’attachement à la mesure de ce qu’il n’a pas avalé encore de ses déchirements.

§.440.

L’affectif n’a pas d’autre problème qu’il démobilise les forces et aussi rend inapte à la défense on à fait bougerpompeur d’énergie.

Comme il a servit d’attention, d’occupation, substitut de ce à quoi on avait pas puformer l’esprit car l’affectif se concrétise et se partage dans la possibilité qu’il doit est énergie et ss multiplie, justifie, exemplifie. Emotionelletransformable en réflaxionnel actionnelle.

§.441.

Les conflits dans une équipe, et les personnalités de s’installer. La fiction de ne pas cristaliser. Ouverture sur les autres. Groupe ouvert.Elargir qualité et tension dans la perspective de pouvoir les exploiter.

§.442.

Mais moi aussi j’étais comme ça mais ce n’est pas grave en vrai.

§.443.

La vie apprend à ne plus être géné par l’adversité. Discerner. foncer.

§.444.

J’ai repéré une « femelle », on va arrêter de faire le con. Sérieux un entraînement de longue haleine. ( il serait temps !)

§.445.

Le roman de sa vie est le seul auquel on est accès et qui s’inscrit en quelqu’un pour tout jamais.

§.446.

La fragilité permet de s’utiliser avec délicatesse et le moins de problème possible. S’économiser, se rentabiliser, et chercher d’autres façon de procéder.

§.447.

La chose qu’on doit se permettre les uns aux autres c’est nos façons (apparemment affranchies et celles ne l’étant pas) de gérer nos tension. L’expressiondu combat et danse de vie.

§.448.

Elle se rangera et s’amendera comme les autres.

§.449.

Elle laissait la fragilité envahir son doigt, le tenait responsable alors qu’il n’était qu’un signal. Cett sensation qu’il faut arrêter . Mais à l’aide de tout le corps pour çà.

§.450.

Quand je me pose des questions est-ce que je vais prendre à nécessaire ou pas, c’est que généralement cela ne l’est.

Nécessaire = manger par automatisme. (Cerveau exalte la volonté d’autres activités, réflexion incluse.)

§.451. [Page 871.]

Ex étudiant étrangers enseignants dans leur langues au lieu de faire des cours dans la spécialité qu’ils sont venus étudier et en français. Mais cela impliquerait que l’étudiant soit passioné par ce qu’il transmet et le ferait progresser dans ses propres études , sensibiliserait, conformerait d’autres personnes à un sujet particuliers .

§.452.

La réflexion n’a pas de bout. ( De fin, d’extrémité, de limite.)

§.453.

Le cri d’attaque autrement perçu comme des cris de désespoirs.

un puit sans fond.

Mais des lumières à chaque fois que l’on arrive à un bout. (dépendant de nous)

§.454.

Epuiser sa réflexion à partir de peu et devant s’exercer au sauvetage, détaillage …….

Pour être alerte au fond du problème (pouvoir se rattacher, ou connaître d’ors et déjà l’immensité de chaque sujet) lorsque notre esprit à un évennementbeaucoup plus nouveau, mouvementé, chargé, inconnu pour lui il doit traiter.

Savoir que c’est la réflexion même qui ne peut-être concernée et que chaque situation dans l’analyse nous pouvons au moins son propre sang froid retrouver.

Ne plus prendre le « bon sens » à savoir que tout est digne d’analyse et de raison, de solution plutôt que de s’en émotionner et ainsi prendre possibilité optimum d’action sans sa propre ou contagieuse déperdition.

§.455.

Le monde se réduit à notre vue, faut-il accepter que c’est cette vue qui réduit ce qu’on pourraiten découvrir, enrencontrer.

§.456.

Regardez-moi quand je parle.

Regarder et en même temps écouter, manquerait plus que toucher.

§.457.

Nos moyens de communications actuels Se trouveront après connaissance de maîtrise des ondes psychuques humaineset animales (ce n’est pas pour demain; Mais qui « pouvait » savoir prévoir, ce que nous « sommes » devenus) aussi couillonnes que bien que de tout temps ont été connus (fautes de –                  – ) que le sang pourtant coulant à flot et ne laissant pas en cela un endroit dégouflé, le sang coulait. ( Si tu remarque bien l’histoire du monde cela n’a jamais manqué cette denrée là le sang. Il y a toujours eu plus de couple pour alimenter les guerres fratricides, et maintenant dans cetains pays les femmes trouvant qu’il n’y a pas assez d’infanticides sur la planète se mettent de plus en plus à vouloir nous servir de complément pour assassiner leurs enfants et ceux de leurs consoeurs ! Attention je deviens méchant dans la question suivante : – Quelles sont les couleurs du Drapeau de L’O.N.U. ? Eh ! Non, pas rouge sang, nous avons dû donc faire une erreur quelque part. )

Comme en matière de manipulation, de dextérité en communication nous nous reverrons attardés par rapport a certains débiles comme certains « autres les ont appelés. A chacun sa dextérité et communication aux éléments visibles ou pas visibles NON et possibilités de faire de l’énergie dans le coté visible.

 

§.458.

Fidelité. Ne plus se poser de question d’être ou non d’avoir ou pas à draguer. Etre vrai.

§.459.

Equilibre à l’enfance si tant il est qu’enfance = un toit.

Des parents à vie.

Affection de là au beau fixe.

§.460.

Les sensations que j’éprouvais aux choses étaient comme quand à un être ayant l’expérience émotionelle, affective, preuve de l’existence de communication.

Qui est se consume, se retranscrivais dans sa relation aux choses, aux concepts.

§.461.

L’art de se détacher de ce que je vais pouvoir bien écrire, se fier à ce que l’action future peut me mener, et l’écrit sera celui qui l’accompagne. Mais ni l’écriture, ni rien d’autrene doit restreindre ma vie. Le projet de continuer ce que je pouvais au futur seulement.

§.462.Trop de délicatesse à l’égard de ses mains qu’elle n’étaient pas relié à par exemple au –                   – impulsion nécessaire aux intestins.

§.463.

Ne pas forcer quoi que ce soit parce que l’image qu’attend, qu’est en position l’autre d’attendre et son futur soi.

§.464.

Ce qu’il a déjà de coincé en lui  (ce que en réagissant pas dans la recherche du geste naturel pouvant coincé davantage.

§.465.

Permission à la confiance en soi / Compréhension.

Car un geste naturel de l’autre est accepté en tant que tel et non remet en face de soi.

§.466.

La beauté que l’on irradie aussi pour soi. (Comme ton lumineux sourire, si tu savais comme il me manque ce précieux sourire que tu m’avais fait au sommet de notre sixième la première fois. !!!!)

§.467.

On ne peut pas ergretter ce que l’on fait puisque c’est de là que l’on est enseigné.

§.468.

J’appris que les solicitations, les brimades étaient faites pour faire perdre leur contenance aux gens. Les ripailles étaient venant du besoin chamaillables et d’autres plus graves évenements. D’avoir à analyser par l’esprit qui prend ce qu’il a sous la main.

§.469.

S’en référer En revenir toujours à soi ou à l’autre Même chose. Sans le contexte de crise en puissance de l’énergie ou poursuivre de réflexion (remarquer le coté hypothétique de l’association) ou il n’y a pas que le flux constant ininterrompu.

projetter de plus en plus loin en ligne droite qui s’apparente à de la libération.

§.470.

Ce que j’oubliais c’est bien que tout agité qu’il soit, il ne perdait pas un mot, un geste de ce qui se passait.

§.471.

Rien ne pouvait me toucher. Ma contenance était le seul repère que j’avais. Mes sensation (comme sensation) en essayant de les minimaliseren nombre afin de produire une réaction équilibrante de la plus longue des durées.

Si je n’avais que cela auquel me vouer, c’est aussi queme revaudra l’agitation je pus me rendre compte de ce que mon corps faisait.

§.473.

La tension de lâcher ce à quoi l’esprit se porte, tend. Lequel peut monter son action, transférer dans le monde semonce, sembler, observable.

Précision.

Capitaine flamme tu n’es pas.

§.474.

Comprendre que l’autre est comme soi et que son esprit équilibré s’il vous touche vous équilibrera.

Que si le votre l’es, aussi l’équilibrera ou ne se toucheront pas. Simultanéité, complicité.

§.475.

L’esprit à toutes les mesures et démarer chaque condition sinon question de –    – banales.

§.476.

Se rendre compte que ça passe vite tenir une organisation gagne du temps.

§.477.

Pièce comme chacun de ses acteurs mécanisme et moteur.

§.478.

Le Xième du bateau, c’est celui qui donne des ordres parce qu’ayant toujours et partout, obéit lui-même à la discipline en question.

§.479.

C’est celui qui peut régler des défauts car la souffrance des hommes vers un ailleurs il est en train de porter.

§.480.

L’expérience et l’apprentissage des situations et comment son énergie tout le temps ailleurs solicité et rappelée plus loin va t-elle pouvoir ricocher ?

§.481.

Je pouvais regarder dans les yeux n’importe qui Je savais porter la même énergie autant qu’avoir auparavant ce dont l’autre était chargé, et par ce que je savais que c’était aussi n’importe qui que j’étaisà avoir plus que chacun se considérerait comme le centre du monde ou sinon alors cette grandeur ne pouvant qu’imiter, reconnaître admirer.

§.482.

Hantise de la guerre si les américains libère bagdad d’une oppression dictatoriale pour après toucher en quoi que ce soit aux libertés économiques, politiques, culturelles et sociales du pays

§.483.

Elle faisait tout pour me toucher de sa colère.

Comme moi c’est les psychodrame qu’elle apprécie en fait.

§.484.

Une remarque. Incitation à observer (toi), analyse, incitation aux rendeùentscomme une sensation d’esprit,et de comportement. s’occuper de sa propre capacité à.

§.485.

On ne connaît personne, et pourtant où l’on est et a été.

§.486.

Pendant 5 ans papa aété malade, on ne s’en était pas vraiment rendu compte.

Même si tout le monde le savait, bien que personne n’en parlait devant eux. Car cela avait été maman qui avait porté Papi et tout le poids de sa maladie.

L’innocence était de ne pas savoir !

L’ignorance est de croire que l’on saît.

Il y pensait, tous les jours à son père, elle avait été une des personne les plus présentes alors évidement tous les jours il y avait une fois dans savoix retentissait celle de son père, mort depuis des années maintenant.

§.487.

Dieu et l’idéal social intéorisable pour le moment mais l’égide sans lequel on le met au courant.

§.488.

Le constant rapport aux temps et les objets que par apport à cela on va s’entraîner à viser.

§.489.

chercher optimum de la source d’énergie pour se rendre compte des réserves ou sa course et ses fins transformer. Etat des lieux de ce qu’il ya et nécessitérenouvellé d’innover, explorer, changer.

§.490.

La communication entre personne devenant juste à une autre à ce qu’est la vie (pas en soi repêchable,pas la peine de perdre son temps en attastation de fait) et un combat en son nom converti.

les courbettes qui ne sont que l’attestation qu’on en doutait et que pendant ce temps effectif le travail pour elle reculait.

§.491.

Les choses que je pensais importantes avaient déjà été écrites, l’avaient été on n’avait cru importantes à mes yeux ou résolvaient des problèmes que je me posais simplement comme un exercice de réflexion qui dans toute observation et assimilation de mécanisme peut se retrouver.

§.492.

Découverte de soi-même.

Inconnu sans –               -. Passage nécessaire.  –           – lisibilité de l’instant et construction, créationnécessairement sur bases constemment renouvelable.

§.493.

Lustrer chaussure avec vieille chaussette : danger. (Tu t’arrête encore aux stupidités d’idées préconcues, pourquoi ne pas se servir d’une vieille poche de pantalon coupée en guise de filtre à café, si le résultat est équivalent)

La réflexion c’est d’être debout son sac à ses pieds s’être dans ses pensées rangés, devoir car évennement arrive et son sac à oublié.

§.494.

Ecrire, sortir de ses habitudes, c’est pouvoir se poser des questions sur quoi repose ses automatisme (justifiable ou non allons même plus loin, justifiés.)

découpement des techniques et condition d’applications dapplication.

Différent recoupement emergence de ses liaisons.

§.495.

Tenir ma feuille pendant que j’écris et poser une main à plat, soulage repose. (les publicitaires Aéro non pas ce problème qui, sans cigarette nous font des ronds de fumées dans le ciel, l’espace.)

§.496.

Vitesse,dextérité dans l’action et servir ainsi que passant dans une vitrine son reflet. A la dérobée ainsi qu’un flash, en plein élan.

Tous les coups de –                  – qui n’ont pas marché.

§.497.

Rapport au groupe, différences de classes. Autant de contrôle social.  Âme, action individuelle car personne assez structuré pour y arriver comme possibilité d’organisation générale.

§.498.

La conscience de soi / activé et souci de performances plus longévité. Sentie son souffle nous souffler ou de nous nous quittter  ?

§.499.

–                  – des peuples car problème cession économique.

Avec eux pas de séparation mais échange culturel. Groupement autour des classes et conceptvisant à éradiquerdifférentes condition dénié.

= éducation.

= –              -.

 §.500.

La poésie, espérer que la vue d’une fleur, sa senteur ou au toucher pourra être en plus d’une source une annonce de bonheur.

§.501.

Rempli pour soi.

§.502.

Sacrifice comme symbole de la demande d’excuse. L’absolu, qu’on ne peut retrancher ou traduire.réhabilitation de la confiance. Symbolique des processus des génération passées.

§.503.

On enlève le pic à un clic qui controle se douleur et moi qui électriser par lui elle risque de vous mordre et celui qui restera assez attentionné à l’extérieur et ainsi évitera de se la replanter au prochain pas.

L’homme est capté, expié par la douleur.

§.504.

Défaut de culture qualifiée d’expressivité corporelle, de réduction et de sa communication.

§.505.

Je ne savais si était une bonne idée que de se mettre l’un avec l’autre, si c’était pour lui,pour moi me retournant qu’on verrait simplement si cela se ferait, et comment, non vraiment le futur me vas, on pourraits’accorder fois après fois on ne me croirait pas.

§.506.

Mes mains marquées parce que tellement dans l’eau.

§.507.

Gadjet et –   -.

Qu’est-ce qu’on fais.

§.508.

Jeune errant eprenant les gens sur la manière de faire.

Non reconnaisance par l’apparant savoir faire alors se salir à longueur de journée.

§.509.

De l’implulsion de la hanche au genoux repartant jusqu’au pied, la jambe qui ondule.

§.510.

La femme –           – et la confiance, le support psycho-sociologique de la femme est de^porter la confiance.

L’effort de la confiance c’est à dire porter les évènements comme une fatalité.

S’arranger avec le sort.

Etape essentielle afin de pouvoir analyser regrouper bien les évennement et pouvoir dessus opérer. Changer intentionnellement (forcément) sa tension c’est l’autre contre soi se tromper quant à le ligne stabilité.On change des révolutions, l’idée de rêve ou libido par rapport à cette ligne, car la tension la continue  arrive d’elle même à une burée et varie selon les tension au lieu d’opérer sur la structure dont on est chargé.

§.511.

L’art de reconnaître l’évennement et ses exigences nous dépassant estsine qua non de la stabilité pouvant agir sur la condition après.

§.512.

Cimetière des défunts. (je ne savais pas qu’il était autorisé d’enterrer des vivants). Cris douleurs et la mort accessible à tous les animaux.

§.513.

Stabiliser les éléments en cours et à la recherche d’autres éléments car déstabilité = non relié.

§.514.

Spécialisation femme intérieur.

homme d’extérieur.

Besoin de spécialisation, de compérence alors (encore et toujours) complètement inapropriés se justifient par un contexte dit BIO, lequel on ne pouvait qu’aprouver.

§.515.

La comédie sociale, La symbolisation car rôle donnéePré attribué ainsi que d’autres enlevés et impossibilité cae état pas entier de composé de carcan social. Eliminé psychique et image réductrice, obligé.

Pensez que l’autre à toujours en idée de défendre ce commun le flux vital lui apparaît vrai.

ou dis paraît.

}        Par intermitence.

ou disparaît.

Car admettre que l’autre est moi est se méprendre (Donc ménager, tentative de sauver des apparences.

L’énergie en commun et aucune image à l’union à l’autre.

§.516.

Déjà prise, qu’ils disent.

Pas de –       – on ira tous à la revue.

Et pour cela il faut se –   – mon frère.

§.517.

Le psychodrame, l’affectif détourne le pourquoi de nos fragilités,amours, « absorbement » et obstination.

§.518.

Attirer ton amour, c’était être avec toi pour ne pas laisser mon être pouvoir s’éprendre de quelqu’un d’autre mais ce n’était pas s’enfermer (solution de pauvreté) mais filer les mêmes activités.

§.519.

Il n’avait pas été oppressant cela aurait été chez eux que je serai allé (je pense qu’une histoire de sexe aurait pu à lui aussi lui aller)

Ma tumeur, mon cerveau.

Je suis sûr d’en avoir un.

Elle est, me délivre simplement le message que mon cerveau dans des situations de malades me mets. (pourrait-être une simple idée obsessionnelle).

§.520.

Crayon, marche, toutes activités et postures assis et rectification de la stabilité musculaire et coté gauche et droit équilibré, suffit d’aller droit et plus d’appui superflu.

§.521.

Il ne disait jamais quand il était d’accord ou non mais jamais les –   – jusqu’à temps qu’on comprenne sa position.

Dire oui ou nonaurait inclus de rester plus que comme sur ses positions (parce qu’affirmer en avoir) et vu que son esprit n’étaient pas absorbé par ses question (bien qu’elles étaient importantes quand au déroulementdes opérations) alors il gardait la pluralitéde son attention mais restant perturbé tant que sa condition demeurait mmanager tel une –                   – que l’on ne pouvait enlever.

§.522.

Les signaux du manque à l’exactitude, des Qualités exponentielles des procédés, les fragilités.

§.523.

La figuration psychique (le concept de personne) est en fait la revendication que les personnes à des personnes, ou choses ou autres personneappartiendraient.

Notion de dépendance ou de fatalité.

Et l’adulte tel l’enfant Faisait des conneries sombrant dans sa folie pour ne s’abattre de n’être occupé.

§.524.

Grand’mère en ragot de peur que l’autre l’as –                -.

L’hygiène de vie contribué à exaucer ses craintes d’être condamné, calomnié, rejeté et caetera.

§.525.

La gratuité pour les gens signifiait sans –    -.

En fait c’est l’homme qui donnait le prix.

Le régulateur des abus ridicules.

Le combat psychique et découlant des capacité. L’erreur de l’homme est de douter de ses capacités (capacités à mieux faire et du désastre de ses actes et de leur ceractères d’irréversibilité par rapport au doute de leur impact à chacun, de leur mouvement.

§.526.

La superstition des lois religieusesou autres rigides ne pas savoir comment à son propre jugement et expérimentation (première personne du singulier = aussi société) se fier.

tous les moyens de le faire progresser, comme expérimenté + canaliser.

Le signal de  ma tête fumante et ce à quoi de me demander je réfléchis .

§.527.

Angleterre lève l’impot (taxe plus lourde sur privilégiés) et gagne son autorité? cat autorité ne repose âs sur lois des marchés mais sur l’idéologie tenu à distance par le matériel mais capable d’une fois dans les esprits de tout pouvoir maîtriser.

Le carisme mourra de lui-même. La conscience première de la vie et respect de tous passa,nt par l’équité.

Temps marqués de peur d’être oublié.

§.528.

On donne des personnalités et des images, histoire de Cerner les gens par défaut se donner l’illusion parce que cernés par les conditions contraintes.

§.529.

Assurer les clivages généraux, la plus grandes des préoccupations.

§.530.

Action et vue sur le monde.

§.531.

La résistance aux jugements voilà qu’elle est la force, puissance de sa psychique.Travailler déjà serait considéré comme atteind –       -.

§.532.

Erreur pensée qu’il faille régler sa tension afin de se concentrer alors que c’est la concentration qui seule peut savoir comment le tension peut d’elle-même y arriver.

§.533.

Maturité sexuelle et sang froid. Sure de sa fécondité d’être un respect, une référence pur l’intérresséne draîne de la besogneet de la production déjà source qu’il faut réaliser.

Mais n’en rechercher aucune reconnaisance de ce devoir qu’on est censé représenter.

§.534.

Liberté d’entreprendre Cet engendrement généralement substitut à la formation. La capacité à l’innovation, à la puissancz chargé comme condition à l’indépendance.

§.535.

Rapport à la sexualité et à l’autorité.

§.536.

A la fac on se reconnaissait les bosseurs suivant on pensait les uns aux autres sans jamais se parler car pendant que nous venait à l’espritnotre nécessaire solitudec’est à ceux qui menait la même vie que l’on se rappportait.

§.537.

Le peuple crée sa condition idéologique lorsqu’il peut se reconnaître en tant que peuple idéologiquement évolutif dans ses conditions par rapport à ce qu’il peut ne jamais oublier la chance d’avoir trouvé un filon dans lequel l’esprit peut se développer.

§.538.

Être fort, il faut être fort. Pas de maladie, pas d’ennemis qui puisse me terrasser et en un autre endroit de prospérité la mort va m’emmener.

§.539.

Instinct énergétique non permet une décoagulation des tensions suivies car tenant compte surgissant d’une comme atmosphère.

Et retlancer par l’attention de l’esprit, celle qui nous permet de reprendre le but de notre concentration.

§.540.

Les enfants pour user grand parents par tous les adultes ont la réciprocité vieillard /enfant. Si bien qu’on l’esprit autrement avec eux qu’avec les autres. Développement de faiblesses et tromperies futures et nous venant les gestions des énergies donc sensations à l’autre sinon quese ma –  – mal maîtrisé ( entre pédiphilie,adultophilieou jour et impossibilité.

§.541.

On ne peut rien haïr, tout pouvant s’expliquer. Il n’y a dans les erreurs d’actes et les jugements que l’ignorance comme fossé.

§.542.

J’admirais l’acte en lui-même à la personne l’ayant réalisé mais à l’admiration, l’abhoration venait que cela bien d’autres choses cachées car on voulait toujours en expliquerles causes et les effets alors qu’à chaque fois malgré les apparences elles restaient de grandes inconnues et à jamais. Que mettions nous en scène ? Qu’est-ce qui nous mettaient ?

§.543.

Ces détentions ou résolutions réponse n’étaient faite que par absolue nature humaine d’d’ignorance irréversible de ce qu’il en était.

§.544.

Sensations et pensées l’une et l’autre permettant de l’un à l’autre s’arracher.

§.545.

Reconnaître la force de tout le monde et de partout. Puisque ce sont toutes celles qui nous permettent de rester debout.

§.546.

Je m’expliquais rien sur moi la vérité exigeait un fait plus un autre et personne d’autres (ou très peu) n’avaient d’intérêt à les –  – (seuls ceux qui de ce que je faisais de mon temps devenant à une idée. Ne pas avoir l’impression d’avoir un-   – comme obligé.

§.547.

Pompes seule. Pied écartés.Endroit où on peut ne surprendre.

Jambes jointes = plus vites fatiguées.

§.548.

Massage de l’intérieuravec la langue (de sa propre bouche)

§.549.

Jeu d’équipe et lorsque mon bras ou ma jambe fut porté par d’autres que moi (car pouvoir d’observation) pour projeter le ballon.

§.550.

Le conflit et nous montrer l’indépendance autant qu’intérêt. Dépendance de nos esprits. Rien qu’on ne sache, ni ne détiennent.

§.550.

La tâche de l’homo estd’être plus fort que cette croyanc mêne à la folie.

§.551.

Le conflit entre qui^permet de désacraliser l’idée de loyauté aveugle. Sacrifice et adversité possible problème soulevés et encore devant être réglés.

A quoi servent les liens. relier, délier.

§.552.

L’imperturbabilité de la recherche et détermination absolue. Absolu, cessation de toute douleur. Imprenabilité. La mort n’a plus de lien dans un cadre d’infinité.

§.553.

Exposition dangereuse, extérieure (du cirque raison, au sport de glisse à le consomation de violence) La mort du peuple et béatification et justification pour la vie est un concept tenant de la société car habitude et liaison pour qu’absence soit remarquée.

Inconscience de la vie aussi développée que les capacité de notre individualitéN’ayantpu se lier, et abreuvés le reste de la meute.

§.554.

Wold trade center. Les uns s’y attaquant pour pouvoir voler la population. Le reste de la population s’il y avait les moyens (sites organisationels suffisants pour y supplanter que chacun une pierreà effectivement echanger. Toujours problème de réseaux et controme des réseaux et capacités à les faire converger.

§.555.

Le dialogue de mon esprit permet l’interlocution des autorités et conseils qui maintiennent une cohérenceet bienfaits, clairvoyance à la poursuite de son action.

que tous ce que j’ai vécuse reconstitue soit accueillis et aussi guide la logique et psychique qui les suis. Tolérance, endurance pour compréhension, liberté et infini.

§.556.

Pouvoir se considérer comme autrui, boucle la boucle. Et l’autre tel soit.

§.557.

La jouissance de l’autre et le don de soi présupose une assise permettant d’assurer ce que l’autre veux y déposer.

§.558.

A mes parents qui m’eurent jeunes et pour excuser mes traits parfois sans le vouloir irritant de comportement je leur dis mais qu’est-ce qu’on peut être con à 25 – 30 ANS. (Je suis certain que si un jour ils lisent cela ma Caroline d’amour ils t’auront déjà pardonnés d’avance, au nom de la propre connerie dont-ils ont fait preuve, comme tous nous le faisons, au même age. et je n’échape pas à la règle, tu auras le temps de te rendre compte que d’une façon ou d’une autre être con n’est pas seulement réservé au 25 -30 ans.)

§.559.

L’autant m’inscrit, n’avoir aucune époque ou échelle de processus.

Toutes périodes et tout stade de développement.

Autant échappe à la durée.

§.560.

Errance sexuelle.

Quand tu baise bien tu restes et quand tu sais baiser pour t’envoyer en l’air de plus en plus haut il n’y a qu’avec la fée.

(Il y avait longtemps que  tu n’étais pas revenu sur ton sujet obsessionnel !)

Après une autre aurait bien démantelée.

§.561.

La vie c’est construire,induire des choses qui dureront alors qu’était soit même aussi périssable et inconsistant que le soufle sortant de nos naseaux, s’en errodantsans jamais plus n’y pouvanty revenir ni partir d’un bloc dans la même direction.

§.562.

Peur d’une apparition même pas l’appaprition en tant qu’elle même mais une qui me trompe (trompe dans le sens de ma raison) l’apparition d’une pensée qui du monde des hommes m’exilerait.

§.563.

Un § en anglais je laisse.

§.564.

L’art moffre le bonheur car en le comtemplant j’y dépose et rencontre ce que je suis, en créant tous mes besoins,tous ce qui me soigne et me nourrit s’y trouvent d’autant qu’en leur contact ma compagne propre s’authentifie.Les règles du jeu était simple.

Exemple quelqu’un qui affichait sa dureté était quelqu’un qui redoutait d’être aimant et d’encaisser le dureté, la négligence, violence, (quelque chose qui le blesserait) de l’autre après comme une sorte de préparation psychologique.

En va ainsi de la sympathie. Il est normal d’être glacé, le bon sens exigeait de nous qu’aucun mal ne puisse nous émouvoir et de tous les affronter. Je ne suis pas plus active que les autres, simplement simplement faire du mieux que je sais nous confère à tous l’invivabilité.Et le monde est en moi et de tous mes gestes ont à le porter.

§.566.

Secte et faire que l’on puisse parler du para-normalquotidien, de nos être d’énergies, tabou et qui le restera tant que les moyens scientifiques n’auront^pas percer le cercle transport de l’énergie.

La religion dans son sens noble c’est où va t-elle ?

A quoi on ne peut répondre que par des essaie de poésie.

§.567.

Notre rythme dans le bout et le tout si on ne se voue à ce rythme propre nous incitant.

§.568.

Heurter. puisqu’à chaque fois sont en une autre dispositionles courants quinous portent ou qui en nous viennent se regrouper.

§.569.

L’explosion animale nous rassure tant qu’à la pasion qui me lièrent à tout mes compères.

Le réfléchi qui jamais ne demeureun ordre établi, qu’aucune souffrance n’est perdue et que quand l’animal est assez surde lui, il devientnon plus pensant mais réfléchissant et inventif et d’autre sphère s’ouvre à lui. Je pense que les animaux sont doués de ce pouvoir qui ne serait simplement que transformer l’outil terrestre.

Le groupe est à l’individu affiner une manière de converger des plus grandes infos, une relativisation aux siennes, pouvoir souffler de son marathon qui impose de vivre sur le préobjectif et éléments cloison de liaison y conduisant, souffler, recomposer et reprendre de plus belle.

§.570.

Mon frère me trouvait horrible, j’y pensais quand un plus jeune que moi était assis et que je lui imposais mon à peine plus.

Protection ou soi-disante maturité comme souveraine.

§.571.

Dans ses cuves les classes suivant ce qui lui passait par la main voler. Dès fois toujours elle se battaient et des fois elle rapellait toute les horreurs qu’elles avaient vécu et dans des bras des heures seraient restées.

§.572.

Le petit froid s vaincant par des gestes mesurés, préservation de l’énergie, le sang froid et chaleur conservée.

§.573.

Se laver tous les jours mais sans douche =gant et savon, et sion particuliers aux muqueuses, aisselles exceptées, pied massages, car tanage localisé et nécessaire (ce qu’il fait, le rend beaucoup plus appliqué)

§.574.

Fabrication d’énergie et repos de l’intestin qui permet au corps d’être en d’autres lieu opérant alternance contre la fatigue.

§.575.

Contrôle du corps, de l’esprit et art de la précision. Le défi de ne pas en bouger. Le chemin le meilleur est celui de l’immobilité, du respect de la faisabilité.

Les forces pour se compléter, mais ne pas s’affronter et de ne pas croire celle qui correspondait.

§.576.
Exprimer ce qu’on pense n’est pas un risque de véracité mais seulement le corps et l’esprit ayant la possibilité de s’accorder, ont également la possibilité de se toucher et de toucher.

§.577.

Se taire avant de comprendre ce qu’il fallait dire, comprendre et non répéter par impulsivité.

Car une implulsivité qui faisait que les gens didant et comportant n’importe quoi car par le silence = à penser.

Et que penser = étudier.

§.578.

Se lever de position coucher, se soulever, contracter le corps.

Mama         n va t-elle aussi (superficiellement penser à nous s’élever).

Mon point d’équilibre prenait la tension et quand le corps repose, reste un élément qui peut laisser aller à la tension, car libre et pas coincé de s’être sur un support reposé , mais coincé. Abolition de mobilité.

§.579.

Se préparer aux controles. Être prof et élève de son propre boulot toucher l’irreprochabilité, chercher si cela nous vaudrait des points, qu’elles critiques, réorganisation, perceptions supplémentaires  aux travaux effectués. J’aurais voulu me dire que vieux ou jeune j’aimais écrire ou ne lire ce que j’aurais été incapable d’éffectuer.

§.580.

Sexe le tabou.

Reflète le soindu corps et avec ses possibilités. (massages connaissance du corps hygiène, alimentation, activités sportives corporelles appropriées.

§.581.

La femme ne doit pas jouir entre cri de jouissance et ceux de l’enfantement. Pas de droit à la parole.

§.582.

Connaître, identifier et à chaque rencontre des éléments en assembler.

§.583.

Masser mon corpssans une cascade.

§.584.

La prouesse que se récèle d’être de simple chemin à suivre la signification des lignes d’un bouquin. Comme appui à pouvoir raconter des histoires merveilleuses de lendemain et ne pas se faire haper par le merveilleux de la sienne.

Je pouvais repenser à des actes 10, 100, 1000 foisadmiratives certes, mais épuisant ce qu’il m’avait donné d’autres.

Le dévouement est la merveille.

Sa constance forme à l’apparente humilité qui n’a de plus ou de vérité que de propager et de ne restreindrequ’à soi les qualités et défauts endirés. Constance et endurances.

§.585.

Ce que j’écrivais appartenanait au moment. (Carrefour des évènements).

Mais n’était  qu’essayant de se spécialisant dans l’écrit des moments que je rencontraît.

Abus et recherche désespéré d’accès à sa propre énergie, d’appui.

§.586.

Les moments dans lesquels je bâtis et partit ma vie.

§.587.

Petites je m’arrachais les dents minant ma gencive. Je crois que c’est pour cela que celles qui les ont supplantées ne tiennent pas très bien non plus, maintenant.

§.588.

Les jours doivent tous se ressembler. L’action liée et inventé, la poursuite du même projet.

Le temps et la stabilité.

Travailler permet de traverser sans broncher tous les changements.

Entre sa position et celle convoité.

§.589.

Le côté –      – permet à l’autre de percevoir l’autre comme son instinct à une situation et non à un affect le commanderait.

§.590.

Comme tout être c’est le monde que je construis et chaque jour me l’atesteen écrit, tel chaque fois que je mange ou les choses clarifient, tel ces moments de libération qui fait qu’on appelle nos sucessions de mouvement de vie. l’existence. Qui s’usent, qui s’inscrivent qui s’inscrit.

§.591.

La répétition de mes mots, la surprise même qu’ils soient eux ou d’être moi, de trouver quelque sensation autant  que ce que l’on ne définit en fait comme étant « moi »un symbole que finalement les définition ne sont vraies que justement parce que privés de mouvement laissant à l’existence sa seule possibilité d’être ressenti par chacun, à tous moments, sans restriction possible mais parti – pris.

§.592.

L’eau qui me procure un état de pureté parce que chaque goutte d’elle je traîte avec respect. (Tu ferais bien d’en faire autant avec l’air et la terre, pas de problème avec le feu il se purifie de lui-même.)

§.593.

Ou les gestes que je pris de ma mère et qui peuvent me permettre de sentir comme un geste d’amour, chaque geste (du ménage à prendre un bouquin) que je fais permet d’enraciner les notions, de danger et d’amour, perpétuelles indépendemment de ce que notre destin nous fait porter et ce que les autres perçoivent donc influencent de notre personalité et moralité.

possible de travailler la moralité = faculté d’adaptation envers la situation présente | se protéger.

|protéger autrui.

Par qualité à cet effet exploitable.

§.594.

Que je connaisse une, vingt, ou deux cent mille personnepeut importe le but ne pas penser à autre chose que de permettre une meilleure aisance à ce que je connaissais.

§.595.

Nature et sensation.

Sensations. Compagnons.

Réflexions. Fécondations.

Actions.

Mariages forcés, calculés, rationaliser, admis car érradication du combat à mort pour droit à procréer.

§.596.

Avouer que l’on peut se parler à soi-même, parler aux autres en même temps qu’à soi, c’est régler ses problèmes.

exclusion. Dissociation, société (apparence).

Mais pas limitation.

Mais un membre ne marchant jamais sans l’autre même si exécute deux gestes différents.

§.597.

Le système de reconnaissance (Je te souris si ta présence m’agréer) est basée sur le système autoritaire / qui s’autorise et caetera . . . . .

A être arbitraire = Je peux te virer car tu mets soumis deux ou quatre foispar rapport à l’arbitraire sur la personnalité et les fantasmes lié à l’insécurité, l’injustice (qu’est-ce que ce voisin me ferait.)

§.598.

L’énergie véhicule la vie, c’est en croyant pouvoir la manipuler que l’on se voit tromper.Elle véhicule l’énergie, celle qu’on envoye et celle que nous nous croyons destinée.

§.599.

Il se sent, et l’autre en train de le regarder une indication à comment l’un à contre nous pourraît de cette charge, géné se sentir.

§.600.

Les gens se comportaient comme ils percevaient que j’aurais pu moi-même ou tout autre devoir à remettre, être accaparé par cela .

C’est à dire qu’il sentait quelque chose pointer et qui ne cessait de le déranger (parce qu’eux et l’autre ne parvenaient à le draîner) d’où la figuration de n’importe quoi, une gêne, la gêne.

§.601.

Savoir ne pas jouir de l’énergie c’est de ne pas la consommer et de plus en plus ample poids pouvant se rajouter.

Les gens ne sont pas différents d’avec moi qu’ils sont avec autrui ou c’est qu’alors ils cherchent quelque chose dans notre état de relation, quelque chose un élément, quelque chose qu’ils voudraient saisir, quelque chose qu’ils cherche et la recherche et à elle était inérant à d’incompris.

§.602.

Chaque geste volontaire

(Tu vois Là selon le sous-entendu inclus dans ta phrase, mais non stipulé, tu peux mettre le singulier ou le pluriel :

Je m’explique Ma Caro :  Chaque geste est volontaire.

Chacun de ses gestes est volontaire. Chacun de « ces » gestes est volontaire.

Chacun de ses gestes sont volontaires. Chacun de « ces » gestes sont volontaires. Sachant que tu as écris : Ch.

Peut aussi être une marque d’indéfini, auquel cas elle reste au singulier.)

et superflu à l’action à la réflexion ou l’observation est un geste gênant de bravade obligeant à se faire rectifier, chacun de nos gestes à l’énergie et son application qui n’est dédié qu’à elle est le manifeste d’un non néant.

§.603.

Ils provoquent, pardonnent, la vie ne leur a pas pû dévoiler ce que l’intimité a de plus secret. (Des gens et des peuples. Et tous pointent les scandales et les vertues, toutes aux creux d’eux et tous tentent que cela ne se mettent à exploser. Ils se forcent à provoquer.

La responsabilité de l’autre ne l’en a pas de ce coté touché;

§.604.

On n’a pas le droit de s’appitoyer sur son sort vus les malheurs qu’il y a me disait Ma main.

Et son malheur vient de ce que ça on ne règle, ou oublie aucune des frivolités.

Si on l’assure est inataquable car on crée devant soi-même une impossibilité totale, er de là personne, rien à qui on puisse se référer.

§.605.

Le mythe, son soi, je le perd lorsque je me crois en état de dréation, oubliant que ce que je rencontre est, non pas issu de moi mais se trouve être la chance des opportunitésque j’ai quand je les vois.

Et la vie qui tout le temps transformr tout ça.

§.606.

La fidélité et la confiance envers le proche et le caractère chez soi qui peut se révéler complet. Et cette complétude et plénitude fait aux flux d’énergie qui à la rencontre de chaque être ou objectif ou situation va alors pouvoir s’appliquer.

§.607.

On avait toujours dit  de moi, même tout petit que j’avais mauvais caractère, et pour cause.

§.608.

Aimer un être, avoir chercher à le comprendrec’est le démystifier.

§.609.

Si tu ne m’as pas compris, cela implique que je ne t’ai pas compris non plus.

§.610.

Pas besoin de reprendre de cela, tu en as assez, tu es déjà assez fort, et se battre avec ce que l’on a, ce qui a du vice, de la luxure, de l’inconséquence face aux éléments à tout éléments à estimer.

§.611.

Quand je compris que les femmes me désirant avaient la même aptitude que celle ne désirant pas, les mêmes affinités.

Que la différence à chacun est le temps qu’à chacun on y met, le temps (donc profondeur et qualité de relation) menant à chaque fois aux stades les plus élaborés.

§.612.

Une femelle sauvage. mi figue mi raisin. bien sûr comme tout le monde à son bonheur partagé à rêver. Mais toujours pas par l’attention à l’autre et bienveillance et complicité du tout nouveau captivé.

§.613.

La patience. Attendre que mes pensées ou l’action soient confirmées (puisque chaque acte est issu d’un tissu de contraintes avant que s’accomplissent la logique, ou qu’on puisse vouloir tracer un droit chemin à sa destinée.

Souvent je me transforme de destructeur (moi aussi) diabolique en esprit pieux selon que me rattachant avec nécessités ou responsabilités que j’ai la force de porter.

La trempe, le temps, l’impatience de la vie, la fuite en avant ou s’enterrer de son passé. (j’aurais dit dans mon passé)

Avoir la force d’entreprendre et de laisser nous guider les choses qui ainsi font les choses se dénouer;

Ne rien attendre, car toujours avancer mais savoir des choses suspendre avant que d’autres ne se soient annoncées.

§.614.

Le temps, la façon dont je l’ai ensemé, le moyen de ne pas le sentir m’échapper. La solution pour ne faire et être de décision irrésainnées.

§.615.

Nourriture artificielle, et quand l’homme pourra le jardin d’Eden recréer.

Et des envieux munient des mêmes pouvoirs que chaque chose de pensées.

§.616.

Les relations passionnées avec les uns, n’offrant plus posibilités à ne rendre compte de combien avec les autres on avait pu se méprendre sur ce que l’autre était.

§.617.

Ma patience.

Ma patience n’était pas faite pour être endurer, elle apprenaît aux autres qu’elle était.

Ce n’était pas la peine de m’n défendre car de cette qualité si j’essayais de m’en départir c’était place à un défaut que je faisais.

§.618.

Et nuit aprés nuit se déouvrir.

Il était déjà si incroyable qu’un seul de ses membres celle qu’on tenait pour être sa fiancée dévêtir.

§.619.

Et des actes manager, les actes que par notre ardeur autant qu’amour qui apprend à attendre que la cuisson soit ce qu’il en fallait.

L’art de préparer. L’art d’être prêt. Et l’art de faire que l’instant soit apprêté.

Et l’horreur de la décision précipité, hasardeuse si tel un sage on aurait pu ne rien brusquer, ne ien laisser à la devinett de l’à peu près ou spéculé.

§.620.

Prosaïque. Quatre ans de celibat, pour une fiancée je ne fus jamais à un mois près, obnibuler par la seule car le bonheur du couple vient (de n’importe qui qu’elle sera) que ce soi ainsi que celle qui se tient dans mes bras puisse se senti ainsi considérer. Comme tout en ne promettant ren de plus que peut m’offrir notre réalité. Un plus un égal un ou alors ne rien avancer.

§.621.

Je savais qui elle était, on avait été entouré de chats, car elle parlait comme eux des fois.

§.622.

Le rapport à l’enfant  et le rapport à l’adulte. Être enseigner autant qu’enseignant. La remise en question devant l’autorité qui prévault moins souenue par l’expérience donc qui touche plus d’être appuyé plus sur l’appréhension du présent.

Ce monde, des sages qui devaient ne cesser d’être associés.

§.623.

Le psychique.

Comment se touche – t – on les uns aux autres.

(Concept autant qu’être, ou espace, objet de toute nature.)

Comment se toucher.

§.624.

Admettre la loyauté de chacun c’est savoir tout en chacun pour l’autre protéger.

§.625.

La création, l’originalité toute innovation fait que l’on saît que ce n’est pas  parce qu’on fait autrement que l’autre que l’on es pour cela ou une abriti ou un incompris.

§.626.

Ma vie est faite de mauvaises actions m’ayant enseignés sur ma proper misérabilité, action qui hante mon esprit si je suis au bord de les recommencer ou qui le balise ou l’adoucissent car elles me tiennent en amitié

à chaque fois que vis à vis d’elles maintenant je fais après les avoir reconnues.

§.627.

Je trompais des personnes simplement car attaché à la fidélité à d’autres (mais fidélité avancées).

§.628.

Les gens auraient voulus lui imposer un rythme, des horaires à son travail, parce qu’il n’était ni fénéant, ni gringalet mais c’était sans savoir que lui était comme noyé s’il était obligé de cesser de parler à sa mère (depuis pourtan une dizaine d’années maintenant décédée) ou autre qui le protégeait.

§.629.

Ces fidélités et listes exaustives permettant aux uns et aux autres les chemins se croiser, s’imiter et pouvoir accéder aux chemins du savoir qu’à notre angoisse et imcompréhension il manquait.

C’était maintenant la tache de mon abat-jour qui se dessinait sur l’écran de ma vue quand  lorsqu’en fatigue j’avais comme la sensation que ma vue c’était évidée.

§.630.

Il se tapait dessus tellement à cet endroit l’impression qu’une lueur lui n’en finissait pas d’y pousser.

§.631.

On fait les compliments qu’on a pas su signifieron fait es critiques dont on a pu ou dont on s’est senti menaçés.

§.632.

Être proche. Se rapprocher de la vertu et si l’on s’en félicite le tournis jusqu’à l’effondrement que l’infinité de sa force va causer. De n’être mon au dedans mais à coté.

§.633.

L’homme méchant est l’homme qui a du combattre et combattre encore, avoir des craintes à longueur de jurnées et dont la réalité, la nécessité d combat n’a pas été reconnu par la société. Alors du valeureux, il est pris pour l’enfoiré D’attacheent inconditionnel c’est à dire non pas pour son propre intérêt on voudrait  (= résistance superficielle, idée que l’on se fait de ce que notre être peut poser comme problème ou qu’il a le pouvoir de régler) ériger nos relations. L’attachement eux proche et de cet attachemnt qui fait que c’est notre possible car prenant garde à ne pas, ou vouloir, ou tenter, l’impossible) qui sera fait.

Le devoir citoyen = à celui précité.

La mondanité, instaure en fait des simulacres d’intimité qu’on saît ne tennir sur rien que les caprices d’un tel ou d’un autre que vous vous y teniez.

Sociabilise l’inégalité et l’abus de pouvoir dans la relation. Prolongement du système vampirique.

Des gens qi on pu passer leur temps céchu à n’avoir pas trouver le myen de servir à soi-même en même temps qu’au groupe entier.

§.634.

Je ne me servais de mes yeux quand je n’en avais besoin et ne pouvant attiser ma vue comme pour dire à l’autre que je n’en avais pas assez observé ou comme si ma vue était pour ma propre intégrité obligé. C’est dans ces moments là où je devenais aveugle, où inconsciemment je m’obligeais à perpétuer le préjugé, à m’en tenir aux vues limités que le rapport social nous avait obligés.

Ou oblgé aus choses implicitement  quand si dix mille choses peuvent devenir votre force est que l’on fait croire qu’un ou deux soient à notre portée.

§.635.

Ces révolutions car sont l’esprit (devant usure et douleur) de l’action qu’on expérimente) puisque nous donne d’autres ouvrages à faire.

§.636.

Celle qui réussi. L’esprit ne continue à vivre que parce qu’il est assuré de stabilité (rien d’autres qu’à n’avoir plus à se battre que ce qu’il est habitué)

Ou l’évennement est posté par la rage qu’il a de pouvoir cette douleur arrêter.

Chacunes étant ar les uns et les autres porté comme de notre vie il en dépendait bien que l’inexpérience fasse justement qu’on aille de dose en contre indiqué en dose contrindiquées.

§.637.

Le fait de faire moins de méfait demande beaucoup plus d’énergie car exige de se remettre en question, faire autre chose que cette systématique de conneries, aller à la recherche d’une nouvelle utilisationde soi et de son énergie. Eprouvant que d’arrêter sa connerie = la justification de son ignorance, de la limite qu’on ne repousse plus, qu’on ne prend plus pour appui.

§.638.

Elle bougeait son pouce en même temps que son travail d’écriture comme pour dire : Je réfléchis mais pour autant, sais ou je suis, ou pour autant ne l’en oublie ou voilà ce que pourrait en dire mon esprit.

§.639.

Je m’emballais sur ce que j’avais désigné être mon mal, M’y abattais sans que mon inervention y fasse effet, redoublait d’ardeur, tandis que le mal lui continuait et qu’à m’apesantir qur quelque hose de pas concerné, je fabriquais une autre fragilité.

§.640.

Les brûlures d’estomacs qui me révéler que état presque paralysé, que ma cambrure au dos pouvait être beaucoup plu raide, malade que je l’imaginais.

§.641.

Je men référais au son, tout le temps et quand il n’y en avais plus (comme toutes ses tants d’idées elle est car parmi des dizaines d’autres sinn plus de notions d’existences il y aurait). En fait en voulant me retenirà quelque chose de pré déterminé, pré conceptualiser je m’enlisais.

§.642.

Je n’avais plus besoin de scruter, de regarder puisque la femme que je désignais comme étant celle que je servirais était avec moi désormais.

§.643.

A chaque fois que je recevais un coup à la tête je remerçiais que ce ne fut pas aux yeux.

§.644.

Je sens, la reconnaissance que je ne cherchais pas, la mort qu’il fallait admettre comme constituante de la vie et donc que je n craignais pas.

§.645.

La richesse attestait aux membres du couple. Voilà ce qui est pour toi, ce que beaucoup de femmes voudraient et pourtantc’est toi qui va y ester (de force optionnellement parfois de gré).

§.646.

Le jeune, ou l’idée novatrice ayant besoin du vieux. Ou de l’idé conservatrice pour pouvoir naître et trouver un support auquel se rattacher ou un refuge dans (une suite,un système montrant défaut et qualités) lequel il peut librement sans crainte de s’abandonner à la réflexion (à l’expérimentation à sa propre construction s’essayer.)

§.647.
L’unicité du but. C’est à dire Qui sert à toute chose, et la pluralité des buts qui en chacun de nous vis àvis de lui pouvait s’intégrer (nous assure une pluralité de motivation, vues, mouvement, connaissances, appuies qui pouvaient se rassembler, s’unir, se conjuguer en la –          – du premier.

§.648.

Je préférais mourir d’un cancer plutôt que de vivre avec la dictatrice qu’elle est.

§.649

La dite position de soumission est simultanément l’attestation d’être conscient des dangers tous azimuts qu’on sait qu’on peut être ou avoir à redouter. Cette attitude est là justement comme pour attester que l’on considère le rapport inégalitaire comme justifié car il donne alors concentre sur un, le moyen de protection et d’exploration et pour cela il faut que celui qui ajoute les dangers inconnus et incontrolés soient par les autres portés, assurés.

§.650.

A aucune femme je n’apprtenais alors la seule personne à qui je pouais penser lors de masturbtion étaient celle (s) qui m’avait fait vainement espérer Jene cherchais plus à atteindre mais mes oscillatios étaient un fai comme si je me débattais ou pire la battait. (Besoin de fantasmer ? c’est ridicule)

§.651.

Et c’est alors que je revis toute les femmes que j’avais aimé et compris que c’état nos douzaines de vies qui nous avait séparé, que celle qui meconviendrait serait celle qui nulle part aute qu’à sa carrière comme à la mienne voudrait aller. C’était un pacte que l’on signait chacun sachant qu’il n’y avat de compromis mais bien un choix de destinée.

§.652.

Plusieurs personne aurait pu m’apporter cela et une suffisait. Les autres, celles dont nos carrières nous auraient éloignées comme celle avec qui nous aurions pu les partagers. Au même titre que celle qui est mienne je les aimais.

Etce pacte auquel j’étais fidèle était aussi profond que nous le savions connecté à l’idée et savoir que c’était aussi la fidelité, l’absolu de l’amour qu’  en nous il scellait.

Voilà aussi pourquoi on parle de moitié, la personne avec laquelle on it cela devenait la personne avec lquelle notre recueillement et celui de nos pensées et personne comme l’on se sent pour soi même accompagné ou totalement inspiré par la liberté que confère être pour l’autre synonyme de nécessité.

L’immensité de l’âme et ansi deux esprits qui prennent l’un à l’autre se pacter.

T ainsi permettre à l’autre d’être ce qu’on est et à soi de rencontrer l’autre coté. De faire cela aussi tanquille et confiant quà l’égard de notre propre parfaite connaissance que tout ce qu’on a fait a été fait par ignorance ou bien toujours croyant bien faire pour les erreurs et par nos réussites fortuites ou calculées commes berçées.

§.653.

J’étais comme persuadé que le destin ne nous avait pas associé (ou la conscience que ce que l’autre est ou voulait devenir) car l’une et l’autre devrez poursuivre coûte que coûte ce qu’être escompté sans que le dstin de l’autre ne la dérange dans ce que du sien elle prévoyait. Le destin avait prévu pour nous des gens avec lesquels on ne s’associaient pas mais moi comme elle et eux avaient besoin de l’autre celui qu’on rendait heureux pour les décisions qu’on prenait et suivait les uns aux autres sans devoir –      – , rectifier le tir que savait et concevait comme unique nos esprits dévoués, dévoués à ce qui de nous savait le mieux comment s’adonner, accomplir, nous accomplir et quoi entreprendre en particulier.

§.654.

Elle était horrible bien des fois, mais je m’apperçus que pensant d’elle ce qu’on en disait nous ne pouvions qu’être tout aussi horrible avec elle autant qu’elle l’était juste plus bruyamment à notre égard.

§.655.

La prose est un sens basic en cela xplicite mais ne pouvant être aussi précis qu’un texte devenant poêtique d’aller à la recherch de ce que ce sens général à nous spécifiquement, intimement nous conduit. Le texte philosophique s’appliquera à fournir une définition scientifique du système, le coordoner aussi bien que le principe en tant que telle soit bâtit, et inébranlable car l’extérieur ne pouvant rajouter d’élément supplémentaire à ce qu’il a dit.

La –   –        –  debout un système qui intérieurement trouve un équilibrene pouvant par aucune autre logique (car ayant la sienne tout à fait expliquée, définie) ne peut être ébranler.La psychologie, la philosophie et ce que notre rapport aux choses des rapports –   – entre les choses nous a enseigné.

Un rapport à la mort ne m’effraie plus de ce temps passé à devor me rencontrer (sans que le travail ne puisse avacer) ou ne pouvoir agir sur ce que je savais à aider et par leqel pourtant rien sur le moment ou même sansdoute après ne pourrait.

Ce même rapport à la vie faisait que dès que la fatigue ou le manque de moyen était passé, de plus belle je reprenais, car cette position du pas prêt capable de tout à tout ne m’avait pas épuisé.

J’avais suffisemment affronté la vie pour savoir que cet élément de toute façon tout le temps et partout elle comportait simplement oui ou non ou et comme son contraire s’en rendait compte, adettait ou réfutait.

§.656.

La superstition oudiverse croyance confère à notre destinée une importance que l’on voudrait aux faits généreux rattachés.

§.657.

De mon vasistas de plafonnier le soleil m’éblouit en été, une façon de me dire va dehors pour bosser. (Mon tendre amour, ma tendre chérie comme je regrette ces moments merveilleux passés ensemble sur les bords de marne à La Varenne. Qu’elle mélancolie et nostalgie s’empare de mon esprit lorsque je repense à ces heures délicieuses et de savoir que nos rencontres ne sont plus maintenant que espacées de longs mois pour ne durer que quelques jours alors que je te voudrais avec moi à longueur d’année et tous moments, que de toujours notre siècle exige un pseudo standing de vie pour éblouir la galerie alors que de vivre ensemble pour l’autre et le bonheur de ce rapprochement exige si peut si l’on sait ce satisfaire de ce qu’il faut pour vivre pourvu que ce soit ensemble, tu ne m’as, pardon le temps et la vie ne m’ont pas laissés le temps de t’installer ce pare soleil déroulant que je t’avais pourtant promis, tu es partie trop vite, vivement NOËL que nous soyons réunis, cela me fait repenser à ce cameraman et ses compagnons et compagnes gouvernementaux en train de nous filmer et à qui j’avais demandé de tenir ce genre de film loin de toute utilisation publique, cela nous aurait fait un beau souvenir !).

§.658.

Bien que concerné, s’impliquer dans le feu de ce qui se faisait. C’est ainsi que l’on subissait des variations d’intensité  chaque fois que l’on prenait en compte un cil qui bougeait.

§.659.

Je ne croyais que ce que je voyais et en tenant compte des idées ma passant par la tête.

Je ne le regarde plus. Mais est-ce qu’il m’en croit ou cherche ou appelle mon regard on a d’autres idées en tête et en train de vouloir s’actionner. Bien sûr c’est les trois en même temps ou d’autres choses, en tout cas je n’ai aucun droit de vouloir en statuer.

§.660.

Une femme dont l’abolu le caractère résolue de ma vie peut lui donner le bonheur, aller avec le sien propre.

Bonheur à deux est celui a conserver.

Si l’homme à soi-même est le trésor à conquérir.

§.661.

Ou le temps ne me permettait pas de taper, tout ce qui me restait de penser à ma famille, mes études et ce qui faisait que j’écrivais la –     me laissait juste assez de temps pour écrire ce qui me venait.

De graphonique en dactilomaniaque me reconvertir il faudrait.

§.662.

Affalée sur mon bureau, entre le ram-dam de mon coeur finissant par faire cliqueter et celui de la pendule. Différentes choses qui se frottant grinçaient ou tintaient. L’ensemble des phénomènes que j’avais vécus, perçus et ce qu’il n’était donné de par ma présence, contenance, revenait.

Ce qu’à moi la vie avait montré.

§.663.

Les gens me possédèrent jusqu’à ce que je comprenne que cet importance qu’il avait la même je devenais nspiré, mais pour aux gens et comment je le voulais. Justement l’importance venait des choses qu’ayant construites ou bien portés en soi de manières innées alors instruisaient de leur existence ceux qui m’entouraient jusqu’à ce que je comprenne qu’à c que je savais faire il fallait me dévouer, come alors ainsi me dédier à toutesvies.

§.664.

Tu n’as pas envie de moi ?

Si ce ne serant, se serrait contre moi.

Alors cela viendra et contre elle m’endormît.

§.665.

Et jamais je ne comprendrais rien de ma vie, c’est l’effet comique qui dédramatise ce que je fais uniquement contemplable dans ce que cela à et est gagné au fur et à mesure qu’on le regarde par l’infiniment petit.

§.666.

Ne pas admettre être par nture dépassé c’est à coup sûr se retrouver opressé.

Si j’avais crû que cela uisse me délivrer du mal aux craîntes, je me serais tailladée. Et retailladée jusqu’à ce qu’exangue. J’en serais effondrée.

(Ne serait-il pas question de ton immense chagrin d’amour que tu vivais juste comme nous nous sommes connus, je crois me souvenir que nous vivions exactement la même situation avec des personnes différentes. En réalité il me semble bien que nous nous sommes guérit l’un l’autre d’autres qui nous avaient été de fâcheuses rencontres.)

§.667.

Je l’aimais parce que lême si ell ne me donnait pas ce quej’en aimais –       – , à moi toute même elle se donnait.

Et relation passionné. Arrêter de se donner le droit de vouloir.Admettre partager la même vie, c’est à dire être celui aux mêmes vertues et péchés, connaissances et erreurs est par vous la seule voie à communiquer et ainsi étendre la conscience de ce que l’existence a pour mission de porter.

§.668.

Différences entre oral et écrit pas passé ou limité pour le temps ou de ml’analyse ou de celui que doit prendre l’interlocuteur pour que ce qu’est signifié puisse être compris.

§.669.

Il est aussi éprouvant de penser que de ne pas penser.

§.670.

L’acte d’amour et aimer à tous les rytmes qui nous ont empruntés. Lui faire l’amour comme le jour que je vis (avec elle donc fait pour l’assouvir)  le moyen d’inviter. Aussi lasse que forcene, inventive que domptée, résolue que circonspect.

§.671.

On ne se comprenait et cela devenait violent car ponctué, inspiré les uns les autres mais de toute évidence ne parvenant pas à s’imiter, à reconnaître la force qu’il fallait à l’autre (et) à soi-même pour être ce qu’il était.

§.672.

N’en avoir pas envie c’était encore l’aimer et tout pour moi elle représentait.

Lorsque moi-même devant rester en d’autres priorités j’avais à n’éviter (du moins le penser).

§.673.

La bougie, sa lumière infiniment plus douce, et son feu assez pour mon bureau tout en me connaissant aussi.

Sa présence me tenait en éveil et l’idée de chaleur m’adoucit.

Comme les gens ne l’avaient jamais quitté y compris ceux qui certainement l’ignorait ou ceux certainement que j’avais oubliés, tandis que je comprennais maintenant toute l’étendue du rôle qu’il tenait.

§.674.

Som aspect de danseuse venait qu’elle cherchait que chacun de ses mouvements puissent l’éviter et qu’ainsi par cette objet de tension sans borne, son corps était animé.

§.675.

Action. Elément devant se reposer, s’assembler et reconstituer de ce qu’on a collecté  expulsion :  Re y aller.

§.676.

Cette famille sur laquelle mes idées reposaient.

Cette famille qui toujours me receait.

§.677.

La langue ou ses définitions, son application que nou n’avions en commun( le vecteur de l’instruction) Et qui faisait qu’en bête étrangèrel’o se regardait.

§.678.

La page qui reflétait la lumière, le blanc et de son éclairage qui rejaillissait.

§.679.

La danseuse s’étirant autant que se regroupant pour rebondir, sauter.

§.680.

Si l’on se voue à sa destiné, chaque événement à l’impact décisif qu’alors on a organisé sa vie de telle façon que seulement les choses fondamentales puissent nous toucher.

Si bien que si quelque chose s’accomplit ou ne s’accomplit pas nous ne restons pas à l’attendre ou en état de dépendance par raport à lui, car l’écoulement de votre vie ne tolère pas d’élément hasardeux. La recherche et qu’on prtique l’absolu, c’est être au coeur de l’existence et elle même découle de ce qui se réalise ou pas.

C’est à dir que quelque chose ne s réalisant pas va faire que (et non pas considéré comme un élément de passage,occupant l’esprit.)

§.681.

Mais comme était un élément qui fait comment va se poursuivre notre vie entièrement après celui-là.

C’est ainsi que l’on cotinue  se provoquer tout le long qu’il n’arrive pas et ue si une opportunité nous échappe ce n’est pas grave car si cela ne s’est fait c’est que défaillance il y avait et puisque ma vie y était suspendu alors autant que cela ne se fasse pas.

Entre se préparer sans rabacher et ne dépendre d’aucun fait, ma vie toujours entre mes mains et par ceci ne peut-être abandonnée. Ma fidélité à l’absol.

La recherche de l’absolu et le fondamental toujours en mes mains, toujours et à jamais.

§.682.

L’individu lorsque plus en confience ca plus supporté ou porté par l’élan que quelqu’un voué lui procurait doit se concentrer sur ce qu’il fait.

Problèmes. Ces références sont des choses déjà produites alors qu’il est dans un cas où le son que produira le prochain geste qu’il fera sera pourtant le premier.

§.683.

La folie de l’artiste dans le danger de destructon de son oeuvr, latelier ou s’entasse ce quil fait, où l’interprétation pour lui dangeureuse.de ce qu’il en sera fait ou quelque chose est dans sa tête mais que pour y arriver il lui manque quelque chose est dans sa tête mais que pour y arriver il lui manque des crayons ou des noms pour expliquer ce qu’i en est la folie.

§.684.

Comme elle finissait par mentirl’enfant qu’elle avaient dans les mains car en –    – elle l’avait massé comme si elle s’était elle même massé le noeud dans le dos qui l’handicapait, jusqu’à e confondre où il était localisé et plus ele devenait violente sur lr corpsde l’autre et plus la sensation de pouvoir traiter sa douleur s’élignait et plus fort elle essayai de la rattraper.

§.685.

Comme la logique d’une explication tombe sous le bon sens lorsque s’est relevé, lorsqu’on a u observer au moins une fois comment la suite ou l’origine de l’évennement pouvait s’agencer.

§.686.

Je reste satisfait de mon ignorance tant qu’à moi la manière d’exploiter un filon ne s’est pas montré.

Après cette connaisance là je donnerais ma vie complétement sans savoir aller pour la suivre, dans ce qu’elle m’offrait den elle rencontrer, et en moi que puisse s’établir et cette de terminaison sans la relêche m’accompagnait.

§.587.

A chaque fois qu’un conflit il y avait. Il pouvait suivants les tords si résistances s’éloignaient de l’instant précis qu’il était.

Et quand il s’en rendait compte alors la douleur de e pas comprendre cette particularité qu’il avait explosant en son sein. Et c’est lui qu’on virait.

§.688.

Je n’arrivais à m’en tirer car de nos rapports entre nous deux. Evidement les uns et les autres n’avaient en ces mêmes instants la même façon de considérer ce qui se passait ou simplement faire évacuer leur énergie à ce moment là sans pour autant . . . . .

§.689.

Je me drigeais par les yeux et pourtant je n’avais pas encore admis que ma tension reposant sur eux, ceux-ci évidement  alors étaient sujet à es révulsion du tonnerre de dieu.

Bloquant ce qu’il y avait à s’exprier (par crainte de les abîmer c’est ainsi qu’aveugle je les rendais.

§.690.

Je n’ai peur de rien et ainsi ne m’attarde sur ni moi, ni maux, ni maladies.

§.691.

Je me réveillais, pensait à quelque chose et me disait c’est intéressant mais tellement évident que je m’en rappelerais. En fait le fait que j’y avais pensé était fortuit donc pas oligé de se reproduire et c’était la clarté même du propos qui le rendait important à anoter.

§.692.

Le regret et ce qu’iln’est plus.

§.693.

Tout ce que j’ai parcouru est avev moi lorsquinlassablement je continue, dès que je m’arrête alors tout et perdu.

§.694.

La personne qui sait me soigner.

La personne que je sais soigner.

§.695.

Si on me demande si j’ai écrit ce livre. Non je répondrais.

Aprèstout personne à part moi ne sait comment il faudait le désigner pour soit vrai en moi la véracité de cette nécessité. En gros je ne mentirais pas.

§.696.

Le matin à mon épouse je faisais les baisers dont moi-même je révais.

§.697.

Bien sûr je rencontrais plus personne à qui je sûs pouvoir mettre la bague au doigt mais ma fidélité à elle fis que j’eus des rapports aussi profonds que je le savais avec elle.

(Comme couple pionnier) avec les autres personnes m’ayant convaincu que

que cela avec elle aurait pû se passer tout ce qu’entre nous ces expériences de l’amour revenant s’ajouter à celui de notre conjugalité (puisque ces personnes faisaient parti de moi et qu’elle allait ainsi y porter.

§.698.

Le désir de la mort du vieux, parce que personne ne veut s’en occuper. Ni ses proches, ni la médecine ou lenjournal commercial continuer.

§.699.

Notre complicité venait que je pensais à elle en tant qu’ individu (et de mes proches je savais que j’étais un individu comme tout individu capabe par ses gestes le bruiteur promulguer) et qu’alors sortait de moi sans que j’en prenne peur avec confiance et le don de rassurer. Car à cette personne à côté de moi je pensais, je portais.

§.700.

Tous les jours, le paysan, le chasseur sortait au pareil de leur vie. Voilà de quel combat sort et se continue celui de l’homme d’aujourd’ui.

(Ou bien il devraient en être ainsi. Déjà il en serait ainsi si chacun s’occupait des régimes à abattre) et l’aventure humaine ne sera jamais plus fini.

§.701.

Coercition à outrance cr agitation, détermnation plus grande dans celui qui veut changer le système balance de la coercition car chngement même tout à fait justifier ne peut se faire que par 100% de néophites et les erreurs en clône de l’apprenti-sorcier.

§.702.

La fidélité aux êtres choisis, le temps d’avec les proches. Le temps de murir sa relation à autrui, à l’autre corps, comme source d’énergie à loisir se ralliant ou pas à notre propre ressource. Etudes renouvellées suivies de comment la nôtre marché en interaction comment faire suivre , faire que s’allient ou  se relayent, s’aident, s’associent, s’indiquent, s’affluent, s’instruisent, au lieu de se bloquer et se télescoper otre énergie à autrui.

§.703.

La sévérité pour porter la roue, la douceur pour la réparer.

§.704.

La communication psychique n’a rien de plus comme signification et déjà que de faire communiquer les énergies, les tensions dans l’état ou le psychisme se trouve être en lui-même (enchaînement, alchimie des éléments) qui en se rencontrant se réveillent, se dévoilent, se révèlent.

§.705.

J’arrêtais d’écrire sur certaines choses donc de passer des heures auparavant y penser. Non pas des idées mais simplement à des combats arriv er. Lorsque c’était tout à fait aure chose alors qu’il me fallait classer.

Comment une obsession peut passer.

Car toutes contenant des priorités dont la valeur n’étaient prêté que par ce qu’o entrevoyait.

LA pénétration dans l’une était l’étude d’un système et l’éternité et l’infini ignorance à propos de ce qui se passait à coté en était la révélation perpétuelle et systèmatisée.

§.706.

Le craquement d’un membre et celui de ma jambe simultanée.

§.707.

Coercition pour les conditions de vie. Tant que l’ensemble de la société aux gens ont ne pu donner que des vaches justes suffisantes par la suite par rapport à l’épanouissement des compétences.

Coercition par le fric = conditions de vie = apporter à l’être cher chaque jour ce qu’il avait besoin pour manger.

Coercition obligé car l’homme savait de lui même bien avant que ces effets à longs termes qu’il n’y avait rien de bon. ( ni pour l’individu ni plus tard pour la collectivité les possibilités de travail auxquelles il devait se rattacher.

§.708.

On essaye par tous moyens d’inculquer à ses enfants l’esprit dans lequel on les éduques pour que de près à des fins les manières de vivre n’éloigne pas les possibilités de se voir.

§.709.

Il me fallait pour qu’elle voit son bonheur à vivre avec moi quelqu’un qui vive mon écrit. Autant que ma personne alors puisse en elle faire naître et renaître toute mon entièreté de vie.

§.710.

J’écrivais pour elle.

Et suivrais le même idéal et les mêmes façons d’y procéder.

Je cherche un associé.

§.711.

Le café chaud dans le café chaud et les jets qui en jaillissent au fur et à mesure que le verseur s’éloignait du ventre presque rempli.

Comme ceci étant un des vestiges expliquant qu’est simplement décrit tout ce que j’écris.

§.712.

Mon épouse portait en elle l’image de l’humanité. Histoire que je sache, ne cesse de savoir comment communiquer avec cette espèce et sa façon de communiquer, de faire refleter et converger l’énergie par laquelle elle est traversée.

§.713.

Elle était fascinante car pour se faire l’amour n’avait bespin de personne.

§.714.

En général je fais peur aux gens. Ca va tu tiens le coup ? Certains diront que c’est pour le lecteur sa sensation intepeller. Moi je sais que vraiment ainsi et naturellement cela s’inscrit parce que je lui parlais.

Génération télé communication. C’est dans la peau de l’auteur n’a jamais été.

§.715.

Et c’est parce que j’aimerais scrupuleusement ma femme auteur qu’elle m’aide, que j’rrêterais de passer pour un con quand mon instinct paternel surgissait.

§.716.

Mais elle se fout de notre gérance cette tanée.

§.717.

Ces nons littéraires me prenait pour une scientifique parce que je réfléchissais aux équations dont était constitué ma vie.

§.718.

Comme s’il n’y avait que les mots ou les chiffres afin qu’un équilibre on puisse leur trouver.

§.719.

C’est pas qu’il me chrissait mais ne m’en voulait pas.

C’est pas qu’il m’en voulait, mais tellement en lui des douleurs se tenaient là.

§.720.

Un vêtement prenait une apparence difforme tandis que reposant sur plusieurs object.

L’est ainsi qu’en darallèle m’apparaissait la difformité des êtres que l’on était.

Ensemble d’ailleurs qui se désignait comme telle car incapable de reconnaître en d’autres formes qu’en leur propre monstruosité la présence, de la spiritualité.

§.721.

Il m’a fallu nourrir pour reconnaître e moi une vie.

§.722.

Je suis musclée ma capture et ainsi puisque ou absent d’avoir de années lumières être allé le chercher.

Je suis ton soldat et à te servir.

Sinon, opérationnel.

Je suis prêt.

§.723.

Besoin que nos forces aillent plus loin.

Nous associaient arce que deux forces puvérise ce que seulemet un amour fort.

§.724.

Il était un génie car certaines choses enregendraient asolument = toujours pas, c’est à dire passait leur force en un endroit.

§.725.

Elle est médecin et se réclame d’une culture générale et c’est vrai qu’elle a. Aors combien de connaissances pour soigner mieux les gens a t-elle ainsi sacrifié de leur promulguer ou d’avoir enseigné fait penser ou bien trouver.

Mondanité – Mondanité.

§.726.

Un passageen anglais je passe tu entreras en correction.

§.727.

Et le génie que parce qu’il y a des gens pour s’occuper de e qu’on ne doit pas aveccela s’embarrasser.

§.728.

Une femme, une famille, un toit. Et bien que l’on soit tous ombrageux tout ce que je pourrais leur offrir était une vie tranquille.

§.729.

Le groupe ne pas faire supporter sur l’autre ses défauts car dépen de l’autre notre survie et tranquilité à chaque coup du destin.

§.730.

Ce désir de réalisation individuelle devient égoïste, personnelle simplement parce qu’il n’a pu être reliè en général intérêt. Et un jour cela sera fait.

[( Après l’égoïsme latent qui a été rencontré ces dernières années quoi qui se fasse maintenant ce fera sans moi ! )] . . . . . D.PF.

§.731.

C’est instant d’inconscience et de profond bonheur (par l’importance souvent caractérisé) était simplement ces moents où la force exultait mais d’une manière qu j’ignorais. La façon d’incarner mon énergie que les –        -que je ne faisais de ma personne m’avait lut, pas répertoriés.

§.732.

Se stabiliser c’est être toujours en communication comme avoir que l’on peut à tout moment arrêté et qe cela ne tient qu’à nous d’ arriver.

Que quelqu’un soit aux alentours ou que nous soyons vcomplètement isolé.

§.733.

L’image, les façons de celui qui m’avait importunée et que je connaissais si bien revenait suivant en moi, même si lui ne l’avais pas vu depuis des anées. Ainsi mon esprit me rapelait qu’un^être ne se détestait pas.

§.734.

On ne peut suivre la discussion d’un seul puisque c’est la décision de tous qui tiendrait compte de ce que l’on saît qu’il y a à continuer et préserver.

Mais le seul doit pouvoir continuer à suivre s voie un seul pouvait en déterrer les trésors en elle a receler.

§.735.

Mes dents en mauvais état car je pressais ma machoire oubliant que u bout des dents jusqu’au sommet du crâne et redescendant par le cereau cette force avai à se diffuser. Ou pour une autre idée pouvait s’engouffrer.

§.736.

Le poids de l’administration et propulsion on va tandis que l’individu devrait être appris à tou en s’occupant de la société, s’occuper de soi.

§.737.

L’ignorance, on sens un fragilité, regarde n sent ce qu’il se pesse et ne voit rien se dégrader tandis que la zone s’empire celle là justement qu’on ne regardait ou ne savait. Et ignore autrement le problème comme s’il n’était ou ne continuait.

Alor qu’admettre qu’on devait se bettre comme une fragilté était simplement comme cela à faire pour qu’elle puisse se résorber.

(Sans pour autant qu’onsache la localiser)

§.738.

Un monstre au sortir de nos glacées et prenait un berceau comme son garde-manger, rugissant de peine lorsqu’un homme (grandeur amuse-gueule) lui échappait.

§.739.

La répétition chez les gens des sujets de prédilections au phrases préférées. L’individu traçant sa tentative, signifie qui il est. Qu’est-ce que pour lui il en a été. Au même endroit tapait le soleil.

§.740.

La tache sur ses chveux car toujours sur la tête de son aïeul.

§.741.

Les instants confus, douloureux éaient ses instants ou bien que chacun de nous le savait souveran et seul comptant, revigorant, à la base de cett vie, plus personne ne croyait en cet instant aux merveilleux.

§.742.

Mes problèmes personnels d’intestins ne confèrent que jusqu’à dans ma hanche mes douleurs s’installant.

§.743.

Ces yeux reflétaient le roux éclatant qu’elle voyait lorsque le soleil drillait dans ses cheveux.

§.744.

Elle vomît un but de sa vie. Certainement avant – elle comparer alors son butavec etendue de l’absolu. Eût l’imprudence l’impudencede l’être pour cla qu’un but ne doit à de fin si l’on ne veut s’écouler avec lui. Car le but ne doit avoir les limites u soi car limite alors de ce qu’il ne savait du tout autre et de ce dot on est soi-même constitué, constituait ainsi que de même avec autrui.

§.745.

Le sorcier disait pouvoir tuer le démon en lu comme en toi. Ce bien, son accumuation, ce que tout le monde en honorerait comme étant la seule assurance des meilleurs ou plus mauvais jours.

§.746.

La fatigue est le meilleur moyen de se rendre compte qu’il y a autre chose qui est que ce que à quoi on est normallement affairé.

Limite verticale car infinité horizontale.

Limite horizontale car infinité verticale.

Humilité et exhaustivité.

Je ne suis jamais leseul a agir et agit tus ce que je fais.

§.747.

Ma seule loi était de penser jusqu’à tomber épuisé.

Ma seule loi que je pouvais suivre, qui pouvait me guider pour les accouchements et ceux qui ne s’étaitfait.

§.748.

Il n’y a rien d’intrinsèquement interressant à ce que dit un auteur sauf la posibilité qu’à le lecteur à se mettre au dedans et aussi revêtir, connaître un monde qui m’appartient pas à l’auteur mais simplement qu’une phrase détenant quelque chose qu pouvait être réfléchi, comprise alors vers un monde que celui qui y a éé sensible va amener va créer,ou plutôt va découvrir comme étant un boutde lui-même c’était ce qu’il a été plus quelque chose avec cela qui se sont associé et donc qui devient ce qu’il est ainsi que sur le monde ce qu’il sait.

§.749.

Il fallait moi m’arrêter de m’activer pour que d’autre puisse prendre le relai ou qu’un autre ou soi-même son ennemi arrêter.

§.750.

Les mondanités servent aux gens, aux couples aux famillesde se raconter une histoire, u semblant de choses à raconter. Parce que ces éléments là dans le cadre de soi-même est former un objectif, il ne peut trouver d’existence, s’ancrer.

§.751.

Le couple n’ayant besoin de se retrouver devant autre chose que ce que ce qu’il a sur terre à accomplir et non du parce que l’appréiation de l’autre, avoir à batir .

Et c’est ainsi que l’on c’est rencontré, alors que c’est tous les jours quel’on doit composer. La famille et ce que devrait être pour nous la société.

L’enfant pour lequel chaque jour on est levé. Parce que l’on peut, nous avons trouvé un moyenpour s’éduquer se parfaire, en même temps que de la conserver, elle procure.

§.752.
Je suis un animal particulier, et c’est parce que les gens savaient que mes exigeances étaient particularités que les uns m’évitaient et les autres m’affrontaient et le reste me suivait.

§.753.

Bien sûr ma femme voulaient apprendre à m’aimer mais cela impliquait le fait qu’elle veuille bien s’exerer à se quoi moi je n’étais.

§.754.

Et ce que j’avais réglé d’avec mon petit quotidien e façon de le respecter aisi en plus large question était converti.

§.755.

Et que n’étaient à personne les objets qu’à celui qui leur trouve une utilité et ainsi les rendent à leur destinées et le la sienne à ce dont il doit s’occuper.

De cette manière n’est pas très bon le temps ou ce qui sera suffisant à notre santé et activité sra à notre cerveau incorporé.

§.756

On n’était pas tendre avec lui parce qu’on le croyait plus dur.

On ne prenait pas de pincettes car on le croyait sur de son charme qui suivant nous désarmais.

Mais en fait toutes ces choses là n’était là que le emps pendant lequel elles opéraient. Après il redevenait un être comme tout le monde tandis que les autres entre adversité et admiration alors le confondait.

§.757.

Ma femme et me rendre compte que je nefus pas tout les jours acile à supporter.

Ma femme et que ma vie puissent entièremnt sans honte m’ennui sur elle se reposait, y compris les futlités. Celle que je détectais ainsi pour être et qu’après me tremblaitne m’importunaient plus jamais ou celle que je lui confiais comme étant un des éléments menant à d’autres, expirant dans quel état particulier elle me trouvait.

§.758.

Tout le poidsde son corps sur le mien ainsi pouvant se ressourcer.

« La Preuve. »

 

§.759.

Il ne regardait jamais l’objet car ses yeux au dela de son front en fait le fixait.

Et ainsi c’était comme cela et c’était lui que chacun des gestes qui se faisait.

§.760.

Les gens m’honoraienten inventant ma sévérité et évidemment ne connaissant pas la route que j’avais pour l’atteindre emprunté. Il se gourrait et moi je me vexais alors qu’eux réalisaient ou simplement chrchait qu’est-ce qui leur restait à découvrird’eux pour y arriver.

§.761.

La caractérisaion d’une réalité selon ce que le cerveau a perçu et quel outil, sous quelle forme va apparaître ce qu’il a décrypté.

§.762.

MA femme ser celle qui suivra de la même façon le but assigné et celui qui pour cela conduira tel un devoir de se former.

§.763.

Et puisque le même but on suivait et puisque nous nous construisons l’un l’autre et pour l’autre, il n’était même paspensable que quelqu’un d’autre puisse nous tenter.

L’un sans l’autre parce que de par ce but s’étant et se tenant tel une mère à son enfant encore et tout le temps à accoucher. Dans ces conditions là elle restait le symbole unique, le moyen de ma destinée.

§.764.

Elle avait sur les autres qu’elle me connaissait, et que j’aimais bien trop la vie pour avoir encore à devoir rouver avec quelqu’un les terrains d’entente qu’il fallait, et nous serions faite l’une pour l’autre tant que ces conditions l’une comme l’autre remplierait, et ces manies l’une et l’autre priait pour qu’elle puissent toujours plus lon s’enraciner. Puisque les mêmes et en la même division nous les faisions d’elles.

§.765.

Appuyer sortir, coller ou accompir sans mal ce qu’on croyait définitivement hors de portée.

La construction et les idées.

§.766.

Un passage en anglais comme d’habitudeje te le laisse en correction.

§.767.

Car croyait la bonté le servant et non servant la bonté.

§.768.

Mais est-ce certainement pour cela que d’un savoir (que puisse exister une réalité) l’esprit doit passer pour savoir comment est-ce qu’il peut lui même la réaliser.

§.769.
Il n’y avait de limite à l’accumulation des richesses car on pouvait se dire que deviendrait nos enfants après puisque loi dela société et de prendre ce que l’autreil faudrait.

§770.

J’étais voué à ce que j’avais déinit qu’il me fallait poursuivre et ainsi de lui-même se défiissait.

L’ayant choisi comme femme peu à peu selon ce qu’elle accepterait du partage de ma destinée.

Mais sachant cela d’elle je sentais agonisé à l’idée que me vie je ferais autrement que d’en retour lui narrer. Puisque moi seule etelle saît ce qu’il a fallu auparavant terrasser.

§.771.

Elle prte et tant qu’elle voudra continuer, la réalité de ce que furent mes souffrances et omment je m’en suis libéré etsans elle, sans cette reconnaissance que je lui dis éternelle, perce qu’lle est mon onguent et que perce qu’elle est aussi fidèle au but par lequel on a tout travers, la peu, la paix que je cherche e l’autre, je la recevrais d’elle.

§.772.

Elle me rappelle ce qu’à été ma vie, comme son absence me le rapelleraitde même si elle m’aait quitté ou me rappelerait constemmentn’avoir misérabilité si c’est moi qui n’était détourné de ce qu’il n’avait fait.

§.773.

Une bougie n’a toujours la lumière que d’une bougie, mèche qu’elle est, et pourtant elle peut oui uo non éclairer selon quelle soit seule ou pas source de lumière dans le secteurs ou elle est.

§.774.

Lorsqu’on voit le remue-ménage que la –    – de vue devenant translicide fait.

§.775.

LA –  – sur le passé à comme rôle d’éluder la question de ce qu’on a fait à propos d’une action sur ce qui est présentement entrain de se passer; de ce passé là que deman on ira juger encore de n’avoir essayer de le résoudre au moment ou on le pouvait.

§.776.
Quelque hose de dure à du se passer et nos crises revenaient tandis que surbodoré le calme automatique sans que je m’aperçoive même qu’il régnait.

Et de plus en plus les gens que j’avais connu venaient non plus occupé noe sens nous apparaissient en un éclair.

Comme pour me rappeler combien me vie avait avancé et m’invitait à continuer. Et de tempe en temp je savais toujours plus que enmoi aussi il habitait et que ma paix était la leur. Et que c’était la quête de la justice pour tous passant par le dévouement que chacun devait gagner ,truver que le repos de l’âme ainsi que son renouvellement constant était.

§.777.

c’était ell car le destin fit qu’elle voulut bien accueillir ma vie.

§.778.

Que c’est la seule chose qu’est à offrir à un individu à un autreindividu et que cel un ne peut promettre et promesse tenue qu’à un seul autre. Ce qu’on a alors déposé en lui restant entier et entièrement inspiré de cette unité.

Le trahir serait me damner.

§.779.

‘est chez mes gradsperents signe dans les conflits –                 – et les reconciliations avait été permises, que je m’y étais moi-même ttaché (comme tout le monde il y avait simplement tant de rancoeur encore comme incidemment prononcé, (il fallait que je ne perd de vue que je serais aussi ignoble si je n’avais pas le contrôle sur lr flux de mes paroles, et que comme tout autre étaient bien pitoyablele cours de mes préjugées postjugées.)

A coté de la photo de marié de mes parents.

Que me réveilait en pensant à ses signes d’amitié, ‘avant veille s’étant affiné que je sus que peut-être était-ce elle que me vie elle prendrait.

De toutes façon j’aurais troué que les autres coïncidences fortes.

§780.

Je tente d’arrêter la lune qui par son influence, sa présence me tente comme si je l’entendais regarde – moi, cherche moi ressens moi et je te raconterais qui je suis pour toi. Encore une foi, comme et à chaque fois.

§.781.

J’appris à ne plus (être une trouée mas seulement un rythme dans lequel l’angoisse du stress ou de l’inutilité, inexistence ou la culpabilité ne me rongeait.

§.782.

Je servais mes qualités d’ idées et en retour plénitude de l’esprit et entièreté de mes réactions me prodiguait.

Et ainsi comme m’attestait bien que cette attitude me comblait et à elle das marecherche pouvait totallement me refermer. Et de + en + la tenir car c’était l’indépendance que le culture de mon don me prodiguait et en échange le résultat de son action permettait.

§.783.

Il faut sciemment dévoiler ses impressions psychiques pour être écouté. Simplement comme attestant que l’on sait s’exrimer et que l’on exprime ce pui nous contraignant = efficacité .

J’ennui partout celui qui prd de son temps et  chacun lui donne la meilleure partie de lui et e crois qu’il n’en a pas c’est que j’ignore quel combat se déroule en lui.

§.784

Aussi cruelle qu’ele pourrait paraître si la conversation continuait avec elle le désir de communiquer.

§.785.

L’arrivée d’un bonheur faisait que je pouvais me rendre compte quelles conneries j’avais fait.

§.786.

Il suffisait d’un lien entre deus choses soient parun événement ou démonstration / établie pour que deux choses qui nous laissaient sans solutions tout à coup trouve leurs raison d’être et dévoielnt leur secrt aussi facilement qu’on plus qu’à d’écrire ce qu’on voit ce qu’elles sont d’ailleurs elles sont exactement non pas ce qu ‘eles sont réellement (toujurs devant rester du domaine de l’inconnu

§.787.

Mais justement exactement ce que l’on reconnais soit comme lisant deux phénomènes (en fait en rliant trois) car on ne pouvait ne pas se compter eux était ce qu’on percevait nous et l’autre.

Trois ce qu’on comprenait soi et d’autres interaction qu’on pouvait alors observer.

§.788.

Il me fallutsavoir me laver perce que mes épaules l’une l’autre puisse se soulager. Quarante centilitres pour se laver et chacune de mes mains enlevé soigneusementtout autour de mes aisselles le sueur qui y était déposé et ainsi que mes articulations de celle qui lavaient.

Pouvant se replacer.

§.789.

Je comprenais alors pourqui les vieux ne voulaient bouger de leur traditions car à se servir de l’eau comme personne n’en pouvait se donner le droit.

Au niveau du ridicule vous avez atteinds le submum !

Tout partait en l’air la santé de vos enfants, de nos parents et notre capacité à nous soigner de surcroît.

§.790.

J’insistais sur les traits de ma psychologie alors que ce n’était pas ces qualités là dont il fallait fare preuve? Acroire pour savoir ce quil en était des autres de moi, je mettais en échec ce que je voulais sur développer et affaiblissais ce qui pourtant était une force en moi, ais je ne me connaissais pas (ni le monde ni ce que j’aurais dû transcender, améliorer, découvrir de tout cela.)

§.791.

Fidélité et explorer tous ces blocages. A crainte en moins que seul la confiance peut délivrer.

Magnétisme et force délivrées, pouvant s’appliquer.

§.792.

Se comporter selon moi sans se faire diférer égal maintenant de sa force selon ce qu’onen sent (c’est à die apprend d’elle et aussi transmet) et non ce qu’on en voirait par nature trop restreint de ce qui est la croyance comme intermédiaire à ce qu’on sait et vers quoi l’on voudrait s’acheminer ou ce qui on pense que l’on est ce qui est stupide car seul bien le sent.

Croyance, prévision psychique clinique notion de vérité et connaissance exhaustive sr réalité ou capacité de délimiter un terrain.

§.793.

La balance l’équilibre ou bien la perçée de forces poids , tensions.

§.794.

Peut-être a t-on tropdemander à son esprit la teneur pour coupable. De tous lestrain ou s’est-il retrouvé avec des douleurs que ersonne ne souponnait et qu’ainsi s’est lui même considérés comme un cas spécifique de fragilité toujours est-il qu’ilignorait que tous les gestes qu’il faisait qu’ils soient fait explicitement ou non au vu ou pas , chacu de ces gestes étaient fait afin de nous porter et qu’il ne fallait qu’il n’en dout car ceci alors la fatiguait utilement le troublait.

§.795.

Il était probable en sport de se donner avec le minimum de calories comme cela on était plus dans l’effort raisonable à produire (= – fatigué, + contrôlé]et ce qu’était  encore plus inquiètant  c’est lorsqu’ayant trop mangé on ne se rend pas compte tant qu’en activité et à l’haine ou l’esprit doit se reposer alors le rythme conditionné redoublait son effet Et c’est alors qu’on sait qu’il nous faut reprendre des forces et qu’à ce moment l le coeur lui a été mis en position de dévoiler.

§.796.

Il suffisait que je recherche à ne me remettee d’aplomb. Articulations dans e sens de la marche ( dans mon cas il fallait que je garde le dos droit(et automatiquement s’installait la démarchela plus légère e performante qu’en moi à ce moment adéquat il y avait.

§.797.

Sinon par problème de sécurité il fut un temps ou les femmes furent enfermées ainsi qu’au dehors les hommes l’étaient car comme les esprits s’apercevront peu à peu que le progrès gagnait et qu’ainsi il serait aussi dans l’organisation de la société en passant par son choix de vie.

Ce fut un enfermement désepéré, juste par encore prêt naturellement à assumer un progrès dans es esprits d’ors et déjà fait.

NOTA :

Révolution et destruction comme  pour ralentir le processus !

Repérage de présence ; En fait je ne repre et m’appui sur la présence des uns et des autres, tels qu’ils soient la présence est alors à valeur entière d’appu.

§.798.

c’est sur eux et surtus que mon énergie prend sa source et atteind. Dans la même proportion ami ou ennemi. Dans chacun de nos gestes à but communicatif ou non.lorsque je vois celui qui avec lequel se prtage ou qu’il ne voit où que chacun ne puisse plus dans le sens  strict du champ physique et non mentale de perception..

§.799.

Je donne mon temps on essaye de le donner ai plus de sureté et partage c’est ainsi qu’aucun des esprits on ne peut me harceler lorsque j’y suis effectivement affairé.

Et chacun d’eux en fait de a force supperieure transformable en la matière que lhomme.

§.800.

Attention les gestes se touchaient et partout quelque chose qui n’allait pas.En fait ils n’étaient pas destinés mais pour quelles raisons obscures que seul lui sinon connaissaientnommément du moins ressentait ces gestes n’étaient destinées mais une force lui interdisait de communiquer avec moi.quel traumatisme ainsi se dissimulait. De quelle façon je pouvais les contrecarrer.

§.801.

Que chacun s’aligne et que le nouveau système par manque de moyen explique sa réussite moyenne et ne soit ainsi pas trop vite incriminé, peut prendre des génération.

§.802.

Je ne me considère pas comme quelqu’un d’honnête car comme tout un cnacun je sais ce que j’aurais pû faire comme plus valeureux, omme je sais que bien que de grandes idées m’ont portées cela m’a empêch qu’était lui tout petit ce monde que j’avais arpenté sans n’y avoir fait plus que dans lui exister.

Moi et ainsi colporter les idées qu’on avait au préalable insufflé.

Des baladins doté de leurs moyens de survivre voilà ce que chacun de nous avait à cacher.

§.803.

Il fallait pour que mon doigt écrive vite et souple et rythmé que l’autre doigt alors soit lui en état de réceptivité (évaluant certainnement la tension du braspar rapport au but qu’il avait d’une écriture précise et rapide soit traçé et cela avait pour conséquence que le rythme il suivait sans avoir notre énergie, mais ayant comme activité de renseigner le moteur d’énergie et ainsi étant le récepteur susceptible d’indiquer à  l’émeteur ce qu’on attendait de lui.

J’insiste sur cette apparence trompeuse de possibilité.

§.804.

S’occuper de sa bonne conscience. C’est assurer ce qu’on a etrepris, plus cela fait continuer à s’occuper de ce que l’on peut régler. Asdsurr ce qu’on a entrepris c’est l’assurance d’affier ses futures prises de responsabilités.

De choisir moyen après moyen de pouvoir doser et composer afin d’arriver plus directement au but ou de savoir dans quelles mesure et façon on sera nous même le plus à même d’y arriver (performance et plaisir conjugués.)

§.805.

Elle recommençait désespérément le même geste puisque celui-ci l’avait soulagé. Mais c’était la façon dont elle l’avait fait et celle-ci restant unique à jamais. Et tout le temps il fallait renouveler. Et ainsi c’était la recherche du bien être qui pourrait qui l’obligeait à aller toujours plus loin guérir ce qui lui manquait de connassance et de pouvoir sur le monde qui l’entourait par rapport à celui qu’il entourait.

Achaque fois je me dis qu’il n’est pas possible que se fasse une connerie, une erreur de jugement puisque moi même j’ignorai qui j’étais  et ce par quoi j’étais influencé ou le plus sensément ce vers quoi je devais me rapprocher.

Mes erreurs venaient que de mon être en fait je n’avais idée.

§.806.

L’art, et la raison de mon existence me porte autant que je lui permet de se reposer ou de s’affirmer en moi.

Et à ce moment là je n’ai pas de regard extérieur, je sui ce qu’elle est et elle me récèlent ce qu’elle pet faire de moi. Mais cela toujours après qu’elle m’est transporté je m’en aperçois.

Et je lui cours sans cesse après car si je la trouve pour que justement je n’ai plu à porter ce moi grinçant et qu’elle me transporte en des terrains dont je n’ai pas la clef, mais deces voyages, je reviens lavé pour tout de suite me rendre compte que de la servir je ne dois cesser, ou alors mourir. Cest la douleur qui m’envahit de n’avoir pu l’accompagner. Mais mourir Pui après recommencer voilà ce qu’on a pu à elle s’offrir comme seul et suffisant secret nous a donné.

§.807.

Je ne connais pas de défaut de responsabilités que je dois mener et trouver.

Droit et devoir.

§.808.

Je mangeais toujours deux fois trop mais par exemple j’avais pris l’habitude de serrer les fesses afin de purger un peu de surplus sans doute, mais alors quand je mangeais ce qu’il fallait rien que de ne plus à avoir contracté cetta partie du corps (soi continuait par habitude ou deéconcentré pour ne plus la sentir ou ne plus en ressentir les effets.

§.809.

«  Moi pour lutter contre la pauvreté je ferais n’impote quoi.

– Bien, tu ne fais rien ?

Et bé ! Voilà ! ( La pauvreté ! De qui  ? La tienne ou celle des autres ? [Idem ces artistes, personnes en vogue, sportifs de renom qui lancent des appels à la générosité, des autres, combien de ces, richissimes pour certains, s’impliquent de façon réelle financièrement dans le sujet :

– Faites ce que je dis mais ne faites pas – –  –   –    –     –       – ! ] ).

§.810.

Nous y voilà :

Et pourquoi que je ferais moi et l’autre pas.

Parce que l’autre n’a pas trouvé où, quoi et comment faire c’est pour cela qu’il ne le fait pas. ( Et ça l’arrange bien !).

Il faut attendre que cela puisse être entrepris par tout le monde et alors tout le monde le défendra.

{ ( [Tout le monde ? Les pauvres, voir, indigents, luttant contre la pauvreté des riches, cela existe depuis la nuit des temps ! ) ] }.

§.811.

Simplement celui qui gère cela va s’attacher à la banque si c’est le seul moyen pour lui de sa capacité pouvoir satisfaire.

§.812.

L’organisation changera car chaque découverte qu’om fat de soi est la découverte du monde et qui va apparaître que sans l’épanouissement il marquera dans la mesure où l’environnement nous permet à nous même de nous épanouir et qu’alors on soit en position d’aider autrui. Et vient chez nous ne sert d’appui ce que l’on a = si je ne le maintiens pas connecté au monde il périra !

§.813.

Chercher à ne pas moduler sa réaction et simplement prévenir l’autre qu’on est géné par quelque chose, ce qui permet à cette situation e ne pas devoir en bouger.

§.814.

Se succède ainsi d’infini façon de stailiser notre état de tension et quoi qu’il se passe personne n’en ai à l’origine du beinfait ou méfait. Car c’est la manifestation d’une incompréhension sur le système général et d’une destruction tant qu’un élément extéreur ne remet pas en cause l’insuffisance dans ce que l’on connaît et ne fasse de cet élément n élément à assembler.

§.815.

La vie comme don.

La quête comme moi.

Ce n’estpas des idées.

J’ai connu les mots dont toute la littérature se sert et ceux des réalités moins officialisées. Le mot en lui même contient ce qu’elle est. L’idée estsimplement la façon d’expliquer quel impact à sur moi, sur mes conditions le concept, le principe actif qu’est une définition, le pouvoir du mot qu’il a de pouvoir faire d’une abstraction quelque chose qu’on peut placer e observer tel un objet.

L’homm marque des limites à cet effet, ainsi sa démarche intellectuelle n’a plus qu’à écrire ce qui se passe ente deux choses pré-défini.

Car si tout esprit à la clef de la vérité infinie.

Si code commu pas une chose en commun n’est permise.

( = Condition d’existence, et progrès.)

D’écrire !

L’homme est un animal qui décrit.

Script et attitude : Démarche.

§.816

Je suis jeune mais c’est parce que chaque journée est une pesée que je sais qu pas plus longue qu’une pesée plus généralisée sera ma vie entière.

§.817

Mon allant était de savoir qu’elle aurait sur son corps, un corpsqui du matin au soir et même si elle jetait un coup d’oeil sur mes rêves lorsque je dors, qu’elle aurait contre elle un esprit tout à elle, fort doux et tandis que d’autre sortent je m’effondre d’épuisement encore et encore mais qu’elle pût quand même me recueillir en ces moments là, lui fallait le peu ou l’énorme énergie qui se manifestait alors.

Toute l’énergie ou toute agissante (ou toute concentrée) ou une partie veillant à ce que l’autre fussent bien utilisé.

Le lendemain toute la ive en moi se dressait.

§.818.

Plus cela va et plus je m’hatitue à mes écrits et donc trouver une autre manièr de les alimenter car ils sont en fait le signe pour moi que je dépeins.

Tant que je ne trouve pas quelque chose d’intéressant à mes yeux à donner en pature à ce comment se débrouille mon être à se manifester (mon tabou).

L’écrit ce que je sais faire et ou ma ligne de progrès s’inscrit.

Ma référence, mon thermomètre, la barre du bateau.

La façon de ne predre en compte comme quelque chose à gérer moi aussi au lieu de me méprendre ou de m’énivrer (AH ! Ça je connais ! Et un peu mieux que cela mon neveu ! ) Toutsimplement à peser ou mêm à me douter que je suis par rapport à une activité issue d’une différence.

§.819.

J’expique tout par l’activité car le non but comme le but déterminé mêne à la folie  = se sentir en vie mais plus rattaché  à celle-ci, celle que l’on peut communiquer à l’autre.

Alors qu’il suffit de vivrepour que l’autre puisse comprendre ce qu’il en est mais on prenp cela quand on perd de vu que nous amène toujours plus loin que ce que l’on poursuit et que l’autre ne dessine pas de limite qu’il n’y a qu’une c’est l’infini et que jusque là c’est la communication à l’autre, (L’existence que l’on construit.)

Pour cela il faut pouvoir que moi comme toi puisse garderau loin cette poursuite. Et cela se peut si on – – à ne pas s’entre-tuer entre deux terres promises au moment où come toujours on cne sait pas comment y aller et qu’on a pas assez ntassé d’élément pour y être par l’esprit transporté.

L’esprit sans âme par la duleur et l’impuissance qui fait qu’il peut tolérer les plus grandes injustices comme les perspectives sans s’apercevoir de ce qu’il faut.

La vie même dans son corps ayant en fait cesser d’y circuler. L’individu est alors comme non plus un et conscient partout en tout mais aux abois et en lui-même brisé.

Un voeur arabe dit non monsieur ce n’est pas moi mais ma main qui a volé et en fait ce n’est même plus sa main qui a ce moment là l’a fait.

Il ne saît plus. Comme quelque chose capable d’allier son paradis à l’infini trouver.

§.820.

Je continue d’écrire comme le seul moyen que j’ai trouvé à mon propre dépaysement.

C’est le seul moyen pour moi de régler, dans mon esprit du moins, les problèmes que j’ai rencontré.

A la fin du monde je ne pouvais rien et quoi que je fis il allait que j’admette avant toutes choses que je n’étais qu’écrivain et citoyen.

Ma limite contre l’injustice était celle de tout le monde je devais me contenter de ce que je savais faire.

Dans mon cas raconter et encore raconter comme cela aurait pû être construire maisons sur maisons, pavé après pavé.

§.821.

Les éclairs d’intelligence sont des perçées, puis après la perçée on redescend = prise en compte, conscience d’un monde vaste et alors il faut accepter que l’on ne contrôle rien de plus sinon sans admettre cela on deient stupide.

La compréhension humaine en est un fait.

§.822.

Quand notre esprit est transporté par une matière qu’il  a pu au préalable même travailler et que ne l’ayant plus à la porté on le voit alors opérer et donc de cette observation une idée, un système va se dégager.

§.823.

Le pouvoir est opposé (force de persuasion), on est porté pour une réflexion déjà faite qui va faire que tout notre être sa force va faire circuler le but à etteindre étant repoussé ainsi que tout notre être en énergie s’est matérialisée (à ce moment là nous n’aurons aucune idée de ce qu’une énergie est.

C’est à dire ne nous ressentant plus comme être, puique la sensation en la réflexion (dans son élaboration et non dans son accomplissement) se veut compartimentée.

§.824.

Elle faisait craquer son doigt non pas parce que son articulation le ressentait ainsi, bien au contraire, mais à la hauteur de la cavité le long de son pouce

qu’elle sentait se creuser. La douleur ou l’incompréhension est en fait une distécation que l’être se permet de faire sur lui.

Sans avoir à tuer, pouvoir devoner les lacunes et ainsi des contre-effets et manière d’y contrer, penser.

§.825.

Elle n’avait rien entre eux sa patience était bien trop armée pour cela?

Mais son épouse pas à tord y avait mis le hola et pour lui c’est-elle qui comptait. Il ne détestait pas les autres.

Celui-ci le protégeait qui l’aime qui le doit, le soigne et l’aide, un être n’oublie pas.

§.826.

Il attendait un bisou, quand empressé à se battre.

Eux avaient baissés leur garde, quand lui était près à tuer. La vie s’était apprendre à se battre comme à saigner plus l’un et à l’autre et souvent maladroitement les uns contre les autres l’on s’apprenait) (aussi maladroitement que le terrain était accidenté ).

§.827.

Sur une page je dois changer trois fois de crayon, que d’aventures et péripéties, peut-être est-ce néanmoins la tendance automatique vers le danger que toute structure, organisation, comme activité) veut comjurer. Le point d’ancrage aussi inconséquent soit-il a pour propriété première de tout –      – à relié puisque si on a tous un point de tir nous sommes tous sans point de mire. Peut se déjouer.

§.828.

La mort de ce qui ne se meût.

La terreur, l’incontrôl de ce qui se met à se transformer. La réussite fortuite, parce que élément ou les éléments semble plus apte à se constituer, à s’asembler, illusoire car pour qu’il s’assemble il faut d’abord qu’ils soient tels des élections libre / l’énergie en l’-      -) télescopage jusqu’à être on ne saît où et comment se stabiliser.

§.829.

Ma femme est associée.

C’est Là la déclaration d’amour qu’à chacune de mes pensées ainsi lui est fait.

§.830.

L’abence de mondanité présuppose un but qui non plus ne réside dans le regard de l’autre mais le regard des deux vers un objectif.

Et ainsi devient instentanément plus agissant directement sur ce qui s’élabore l’énergie dépensé.

L’être sans devoir s’interrompre à regarder si son voisin ne veut ou na lui-même peur d’être tué ou déclassé. Les être assurant une même égalité et chacun à leur but complémentaire et identique aspiré, seront des êtres capables de s’envoler.

§.831.

L’activité ou l’oisiveté ou l’inéficacité car ne sachant pas faire que son énergie puisse s’appliquer sans délai.

Le déchaînement des énergies le supermatinal comme l’anglais dit-on ou le merveilleux car on a le temps de voir un système bouger car appel d’air pour la constance fait que plus longtemps une même attraction en un même lieu se peut.

§.832.

Si la structure n’a aucun espoir de dire où l’on est, elle a la fonction de savoir où est-ce que l’on va retomber.

Le noeud d’attache à la cordée;

§.833.

L’effort.

Connaître ce qu’on peut porter. L’augmenter ou plus loin  le porter ou trouver comment ne pas s’en embarrasser.

Effort et le tournis qui irrigue l’inconnue mais que l’on va arrêter afin qu’il en irrigue le plus sans nous faire vaciller = un nouvel équilibre de penser l’on peut s’arrêter avant d’en tomber.

§.834.

L’écriture m’accompagne car en dehors de ce que je sais faire, je me sens littéralement comme bouffé.

J’eus du mal à écraser l’arraîgnée et pourtant longtemps accroché à ma main sans me piquer. Sans doute avait-elle jugé qu’elle essayerait de tuer au moindre signe de danger (même incertain) dans la prochaine vie ou elle irait.

§.835.

S’investir dans quelque chose c’es posséder la même puissance pour éviter d’être pris en son piège après.

Je suis serviable mais est doté de la même ferveur  à me dépétrer des coins où je n’aurais dû aller.

Je me suis toujours ima giné devoir affronté la mort de ma mère seule.

Ma femme est ma mère voilà comment le destin peut se niquer.

§.836.

Elle ne m’engueulait pas pour cette fois mais avait depuis longtemps ce qui n’était pas expliqué ou pas ça précisément mais tellement de malaise elle avait avant ravallé ou bien même réglé et ce fut là qu’elle me le dit et moi m’en tenant au présent, incapable de penser plus loin, ou plus vrai ou de penser au moment où je la prenais pour une abrutie ne devrait lui faire supporter ma désinvolture, ces moments ou je faisais semblant comme tout était normal alors que passait le malaise sur moi aussi,ou alors comme si j’étais le seul à lutter alors que tout le monde dans le même bateau. J’étais un abruti.

§.837.

Ne pas céder aux fantasmes à l’impatience.

Ils sont les conséquences d’un manque contracté.

Et plus on est aride, plus l’on s’aveugle qu’en avoir rectifié les défauts qu’on essaye aussi de dissimuler

Spéculant su le futur de n’avoir su s’assoir sur ce que l’on doit mpérativement stabiliser avant toute propulsion pertinente et efficiente et par la suite à peaufiner.

Résultat de quelque chose qu’on peut retravailler, la préparation comme assurant aux résultat de devenir une source de données plutôt qu’un qu’un cratère nous tenant contraint et forçé.

§.838.

Je me donnais bonne coscience car ne pas pratiquer du moins me calmait et serein au moins à ma fleme sinon le bonheur je pouvais faire de ne pas troubler sa propre recherche de la sérénité.

§.839.

Il restait bien nerveux sur cette position douloureuse car il devait finir ceci et les autres positions seraient encore plus affreuse. La résistence heureuse car seule issue, le mental se soulageant alors trouvant des moyens pouvant se soigner de tout. Nous pouvons nous permettre tous les plaisirs et nous donner sans une ombre de retenue ou relativité. Car c’était ma femme et qu’elle devait en fait détenir et jouir de chaque parcelle que j’étais.

Il fallait qu’elle me comprenne comme moi je me comprennais car sur cela toute ma vie allait se penser. Car par sa bouche toute les femmes de la terre m’ont embrassées.

§.940.
Je me maudissait-          – qu’aille droit l’axe sur lequel maintenant mon énergie sortait faisant mon corps en érection le va et vient préposant, palpant ce qu’il en avait à secrété.

Un axe temps, le même où elle savait me retrouver.

§.941.

La faire jouïr et le savoir à la façon dont m’entrouvait ses bras.

M’enveloppant ainsi du plus convoité des résutats.

L’ambivalance des actions, l’unicité de l’état.

§.942.

Je me cachais tellement on exibait ce que je n’escomptait plus.

Autant que ce que j’en découvris sur moi.

§.943.

J’étais provocatrice et ouverte sur le sexe en tant que je l’avais fait et le tenait caché ou sû le partager.

Il était à la fois mon bijou et représentait ce qu’il y avait en moi de bête incontrôlé.

Puisque siège des sensorialités et la réflexion qui dans chcun de nous se tenait résumé en son plus simple appareil.

Se perpétuer, procréer (et n’importe comment avaitété notre malheur constant.) autant que la préoccupation  de se développement devant le rester.

§.944.

Le moindre coup de cil était un appel dénergie sinon capable, en tout cas le signe incontesté que tout était transformé. La jouissance, l’utilsation limite de l’énergie était le moyen de se rendre compte de ce qu’il en était.

On a toujours l’impression de s’arrêter juste avant de ce que l’on aurait pû. Je crois que l’esprit détermine ainsi le but que pour le prochain coup il se sera fixé.C ‘est ainsi que l’on doit travailler dans l’effort et non le relacher.

Seulement la jouissance exige d’être entretenue et ainsi d’elle-même –                  –  se doser un panet d’actualité pouvant donner à l’esprit une sans-casse moyen de se rafermir et développer.

§.945.

L’art est décrire son être. Et le but de la députation est de parler de quelque chose de clair. Justification devançant ce que mon – – contient de minable.

§.946.

Je vis marginale, écrivant tout en brouillon, le pape allant remettre à après toute ma sociale et activité de vie.

Verifiable est mon écrit ou banal puisque cette bigamie devient son système, système qui de ses lacunes justifient.

§.947.

Page 944.

Je suis vulnérable tant qu’il n’est pas à l’abri alors que c’est justement son existence qui se balade à longueur de journée en ma compagnie.

§.948.

l’homo. (il y avait longtemps ! ) Toujours la même. 200.000.fois que je vois les mêmes chiffres s’afficher ou sur le cercle de l’horloge ainsi rayonner.

Et tous les jours la même heure annonçée.

C’est comme le décompte d’une bombe maintenant que je la vois s’écouler.

§.949.

Les pompes commençaient par me tirer aux épaules me faisant croire qu’elles seules travaillaient (dorsaux, abdos, et fessiers ) andis que peu à peu tous les muscles du dos, de la colonne se dessinait.

N.B.J : En cas de besoin d’une prison en grimpant pouvoir m’évader.

Vu au actualité.

§.950.

Comme un acteur qui communique son jeu aux spectateurs plutôt qu’à l’acteur en face. De ce que le jeu des spectateurs il suppose à ce que le jeu du spectateurs il suppose à ce moment être.

Tout comme à la place du spectateur pourrait se trouver quelqu’un agissant d’une toute autre façon, personne, un éléphant rose.

De toute façon l’énergie en toute ses formes, à tous les endroits est supposée être.

§.951.

Le but que l’on suit dans la vie doit-être compte tenant individuable compté sur sa propre individuabilité créatrice de l’action sinon on est l’oeuvre des autres et plagia qui s’en suit.

Et l’usure de soi-même.

FIN DE DOC 28

computerised extra Doc 27

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Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

Doc 27.

 

Doc ouverte le 10 Avril 2006.

 

Pagination remise en ordre de 209 à 345.

Attention :

§.1.

Il pouvait devenir fou s’il était disputé. Il considérait chacun de nous comme ses parents de cela il gardait le secret.

§.2. Enc.

Je pouvais penser à quelque chose et sa sensation qui s’enchaînait. J’étais alors protégée, et c’est ce que la pensée recherchait, provoquer quelque chose chez moi, l’autre en prenant ce qu’il en voulait.

Mais pas du tout, il faut croire que la pensée révèle quelque chose de vrai, elle est seulement là pour m’abreuver.

Mélanger les éléments, les relier.

Me sentir.

§.3.

Le progrès n’est possiblle que si l’on a un objectif tout le temps (et  assez fort pour que tous nos états d’âmes puissent se dire oui mais –  –  –

Car face aux progrès tout alors change de perspective, tout est décuplé, on trouve à continuer.

Alors là l’intérêt d’avoir une chose comode à faire avancer sinon sentiment que cela amène trop violent (ou plus que tous rappel tout ce pour, par, quoi on a avancé.

Bien que même si on n’arrête un progrès et avoir réglé ce qu’il n’est plus à considérer.

§.4.

Tout aimer en une chose serait nier qu’elle a tel besoin d’évoluer, que notre regard est en train de lui apporter, qu’à toutes les choses elle est reliée.

§.5.

Les termes.

Trop habitué qu’après un essai la vie s’arrête. Pas de projet commun ou pas de possibilité à s’essayer à ce que par quoi précisément on est fasciné et ces 100000 manières d’y accéder.

§.6.

Quand mon corps marche avec juste ce qu’il lui faut pour manger alors devient explosive la tasse de café et j’avale littéralement tout le boulot que je fais alimentation 100/100.

§.7.

Il fallaitque je règle le poblème il aurait été contre productif d’y perdre la santé.

§.8.

Je savais qu’on ne pouvait contraindre les gens, un refus était dû à l’inadaptation de leurs ressources avec ce qui était proposé. Je ne pouvais plus m’en tenir qu’à mon travail et réflexion.

Ma crise d’enchanté était passé.

§.9.

« Mais à part les auvergnats toutes les races sont de la merde »

§.10.

NON Non moi j’ai dit moi m’sieur. Franchement moi je vous admire.

§.11.

J’auras pû pleurer d’être comme les autres au mot. Les hommes ne sont fait que pour passer.

Je ne dois rien de mieux que je puisse, que je suis en train de transporter.

§.12.

Le transport, condition irréductible de l’être à la recherche d’assembler, et d’avancer.

Où ? Vers où nul n’arrivera jamais ! (excepté le temps)

Lui répondre la satisfaire.

§.13.

Je suis rentré dans les sentiments des gens et tout n’est qu’amour et sa sensation de perte en désolement.

§.14.

Il refusait de faire cet exercice, une manière de s’éloigner du handicap qu’il couvait. seulement le handicap était la seule manière de pouvoir ses autres appuis

§.15.

Et mes muqueuses lavait abondamment comme étant la seule chose qui devait être savonné quotidiennement. Mon sexe en avant.

§.16.

La dimension effective car représente notre rapport au monde, chaque personne rencontré.

§.17.

Il faut le faire ni par soi ni par l’autre mais bien pour l’idée. Si c’est par elle que l’on se battait alors tous les chemins étaient ouverts et tous à chacun. L’énergie de tous pouvait s’y poser enfin.

§.18.

Elle était femme à sa manière comme chaque femme inventait sa féminité tous les matins, tout autant que dans chaque geste féminité avec virilité tout le temps vivait.

§.19.

Contrôle de la sexualité car pas autre chose autrefois que de se connaître Hétéro –       -. et femme et homme séparés et menace de mort sur homosexualité. Maitient de l’ordre abus sexuel (permet aux gens de se regrouper pour travailler.)

§.20.

Tu l’as regardé tout le temps ne lui laissant pas l’opportunité de te regarder toi.

§.21.

Moi qui t’ai tant aimé, maintenant que je sais, je suis assez sensible pour savoir que sucre rime avec monde énergétique que mon organisme ne peut réguler. Du même coup je le détestais plutôt

je n’avais même plus à lui résister par la même force que l’inconnu qu’il précédemment constituait.

M’avait tenu en pleine forme.

Qu’allait-il m’apporter ? Etait-il aussi sauvagement attractif, que ce qu’il exerçait sur ma volonté. La réponse à cela va t’élever.

§.22.

Les maladies, les crises d’ailleurs était la source d’alarme du tu crois qu’une chose est cela dur comme fer, mais attention tes habitudes doivent changer.

§.23.

Jeu de respiration, corps absorbé par celle qu’on retient. Esprit s’exprimant. Puis esprit volontaire qui vient car ils font centrale. Maintient en contraction constante le corps comme référence.

Attention à ne pas s’asphyxier.

Quand je cesse de penser à la tension qui pèse alors dans les airs, elle disparait et alors une plus large pensée peut alors rassembler.

§.24.

C’était toute la tension qui était sur une personne que je lui, ou essayait de lui signifier.

L’opinion personnelle, le jugement de valeur n’était que moyen de donner –        – à l’énergie problématique.

§.25.

Avec toi je serais heureux chéri, rime de toi je ferais ce que je veux.

§.26.

Mon adolescence avait permis de me dire vas-y toi donne moi l’affectivité, tu as un coeur de pierre alors tu pourras la résistance sonder te ramasser à chaque fois jusqu’au jour de te rendre compte de la poursuite imaginaire de quelque chose qui ne te fut jamais enlevé. Qu’on ne peut rien réparer avec elle, qu’on a rien d’esquinter. Puisque dans chaque être elle est là et ne peut s’enlever, lui sert à relier les éléments entre eux faute de viable et raccordable à tous de tout projet.

§.27.

La juste mesure de ma bouffe et activité. Je sentais mon corps à toutes les étapes jusqu’à ce que sereine lavée de toutes choses à terminer il me demandait de pouvoir se reposer.

§.28.

Je me contrôlais complètement car je savais que les gens n’étaient pas ce qu’il voulait faire croire et que chacun pouvait être en fait un héros et un enfoiré.

Je me controlais complètement aussi moi. Mais je ne regardais et souriais de voir comme il était normal que mes réactions ne veuillent rien dire.

Je m’observais –    –        -Je prenais conscience de moi-même qui est en fait içi un abus de comment cela appeler, je découvrais simplement quelle réacion pouvait justement (n’importe laquelle) faire que je puisse continuer à me distancer = ne plus être l’instrument de ma pensée mais son objectif cercle fermé. Pacifié. Sans fuite d’énergie.

§.29.

Il fallait logiquement se méfier des airs de refus, c’étaient des essais à ne pas se retrouver devant la violence de l’avoir accepté.

§.30.

On apprend des ruses des systèmes.

Et à chaque choses nouvelles. Les autres nous les rangeons dans les catégories blêmes.

§.31.

On s’accroche aux choses autant qu’on a envie de tout foutre en l’air.

Et paraît détaché autant qu’on dépend d’elles.

Le passage, je ne veux plus entendre parler de ces gens là.

§.32.

J’abandonnais mes idées non pas qu’elles soient mauvaises, mais j’allais mettre trop de temps à les démontrer.

Ce n’était qu’une préparation d’examen m’apprenant d’autres manières.

Ce qui ne serait pas de trop quand mes propres idées j’aurais à développer.

Mais pour l’instant il me fallait les archiver ce qui revenait présentement en ce qui concernait ces exos à les balancer.

§.33.

Ce que j’ai perdu ou a perdre pas grave je le donnerais dix fois pour ne plus me faire emmerder, pour ne plus m’illusionner, perdre mon temps.

§.34.

Avoir conscience que si soit même on s’observe, se sent  être demandé.

Demander donc donner l’exemple. Agir, poser.

On parle d’exemple. Simplement être le point se sentir en état de communication.

§.35.

Je cherche dans ces phrases lourdes ce qui est derrière.

Car la lourdeur est simplement ce qui a perdu son sens être sensé mais ne convoyant plus.

§.36.

Quand je ne sais plus quoi faire c’est quand ma conscience gère quelque chose que mon conscient est alors à cent et une lieues d’imaginer.

§.37.

Deux symbolismes pas communément rattachés. ce que les poêtes ont comme idées.

Il me faut l’amour, il me faut la force, le combat des vies.

(dévie – glissement malheureux)

§.38.

Je mange trop. Mon rythme activé alors que mes neurones eux me demandent le repos, leur dose d’activité groupée étant dépassée.

§.39.

La pensée, la confusion on sait est signe que signe que l’énergie va éclater ou qu’elle est en train de se reconstituer. Soit on part soit signe d’attente le fait passer.

§.40.

Le dévouement à un idéal de vie permet la dialogue. La complicité à soi.

§.41.

J’avais une telle idée d’elle – même c’est ainsi que je réagissais véhémentement dès qu’elle perdait confiance, entièreté, fluidité.

§.42. Enc initiative Dany.

J’écrase les cafards, innondation, rafale et tremblement de terre.

§.43.

Trouble et malaise venant qu’on avait une autre idée de ce qu’on pouvait apporter à l’ensemble continuer sans elle, s’était se déchirer.

§.44.

Une détonation dans la tête se formait, du reste ressentie.

Quand son noeud grossit un peu plus, y mettre fin.

§.45.

Je bouffais comme un triple chien. La nourriture pour moi la richesse, l’abri du besoin.

§.46.

Sa gentillesse faisait peur car l’on savait qu’elle se ferait piller si ainsi par elle-même elle se laissait faire. L’enterrement était le rassemblement des personnes, de toute personne concerné de son vivant. Je ne m’y rendais pas.

§.47.

J’aurais bien voulu être une fille (se dit-elle) entre indélini et définition abrutie, abusive.

§.48.

Les poignées de mes sacs dans mes mains recourbée mais pas sur mes doits plus à peser.

§.49.

Quand les cours les élèves pourraient se faire face.

§.50.

L’humilité est la preuve qu’à toute limites vision est raccordé.

Vision c’est savoir tout un chacun gardien de l’entièreté.

§.51.

J’étais révolté par ne pouvoir hurler les injustices.

Et il me fallait apprendre encore et encore pour pouvoir m’organiser.

Ma rage, mon énergie passait dans mon impuisance.

Mon temps à la relativiser.

§.52.

Oui il paraît qu’il y a ceci ou cela. Va voir, rentre dans la première des putains de maisons sur la route et constate la pauvreté. Réalise les jugements que l’on profère et ce qu’on est en train de se laisser se dégrader.

§.53.

Le rassemblement du loisir même oisif est une chance donné au gens de reconnaître leur –    – à défaut d’être donné par la recherche de choix et le but commun. Force, indépendance, créativité de l’individu et le groupe comme absolu et l’asbolu comme seul guide assuré.

§.54.

Agressivité, ne pas être reconnu comme objet pensant et choisissant de sexualité.

§.55.

Bien sur la gentillesse comme tout sait faire. Arme est désarmante.

§.56.

Le monde à le génie que chacun lui connaît.

§.57.

La convention d’une relation, c’est ce que cette rencontre apporté sera pour moi comme pour toi l’inconnu et son expression.

§.58.

C’est la même chose qui se pasait quand au travers des yeux de l’autre je me regardais. C’était l’origine du trac, de la confusion, mon esprit c’est face à lui même, (l’autre = l’indomptable ou celui qui me domptait) élément de comparaison distanciation qui me permettait de tout soupeser de sur moi-même (non perception et ma raison de m’appuyer.)

§.59.

Séparation sexuelle et,

Séparation incestuelle

§.60.

L’insulte, la menace était une manière de prendre les gens à partie histoire de multiplier les sources d’attention et de faire perdre la tête à l’ennemi. Se mettre face à l’idée, aux autres, à lui, à toi. La même chose j’ai dit.

§.61.

Se résigner, régresser c’est de ne penser à son utilité d’une carrière.

Si je n’ai pas ça ou à artir du moment ou je l’aurais.

Tout va s’arrêter.

§.62.

Les gens n’avaient pas l’art, les infos,-  –  – , –   –   –   – , –   –   –   – ,avant pour supporter ce qu’ils étaient. Dopé de religion ou de ravail et c’est ainsi qu’on y arrivait.

§.63.

Je pensais ce que l’autre pensait.

Je pensais ce que je pensais de l’autre.

Je pensais ce que de lui, de moi, d’un tiers.

Je pensais tout penser aussi se créer et à toute naissance pouvait donner. J’avais l’impression de perdre ma vue à manger sucréperdre de vue que pour tout jusqu’au bout l’énergie il me fallait préserver.

§.64.

Un bien permet un –  –    – .

§.65.

A l’époque ou il n’y avait rien pour relativiser que toutce qui se passait était comme une sentence de voilà ce que tu es, voilà ce que le monde est.

§.66.

Quand on a juste ce qu’il faut on pense à sa vie? Le superflu affaiblit.

§.67.

Trop manger c’est l’énergie, mon attention qui arrête de circuler.

Pas besoin de se projeter dans un ailleurs pour faire comme si l’énergie nous servait.

§.68.

Être l’objet de transformation. Existence et y croire dépends de ce vers quoi notre propre dynamique rencontre la dynamique d’autrui.

De l’autre.

De ce qui nous entraînera.

Plus loin de grâce.

Plus loin ne me laissez pas.

§.69.

Principe d’une société donner une activité professionnelle. Source de satisfation réalisation personnelle et retransmet à la mesure du groupe entier. (Là je te retrouve dan tes capacités et intelligence mon Bijou d’amour.)

Problème ne pas avoir à trouver.

Alors les gens se permettent d’avoir des objets d’observations puisque c’est la seule matière restante à portée.

Une société dont peut protéger chacun de ses membres de telle sorte qu’il puisse avoir la gueule et les façons qu’il arrive à féconder sans que personne ne puisse vouloir l’interpréter à sa manière et de cette façon là. La relation à l’énergie qu’on les gens de pouvoir emprisonner (pour sourire sans se faire traiter de pute, évidemment  je suis traversée par la colère je ne demande à personne de s’en occuper. Je n’ai pas encore trouvé le moyen de chevaucher pour qu’elle ne puisse plus me rattraper (Tous le temps me portant à continuer) la société se stabilise, établit bien que dans sa structure totalement déséquilibrée des rapports cordiaux visaient à ne pas être disqualifiés parce qu’on nous nomme personalité. Être reconnu comme qui règle les problèmes à son rythme (puisqu’à chacun une tache inconnue du reste est incombée.) et communication respect et confiance en tout cas en vie que puisse le permettre ce qui est installe. Communication et plus juste instalation de ce qui peut-être mis en commun, en relation.

§.70.

Là tu reprends dans les sottises !

Dresse ton sexe. Séduction et peur. Sexualité. Principe actif. qualité première, référence.

Et terreur.

§.71.

Course et « plus léger sur les genoux ».

Course et transport du poids dompté.

Peur de l’enfant.

Coercision physique.

Le jeune qui si on ne tente de l’handicaper bientôt nous exploitera.

§.72.

Elle n’avait pas vu son père attablé en train de travailler. L’entrée du bureau [si l’on s’était contenter de le regarder en respectant un silence absolu (d’abord il fallait le silence pour s’inspirer de quelqu’un qui l’observait)] était condamné.

Ainsi son père n’avait jamais pu lui transmettre à ce que l’amour du travail pouvait ressembler.

§.73.

Ceux là avait lu la gueule de celui qui s’était sorti de mes envahisants défauts. C’était son genre comme on dit.

J’étais tellement debout que mes jambes se transformaient comme si des pattes de chevaux, de chameaux elles avaient été.

§.74.

La création d’un monde à part dans le conte.

Les mots des lieux généraux parraissant désignés.

Cherchant partis.

Tout ce que partout ailleurs de plus en plus ne pourrait trouver.

Exemple U S : grandes plaines. big bourru.

Grandes lacs : and alone contry.

§.75.

On doit être capable de vivre ses sensations non plus en étant gérés par mes  profits.

Ainsi c’est que la vie et ses inter-actions se sentent vrais.

§.76.

Je ne les réfutais plus ils étaient simplement dans l’énergie à prendre, à transformer.

Sentiments non bloqué ou plus ou moins exactement était le signe que l’énergie se bloquait, ce travail sur le déblocage s’est servit, lui rendre son utilité, que des connections puissent se créer.

L’amour des vies.

§.77.

Être fait à ses responsabilités fait qu’on doit être conscient de toutes les énergies.

De la conviction et de la relativité toutes forces autour. Ne demandant chacune qu’à leur chemin pour continuer. Marcher avec l’aide des abdos pour que le squelette ne soit pas déssouder.

§.78.

Il ne maintenait pas sa colère. Comme un social il savait que son ennemi, ses amis, n’en étaient pas. Mais que chacun respectueusement tentait d’être le meilleur de tout cela.

§.79.

La tentation, temporisation, n’est que futur, que proposition d’une force qui s’additionne à celle du présent.

L’apprentissage au renoncement. Terme vierge et découlement.

§.80.

Leurs morales et habitudes étaient curieuses, violentes dangereuses –  –   –    – . Mais le bisou était le même, chacun admiratif, doux emporté à l’égard de tout autre.

§.81.

Se battre pour une richesse pour quelqu’un.

Autre position sociale autrement que pour le savoir.

La chose est communément perfectible, telle l’est la représentation. Mais l’indifférence face à l’indifférence ne peut se tenir car modification de sujet.

§.82.

– Pour se prendre celle-là il faut vraiment avoir faim.

– Vu la confiance qu’elle doit avoir en toi, tu as certainement raison. Il croyait que l’admiration lui était dû il ne savait pas que c’était des cadeaux, des clefs devant sur la volonté de faire les choses et poussait à éprouver une admiration similaire pour soi. Son âme. Pour les autres forfaits à ses vues, volontés.

§.83.

La richesse naissait de la non spécialisation. Si je veux profiter du soleil en même temps que d’apprendre mes leçons il ne faut avoir un jardin tant qu’une bibliothèque : Open. Air n’est pas érigée –  –   –    – !

§.84.

Être sous ou sur-estimé est de toute façon une promesse d’un changement obligé de comment les choses vont ête évaluées, tout innocent, ignorant qu’on est.

§.85.

Réaliser le trouble en chaque trait de notre comportement plus ou moins était le chemin accompli avant d’identifier ce contre quoi notre esprit se battait.

Avant de vaincre et l’autre chose passer. C’est ainsi que toute individualité était risible comme ayant besoin des fantasmes désigner pour exister et c’était la réalisation (vers le groupe, vers l’extérieur plus de frustration car le problème posé était en fait dépassé) qu’il ne parvenait à compenser.

Chaque trait de comportement naissait de ces perpétuels monvements.

§.86.

Forces puissances et possibilités communes liées.

Conflit, insuffisances et forces déconnectés.

Tous, des autres, leurs défauts comme qualités nous concernant, nous constituer.

Mission commune par les obstacles ne pas être arrêté.

§.87.

Admirer l’un, se reconnaître des défauts, voir qu’il en est lui même pourvu et pouvoir ainsi savoir que le point que l’on connaît est toujours peut-être mille fois à chaque fois dépassé.

§.88.

Le jugement et non le rétablissement des choses par chacun vient de ce qui nous a échappé. Et ce conflit là s’il m’interpellait sur autre chose que ce pourquoi il disait être clonné.

Il disait n’importe quoi, des choses blessantes parfois au premier degré. Il cherchait simplement à ne pas être oublié, ou avide des autres c’est lui qui se glissait dans leurs mouvements les plus sérieux.

Comme les plus douloureux et parfois spasmodiquement il criait.

Quand moi j’avais décidé d’impressionner quelqu’un c’est lui qui dans mes mouvements alors s’immiscait.

§.89.

Toute individualité était faillible mais le groupe les maintenait.

L’amour du groupe et l’individu comme son servant pourvu de toute la force qu’il y avait.

On se savait insupportable mais pour le groupe tout individu l’estime de l’autre portait.

Et tout le sens l’utilité du conflit, consistant à se chercher, apparaissait.

§.90.

Le conflit de tous, tant que un serait laissé.

§.91.

Je n’arrivais à le comprendre parce que quand je réagissais autrement c’est sa propre endurance et sévérité que j’incarnais (moi j’essayais de m’adoucir ou d’exagérer) alors que lui, que cela il attendait. C’est à dire que j’y ai été aidée.

§.92.

De tout temps dans n’importe quel conflit les gens se supportaient ou bien alors étaient tout simplement déliés (Mais de cette confusion personne n’était responsabilisé, d’ailleurs dans celle-ci aucune fatalité, avoir rien, aucune influence, elle conduisait à son terme simplement pas visiblement arrivé.

§.93.

De mes conflits. Tant que nos petites préoccupations m’importeraient.

Tous comme ces gens soucieux de ce qu’ils m’aidaient.

§.94.

Bien sur je travaillerais ce jour de la voix de sa mère. Ma mère ne mourrait de toute manière pas avant que je ne sois moi-même écroulé.

§.95.

Le fermant de la séparation sexuelle. Père redouté, autorité.  –         – . Mère. Symboliquement sans, donc besoin d’être supporté.

Ce système préservait les liens familliaux mais dans le plus intollérable des systèmes d’inégalités. Séparation des pouvoirs. La cuisine pour la femme en un temps où l’homme à l’extérieur n’avait pas un mot à proférer.

§.96.

Histoire. il fallait travailler en se rapportant à la trame pour mémoriser et la trame et l’événement particulier.

§.97.

Travail de réflexion n’était pas trop de comprendre les choses mais devoir de se rappeler.

Ainsi ne pas oublier, préserver l’histoire comme un moyen de gain de temps.

§.98.

Il fallait avoir de l’espoir à l’amélioration pour que mémoire soit conservée.

§.99.

Tant qu’on aurait des raisons à vouloir que la vie s’arrête, les maladies en nous comme dans des nids s’installeront.

§.100.

Ventre proéminent, abdominaux pas assez solicités, creux lombaires.

§.101.

Bloquer ce qu’on serait capable de vouloir montrer. L’image qu’on a l’habitude de dresser, c’est se rendre compte combien elle ne reflète pas, dans le sens voile, le potentiel d’harmonie qui se profilait. Et à chaque harmonie une figure nouvelle.

§.102.

Je devais apprendre à me battre car sinon si un jour je devrais intervenir et ne le pourrais car incapable de riposter, toute ma vie serait hanté.

§.103.

Ces combats menés, les progrès faits, les évènements passés : Voilà tous ce que mon esprit pouvait trimballer.

§.104.

A cette situation il fallait bien une préparation éducative appropriée.

§.105.

Heureusement près de ma maison cet été des oiseaux peuvent chanter.

Être poète c’est donner ses sentiments à la poésie.

§.106.

Canalisation sans eau. L’urine aurait-il un effet auto-nettoyant.

§.107.

Comme en matière de mémorisation on pouvait rattacher une date à plusieurs évènements. Les évènements et (les simulus que l’on ne pouvait répertoriés, un geste, un mot.) pouvait à un moment de notre vie se trouver reliés.

Qu’est-ce que cela avait déterré ? Des deux cotés de l’analyse.

§.108.

Le renoncement à la diversité d’action, des sensations sans but était reconnaître que l’effort régulier était l’acheminement vers l’inconnu.

§.109.

Le renoncement à sa propre peur de vers l’inconnu se diriger était l’apprentissage de n’avoir besoin à ce qui se passait à côté se rattacher. La terre peut trembler, cela moi ne peut plus me perturber. L’adversité extérieure est insignifiante lorque sur la sienne propre où ne passe plus son temps à s’attarder.

§.110.

Les idées étaient dans l’air je voulais me dépêcher d’éditer avant que mon apparente doive brevetter, ne doit dissiper.

§.111.

Le monde dans lequel j’étais, étais celui pour lequel j’évoluais.Toutes mes actions au but à mon but rattaché. Chaque geste devenait et pour moi atteignait alors l’éternité. Chacun de mes moments de vie (ou qu’ils m’aient menés étaient sacrés)

Pareillement à ce que je voyais que pour les autres la vie se manifestait.

§.112.

La surprise, l’avantage est à celui qui attaque. Avantage, prédominance sexuel.

Viol plutôt masculin car la femme a à porter le bébé.

§.113.

Tant que l’autre ne comprenait pas mes sentiments (Tes sentiments n’étant que force croit-on – n’existe en aucun monde qui se construit). Les siens forcément alors déroutés étaient à ma merçi.

§.114.

J’avais envie de toi non pas parce que si, ça ou quoi, de 12 heures à 12 heures.

J’avais envie de toi !

La première nuit ?

Pour prouver sa tendresse ne suffit pas.

Et pour toutes les expériences, toutes les vies étaient devant soi.

Nous attendions que chaque geste soit irrépréhensible, qu’à chaque fois se rencontrait nos peaux soit inoubliable à chaque fois.

§.115.

Les gens qui se troublaient d’une difficulté réagissaient comme si l’on pouvait finir une guerre.

Ce qui reviendrait à dire : tout tuer, à finir par soi-même.

§.116.

C’était de constater que les uns et les autres étaient sujet aux mêmes émotions que moi, qui me rendait humaine et indétrônable d’être cela. Les tentatives de rapport de force enfin m’amuse comme étant la preuve de ne pas connaître soi, ni l’autre. (de limites il n’y a pas.)  Le rapport de force aussi illusoire que cela (on le repose sur quoi ?)

§.117.

Les concours, savoir qu’on en savait toujours plus que celui qui abandonnait son devoir, le coeur de la foi en la responsabilisation. Tant que celle-là revenait à ce que chacun puisse élargir le champ de ce à quoi pouvait se vouer la population.

§.118.

Tout ce qu’on vivait, subissait, adorrait, améliorait, poursuivait, qui était appartenait au processus de compétiteur.

§.119.

Entre corporation on se reconnaissait on faisait les mêmes choses, les mêmes choses dans nos corps s’inscrivantes. Même musculature du travail même –     – , mêmes références.

§.120. Enc. initiative Daniel.

La liberté c’est que ne voulaient rien dire les gestes que l’on fait.

La donation soumission ne sont que des résultantes de rapports aux esprits et utilisation des produits – (devoir de régulation assurant que chaque esprit libère.) L’individu illimité n’est jamais perdant même emprisonné, énergie dans espace illimité.

(Très bien vu cette analyse ma chérie d’amour, et très juste la réflexion, toi et moi en savons quelque chose.) Ton Daniel.

§.121.

Tel le prisonier depuis des temps enfermés et dont la mémoire n’a qu’à sur un geste de sa mère, son père à l’inconnu ou la femme qui l’aime peut-être devenue sa fiancée pour que son visage reflète le bonheur venant se poser, le bonheur même.

§.122.

Je n’arrive pas à comprendre comment passe le temps.

§.123.

Durant les périodes d’examens il devenait incapable de faire autre chose (écouter les informations.)

Tous devoirs de pensée sur autre était une menace sur sa chaudière d’explosion.

§.124.

Le fantasme en tant que relation portable. Quand j’avais besoin de me sentir sû, supporter, un camp à eux je pensais.

§.125.

La revendication de l’individu est de tout pouvoir affronter. Maintenant chaque bataille nous dit comment le plus efficacement on pense y arriver. Aussi la vertu est se dépasser.

§.126.

On s’attache aux valeurs anciennes car les principes ne sont pas démocratisés dans le sens, ce progrès doit se faire un devoir et se doit pour tous de le protéger.

Dans le sens, cycle d’apprentissage perpétuel et universel.

Sans droit de s’y soustraire.

Et droit de protection totale. Exemple : Suffit d’une demande à ex-prostituée, femme battue pour être dans une nouvelle place intégrée.

§.127.

Tous les jours je fais des conneries ou bien sinon la connerie des autres ne peut me toucher.

§.128.

Le geste compulsif, absolutique (absolu), orgiaque est en fait un geste traumatique du je ne vais pas y arriver. Il faut me rayer ou que mes forces soit démultipliée.

Car y arriver = y arriver pour soi. Sinon confort de la vie fermée, sans qualité de vie. (sport, bonne alimentation et tout pour ouverture d’esprit c’est à la souffrance que je suis condamné.)

On ne voit pas plus loin alors comme cela on va dans le péché se buter. J’existe dans la déraison si la raison du groupe ne part toutes les actions liées.

§.129.

Le péché c’est l’action du tout de suite.

Et la plus grande surprise de la vie c’est de constante qu’au fur te à mesure on se connait.

§.130.

Si je fais cela, cela va conduire à cela. Mais il faut longtemps pour se rendre compte qu’on a ce pouvoir là. Le vice croît de la façon de vérifier.

Tiens si je fais cela, l’autre va faire cela. manipulation.

Ou vice avec auto-manipulation. Exemple dont-on connaît le résultat alors que progrès vers l’inconnu.) juste histoire de vérifier si l’on est complètement fou ou pas. Est-ce que la vision du monde, [l’attraction que j’ai vu de l’énergie) est complétement malade ou pas. Si le seul jouet (pas dépréciatif) qu’on autorise est celui-là [ La construction de l’esprit berçé sur tout ça.]

§.131.

– Je vais essayer je crois.

– Tu vas essayer ou pas.

– Oui, mais j’essaye tout le temps, N’oublie pas et tu l’oublies et mon incertitude vient peut-être de là.

§.132.

Je gribouille mes papiers consciencieusement comme depuis la maternelle consciencieusement je l’ai fait.

§.133.

Ecrire ce que l’on vivait. Ce travail de l’artiste est de restituer l’individu.

§.134.

Je ne pouvais refuser d’admettre quelqu’un en complicité avec moi, car sans la force de l’un le tout n’était plus rien.

Et que plus prosaïquement chacun savait que d’atteindre la complicité non pas avec quelqu’un  mais ce quelqu’un, concept, sensation, perception n’était que la preuve de la possible, tangible, accessible harmonisation, transition. Ces moments là portaient le reste des potentialités à son rapport.

Et sinon la confusion, du combat le plus sans pitié.

La peur de la vie liée à ce que la mort demeurerait une alliée, tant que pointait la menace de vivre exploité.

§.135.

Il fallait que je devienne un ogre pour sauver les femmes des ogres.

§.136.

On s’était remis de nos conneries et comme cela on savait relativiser pour ce qui arrivait et il nous restait à rigoler.

§.137.

Pour être artiste c’est la vie qu’il fait reconnaître c’était une oeuvre ainsi on pense les gens, les phénomènes, n’omettant rien de ce qu’il peuvent rassembler, l’émotion, ce sentiment vraiment tout ce que la vie peut comporter démontant ainsi le mouvement  des significations de plus en plus profondes découvrant, le mécanisme des âmes comme un orfèvre le ferait. Savoir que de la plus compexe des histoires de gestes est formé et que chacun ainsi en connaissant la profondeur et pourtant à ce moment présent où il va s’exprimer, le mouvement comme apparemment simplifié.

§.138.

J’ai écrit une partie de mes meilleures phrases dans une relative défaite.

§.139.

La victoire sur soi je ne la connaîtrais pas tous auraient été simplement meilleurs que tout cela.

Je me contentais de mes écrits me disant je n’écris pas si mal que cela mais c’était un don.(Au lieu dans son esprit sur mon environnement et ma condition.)

Il me servait comme tout un chacun avait le même droit sur mes pouvoirs.

§.140.

Je m’étais beaucoup gaché. Rien d’extraordinaire dans ce que je faisais et quand cela l’était, mon propre bonheur servait.

C’est ce savoir là que la confrontation à soi-même par l’intermédiaire de l’objet externe donné. Si l’objet dans le coeur se tenait.

Sinon l’échec était de la faute du système, du tiers  –   –     – !

§.141.

Seulement dans chaque geste de chacun on y mettait ce que soi même on y pense rien d’autre que l’esprit de tous peut reposer dans celui de chacun, rien d’autre cela nous apprenait.

– Mais il y a des gestes révélateurs.

– Oui mais si la révélation est aussi grande que cela ne pense pas que forcément le geste appartient à celui qui le fait plus qu’il n’entendrait à celui qui le voit.

§.142.

Le pouvoir qu’à chacun sur chacun de pouvoir représenter pour l’autre représenter tant. Ne restant qu’un pouvoir si on le considère et reconnaît comme un don être l’autre et n’ayant d’effet que parce que l’autre aussi s’est donné.

§.143.

Séparation homme femme.

Société aveuglement expansioniste.

Faire n’importe quoi sacrifier l’individulité interdire l’homosexualité car système de commandement, on n’a pas appris à dire (NON) – orgie système de commandement sexué.

Femmes s’occupant des enfants et non connaissance du système.

Homme s’occupant des hommes système, mystère, sectaire.

( Tu te rabache toujours la même chose :

Et il faut en faire autant avec toi, tu ne comprends rien à rien ! )

Qui donne l’impression ou en tout cas qui fait que système ne peut se contrôler.

§.144.

On donne priorité à demain, à la spiritualité sexuelle car énergie problèmatique mentale, malaise mental rapporté à sensation physique et appel à l’énergie physique (symbolique sexuelle car sensibilité énergie physique.)

§.145.

L’expérience. Le choix des chemins, sur lui pesait la lourdeur de son péché.

Puisque je suis tombé dedans alors tous mes choix futurs en seront alourdis, entachés.

A l’opposition de toute société ou l’on ne peut rien décider, déclancher activer puisque la mécanisation du couperet.

La permission à l’exploration.

§.146.

Mon rôle était aussi de porter les pêchés que j’avais rencontré, pouvoir m’en être encombré d’eux à tout moment je pouvais me propulser ou quand je les suivais alors je prenais conscience que de ce concept de personne du (je) je pouvais me détacher.

Par l’orée du jour de tout matin être réveillé.

§.147.

Je savais que je serais lu. Je ne saurais jamais par combien mais qu’importe l’art de cela naissait.

J’étais qui pour qui et c’est ce quelqu’un l’art de cela naissait. Je faisais quelque chose. Et celui là même donnait une de ces vies à l’objet. Comme moi je l’avais fait.

On me disait bizarre. Moi même ne reconnaissait toutes les commandes ne fait rigoler.

Femmes, hommes rien à part le sexe ne peut se sexualiser et le sexe ont pour les deux la même priorité.

§.148.

On faisait les cons ou les idiots au moins l’on savait à quelle sauce on allait être critiqué.

§.149.

On parle de point de vue subjectif alors que l’effet lui est néanmoins actif et pas activé seulement par le sujet remarqué.

Ou ensemble pas subjective avec réalité ou réalité faussée.

Le subjectif est peut-être ce qui n’arrive jamais à réellement s’exprimer, si on explique cela tout le chaînon est à remonter. Peut-être que tout point de vue n’est qu’une façon d’être sur un point de s’arrêter. Peut-être le corps est ce point et des esprits n’arrêtant de le traverser.

§.150.

Après tout je sais qui il est mais aucunement si par un autre corps je le voyais. Mais qui est celui qui vient de parler. Mon corps mais incapable de répondre par quoi est-il traversé.

§.151.

Dans toute chose l’esprit donc en vient à s’observer.

Je prends du temps à apprendre, à comprendre car suppose que mon corps avant puisse se l’approprier. La compréhension c’est admettre l’objet ses sens cachés. Créer, rapporter (qu’est-c que ce temps autre vu une chose et différemment lui attribuer.)

§.152.

Il était d’une vulgarité sans pitié, comme tout comportement appuyé, volontaire, il voulait dire affectation moi aussi les endroits poisseux, je les ai supportés.

§.153.

Soi est le seul lieu que l’on ait. Réflexion sur comment un groupe d’humains pacifiquement peut se développer

Du rapport à l’autre, au monde, constitué et mobilisé.

§.154.

Ce tel peu de connaissance et de façon d’explorer la vie que l’on a fait que son corps est complètement inconnu de soi. C’est ainsi que mort, souffrance choquait certainement moins proportionnellement un danger que représentait de sentir par lui.

Il faudra une parfaite confiance en l’humanité ou en tout être avec quoi notre esprit rentrerait.

Si le meilleur des esprits peut donner. Pas de meilleur sans que tout rejoignant la même opportunité. Esprit et voyage dans quel proportion le corps en tant que mémoire instinctive sait pouvoir se révéler.

§.155.

Activité et squelette téléscopique. Du poids soulagé, pouvoir de s’étirer.

§.156.

Ma propre capacité à me soigner et parfois exprimer dans mes sens personnels. Comme si mon bras était du reste détaché et que l’ensemble s’occupait de la douleur qui justement m’apparaissait.

La fragmentation raisonnée.

§.157.

Pour gagner il ne fallait négliger aucune force donc le dit ennemi il fallait engager apprendre de lui. La première victoire sur soi-même, comme rien n’étant à détester.

La mort elle de toute façon ne pouvait s’éviter et la vie illimité de rester fidèle à soi-même, au monde à tous,  plus on avançait et plus on le savait.

§.158.

Ma propre sensation. Ma relation au corps une manière de ne pas dans le fantasme de l’autre s’immiscer. Et savoir surtout que de devoir combattre cela c’était que mon propre dialogue intérieur avait pris place. L’affût Constituant alors à ne pas me laisser par lui commander. Ce dialoque intérieur commandait les gens dans la société toujours à commencer par les parents, des origines sociales on dépendait. C’est à dire qu’un jeu d’apprendre devait se jouer, abreuve le jugement la peur d’être juger.

§.159.

J’étais incapable de réécrire mes pensées puisque c’est d’une dynamique d’un processus extérieur qu’elles apparaissaient. C’est parce que j’avais vu un oiseau rouge et un blanc dix minutes après pour que combien leur chant je comprenne seulement ou dans les têtes ces deux images se croisaient qu’il en existait un violet.

§.160.

Ecriture mentale, je suis bien de mon temps.

Art. Corps et esprit indémodé.

§.161.

Comme auteur, un théoricien ne disait jamais la vérité mais la décrivait la réalité qui a lui s’était inspiré. Qu’est-ce que nous disait quelqu’un qui disait de l’autre qu’il était une moitié.

§.162.

Travail, aller à sa rencontre.

C’était faire que son énergie ne soit jamais emprisonné. Aucune emprise ne pouvait à cela résister.

§.163.

L’artiste met à l’essai les mécanismes qu’il a trouvé, essaye de les expliquer tout en les faisant figurer. L’art est la science à l’échelle de l’adoration,  l’émotion, l’expérience de quoi sont-elle nées ?

L’art tente de remonter le processus de la compréhension comment cela s’est-il rassemblé.

Compréhension et naissance et accouplement de chaque chose. L’art et la science sont un,  puisque c’est la compréhension des choses qu’elles veulent figurer.

C’est ainsi que art, environnement, nature, être vivants et inanimés tout devra s’entendre pour comprendre ce qu’on en fait différemment, même face d’un même procédé.

Exploration. Collecte et reliée et chaque élément à un autre amenant plus loin et aussi à chaque fois comme cela plus à ce qui est déjà à présent relié.

Sciences, éléments extérieurs ou tests, exerces ses idées.

Art éléments extérieur autour duquel on peut les organiser.

§.164.

Naissance de l’idée sur ce qu’on est en train d’abserver. Ou parce qu’on est en train d’observer de travail dessus l’idée se crée. De la construction intérieur à l’appréhension externe. Il n’y a pas un pas elles sont les mêmes.

Le monde ne peut d’avoir d’impact que sur ce que suis et non sur ce que je suis pas. Or je ne suis d’autre que lui.

§.165.

Ce n’était bien sûr que de l’encre que tout cela. Mais si je cherchais alors de quoi était le monde composer pour tenter d’une solution de l’appréhender, de ne pas me noyer dans les règles régissants ma vie et que je ne peux encore déterminer. Agis ! Toute la question existentielle encore sur mon existence, son existence revenait.

Il n’y avait qu’une question existentielle. Ce pain pour tous.

Mais pour l’instant dans l’état actuel de nos connaissances n’était pas d’accord le blé, et d’ailleurs c’est pour cela que toute absorbsion de nourriture, d’oxygène nous tuait.

§.166.

Ces choses horribles que je disais, Mais il fallait les avoir prononcer pour que ce qu’elles cachaient juste après (telle une formule magique l’aurait fait) ne puissent rappliquer.

§.167.

Le serpent voilà ce que la bible, la croyance en un lieu appartement aux hommes caché.

§.168.

Je pensais qu’il ne fallait pas décider d’encourager un individu dans sa timidité ou ses reculs sauvages ( les femmes n’ayant appris cela de moi) car je les évitais jusqu’à ce qu’elles m’encourage. Le problème c’est que moi c’était des choses qu’elles ne voulaient pas partager que je voulais.

Cela m’a appris aux ados ne pas céder.

Ni en les criant, n’en voulant qu’une figure elles aient. Il fallait les porter pas les exciter.

§.169.

Je ne savais pas ce que j’étais c’est pour cela que le sentiment existait, une manière de se raccrocher autrement qu’affectivement à ce qui vivait.

§.170.

J’appris à les regarder au moins non, leurs actractivités nous remplissaient à ce moment là. L’amour ou cela s’appelait comme ça. Mon sentiment n’était de toute façon qu’un appel à cela. La haine alors peut-être le manque d’objet de transition ou croire qu’il devrait  en avoir un en cela et cela.

§.171.

Je reposais ma main sur mon visage comme cela elle apprenait à ne plus penser, à ne plus s’écraser, se ratatiner,

§.172.

L’être en menant sa vie essaye tel l’artiste de donner un aperçu de ce qu’elle fût.

§.173.

Ou tel le scientifique (application toujours chaque matièe avec méthode) ce que sur moi de se connaître, de pouvoir me servir m’identifier (admettre mon existence et des règles existences que je connais ) ce que savoir ne rien savoir tout de même ne fis.

Etat. Action mon esprit toujours en construction et aux alentours aussi le bloc sans lequel rien plus ne se constituerait. Plus aucun esprit.

§.174.

Mystique, physique et tanti quanti.

Je ne peut être qu’un but. Sens à l’exister.

Ne cesser de le former.

Ne cesser de le rester.

Le péché transition.

Je ne m’approche des choses que lorsque j’ai en moi assez de réflexion pour pouvoir les faire exister à ma raison.

§.175.

Il s’exprimait rappelait sa présence toujours en braillant, comme cela ou s’occuper de lui, cela lui rappelait qu’il était là vivant.

Courant est-ce qu’on lui avait appris qu’il était au monde, en contact avec le monde.

Rien ne servait de s’énerver, transition vers, rien comme cela ne changeait et le changement comme à un seul acte personne m’appartenait.

§.176.

Quand j’avais trop mangé et que le someil m’appelait. J’avais peur, je savais que mon coeur allait s’en aller.

§.177.

Je savais que toutes les séparations, violences n’étaient que mal compréhension.

Mais tant que l’inégalité serait-elle, serait alimenté.

Je ne devais rien à personne.

Personne ne devait rien à personne.

Et chacun pouvant ainsi se vouer à sa voie dans laquelle tout le monde pouvait venir puiser.

§.178.

On le traitait d’empoté mais impossible d’incarner une pensée car ma pensée ne peut-être une vérité, donc pas de système arrêté. Et puis pourquoi vouloir s’énerver, le problème du monde dont, 1/4 en exploite toujours la moitié, à quoi le ressentiment servait. On ne pouvait devenir plus poison que ce qui empoisonait alors à penser d’aider l’amélioration, il restait.

Et chacun d’entre nous était le même pilier du monde.

§.179.

Je compris que je n’étais que le reflet de leur propre intérieur de conflit alors à chaque fois que je résolvais le mien, le leur devenait pour moi une preuve que j’avais à faire, qu’il ne montrait ainsi leur, ma, la faiblesse, comme s’ils se confiaient à moi.

Maintenant que je n’avais plus peur du mien je pouvais regarder celui des autres et des idées pour pacifier ce que chacun en ressortait dans cet interminable combat acharné.

Comme d’autre pour moi l’avait fait.

Comme cela même qui devant moi se battait, le faisait.

Son zozotement la rapelait à sa diction.

§.180.

Avoir la douleur du ponctué.

Et tout de suite après il vous tend la main pour recommencer.

On le combat sans cesse car sa –       – et que douleur et coup, évènement et conscience acte abusif et accident ne sont toujours associé mais pas de simultanéïté.

§.181.

L’intervenion. Le groupe protège le rapport entre individu. J’étais occupé intellectuellement –  –   -ainsi ce n’était pas de ma personne qu’on se moquait, ce n’était pas le problème de l’individu mais du travail fait.

Il suffisait de trouver des amoureux du travail et de faire ce que l’on aimait. Ainsi l’on pouvait tout donner de soi sans aucun danger.

§.182.

Le groupe c’était l’appui à chacun de s’en sortir et que personne ne devait dépendre de personne en particulier.

§.183. ENC initiative Daniel.

Il rapportait tendrement, fièrement quelque chose qui ne voulait rien dire et qui tenait pourtant tant d’importance. La complicité avec ses lecteurs, ceux qui suivaient ces mots jusque là, étaient là. ils savaient tous que n’était que code que tout cela et que les codes entre deux personnes sont applicables à tout à souhait, et on sait perpétuellement éduquer et déséduquer sur cela.

Attention !

Fabrice, Marcel, Daniel et tous les autres rapportant ce que je leur avais demandé pour pouvoir « continuer » rapportant fièrement du dérisoire mais indispensable à la poursuite du travail, voyage dans le temps. Et tous ces acquis comme autant de preuve d’amour, d’affection, d’amitié et de reconnaissance d’être « tous ensembles ». C’est con de vieillir ! Select Dany.Daniel.

§.184.

La victoire de ce que je souhaitais tellement voir gagner m’arrachait de tel cris. Forcément les atteignait cette énergie. ne pouvait que les atteindre.

§.185.

Et tout le monde de sa victoire allait quelque chose avoir apporté. La victoire de l’individu colportait des théories racistes aiderait à quelque chose dans le mieux équilibré des gens qu’il croisait, fréquentait. les théories n’étaient somme toute que des habitudes de pensée. combien avais-je de rituels destructeurs (entre les choses que je donnais, mon temps qui aux autres comme à moi même –     – et mes tasses de café.

§.186.

En combien d’actes de coup d’oeil pas même fait exprès mais que ma volonté  bersée sur le message qui de moi se joue rendait tendancieux ou à faire face  ou à ne pas faire face, mais à quoi, qu’est-e que je croyais.

§.187.

L’intellect à 30/100. le pied.

Comme de pouvoir dormir même et sans drap.

De l’air enveloppé, l’intérieur par l’extension chauffé .

A cela et à écrire passent nos forêts (heureusement le cycle des choses voulait que ce soit cela qui les préservent après.)

Prix du Word.

§.188.

– Elle appela le service d’examens.

– Moindre.

–  –   –   – !

– Vous êtes sûr !

§.189.

La même putain d’expérience individuelle pour l’entièreté du groupe ; Ce qu’était rassurant comique cela.

§.190.

Je sens comme des grumaux dans les jambes me dit la varigé.

§.191.

Peut importe de savoir ce qui me l’a inspiré.

Tous mes personnages ont été moi et heureusement à aucun d’eux je ne me dois.

§.192.

Elle ne terminait pas ses phrases. Trop derrière à raconter.

Je n’étais pas différent des gens d’il y a deux siècles, pensais simplement que la lecture des pensées, des comments utiliser l’énergie, reposait entièrement sur ce que mes contemporains avaient à l’esprit. Prendre les connaissances on doit à mon époque s’abreuver et là ayant une chance de pouvoir les exploiter mon analyse de mes gestes, du pouvoir de mon esprit les théories existantes abreuver.

§.193.

Le péché, toute orgie était tellement défier la vie, qu’ainsi à défaut de vivre en lui, on voyait le temps nous échappant seconde par seconde, cette fois ci.

§.194.

Et que chaque groupe à l’ensemble du groupe est avoir en référé ainsi que l’ensemble du groupe lui devoir la vie.

Vivre nous était donné à partir de là, ceux qui parlaient d’utopie dans l’idéal n’était encore à elle, pas craint.

§.195.

Pour dormir dans un lit digne nous aurions tous tué valait-il encore de savoir ce que c’était. Valait-il que le monde nous l’ait apporté pendant ce temps les états s’en chargeaient.

§.196.

Manger beaucoup pouvait d’estimer du genre j’ai tellement abusé que j’ai l’impression d’être vieux et que je ne peux plus arquer. Bouger tous les bras en immobilisant l’articulation de mes doigts en écrivant terriblement me soulageait.

Il n’y avait que cela qui me sauverait.

§.197.

L’agressivité c’était la dépendance à un seul élément. Exemple : je n’ai pas de cale si les autres éléments je n’arrive pas à éliminer. L’agressivité plus élevée chez le mâle car femelle attend que le plus fort (rapport à la viabilité reproductrice,à la progéniture) viennent la féconder or on devient fort si les moyens à tous sont donnés, l’autre, moi-même, compréhension du passé, réalisation du futur, toute force convergée.

§.198.

Vous pouvez venir voir si vous voulez merçi, merçi le cri retentit et en premier lieu fit quatre, cinq tours de la tête à ses pieds. L’administratif pensa que ce n’était pas elle qui l’avait obtenu (mais grâce à elle qu’on le savait était l’oublier) travailler et ce qui se voyait en amont en aval était fait.

Je perds de mon énergie. Soudainement je dois alors comme squelette toujours en train de penser sans pouvoir n’en rien faire et celle-ci en places vides incessement relancées.

§.199.

Les règlements de compte attestaient d’un ruminage dans lequel on n’avait contrôllé ses émotions.

Cela impliquait qu’au lieu de se consacrer à quelque chose, toutes nos appréhensions à un moment, dans ce fait là était passé.

§.200.

Le langage s’énorgueillissait de pouvoir mettre au clair des pensées qui ne l’étaient pas

§.201.

Je savais que quand il faisait cela, il crevait d’envie de faire le papa alors je l’imitais puisqu’il m’avait donné cela et enfin il pouvait se reposer tel mon petit, tel que moi sans m’en apercevoir je me reposais sur lui.

§.202.

Ce troisième individu. Que je ne regarde, te ou ne, regarde pas c’est du pareil au même, le troisième fait, donne la convergence d’un peu à nous deux externes, communications là viennent naturellemnt.

§.203.

Obliger que l’un et l’autre indépendemment de l’avance se fasse d’elle même.

§.204.

On a ce que l’on voit car cela est en route déjà. Et nous le formons et nous formons à partir de ça.

§.205.

J’avais trop l’habitude de laisser aller le hasard. Il fallait que je décide de dire (NON) avant d’apprendre que l’on me le refusait de toute façon.

La vie n’était pas, ne devait pas être un concours de circonstances mais les circonstances à courrir sans interruption. La créer qu’elle naisse de sa propre création.

§.206.

Le tabou sur les grandes fortunes tient car pas assez d’institutions, d’idées du comment l’argent, ou le pouvoir d’achat, de consommation serait redistribué.

On ne touche à rien tant que sécurité,et contrôle ne sera pas assuré.

Et on ne touche à rien car l’orgie pour tous on ne va pas organiser, l’orgie aussi aux riches, comme aux déshérités s’est déjà réservépas la peine de renfrcer l’occasion. Mon pied faisait un calin à sa basket.

§.207.

Il fallait savoir comment organiser les conséquences les faire accessibles à tous, tout en maitenant le domaine du vital intact et en constante amélioration. Tu sais qu’il a eu de la chance Champolion, lui CE N’ETAIT QUE des Hiéroglyphes qu’il avait à déchiffrer, j’aurais voulu le voir à te lire ! 

Qu’on ne me parle pas d’argent tant qu’on avait mis au point de manière non pas pour sa redistribution mais annulation, pas d’équilibration.

Pour cela il fallait une parfaite organisation.

§.208.

On se permet le jugement sur l’autre car à la base on ne soupçonne de sur nous, juger = fantasmer.

§.209.

Car sans force écrasante d’un coté cela voudrait dire que n’importe quel groupe pouvait prendre le pouvoir. Il fallait attendre un était unifié. en espérant que la conquête des planètes se fassent avec le don ( intérêt de la pensée )de télépotation = pas de planète ou bien distenciée automatisée.

§.210.

Avant d’égaliser quoi que ce soit il fallait l’établissement d’un groupe indétrônable c’est à dire sans lequel l’intérêt de tous regroupé.

Intérêt  | par tous.

contrôle | de tous.

Où l’unité ne ferait pas de différence avec l’ensemble des unités assemblées

Ou serait banni le secret, concurence d’expérience | D’abus | Mais détourné. Oblige.

§.211.

Pour cela il faut que l’individu ensemble au groupe, qu’ensemble plus petit que l’ensemble ne puisse le manipuler, l’impressionner.

Qu’il suffise d’un bonbon pour que la vie de chacun ne dépende plus de sa communauté, maxi, corporation.

§.212.

Elle me donnait la tendresse et moi je lui donnais tout les sentiments que cela me procuraient maintenant que curieusement c’était cela qu’elle me demandait, elle.

Ma force mélangée à la tienne. Hein ! Que le monde entier y était. D’ailleurs ce n’était pas que de la tendresse qu’elle donnait à regarder.

§.213.

J’aurais peur du noir encore continuellement. Je n’avais plus peur d’être seul si en cet endroit je savais que je pouvais faire ce que j’avais à faire tranquillement.

La peur du noir mais qu’est-ce que j’avais à foutre plus loin que de mon travail, gène dans une forêt ou au bord d’un étang.

Je n’avais rien à cacher, le jour où alors chacun de ses arbres devait me protéger en tout cas plus que ce que je fuyais.

La peur panique de n’être là où il faudrait, relié à la distancequ’il y a entre soi et son rouet.

§.214.

L’écriture était le plus sur moyen pour moi (parce que je la et elle me connaissais. Je ne connaissais là dedans) Travailler elle était, elle me rapellait à chaque fois tant d’expression qui sans elle avait apparu comme étant de faire l’amour aux gars.

§.215.

Scène et art. Technique simplement.

Démocratisation. Que tous métiers deviennent cela une technique dont l’appareil, le perfectionnement est toujours perfectionnable, une possibilité de soi-même en elle se jauge, se perfectionner là !

§.216.

Je pensais à elle aurait voulu lui dire que je la comprenais maintenant. Mais elle, déjà à l’époque savait et aussi savait que la compréhension pour chacun d’entre nous en une autre femme mais exactement la même signification prend.

C’est parce que je sens que je veux en comprendre ce qu’il en est.

L’art dépeignait le mouvement, la science lui donnait une raison. Car la science c’était nous soufflant en sachant que le songe ne pourrait que nous déterminer indéfiniment.

§.217.

Chaque épreuve me rendait plus indomptable. (Toi aussi amour ?)

L’épreuve c’était l’idée que l’on avait de la vie et son renversement. La vie, toute la vie, n’être quand j’avais assez de sagesse pour la respecter entièrement.

§.218.

Dans mon esprit de l’énergie venait me recharger à chaque fois que j’avais réussi à faire les choses correctement.

§.219.

Evidemment je ne voulais aller chez moi y passer la journée, l’avoir à garder comme un de mes plus faits souvenirs et en rester là, j’étais trop grand pour faire cela . Comme toute marque de reconnaissance volontaire menait simplement à m’accuper l’esprit autour de cela. Oh ! Ainsi je pense à lui, il pense à moi.

Je ne voulais plus de tout cela, je suis quand se comporte inonséquemment lorsqu’on est hanté. Les fantasmes qu’on formait nous isolant complètement de la réalité.

§.220.

Mon échec scolaire de jadid m’appenait que de toute mon adolescence j’ai été incapable de comprendre qu’il me faudrait travailler, c’est ainsi que ne sachant que c’était le crayon l’instrument, je ne avais que, sur quoi un même cmme toujours suivat comment écrire, n’avait abandoné tout cela.

Je necomprenais pas les gens qu’il disait.

§.221.

Je ne sais que faire mais j’étais dans leur cas. Comme aujourd’hui j’écris nous, où vont toutes les responsabilltés, que je ne prends pas.

La mort était à chaque fois que le contraire je pris. Moi l’espace, la communication au monde passant par celle entre nous ou sinon par celle en nous, réussir à créer un système ou l’un n’aurait pas à craindre l’autre.

Moi, l’espèce, tous nos défauts, gabgie, un renoncement à cette vie : Confiance ZERO et action de celle-ci. [(Tu vois que tu est une fille intelligente Caroline quand tu veux.)]

§.222.

C’est via le sens qu’on donait aux choses que les doses en tant qu’unité apparaissaient ou pas.

§.223.

Dans mon –          – où j’avais ma santé et ce qu’il fallait pour la garder. J’étais à l’abri de tout sauf de moi heureusement ce qi me poussait à sortir, régler les problèmes au dehors.

Eendre mon monde fraternellement. Jusqu’à ce que je doive revenir en moi ce qui avait à régler y transportant.

§.224.

Ma poitrine tombante, vers mon aisselle, le téton toujurs en l’air poutant.

Mon sein en corne.

Mon sein pointu.

A bien pic, moi, le trouvant rassurant. Il ne mangeait personne. les expérience sur soi, l’expérience de sa propre vie. j’aimais ce sein le trouvait dégoutant. Parce que je savais l’aide au moins bien à chacun de mes pas mieux faisant.

Reprise paralèlle !

§.225.

J’aurais crûs vivre le désenchantement (le mythe du déjà fait cela car une femme je cherchais) la route aurait pû m’en donner, non, tout simplement je n’avais fait à l’époque ce qu’il fallait. Quelque part de mon propre sort je m’étais désintéressé.

§.226.

Du point de vue de soi-même une erreur conduit sa vie. Du point de vue du groupe l’erreur individuelle peut-être n’avoir pas sur l’autre (voisin ou période) si elle est porté par celui-ci.

§.227.

Mes échecs passés n’ont de poids que dans mes échecs présents peut-être est d’une manière de me reconnecter à un passé. Tracer une ligne bien droite n’y arrivant. Cela devrait pourtant être si simple, mon esprit ne supporte peut-être pas ce qu’il n’a compris d’avant.

§.228.

De toute manière le seul objet qui tienne était d’être comprenant.

§.229.

Toutes sensations d’échec était de mal comprendre ma vie. Le mieux que je pourrais voulais dire que celui là m’amennerait à ce qu’il voulait, inutile de prendre du café pour être plus performantà part si on est sensible de sendormir au volant.

Si je ne le suis assez alors une autre joie je trouverais un que ma fatigue de foi et autre ne me fasse pas faire de conneries en y crevant, je suis en train de mourir à cela comme ma mort ainsi je convoye.

§.230.

Le pêcheur est amené par ce qu’on a l’idée de ce qui se trouve derrière lui. Le péché est une impulsion dans laquelle on peut exister derrière une autre manière de se réaliser, la manière allant plus loin que ce que d’ors et déjà on connaît.

§.231.

La sensation extrème entre toujours prendre ix fois plus à manger où ne pas s’alimenter. C’est ne point compter sur ses sensations corporelles pour se sentir exster (comme tous –   – en passant par celles de l’émotivité ou de l’hallucination mentale.) Ne pas dans la poursuite de sa –          – pleinement exister.

§.232.

Et dès qu’on cessait de faire ce qui était en notre pouvoir. n y retournait ca on se détestait sombrement de ne pas l’avoir fait. Cela revenat à le nier et ce n’était une trajectoire qu’on pouvait continuer.

§.233.

Chaque personne à soi insinu l’évolution des évènements sert. La rature au dessus. c’est avec elle qui faudra faire. Sinon elle s’occupera (à travers chacun de vous) et du destin commun de ce contre temps.

§.234.

Cambrer lorsque j’avais trop bouffé le mouvement mon estomac tiraillé on ma comp et tout articulation déaites à dormir sur les entailles sur le ventre tentant d’échaper le cris qu’ils émettaient.

§.235.

Renoncer à un appel d’énergie, de test sur l’énergie maintenant c’est la garde pour combattre après, du même coup c’est faire revenir la conscience sur un après.

Ce qui peut tout endurance raviver.

§.236.

N’être occupé de sa performance tout le temps dans le contexte de l’endurance et ne nie personne ne peut vous troubler.

Ne rien faire paraître il n’y avait rien d’arrêter à par ton esprit qui risquait de cristaliser en fait.

§.237.

On ne me demandait pas mon avis, il était autant dangereux pour les autres que pour moi, contrôler, m’occuper de mes émotions et tout ce que je pouvais faire à mon échelle en fait. Une fois cela passé alors ou le travail, la recherche pouvait continuer. Et les erreurs dans mon action bientôt m’arrêterait et il me faudrait des questions, me reposer.

Sur moi même petite tête et chaque système plus largement s’appliquait. C’est finit ne me restait -il à peine le temps de se

dire, j’en souris. On les mettait en cage et sur leur tendances à la sauvagerie après tout leur saoul ils discutaient.

§.238.

Je ne supportais plus de rouge sur ma copie la force engagée dans le combat étaitcelle que chaque jour lui dédia.

§.239.

Pécher être face à sa limite, à soi même. Peut-être le sort de tous comm cela relativisé. Il n’était que l’erreur pas la méchanceté.

aire face à la mort mais la mort comme la vie se révèle si elle peut nous englober, nous emmener au délà, nous recvèle mais elle ne se montre jamais.La limite que nous en faisons c’est de ne pas admettre que la vie nous servons en la nôtre, que tout est mélangé.

Que l’age fait que vers la mort nous allons mais qui a-t-il après. Et en fait la mort est dans le déroulement même de la vie ( le péché) Alors que pour et par raport à quelle raison au dela de cela, cela devrait changer.

§.240.

L’effet de la limite c’est l’éternité qu’on a pas encore trouvée. Rien n’est perdu tout est relié. Le péché c’est se dire, c’est le chaos pourquoi vivre ainsi et penser qu’on pourra retirer plus vite ses billes si on se détruit, mais rien n’est inutile, rien ne disparaît.

§.241.

Chaque individu devrait être également traité, la limite de mon action devait s’arrêter à quand je ne pouvais prononcer à tout ce monde ce que je proposais à celui-çi.

§.242.

Mon devoir c’était fou ce que je savais le petit voir, et de jour en jour n’était pas défini l’enjeu. Si cela devait comme l’écrit alors je devais y consacrer ma vie. et comme au mieux de l’écrit c’était lui qui allait m’indiquer qu’est-ce que lui voulait explorer aussi.Tient il faut que j’explore cette question pour ça ou çi.Si cela avait été la confection de bombe, si c’est dans ce mécanisme là qui était l plus inventif mon esprit alors je courais cela comme le cours lui.

Faciliter la vie de tus ou la réduire à néant avoir comme propriété chaque outil. Car l’homme n’a de pouvoir finl sur les choses, si cela ne nous évite la souffrance au moins personne de personne n’est à la merçi.

§.243.

Ce putain decaractère de chien de garde qu’elle se coltinait. Mais ce qu’elle gardait elle ne s’en rendait compte pas toujours ce qui faisait qu’elle s’égarait.

Elle pensait lutter pour une cause à part alors que tout était à protéger.

§.244.

A chaque changement mon bouc émissaire perso était mon estomac. A tel point qu’un jour je setis qu’il deviendrait mortellement malade si je n’arrêtais pas. A chaque changement positif ou pas. D’ailleurs une opportunité est positive si chaque jour on s’y emploie.

Pour arrêter de lui faire oi il fallait que je cesse de m’arrêter moi.

Quoi qu’il se passe, je ne essais de progresser, cela ne dépend que de moi, si j’échoue dans ce métier alors un autre s’inventera.Ces pages de suspend qu’il fallut avant que je compris.

§.245.

Gestes impulsés par la tension qui me saisissait et tout à fait sans symbole par rapport à ce qui venait de se dire.

Oui je rejatais la femme d’un coup de main lui indiquat de dégager. Mais à ce moment là ma femme avait le rôle de la maîtresse supposée.

§.246.

Mon ventre se creuse le mouvement de mal donner d’avoir trop bouffé.

(Position relaché et smmeil cherché musculature plus tonique ?)

Alors que quand repas frugal à lève son cul si on est réveillé.

§.247.

toutes les femmes que j’avais connu sur son visage apparissant ou celle que je cotoyais.par elle tout ce que j’avais retenu, tout ce qui me restait des autres, n’était montré et je pouvais maintenant accepter ces gestes d’amour ou de bravoure qui m’vait été montré alors que ma position vis à vis de ces personnes lorsque le typede relation n’étaient pas échangées ou en désacord fondamentaux autour des choses qui avait brouillés ce que les deux individs s’était mutuellement échangés prodigués.

§.248.

La travail de recherche était simplement d’assembler et de lier deux éléments. L’un que deux ne parvenait pas à retenir ou inscrire dans une logique. Ou bien dans le même esprit car il me manquait un symbole, une technique d’apprentissage.Chaque chose désignée devant se trouver dans un système regrouppant chacun de ces aspects à d’autres aspects, d’autres ensembles désignés.

§.249.

Ou bien l’on apprenait ces systèmes ou bien il faudrait les fonder. On ne retiens comment se prononce un mot que si la phonétique lui est associé et la symboliqe phonétique. Si le mot peut prendre forme, à la raisonance mémoire remémorée.

Deux éléments qui ne premettent ne direction seulement un le son méchapperait (Même très bien maîtrisé). La technique et la perspective à ce qu’lle soit appliquée.

§.250.

Il ne comprenait pas, car les gens on entre eux (ou en eux-mêmes)  une complicité qu’avec les autres ils n’ont ou en tout cas ne se retraduit pas identiquement.

Qui procos, mal entretenus.

§.251.

Il était si soucieux de l’exactitude que lorsqu’il ne disait que les choses à peu près (car comodité de ne pas expliquer l’évènement par dix pages quand l’autre n’en  pas besoin en plus de lignes car se fout du reste) on croyait qu’il mentait tellement que de devoir simplifier un fait : Le génait.

§.252.

Les femmes violentes ne s’en aperçoivent pas car elles le font avec légèreté ; Justement tout à fait sûres qe l’homme veuille sans préalable en disposer, alors que de soi il faut aussi s’occuper = susciter.

§253.

J’avais besoin d’une femme qui ait besoin d’entièrement m’enlacer, qui sachent que ses caresses me font peur de ne pouvoir s’arrêter.

Que ses caresses me font fuir.

§.254.

Je mangeais comme cela mon estomac était ocupé à se contracter et mes douleurs à coté se taisait.

§.255.

Un conflit était l’expression de manque de l’autre que je possédais à toute les fois mais que mon trouble personnel m’empéchait de lui tendre, donner, de nous échanger.

Comme je ne savais où allait ma conversation, je gardais le contrôle de moi, que si j’étais aussi apte à défendre ma position, comme celle de celui vec qui je discutais.

§.256.

Je savais de toute façon que chaque position était autant que logiquement que la mienne                de la société où elle pouvait continuer.

Pour preuve que toute logique était notre manière de compréhension (et qu’un être en comprenait des millons, autant qu’il en méconnaissait.) et que la logique avait de merveilleux que d’elle-même si elle était dans l’erreur elle se —         -.

Mais pour cela il fallait la comprendre et savoir sur quoi, quel impératif bon ou malsain la soutenait. Comprendre l’individu pour savoir ce qui l’aveuglait et aussi la lumière dans laquelle il baignait et qui pris à part lui faisit penser que tout était vrai, comme elle aussi.

§.257.

Une super prof, organisé, active tout le temps, réfléchissant, onnant les infos qu’il fallait.

Quelqu’un dont on ne peut pas calculer cobien elle avait aux autres fait gagner du temps et continuer à en gagner rien qu’en ayant pour but de l’imiter. Sa démarche imprénant.

§258.

J’étais plus calme devant Mami tant il me fallait lui montrer ma sagesse avant que celle-ci dans mes os ne viennent.

§.259.

– Je n’apprends pas tous les jours.

– Mais vous savez on reste basé sur tant de conneries.

§.260.

Plus j’étais attaché à mon but plus mes pensées incompréhensibles pouvaient revenir sans toutefois m’empêcher en même temps d’assimiler des choses nouvelles (exemple continuer à écouter comprendre et noter mes cours.)

Simplement qu’elle me recevait sensoriellement mais mon énergie elle n’était plus impulsé vers l’émotion mais toujours la réfléxion qu’il ne fallait continuer pour pouvoir mon objectif continuer d’approcher.

Et plus cela se passait plus des évènements qui me troublaient je pouvais prendre une distance. Un évènement devenait alors manière de symbole que j’avais progressé.

Et tout les efforts et leurs succès auxquels ils s’étaient indiscutablement raccrochés. Les sens n’étaient plus embrouillés, je n’avais plus à faire appel aux sentiments pour, aux sensations personnelles cultivés, pour ne plus en être atteintes, incommodés, la réflexion le faisait, et puisque d’elle il fallait que je comprenne qu’avant de la mort je devais me soustraire (ne savoir qu’elle avant était) rien ne me faisait peur et les sens devenait alors une énergie qui sur moi pouvait se poser et dans laqelle je pouvais puiser : En théorie.

Et pas une digne cause ou sentiment qui puisse dans ces conditions traverser, et c’est ce que la vie est.

§.261.

On devait identifier l’obstacle qui faisait qu’en groupe on ne pouvait continuer.

Individuellement s’en occuper. Nous regrouper à chaque fois qu’individuellement nous avions progressés et ainsi faire progresser le travail autour duquel le groupe s’était constiué.

§.262.

Débat. Question. Problème. Différé et réunion promise.

Le travail qui peut se tisser. Penser et conduire le progrès. Motivation intrinsèque l’endroit de réunion pouvant mener à tout devoir aller chercher, s’informer et cela incluant le fait de pouvoir dans tous les chemins inconnus être suceptibles de débouler.

§.263

Fatalisme. pour se dire c’est ainsi que cela devait-être intérressant rien auqul donc je peux m’attacher.

Comme toutes les croyances elles sont prétextes à trouver à nos actions bien fondées, automatisées et décérébralisées.

§.264.

Tu aurais pû être mon rêve.

Et alors ?

Et alors je rêve à autre chose.

§.265.

Les mondes des deux sexes.

Obliger l’autre à checher du coté qui lui est interdit.

Un refus volontaire = une idée d’y aller.

Une acceptation volontaire = une idée de ne pas y aller.

§.266.

Elitisme et inégalité à la base de pas assez d’organisation et sureté dans celle-ci pour contrôler la somme, répartition donc que les gens ou soit s’entre-spolient ou gaspillent.

Peut-être l’homme se serait-il auto-détruit dans ces conditions.

Dilemne unique ou solution extension de territoire ou se reconcentrer sur sa bonne régulation.

Energie.

Réflexion et sens pas besoin de s’émouvoir pour recoller. (car perte de sens entre ce qui est juste et fait)

Plus d’infos extérieures traités.

§.267.

Ce n’est pas contre toi, mais contre l’idée que je me dresse. J’ai le droit d’avoir un avis (et par réaction prouve qu’il était toujours logique que je la fasse remarquer.)

§.268.

Evidemment on n’encourageait rien de peur de voir tout s’effondrer. Peut être aussi parce qu’on savait que ce qu’on espérait n’était que ce qu’on espérait et que même déçue d’autre chose, forcément autre chose il y aurait.

§.269.

L’apparente fatalité est là pour vous faire comprendre que quels que soit les éléments, la vie dépend de ce que lon fait.

Plus enfermement de l’un :  Femme  =  mariage arrangé.

Esprit cloisonné et effectivement il n’y a que sur ce que l’on vit que l’on peut penser. Le couple solidaire ainsi ébauché.

§.270.

Moi je n’ai vu de valeur à ma vie, qu’en sachant que quelque part j’étais devenu le rêve qui avant même que je le sois l’avait faite.

Elle avait le pouvoir de représenter, de me donner une idée de ce qu’était quelqu’un qui l’aidait. Elle m’apprenait constamment pourquoi et à quel point le rapport à l’individu, au système ainsi qu’on constituait était la source du bien être et l’apparence des divinités.

§.271.

Avoir été aidé, son rêve comme la seule chose qui puisse se compter.

§.272.

Donner de son mieux et déchaîner de son mieux.

Implication totale à ce qu’on fait.

On ne peut pas voir l’effet que cela a sur autrui autrement que par la sensation que l’on en a, qu’en fait ne pas se tromper ne nous appartient pas mais est le fruit de deux maux quand ils se rencontrèrent et ce que cela donna.

§.273.

L’homo qui s’avère et sa propention à l’exibition, car simplement la relation corporelle (et qu’on nomme sexuelle est naturelle contrairement à ce qui est prôné.)

Sexuelle = base de la sensation corporelle que l’on sait pouvoir avec l’autre partager.

Base du magnétisme, –  –  – correspondance de l’esprit et principes sur corps activés.

Esprit se recentrer = bien-être des corps  qui si on se rapporte à cela, si on veut pouvoir le comprendre, le percevoir clairement dans sa conscience l’entériner. Bien être sexualité envie de se reproduire.

Traduction : Jouissance, jet, bander, le cercle intérieur, circuit fermé avant de toucher.

Comme sa présence c’est être reconnaissant, savoir pertinemment que chacun est chacun en train de porter.

§.274.

J’ai toujours su que ma femme serait ma faiblesse. Autant que celle qui me ferait prendre conscience des dangers qu’il y avait mais sans sa résolution. A le combattre je n’étais plus moi, la vie était cela, ma vie c’est elle qui la recevait.

§.275.

Ce qu’on devait à la génération qui vous avait porté, c’était l’accès touristique, guidé de ce à quoi il n’avait pu travailler.

En usine elle n’avait pû devenir professeur d’escalade mais c’était à la montagne à s’occuper maintenant, qu’il fallait accéder.

§.276.

Mais pour cela une assurance qui permet de marcher. Organiser des marches et tout ce qui pouvait se faire dans le cadre d’une nature cultivée et préssurée. Et je couperais, j’étais soulagée à l’idée que Mami puisse faire des voyages organisés avant que cela puisse s’établir comme moyen de faire des randonnées.

Utilité des compétences mais comme condition sine qua non aussi à les développer. Apprentissage constant.

Pour l’instant impossible pas l’idée car voudrait dire que Papi et moi se laisse tomber un pour la mer l’autre pour le vert.

Pour réfractaire ceci est une question d’éducation, d’être imprégné d’un système, depuis tout petit, pouvoir se diriger.

Doit-on génération de ce que leur pouvoir n’ont pû leur donner. (comme le point qui en nous fait germer ses idées.)

§.277.

Se tromper.

Pour se rattraper, sentiment de déverser le poids à porter.

Principe de perfection.

« Peaufiner » car savoir que tout doit – être au plus parfaitement possible pousé et  » re-re-s’arranger «  de savoir parfaitement bien qu’il ne sera jamais que hasard si le grain de sable ne s’immisce pas dans la machine.

Alors c’est par cela que l’on ne doit la laisser une seconde sans être surveillée, alimentée, perfectionnée.

§.278.

Les limites sont celles que j’ai moi-même fixés = artificielles à l’autre. Ne peuvent – être devinés pour de la même intuitivement respectés.

Les limites auxquelles ont peut se référer sont celles qui sont permises, accordées par la société.

Non pas des limites arbitraires, imaginaires, phantasmées mais sur un témoin par tout le code prolongé et construction non plus de limite mais terrain sur lequel se rencontre et ainsi porté tout individu du à l’édification autour de quelque chose par lui-même de ce qui n’a jamais été auparavant fait et rejoint par les autres.

Préservation. Inovation. Individualité identité dans l’originalité.

§.279.

Tous nos mouvements se font et éternellement s’en vont pour continuer, se répercuter en tout point.

Elle était celle sur qui je croyais ce qu’ils faisaient, réfugiés en son sein.

§.280.

Les doutes, l’instant où ce brouillent ce qu’on se sait capable de faire et ce qu’il faudrait encore pousser pour que ceci puisse se parfaire.

Mais ne pas oublier que ce trouble est simplement le temps que se raccorde ce qui ne l’a encore éré.

La tombe, le jardin, renaître c’est la preuve qu’il ne faut avoir peur d’y aller.

Simplement calmement un à un sentir ce qui sort de nous et savoir que c’est juste cela qui se fait et n’avoir plus qu’à sereinement en même temps qu’observant (état extractif d’intié) en maintenant sa décision, savoir que ce n’est l’annonce que d’une manière de continuité.

Voir ce que lui au monde sans ses yeux sont en train de féconder. La limite sans forcer, s’étendre, c’est elle qui alors montre le remue ménage que le travail fait.

Eclosion. Et poursuite en un rythme de plus, à en voyage à été l’allié.Suite à l’apprentissage. Remise à niveau.

(Eviter la crise cardiaque à vouloir le –                 – ou la déprime à croire qu’il est un reus d’aller plus loin alors devant nous, en nous le chemin se fraye.

La limite non problème mais nous travaillant, elle comme directrice, animé à elle et elle vient à nous former, pas la combattre mais l’observer.

Elle nous explique qu’elle arme l’on est et vers quoi peut elle viser pour mutter et accroître son champ d’aspect.

§.281

Nos femmes étaient jalouses mais l’on s’aimaient comme des enfants s’accordant à chacune la fidélité que l’on se savait l’une de l’autre justement. Peut-être aussi les serions l’une de l’autr intimement car nos épouses (vu nos cas) devaient assi être maman.

§.282

Et l’on s’en cachait car on redoutaient d’elle l’abandon tout court ou celui de nous considérer aussi telle leur femelle.

(pas trés joli comme terme ça mon amour)

§.283.

On est tranquille avec celui-là, on peut lui faire porter les responsabilités il est aussi brilliant que la fidelité à ses engagements (et à sa femme) lui a apporté et rassurant dans ce qu’il sait comment face à l’épreuve se comporter. ne as arbitrer et qu’elle soit surmontée.

(Tiens j’ai l’impression de reconnaître quelqu’un dans cette description !)

§.284.

Tout le monde était autour de lui, il recevait les informations en priorités (Puisqu’il passait tout son temps, sa rage à les traiter) autoutr de lui l’ambiance créait et s’en en être abreuvé ou possibilité de prendre son sac à dos, et de partir les chasser, mortuaire il devenait.

Les infos traitées et vie.

§.285.

L’impression d’affolement de flou, la limite qu’il faut pourtant sagement regarder, comme un message pas encore décodé.

§.286.

Garde le rythme max c’est pouvoir tout le temps apprendre explorer et garder sa réserve ainsi pleine pour quand l’action sur un point particulier est ressenti, suscité.

§287.

Il m’appelait come on le fait avec un chien. Il savait pertinement que soit dans mes réflexions ou étourdi dans mes sensations je ne voyais rien alors ne restait plus qu’à gueuler pour que je sois bien sûr que c’était à moi que l’on s’adressait.

§.288.

J’avais la force de le faire pa la force qu’elle m’inspirait. Elle m’avait insiré, donné la confiance dans ce qu’elle m’avait témoigné qu’ell ne savait capable d’y aller. Et il ne suffisait d’être en corps à corps avec l’objet pour que sa force à elle viennent alors m’inonder.

§.289.

Travailler avec des gens eux-mêmes projets, cest que ces forces là peuvent sans le détour de l’affect du fantasmé peuvent se transmettre, s’accumuler, grossir les rangs de l’homme entièrment, entier l’actionnement sublimé.

Aider la brebis c’est savoir soi-même l’être et ainsi aider et non pas quelqu’un en particlier.

§.290.

A ne pas s’y méprendre. Celui qui est dans son atelier se nourrir de la portée, de l’attention, confère à son travail et enrésultat que son travail pet être entraîné. La tête le leader est lancé par la place qui lui est faite en accord avec ce que sa paricularité se retient directement à l’autre et donc abreuvé par celle que l’autre à pu trouver.

§.291.

N’avoir pas de chance c’est penser en dépendre, c’est ne voir qu’un seul plan, c’est ne pas voir ce qui nous est donné, c’est soi-même avoir renier.

§.292.

Le déplacement rime avec autre chose à observer aussi peu pertinent que notre champs d’action sur la transformation d’éléments et recherche d’associations, organisations, associées est un cercle fermé ou rien ne bouge et ne peut circuler. Le paysage des pensées et croyances des idées, quand c’est cela pourquoi l’on se déplace.

§.293.

La jouissance de l’entraînement et partager ses connaissances sur le savoir s’entraîner (seul le terrain ou l’apprentissage peut continuer). La jouissance qui ne conduit, construit, celle qui répare, celle qu’on e retranche, ma jouissance, mon rempart est celle qui m’a élevé. La jouissance aussi profonde qu’elle peut se propager l’increvable car pu la faire tomber il faudrait aussi bien crevé qu’elle est creuvé.

Et elle est juste ce que’on devine de ce qu’en un être, en chaque ^tre il ne peut être déçu, déstabilisé. La ouissance d’avoir chacun pareillement laché ou la croire dure éloigné sont ou se cache que nous et nous seul pouvons, savons la continuer.

§. 294.

Jolie – profondeur- Sagesse et tréfonds.

§.295.

Être à la hauteur de la crise. Surmote et que s’applanissentou ne puisse plus avoir de prise les typhons.

L’existence e une personne qui nous quittaient, l’existence et tout ce qu’on a touché. Et toujours se conquérir.

L’existence, me trouver sans et qui ne peut partir.

§.296.

Les gens, tous ceux que j’avais libéré et chaque jour une prière à leur offrir.

§.297.

Être gentil avec les gentils (au timide rapport à l’humilité et en position, situation dans lesquels il aurait à mettre les gens à en faire preuve). Développement d’autre rapport à ce qu’n croit nous servir ou nous limiter, compétition avec leur référence, était fondmental de constater qu’à partir de soi même l’on s’emmêle les pieds. Préjugé et adversité.

§.298.

Microcéphale.

J’en avais connu, et cela ma ramenait à des années en arrière, me faisait sourire irrésistiblement? Encore le souvenir d’une de ces amis desquels leur présence revenant, toujours encore m’apprenait, m’apprenant me naît, menait, me née.

§.299.

Le flou de l’art c’est le flirt de l’artiste avec la limite de ce qu’il connaît et cette passe donne à celui qui la contemple la propre rencontre à la forme qu’à la connaissance à cet instant là il donnerait. Et la passion refaçonnait.

§.300.

La sensation de soi. L’émotion. Les sens qu’on fait intervenant se répercutat comme façon principaleavant de pouvoir son action extérieure déclenché, activé, promulgué, faire et laisser se présever.

§.301.

L’homme se donne s’il sait qu’on le recueille pour lui et que c’est qu’il se donne de manière réfléchie qu’on relienous à ce accueil (sinon cela veut dire que cette place devient autrementplus adéquat par quelqu’un d’autre que pour lui et que lui aussi était mieux en d’autres abri.

L’homme se donne s’il n’a pas à croire ou a sentir qu’il est de la marchandise qu’il doit retenir marchander ce qu’il est.

§.302.

Ne pas croire que ce qu’il peut donner st le déposséder ou qe la valeu de ce qu’il fait n’est pas brut aussi bien que nulle.

Qu’il donne parce ce qu’il est, et la richsse venant de cette liberté. N’êtr obligé de rien dévoiler, L’homme est aux aguèts. Rien doit-on n’est séparer, l’avenir, faire l’amour au passé, restituer en soi, l’amour la magie de cela.

§.303.

Ce qui se passe, la libre ouverture, les éléments qui fallaient, tous le sont, rien d’indispensable, Car tout est !

§.304.

La transmissionde pensée. Les gens nous font penser on leur fait porter des éléments en nous. t ce terrain préalabl sont eux-même en train de les observer et de les recalquer, d’y répondre.

Entre nous et ceux qu’ils ont en eux-mêmes besoin qu’il soit discutés.

§.305.

Quand elle avait besoin de voir sur mon visage celui de sa grand mère. Alors elle-même (suivant à son insu ou par l’intermédiaire d’un autre enchaînement d code) l’interpréter et alors la qualité elle oulait (avait besoin de vor pour se dessiner sur mon visage et ainsi nos fantômes parlaient.

§.306.

A un de mes mouvements elle savait ce qui se passait, et moi de me regarder pour voir ce qu’l ne fallait et allait (me) répliuer.

Mon âme -Ma conscience.

Ma femme – Mon alliance.

§.307.

Tout seul.

Toujours tenté de résoudre, s’appesantir sur le point sensible, déjà surchargé. C’est l’évènement extérieur qui débloque ou bloque quelque chose qui m’nforme être relié à mon incapacité.

§.308.

Les choses qu’on ne soupçonnaient joue.

§.309.

Elle ne connaissait ne savant toujours où ni comment j’avais envie de l’être mais puisqu’elle le faisait avec son envie à elle mes zones se réveillaient et mes secousses se déplaçaient aussi. Et les fils entre mes zones elle tissait ainsi elles allaient pouvoir s’entre aider? S’inter-reposer.

§.310.

Problème. Les gens qui s’occupent d’autrui car impossibilité pour certaines personne de s’adapter, de se relier à ce qui à été concus, inventer pour la majorité. Ces gens perdent alors de leur sociabilité car pas aider dans ce qui devrait être un chantier, responsabilité de société = désolidarité

Car perte de sciabilité et implique utilisé dans un programme car perte d’habileté.

§.311.

Art sauvage et sauvagement organisé. car soif d’ouverture d’esprit. Savoir ce qui s’était bien passé, ce que les autres en comprenait et comment ils,on s’en était arrangé.

Immotivation. toute action aussi et source d’intérêt initial pour l’individu.

Ne peut plus se régénérer si de son action il n’est pas continuellement appris, et source lui-même enseigné appliqué ce qu’il ne faut plus discuter, se raccorder à d’autres pour amèliorer le système.

§.312.

L’acquisition de la jouisance, un niveau dont-on peut décrocher sans dépérir. Pouvoir pratiquer quelque chose qui lui est associé.

Ne s’en décrocher devient le niveau tolérable, en dessous n’est plus tenable et sinon la douleur nous renvois la chercher.

§.313.

Ne pas être contesté psychiquement c’était donc ne pas faire de différence etre les gens. Que les choses ne deviennent pas pour toi moribondes, étaient de renverser les conditions nécéssaires, se développement.

Et ne faire de différence est la seule saine et avisée des manières. La spécialisatin, le pouvoir de travailler dans un domaine(au sens interactifagissant) est la manière de développement ses particularité sous à celle des autres étoufés.

Ouverture d’une autre dimenssion, alimentation et alimenté.

§.314.

Prolème = Problème de compréhension. Terrain d’émotion, d’entente dans, je pense ce que tu es, je sais que tu es, je te prends en considération, je sais que tu es et que je suis au carrefour et ce que ni l’un ni l’autre ne sait.

§. 315.

La prise des sensations était de remettre en cause le boulot. Le boulot qu’on faisait, se dire que ce qu’on faisait pouvant en fin de compte plus nous devenir que nous apporter l’idée de suicide paraissait comme seule raisonnable en ces moments là.

Et à la mémoire de l’objet revenait, que de toutes façon des unités d’heures de boulots devaient nous préparer à atteindre ce pourquoi on devait qu’il était un –        – mais chaque fois, la victoire de se lever.

Cela de toute façon impliquait de toute façon de faire un boulot qui ne vas pas nécessairement, pas être directement apliqué, puisque le but aussi du travail est de nous faire finalement accéder à une façon de procéder, c’est à dire nous faire découvrir, créer ce vers quoi l’on peut se diriger.

Pas pré-coupable et çi-inclus de faire des choses à coté.

Tout comme de prendre conscience que le monde d’organisation nous fait faire des choses à coté car l’on doit à terme avoir à édifier nos connaissances. Ce comment l’organisation générale pouvait se débrouiller pour plus exactement nous enseigner.

§.316.

La douleur suggère à un geste qu’il n’a pas la bonne pointure = le poids, la pression mal répartie.

§.317.

Si je n’ai rien à faire de ce que je devrais, la vue d’une fourmi alors puise toute mon énergie sans que j’ai même le loisir de l’observer, lui parler.

§.318.

Le couple revenait exactement à vivre avec soi-même !

§.319.

Ne pas s’énerver, faire les choses posées c’est reconnaître se battre autant parce qu’on est que l’extérieur de ce qu’on en sait.

C’est pouvoir mener un combat qui ne peut (s’) achever.

§.320.

Religion, spiritualité.

Comme attente communautaire que l’accès en progression.

Que les prières puissent être exaucées, l’individu en train de s’élever.

§.321.

La perte de mes feuilles, tombées de mes poches et-ceatera. Et me demandant, mais qu’est-ce que j’avais fait pour mériter cela ?

En règle générale j’arrivais toujours à retrouver un péché un truc significativement mal fait ce jour là.

Et de cette faute (que j’avais maintenant associée à ma perte) était devenait, comme à partir de cette instant béni de moi.

Tu me semble culpabiliser un peu trop pour mon goût ma petite Caroline d’amour ! Ton : Dany.

 

§.322.

Le propre de l’avancée étaient la tempête de choses qu’elle devait traverser.

On a une idée puis une autre différente nous empêchant de croire en l’absolutisme de l’autre voeux, tandis que l’autre on tentait d’incarner, de classifier jusqu’en cet instant c’est en maître (tresse) qu’il (elle) rêgnait.

L’écriture, la pensée,c’est à partir de la pensée avoir une idée à poursuivre, se mettant à l’épreuve comme quelque chose n’ayant aucune autre destinée et visant un ailleurs, un autrement.

La faire tenir par ses réflexions aupravant regroupés en elle de ce qu’il faut, qu’elle s’auto suffisait.

Mettant alors ses sensatons de cotés, ou alors de s’arrêter au point où l’on a perdu et contempler ce qu’est l’association de deux idées = l’état dans lequel on est.

On laisse se créer par association de deux tendances venues une union, sans intérêt, nous étant devenue.

§.323.

Je cessais de m’éffondrer sur la petitesse de ce que je faisais quand j’en revenais à me dire, me rappeler, que chacun de mes milliards de compatriotes la même chose faisaient et que notre simple mission était pour après nos forces rassemblées.

§.324.

Tout le monde était alors solennel.

Une impression d’un autre monde dans cette gare où tout le monde était là pour un train dont personne pour personne la destination finale ne connaissait. (et dont chacun se fout comme chacun se fout de l’autre dans ce monde de j’en fouttre.

Où vas-tu ?  Quelque part où « sincèrement » je pourrais trouver quelqu’un pour m’aimer, « sans partage », si encore se peut !)

Nous étions dans une gare, personne qui ne se connaissait. Simplement une musique classique, le son fort et les notes super classiques insinuait en nous tous.

Le trouble et simplement une présence qu’on a senti.

Mais à laquelle on ne s’est pas raccordé.

Le monstre puisque ce qui va nous arriver, on ne le sait pas.

Reconnaître cela à tout le monde et ne plus s’étonner, mêmede soi, même de l’autre à quoi !

§.325.

Comme le gros qui paraît actif en tout cas sûr de ce qu’il est alors que moi une telle qualié serait en train de me térasser d’énergie en trop comme de celle car interdite dont elle priverait.

Mais elle tenait bon !

Car c’est ainsi et en resserrant des choses ainsi que depuis des années elle marchait, elle Aurrai !

§.326.

Il fallait justement surpasser sa sensation corporelle pour assurer des actes qui tout les jours se répétaient. Placer ailleurs son attention que dans ce que l’on faisait (ne pas préter attention à ses mains.) Ecrit mais en soi au corps entier ou son geste automatisé mais tout but et vers autre chose porté.

Tandis que la variété des besoins sur le chantier, nous amenait à savoir comment toutes nos parties marchaient.

§.327.

L’escalade, cest le faire pour, parce que la montagne c »est aller vers son sommet alors que son corps sur ce qu’il touche d’elle doit se concrétiser sur la pierre s’adonner.

Elle est l’image qui me guide ; Et c’est devant moi lebout de rock, la pierre que je dois maintenant travailler regarder, et c’est par cette pierre que la montagne et moi sont un même bloc.

Chaque point maintenant à l’immensité.

§.328Page 270.

Bien sûr j’avais l’age de savoir que l’amour était obligé entrenous deux, car on s’était choisis et ainsi c’était à travers chacune que nous vivions ce qu’avait d’intime notre vie.

Bien sûr que je savais que ce pacte pourrait-être avec un autre amour (le même amour répété)

Mais le pacte avait fait que c’était son visag qui le portait.

Page 271.

Je tentais de m’actionner toute la journée et quand je n’étais imprégné de mes réflexions sur la matière alors c’est son image qui suivait. Et je n’étais sans prise de tendresse, un sentiment qui pouvait se reposer et se satisfaire lesbien. Être en un seul sachant ou de l’affollement qui me prenait à penser qu’elle puisse t-êtr mieux avec un aute ou c’était un fait délicieux car faisait ce qu’étai le mieux pour ma vie, en même temps que l’aimer, de pouvoir tous les jours lui avoir donner.

Autant que de n’être dépendant d’aucun sentiment puisque cela avec elle ou sans elle c’était la vie qui décdait. Mais elle, notre commun accord, faisait qu’n elle toute ma vie povait couler et que de moi je saais que la vie je pouvais porter.

J’avais voulu pouvoir utiliser femmes et hommes dans me textes, de manières à ce que personne ne puisse vouloir analyser quelle portance (et que veut dire virilité, féminité, il, elle ont-ils un sens autre que celui des répartitions des tâches et figuration organisationnelle précisées.

§.329. Page 271.

Rien n’était plus destructeur que d’avoir trop mangé par rapport à ce que l’on pouvait en transformer. La douleur est ce qu’elle amenait à ne plus savoir que faire, à être déboussolé (et faire « n’importe » quoi).

Dans ces moments là J’avais perdu pied par rapport à ce dont était capable mon humanité.

C’est donc se perfectionner sans avoir à détruire, à faire régresser leschoses que l’homme touche l’absolu.

Page 272.

Que son record peut mener en toujours d’autres lieux attestant de l’absolu comme attestant de l’immortalité et du bien fondé.

On vit par quelque chose, un plus quelque chose qui persistera par des possibilités à être fragilité des destinées et virtuellement contraires. Quelque chose sur lequel tout peut se reposer.

On vit pour aimer.

On vit en aimant !

§.330.

La fascination des corps, est un corps capable, parce que sachant tout, tout le temps portè, tous les éléments le constituant, de l’unité en train de le traverser, en permanence.

§.331.

Au fur et à mesure que je progressais et me rendais compte que c’était, grâce, parce que, les gens que j’avais rencontré que j’en étais, là où j’en étais.

Et revennais en moi leur force à chaque fois que j’arrivais à un stade où, situations qui me les rappelaient.

A chaque fois que je comprenais ce qu’il faisait.

§.332.

Je ne suis qu’un âne et mon esprit le fait, que je puisse parler de moi et tant qu’entité est juste une boîte dans laquelle (le monde entier peut se regouper) et de me construire par rapport  cela dans l’accumulation et liaison de ce que je fais.

§.333.

Je commençais à comprendre les vieux qui disaient le bon vieux temps, il sufisait que je m’en tienne à combien le système d’une société de —       — me dégoûtait.

Comme à chaque fois qu’on jouit de quelque chose si on peut le voler.La culture de la culture n’était pas un droit pour et par tous alors (dans la vie aussi que ceci était en train d’éclore et que l’orgie permettait peut-ête que toutes ces idées, même si toutes l’était en vrac, soit développé, poposé, heurté.

N’étant pas un droit alors il sortait du champ des devoirs que de ne pas se, le, fâcher.

§.334.

Ce qui était avec la fatigue, la pression c’est que l’on pouvait tirer sur elle des périodes de temps inconsidérées puis quand la fin de l’échéance venait alors là tout pouvant en tous se lâcher.

Et la détente des dieux, le sommeil le plus profond m’emparaît, je me foutais de ses bravades, il était le jouet de sa faiblesse, sur son système n’était que l’interprétation que ce que de lui les autres pensait. Je ne lui en voulais pas simplement parce que lui ne s’en doutait pas, moi je le savais.

§.335.

Animalité dans le sens rencontre avec ses sens (situations diverses – nécessité de s’adapter) Et il faut être au point avec elle pour être stabilisé dans la compréhension des faits. Nos sens ont besoin d’être prêts du soir au matin, tendre vers un même projet.

Il répétat souvent la même chose de cette chose.

En fait, il ne savait pas comment la définir.

C’est ce qu’il cherchait !

§.336.

Je m’étais trompé de mot, le regardait fixement.

Et lorsque en même temps que de le fixer mon cerveau reprenait l’infos que j’avais ainsi, à cause de cet élément éclairé.

Il faillit lui cracher dessus et le traita deux ou trois fois de « con » de manière spontanée.

§.337.

Devant la pas encore organisation les hommes ne peuvent développer toutes leurs qualités (projet société : implique humanité) alors incapable d’adapter leurs sens à la complexité des situations (ce qu’apporte la poursuite de sa passion traversant et respectant toutes celles oui ou non déjà perçées, découvertes nommées). Alors on était obligé de figer les situations.

Pour que l’homme se retrouve dans un même état sensoriel psychique (une étape artificielle obligée) lui permettant de réfléchir sur les conditions naturelles et comment les optimiser et d’attendre nos vies durant que le progrès et conscience du groupe soit assez affinés pour que chacun puisse passer maître dans ce qu’il se trouve qu’il va former.

§.338.

Je finis par tout à fait rigoler. Car il m’arrivait d’exprimer mon admiration, mon adhésion, alors que les gens la prenait pour du chiqué, et s’en énervaient. C’est comme cela que tout finit par m’amuser.

§.339.

Nos passés faisaient que bien que ne nous connaissant pas nous avions des choses en commun. Nous étions rapidement arrivé à des relations de meilleurs copains. Nous nous inspirions de nos manies, conventions à celui qui était le plus mari.

(Imbécile ! Le 17 – 06 – 2006 : à « non  » DEMAIN ! Daniel. )

Et cela nous mettait tellement en joie d’y parvenir bien, que nous allions jouer aux petits autres avec mon pote.

§.440.

Les éclairs venaient quand l’esprit de  reposait. Mais ne prenant pas de vacances ; Justement si on n’avait comme but naturel de tout le temps songer à s’activer. Alors l’esprit naturellement saît comment gérer sa fatigue, besoin de détente, palier de progression.

L’éclair venait quand devant les choses que j’avais à faire avancer, mon esprit prenait vingt minutes de vacances qui :

  • Totalement redétendait.
  • Raison supplémentaire à ne pas décrocher, ceci m’apportant l’optimum de bien être, plus optimum de volonté à ne cesser de le conquérir.
  • Me donnait des idées à savoir comment prolonger cet état de grâce.

L’amour avec le concret.

Dépassement de soi et utopie réalisés.

§.341.

Se travailler. Savoir comment on est fort.

Savoir à quoi cela sert.

Communément. Se respecter. Se maîtriser. Maîtriser les qualités, les fautes de capacités. Savoir que tout dérapage naît d’une particularité de chacun dont on ne sait se servir.

§.342.

Je commencai (passé simple Caro) à ressasser quand les glandes ont apparût. quand j’en vînds à la conclusion que mon corps n’était pas la chose lisse, de marbre que je le croyais, ou qu’il est des fois (Ou parce qu’il ne c’était pas à une tâche particulière fait ou parce que cette tâche il avait totalement intégrée et son corps alors d’un seul bloc était.

§.343.

La vanité c’est savoir intérieurement ce qui pourrait être fait et passer à la trappe.

L’humilité.

Et les choses qui prochainement vont se rassembler. ( RÊVE ! )

§.344.

Le faux mouvement = apprend à aller plus loin, plus fort, rechercher sa propre mécanique et faire passer son énergie dans la technique.

Chercher nouvellement est capital, il engage toute notre vie. Ne pas s’user et conduit à la sensation qui englobe, la tension à répartition égale, celle par laquelle tout le corps renaît, reconnecte ce qu’il est. Unité = Possibilité d’ascencion à l’étape d’après.

§.345.

Accumulation d’argent et sécurité.

Richesse en sécurité.

Gagner de l’argent pour être en sécurité.

Hiérarchie et souverainetétant que sécurié n’a pas trouvée un chemin naturel (par propagation de l’éducation .   ..    … !)

Richesse accumulée = arme péservépas distribuée, but d’un groupe au même intention et sciences partagé n’est pas bâtit sur un omdèle de richesse = entr-alimenté SAvoir se servir de la science sans l’épuiser.

Qualité de la fabrication.

Utilité.

Durabilité.

Une communauté.

Nécessité de pouvoir être contredit car servant à l’unité constitué, se développant en ce que chacun pourra se développer.

§.346.

C’est à elle qu’on criait de parler plus fort alors que pour les autres on ne se manifestait. Ceux qui n’étaient pas impliqués pensaient que c’était pour lui marcher sur les pieds. Ceux qui s’y intéressaient savaient que c’était que parce qu’il y avait quelque chose, une question qu’elle soulevait. Quand on s’énervait de ne pas savoir ce que cela était.

§.347.

L’art, la connaissance et la possibilité de s’étendre avant de choisir. Mais anime à un moment ou si on veut être performant en une chose est obligé de plonger.

Matériel  disposition de ceux qui sauront s’en servir. Bonheur et ascension vers toujours plus haut et le choix aussi s’élargir à mesure que l’on a approfondi.

Choix poitus sur un sujet choisi mais choix que de soi-même se crée plus point en des points sur d’autres sujets.

§.348.

Alors qu’est-ce qu’on ferait de quelqu’un qui ne voudrait que lire.

Il y a des conservateurs de bibliothèques vous savez ?

§.349.

Dire l’évidence c’est chercher à ne pas démordre de ce qui est évident, source de vie dans la vie c’est de s’y rendre.

§.350.

Fourmis.

Une fourmis qui quand un doigt se lève pense qu’elle est la plus forte du monde ou la moins quand elle ne parvient pas à ce qu’il cesse de la harceler.

Les forces aussi extraordinaires que viles dans la même proportion, expliqués.

§.351.

Pas de sur normaité mais en état de fait qu’on a pas encore analysé, pour l’instant au délà non pas de notre sensorialité mais de notre compréhension relative.Absolu c’est ce qui intégré à notre compréhension et ce à quoi aboutissent nos sens quand il rencontre l’unité.

Mais ce qui ne peu se dire et toute fois, tout le temps dans l’air et l même rassemblant tout à jamais.

§.352.

Ne dis pas elle est intelligente, ça se voit.

Mais elle a pû exercer son intelligence cela se voit.

§.353.

Sang froid puisqu’on est toujours plein d’émotion ceci veut simplement dire qu’on le sait, doit vouloir, être bien comme cela.

Sang froid. Ticket pour le paradis. Liberté et pouvoir être maître de soi partout ou on devait aller et à quoi on est assez chacun en cela. Sang froid et économie d’énergie souplesse, persévérance, ténacité et longévité.

§.354.

Se tenir éveiller, en concentration (fait vivre ce par quoi on est traversé ) et avec quoi on arrive à poursuivre ce à quoi on se veut, destiné (ée).

La particularité de notre concentration alors enseigne et fait que les autres concentrations pouvant s’y reposer ou y puiser.

En un combat, adversaire décontenancé si il essaye de deviner vos gestes ( jamais petit ) et vous dans ce plus haut état de réceptivité.

Obligé d’y puiser, de s’y conformer. Ou combat de lui-même arrêté.

§.355.

Préserver l’extraordinaire c’est se rendre compte que c’est le commun, le légitime ce que l’extraordinaire est, et que tout peut et va s’y retrouver. C’est ce que l’absolu veut à l’homme révéler. Et l’extase dans l’accomplissement, le divin était à cela comme secret.

§.356.

Pourquoi j’ai de grande hanche ?

Elle écarte mieux les jambes et moi de me joindre, fondre, en à son clitoris comme cela.

(Cette connerie tu l’as trouvée toute seule ?)

§.357.

Se concentrer, n’avoir peur de l’image qu’on se fait des choses, car c’est cette image qui nous permet non pas d’accéder à la vérité mais d’ête la vérité. Car en fait on lui rend un de ses aspects non pas en le créant il est déjà. Et des raisons il y a.

Admettre une réalité c’est pouvoir que les éléments cachés qui lui sont associés puissent se montrer et être ainsi englobés constituant actif de la dynamique.

Et les connaître c’est les rencontrer, les porter et par eux ne plus en être perturbé.

§.358.

On s’aime tous. La frivolité était la même.

Je suissûre qu’il m’aime. AIME.

Car adhère et vit tous deux pour un même projet et tout peut ainsi se poser.

§.359.

W. C. dehors. Pipi pas chasse tirée. Ma grosse vulgaire de voisine m’insultait. Alors quand elle me coinçait dans le couloir puisque de folle je me faisais traiter, et que je savais ne pas pouvoir discuter du problème de pénurie d’eau, jusqu’à mon appartement je courrais.

De dos il ne lui était pas possible de me voir pouffer.

(De rire de cette grosse conne de dondon, bien sûr ma chérie et il est vrai que parfois je t’en ai fait la remarque aussi.

Ne t’inquiète pas à ton retour tu seras chez nouset tu feras selon tes convictions. J’installerais ce qu’il faudra dans le pavillon pour que les consommations soient minimums pour calmer tes scrupules, je t’aime tant que tu pourras me demander de faire, n’importe quoi !)

§.360.

La résistance à la douleur, implique le fait de ne plus être focalisé sur le point  douloureux de développement de son attitude (ou recherche si on en reste à l’idée que cela ne peut-être que par la conscience d’une émotion, vie extérieure, guidée.

Une force pouvant selon ce qu’on en prend, ou souhate s’en- – méconnait,influer.)

§.361.

Le geste n’ayant à être particulièrement observé, impliqué avec pour but de signifier quelque chose et comme on le voudrait :

  • Chaque geste d’avant, le fait même que l’éclosion se sait passer à changer quelque chose dans le contexte et ains en elle-même une possibilité à ce que la conscience de l’autre soi par là même éveillée.
  • Si on veut pouvoir avoir une raisonance sur quelque chose il faut admettre avoir été constitué « pour » « par » lui, (ce que son écho a été.)

Et donc n’avoir rien étouffé.

§.362.

Ces têtes d’éberlués étaient celles qui savaient leur rythmes biologiques, étaient capables de bosser 20 heures e d’en dormir 12, enfin n’importe quelle proportion d’heure le principe étant de bosser jusqu’à temps que le sommeil vienne et de recommencer dés quil partait.

Ceux là n’avait pas besoin de faire la course au temps en faisant semblant, se gérer, le style, s’occuper.

Le temps ils épousaient.

§.363.

Mon voisin est insomniaque et bruyant !( tu croyais cela mon minou ?)

§. 364.

Qu’est-ce qu’il peut bien penser ?

Moi ce que j’en sais c’est que il se pose la même question à ton sujet en soi-non ?

§.365.

Notre prison c’est non pas de se tromper sur l’ntention des autres ( Car potentiellement nous savons que la société est pleine de dangers. Mais se tromper sur les intentions profondes de l’autre.)

( C’était très malsain, mais aveuglé, obnibulé par comme seule option de vie à un moment de celle-ci que de nous épouser.

Je n’avais pas l’intention de faire ceci à présent que elle pourrait vraiment claquer.

Je croyais, je pensais.

Je croyais, je pensais pas.

J’enfermais cette femme de peur que l’on ne s’y attaqua à elle ou à sa réputation de femme dévouée.

Est-ce ma faute si elles sont considérés comme des damnées ?

Est-ce ma faute si nous vivions comme de continuels à être appeurés, inquiétés.

Elle était l’histoire de l’endroit.

§.366.

On ne pouvait jouer longtemps à ce qui ne convenait pas ( le don et devoir et le droit ) sinon en en privant tout autre on se détruisait soi.

§.367.

On ne peut faire ce à dont nous savons qui est amoral, sans se briser soi-même, alors que nous pouvons le perpétuer à partir du moment où ce fait n’est pas arrivé à notre conscience. ( = Droit et devoir établi appliqué formellement par la société ) le méfait (ou conscience qui fait que l’on est conscient de ce qui est mal) cette même coscience qui nous met à l’abri de souffrir des méfaits puique neutralise la dimension ai-je ou pas enfreind le bien ou le mal. ( Notion d’irresponsabilité en droit pénal )

Référence : Guide pratique du droit !

§.368.

Le fait de se sentir mal, de ne pas vivre comme on le sent, que l’on devrait, c’est vouloir tuer le temps –  —   — !

Tous les moyens sont bons évidemment. (car moyens inconscients )

§.369.
La catastrophe, et comment le groupe va se renouveller dans l’évènement extérieur samanière de se penser de faire évoluer son organisation.

§.370.

Détester c’est voir que quel qui veut essyer de calmer, de raisonner la situation en en étant apparemment moins affecté ;

Si il est moins affecté ( chacun réagit en classant la situation comme il peut ou pas d’ailleurs car elle est partie où présente et cela tout être fait en dehors de sa volonté ) et se dit l’autre s’il est moins affecté c’est qu’il a trouvé un truc et ne veut le révéler.

(Référence aux inégalités) et alors voudra le lui faire payer.

§.371.

Grosseur et circulation sanguine. Maigrir et difficulté. ( Là à cette date du 17 – 06 – 2006 TU TE FOUS de ma gueule mon minou d’amour depuis le cirque j’ai pris pour ainsi dire. Euh ? 12 KILOS. Vivement le pavillon que je reprenne un peu d’activité « physique » )

Modifie le dynamisme corporel. Faire du sport n’être pas que cette source suceptible d’être transformable.Modification d’afflux sanguins avec sprt aussi avec bien être et contrôle associé.

Bouffe = sensation de privation = pour trouver un prétexte à renoncer. Changement de l’afflux sanguin subbit.

§.372.

Apprendre à tous les niveaux d’une matière. Être sûr de progresser.

Texte : Se conte.

S’écrit.

Se tr          aduit.                                       }     Un entraîne l’autre.

Se met en scène.

S’analyse.

§.373.

Ne pas manger excessivement est pouvoir sentir le goût de ses entrailles.

§.374.

Être assez léger pour savoir reboudir, ne pas s’avachir sur les parties des membres, au lieu des articulations compressées.

§.375.

Savoir qu’un membre à un moment est fragile est un bien comme cela on ne le bouge pas et fait transiter l’énergie autrement et lui peut-être préservé tout en gardant une immobilité avec laquelle on peut s’équilibré à la différence de ce qui nous déséquilibre et endolori, confusion de continuer à le bouger.

§.376.

Volontaire, arbitraire !

La répulsion venait de ce qu’on ne savait pas comment adhérer.

L’attraction venait de ce qu’on ne savait pas comment aller au délà.

A partir de là on sait comment se redresser lors d’impressions d’être lésé, se fait subir et qu’en soi-même ou vers l’extérieur on veut intervenir.

Simplement le trouble et devoir prende en compte élément entrain de se déchaîner et nous de devoir le contenirou faire qui puisse rayonner.

§.377.

Pouvoir rire, jouir en récompense en son rapport aux choses savoir qu’on donne le meilleur de soi. extase et étape.

Discuter vrai c’est soit se poser des questions sur ce qui est entrain d’avancer. Soi donner le résultat de ses recherches ou contre argumenter avec seulement les éléments déjà exposés.

Déjà exposé, ce qui empêche la bavure d’étendre un sujet sans avoir à réfléchir auparavant au problème préalablement posé.

§.378.

Travailler sans s’user, c’est travailler à tout. Non pas rester professeur jusqu’à 70 ans / 35 heures par semaine mais apporter indéfiniment à l’enseignement.

Problème : Job sans évolution, partage des connaissances et fonctions.

§.379.

Si je fais des pompes sans actionner mes abdominaux je m’arrête de faire des pompes car si je ne tiens pas par abdominaux je me massacre le dos et d’elles-mêmes les épaules vont dire stop non pas parce qu’elles ne le peuvent plus mais savent être sources de distentions.

§.380.

Qu’est en train de s’élaborer, résister à l’infidélité à son savoir tout faire.

§.381.

C’est pour embrasser toutes les qualités et ne pas se conformer aux différents rencontrés.

Être servi par l’énergie sans discontinuer et par dela à elle était pouvoir être égal à tous, ce jour là j’eus le même surprenant plaisir d’hier. les odeurs de « latrines » de ce jour là je ne pouvais rien oublier.

§.382.

L’énergie en accord avec soi qui alors se fera une joie de nous propulser.

Etape intermédiaire peut-être dans notre volonté de compréhension formelle.

Que peut-il bien se passer.

Arrêter le flux pour le voir ré-arriver.

§.383.

Les gens ne se comprenent pas car dans l’odissée des compétences on a été habituellement, formellemnt s’entend, à justifier le déséquilibre des moyens comme des gens capables désignés pour les garder c’est à dire qu’on est dans un shera dispenseur / dispensant en omettant complètement que l’un et l’autre par exemple le même temps soigne et est soigné.

C’est pour cela que le cercle n’est pas mis en relief.

Insensibilité – incompréhension – incapacité en développement d’une société apte en développement humain.

( Pour l’instant apte elle ne l’est pas en France, et ne l’a jamais été ! )

§.384.

La manière qu’a chacun de s’arranger avec l’énergie, promet un suspence inédit. Pas de possibilité de savoir ce que va faire le personnage en tenue formelle puiqu’avec l’absolu il a comme possibilité et unique issue que tout se ralie alors que sa relativité ne lui permet que d’être à mi chemin entre possibilité, sa capacité présente, future et celle encore non supposée = le chemin vers la non progression ( rien que pour une ré-analyse des faits ) est destiné, lui aussi à s’arrêter.

§.385.

Ne pas chercher la sensation c’est l’énergie pouvoir bloquer, calmer, assez calme pour se permettre à analyser ce qui peut l’entraîner. Sensation signal une nouvelle arrivée d’éléments d’observations. Le champ de la perception.

§.386.

Pédophilie et sexualité. Appropiation. Défaut social d’éducation. Être éduqué. éduquer !

Défaut d’apprentissage d’être et de pouvoir porter.

§.387.

A ma femme quelqu’un à défendre et pour vous défendre mentalement règle les problèmes de dualité (Sentiment d’injustice  –  –)

Mariage forcée et coercitionaus seins des familles obligés et sociétés. Coertion famille garde la société.

Si coercition la famille solidaire obligé est dans un monde sans repère commun vivant en mental exigé.

§.388.

Celui qui fait tout le temps sans s’errêtr sait qu’il ne fait justement riende plusque ce qu’il en peit pertinemment. et ceci la condition de se sentir en bien être leur  communicabilité.

§.389.

Le couple.

Ma femme portait en elle toute les personnes m’ayant séduite, la fidélité, s’entend à la fidélité,permet de garder son désir entier regroupé entièrement et actif, motivant notre action, c’est à dire pouvant entièrement s’exprimer, se sentir, se réaliser.

Et cette réalisation pouvant se transmettre en tout point. C’est la parfaite fidélité à sa feme qui fait que l’on peut tous les corps de sa présence soulager car pas de convoitise superficielle et la vie, l’avis du deuxième, de sa moitié pour venir aider la balance.

Balance. Deux points soi et l’autre et ainsi pouvoir autre condition viser, se rétablir, s’équilibrer. Point d’appui et la transposition constante.

§.390.

Celui qui attaque est celui qui est visé, on peut le toucher mais ne pas le prendre comme objet, vouloir entre lui la petite et le problème est parce que c’est justement ce dont-il est victime.

Apprendre, s’apprendre soi-même à se défendre non pas comme ce qui s’est déjà passé (viser son bourreau) mais ce qi risque de recommencer)

§.391.

« La main » force incontrôlée par le groupe qui en sentit une pour aller contre le deuxième se déchaîner. C’est les autres restent spectateurs car en fait la main, AIN, les tiens tous en son filet

§.392.

Pouvoir s’accomplir.

Ou plus exactement pouvoir voir le front de son accomplissement concrêtement s’édifier.

§.393.

Convoyer l’énergie et la laisser venir, ou au vol l’attraper, dans un de ses rayons se laisser porter et ainsi pouvoir le représenter que sa force sur terre puisse s’activer sur quelque chose, donner son poids avoir le sol que je sentais porté de la vieille pute de – en – me dérangeait. Car le monde est une vieille pute et que j’aime aussi assez bien ce qu’il (en) est.

§.394.

Le poête disait qu’il sait être  la terre et ainsi ?

Réversibilité.

Réversibilité ce par quoi chacun est habité.

§.395.

Je l’aime autant que de tenir le rôle que je dois tenir, en même temps que d’aimer ses propres exigences, particularités et amour de moi le permettait. (Nous y voilà ! L’AVEU !)

§.396.

Je ne lui montrerais jamais les deux cartables pleins de feuilles me dit-elle ceci est ce que je dois remettre au propre, des sensations et folies. Et c’est à prendre ou à laisser.

Mais qu’est-ce qu’une femme en moi sentait.

(Et ces cartables et feuilles seraient bien maintenant sous ma garde ou je me trompe fort.)

§.397.

Les rares images qu’ils me restent lorsque j’étais très jeune enfant sont en fait la plus part des images où je me vois. Comme des images me visitant depuis très longtemps mais correspondant à la représentation que j’avais de moi !

§.398.

Relations sociales étroites mimétismes familliaux pédophilie inceste, plus proximité des ages, couples jeunes mariés, jeunes.

( Elle y revient sans cesse à ses conneries et à part cela c’est moi qui était le malade, Minou tu complexe sur ta sexualité ! )

 

§.399.

Heureusement j’ai été folle !  (Ouais ! Il en reste quelque chose, et moi si je suis fou : c’est de toi, c’est de ta faute, si on avait couché cela me serait peut-être passé, rien de plus persistant qu’un désir inassouvit !  )

 

§.400.

Ma femme c’était quelqu’un que je connaissais jusqu’au moindre replis de sa peau. Quelqu’un dont je savais si le moindre petit tabou lui avait poussé sous les cheveux ou dans le dos, ma femme c’est comme celle que j’appelais par son prénom, j’aurais pu appeler par le sien de prénom.

§.401.

Distinction femme homme.

Car donne l’impression ainsi d’une découverte de l’autre, de réunir deux mondes différents, comme il se trouve par exemple deux personnes passionnées et ainsi s’échanger tout le code de leur passion.

Rapport initiatique.

Comme on ne pouvait conférer en eux des possibilités de s’adonner à un travail avec évolution alors le mystère dans le couple avec tâches et vies sociales distinctes et coupés donnaient cette impression de –              – connexion à un couple connexion à ( Illisible )

Un de ces jours cela devait arriver, le futur et le passé, était cela ne pas oublier.

§.402.

Il m’a fallu subir bien des désillusions de mon coté pour comprendre que quelqu’un qui me paraît ne pas être conscient de son charme lui – même s’est désactivé.

C’est une trouvaille de son chef pour n’avoir à endurer l’attraction à l’autre qui peut-être un vrai labyrinthe à ne plus en sortir,

( séduction et piège. c’est ainsi que je suis restée amoureuse d’un individu pendant des années avant de comprendre que c’était la manière de s’exprimer et non des intentions à mon égard qu’il avait.)

Ce couple ce sont deux individus qui ont décidés de pouvoir prendre les particularités de l’autre comme leurs étant destinés.

Simplement le deal dans le couple c’est se comporter de telle manière que chacun des gestes de l’autre peut trouver en le deuxième une portée comprise acceptée.

Tous ces gestes étaient des gestes heureux simplement parce que je pouvais imaginer toutes mes réponses comme étant ainsi de son coté considérés.

 

§.403.

Mes orgies au début sans effet.

Puis après la graisse.

L’essouflement.

Les articulations.

Et maintenant dès que je mange trop les boursoufflement, aigreurs, dégoûts –  —   — !

Jusqu’à temps d’en tomber !

§.404.

Elle me regardait fixement pour me punir de l’avoir dragué. Mais moi c’était en toute bonne foi que je le faisais, alors je crus qu’éventuellement elle voulait que je me montre encore plus chevalier. Elle pensait avoir un pouvoir sur moi, voilà ce qu’il y avait !

Je le lui avais sans doute laissé croire !

Courir n’est pas apprécié, ni par les courrus,et secrêtement ni par les courreurs.

§.405.

S’affaiblir c’est ne pas reconnaître que tout ce que l’on fait c’est de vivre la vie, qu’on ne peut pas plus.

Pas plus de pouvoir sur elle que de pouvoir la vivre. Et que si l’on n’arrête la souffrance c’est qu’on n’arrête pas non plus son chemin ce qu’elle est sa faculté à s’arrêter et à reprendre où bon lui semble.

On ne peut s’en vouloir et ne s’en vouloir pas de ce qui est.

Elle est et chacun l’on sent sort comme plus évient il nous apparaît, mais croire avoir raison serait penser qu’elle à tord !

A commencer par la relation de pouvoir, on accepte le pouvoir de quelqu’un qu’en pensant que le soi propre puisse aussi s’exercer.

Avoir intérêt au nom de la démocratie qui est celui qui pense détenir une quelconque vérité, solution.

§.406.

Le trop manger et se vouter; Colonne vertébral se tassant.

§.407.

Après le quatre-vingtième revers de ma vie par une femme dont dix peut-être de demande en mariage, je ne les compterais.

Je rentre et avec au moins ce suprême sentiment de n’être point désolé.

Les femmes m’ont entérrées déjà heureusement ce n’est pas chose qui se refait. ( Tu vois que tu deviens, toi aussi, philosophe. )

§.408.

Chercher la sensation, évaluation de la force qui peut nous emparer. Avant de ne plus chercher la sensation. Mais justement savoir qui elle est et ainsi la bloquer ne pas y mettre l’énergie dedans puisque la sensation de la sensation  =  expérimentation, courant déjà sillonné, qu’il faut prendre afin que la réflexion ou stabilité ( prêté de la réflexion ) puisse tout de suite être pour celui qui le porte en circuit fermé.

§.409.

Le problème de la vie c’est que je ne peux attendre l’improbable qu’une relation médiocre me ferait faiblir, une relation sexuelle me dégoûterai. Que pour m’accuper de mes écrits il me faut m’occuper de moi-même. Rien qu’un minimum m’assurant de ne pas tomber dans la folie or par cela il me faut trouver une femme une présence alternative à mon dévouement, l’isolement obligé mais que c’est une femelle de confiance qui me fallait.

Autrement dit de ne compter en être de confiance, lui confier ma vie, mes écrits. autrement dit je suis coincée.

Vie de solitude m’effraie. Vie dissolue -Me dissoluerai. Et vie de couple appliqué na jamais daignée se présenter. (Maintenant tu vas l’avoir à la portée du coeur, et si je sais que je partirai de l’autre coté bien avant toi toutes ces années que nous pouvons vivre ensemble seront autant de gagnées sur le bonheur d’être deux : Il n’en tiendra qu’à toi ! )

§.410.

Encore une fois une journée n’a de sens que lorsqu’elle m’a épuisée et ainsi la journée d’après promet d’être renouvelée, régénère le soi-même proprement à rencontrer. Être sûr ainsi que de ceci quelque chose puissent s’échanger. Le renouvellement de l’état.

§.411.

Les gens passaient des heures en société s’attachant à une transmission commune, j’apprends à faire la comèdie = à ne pas que se dépeignent mes pensées car au lieu de réfléchir il me faut justement arrêter = arrêter d’organiser l’énergie. Réfléchir mais ne plus devoir car réfléchir sur la situation alors qu’on a rien dans ses mains pour la faire avancer mais on pourrait son carreau de perception (télé, discuter, pour ne pas se rendre compte dans quel trou mental on est.)

Et qu’on est dans son trou, le plus profond possible que même pas la trouvaille perso, la réflexion draînant les cratères, construire des ponts pouvant se permettre de se déplacer à une étendue de l’immersion (ce qui est la raison pour laquelle on est toujours en périple de se rencontrer.

Et lorsque dans le cratère de la non réflexion ( même si celui de la réflexion est –         – en activité ) on n’a plus qu’une chose à répliquer. Je gagne 15000 Frs alors foutez-moi la paix.

§.412.

C’est devant ce que je devais continuer de mes écrits que je me dis qu’il ne fallait pas plus que ma vie, leur poids =  la sienne que de devoir me les clotiner mais que c’est que de ce qu’en savait mon meilleur moyen pour la réaliser. Le seul chemin en fin de compte que j’étais en mesure de reconnaître comme non pas étant comme le seul ensemble mais celui que je devrais terminer. (comme étant le seul à l’avoir ainsi traçer, comme celui qui ne me donnait pas l’impression, de ne pas prendre en compte tout ce qui m’étaisarrivé.

Le chemin capable de solvabiliser la collecte d’info et façon de considérer, de décrypter que le total de ces expériences avaient, était en moi ainsi organisé.

§.413.

Ma capacité au sens.

L’entetien de ma force peut-ête mais celle-ci m’empéchait de tomber, je ne sais où d’ailleurs. Car tout être tout le temps chassé de son chemin en fusion de ce qui l’a touché on n’y est pas arrivé.

Je me dis que ceci est la fatalitécar peu mporte la forme seuleent avoir un sentiment béant que l’on veut échapper.

Car mon existence serait le produit déconnecté de ce qu’on a été en mesure jusque là de capter = toute action est dans la droite ligne de ce qui nous a été permis de faire ( partant d’une situation avec les outils donnés ) C’est ainsi qu’on ne peut rien trouver dans l’existence qui se contredit et arriver à en jouir avant de sombrer dans ce qu’on en avait reccueillit.

L’adaptation d’une matièrepermet à l’individu d’avoir plusieurs lecture des éléments c’est à dire prendre du recul (ne pas se faire d’idée sur le bon ou mauvais impact qu’il aurait lût. C’est à dire une version arrêter des faits, le signe que quelque chose avait été brisé)

§.414.

Quelque chose parraissant trouble peut venir d’une erreur beaucoup plus glacée.

On peut tuer froidement alors que par nos éducateurs on a vécu les pires tourments.

Qu’en est-il de ce qu’on nous fait porter inconsciemment.

Dès fois je retrouve des regards accusateurs de gens persuadé de trouver en moi une saleté alors qu’au même moment une pépite (avec bonheur ) j’extrayais. Qu’est-ce qu’on a pensé, ou refusé de penser de moi qui fait que je fais ce que je fais.

Ces filles, leurs airs maternels, moi tête dans le panneau mais au delà de l’air ce n’est pas de moi dont elle comptait s’occuper.

P.D pourtant un prix se revendiquait frustré, car il y avait d’autres filles sur lesquelles mon côté maternel auraient pû s’épancher.

( Eh, bien comme cela maintenant que tu as compris tu vas pouvoir revenir sans le côté maternel et avec le côté épouse féminine)!

§.415.

On peut se moquer de ceux qui croient pouvoir faire à celui qui ne lui convient pas, parce que si on essaye de faire délibérément la gueule à un c’est qu’on la fait à tout et que c’est justement à ce tout qui permet qu’une toute puissante tyranie ne puisse s’exercer (de ma part, de la part de l’autre ) toute puissante tyranie car le pire des tyrans est justement un être lui-même tyranisé.

(Ayez pitié de nous !)

§.416.

La maladie de persécution du solitaire est de penser être seul alors que l’on est aussi proprement éloigné de la fraternité que l’on soit ou non accompagné. Chacun étant à la recherche de la solidaritémais le lien avant, rien ne pouvait la donner car un lien se tisse tout du long ( dans sa propre dynamique à l’ensemble des objets et ce qu’on en fait ) et non peut-être engagé.

§.417.

Je me crois seule car pas en perception d’un autre mais lorsque je suis avec un autre ce n’est pas sa sensation qui me porte mais la perception que j’en ai.

Et comment faire pour que sensation se charge en énergie neutralisé.

§.418.

On est jamais seul car de tout temps c’est cela le but recherché et ou cela on ne dépend de rien et le tout ainsi rejoint. La solitude on être accompagné, le rejet ou l’adhésion ne peuvent être vrai. Tout point de vue arrêté se promet à s’éffondrer. Rien ne tient de moi-même et toujours plus loin cela conduirait.

§.419.

Mes désillusions venaient toujours de ce que une face de la vérité concerné, j’avais voulu observer. Pensant à une interprétation correcte des choses, pensnt en fait être maître de ce qui se déroulait (oublient que les choses étaient en changement onstant et que quand bien même rien ne se saisit, que rien amais je pourrais me tarquer d’être compris(et cela entoi de même et être des choses et être dont je me suis entouré.

§.420.

L’espèce en mutation. Espèce en mutation et psyché. La qualité mentale en train de muter. Qualité mentale et perception du monde différente entre l’homme et autre animal.

L’homme capable d’échanger par ses travaux, ce qu’il a perçu et comment s’en est – il arrangé (comme avoir de plus loin grâce au vecteur de la sensation d’ y être porté ) = comme chacun va plus loin dans ces perceptions et voyages mentaux parce que l’autre à vécu.

Aller plus loin, savoir n’être pas le centre du monde ou celui qui en a besoin, le faible ou le privilégié, la victime, le bourreau –  —   —   —- ! Savoir que ce que l’on est, est juste un moyen de vivre l’existence et par delà trouver des moyens par notre connaissance d’elle s’élargissant.

Ne rien subir de ce que l’on croyait qui soit obligé (rapport qualité à pouvoir les concrétiser, donc élargir le concret = capacité propre à s’exercer.)

§.421.

Le rapport de force entre celui qui joue les souvenirs et celui qui passe par deux bourreaux ( c’est que le bourreau est devenu objet de manipulation autant que le souvenir à la différence que le bourreau n’a plus rien à perdre ( en tout cas par rapport au souvenir et par rapport à ce que de l’illusion il reluit ). C’est pour cela qu’une condition honteuse d’inégalité ( = je suis le droit parce que la situation me confère des opportunités ) ne peut donner que le temps de soi- même de songer ( proprement à la demande, à la  déraison de pouvoir croire  avoir un socle), ainsi on se prive d’être alimenté et de suivre l’opportunité qui fait qu’on est alimenté.

§.422.

Les combats.

Les combats nous soulageaient on savait qu’il y avait des armes interposées, menaçantes ça et là. On savait que personne ne se laisserait menaçer gratuitement comme cela. Et si cela pêtait on donnerait nos vies sans problèmes juste pour avoir une chance de dire comment à nous le monde nous parraîssait moins menaçant.

Comment nous on verrait une arme entreposée, plus point, comme un signe de sécurité que de danger.

Et tous on se bat.

§.423.

Ce qu’on désigne par sentiment tue car on aime ce qu’on croit pour nous contenter au moment où on se définit comme étant, et pour cela l’être en question on va enfermer pour qu’il puisse se conformer à nos attentes, et qu’on n’ai pas à s’en séparer.

§.424.

Il ne s’avouait pas sa clémence, ou peut-être ne l’avouait-il pas comme une qualité.

Et alors il détruisait en lui-même ce qu’elle aurait dû apporter.

§.425.

Il fallait se mettre dans la tête que l’on servait le combat et rien ni personne d’arrêté en lui car était mort tout projet qui ne se transformait pas.

§.426.

Je poursuivais ce but comme étant alternatif, come étant une sécurité mais je le suivais quand bien même d’arrache – pied parce que sur mon parcours atypique était inscrit, je sais ce que d’être coinçé et je n’y remettrais pas les pieds.

Et dans tout domaine comme ça pour se réaliser soi-même ce parcours nous amène à mener plusieurs choses de face et c’est simplement en travers de la particularité de ce qu’on va aller trouver.

Qualité et possibilité.

Objet et terrain.

§.427.

Commedans la solitude ( sensation de l’être = être tout seul devant soi même sans ravail sur l’objet ) ou être avec les autres sans travailler sur l’objet les deux sont une fuite de ce qu’il nous faudrait. A cette exception si on ne trouve pas de subterfuge comme la télé par exemple pour tromper l’ennui que la solitude met plus rapidement à l’endurance, la vitalité ( en groupe on se trouve des raisons  )Qu’il va falloir trouver.

Décision seulement = ne pas partir avec le fait qu’il faut que tous et l’autre, partir de ce que soi sert sait et comment le réaliser.

§.428.

L’on ne confie le bonheur de l’autre !

Et ne voit de bonheur enl’autre ?

Que si on a du bonheur à pour cela progresser.

progresser dans le travail qu’on fait.

L’home et le perfectionisme.

§.429.

Ces jours trop calmes ou je n’ai le courage de courir ou l’opportunité de sortir, je pend mon le 7 et le soir sur Paris marcher tout en m’imprégnant de mes courbatures. Je suis un loup, gagne ma solitude non  pas dans son sentiment mais dans le fait de n’être ainsi que les objets premier avoir surpassés.

§.430.Page 290 verso.

Je suis un loup c’estparce que je suis plus fort que lui, comme auant de la mission de chaque journée c’est ainsi que je m’inpose le respec.

§.431.

Je suis un loup et come tout instinct c’est l’amour de moi et celui de ma troupe et celui qui me porte ma meute qui me fait aller.

§.432.

Le recherche de l’optimum de performance puisse à se poser et fait qu’on parvient en réponse de quoi ?

Comment.

Pourquoi.

Et l’esprit répond à ça.

Et l’esprit n’est plus seulement énervement mais recherche.

Et ne s’arrête que pour que la source en lui coule lorsqu’en un point il a grimpé, il s’est fondu pour munir de cela en plus il puisse recommencer.

Et à chaque essaie, à chaque quête toutes les sources en lui, par lui attende de continuer.

§.433.

Chaque défaite surmontée est la grande plus grande des victoires.

Et chaque victoires m’autorise à croire et accroît la foi et jamais ne se cloture ce jeu là.

§.434.

Ces femmes oubliaient qu’avait une sensibilité la gros style d’âmes bêtes que j’étais.

§.435.

La posture assis sans affaissement car d’autres muscles prennent le relais affaissement est juste que les corps prennent assez c’est l’autre qui va bosser.

§.436.

J’ai plein de choses dans la tête ce n’est pas pour cela que je viens de passer pour un idiot.

Avant de pouvoir se toucher, se renconrer, il faut se chercher, se marquer. C’st ainsi que la nécessité de l’autre (dans le travail) (et celle artificielle du couple quand on décidait qu’une sphère de l’autre devait-être séparée.)

Conduit chacun à savoir que la déconvenue s’être chercher et se ramassern’est qu’une étape avant d’y arriver.

L’amour de l’autre.

La complétude de soi.

§.437.

Le handicap de l’autre nous enseigne sur notre propre corps comme part entre lui et l’objet (appris). Le handicap est une disposition particulière mais pas conjuré par la présente (dans le sens de commune) ère pas partagé car partagé ne peut, n’est pas le fruit du travail de tous).

Le handicap, l’atout si dans le –                  – concerné.

Objet l’atout et handicap si condition viennent à changer.

§.438.

– Elle est dure très dure la vie.

– Tant mieux ça veut dire que vu le bordel qui règne, les autres ne se sont pas convoités plus que moi, comme des fermiers.

(Alors là ! Coup de chapeau bravo mon minou d’amour, tu as raison mieux vaut une convoitise pauvre mais heureuse qu’une association opulante, mais de bon « aloi » arrangée.)

§.439.

Pas de rapport de forces mais à se consulter on cherche à ce que la force soit débordée que le courant en nous puisse passer, ou cherche la piste, la manière de la voir se profiler.

Le travail de la marche que chacun s’en sente constitué et a constitué.

§.440.

Correction et intimidation.

Voir l’horreur se dépeindre sur les autres pour penser que ceux qui n’hurle de ne pas de douleur, sont avec le système aisé.

§.441.

Système répulsion, adhésion.

Conditionnement mental.

Obliger les gens à se comporter de telle ou telle façon face à tendance, position.

Croire en la soumission psychique pour croire que les monvements de protestation sont condamnant et que ne pas protester serait aimer. Penser alors, faire croire, ou bien être, imposer le calme.

Et la possibilité de faire régner la terreur pour que l’impression soit confirmer. Faire croire que haine et amour puisse ainsi se distribuer et croire à la coercition psychique d’informer que c’est ce qu’on désigne par bien qui y est.

§.442.

Délectation. avoir envie de pisser s’arrêter dans un endroit riche car là peut de monde pour regarder aux fenêtres.

Et se relaver en toute tranquilité, car la pudeur n’est pas de mise dans ses environs là.

§.443.

Richesse et profession de grand est protégée.

§.444.

T’as jeunesse ?

Eh ! Bé tu fais chier.

§.445.

La recherche de la force et qe c’est à chacun er pour chacun de redresser le niveau.

§.446.

Et chaque manifestation de la force une possbilité de direct.

Communication.

Si c’est pas de l’émotion psychologique ça !

§.447.

Aucun sentiment ne joue contre soi ou qui que ce soit.

Et chaque force qu’on en tire perçe et est u symbole pour celui qui partage cela. Et tant pis, il n’est pas fils de celui qui ne le partageait pas.

§.448.

La sensation repère un fait du passé, rappel à un appel à une potentialité ( active de l’inconscient et le conscient du futur )

§.449.

La sensation amène la réflexion à se poser.

§.450.

Problème t l’obligation de support et celui de faire avancer les choses c’est à dire ne pas s’attacher à la forme des choses faites pour évoluer.

§.451.

La sexualité un choix, une cible, pour poser ses inquiétudes permet de dissocier terme positif par raport à la terminaison ngative et poser ses distinction en un point dans lequel on exprime = en sécurité.

Distension, normale car dualité dans la société.

§.452.

Sensation et ce qu’on a traversé et ce à quoi on doit se préparer.

§.453.

Avec l’énergie utilisée par le séchoir à main à chaque fois qu’on en a besoin assez de vent pour jusqu’à mars se tirer.

§.454.

Sexualité .

Binarité. (Tu fais des maths maintenant)

Pas de compréhension, mais réaction grégaire.

§.455.

Sexualité et universalité.

Pouvoir sexuel charié par le besoin de gagner, de contrôler, mais réversible en besoin de protéger.

§.456.

Les plus réfractaires. Les cucus. Ceux qui croient avoir compris la terre.

Dans la dualité.

La menace s’exerçant arbitraire, inconstante.

Instabilité et cercition.

§.457.

Réaction binaire et la poursuite d’une activité évolutive qui empêche aux gens de réagir justement en adéquation avec leur possibilités  = se trouvent ballotés entre adhésion et répulsion aveugle.

§.458.

Colonne allant sur le haut et son dosage de nourriture et de tout autre nécessité et préservation, longévité, entretien des corps et de l’usure à laquelle ils peuvent, sont, s’, associe (r).

Compréhension mutuelle.

Mes –          – permettent de me recentrer.

§.459.
Un objectif toujours dans la même perspective, indépendance par rapport à des conditions.

Imperturbabilité.

§.460.

Libéralisation sexuelle en même temps que celui des rôles (que l’on ne voit pas comme inférieur), ce concept naît de la tradition qui continue sans plus de fondements) Femme emprise d’enfants et absolue nécessité de se reproduire. ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?

(Tiens donc qui a décrété que nous n’avions pas le « droit » en décision par exemple à l’échelle de l’humanité d’aller, de tendre vers l’extinction progressive de l’espèce (toutes races confondues), rien ne l’interdit, ce n’est qu’une décision unanime à prendre, ou ne pas prendre, mais, et je vais employer volontairement, LE verbe piège, c’est une chose qui « peut« , « pourrait« *, être décidée et envisagée, puisqu’aucune vie ou entité quelconque n’est supérieure à l’humain pour aller contre une telle décision qui « serait* je le répète unanimement reconnue et accepté » ! )  *Conjugaison au conditionnel bien sur.

§.461.

Vie de famille et vie de communautés, on sait où dans ces conditions on ne peut pas jouer car prolème, conflit fait que l’on est touours obligé de se laisser aller à son instinct.

§.462.

Indépendemment de ce qu’on en phantamera (faire porterl’erreur sur un –  –  -)sinon on en crevera.

§.463.

La tâche de celui qui sait quelque chose et lui qui est désigné pour régler.

–        – car tout le monde à le drot et devoir de le faire. Autant que que ceci ne doit pas être oublié qu’onblié qu’à tous les maux cela est fait. Pauvre de nous jusqu’à quand nous allons durer.

§.464.

La vie qui apparaît comme la plus suportable menée.

§.465.

Je dois mettre une certaine force dans ma main pour prendre un objet, le –         – de mes mouvements évidemment la tension sera porté à changer; Objet : Que la tension se diffère sans pour autant changer celle de mes mains qui deviendraient alors crispés.

Tension en fait qui en vient à les masser si eles-mêmes ne se dé –     – ?

Elles activent ainsi connection à autre point du corps, et s’en voit soulagée.

§.466.

Providence alimentaire le rôle que je connais.

– Besoin 1/2 par jour.

– Connaît sa valeur énergétique, joue celui qui peut supporter, je sais quel nombre prendre afin d’avoir assez d’énergie sans n manquer.

§.467.

Je ne sais par quelles raisons ce fut les travaux d’hommes qui me fascinaient, –  – est ainsi que les gens me « cataloguait » Alors les femmes avaient peur de moi comme il y avaient une peur d’un P.D.

Bien sur l’extrêmisme tant que je n’avais pascompris ce qui se passait le milieu couvait.

§.468.

Tu te l’as feras mettre par quelqu’un d’autre !

§.469.

Lorsque je me réveillais au milieu de la nuit pour être au point à un contrôle en général je me réveillais juste avant la sonnerie attendant que les palpitations de mon coeur veuillent bien s’arrêter.Ce ‘était pas le fait de me réveiller mais de l’état danstension que je ne soupçonnais qu’on pouvait me mettre (pourtant je devais travailler quasiment tout le temps sans de résultats autres il est vrai) état que je calmais car ne pouvant être au plus prés.

§.470.

D’une femme il ne fallait pas une clef dans l’apartement, mas une clé en boite fermée à code dans lequel se trouverait la clef de l’appartement.

§.471.

Pédophilie, viol, et interdiction à la reproduction détournée. ( Mon minou qui se remet à déconner .)

§.472.

Obectif vers la but. Comme moyen de trouver de la ressource, envie, entrain à ce qu’on fait.

Renforcement de qualité intrinsèque , résistance car avant de parvenir à quelque chose qu’on tentera être mieux, la décision, planification, le chemin supposé touvé pour y parvenir est tout à fait formidable à affronter

De cela parfois j’ai come l’impression que des rivières de rides en moi se sont creusées.

§.473.

{ Très joli cela ma caroline d’amour } UNE VICTOIRE SUR SOI  !

Et pour se récompenser on cède à un penchant que l’on  mis en suspend. Et c’est quand le travers vient entâcher la réussite que l’on prend conscience de ce qu’il est :         Entièrement !

Et que l’on a vu pouvoir s’en détacher non plus avec effort mais progresser vers le mieux pour ne plus pouvoir retomber.

§.474.

Savoir que l’expression de la sensation n’a d’autres usages que le force pousse s’exprimer.

Energie.

Comble : Jouissance  – sexe – pouvoir.

§.475.

Entre aller chercher l’info et la rapporter.

§.476.

Abdos. Contraction masse d’organe plus par emprisonnement physque et qu’à de manquer ????

§.477.

Aller vers quelque chose est le bonheur.

En même temps que d’avoir, devoir se préparer à la plus grande des aventures.

§.478.

Elle pense à cela à longueur de journée, je m’attends à tout s’il y a une chose à trouver, elle trouvera.

§.479.

Quand on vous prend pour un con, jouer au con, tut cela ne trait pas qu’on s’offusque, on sait que même on n’était pas ou qu’on vous pense crédule ça peut nous arriver tout les jours aussi.

Pas la peine de perdre du temps à rien du tout. Evidemment il y a là quelque chose de très savoureux de laisser faire ce qu’il y dans l’air. Être prêt, son air de con comme preuve cette fois-ci qu’on ne l’est vraiment pas.

§.480.

Être en groupe c’est permettre à l’individu de ne pas réfléchir sur sa propre construction, action propre.

Constitution de groupe différent et inégalitaire pour permettre plusieurs niveaux de réalisation, tout en maintenant l’individu en ne normalisation de sa condition, je n’ai rien d’autre à vouloir ou escompter puisque les autres sont pareil.

Tenant à l’individu de vivre sa vie.

Avant que les groupes ait les moyens de se regrouper, poser, en donnant à l’individu le moyen de s’affronter lui-même.

§.481.

Devant on spetch sur la politesse.

Je crûs qu’il allait me aper dessus.

§.482.

– Je suppose que tu déclinerais une invitation.

– Pour parler de quoi ?

– Je ne suis plus en age ni en raison de parler d’autre hose que d’un couple, d’une association.

§.483.

Armes, jeux ? Cela n’avait pas été beacoup, mais j’avais dû, pû, tenir avec raison au résultat sur soi. donc c’était encore trop.

§.484.

Epoque ou la nature devait être maîtrisé. Course à l’exploitation.

Inégalité sociale pour que la famille ait le poids de la compétition à supporter.

La compétition de proximité, destructions des êtres et des moyens accordées, dangereusité.

§.485.

Connaissance du besoin et carance.

Persistance.

Régularité.

Persistance.

Un rythme social.

§.486.

Changement et rapport à la moralité.

Tout sur les bases d’inégalités et le conservateur est celui qui ne veut pas voir ses moeurs le condamner à celui d’esclavage.

§.487.

La sensation.

Explsé – Faire rayonner.

Ou faire qe l’énergie puisse en soi arriver, se recomposer.

§.488.

Usine.

De sensation décomposée, alchimie, qu’elles s’accordent en nues et leur entente, la manie libéré.

§.489.

Et que la bonne élaboration de cela tous mes cousins y ont participés. Et cet agité qui faisait prendre aux choses des tournures ?

Oh oui ! Des décoinçages qui étaient aussi bien sensés comme quand on ne sait plus que faire de nos mécanismes rouillés.

Révélation et tournant.

Je portais la sensation jusqu’à ce que l’au-delà, que la floraison se libère.

Ne pas avoir peur des brusquerie de l’autre, c’est faire que leur peur sur moi puisse se reposer et éclore en ce qu’elle cachait. Comme l’apaisement est bien la tourmente maîtrisé.

Le jeu consiste en n’être pas troublé, ne pas se troubler pour que les chose en nous puisse se reposer,se recomposer.

§.490.

Une dose de café, ne peut pas fatiger, ne me fait pas trembler, me tint éveillé, et me fait exister.

§.491.

Des Fois ( « parfois » est plus français en langage écrit mon minou d’amour ) on se demande pourquoi tout vouloir continuer. et on se rappelle que si on ne sait, si cest très bien, ce qu’on fait en le mouvement, c’est un essai à savoir jusement ce qu’on fait l’objet sans fin de courir après une idée. Sans cela c’est la place au complet affolement que l’on laisserai et à sa déraison propre de ne pas s’être activé ( avoir pu ) !

out ce qu’on fait c’est e positionner nulle part mais quand bien même en des endroits de trouvé.

On ne peut s’arrêter car on sent alors que le mal qu’on pnserait de nous à l’avoir fait, nos désonorerait.

§.492.

La vie c’est obligatoirement ne pas vouloir avoir à revivre les mêmes choses qu’on à vécu sans comprendre (- au – cet ) aspect qui d’elles après nous fût dévoilé.

La ve c’est heureusement quelque chose qui passe, s’imprègne, s’use et se lasse.

§.493.

L’objet est à l’individu son compagnon, lequel le dernier ne dépendant que du premier por demeurer une résence constante.

L’homme qui abandonne son objet c’est que soit la réalité le lui a dérobé, (mais un autre alors est à dessiner) soit c’est l’individu ui-même qui s’est abandonné.

§.494.

La dévotion à l’action est l’hygiène aux passions et objets affectifs par déraison, la sensation de la –     – perturbation .Dire de la douleur ui fait que notre relation à l’autre est intentionnellement subectivée donc instable , dépendant de ce qu’on perçoit de la progression de l’autre  = par nature toujourspus amputée et déstabiisée.

§.495.

Je savais qu’il faudrait qu’elles puissent marcher c’est pour cela que jamais je ne laissais en mauvaise position mes mains.

( Marcher sur les mains ? Tiens drôle d’idée ! Moi je fais cela sur les pieds c’est plus stable, plus de force, et meilleure surface d’appui, chacun son truc, il en faut pour tout les goûts)

Et cela pour tout le reste du corps valait.

Je savais ce qui les handicaperaient de part l’usage que j’en faisais.

Un entraînement était en fait une source pour moi d’enseignement qui me disait attention voilà comment les maintenir, ou du moins ne pas détériorer leurs santés. De cet enseignement je ne pouvais plus alors ne plus m’en emparer.

Et le corps bout en bout pu ainsi se déveloper, s’équilibrer.

§.496.

Corps et activité. Durant le corps en chauffe  ( Sport,ou physique, ou cérébral prenant restriction ) le corps d’or et éjà occupé à sa propre mécanique ne réclame pas à bouffer.

§.497.

Dieu symbolise l’esprit, ce à quoi on croit, ce qui est incontestable pour toutes les formes de vie.

Pour preuves les sociétés les plus religieuses ( basées sur la religion ) sont celles où es gens n’ont pas d’instruction ni même religieuse, même si sont milieux de culte. Point de rassemblement promesse de sécurité partage de la même conscience et volonté de préserver de ce point commun, témoignage de quelque chose qui peut, doit nous ressembler.

Sur instruction de la religion auto procamé.

Transcapacité de développement de l’individualité au service du groupe = création artficielle d’un but commun individualié, but commun car hacun a en sa main de la réaliser.

§.498.

Limitation de soi dans limite posée par l’autre non pas limites artificielles mais celle qui constitue l’individu.

Faut-il encore avoir matière à les delimiter sur un terrain commun à concrétiser le fruit de son esprit.

Mais si l’autre ne peut pas y accéder mais n’est pas conscience de sa limite ni de la miene.

Mais si moi en lieux se développe, sera automatiquement développer des moyens que l’autre pourra emprunter afin de continuer son propre développement ( pont.)

§.499.

Coercition du couple ( mariage arrangé ) à la mesure de comment l’homme était, devait se soumettre aux besoins de la société et même sa vie sentimentale. Avait commencé, était engagé implique cela faisant suivre le notre.

§.500.

Personne n’est en avance mais présente ce qu’il a trouvé.

Question de présentaton ?

§.501.

Idée, entrée, attrait vue pour la première fois.

Preuve de quelqe chose un autre terrain à celui qu’on connait et qui peuvent communiquer.

§.502.

Grande source de problème.

Avoir en main plus d’énergie qu’on ne peut et va en avoir a utiliser et sublimer.

Impression d’être seul sur terre.

Et pas assez d’énergie d’être abandonné.

§.503.

La sexualité est décrochement lié à l’ensemble de la vie = on est susceptible de tomber amoureux de celui qui est capable de nous protéger. Amoureux par son action quelque chose de vitale sans lequel on serait privé = Femme, homme séparés dans activités vitales évidement puisqu’à l’époque 59 /100 de la Population était assujetie à la question peu ou prou, de l’adultère.

§.504.

L’adulte était celui qui reconnaissait dans la vie, chaque vie, un miracle et qui sait que son corps pourraît être en train de se décomposer, Que ce n’est qu’un caprice de la vie qu’il continu à souffrir ne tient qu’à un caprice.

§.505.

Des hommes, mon coté masculin (Et avait comme simple différence d’avoir un coté homme, apparent et non actif est déjà toujours actif celui caché pus développant que le majorité des autres home ou femme ) faisai que j’avais du mal à les aimer, mon père et les autres m’ayant tellement décrié l’abomination d’être P.D. !

Comme cela on pouvait faire la femme, le coté répulsion peut-être pouvait mieux jouer.

Maintenant que cela ne dérangerait plus (pas plus qu’avec des femmes ) que je puisse faire la guerre à des femmes celles que j’avais tant adorées d’avoir constaté qu’un sentiment est toujours vrai, ( de Haine aussi d’ailleurs ! ) Ou que tout autant que cette pureté moins que leur sentiment juste ne m’était pas plus qu’à l’ensembe du tout.

Monde destiné !

§.506.

Le majheur n’être pas soi, on ne peutsupporter notre cmpréhension est alors autre, on est content e s’en aller.

Si on ne peut s’en allerou que les sociétés sont fermées on se fait une rason et que dans le pire des cas : La vie il reste toujurs à regarder le seul meilleur.

§.507.

Le travail est une fin en soi.

Les hommes s’y sont engouffrés par tous les moyens sans penser aux résultantes tant qu’elles, d’elles-mêmes ne se manifestaient pas.

La travail, tout ravail nous apprenait. Et c’est à lui que chacun exprime sa sensibilité.

§.508.

Guerre ou Paix nore soif, besoin d’activité de découverte il fallait honoré. ce n’était pas le fait de chacun mais simplement de ce qui était laissé en friche par la société.

Si,ce n’est que cette possibilité qui est laissée on va se gêner.

Trop de bouffe et coinçé du bassin

§.509.

Créativité et au service de sa vocation.Ressentir ce que je ressens ne me trouble pas.

Le passer, le dépasser et me conduire ou je suis là.

§.510.

Se dépasser et savoir que rien n’est-on ne doit faire autremen que aller et progresser. Ne dépasser et ne se trouber de rien car je sais que rien ne doit demeurer.

Devoir passer car savoir guérir, transformer, la difficulté n’est qu’une aide apporté,à apporter.

§.511

C’est l’art et le moyen des autres qui me portait. La source auxquelles le mien se coordonnait, se filait c’est de l’autre qui me transportait.

§.512.

La force des forces et talents cachés.

( Tu aime les monnaies anciennes Caroline ? Je te signale que le talent est une monnaie qui n’a plus cour depuis TRES longtemps .)

C’est le travail observable par nous et se passant d’être expliqué.

§.513.

Coordinatin – object.

Fascination. l’au-delà de ce qu’on en croit l’avoir fait de ce qui révellera.

§.514.

Energie. où ne – doit, se voulait aller qu’elle aille en une direction mais on ne doit vouloir la faire aller dans une en particulier.

Sinon c’est soi-même que l’on va diviser.

§.515.

Ségrégation entre enfants et adultes = pédophilie.

On ne se forme sexuellement.  Aussi s’entend que par rapport à l’environnement.

Si on est entouré que par l’enfant ou que d’adulte à un rapport trouble ou même simplement inégalitaire rapport de force, rapport sexualité car fait appel aux rapports primaires intimes qu’on peut faire semblant de contrôler.

Vieilles déconvenues auxquelles on fait appel pour créer une divergeance, un combat qu’on doit mener ( comme on fait appel à notre espoir de jouissance quand on s’obstine avoir de l’aide à l’autre apporté ( Si du point de vue du strict raisonnement on serait plus efficace à ailleurs travailler )

§.516.

Ou rapport exclusif c’est à dire ne voir de débouché que dans un certain type d’indvidu.

Explique le dénigrement, les actions telles qu’on ne se rend pas compte du corps à préserver. Contact vieillesse enfant du plus long terme que soi-même dans la position du moteur entre enfant et vieux et du lien entre tout individu qui doit être fait.

( Façon un peu simpliste d’excuser les pires exaction, à partir de quel age tu les prends maintenant )

§.517.

Quand on est dans l’unique alternative de s’occuper de la matière.

  • On trouve 120 idées pour que cette matière soit un pont avec l’autre, ce pont qui s’inscrit en chaque être ( et ne dépend pas de comment l’on interprète nos traits de perso, mais un lien irréductible de je suis formé pour toi et je suis ce que tu es .  .. .. ..
  • Lorsqu’on en arrive à nous, se, laver, se faire à bouffer, lever m’-              – ! Rien n’est plus attrayant pour le corps et l’esprit, le bien indiscutable de se devoir l’entretien, que de ce respect découle mon aptitude à m’ouvrir.

La stricte observance des moyens de longévité = Sainteté ( Car long et bon )

§.518.

Le : Je – ne – m’ – aime que là, permet à ceux, à tous qui n’ont donner de l’amour de pouvoir nettement m’enculer.

§.519.

Se comporter au max, savoir gérer, c’est à dire dans l’état d’esprit de pouvoir jamais ne cesser de joindre une élite soit l’élite parce qu’elle ne refuse l’idée, soit parce qu’elle est ouverte en son entrée comme toutes les formations les ayant précédées = développement, réation de son propre chef car formation plus formaté, équipe internemultiples sans se voir pour autant. Couper les données ou des façons de perpétuellement participer.

Recherche, méandre de la créativité ( Chemin singulier )

§.520.

Geste de répulsion ou d’adésion forcée, refusant la balance de convegence des forces et toutes utilités = discrimination.

Un système n’admettant aucune demi-mesure pour stabiliser et prodiguer ce qu’il faut à tous et aux moments indiqués.

§.521.

Mon boulot, mon travail jouer avec –                   – d’idées éparses et ce jeu avec l’écrit va, idées éparses retirées, être une prise en compte de ce que j’ai vécu, pré-existence = concept.

§.522.

L’erreur chacun à sa façon (façon, visage, facette ) mais tous nous l’avons porté.

§.523.

Les feuilles chez moi étaient comme un tapis de paille et quand elles devenaient trop poussiéreuses, je devais changer la litière et savoir sur quoi de nouveau pouvoir tirer. J’allais pouvoir étendre ce que de moi la ferais ainsi maintenant.

§.524.

Je voyais la tête de l’écriture me prendre toute ma vie (eût cette impression lorsque j’étais fatigué et n’arrivais plus à rien enregistrer.

§.525.

En fait je pensais voir partir ce démon sans peine, j’étais obligé d’écrire des deux mains quand ce n’était pas des deux en même temps qui me brûlaient. (Tu m’en diras tant, que tu sois partie !)

Ce démon n’avat put accorder la perte de l’existence, savoir que ma vie entière je pouvais dévouée, accorder.

Eh, bien pour te venger j’entrerais LA TOTALITE de tes ecrits en ordinateur sans omettre une seule page, ils devront honorer la totalité de la symbolique représntée. [Sans parenthèse !]

Que c’était à cela que l’existence tenait et que parce que cela je savais comme s’inscrivant dans la chair que nul ne pourrait jamais me soustraire la vie.

§.526.

L’existence ne devait redouter La mort.

ne pouvait ——————-.

n’avait à    ——————-.

était la preuve qu’on tenait à la vie et parce qu’on la savait par cet inter-matière s’inscrivait en soi que la, ma vie quelque soit ce que j’en devais avais l’air d’endurer.

§.527.

Ne pas se faire d’illusion sur la fatigue (exitant bouffe et caetera ) mettre à un même punch, ma vitalité.

Je devais absolument ne pas me faire d’illusion sur les ressources que j’avais ni en les dilapidant, ni en pensant pouvoir tenir à un rythme qui ne pourrait durer (rythme lui-même cachant qu’elle organisation plus appropriée il faudrait.

§.528.

Grosse fatigue je sentais parfois juste en bougeant mon pouce tout mon membre jusqu’à une micro- détanation dans l’épaules se déplacer.

§.529.

Reconnaissance ou pas reconnaissance.

Le fait de pouvoir être exclu.

Type de signe dans les familles incluses.

§.530.

J’écris parce qu’à tus peut-être transmis.

§.531.

Je pense aux gens qui ont fabriqués les chaises sur lesquelles mon séant peut se reposer. (Tu n’a rien d’autre à foutre ou à penser, ta chaise, tu crois qu’ils y pensent encore eux ou pensent-ils à celles qu’ils ont sur leur planing!)

§.532.

La femme celle à qui on va tout de soi donner comme seul possibilité de toutconnaître d’un être et de pouvoir soi-même sy reposer à la mesure qu’elle même on les connaît. On ne peut reposer sur le présent que ce qu’elle-même relation totale est en possibilité de faire reposer sur soi.

§.533.

Reconnaître qu’on est pas, que l’autre n’est pas, redevable de ses gestes, qu’ils ne constitue pas une prise de positin quelconque. On va pouvoir ainsi surpasser la tension en train de se bouleverser. Le tumulte.

Et ainsi cela surpasser. Aller au dela, l’énergie n’arrêterà ce qu’on en connaît alors que le but la condition au bonheur est de dévoluée.

Permet à la sensation de ne pas découvrir . . . . . s’arrêter, terrain indélimité, ne pas être boqué ni soi,ni sa capacitéà réfléchir, d’être heureux par soi et non dépendant de la situation présente devenant menaçante puique savoiraprès savoir devant se modifier.

§.534.

Ce qui terrorise ce n’est pas l’idée du travail, mais va-t-on ou pas y arriver.

Décider ou pas d’aller en un point particlier c’est empêcher les forces de transveser, les arrêter là où elles coulaient et où le rebondisement était permis. Jaillissement et caetera.

§.535.

Problème = On est bloqué par une représentation de notre action si on est attiré en un coin on pense que de telle manièe on va réagir.

On part d’un élément et n’être sur de ce qui va subvenir car croire que cette action va vouloir quelque chose de terminer on va terminer la suite de notre réaction et ainsi on pense que nous sommes emprisonnés, s’emprisonnant soi-même dans ce qu’on croît qui s’est déjà mal passé, nos souffrances, les choses ratées ou comme telle pensée.

Alors que justement cet instinct, cet attrait, ce  point qui nous appelait est un appel à réagir et à nous remettre a travailler sur nos préfugés, blocages.

§.536.

Il bougait l’index pour rien à tout propos et moi dont le mien souffrait en même temps que d’écrire je mis en suspend mon index et alors suivais sans mal les mêmes vibration que lui faisait. Ma main était en cela aidée, guidée.

§.537.

Psychos et je savais qu’on m’engueulait parce que je semblais prendre conscience des gens et ne pas coire que réellement je les voyais.(Comme trop suivait mes sens mes intuitions m’avaien trempé ) Alors les gens comme il pouvait se manifester, parfois irréellement cardevant se prouver à eux-même qu’eux même existaient N’étaient pas eux-mêmes dupé.

Que c’était bien à une réalité (tout du moins de celle e se sortir du deal personel d’avec ses émotions qu’ils n’éprouvaient.

§.538.

Toutes son énergie à sa stabilité psychique. Il était né pauvre etcomme les autres il ne lui restait pas assez d’énergie pour se sortir de la même où il se trouvait.

Le conflit, les bâtons dans les roues qu’on lui balançait après aspirait toutes ses ressources. Toutes ses ressources ain de se recomposer, ne pas rendre la paix d’esprit que sa paix intérieure leur pouvait tout ce temps lui procurer.

§.539.

Il n’avait de toit comme palier.

d’activité pour compter autrement que sur le laisser faire afin de ne pas tout en lui chambouler.

Nous nous avions un travail pour passer nos nerfs et surtout voir de nos mains quelque chose se transformer.

§.540.

Il pensait à ceux qu composaient de la marque et à celui qui comptait sur aux dessus son esprit s’allongait, s’étendait.

§.541.

Je pensais à ce que je tenais et que j’avais été incapable de reformer. soi perdant, l’iée, la forme ou le contexte qu’il éclairait.

Je ne pouvais pas dire que j’étais écrivain ou quelle écrivain parce que je ne savais pas comment je serai lue, ça c’est le travail que l’autre fait. Mais après avoir déposé ce que j’avais rencontré, ce qui s’était devant moi formé, Je me lisais.

Ma lectrice là ce que pour moi j’étais.

§.542.

Chaque geste et mouvement a une portée –          – .

Et de chcun d’eux on avait des questions à poser, des réponses à trouver.

Chacun pouvant, devant (si volonté d’analise, de critiques) devant en être enseignée.

§.543.

Il n’est pas de gens rangé.

Mais des gens s’appliquant à l’être.

§.544.

Ne pas aoir peurr de se sensations, elles sont toutes jusfifié, justifiable. Alors ne pas rebrousser chemin,leur faire faire jusqu’à temps qu’elles se calment car si l’on s’enfuient d’elles on se barra avec se qu’on à pas su comuniquer.

§.545.

Pourquoi n’appelerais-je pas le père, monsieur.

Il y a tellement de pèr de famille qui sont ainsi que lui que j’ai rencontré et qui m’aurait même hébergé à partir de moment où il ne voyait pas dans mes actions unsigne que ce serait gros porc pourri que je finirais par les interpeller à tord où à raison.

§.546.
Les frictions finirent par me faire rigoler.

Elles étaient en avant de chacun qui on ne savait pas comment se démerder, (réagir)

§.547.

Tout me araît naturel.

je sais qu’il faut m’occuper de moi por judicieusement m’occuper des autres et m’occuper d’autre que moi.

§.548.

Et mon temps ma vie passait judicieusement comme cela, le emps ne se coupait pas ainsi en quelque chose qui parlait mais en signe de progrès. Et le temps avait cela d’absolu que quelque chose seconde de lui un peu plus loin de moi me déterminait.

§.549.

Ce que je n’ai pasréussi à faire. C’st autant d’objet reonduit pour le lendemain. Ce qu’il me fautperçer. L’énigme, le mystère d’un trait de ce que je ne comprenais.

§.560.

Trouver le moyen d’aimer la vie. C’est sans cesse soi-même se battre pour elle et se rendre compte combien si nos actions sont limités elles nous conduisent au paradis de les servir comme de pouvoir le faire il nous a été donné. Se rendre compte comme il est bien peu, et bien normal ce que l’on fait.

Et se rendre ainsi compte que par tous, cet effort est fait.

Pouvoir Avec le mondese réconcilier.

Pouvoir aimer le monde entier.

Pouvoir aimer.

Et savoir ça c’est pouvoir partir en paix. a confiance que nous doit une action être désintéressée. Parce que voir que le dit intérêt n’est dû q’à une destruction, de faux moteur et qui dit faux dit qui ne pourront durer.

Moteur factice car il faut des moteurs et tous coûte que coûte les avons inventés. N’oublions pas que la raison guide l’opération structuré et que lorsqu’on ne peut accder à une alors il nous faut composer.

Décomposer.

§.561.

La situation de moquerie atteste que l’on peut critiquer en ayant l’air d’avoir une bonne opinion est le contraire est le contraire  = remise à la page de nos réactions, de penser qu’on est sogné ou heurté par quelque chose. on est ce que l’on croit alors qu’on doit demeurer ce qu’on ne sait. La douleur, exitation tout ce qu’on ne contrôle est ce qu’on croit spécialement endurer.

Je ne sais plus qui je suis car je crois être ce que j’en pense et ceci en un picenette peut-être balayé.

Quoi qu’il en soit je me condamne, si ne réhausse ma condition à l’humanité. Je ne peux ni ête moteur, ni objet de mépris.Je ne sais ren d’autre sur moi que suis un être qui voit la vie se manifester.

§.562.

Le couteau sur la gorge, les objets limites où il faut tout donner de soi (car contrairement aux autres où l’on peut tout donner aussi = objet ) va se transformer en quelque chose de plus poussé ) sinon on défaillit.

§.563.

Et comme toute action qui ne onsiste pas à partager en part égale la nourriture qu’il y a entre ceuxqui doivent manger, l’écriture m’éloignait aussi de cela, l’écriture tellement prière qui faisait qu’en attendant rien ne se faisait mais qui était, s’imposait en fait à moi comme un moyen de costruire quelque chose (comme un amoncellement de conversation) la tentation de définir ce qu’il serait.

{ Ma pauvre chérie et je n’étais pas là à cette époque.}

§.564.

La limite de l’amitié pour moi est là c’est qu’on peut tout donner à partir du moment où c’est à tout le monde qu’on peut le donner

( Hormis le parent = la personne qui grâce à vous avant le vieillissement, préparant, peut faire sa cuisine, parce que plus apte à subvenir à ses besoins vitaux qui font que l’on peut, être, se donner, aux besoins vitaux, se donner à la cause, aux besoins collectifs.

§.565.

Le couple différent c’est tout donner à l’un ( pouvoir se donner soi tout entièrement ) besoin biologique. entraide, sécurité ) c’est tout de l’autre ( car un envers un ) pouvoir recueillir tellement cela est tous pour un comme l’égal de nous.

§.566.

Nous n’avons pas encore bien pris conscience des richesses auxquelles est arrivée la tecnologie et ne pas la mettre au servie d’autrui  ( masser encore des gens à faire ) est l’erreur de notre ère, surtout que cette même technomogie va se retourner contre ceux ( l’humanité entière ) qui en dispose de travers. Le critère quotidien qui est de ne rien faire.

Faire quoi ? u’est-ce qui ferais que j’en fasse le plus que jen pourrais ?

Homme et expression ?

§.567.

Elle aimait la douceur et n’était elle-même pas douce. Bien sûr il lui fallait protéger ce qui lui avait été prodigé.

§.568.

En tout cas les gens deviennent confis à s’influencer, à s’irriter, à penser que l’autre et un chemin de l’horreur ou de a vertu.

A vouloir reproduire ou repousser. A ne pouvoir de sa propre clef créer.

Prendre la part d’un trop empressé vers un qui est trop loin plaçé pour pouvoir avoir sa part de gâteau attrapé.

§.569.

Chaque geste différent de celui-là est un geste déplaçé.

Je leur donnais quand même le lieu des concerts a venir. Des vocations à son devoir, à la gaité d’être citoyen. L’élan ne trouvait à rebondir, ne trouvait que long terme et perte de vue et déjà qu’on espérait à ne plus finir qu’en terme de cinisme.

§.570.

La vérité c’est qu’on transport de l’énergie et ça chacun le sait.

§.571.

J’ai tellement connu de voleur que mon obscession à été de me protéger, est maintenant le système mais qui m’édifie marche sur le pillage.

Admet que mes coffres à quelqu’un appartiennent les clefs. Ou faire un roman avec comme narrateur la société.

§.572.

Le paranormal. Les forces de l’esprit peut en son esprit stabiliser? c’est à dire qu’on voit des choses et ces choses qui constituent le paysage dan lequel on voit son énergie voyager. On arrête de vivre le paranormal quand l’ensemble du groupe déclame voir les mêmes phénomênes se passer qu’on peut crampronner strictement leur vision par exemple d’une chose en différents moment par différentes personne. les choses qui pragmatiqueent vont rester.

  • Qu’elles sont-t-elles. Quest-ce que leur présence revêt.
  • A quel point une chose est une chose. On constate des similarités et constances sur aspect mais qu’elles en sont celles qui diffère ou autres aspects que l’on ne leur a pas relié ou inconnu de nous.

Exemple : Pourquoi ne saurai-je pas moi et mon bras une de ces baleines ou une boite de conserves autant que mon bras c’est à priori à chaque fois que je me demande qu’est-ce qui est accroché à mon épaule.

  • Toutes sensations plus toutes émotions, idées pensées résulte du paranormal.

En témoigne les bébés qui n’ont pas d’être dans un monde onirique et dans le monde dans lequel il reste à priori jusqu’à son décès.

Le bébé évolue en s’aspergeant seulement qu’avec d’autres éléments ( ses parents et caetera )  il peut certains phénomènes partagés.

§.573.

Qu’en serait-il d’un, n’ayant pas cette opportunité. Quel monde s’inventerait-il pour avoir ce genre d’échanges et commun là.

Trouver la vérité.

La vérité et ou n’est pas.

La dire troucée est ne pas y croire.

§.574.

Personne ne peut se réclamer d’être sain d’esprit dans une société inégalitaire, sinon en un monde pire son esprit changeait le monde, ce que la religion assaye de faire croire c’est que le bourrage de crâne, on peut y arriver.

Apprenait une caste exploité ( évidemment tout est très correctement fait pour que l’individu soit obligé d’accepter ou autrement de crever. Pour ainsi les désigner comme volontairment s’auto-désignant comme faible moyen ) détourner de parler de la faiblesse du système. Il faut bien quelque chose pour nommer ce qu’on préssent. Interdit de dire autre chose que les phrases tout et ce que être et institution a ainsi sur eux formés )

La religion essaye de donner à l’homme l’illusion. ( Puisque le concept de vie en est une dont ne peut et ne pourra déterminer ce qu’elle en est ) Que son esprit n’est à modifier, il rassure dans un premier temps les individus sur la saineté de leur cerveau. Oui nous sommes sondés. Pas d’annonce, pas de problème à nous qui soit à résoudre.

Eviter de se creuser la tête, charrie des montagnes de chantier.

§.575.

On peut parler ce ce qu’on veut sauf de ce qui n’est pas religion. La religion exige le respect que chacun souhaite pour son jardin secret et par extension celui de la société.

Religion – Mène.

§.576.

La religion boîteuse invoquant sa toute puissance.

§.577.

les mondanités sont des vestiges de parce que les gens autour de quelque chose ne pouvait se regrouper ils se regroupaient autour d’eux-mêmes. On a pas d’ami parce que c’est la même chose qu’on est entrain de chercher ou que l’on pense ainsi les uns les autres pouvoir se soigner , ou qu’on n’a plus rien  foutre regroupé.

§.578.

La relativisation c’est bien que super fragilisé et menaçé d’un côté, montre assure notre vie (et cela jusqu’à la mort le point d’appui sur lequel de tout on peut se moquer.)

Les pauvres n’avaient rien c’est ainsi que les conflits se réglaient bien. Et personne ne tenait certainnement à avoir plus que ce qu’il avait, cela valait-il le peine d’une gorge tranchée.

§.579.

La société tente de se développer et n’avoir d’autres alternatives pour cela que de ne plus être divisée.

§.580.

Les gens deviennent silencieux quand on se questionne sur les dangers.

La prière, la prière dans laquelleon demande de ne pas être celui qui est amputé de ses libertés. Mais avoir à peine silencieusement cela c’est la pire des prisons qu’il y ait ; Est.

Elle-même.

Cela aussi tout le monde le sait.

§.581.

La capacité en sacrifice est une solution trouvée pour s’extraire de la vie.

Soit des solutions font se former, soit l’inconscience vous guide à des ates de courage tiré pour la libération de ne plus avoir à choisir entre le boutde viande qu’on va manger ou celu dont-on va l’autre priver.

§.582.

Être en interaction association pour transformation et désassociation (pour observation ) avec les éléments, les états transcendants, les compagnons.

La transformation passe par le savoir transmis.

La compréhension passe par le savoir constaté.

C’est ainsi que chacun construit l’idée, même celui qui n’y a rien compris, mais a été lui alors le principe actif de l’idée.

Limite : Tout ce qui est activé ne retombe pas dans la main de l’humanité. Manque de confiance, égalité – connection.

Inter-connection.

Ou ce qui est compris possiblement partagé.

En tant que .

§.583.

Sacrifice ou gaspillé.

§.584.

L’esprit qui se ferme et une volonté de rester même –    – au courant avec les sens pour éviter éventuel danger plutôt que d’être en liaison avec ce avec quoi l’esprit avait un rendez-vous.

Jusqu’où pourrons-nous aller.

§.585.

Période transitoire. Les gens se cotoyaient –                  – entre informateur, se prévenaient d’un monde extérieur qu’on méconnaissait.

Bientôt les gens pourraient se rattacher à un projet, constituer son existence le fil auteur de projets.

§586.

Relié lui-même en projet ensemble de conaissances sur le comment de la préservation de l’espèce.

Nous aurons ecore à regler le déchirement (trace de la superficiellité de nos jugements, connaissances, adaptation.

Entre espèces actuelles et futures.

§.587.

Le sport, l’hygiène du corps, sa connaissance permet une ligne direct à l’individu, ce qui le maintient  en relation avec ce que les autres peut en chacun toucher faire perception qu’a de lui, l’autre.

§.588.

Le besoin des couples.

Connaître l’autre, l’idividu, l’étudier. entre ne pas amputer son temps d’exploration propre = au travers l’autre + au travers de la vanité = conception lui-même.

et que son être puisse se reposer tout entier et sérénité de temps que tout en soi puisse aller.

§.589.

Relation à soi, à l’autre à l’intégralité. (moyen déjà toujours en un dans la relaion.)

§.590.

Energie ne s’accouple que pour épasser les entités. Dit faites comme es autres, la régulation de l’étique, de la morale.

§.591.

Je recherchais un projet fidèle commun.

Voilà comment un couple pouvait s’engager.

L’angoisse de n’avoir un projet à retrouver.

§.592.

Dans une file, pasune fille me trompe, groupe informe les gens te passent devant mais il faut mieux car c’est la fuite en moi notre temps laissé

Quand là ce n’est plus un mais 2000 de paumé.

§.593.

Les bannières encore mieux, ou pas de queue et des inventions originales fielleusement.

594.

Pouvoir dire sans, laisser traîner les yeux jusqu’à temps que un mot accroche l’aile = Quand les yeux on besoin de se caresser.

§.595.

Sensation de soi revenait pas un autre endroit que celui qu’on va atteindre après, sur lequel on veut toucher.

Pas d’isolement à l’objet et association doit être toute possible.

§.596.

Je serais devenue ta princesse dès l’enfance sans jamais faire recommencer toutes mes conneries si j’avais su que tu viendrais, que tu sera là pour, en moi.

Poême d’amour à la vie. (sicet écrit est pour moi alors sachequ’il ne sera jamis trop tard ma Caroline )

§.597.

Si elle se retrouve être comme cela O.K. mais sentant ne pas l’appeler car on ne résout rien avec la colère.

§.598.

Comme on a simplement se savoir accrocher pour véhiculer sa volonté (celle-çi n’ayant que comme fusion de configurer en soi les solutions et adaptation et aisance recherché ).

S’accrocher.

L’accrocher.

§.599.

Mais sur quelle valeur sûre peut-elle porter.

Gêne on ne sait pas comment faire converger nos foerces en le bur au delà.

§.600.

Je savais lui servir d’ex, il m’envoyait une –                   – pour élément relativisé, elle ne correspondait plus à ce u’en lui je pensais pouvoir l’actionner, sensibilisé.

§.601.

Condition de la basse classe devant avoir un minimum de plan que nécessite pour les fondements de l’automatisation pouvant se regrouper. N’y pouvoir être graduellement en place pour fonctionner + analphabêtisme car répertoriage papier.

§.602.

Sinon population assistée. Machines qui remplacent le fondement sur quoi la population entière repose et non plus sur le système de l’esclavage. ( Et c’est comme cela que plaçant les pseudos « esclaves des temps modernes » en position de chômeurs tu les retrouve dans la rue près à tout casser pour retrouver leurs positions d’esclaves appointés, comme quoi il faut un JUSTE milieu ! ) Select Doc Dany.

§.603.

Les problèmes doucement, doucement,on va tous mourir en vrai et tous nous avons pu l’infiniment –                  – compempler.

§.604.

Un livre donne une idée de l’énorité de ce qui est fait ou vécu. On n’arrive pas à converger ou à s’apercevoir que ce n’est pas à la même chose que chacun est disposé, ou bien sûr, à la même chose mais en finalité our l’instant pas à a peine de se piétiner et onde brouillés.

§.605.

Chercher à signifier quelque chose, et place au fanasmes laissés.

§.606.

Développement et énergie ne sont que kle flux à projeter.

§.607.

Il la battait pour lui prouver qu’il pouvait s’activer.

§.608.

Je crée partout ou je vais si je veux controler un temps soit peu une qualité de création il fautue je choisisse méticuleusement tout ce que je fais.

§.609.

Devant une femmes toutes comme tut le monde tu devient batard.

§.610.

Je suis au courant d’un truc, c’est qu’on fait tous les abrutis.

§.611.

Je ne mange plus de gâteaux sauf ceux qui sont dans les boîtes en fer. Alors il suffit que je m’invente un besoin de boîtes. ( Je te signale que je peux encore en fabriquer d’autres à tiroir, convercle, et même à couvercle charnière ma douce imbécile ! Pas besoin de te goinffrer de Bisquit pour autant )

§.612.

L’aliment n’a plus aucun goût lorsque le corps n’en a plus besoin. Or c’est l’exitation du goût que l’on rechercher en vain.

Le goût – le sens. Elle avait besoin et manquait de protection.

But !

J’avais une très claire attirance pour les Mamis.

§.613.

Mais moi mon cas est différent, il n’y a âs plus – – que moi à la base, mais les femmes ne m’ont pas gâtés.

§.614.

Mon attention s’accrochait sur les éléments que j’apprenais, que j’inscrivais, étudiais et à chaque accroche (approche ! ?) cela voulait dire que un peu plus, je l’incorporais son système l’habitait, me constituait.

Et quelque chose s’automatisait, une force qui n’allait plus bloquer, mais être directement appliquée.

C’est du travait de compréhension du système qui voulait faire que c’était spécialement faite, poussée, revennaient les efforts intérieurs.

Plus c que vous êtes en relation avec (permet aux autres de ce à quoi ils sont raccrochés en particulier.

§.615.

Exempe : Marcher le plus légèrement possible, rapportcorps, appesanteur, centre de gravité.

Sensationssont une répercution dans le corps de ce avec quoi on est en train de travailler. Signes présents attestants d’un esprit en train de transmattre .

§.616.

On a peur de la même chose mon pauvre vieux. Et l’inconscience de l’autre, à toutes les alternatives, nous, les déraisons, nous conduiraient.

§.617.

Conflit et oncompréhension.

Frénésie et porte dérobée.

§.618.

Il n’a pas dû élever ton esprit qu’à coup de bouquin le pépé, (référence en main de titanesque le gars avait)

( Il y en a à qui tu envoie de sacré compliments dit donc ! Tu n’y va pas avec le dos de la cuillère ma Caroline d’amour ! )

§.619.

Comme dans la litérature je ne savais marcher par le sous-entendu ( avoir pour vertu d’avoir moins d’explication à fournir ).

Et les sous-entendus avait pour vertu de ne pas donner d’explication déffinitive, pour être indéffiniment interprétées)

A chaque fois qu’une rencontre de ce type se faisait. Telles les détonations (rapport en temps, à notre évolution psychique de vie, de travail mémoire de l’être en général ) qui se produisait Quand je rencontrais quelqu’un me rappelant le passé.

§.620.

On se considérait toute deux comme être des éléments. Et l’une considérait l’autre comme sa femme. ( Là ! Tu bébloque à plein tube !)

§.621.

La connaissance de l’amour ne  vient vraiment que lorsque je sus que c’était me consacrer à un être pour mieux me consacrait l’un et l’autre à ce que l’on entreprenait.

( Parfois j’abuse de la bière, comme chacun sait ! Le jour ou tu as écrit cela tu avais « usé » du Bordeau.) Donc : Correction !

La connaissance de l’amour me vint vraiment que lorsque je sus que c’était me consacrer à un être pour mieux nous consacrer l’un et l’autre à ce que nous entreprenions !

Comme quoi nous sommes tous pareils, « Boire un PETIT coup c’est agréable », MAIS, oui il y a un mais ! Je t’aime ? : Toujours !

Ton DANY.

 

§.622.

Le vent passe par le toit et me rafraîchit quand il ne me glace pas !

Un § au crayon note hors texte non relevé. DOC 27 PAGE 323.

§.623.

Ce qui était merveilleux c’est qu’entre chercheurs on savait (« nous savions », j’en ai marre de corriger tes conneries CARO) que nos collègues, élèves, professeurs, étaient des constituants primaires de notre personne. Le groupe était de là, en acier trempé.

( LA dureté de tes connaissances en métaux s’arrête là ?

Il y a mieux ! :

Ti, U, Ta, Ni, Cd,  Cr, Ma, Mg, Mn  ! Pour ne te mettre que quelques symboles molléculaires de quelques éléments primaires, parmi des métaux autrement plus durs, abrasifs et érodants que l’acier !  De simple mémoire, la liste n’est pas exaustive ! l’un d’entre eux n’est pas dur, mais abrasif et inflamable au « moindre » échauffement ou étincelle CHERCHE et bonne chance !)

DOC select DANY.

 

§.624.

Je n’avais à prodiguer, à adopter une réaction conditionné à m’énerver en vue d’une affaire, d’un problème. j’avais tout intérêt à en être nullement perturbé, gardant mes forces, non pour la parade, mais pour l’offensive, la préparation de le conquérir, en une relativisation de ce qu’elles sont impreignées de respect (patience ) à nos propres impatiences et travers de personnalité, ainsi la personne  = ne pas sombrer, céder, à ces propres problèmes de destructions.

Et l’énergie débordane que je mettais à m’imaginer quelque chose avec elle partager, je partage avec tout le monde l’énergie que je mets à l’accomplissement de mes qualités.

Enfin, j’essaye !

§.625.

Evidemment que quand je dis il ou elle c’est quelqu’un qui me l’a direstement inspié ( quelqu’un que je connais ou pas du tout – L’action patagée) Je suis – Il est.

La propreté, soigneusement se traiter afin de pouvoir ,plus fort, plus loin aller, à un fait de sainteté.

( Ah ! NON ! TOUT ! Mais pas cela ! )    Daniel    !

 

§.626. OUI !

Quelqu’un devrait répertorier les phases de vies.

Exemple : Je faisais, nous faisions commerce du bien. D’un frère mourrant !

Nous étions dix faisant le commerce du bien  –   —    —– !

Nous étions cinquante à faire le commerce du  –  —   —    —-     —– !

Nous étions –  —   — !

Nous ——————————————————————————Plus que ?

Je reste seul attendant la mort !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! D. PF.

Désolé Caro je dois t’arrêter !

 

§.627.

Lidée naît de l’évènement qu’on mûrit, l’évènement, l’état sur lequel on décide de s’arrêter, de composer de –    – ?

De travailler dans son esprit jusqu’à ce qu’elles reviennent en notre esprit à la hauteur de ce que l’on a ruminé, (j’aurais mis MEMORISER et évaluer ) et restituer ce sur quoi s’était porté notre intention, une fois digéré. ( Tu faisais carême à l’époque de ces écrits ? cela te montait à la tête ? Obséssivement ? Tu m’as habitué à mieux que cela Caroline ! TU peux être bien supérieure à ce genre de prose ? ? ? ? ? )

§.628.

C’est plus fort que moi comme je regrette (aussi infime soit-il ) de ne pas avoir décortiqué un élément sur lequel  = sauter sur le jouet à penser qui se présentait à voir de qu’=elle façon il me donnait à penser.

§.629.

Heureusement dans le bus il y a des hommes vec le gros boutons enexcroissance et ainsi mes courbatures au dos quand elles deviennent insuportable, je peux comme ça sentir quelque chose tenter de les soulager. ( Au plus bas niveau ! )

§.630.

Prendre un objet comme un enjeux, détendait le corps et l’esprit. Comme ces moments où je voulais toujours être actif envers les autres et je n’y arrivais car c’était moi et non plus eux l’objet de la transition de l’énergie. JE DEVAIS LA RECUEILLIR AU LIEU DE M’EFFORCER A FAIRE TRANSITER QUELQUE CHOSE QUI M’AVAIT ECHAPPE. ( BIEN VU !)

Comme l’enfant lui est celui qui agit sans direstement communiquer aux autres, mais croit en son soi-même objet.

De la recherche, être en confiance et porté.

De la conquête quand ceci revient à se poser.

L’innaliénable rapport au mode.

Le fractionnement qu’utilise le monde se développantcomme s’étant condensé, se poursuivant de s’être rangé.

§. 631.

A chaque trop plein. A chaque fois que je me disais que se manifestait le trop plein. Venant avec la nécessité de continuer le chemin. Et alors d’aborder les choses sans plus qu’elles nous touchent, qu’elles nous bouleversnt, ou nous berçent.

§.632.

Ne pas s’en sentir chargé ou se penser comme leur obligé. Simplement les prendre en main. Faire les choses parce qu’on savait qu’on devaient qu’elles soient faites Et aussi elles venaient !

§.633.

Les paroles de bien tiennent sur ce que tu me dis qu’elles sont. Belles religions. Pour la religion c’était l’instruction contre cela personne ne prophétiseet institution explique son minimalisme simpliste !

§.634.

Nos petites conversations dans le vide qui aident à passer la sensation, comme on dit.

Pour savoir qu’on fait des choses pas besoins d’avoir à en parler.

Le lien social ne peut se construireentre qu’à partir du moment où l’autre un fait pour l’autre (si c’est pour un gros c’est que simplement en ai la sa vision et sa possibilité d’action sur le groupe.)

Le lien social c’est à l’autre dans le sens de ce qui reviendra à la communauté.

Sinon il sera un lien social qu’on défait.

Et n’est capable de prodiguer le bonheur ( Aussi en sa perspective ) que la société.
Seulement actuellement chacun se débrouille avec sa conception ( Rattaché aux conditions ) de bonheur sauvegarder ce qu’il à bouffer.

( Là ! Cela baisse dans mon estime ma puce, mais je n’en attendais pas moins, pas autre chose en tout cas, car le savais ! .)

 

§.640.

Du bonheur, de l’entrain, du désintérêt et déconnement qu’on met en son âme amoureuse et la liberté Qu’il faut à une réaction pour être pertinente pour que les situations puissent se décoincer.

Quel que soit l’enjeux, rien ne doit emprisonner l’esprit de celui qui se donne à la vie. le don de soi justement justifie, place, fait que puisse se reposer en nous, sous les Etats, toutes les réalité, pour ce qui saura les rassembler.

§.641.

Je vous encule, je fais ce que je veux ! ( Oh! mon minou tu n’as pas honte ? NON ? Tu as raison continue comme cela ! )

J’adorre cette phrase, je berce avec elle, c’est une des favorites du vieux.

(Quand je te le dis que les grands esprits se rencontrent, bien libre ! )

On a jamais de problème en fait, regarde bien se qui se passe autour. – Tant de bordel – Qu’est-ce qu’un problème dans le chaos qu’il, pourtant, nous appartient d’arranger. ( Surtout pas ! J’en connais plus d’un qui aiment le bordel et qui feraient la guerre pour pouvoir le préserver et continuer à vendre leurs engins de mort : Un exemple : qui sont parmis les meilleurs clients des aciéries, Métal-Arcélor pour ne citer qu’eux, LES constructeurs aéronautiques et de matériels militaires !DOC select DANY

A partir du moment où l’on soccupe de lui rien ne nous paraît être problèmatique ( La vue d’ensemble explique que c’est simplement un élément qui finira par se régler. )

§. 642.

L’art c’est le moyen que ne pèse sur moi les jugements sur le fonctionnement de mon espit qui est dans la vie de tous les jours pouvant lui-être fait.

L’art n’est rien à comprendre autre que justement une façon de faire passer un aspect de l’esprit qui passait. Celui qui réclame de comprendre ou tout simplement saisis ce que l’art était.

§.643.

Le coup des petits, comme dans un musée. Pour moi c’était de l’art destinés aux autres. Funeste ! Qu’est-ce que l’esprit humain à t-il bien pû fabriquer ?

§.644.

Mon travail d’écriture ne l’emplissait pas, je pense quotidiennement je me trouvais des sujets car à la perspective d’avoir à vérifier des textes il fallait que je me sente moi-même activée par l’object que sur j’ai pris pour sur des MILIERS DE PAGES le relater.

Historique d’y être toujours amené, qu’il constitue toujours dans ma vie le princpal sujet. Piège à idée.

A quoi ma dynamique de pensée va-t-elle plonger ?

Que me permettra-t-elle de déméler après.

§.645.

Être heureuse en sachant que la vie ira en continuant.

§.646.

Les femmes ve veulent pas de « révo », tant que la « révo » ne s’installe pas d’elle-même car tourne en rond si pas de moyen. Se creuser et remettre en question sur quoi on est en train de reposer.

Etat d’esprit et stabilité au moins prévient contre la douleur mentale risquant de nous désemparer. Rempart !

§.647.

Äme en son intérieur, pouvoir partager quelque chose qui ne cesse de croître.

S’arracher à le tristesse, repousser la misère.

§.648.

Le couple sait quels gestes interprétatifs, de l’autre ne doivent pas être.

§.649.

L’inconscient faisait revenir en l’esprit des sensations dépendant ou de toute façon en relation toujours directe avec le passé même si aussi en relation avec le présent qui redéclenche. Le contrôle de ses émotions, des choses qu’il nous faut reclasser maintenant.

Et c’est ainsi que transformation est lié à progression. Et quel cycle cela peut-il bien régénérer ?

Question posable = concetteur – infinité.

L’existence alors devant être pour toujours ce qu’elle est.

Un [« amour » c’est un ajout de ma part pour ma seule CAROLINE] espace infini ou tout est toujours dans le quel le fragment, est aussi complètement libre que paumé ?

Libre est la connaissance passée et ce que l’on croit qu’elle puisse en tant que telle donnée.

Âme t pas en tant que telle, la vie est-ce qu’on est dans le sens où tou les mystères reposent en la mouvance de toutes pensées.

§.650.

Contrôle de sa sensation. Stabilité, et une idée en amène une autre et ainsi le monde se fait.

Et puisque tout est idée.

Quand elles pourront toutes correspondrent, se maintenant, ne défaillant, se sentant mutuellement..

Comme l’homme peut penser à vivre heureux en donnant le bien- être à autrui. ( et parce que capable de se comprendre )

Le bonheur est chez moi parce que lui .

§.651.

Mon secret santé, le respect et savoir que force que lui.

Je ne peux avoir peur de passer pour un con !

§.652.

Vivre bien. Donner, restituer ce que la vie nous a apportée et vivre parce qu’elle, ne cesse de lui demander, plus encore d’espace, se battre, être chamboulé d’encore savoir ce qu’on a, une idée de tout ce qu’il y a encore à l’avance à porter, recueillir, grandir.

§.653.

C’est comme cela que cela vînt je peux en être comme désolé (bien qu’il faille toujours avoir une idée pour savoir entre qui et quoi, vers quoi aller.

Mais personne qui ne puisse sérieusement s’excuser.Tout apparaît sur les moments si vrai.

§.654.

Être bien c’est savoir qu’à tous les moments le monde entier converge en soi et que pou son voisin c’est la même et qu’ainsi tout ira de soi.

§.655.

Distinction –         –  remonter.

Comme si l’auteur savait qu’il étient attentionné !

J’ai tellement dû renoncer à d’hypothétique manie qu’au mariage je ne suis plus condamné non plus§

§.656.

Et le respect de mon travail et le rapport que je lui dois ainsi qu’au bien fait que même en couple c’est comme des week-end seul = à la matière empiré que je ne dois plus craindre Mais embras (s)é. « embrassé », « embrasé », « embarassé ».

Plus craindre d’être esseulé alors que le monde ne peut et n’a jamais quiconque délaissé.

§.657.

L’existence telle une fontaine de jouvence coulant sans arrêt. Sa propre relation à l’existence, façon d’exister.

La vie ne s’éloigne jamais, l’imagination à aussi cela comme propriété que le tarrisement ne peut s’imaginer, l’avoir pour propriété !

Et pour ceux qui se disent sans agitation; que ne vont y pas penser.

§.658.

Transformation = mort, naissance.

Ruer = Se tuer.

§.659.

Et je me replace dans l’idée qu’en elle donc je ne fais pas qe qu’il faudrait pour l’autre, comme il est naturel d’avoir devevant l’autre, il devrait m’apparaître naturel de m’aider moi. Je sais absolument qu’il y a du ridicule, de la lacheté à écrire cela mais cette limite ne le connaît absolument pas, dans le sens où je ne saurais procéder autrement ( En d’autres proportion, déjà ou façon ) que ce que je fais actuellement là.

Je ne pouvais qu’aimer, me diriger, vouloir que ce qui avait une signification pour moi ( = qui en quelles que soien, je connaissais déjà )

§.660.

Je vivais le jour, me levant du matin, le jour m’invitant à ortir, l’etérieur créateur et accueillant, Régulant à ce moment là :

Ouvert à disposition.

Demander.

§.661.

Il se reposait sur moi (Surtout quand il ne pouvait qu’hurler ou quand c’était le jour à s’amuser ) Il se reposait sur moi car connaissait ma patience, cele de la mère, celle de la personne qui a entre les mains toujours à s’occuper, à améliorer, à ré-afuster, celle qui de part de là ne peut en rien se démodaliser s’émouvoir de si peu.

Mère nourricière tant que de s’occuper de quoi, comment elle choisit, esclave et duellement , le socle , l’existence, là seule sensation d’exister, l’émerveillement de la vie.

Se reposer sur elle, elle seule, est suffisant.

§. 662.

Le rêve tel une situation à le vivre après l’avoir pensé (penser d’une manière ou d’une autre qu’exister ) le réaliser.

Ou dans sa non réalisation comprendre que ce n’était qu’une question de temps pourquoi les choses bouillonnaient.

Sa propre vie était là pour expliquer De quelle grandeur on était capable t que suivant pas grand chose ne semblait se passer.

Chamboulement, chantier continuel qui y amenait, exepté.

§.663.

La coercition de l’autre, le combat des limites Pas stabilisées car tous les plans n’étaient pas représent = équilibré.

Et une manière de s’apercevoir qu’elles horreurs on provoque (l’autre ou soi-ême ) dans cette mauvaise incpmplète interactions des idées.

§.664.

La sagesse était de savoir que par tous sa clef tait portée.

§.665.

Les forces contraires. C’est parce que je savais que telle existences était préservée que je pouvais continuer à étalir des théories sur la paix et recherche (à partir des contre – assurance qu’on m’offrait ) incessamment.

§.666.On pouvait se projeter (réfléchir à autrechos que la position entree les gens.

Alors que le travail de la matièe pourrait alors modifiermultiplier nos appuies .

§.667.

Question entre individus pas réglé tant que populatin pas mélangé et question patrimoine national mal protégé et différence entre population et enfat pas communautairement élevé.

§.668.

Elle m’appris que l’on pouvait faire attention aux gens, les portaient sans pourtant me paraître bouger.

§.669.

Les gens partaient en vacances faute d’aventures.

§.670.

Il m’avait trahit. Comparer à la confiance en lui ce serai une belle pour lui si une telle belle j’avais.

§.671.

Nos élans physiques était fait pour communiquer pulsion et émotion et non pour impressionner ou influencés.

Ou alors justement que cette confiane n’avait aucun prix, ue mon entièreté face au monde l’absolu de mon fait ne pouvait par rien être amputée.

§.672.

La jalousie/Il n pouvait s’imaginer avec lui alors comme sa grande habitude était au sujet des femmes de fantasmer, c’est avec sa femme qu’il imaginait nos sens et inerdits.

§.673.

L’artiste est l’image même de celui qui se découvre lui-même, travaille sur lui-même et isolément.

Même dans la seule fin, le seul objet et bonheur qui puissent trouver à son art, c’est la communication. Parler aux oiseaux u à tout autre mais apprendre un langage, le restituer, l’utiliser, et comuniquer = partager = recevoir et pouvoir passer quelque chosequi ne pourra s’éteindre.

Le dragueur. Celuiqui croit que l’autre à son tour est draguer.

Celui qui détériore sa proie, son objet, cellui qui lui brise l’aile, qui fait que dés le départ l’approche ne peut évoluer.

Le dragueur, ce con.

Réfléchir. Réfléchir. Ne pas compter sur.

Symboliser = Etablir une relation entre les choses et les êtres, qui empéchaient justement d’évoluer. Insister sur la signification, pensait que la communication l’échange n’était pas importante. Réfléchir, trouver comment se connecter.

§.674.

Zoophilie. ( Décidément tu les aura toutes relevées les conneries )Mon chat venait contre moi se massait de nos corps se soulageait.

Il n’était simplement question de sexe, car nos corps et son utilisation quotidienne ne pouvait avoir été comparer (  Et non pas ne pouvant se comparer, Rien à y comprendre ! )

§.675

Un concert –         – organisé oub tout le monde serait convié et que tous iraient en se disant que sinon qu’est-ce qu’on se verrait en chier e que foule regrouppé une parole serait diffusée donnant une idée à chacun de quoi choisir à aire et avec l’autre ne pouvant jamais retenir.

§.676.

lle se regardait manger du pain, comme une fille elle avait trop mangé alors elle s’en mettait plein auour de la bouche et comme une petite elle en rigolait.

§.677.

Nicotisme. Hypnose.

La fascination de se voircomme en l’autre couler. Et tabou de mort et douleur dépassé.

§.678.

Société monde par faute, société perfectible = mais si, mais si regarde bien on y est.

§.679.

Place sociale. Rien à foutre sur la main, comme cela chacun avait une place et devait la garder. Un jeu, un exercice, une manière de rester maintenu à ce qui se passaiten vue d’y réagir. Processus de création ( Là attaché au seul objectif qu’on pouvait se mettre sous a dentles conditons d’ensembles mais sans objectif dans lequel passe la douleur, message non codé.

§.680.

C’est lorsqu’on se rend compte dans une course qu’on la gagne  (Et qu’elle fasse qu’on gagne indépendemment de la victoire, mais le gain brut, intrinsèque, le seul qu’il soit en fait ) parce que combattre jusqu’au bout, de la première à la dernière qui en sorte. Les différents souffles inspirant d’un seul élan se tenant de rythmespris venus de ressources aussi éparses et imbriquées que ce qui nous y poussaient.

Eparses et toujours plus comiques céleste et profond.

§.681.

Ni femme ni homme pas de frontières à l’individu pas de différences entre lui, elle, cela, quoi que ce soit.

Je fus prise de terreur lorsqu je remarquais établir des ponts avec certains que volontairement je m’interdisais ave d’autres.

Je pense simplement que se focalisant sur certains en place on s’entraîne à placer une certaine iage que l’on se fait et ainsi notre imagination leur sait confié et quand on sait qu’on pourrait avec l’autre l’échanger on essaye mais se retranche de ne savoir comment procéder (occuper, déranger par ces mêmes représentation) qui empêche à l’esprit d’admettre qu’il est en train lui-même de s’initier.)

On sera alors le point pas focément vers l’autre mais inspiré par l’autre vers, par lequel mon énergie pourra, ira, baigner, se fondre, s’envoler.

LA course qui menait du bout en bout et apporte le plus qui va au battant en lui s’intégrer. Et une fois senti cela, il n’y a plus qu’une course, pas de ligne d’arrivée, le sentier ou l’amour de la course ne s’arrête plus jamais.

§.682.

Communication active, mélangeant l’énergie présentement et son au-delà. Car activité qui se prolonge dans la communication à l’autre.

Communication à la matière également, élan qui permet ce besoin d’agir, dans sa logique du travail de sa passion.

§.683.

La force que nous a apporté une action et ses répercutions .

Toutes forces nous portant vers l’action en la compréhension n’enclave pas en un domaine.Si je la maintiens en mon objecti se convertira ce que je devais comprendre en poursuivant (de l’autre qui se re-manifeste ) S’applique à ce vers quoi j’ai décidé que se fasse le tournant.

§.684.

Avoir la même sur mon corps et le chérissant ainsi tous les jours et pour tout le temps.

Et c’est pourquoi tout le jour au destin je tente de dire merçi

§.685.

La chaleur de l’humain me porte à ne cesser de vouloir avoir bon en matière, tandis que c’est elle qui me permet d’être au pont avec les gens. De se sentir bien car ni l’un ni l’autre n’est là à partir du moment ou je les sers l’un et l’autre, l’un dans l’autre loyalement.

§.686.

Il ne valait comme mystère et raison de leur déraison que de ne le vouloir pas.

§.687.

On me doit le respect

te      —–

Un doit le respect et la paix est échanger cela.

§.688.

ëtrez avec vous absolument !

C’est faire que  §

§.689.

Il bouffait histoire de se dissimuler son problèpe de gros intestin, en bref n’importe quelle grave  maladie qu’il redoutait.

§.690.

Des bébés c’étaient des bébés.

Oui j’avais eût peur si cela avaient été des adultesparce qu’insulter les gens, les ménager.

§.691.

J’avais eût peur car je les avais pris pour des fous alors que le sort des adolescents est.

Ont encore la capacité de m’attrister.

§.692.

A chaque fois que surgissait le sentiment tous le monde était rémené à égalité, puisque toutes les passions vénalités et que les passions rendaient aveugles et d’elle ressassait toutes les horreurs e les beautés.

Et chacun face au monde, nous n’étions que des esprits à errer et cela chacun sur chacun le sait, ou bien son proper combat avec les passions le rendant suoffrant le fait, le laisse, ignorant, ignorer.

§.693.

Il partait tôt et heureux au case pipes les jeunes; C’est le sport, l’appel du corps qui voulait.

§.694.

Une affaie de régler avait le pesant de soulagement égale à ce qu’on avait dû se démener pour le régler.

§.695.

Manger, absorber c’était prendre une responsabilité, un poids et gare à soi si l’on ne bourrait.

§.696.

Ce que nous savions qui était indiqué.

Ce comment passé et s’en déroulé.

Ce qui restait à faire.

et ce que l’on pourrait.

§.697.

Modifier volontairement ma tension. Justement émotion et tension sont là pour quémotion ( énergie ) en une portée ( tension ).

JE peux être d’accord avec mon émotion, toute émotion est traduction ( or, est spontannée ) subjectivement et son adhésion au comportement n’est que le tension (obstacles au point d’ancrage rencontré ) qui s’exprime et qui est aussi subjective. La tension quand on se rend compte d’elle ainsi que le tension sont dépourvues des instruments, besoins, dont on dispose qu’il faut faire s’activer.

Qui fait que notre corps et esprit au delà de ce que notre conscient sait, « croit, croît » ( MINOU verbe croire ne prend pas d’accent circonflexe, ne pas confondre avec croître « grandir )

L’emmène justement  (si il ne compte pas être toute puissance, partir du principe qu’il a déjà tout en main bien articulé ) en d’autre points à lui-même à une autre forme .

§.698.

Tous enfants de la terre.

Guidé par ce que trouvera la démocratie.

Et toutes sont nos enfants les natins, les patries.

Elles ne seront jamais une mais resteront comme de mieux en mieux pluriel et voudra dire qu’aura fait le bloc ce quon ne retouchera plus.

§.699.

Chacun ayant porté et fait bouger son époque.

§.700.

Rencontre sur le Web et je suis sûr que celui qui l’invente fut 1000 fois plus déjà bien. Si ne se pointe pas très vite (innocent comme quelqu’un susceptible de toute ma vie coller, ma carrière d’auteur romantique est terminée.

§.701.

Je devais à mes envies de célibat et de recherche et détermination personnelle de n’être tributaire de personne et de ne pour rien au monde chnger ma détermination à cela (seules mes nflexions ex: trop penser aux –         – pouvait me rendre incapable. Mais si je pensais de voir quelque chose au point de vue de ce dont je devrais être capable, personne ne m’en empêcherait.

§.702.

Le sentiment de solitude obligé est un trou béant mais !

Mais je péférerais rester célibataire à vie plutôt que de ne plus m’accompagner moi.

§.703.

Et bien que j’y aille mollo bien que le marché soit maintenant à moi (ordi et Web opérationnels) sinon je vais me laisser pomper, une histoire la meilleure m’ira.

§.704.

Simplment le choix doit faire que je prenne mon temps et qu’aucune, ce qu’on appelle concession ne me retienne en n’importe quoi.je susend mes recherches jusqu’aux partiels, dangers, je suis mon obscession glisser sur cela.

§.705.

Avoir un objectif que l’on croit juste c’est à dire qu’on sait pouvor endurer mais par tout le monde être suivit.

C’est savoir ne pas donner une once de plus ou de moins d’énergire. C’est savoir devant un conflit ne pas céder à la tentation de dper le toussant, se rendre intéressant, important.

Pour mieux en fait oublier ce sur jusqu’à où on devait veiller.

§.706.

Non libre. « Si ton chant n’est pas plus beau que le silence alors tais-toi ! » (Voilà une phrase dans laquelle je te retrouve à 100 / 100 et dans laquelle je t’aime comme je l’ai toujours fait depuis que nous nous sommes rencontrés mon minou d’amour .)

§.707.

Dans mon programme je ne prévoyais pas le mariage alors je mangeais deux fois plus ainsi durait un peu en le temps o j’écoutais la radio, les autres « discourant ».

§.708.

On prenait conscience de la valeur de chacun quand s’offrait à nous et donc ainsi reposait sur nos épaules de faire des choix.

§.709

Se vouer à quelque chose est mort à un monde.

Et la seule façon de se sentir une unité.

Et à chaque fois que je me dis mais lève un peu le rideau pour t’apecevoir de se qu’il y a à coté. Je comprend que je ne peux tout englober et que c’est le tout qui constemment sollicite, englobe lui ce que je fais et la compréhension relative elle, est illimité Dans la mesure ou toute avancée dans la réflexion, l’expression d’elle-même ce produit autre chose à coté.

Et si c’était le brin de bardel qui faisait que dans reste puisse s’édifier.

§.710.

Mon rapport aux autres tel mon rapport aux mondes. Dès que je suis aussi incapable D’établir une liaison avec eux, que d’autres fois en pleine fusion. Enfin que je crois car je peux sans doute assayer de me rapprocher d’eux alors que me rencontre en tout était lui toujours plus à cent lieues  ( Et non pas Lieux ! Lieue = unité de longueur, variable selon la référence : terrestres marines, actuelles, anciennes, Françaises, étrangères : De environ 1,6 Kms à 1, 8 Kms !!!! Lieux = endroits déterminés !!!!! ! ) et qu’est-ce que va rencontrer à l’autre autrement que le moment à tant est nous.

Clairement ressentit comme.

Peut-être non pas de l’avoir à des moments où on à d’autres où l’on est abusé, tourmenté par tout cela

§.711.

La peur d’être tué. La peur d’être tueur !

Exorcisme ! (mon andouille chérie )

§.712.

Je ne fus plus ému par les vampires ou les bonnes fées dés que j’amis pouvoir être l’un, l’une d’entre eux, elles.

§.713.

Et lorsque je n’arrive plus à discourir sr rien. C’est due ma ve est une catastroph je me ferais remarquer.

Alors que loupant tant mieux que je me mette à l’arrêt !

§.714.

Je me réfugieais dans mes défauts quand se faisait plus complexe que je le croyais.

§.715.

On m’ trahis ?

Tant pis e pauerais cent fois plus pour me débarraser du concept de l’amiité.

§.716. Page 338.

Il ! Tapat !

– !

– !

– !

La seule manière de se tenir en conscience de ce qu’il a été fait de taper !

Et à chaque fois qu’il tapait dans cette recherche de conscience son corps sentait comme s’il s’était fait du bien, comme si lui a l’autre, à son objet en fait aussi il avait fait du bien.

§.717.

Et de plus belle, plus metalliquement encore il tapait, il ne savait faire que cela. C’est le seul point de référence, reconaissance, le signe qu’i était capable, larécompence , le statut, la preuve d’ête utile, valaureux que de pouvoir arréter, rendre hors d’état de croître un individu (en devenant par sa coissance on pouvait tout remonter )

§.718.

Mon épaule avait bougée. Exemple de rotation.a chaque mouvement de détente avait craqué, se remettant en place, les muscles, l’effort, sa place pouvant structurer.

2videmment on aurait pû me masser dix ans que le résultat comme cela n’en pourrait avoir été.

§.719.

S’éteindre télescopiquement.

Articulation.

Il faut que unpoint s’étende et l’autre reste tout à fait fixé.

Jambes droites – Bras gauche face allongéé.

Jambes gauche bras droit allongé.

§.720.

Le exitants m’empéchaient de siester, et la siste elle reposer, clarifier, mon esprit et m’aurait fait vivre plus lontemps.

§.721.

Je mefoutais de ma vie de raté.

Car on pouvais avoir l’impression qu’était pour soi chaque rire de bébé.

§.722.

Je me sentais tellement seul que cel aurait été me sentir entouré que de sentir mon corps d’une falaise rebondir et dégringoler.

§.723.

La vie ne nous contraind à rien ni même à aimer.

Et si l’on ne veut ainsi perdre sa liberté.

Et l’on ne peut se forcer à haïr.

( Non mon amour ! Cela vient tout seul et une fois déclenché : ineffaçable, je parle de la vraie Haine bien sûr et non pas d’une quelconque rancoeur ou jalousie qui elles s’effacent, se dissipent, avec le temps. )  Ton DANY !

§.724.

Seul face à son objet, ses moyens et ce que l’on n’en fait point, seul face ç face avec son démon. Devoir lui faire faire face pour savoir qui il est et savoir comment être fort pour ne s’en inquièter.

Et ne faire qui ne puisse réapparaître, une fois cela fait. Chaque partie alimenter.

§.725.

– Une petite Veine ?

– Non , NON j’y arriverais.

– Un petit joint

– Non, NON je réussirais.

§.726.

La non reconnaissance sexuelle par peur de la correction physique, exploitation de tout ordre.

Et purtant l’exclusion pourcelui qui s’en voit comme si l’on pouvait s’en sucrer.

§.727.

Je sens l’urine, les excréments la sudation –  –  –  –  –  – !

Je suis médecin et je dois me tenir au courant de ce qui est en trainde se trainer.

§.728.

Bien sûr les errances sur le Web, ( tiens je croyais que c’était au point  ) Ne manque pas d’être poêtique.

Mais celle-là , y n’empêche que j’aimerais bien quelle morde. ( A l’hameçon  tu la (le, les, prends pour des cons ! )

§.729.

Si je ne veux rester cloîtrer jusqu’à ce que le mort ne puisse plus reculer, il faudrait queje cesse d’écire tout ce qu’il me vient.

C’est ma façon de m’auto-intéresser.

LE jeu auquel je suis douée.

Continuer ainsi, ne pas se pépayser.

Nouveau chyle, justification ratée !

§.730.

Dormir passer des années à tudier des dépouilles d’escargots.

Et oui les idées ne viennent pas comme cela et demain s’ étaient entichés d’ami singuliers.

Squelettes externes.

Lignes de vie, strate du temps écoulé.

§.731.

Ce qui est comique avec le contraire c’est quand les gens ignorent qu’il est une fleur à chaque autre qu’il va rencontrer.

activité perfectible et manifestation spontanée.

Et caractère et tout posthume au pouvoir d’impulser.

§.732.

Emotion, intuition, possibilité d’intervention, regarder la mouvance en face et énergie pouvant ne pouvant s’empêcher.

( Quitte à les abrutir de stupidités tu as raison Minou nous ne sommes plus à une contradiction près ! )

§.733.Page 340. ATTENTION INVERSION DE CERTAINES FEUILLES

Il répétait toujours le nom d’un traité dont il ne pouvait avoir entendu parler, et il commença à en parler pendant que celui-ci se déroulait.

Je ne pouvais m’empêcher quil y avaait quelque chose à voir.

Comme tous les vieux qui pensaient inévitablement à tous les problèmes qu’ils avaient rencotrés et sur lesquels ils pouvaient maintenant s’arrêter.

§.734.

On était tous de la même famille et n’existait l’abandon. Celui là ou un autre. Les mêmes. Seuls personnes existencielles, pas encore de générale et complête coordination.

§.735.

Pourparlers – Palabres et tabous. Bloquer la folie du vide ou plein. La moitié.

Ce qu’on sait, étant, pour l’instant resté sans effet. ( Tiens tu savais donc ! Cela aussi ? )

§.736.

Ce sucre te donne la pêche, puise dans les réserves. Mais que veut, en quelle occasion puis-je me dire qu’un moment mérité plus d’attention de sa part. A part cas d’urgence ( mais c’est l’état qui sert d’urgence, si on se met à l’intérieur ) si l’objet est absolu rien qui ne vaille d’être – puiser – creuser.

§.737. Décidément : dans cette DOC tu as fait très fort Ma Caroline chérie !

Avouer ne pas contrôller l’aboutissement de l’énergie c’est faire que la situation à l’inconnu destiné puisse toujours raccrocher.

Tout ce qu’on se demandait les uns aux autres, c’est d’être gentils la vie était comme cela assez compliqué et l’énergie c’est le système qui le demandait.

§.738.page 339.ATTENTION INVERSION DE CERTAINES FEUILLES

On ne devait changer l’individu mais c’est le système qui (et cela éait valable pour chacun de nous comme on était) c’était le système qui nous demandait.

Chacun d’entre nous étant le reflet de ce qui lui manquait.

§.739.

LA particularité des hommes.

Chacun à une façon de se connecter est croire pouvoir la tranmettre à l’autre est une illusion et pourtant on va s’y efforcer quand pour parer, mater l’autre à faire quelque chose sans lequel on se croît. on est vraiment amputé. Le problème c’est qu’à la réalisation de cette no pas droite, mais ligne l’autre par un moyen que ni lui, ni soi, ne connaît va pouvoir y arriver. Et pourtant de l’influencer va toujours tâter.

( Faisant ces calculs.

Faisant les nôtres aussi ) / Ce flou dont nous sommes responsables et entourés.

§.740.

Il arrachait sa couche. ( Un pansement ?)

Je compris ce qu’il en était quand je pris le temps de m’imaginer mon urine sur ma peau si restée.

§.741.

J’allais comme Pépé.

L’un et l’autre ça nous inspirait.

L’un et l’autre ça nous reposait.

Et la vie se donnait !

§.742.

Les êtres que je chérissais me firent connaître le malleur.

Le malheur qui m’aurait tué de ‘avoir avec et pour eux rien fait.

§.743. Page 341. ATTENTION INVERSION DE CERTAINES FEUILLES.

Je lui débarbouillais la tête avec du papier après tout pour son hygiène il ne me génait plus qu’on coupe des forêts.

Mais c’était simplement qu’à l’hopital si on pouvait s’occuper alors convenablement de Pépé cela aurait été un gant quelque pert de bien rangé. Et qulqu’un pour particulièrement le débarbouiller.Ne pas vouloir influencer le autres autrement et j’ai fait des conneries que j’espère vous ne ferez pas.

§.744.

J e suis très bien quand je me rappelle que le monde est maître de lui, et moi son soldat.

§.745. Page 338. ATTENTION INVERSION DE CERTAINES FEUILLES

Les lieux évoquaient quels, idées et états d’âmes, m’avaient transporté et fait navigué, qu’elles s’étaient réalisées, qu’elles j’avais laissées, qu’elles encore me traînaient.

§.746.

Vie à l’hosto et loft story.

§.747.

Ne pas réagir plus en qui on le ressent. Ne pas voir un pont artificiel entre soi et l’autre. Le renseigner qu’est motivé par autre chose ouest bien motivé par lui ce qu’il ressent ce qui circul en lui actuellement.

§.748.

Carole, j’enverrais bien que son fils lise de temps en temps mes écrits et y prennent plaisirs. Ecrits que sa terre à jeté.

Ecrits et bien soit, comment fut tout aussi et à cause d’elle, non mais à ce qu’à l’époque elle représentait, d’elle écrits et épopée et représente toujours chaque être, une humanité ( Et toutes ses beautés, conciliations et étrangetés ) étrangeté de ne savoir ou pouvait bien tout cela aboutir anodine au fait de notre connaissance limité. ( C’est un ? PROCES ! UN JUGEMENT RENDU !  )

§.749.

Mon jeu, mon moi, mon tout , Ma vie !

§.750.Page 342. Ordre des feuillets repris à ce niveau.

Il n’y a d’autre beau que le combat de la vie.

Tel est l’existence et son insatiable bonheur à la vie heureusement, fondamentale de la conscience humaine.

§.751.

Conscience de la mort.

Il apparaît en fait comme tout à fait clair que de la longévité de l’espèce l’individu ne préoccupe pas tant que l’espèce n’y pouvoit – elle pas

A quoi sert d’économiser l’eau ?

Si elle n’est en volume illimité alors c’est que tôt ou tard on en crèvera.

( Tu ne pense qu’eau douce, tu ne pense pas aux ressources maritimes et à l’épuration et adoucissement possible dans des technologies futures et à grandes échelles possibles, si toutefois les ETATS mondiaux se mettent tous d’accord sur le sujet. Néanmoins  : Recyclabilité, naturelle, et artificielle l’une des plus rapides qui soient.

Ils seraient plus intelligents comme développements que tout ce que l’on pourrait imaginer d’autres en matières d’accords internationaux.

Sans compter les réserves des pôles sous formes de glace et que ozone manquant aidant nous sommes en train de faire fondre à petit fe,u effet de serre complémenterarité absolue et indispensable de l’idiotie humaine, nous savons que nous n’aurons besoin ni de bombe, ni d’atome pour nous auto-détruire et de, à terme, obtenir la stupidité de réduction des surfaces de terres habitables !

Il n’en reste pas moins vrai que tu peux balancer dix camions de terre, déchets ou gravas dans un lac tu feras monter le niveau du lac mais tu naura pas changé le volume d’eau contenue par lui. Select Doc DANY !  

Ou alors la traversée d’autres dimensions ou procédé cet obstacle le sera.

§.752

Résoudre une énigme c’est pour soi se reposer.

Mais jamais le voile ne se lève pour cela.

Agrandir l’espace c’est toujours crouler sous ce qu’on ne sait pas.

§.753

Et l’aide à la survivance de ce à quoi l’on croit, cmme concept du bonheur, c’est à dire de la vie coulant dans ses veines que l’on voit, et de l’existence.

et en dehors de cela subsstera ce qui subsistera et tout ce qui se mofifiera.

Car tout cela pour ça.

§.754.

Quand lexistence pourra se développer sans plus de déchet. quandà tous les mouvements de production on aura trové à qu’elle élan du donné on pourra directement le rattacher.

Quand protéger mon espèces sera que les autres puissent vivre à coté et que chaque mouvement aile mourir et naître dans un autre.

Quand chacun de ces transportssoit alors compris de nous et aussi du monde qui vit, on pourra voir encore juché sur ce qu’on saura comme étant divin, harmonieux  plus loin encore, projeté de, par, chacun des mécanismes qui nous conçoit !

§.755.

La mort ne me faisait rien sauf que je ne voulais pas mourir pour ma mère.

A partir de là une rage sans nom à ma vie, à n’importe lequel des moyens pour ma vie me prenait !

( Là mon Minou elle a des idées pour le moins biscornues  ! Abrutie qui t’as demandé ça ? Andouille quand tu te mets à être conne tu ne fais pas semblant non plus ! )

§.756.

L’écrivain forcément est aussi celui qui sait ou songe à ce qu’on va dire de lui.

L’oeuvre et le critique .

Le critique d’aujourd’hui

Les oeuvres de demain se basant sur la critique d’aujourd’hui.

§.757.

Avoir senti la tempête en soi et innarètable il fallut que l’on s’y accorda. qu’on fit sienne celle-là.

Et dns cer état de torpeurface au danger encourru, votre propre état de désolement, plus rien ne vous y remettra.

Particulier, il y en a d’autre qu’il faudra vaincre également.

Plus rien ne me menaçait, plus rien ne me faisait horreur. A quoi cela servirait.

Et toujours devant moi le spectacle d’un monde déchaîné. Cette marmaille était la preuve constante que les éléments se mélangeaient.

Tout le temps et que l’on apprenait au tressage du monde à jamais évidemment.

§.758

Bien sûr chacun d’entres nous savait pouvoir être le vert entre lui ou dedans.

§.759.

Je devenais autrement pls assuré.

J’avais assmilé et était compris les éléments qui m’entravaient.

§.760.

Comme pourquoi nos sensations à la vue même au corps étaient d’elles différentes.

Pourquoi si tout était illusion la chaise me portait et portait tout ceux que je reconnaissais.

§.761

Et quand ce qui concerne ( Qu’en ce qui concerne, ma puce, que en  ce qui concerne, contraction  en devient pronom indéfini qui prend la place de ce qui sera la complémentarité de ce qui suit !  ) de pouvoir surmonter la condition de notre dite humanitéil faut bien avouer que même les douleurs qui auraient pu nous mener à la port, d’une telle acuité, qu’elle nous perçait) Cette douleur et bien n’a jamais fait que passer.

Se sortir de sa ( notre ) condition est tout ce qui est en notre ouvoir.

Et de nous rendre par cela compte , que la sagesse au creux de chaque main.

Voilà ce que la condition humaine est

(Pas toujours parfaite dans la forme et le texte, tu l’es dans l’idée générale de cette DOC !)

§.762.

Les sensations qui me conduisent, m’avertissent, me rejoignent, me signalent (m’auréolent).

§.763.

Être à un groupe.

L’assise des iées.

Comme ayant mis des dizaines d’anées à commencer à comprendre ce qu’était le concept d’un mot, une notion, (liberté, être Européen, martien ) pour la vivre une seconde et puis non pas qu’elle ne sait plus mais moi nest plus dans ce qu’elle est. Je suis le monde que je vis affairé à m’y poser.

§.764.

La mer ?

N’est plus !

Pour moi !

Des années que je ne la vois plus. Mais que je la connaisse ou non ces effets sont sur moi. De ces effets là de l’avoir délà vu, j’en donnerais une autre image. L’unique différence est là, Pas plus.

§.765.
Cette époque ou par exemple quand je ressentais les bulles qui partaient de mon épiderme.( Tu as eu la varicelle, la rougeole la rubéolle toi aussi ? ) Un jour e me disais que j’avais mal et que c’était bon et j’en jouissais. ( Pas nette ! Mon minou d’Amour )

Ce n’était pas l’évènement, l’évènement on ne le vivait jamais on l’observait mais ma réactionà l’évènement que je vivais et qui créait en moi en soi un autre évènement.

§.766.

Le reflet dansl’eau de mon sexe et sur lui mon sein penché. (qui s’est ?) ABRUTIE.

§.767.

Savoir ce u’on avait à faire; C’était le faire tout le temps, sans perte, ni empressement.

§.768.

Ma liberté relaive tient sur le fait de pouvoir écrire des textes et d’essyer de les diffuser.

Masécurité si rien ne vient ne me les enlever.
§.769.

Je m’intéressais aux infos des pays assez, bien que parfois le pays en question je sentais comme pouvoir le toucher avoir vu l’idée au moins avoir constaté, senti la forme de vie qu’elle prenait sans au moins un de ses aspects.

C’est alors que j’avais clairement conscience d’être faite de et objectif tout comme pour moi-même faire ce qu’elle est et serait.

§.770.

Je savais toujours à une bouchée pas l’audelà de laquelle allons trop mangé approximativement au momnt ou je voulais) mais habitué depuis tout le temps à trop manger , je me posais toujours la même question de savoir si je n’allais pas périr quand j’en arrivais là.

§.771.

Me demandant, toujours si je n’allais pas en dépérir.

§.772.

Que des gens acceptassent de se méfier de mes protections, mais maturité comment en fait l’initié était troublé de deveir un object en tout cas un être qui fluctuait également que notre prétention à pouvoir ou vouloir ou non, avoir flécher entre ou soi manipulation, ( Parce que son soi ou lui-même pas posé ) la vengeance que l’on faisait.

C’est ainsi qu’il n’y avait d’initiateur, d’initié et que devait par la répartition chancelante qu’on faisait.

Donc : Nous sommes bien d’accord l’initiation a ECHOUEE en ce qui concerne UN seul et unique qu’il me semble bien ? :  Très bien connaître : NON PAS LUI ! Incoruptible et ce n’est pas une question d’argent, ELLE le sait bien ! De séduction ? D’autres ont essayées !  Et autrement plus jolies et attrayantes !

Impayable !Au sens ?Litéral du terme !)

 

§.773.

Tous gestes est une attention à l’autre,à faire particularité qu’il puisse dessus confirmer.

Tous gestes capables produteur d’énergie et de celle en fait pour être utilisé, à tous servait.

§.774.

La lesbienne.

Toujours séduisait tous les hommes puisqu’à l’époque içi, maintenant, ailleurs en amour ne lui étant interdit.

Naturellement l’hétéro, ou homo exclusivement et c’était le rôle social de de l’un que l’on adoait et celui de l’autre qui nous fascinait.

§.775.

Cinq premières lignes indéchffrables.

La remettre en cause, ne plus suivre ce fonctionnement aurait pu être dangeureux pour la surveillance et exécution (rapport au travail, coercition efficace que si il n’y a pas e débat, aucune porte de sortie )au sein des familles.

§.776.

Pouvoir m’occuper de lui.J’ai des sentiments d’angoisses si je m’imagine en société basée sur homosexualité et qu’n m’annonce l’hétérosexualité, mais si un jour on m’obligeait à quitter l’amour de ma vie.

§.777.

Il faisait ressortir ses muscles parce qu’il trouvait qu’il n’en avait pas assez, (Jamais assez pensait-il de lui-même pensions-nous, pensiez-vous.

(C’est con, si suffisament de force pour s’activer aux tâches quotidiennes )

§.778.

Action -Action. Alors que je ne pouais peser sur elle et que la fatigue me terrassait, plus un pas je ne pouvais faire et là mes pensées devaient s’arrêter puisque mes jambes ne pouvaient les porter.

Mon esprit gardait ce qu’était ce qu’était l’impression d’exister.

« Plus un pas » « je ne pouvais faire »

L’inversion ne se justifie pas d’une façon très flagrante dans cette phrase, un peu ronflante !

 

§.779.

La vie n’était pas bien longuemais l’existence permet tout à l’esprit et de savoir que nous apprtenions au monde et qu’ainsi rien ne s’arrêterait et plus loin qu’ainsi rien ne m’arrêtais. toute existence était le signe de liberté absolue.

§.780.

Souvent les gens perdaient leur patience quand un problème surgissait tandis que hors problème, elle resplendissait car il pense que c’est sur eux que , fait à leur maintien que le étente se maintenait ?

§.781.

Expéditive que en temps de soleil ou de tempête devait être toujours en train de se préparer. S’énervr de l’adversité. Signifier en fait que c’est l’obstacle qui vous rentrait dedans et vous qui das votre chemin avait à le contourner, avoir un chemin frayait. (ça ce n’est pas de toi Caroline cette phrase est rédigée dans un français haché non construit, rédigée recopiée volontairement brute de lecture à toi de revoir le, ton, problème et la suite est du même acabit)

C’est à dire que ce n’était plus vous qui agissait sur l’évènement mais l’évènement qui vous condamnez  ??????????????

« C’est à dire que ce n’était plus vous qui « agissiez » sur l’évènement, mais l’évènement qui vous « condamnait ».

Phrase correctement remaniée. Ton Dany.

 

§.782.

Je n’avais pas à réagir d manière particulière devant lui, je connaissais le danger.Et parce que pélerin, acteur de chacun de mes pas, nul ne m’impressionnait car nul je ne voulais contraindre.

On ne –        – personne au bonheur et chacun sur sa route c’est avec personne que l’on est en train de batailler.

§.784

L’actif –                 – en extension ou en mouvement staticité activé.

Affaissement du coups, réveil l vigilance. ( Ah ! tu as vu jouer cela où ? )

§.785

Là !

On est retourné dans les conneries insipides, du genre de ce que je te demandais si tu t’emmerdais autant à les écrires que moi à les taper !

Liste – Descendre jusqu’à temps de rencontrer une inconnue et la pointe du stylo resté sur la dernière donnée que l’on doit assimiler et reprendre plus continuer, reprendre où on en était sur la premièrement cité que l’on avait oubliée.

§.786.

Le jour où j’ai pris conscience qu’on me donnait le rôle d’enculé à jouer , qu’il fallait réagir avec responsabilité ( Puisque la première des vertus et courage avait été d’accepter ) j le prenais à la rigolade puisque je n’étais plus consterné on ne me sentais pas complètement agressé. je pouvais profiter de cette force dont les gens me chargeaient.ëtre le point de convergence et ne pas s’en servir pour toucher, pour faire que s’exprime le poids confié.

Simlement ne pas oublier qu’un autre sur vous, est entre mes mains, qu’à moi il s’est abandonné et de son secret notre futur avançé.

Son secret car je vais bouger et le toucher sans jamais à l’avance savoir qu’elle forme put-il incarner et nous contacter.

§.787.

Un passage en anglais je laisse.

§.788.

Question ?T’as pas encore compris que je pourrais être amoureux de toi ?

Non sans doute trop compliqué !

Moi ce qui me passionne dans mes élans amoureux ‘est de sentir que je suis loyale.

§.789.

Mais quand la belle se méfie de mes attention sans objet, cest alors que je peux transformer ma passion par elle intéressé ayant pour but – — – – –

fin provisoire de Doc 27.

computerised extra Doc 26

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

 

 

S’il vous plait, téléchargez prioritairement les DPF documents en page 1.

 

Les documents ci-dessous, tapes électroniquement- sont les copies partielles – i.e. présentation de certains tomes mais pas dans leurs version intégrales – et parfois non identiques ou incomplètement déchiffrés.

Ces postes, tapes digitalement, ne sont la pour lecture de textes premiers mais pour permettre de retrouver ou rencontrer les textes ou la nature de leur portée.

Les originaux et copies certifies sont en fait les photos de manuscrits, ceux-ci n’ayant pas de traduction électronique, n apparaissent et ne peuvent être enregistres ou répertories par ordinateurs.

Donc une fois que sur ce site il est préférable que vous ouvriez et enregistriez les documents DPF puisqu’ils sont –plus surement- le plus proche de ce que l’auteur a écrit.

Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

Doc 26 .

 

Page 400 à500.

 

possible !

TRAME DE FOND POSSIBLE.

[ « é è ê î ï à â ù û ô Ô Ê Ë ç |  §. »]

* *** *** *** ***+ +++ +++* ***= ====* ***+ +++

+ +++++&&&&&&&&((((((  ))))))§§§§  §§§§++++  +

– —-+ ++++* ****+ ++++= =====#   ###### #####

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+ ++++= ===== ====+ +++++ ++++= ::::::++++   +

« « «  » » » ====////////°°°°°°°°°++++   ++++

§.1.

Âme = Pensée.

Plus d’intérêt d’exprimer.

Mais doit en fai par les autres.

Donc comuniquer = penser encore.

§.2.

Etranger – Enfant.

Être extrême.

Problème de libido.

Difficulté Implique exercices, développement Et maintenant s’user heurter.

pas de difficulté comme morales. et reflt à profiler.

§.3.

Âme rude. disons étrange.

§.4.

ILLISIBLE !

§.5.

Il prenait tout très mal car n’avait pas en tête que les remontrances formulées értaient le rflet de ce qu’on aurait voulu pour lui.

Si cela avait marché. Projet.

§.6.

La force de ses ancêtres en soi.

Ne rien perdre de son temps, rien que pour cela.

Cette force courant mais qu’on ne possède pas.

ne rien exiger d’elle exepté qu’elle nous porte car porteur de temps.

Se dire des obstacles qu’ils sont ce qu’on emmaganise et être plus apte.

L’usure qu’il occasionne. La conséquence qu’on monte etque l’autre se fera une vie pour qu’il viennent irrémédiablement nous tuer.

§.7.

Déprimer c’est continuer à ne voir qu’une seule solution à ce qui n’est en train de réussir.

Alors qu’on devait utiliser toute son N. R. J. à imaginer et essayer des manières détournées.

Cette fois en l’unique solution qui nous ferait passer par toute les erreurs, les offenses.

§.8.

Homosapiens. [Humain]

Sur la terre les champignons d’une incertaine intelligence.

Quand cessera-t-elle de se prendre pour surnaturelle = molestant à son service les autres espèces. [spécimen]

§.9.

Être d’une certaine manière avec autrui. Enseigne la minière dont on voudrait être pris.

Ce qui nous manque, la manière dont on voudrait éduquer notre esprit pour pouvoir réaliser les buts qu’il s’est donné.

§.10.

Tu dis le premier qui abandonnera l’autre. Tu veux dire trahira ?

[Là je ne vais pas te faire la leçon tu as prouvée Caroline que tu savais le faire sans avoir besoin de personne.] DPorteboeuf.

§.11.

Futures.

Conversion.

Toujours essentiel pour l’appréciation.

§.12.

Les héritiers.

Parce que je pouvais voir en moi des choses que ma mère détestait en elle, et de savoir combien pouvait-elles pouvaient être adorées.

Sang que tu eues.

§.13.

Tous avoir une opposition sur le sujet.

Toute opinion est rouée, est là pour charger et à la transformation participer et être porté.

§.14.

La tentation est les écueils par une pas savoir comment s’e sortir en étant aussi pour les sortes de sainteté.

Ainsi la femme est voilé comm représentante de ce qu’il faut gardé intouché, pouvoir enfermé le face à face avec sa conscience.

Ceci respecté par une communauté.

car jous le rôle symbilique de gardien.

Tu mérite d’être son homme, si tu peux la représenter.

§.15.

Continuer pour que se révèle dans qualité pour laquelle l’autre, voulait nous décharger.

§.16.

Toujours à son dossier  90°.

Mais le moins possible avoir besoin de s’y adosser.

§.17.

Ne pas en vouloir aux autres de ne pas penser comme moi.

Mon originalité laissé est la guarantie de mon indispensabilités car permis d’exploiter à fond quelque chose parce que n’est chez les autres trouvés.

Exemple !

§.18.

Se payer , sans le prévoir, parce qu’on est épuisé du temps où on n’essaye plus, c’est y repenser dans les moments divers.

§.19.

Se dire, celui là à rattraper.

Passé le moment dur au lieu de faire un gand détour et cette fois voir ce qui peut  avoir qu’on peut en lui exploiter une vue, détour en moins.

Replacer. Quitte puis sinon double.

§.20.
La peur de la discrimination entre – blanc nétait pas nouvelle puisque c’est par elle qu’on justifiait  demi-mot cet –          – ladiscrimination faite aux autres.

§.21.

Le temps, d’histoire , d’adaptation. Temps que l’être finira par utiliser (puisque temps mort ) pour évaluer action passée en la Pensée = peut à l’autre plus etre soi, dimensions synonymes  de transmission.

Pouvoir transmettre doit affirmer car l’autre ne la sachant pas par définition si noue imitons son évluation d’ignorance  = accepter de déchiffrer la notre alors incompréhénsion.

L’affirmer si = lui offrir par appropriation.

§.22.

Ne pas affirmer sa position autrement que par l’action.

Ainsi on ne se fanatise pas et plus asément s’assouplir fae à la découverte.

§.23.

Aggressivité = ne pas reconnaître l’autre.

Penser de son action et l’existence qu’elles ne servent.

§.24.

Savoir ce qui nous reste àpenser au contact de la pensée.

Pour être –   – la surmontée pour ne pas s’arrêter au traumatisme qui l’a fait s’occasionner.

§.25.
Le bruit, le geste suivant, n’importe le quel attestant juste qu’on a bien un message en cours à livrer.

§.26.

Les amateurs de S M vont bander sur les relations qu’ils ouent toute la journée.

Rapport de pouvoir  –  –    –     – !

pouvoir sérieux basés sur l’inégalité des conditions.

Le S M veut s’avouer qu’il fait l’amour avec ceux qu’il voit à longueurde journée.

§.27.

On pouvait voir dans le sabordage une pratique qui consistait à se saper. car celui qui était en vie l’était face à celui qu’il étouffait.

Survie espèce = Se pluraliser dégommer celui qui voudrait trop influencer. (Ou influer sur le cours des évènements, Savoir doser.)

§.28.

Boire ?

Le buveur attribue cela à un malheur venant de l’autre, ou de la vie.

Quand on est seul.

§.29. Enc.

Libéralisme. puisqu’il condamne à être maître d’un chien pour que simplement l’espèce canine ne soit mise en danger.  !

§.30.

Désolé je m’adonerais pas à la séance séduction. Peut-être peut-il être sain que de réagir tel un grand con.

Quand la télémovie n’a pas toujours raison.

On torture l’ennemi pour lui faire regretter d ne pas s’être tué.

§.31.

La complicité avec notre énergie. Savoir que l’on croit qu’on est vidé i suffit d’assez fort l’appeler pour la voir recommencer, redoubler et dans l’effort, qui n’en est plus un, qui devient la simple résoution à l’application d sa croyance voir en même temps qu’elle ses excès fondre comme on les fait suer.

§.32.

Faire en même temps en différence permet de faire A et de le modfier par rapport aux connaissances qu’on a de B et ainsi pouvoir l’un etl’autre plus facilement connecter.

Transformer perte de temps non plus en perte mais en gain futur.

Perspective.

§.33. Page 413 un écrit, un message, de moi à mon minou d’amour au dos d’une de mes feuilles, ce texte à donc moins d’un an si mes souvenirs sont exact, moins de deux tout au plus. écris lisible, j’étais donc dans le plus grand calme. Grâce à toi, c’est vrai !

Affirmation de mes sentiments on a le droit pour que l’autre prennant en compte cette manifestation de réalité lui servira.

§.34.

La peur naît d’une perspective de penser à elle s’envisage aux étrennes deux possibilités, l’une catatrophe, l’autre idéalisé :

Ce qui impliquerait.

Tout            Sur ce.

Sur saut.

§.35.

Penser qu’elle n’est pas la mère mais la nourrice non pas par rapport au style de l’enfant mais parce que trop typée un corps par le travail manuel trop travaillé  pour avoir une raison dansle quartier figurée.

§.36. Enc.

Gens discutant au milieu du trottoir emêchant les deux fles a sens inverses de passer.

– Vous génez le passage on ne peut plus passer.

– Et bien vous attendrez !

– vous attendez sur nous.

Patiente.

§.37.

Aimer, respecter la peur. Qui permet de ne pas aller non où il y a le droit mais où on a le droit mais où je ne sais avoir à s’en sortir mort de sortir (plus gras)  [Mets entre parenthèse Dany et réveille-toi.]

§.38.

Faire face aux problèmes; c’est s’entraîner à les repérer.

§.39.

Jeter violemment un cours.

L’avoir plus ou moins appris plus ou moins relu qu’o n’a plus à devoir s’y repérer; Assimiler.

§.40.

C’est l’étendue de ce qu’on s’arrange à ce qe nous reste à l’esprit, sont présent de ce qu’on ne sait pas qu fait sers, donne un sens à l’effort.

Faut-il être rassuré par ce que l’on sait maintenir toute situation.

Là.

Être assuré.

§.41.

Les petites victoires amènent aux grandes.

C’est ainsi que baisser les bras devant elles, nous projette deant l’infaisabilité de rêve pourtant possible. Mais que l’on vient comme de rejetter.

Prenant que les victoires peuvent paraître de la garde  éloignées.

§.42.

on ne se fâche contre le destin, les ralentissements par rapport à e qu’on voudrait qu’il soit comme on profitera sas lâcher un centimètre des veux quil permette.

En prenant les ralentissements comme des poches où on divertit son activité.

A quoi penser?

§.43.

Plutôt que des fontaines au milieu des villes des piscines.

Cela je te l’ai soufflé dans le creux de l’oreille mon minou d’amour.

C’est aussi bien qu’un marché, surtout pour la jeunesse sportive mais aussi les autres puisque là tout age peut-être intéressé !

§.44.

Ne pas penser que ce qui est du que c’est grave. Rien n’est grave. Sinon toute la gravité de la vie en profitera pour revenir se signaler en notre esprit. Rien est grave. Sinon la mort on invente à roder .

Rien n’est grave. Et le cerveau doit se donner de tout régler.

§.45.

Des gens qui parlent de mon Malaise, de ceux qui s’occupent des autres. de saisir l’autre dans sa contradiction, c’est savoir qu’il vit en nous lorsqu’il fairt mal.

Ne pas prendre cette douleur comme immorale. Le flux dont on a besoin pouvant et avant de ce celer.

§.46
On se bat entre fratris, on s’entraîne quoi. Comme seule solution a stopper son instinct de destruction tout en renforçant celle du combat.

§.47. Enc.

L’affectif a pour but de relier les moments dans la mémoire afin que tout son être se réveille lorsqu’il va au combat.

§.48.

Partir, comme un devoir, comme un voyage, comme on guérit sa paur de la mort.

§.49.

On ne Peut pas changer le monde à nous deux. Citation.

§.50.

Une oeuvre.

Une pensée, une organisation en progresion.

§.51.

Changer de rythme.

Les jours où je dois rester enfermée.

si je ne peux faire autrement O.K.

Mais les autres jours où j’en pofite pour rester enfermée, de ne pas admettre que c’est face à l’autre que ma pensée peut prendre en qualité  = même s’actionner.

Alors je smbre dans la dépression.

Une journée passe vite quand on fait ce que l’on doit.

Car sinon on compte les minues de vie passées à crever.

§.52.

Accepter la critique tout moyen devant contenir le moyen de s’amélorer.

§.53.

Education.

Emerveillement de ce qui ne peut que nous ressembler.

§.54.

L’équilibre sert à ne pas trop s’appuyer sur les extrémités.

Morphologie.

Être ou à devoir les tendre et les rendre comme contre un poids et stabiliser. redistributeur de gravité l’art constituant à ne pas omettre pour autant la fragilité, comme l’importance qu’elles sont pivotantes et (alléger = poids vers un objectif réalisé) des articulations.

§.55.

Maniaque pour pouvoir occuper tout ls moments de sa vie.

Une situation accomplie amenant celle qui suit.

§.56.

Il faut que rien ne soit grave pour encaisser sa propre et nécessaire servitude.

§.57.

Il faut que l’on ai fait table rase pour voir les cochnneries qui vont de nous de l’instant par l’instant (en tout ou bien en découlant) entâcher.

§.58. Enc.

Toujours proposer une solution alternative pour ne pas se sentir déposséder.

je suis qui ne laisse pas passer une seconde et sans jamais être à un jour près.

§.59.
Le pouvoir de rentrer dans le monde

Et de se dire

Qu’on déprime pour des conneries,putain.

( Dany les les lignes ainsi

(c’est comme un peu de poésie)

[Dany cela aussi tu l’écris.- O.K. mon bijou d’amour.]

Comme le disait Nicole tu me ferais faire n’importe quoi toi : Enfin presque.

 

§.60.

Le mythe du surhommeest tous en un.

Tout en gardant l’optique de plurialité = infinitéet viabilité pouvoir organisé.

§.61.

Savoir ce que veux dire 20 ans mais avec du recul.

Vers trente.

§.62.

De génération d’éconmie, de dynasties non par les individus mais par le peuple que les familles devaient représenter et protéger à grand coup de blason.

Les moyens de la diplomatie.

§.63.

Parce qu’il fallait de très gros moyens pour protéger, ce qui était d’habitude éjecté.

Innover. Du capitalisme.

§.64.

Maudit – fie.

Modifier.

§.65.

Amour de la communauté.

appartenir à elle, n pas fluctuer, ne pas conribuer à la mauvaise réputation que les autres eux trouveraient et sur soi donnerait.

§.66.

Même s’il était l’homme de ma vie je ne pourrais encaisser cette difformité.

alors sûrement ne sais-tu pas ce que l’homme de ta vie, ou ta vie rêvée serait.

§.67.

Histoire de réputation. quels ombat visà vis des autes doit-on remuer ?

§.68.

Quand on a plus rien à penser on est pransporté par celui qui nous suit.

Conscience = ce qui peut nous regarder ou nous administrer.

Esprits ressérés.

§.69.

L’insistance de positions des astres devaient m’inciter à perdurer.

Ce n’est pas parce que le hurle que la personne a tord qu’en ce qu’elle dit mon salut ne puisse se trouver

§.70.
L’Art du geste porté par le projet, la forme que l’on tavaille constamment de l’intensité intentionalité. différent geste sans qu’aucun muscle de (cérébral éventuel) tenduai à se manifester.

§.71.

Le mouvement sexuel mis en relation avec mouvement impulsif et devant avoir comme conséquence de régler par coup libérateur ce qui noue emmerde.

Recirculation de l’énergie.

Action que l’on juge par le auvais sort interdit. Les problèmes révélant les maladies.

§.72.

Pousser son énergie. Ne tenir compte de comment la répose aux pourquois utilement toujours sera. Se laiser glisser, ainsi on dort moins et pourra plus de temps à celle que l’on va construire consciemment délibérément.

§.73.

Meilleur, sauf que désolé. La vie sans aigreur est sont temps passé à sa survie (son entretient de vie) assurer.

§.74.

Ne pas faire de geste spécial, spécialement conçu c’est permettre à l’autre de faire ce qu’il veut avec ses eneux. Y compris de se reposer sur tout ce qu’on lui ispirera = la vie. Le NON comme le OUI. Et comme chaue chose a besoin des deux.

§.75.

Il suffirait qu’il soit dans ma position = Assez de liberté pour penser à cela. Pour qu’il comprenne carrément ce qui se psse en moi et l’aide. Que cela se résolve comme cela.

§.76.

Penser la déception pour ne pas s’impliquer autrement que dans du concret.

Ne pas réagir aus choses voulant dire aussi qu’on laisse « passer la baume » pour d’autres qui en on besoin. Environnement mental.

§.77.

Je suis dangereux.

Je suis dangereux s’applique t’il à dire. Tu l’as essayé ? NON ! Heureusement que tu est tu es une femme parce qu’un jour tu l’as échappée belle ! Souviens toi: « Tu recommence cela une fois je frappe et tu ne te relèvera pas » : T’en souviens tu ?

Mais dangereux constamment ainsi tout le monde se tire.

Et les coups de poings intempestifs ne lui tombe dessus. Qui pourraient ne trouver comme réponse que des coups de couteaux et la mort !

§.78.

Avoir assez confiance en l’intelligence de quelqu’un pour qu’il prenne nos réflexion comme un moteur.

Tu a bien fais de partir avant que je lise tout cela car tu aurais pris une volée à la moindre incartade femme ou pas ;

Parce que c’est de la provocation !

Et j’ai figure toi un compte à régler et avec un homme à Saint Maur et cela viendra un jour ou je serais à jeun et DANS un lieu réellement public.

LA RUE.

Est -ce que je le tuerais ?

Pourquoi pas : Je n’ai pas exclue cette éventualité !

La prison ?

Je sors du monde du voyage, alors la prison, c’est une maison de retraite pour moi !

En clair je l’ai condamné à mort !  DPorteboeuf.

§.79.

L’élément dont je suis consciente, l’aide que je donne, là même que l’autre permet en moi,mais caché à ma conscience viendra.

Cela ça ne veut riendire alors que mes écris ci-dessus eux sont très clairs.

 

§.80.

Groupe parce qu’il n’y avait plus que des gros et grands si on était en tant Qu’individu toujours les mêmes gagnants.

Alors que l’exploration extantive, ne peut se dérouler sans tout le monde pour détecteruser et créer les instruments.

§.81.

Le vieux trate le jeune comme son –  -, la relève.

Ainsi tout ce qui devait être des acquisitions, à plusieurs institutions comme à tous, à le plus vieille.

§.82.

Le premier donne sa force de tractio.

Le deuxième pour qu’elle lui soit Bénéfique en ses réalisation.

§.83.

Ne pas oublier d’arrêter.

Pour ne pas oublier de reprendre.

Et au bonheur, avoir la réussite d’entre – former quand ces gestes sont transitoires.

Réfléchissantes von se faire, se proposer, se désorgasiser.

§.84.

Y passer ses Noëls.

Et voir le bonheur que peuvent symboliser ces journées encore se distiller quand à la cause auxquelles on les à donnés. Où est.

§.85.

Reprendre pied avec la vie quand on voit la mort.

Reprendre pied, avec ce qu’elle a des difficultés, à nous confier.

§.86.

Vouloir mourir, de n’avoir l’énergie suffisante à ce qu’est à la portée de notre pensée.

§.87.

Générer comme un pu-toi (s).

§.88.

Chercher les choses, palper les endroits comme si on les caressait.

pour ne pas se faire mal, prendre plaisir quand on le fait.

§.89.

Les positions qu’on fait prendre à notre corps. Le signe de comment utilise-t-on son outil.

Quels inclinaisons.

§.90. Enc.

Faire une activité si fréquemment, si courramment; que pouvoir faire quelque chose en même temps.

Mettre les choses, différemment.

§.91.

Son angoisse de laisser sa femme partir. non pas parce que l’endroit était dangereux mais comme seule façon d’exprimer la peur qu’il avait de lui-même se faire (par les autres mâle) séduire.

§.92.

Affirmer des qualités permet à l’autre de prendre assez de conscience de ses qulités pour qu’ils ose faire face à ses défauts.

Y remédier.

§.93.

On s’invente des personnes ignares histoire de ne pas s’apercevoir qu’en fait elles sont primaires.

Peur de mourir, (de rire de leur état d’ incultes ?) De la désafection de ne pas (se) satisfaire.( Tu te satisfais de la connerie, TOI ?)

§.94.

La chanson qu’on avait en tête et qui nous faisait composer sur notre vie.

L’art nous rendant poête.

§.95.

La parano pour avoir l’impression d’être constamment suivit.

La parano qui peut faire presser le pas.

§.96.

L’émotionnel fait pour assembler les gens qui ne peuvent l’être, des enfants.

§.97.

Prendre deux plats différemment.

En manger la moitié.

Celui entamé par elle mon préféré. (Oui mais alors si tu y goute tu garde tout ne rend pas les restes !)

§.98.

Systématiser sa gestion.

Exemple : regarder dix fois un empire.

Pour rendre logque le fait d’être une fois sur dix regarder en retour.

Ou pour le rendre mystique.

§.99.

Le repos ralentit l’aventure.

§.100.

Une personne, une oeuvre Ce qu’elle attirera à elle. re-poupe.

Ce qui ne lui appartient pas.

ce que les autres font.

Qu’elle sera.

§.101.

L’homme nie les meilleures des réserves que la terre et ainsi jusque là e se préoccupait pas de ses suites.

Revoir l’exploitation.

§.102.

Problème : il le mange au lieu de multiplier ce qu’il découvre en cherchant, ne cesser de chercher (décomposer) ce qu’il a trouvé.

§.103. Encadré initiative Daniel.

Comme il brûle le pétrole alors qu’il est son sang.

( Cette fois c’est certain tu es folle, Même pris de façon imagée  ! )

§.104. Encadré initiative Daniel.

Se foutre de comment les choses vont se passer. Savoir de soi plus de sa volonté qu’un seul chemin, seul, saura les réconcilier.

( Là ! Enfin, tu as tout compris et tu es bonne. Ce seul chemin est celui que certains suivront en procession pour conduire à un cimetière, j’en suivrais un demain matin. Il ne suffira pas à la réconciliation, d’autres la feront, cette réconciliation,  lorsqu’ils suivront LE MIEN. )

§.105. Enc.

Make-up – Inventer.

Mettre fin à une querelle.

Maquiller ? Art- Guerre et paix.

Le combat comme gagnant.

§.106.

Se surpasser c’est permettre de souffrir vraiment, ce qu’aprè cela on saura éviter.

A pour conséquence, ne peut plus éviter.

§.107.

Faire que le rêve s’ancre dans la réalité.

Pour la réalité vouloir continuer.

§.108.

Maîtriser la douleur.

Se servir de ce qui est engendrée comme tension pour accomplir une action.

§.109.

S’émerveiller de son enfant.

Le laisser.

S’impliquer.

§.110.

Trouver son trésor.

Attendre, faire sans compter.

Pour n’être ditancé.

§.111. Enc.

L’homme ne rerette-t-il pas d’avoir a s’alimenter, parce qu’il lui faut tuer.

comme celui qui cueille le fruit sait que vivant il est.

Ne se punirait-on pas –            – après.

Premier des moyens = trop ou mal manger !!!

( Tu te contente de minéraux toi ? N’importe quels des légumes est vivant aussi ! )

§.112.

Problème constitutif recheche dans la visible = Immédiate quantité.

Développement presonnel, travail pas ses faiblesses et long terme on n’est pas assez pourtant, stable sans élément développant peut être intérressé et indifférent.

Eux = Aux.

§.113.
Etat d’esprit égo libéral.

Grand public = Mettre en bourse.

Le génie aussi vieillit.

§.114.

J’ai vu des racistes de toutes les contrées.

Et pas plus que ça puisque le sachant il m’ont fait.

§.115.

Hétérosexualité – pour savoir qu’on pourrait être amoureux par A + B et n’avoir d’autreschoix que de renoncer. ( Bien sûr c’est la seule issue. )

Apprentissage homosexuel. ( FOLLE cela ne s’apprend sans doute pas, et quel pourcentage est interressé.  )

§.116.

Amour de l’objet comme l’amour de l’allié.

§.117.

Réérire quelque chose vingt fois, comme l’autre v à chacun différemment me le souffler.

( §.118. )  Sans air !  ENC initiative Daniel !

Le vieux respectait le plus jeune car il savait qu’il avait comme souvenir, comme compagnie, cela.

Anticipation de quatre § pour avertissement !

Si je dépasse le § 118 nous sommes d’accord cela voudra dire  (R) Adios classiques, vous ne me verrez jamais chez vous, c’est trop tard, un à fait une erreur que je ne peux pas pardonner !

Autrement dit : Adios tous espoirs, ceux des autres, MES illusions il y a longtemps qu’ells ne sont plus !

§.119.

Couper sur sa position car elle est un symbole.

Ne plus avoir à signifier ces choses si les gens vous connaissent Alors votre intervention ils imagineront.

INFLUENCE.

§.120.

S’apercevoir qu’on en fait plus assez pour les autres. Rappel d’urgence : revenir à se surpasser, soi : son meilleur outil.

Bien-être perpétué.

§.121.

S’amuser.

Explorer toutes les formes et à celle de ce monde s’en aller.

Dans ce monde comme l’autre est entrain de le considérer.

§.122.

Connaître la chaleur avant de savoir. Perdre celle-là ou ne là et je l’ai déjà trop fait.

§.123.

J’avais prévu l’évènement en homme.

Non pas qu’il était ceci. Mais un homme était ce que j’en voulais, on préssentais de la résistance, à de nous besoin, ou préssenti intérieur.

Je le vois, le sens, digérer. Et ne sachant à la suite digérer.

Cela ne veut pas dire forçément que nos intestins se sont connectés mais la force de mon cerveau qui fait à ce que j’ai vu y est.

§.124.

Penser que ce qui est contraignant donne le devoir de taper, de négliger l’autre.

Mais ce qui est contraignant allume en nous de colère ce qu’on doit se servir pour se libérer et libérer la cause.

§. 125. Enc.

Gonflement estomac associé à dilatation anus. Autre conséquence : Pression lombaire. ! .

§.126.

Régler des problèmes.

Futurement créer.

§.127.

Appendre une liste de dix articles en regardant une fois.

Question combien de liste de dix précédemment apprise et relues et, et,  –    –      – !

Milliers.

§.128.

Se diriger.

Savoir de sa pratique qu’elle doit garder les éléments, les conserver jusqu’à les faire coïncider.

§.129.

Le grand pleure et ce que l’on porte sans s’en délester.

§.130.

Le garçon au sa blanc, venait, me rappelait qu’un autre avant avec moi s’était trouvé.

PLUS qu’un passant.

§.131.

Ecrire, écrire; L’art n’arrétait.

Qu’aurais-je fait, où serais-je si je ne m’étais exprimé.

§.132. Enc.

J’avais l’impression de bien le protéger.

Qu’est ce que de ma vie, de mes propositions, de mon destin, de mon inconscient, sa présence me prévenait. Sur quoi j’agissait.

§.133.

Se servir de son membre qui souffre.

Et capter son intention à ce qu’il garde une parfaite immobilité, tandis que les autres autour de ça sont en train de s’actionner.

En lui son esprit caller tandis qu’où doit-il aller. Sans plus de question se poser, les garder.

§.134.

A tellement courru dans la forêt.

Qu’en pleine ville avec soi, autour de soi, les autres la voyaient.

§.135.

Des fois j’avais l’impressions de la voir. Certainement à la banaliser j’apprenais.

§.136.

Des fois l’impression de l’aimer revenait, elle revenait car elle mon rêve, savait que l’autre et qu’à l’autre, me conviendrait.

Evitant ainsi d’aimer quelqu’un d’autre.

– Sur la vie de ma mère.

– Celle qu’il m’avait ou qu’on lui avait enlevée, ou à lui décriée, ou qu’elle ne se sentait.

§.137.

Je suis sombre.

Autant que possible. où va donc et à quoi sert ma pensée ?

§.138.

Celui qui parlait toute la journée.

En marchant seul sur la place n’était pas mon pertinent que le grand auteur, simplement c’est pour ceux qu’il croisait que le sens il faisait l’auteur lui pour ceux qui le lisait.

Champs partagés.

§.139.

Autrefois l’écrivain disait  » il « .

 » Ils  » seul voyant, seul sur la place, permis à circuler.

Sont  » elles  » protégées. Puisque protégeant l’esprit errant quand il rentrait.

§.140.

Le dragueur conjuré. Mais reproduire quoi quand on a que cela à glander.

§.141. Enc.

On insulte l’étranger pour donner une idée à ses descendants de ce qu’il prendrait si on les déshéritait.

§.142. Enc. Initiative Daniel.

Un paragraphe schématisé, représenté, mais vide en place du 142.

Je fais l’impasse.

 

§.142. BIS. §.143.

Parler à l’autre, comme papa pour nous le ferait.

§.144.

La réaction de l’autre.

Est un troisième, l’existence du troisième qu’il vient nous présenter.

Des – montré.

§.145. Enc.

Sélectionner dans le texte l’info importante, c’est regrouper l’énergie, l’accumuler pour la transformer, et la retenir, ou bien la comprendre, mieux la continuer ainsi.

§.146.

Ils critiquaient les petits détails, mais il critiquait ce qu’il voyait.

Des idées qu’il donnait de sa position, du perfectionnement que je devrais faire en d’autres circonstances ; Et par là commencer.

§.147.

La Femme le rêve.

Celle pour qui je le suis.

Celle pour laquelle je peux parconrir toutes les contrées.

Et me retrouver seule, abîmée.

Perdu au milieu de.

Mais pas seule, car même si je ne me mariais jamais, j’y suis parvenue car elle me suivait.

Quand je dis femme, je dis amour.

Et l’homme, le courage.

La même chose l’un comme l’autre sans retour.

Ce qu’on a fait est fait et ne désire que d’autres aventures, vouloir que se refasse, trahir serait.

§.148.

Le front ?

Partout.

§.149.

Si je l’attrape, je la casse.

–    –    –    –    –    –    – !

Mais pour toi je la réparerais.

§.150.

Permettre à son autre la liberté que lui permet un troisième. être enseigné par le premier comme tout autre qu’après cela on appelerait.

§.151.

Elle m’écrivait de toutes les couleurs, à chaque idée, à chaque fois qu’un stylo reprenait. Arrêter par son devoir, ses besoins, sa fatigue.

§.152. Enc. (Partiel)

Dresser : ne pas avoir peur, ne faire peur. ! .

Les obstacles invisibles sont les différences de vies, d’expériences.

Quand un mot est mélioratif pour l’un, péjoratil pour l’autre. Quand l’un affirme, explique une chose que l’autre ne peut comprendre.

§.153.

Tirer sur la corde seulement pour brûler l’énergie en trop.

§.154.

Quand on sait quelque chose superflu mais qu’on ne peut éviter.

On y passe sa colère.

( je ne vois ma famille et est bligé de rester à réparer une pane qui fait que j’appuie dix fois sur le même bouton.)

Mais je pense à eux, tout le long du trajet, à tout mes proches qui font ma colère, que je peux surpasser de mes piliers.

Il voulait me donner de l’argent pour ce qu’il était naturel qui soit fait.

L’argent donne le donc à qui en a besoin.

Tourisme de tranquilité.

§.155.

La seule recette du bien-être poursuivre ce que l’on fait.

M’éloigne-t-il de toi ?

Qu’à distance sera continu.

§.156. Enc.

J’écris en pensant à ma mère. Mais quiconque me prendra pour son enfant, vera quel amour, vérité je lui tendais.

§.157.

Un jour les piscines des riches seront entretenues par tous.

Quand tous respecteront l’eau.

§.158.

Quand le problème se résoud on trouve toujours plutôt courte la galère. Puisqu’on trouve en elle, ce que de nous il fallait faire.

§.159. Enc.

L’attente révèle que l’action qui la précédait n’était pas assez intense pour nourrir le suspend d’info, par la réflexion, reconsidération, remise à nieau.

Met en avant un pas, assez de progrès.

§.160.

Faire péter le cable.

Pour mettre en évidence ce qu’on s’entraîne, s’attentionne, se donne à tempérer.

§.161.

La connaissance représente la relativisation à l’égard de son soi.

Ne plus reculer, ni s’affoler.

Garder efficacité et sang froid.

Jeu roi.

§.162.

Ce plus obstacle avant d’atteindre ce qui sera callé.

§.163.

Détester ma mère quand elle pense que c’est ses rêves que je suis. Lorsqu’elle me donne des conseils déconnectés de ce que je vis et de ce que depuis des années je me bats, je meurs pour qu’une survive.

Et pourtant c’est pour elle que je fais.  Êre fier de moi, et tout ce qu’on a.

§.164.

Entre avoir une idée et action  = toujours temps.

Pour que le cerveau puise et prenne l’habitude de peser.

Ne pas m’en vouloir quand tout de suite si je ne choisis pas la bonne solution, j’en cherche une meilleure.

§.165.

Donner un conseil ? Une info ! S’arrêter.

Penser à ce qu’on dit. Pourquoi ? Comment ? A qui ? –   –   –  – !

Reprendre et à une vitesse double que cet effêt à permis.

§.166.

Le soleil qui regarde le peintre et éclaire la toile.

§.167.

Courir : object – coordination des balanciers et segments. Chaque enjambée le plus loin et légèrement devant.

§.168.

Il s’impatientait de mourir. A son enterrement, ses fils alors ne se reverraient-ils pas.

§.169.

Le soleil réveille, appelle.

De bonne heure.

Il y a un monde plus loin que le ciel même.

§.170. Enc.

Faire l’effort de bouger.

Devoir le faire.

Pour comprendre que les contraintes nouvelles sont ou doivent là être utilisées afin de s’adapter à de nouvelles issues et destinées à soulager un ensemble ( qui se bloque présentement ou qui d’en arrière font d’être clairement source de dépolution.

§.171.

On se désillusionne du nombre de fois où on a tenté.

On ne se désillusionne que quand on commence à les compter.

Changer de stratégies ?

Admettre qu’on se fatigue

Se calmer.

Pondérer sa réaction. Elargir son action.

§.172. Enc.

La spiritualité est la foi en la foi des autres.

§.173.

A faire systématiquement quelque chose traitant de sa position B puissent voir, observer comment va réagir à cela C.

AINSI.

§.174.

Je lui apprenais à se souvenir des platanes ainsi il se rappelerait de ce que je lui suis.

Quand il verrait que sinon pourtant ils ont grandis.

§.175.

But. Entretenir l’autre en apprenant de lui. Recherche et leçon.

ET  TU  DIS.

§.176.

Faire un acte, simple, honnête en tirer les conséquences, une physique comme ça quasi bête.

Un principe. alors pourquoi le pratiquer.

§.177. Enc.

S’il est allemand évidement ?

Parce que le maintenir en évidence c’est obtenir qu’il s’applique dans les endroits que l’on ne croyait naturellement .

Et ainsi sa vie sauver, de la voir là où elle serait resté caché autrement.

§.178.

Principes ?

Pour que l’autre puisse continuer à croire en ce qu’il fait, sans quoi : Recherche détériorée.

§.178.

L’homme consomme sans vergogne car il sait ses besoins ponctuels et se dit que ses enfants la manière d’à leur tour s’adapter. Ainsi dans toute action, résultat il peut former son respect.

L’on se sait coupabe de fait.

Comment ?

Reste le mystère.

TRANSFORMATION. ( en minuscule dans le manuscrit ) D. PF.

§.179.

Par amour le laisser pour qu’elle se rende compte des erreurs que les autres faisaient. Tu n’es pas la seule.

Arrête de perdre la tête de trop penser que tu es en train de dérailler.

§.180.

On consirère que l’autre se confit. Quand à la réponse qu’on lui donne on réfléchit.

§.181. Enc. Partiel.

La sensation sexuelle liée à la conscience d’être regardé, désirée on en danger.

(Dany j’écris bien que j’ai le petit rdi mais la je te recontes même pas dans quel quartier. comme près du dépot.)

Parce qu’on demande aux jeunes du quartier d’entre jeune, s’élever.

§.182.

Faire quelque chose de bien.

Accumuler le maxi de travail conscieusement.

Ains l’autre apprend de nous surveiller et comme cela il va vérifier qu’elles erreurs différentes peuvent être faites.

de la complicité.

§.183.

Emotionel appel rapport à l’autre comme détenteur du rapport au monde,

Rapport à soi.

Lerapport à la matrice.

Terrorisme suicidaire témoigne d’un dégout de la vie obligé à s’institutionaliser.

§.184.

La détresse permet de prendre conscience de la luxure, la luxure qui déruit celui qui va à elle s’adonner, sans le savoir plus ou moins que la situation de l’autre il ne voit. Voir mais pour voir il faut avant tout saisir la liberté.

Être libéré ? Être permis par ce qui l’entoure.

§.185

Être mort coinçé comme l’est le prisonnier qui demande au destin (pourquoi.)

§.186.

La douleur du viol est :

– Faire et refaire en toute impunité.

– La régression de la liberté face à cette menace.

Le viol lui-même ne croyait pas qu’aucune des victimes en rien doit cédé que ce qu’on cède chaque jour de laisser.

§.187.

S’affaiblir e voir que les guerres de chaque jour ne sont que comédies.

Vieillir.

Plus rien à redire.

§.188.

JE T’AI  –  ME.

§.189. Enc.

Conjure UP – Inventer.

§.190.

Nous vivions dans une maison de gardien au bord de la rivière leem qui s’écoule depuis Norfolk jusque les G – O.

Et personne n’a besoin de dire que la terre dans cette partie du monde est avec un (e) d’un(e) monotonie qui se suffit à elle même.

§.191.

Depuis les bords élevés du Leem,ça s’étirait jusqu’à l’horizon, sa couleur uniforme, noire, Soutenue, variée par les cultures qui poussaient dessus: des feuilles de pommes de terre gris-vert, des feuilles de betterave bleu-vert, du blé jaune-vert son niveau uniforme cassé fuient par les lignes de drains mortellement.droites (Tu es cinglé dans tes longueurs de représentation, description et de phrases :  Fais plus court coupe tes phrases, tu endors, le lecteur, tu l’emmerde !) qui selon l’état du ciel et l’angle du soleil doraient comme des tubes d’argent, de cuivre ou d’or à travers les champs et qui, quand vous restez debout à les regarder, il  faut fermes un oeil et il faut prier les méditateurs sans fuit sur les lois de la perspective.

Et déjà, cette terre si régulière, si tamisée cultivée, si vrais / ormit dans mon esprit. D’enfant de cinq six ans et 1 terre sauvage et vide pendant ces nuits ou ma mère serait obligée de me raconter.

 » textuel au manuscrit« 

(Et quand tu as fini cela en tant que lecteur tu va pousser un roupillon. !

Es-tu fière de toi ?

Si OUI c’est, on ne peut plus grave !

Parce que la culture tu en manque, mais pas de la même !

Par pitié. Dis moi, Caroline, que cette prose n’est pas de toi.

Sinon abandonne le DEUG d’anglais et reprends :

Français cours élémentaire !) Ton Dany qui t’aime.

§.192.

Voir l’autre comme une éternelle oportunité,de prendre conscience .

Le ressaisissement trouver normal d’agir bien pour quà chaque fois la présence de l’autre nous rapelle que malgré les difficultés (adversité) il faut continuer. C’est mieux tu devais être en panne de Bordeaux.

Au dessus tu avais forçée sur la dose.

§.193.

On est radical parce que’on souhaite éviter le laxisme de celui qui manque de nous détecter.

§.194.

Voir quelqu’un suer mais ne pas voir ce que justement fait à cela il peut en lui faire se reposer.

§.195.

L’auteur voit dans les gens des personnes à d’écrire, à mettre au monde donc auparavant à être plutôt qu’à distancer. La critique des gens à analyser.

§.196.

Les dufférences naturelles permettent aux gestes que l’on fait de naturellement fait les significations selon les coupures et habitudes s’enchevétrer.

Se compléter, s’approfondir, s’annuler.

§.197.

Puisque l’on s’entraîne.

A être discipliné envers ce qui nous déchaine et d’exulter ses mouvements quand on sent qu’il y a en fait quelqu’un d’assez sûrs pour les contenir. N’est pas tahison mais apparences que comportement et semblant, pareils résultats.

§.198.

Forçé de consommer, de se nourir gestuellement on réagit dans le cannibalisme quan être à accord avec sa –    – rythme avec ruine de l’environement

§.199.

Se ruer vers la modernité. Car elle nous arrache à notre condition d’esclave non en travaillant mais en travail qu’on voudrait qui nous soit épargné.

§.200.

Verser dans l’emotionnel. Se dire que chacun souffre dans l’espoir de donner vie et le savoir que la vie de soi se sert.

Ecouter chaque réaction comme un aveu de ceci.

§.201.Enc initiative Daniel.

Vous quand on est insulté. Je ne suis pas si bête il ne faut pas perdre le rspect. Tenir le danger en respect. C’est l’admettre et se faire une idée du par quoi il est.

Pas évident cela peut être une prise de distance et de subalternisation, de subordination de l’autre ! En tout cas c’est comme cela que moi je le perçois. Coupe court à toute relation possible même et surtout amical future.

§.202.

Il me fait peur mais certainement moins qu’il a lui même peur.

§.203.

– Tu es raciste.

– Ne pas répondre par cela n’existe pas les races unies rester aussi énigmatique en parallèle inverse de l’affirmative et avant de s’expliquer seulement dire cela n’existe pas.

Quoi ? justement l’espèce encore incapable de se déjinir et vivre en paix.

§.204.

L’auteur qui croit être compris n’a pas compris pourquoi il ne doit cesser d’écrire. Et que le besoin de l’écriture peut ainsi de main n main se passer.

§.205.

Le racisme noir parce que les revendications étaient-elles, La souffrance tellement grandes qu’on ne pouvait discuter et on standardisait la même réponse à tout ce qui pouvait être demandé. Sinon tout aurait pû éclater et personnen’aurait pû alors contrôler.

§.206.

Observer ce q’il y a pour donner sa version originale, sa force substancielle. Répondre au mystère : La vie pourquoi ?

§.207.

Ne pas chercher à s’alimenter car le corps de l’ordre dans et avec ce qu’il en remet.

Pour aller plus loin que présentement penser ( mais pourtant déjà senti )

§.208. Encadré initiative Daniel/

PARAGRAPHE ENTIEREMENT EN ANGLAIS PAGE 461

PUREMENT ET SIMPLEMENT REFUSE. 

 

§.209.

Connaître l’équipe afin d’anticiper. Anticiper pour metre en valeur le rôle de l’autre sur lequel on s’appuyait.

A l’apparence branlante autant que faussement solicité.

Trop grandement ou fâcheusement solicité.

§.210.

Paradoxe, nos gestes les plus sûrs qui grandissent en force plus ou moins le nombre d’exposant et d’élaboration conceptuelles autour las assurent sont en fait celui qui nous renfermait le moins puisque se confirme.

§.211.

L’alliance ne serait-elle pas pour que l’extérieur croit que le conflit interne est permis pas litéralementcompris.

§.212.

Quand t’as vu des femelles durant soixante-dix ans si lles continue de te charmer au moins leurs SALOPERIES ne t’étonnent plus.

 

§.213.

Lui sortir après vingt ans. Mon rêve. Oui potentiellement charmant cet homme là;

Vraissemblable TCHAO QUOI.

§.214.

Il répondait toujours par la même phrase qui en plus d’être illogique était contradictoire.

Il répondait par ce qui lui était assomant. Il répondait par ce qu’en général on finissait par conclurepar ses interminables discussion faisait semblant terminer.

Il répondait par ce qu’il savait déjà que ne réglerait.

§.215.

Pour avancer, fait de ses regrets autant de coups de fouet, d’avertissement qui heureusement ne veut cesser d’être là car aussi de ne devoir se reproduire pour opérer.

peste et fera-cas.

§.216. Enc.

Paragraphe vide : Impasse.

§.216. §.217.

Vivre une expérience si forte de sens qu’on n’attend pas de destin qu’il y soit encore aussi explicatif que cela.

Fort de nous faire franchir le pas.

§.218.

Le cadeau ?

Continu signifie.

Même quand on ne peut offrir ce que l’autre a déjà trop.

§.219.

Raconter un drame.

Croit-il que c’est ma vie.

Non pas tout à fait de mon point de vue je l’avais embelli.

De ma condition, d’en avoir été moins acteur.

§.220.

Jeunes – être assez affairé pour ne pas sentir l’absorbtion qui va tuer.

§.221.

Echec.

Révoir mythes, but, moyen.

Echec.

§.222.

La réalité interne, individuel, expliquent le rire au milieu d’un massacre.

on a plus à se faire pardonner le décalage.

L’esprit peut-être partout et doit être ainsi vu et envisager.

§.223.

Le corps içi et une autre partie ailleurs.

Comme pourra tout se retrouver l’esprit rassemblé.

§.224.

B s’inquiètais moins que A pour moi, car en cas de panne il maurait recueilli à la différence de ceux ui aurait dû m’achever.

§.225.

Migration évite génocide dans pays guerriers, mobilisés les uns contre les autres.

§.226.

Être en transe pour parvenir à dans l’union les plus carthésiennes.

Retour. conscience de là ù comment et puisque l’on sait que ce seul lieu il n’est.

= Epliquable.

§.227.

Solliciter la chance.

C’est apparente à la tendre en destin.

Superstition, rituel et organisation.

Superstition, affirmation en appelant de nouvelles.

Appel à explication.

Rationnel.

§.228.

On torturait l’individu pour voir à quel stratagème, pensée, concept, projet pière l’individu, même face au quasi insuportable de la vie, se retanait.

§.229.

Penser que tout est de sa faute ou que tout est en fonction de soi ou qu’au contraire on ne peut en devenir fou.

§.230. Enc.

Et si celui qui est acco recommence aussi pasce que la sensation de manque, la maîtrise, fait bander.

D’autres évasion.

Remède.

§.231.

Le mimétisme qui fait que l’on a toujours une preuve de la raison du pourquoi notre complicité et entraide –

A toute nature.

De toute nature.

§.232.

Être adorable d’adorer.

§.233.

pas l’interaction des présences, fait sensation et de donner une impression, obtenir un miroir que l’esprit pourra revoir lorsqu’il sera en difficulté.

§.234.

Céder à sa faiblesse.

C’est oublier qu’elle va plus tard se représenter, ou force l’opportunité de se –    – qui s’y on y prend garde va s’éloigner.

§.235.

La dureté profondeur de l’un appelant la finesse, légèreté de l’autre.

§.236.

Klaxonner suivant pour être le réflexe quand danger.

Quand danger, dans les embouteillages pour prévenir, arriver, à reculer tenez vous prêt.

§.237.

Ne pas comprendre le geste de l’autre ,  de surtout croire qu’il l’a –  – en ce qui concerne notre relation seulement.

gestes venant d’autres habitudes, réflexions préoccupations.

§.238.

On veut avoir aussi fréquemment envie de céder à ses propres tendances défectueusesque l’on se sent par l’environnement extérieur troublée.

Apprendre à dire : NON.

§.239.

Peur de la mort plus oumoins qu’on ne relationne, relativise pas notre action de vi.

§240.

Au loin une colline monotone, juste un arbre et son ombre, pourtant relief de lumière.

§.241.

On faisait plein de conneries ainsi on faisait les copains rigoler. Peut-être avait-on perdu du temps comme apprenti.

Mais notre mouvement pour eux à sa pointe voulait mener.

§.242.

Trouver une solution pour se sotir de l’embarras.

Ne penser qu’à cela.

Et en jouir car active réflexxion et courage, ce pour quoi à la vie on croit.

§.243

Parce que de voir un cul frémir ils ont besoin de ça.

§.244.

Avant que l’angoisse n’aille plus loin de ne s’admettre pas si basique, ne s e connaissant pas, ne voyant pas la réaction qu’il m’inspire voyez-vous, vous me faies bouger, vivre, on est vivant !

Rétablir !

§.245. Enc.

Il pensait qu’on se foutait de sa gueule mais derrières les igolades on voulait lui expliquer langoisse qu’il suscitait lui qui pensait que sa bonne foi et volonté était moqué. Onbliant que les autres aussi en était doué.

De cet oublie l’envie de tout casser. (Tu oublie un peu facilement ceux qui dans la vie ne veulent rien faire et laisse toute la tâche aux autres, tout le fardeau, leur en demandant l’exécution à leur place se déclarant   » incapable  » de le faire.)

§.246.

On est terrorisé par ce quoi on a peur d’être accusé.

Ainsi l’autre finira par le faire puisque dans la logique de fait reconnaître au ni-(sub)-conscient qu’il se sont trouvé.

Pour que puisse se régler.

§.247.

C’est pourquoi le –                   – est fait. Jouer à la pute, s’amuser.

§.248.

Le regard dit bizarre.

Celui qui veut trouver ce qu’il cherche dans ce qui n’est concerné.

Ex : Lire le livre de l’homme en face pour savoir ce qui se passe dans la journée.

Comme ça trouver des idées.

§.249.

Sanction du pouvoir en corrélation avec le respect qu’on veut, qu’on lui montre car plusieurs, beaucoup de moyen de coercition ou d’ éducation. Donc n’avoir comme espoir de résoudre le crime que de l’arrêter par la mort.

§.250.

Torcher ses droits d’un système qui m’a rejeté.

D’un métier, une situation pour lequel je me battrais.

§.251.

Ne cesser d’agir.

Pour appliquer dès après que réflexxion.

§.252.

L’humanité cherchant autant à s’installer, qu’à se rssembler.

Partout là l’homme on connaît. Par ce combat ces limites studieusement en train de poussez.

§.253.

Des gens assez libérés pour qu’ils puissent être honnêtes.

§.254.

Dire les choses que l’on pense parce que c’es pour le contractant autre que l’idée se forme.

§.255.

Variétés de rythmes, avoir une idée de ses performances dans telles ou telles conditions. Objet : Les reproduire et maintenir sans stimulant de particulières occasion et concentration.

§.256. Enc. Initiative Daniel.

T’en fait pas plus que cela apparait bien que tu n’est pas aussi vicieux.

§.257.

De l’humour on est tous comme des cons.

§.258.

Pas pensé, j’abandonne car on part pour, par amour, transporté par celui qui va rester.

§.259.

Jaloux ? Plus ou moins qu’on a compris que l’autre pour tout un, est mon concept.

Valable pour chacun.

§.260.

Arriver sur un problème.

Pour son choix réafirmer.

{

Pour son choix restructurer.

§.261.

Ne pas vouloir dresser de force sinon on se fait bouffer.

§.262.

On se doit aux autres.

§.263. Enc.

Vous ne me croyez pas alors je dois mentir et le faire de manière grossière pour votre pitié. (Pour leurs conneries ! OUI ! mais au mieux laisser définitivement tomber ne plus s’occuper des cons. tu as maintenant LA recette infaillible, LE MEPRIS! Mais tu m’as obligé à te rafraichir la mémoire.) 

Comme si j’avais crié à l’aide sans que personne ne vienne.

Que cela de vrai.

§.264. Enc. initiative Daniel.

Esprit, Solitude, problèmes.

Se signaler quand on est heureux.

Rarement.

Pourtant pour un couvrant.

§.265. Enc initiative Daniel.

Bien compris que les encadrés sont ceux et celles qu’on ne peux ou veux plus revoir.

O. K. mon bijou d’amour ET j’avais compris depuis le début mais il fallait laisser le temps au temps de démolir LA menteuse, LA salope. (Tu ne dois plus rien à personne, moi non plus, même le cirque avait été payé sur l’héritage de mon oncle :

NORBERT PORTEBOEUF.)

Ne pas arrêter de faire connaître = selon perspectives

Horizon est.

Toujours capable de changer. Au lieu de lire je ferais10  kilomètres à pieds. ON change ce qu’on range mais 100 Kms jamais.

§.266.

Mécène = Patron. (C’est rare plus souvent mécréant)

§.267.

Les membres détendus.

Je peux le faire autant.

§.268.

Je n’ai pas enviede rire mais il faut que cela soit rappelé 68 : L’année de mon mariage. quand c’est : gros, noir, et souligné cela veut dire : grosse conne.

Le désir.

Le niveau qu’on discerne chez l’autre et que pour soi on vit par lui, pour l’atteindre par soi après.

§.269. 1969 : Naissance de ma fille
On cesse d’être intéressant quand on mentionne ce que l’autre pourrait deviner.

§.270.

On s’accus de tout , pour ne pas se dire que le destin nous tombe dessus que par hasard.La haine ou les catstrophes viennent bien de quelque part.

Déceler.

Puis bon – home.

Travail autour d’un.

Rthme surbom.

§.271.

–       – avant d’être exemple mon trouble.

§.272.

Sentiment propre mort.

! Assumer ceux qu’on laisse.

Suicide ?

Réflexion.

§.273.

S’occuper de la pauvreté dans les autres puisque si la sienne est misère.

– Etudier d’autres façons de reddition, étude de l’autre comme ressources.

§.274.

Avoir tellement eût de graves problèmes. Ne plus se rappeler que les choes puissent se régler simplement.

§.275.

J’avais de lui suivant la même incntation sonore, je savais que quand il le faisait il était alors plus susceptible d’être ce que lui saurait répondre.

§.276.

Péter un plomg. devoir penser. Devoir penser qu’on est fatigué, pour ne pas faire ce qu’avait éviter.

Energie lui sante.

§.277. Enc.
Il fallait comprendre l’autre l’autre pour s’accepter soi – même.

Survie.

Et savoir que rien n’est fatal ou ne le sera.  ! .

§.278.

Il n’aimait que moi. Mais ignorait-il qu’avec ces règles là, quand il venait il interdisait aux autres d’entrer en sa compagnie.Alors qu’à porter le monde dans les autres, voilà à quoi est destiné l’ami.

( Et ton départ s’il était prévu pour changer les choses c’est résolu à être un échec et une séparation inutile, plus sauvage et associal que jamais, ce n’est pas tous les jours qu’il est possible de rencontrer quelqu’un capable d’apprivoiser un solitaire. )

§.279.

Le souvenir est là pour rappeler au premier qu’il et suivi et supporté par l’idée  « écoute comment on court plus vite, plus loin, plus longtemps.

Equilibre dans l’équation. »

§.280.

On différencie les femmes des hommes ainsi quand ils s’offrent, ils mettent en avant des qualités sans évelopppar les uns mais au centre de leurs envies et désirs

Ainsi une fois élevés ils continuent à d’éduquer en mettant en avant des élémets, particularitésassez marquantes pour être exploré.

 

§.281. Enc. initiative Daniel.

Comme grand inconnu, de nous mettreà nue aussi surpris enfant que l’on à été de découvrir l’autre en fait.

Enfant comme sans titre. (Dany réveille – toi !  !  !

Trop tard mon bijou d’amour ton DANY à dit stop à « tous et à toutes » ils, elles m’ont trop joués (ées) la même sérénade DANY n’est plus là pour personne !  Vous pouvez vous gardez vos garages à bites pour vous comme le suggérait quelqu’un  de cirque ces jours passés.)

§.282.

L’impression De perdre, pour connaître ce qu’il faut récupérer et retenir.

§.283.

Ne plus mourir à le perte de son travail. Savoir qu’on fait partie dela montagne qu’on se donne le devoir de protéger.

§.284.

Tornade ?

Télé réality.

§.285.
Se faire des illusions sur la facilité. Ainsi tout le temps reporter car quans on va s’y conforter le moral va chavirer, se dire le plus fort.

Pas d’y arriver (puisqu’illusion) on ne sait encore comment, à quel point un but avoir un but à tenter maintenant et ne pas se laisser briser.

§.286.

Ne pas oubier que les gens sont les gens = intérêt en pleine transformaton. Et que la vie a comme carburant la pensée (ce qu’il pense d’autrui)

§.287.
Apprendre à ramasser ce qu’on a déjà cueilli, tant qu’à ce qu’il ne sont pas jeté n’est pad comme pris.

§. 288.

Changer le monde c’est savoir qu’on a pas de solution mais qu’on est la solution, et changer avec lui, avec les expériences qui me font rejeter mais perfectionner ne pas marcher, résultat négatif. Mon résultat renseigner sur ce qu’il faut en nous modifier.

§.289.

La culture du muscle et de la graisse – on peut se comparer comme consommer = payer peut-être servi ce que tous peut fare aussi.

§.290.

L’orgie = le tempspasse vite recherche de plaisir puiqu’en trop donc à l’usure on est sur. Plaisir = consolation ? ? ?

Que le temps passe à chaque fois, vite ou à la même vitesse = a même appréciation du mouvement. Est-ce le but ?

§.291.

C’est une fois qu’un entre son autre à compri le message qu’on peut arrêter ce que voulaitenseigner son action, so personnage et de le voir différemment.

Pratiquer différemment, une fois l’autre devant, confirmant vint me voir en plein jour.

§.292.

Profiter du moment même celui du problème car il nous met en relation avec ce qui deviendra du passé. L’époque où je connaissais cela. Mutant que je dois à d’autres entièrement me convertir.

§.293.

On se noit dans son malhur quand on ne peut s’maginer celui de l’autre.

Et de les soigner.

Comme cet enfant rapellait sa mère et qui me rappelait que je l’étais.

§.294.

On sort de la folie quand on s’amuse de nos moments de crise.

Ne cède aux mouvements qu’elle a soif d’activer.

Comme la violence peut nous perde complètement.

§.295.

Cet effet que l’on atteindra ne plus être pris par surprise par lui S. V. P.

§.296.

Ces moments ou s’en le senir on pourrait jaillir sur l’autre l’étouffer.

rire de sa folie, des idées qu’on se fait, des formes de l’esprit qui brouillent nos âmes.

Je crois que c’est ce que t’es.

§.297.

Je n’ai plus peur du noir depuis qu’une terreur bien plus dure que les ombres, me connaît.

§.298.

Le conflit.

Qui fait calmer, e qui apparaît à se lier tout en la distance élaborée.

§.299.

Ce n’est un disfonctionnement mais forme le visage de l’humanité, les hommes pensent à des choses, des espaces, des vitesses différentes.

§.300.

La vie est un passage.

Maman la vie est un passage c’est pourquoi je trouve la force de te quitter.

§.301.

Equilibre, de où l’on s’appuie à là uù on s’est fixé.

§.302.

Être retruvé, reservi.

Sentir ce que la ie re – père. Re génère.

§.303.

A chaque fois que devant un choix, on perd.

Car preuve que l’on est sûr de ce qu’à notre meilleure performance.

§.304. Enc.

En crise d’être, on doit.

Le destin que l’on suit afin d’être plein de lui.

Puisque la vie se mesure à cela.

§.305.

Tu me traite encore en inconnue, faire mieux n’est pas exclu.

A un intime dont on subit encore qu’il croit en ce qui est possiblement déchir (able)

§.306.

Efforts’astreindre de manger être la peine impression d’être gros puique sensation basée sur estomac qui travaille.

§.307.
Porter la douleur.

L’absorber, l’énéantir en révèle les points qu’elle pointait.

§.308. Enc.

Peur de celui qui réfléchit car il trouvera un truc, une dynamique intellectuelle qui rendra lois ses pensées. (Jolie ! Cette analyse Caroline là d’accord je veux croire que tu es dans ce texte qu’il est de toi ou de quelqu’un à même de : Réfléchir justement)

§.309.

Les traces qu’on garde d’un évènement. Le comment l’a – t – on pris trace restante de ce qu’on doit penser de nos a prioris.

§.310.

Rire de nos faiblesses ou tentatives de forcing. Rre sinon la vie serait bien triste. Mais attention la tritesse c’est aussi revivre ce qu’il fut. Faire que le massé se soit.

Reçoit.

§.311.Enc.

Toute expressionest une tentative d’indication sur ce qu’l se passe à l’entente de ce avec quoi on communique, sur ce qui se pesse mais dont lui n’est encore au courrant.

Ce pourquoi essai d’expression et trouble relatif à lui.

§.312.

Le malheur naît d’armes que l’on ne sait manier, d’aspect de la situation au quels n n’a sût s’allier.

§.313.

Apprécier quelqu’un.

Implique ce savoir faire.

La maladie qui peut en manger une autre.

§.314.

Se gaver de A.

Comme ou se savoir, sentir, inéfficace, entre productif, désespéré par rapport à B.

§.315.

Les mots contiennent ce qu’il s’es passé dans les faits etles esprits.

§.316.

Réalité : Dur détecter et s’occuper des conditions, pour se propulser, liaison avec condition et projection. comme toute base.

§.317.

Suivre sa voix permet d’être dans la conditonactive d’expérimentaeur.

et ainsi avoi une idée plud précise encore .

Être à !

Et en sorir assez de forme et condition pour changer de décor sans mure le précédent qui fait que l’on adore.

§.318.

Un membre coincé car on le raidit au lieu de le changer de position. changer les croisements de pression.

§.319.

Les difficultés pragmatiques. Savoir détecter, repérer ou on est et alors on peut pour alle plus loin, s’appuyer sur ce qu’on a comme source trouvé.

§.320.

Le sens qui prend la vie. Chaque sens, nous prend un instant donné à l’élaboration d’une cohésion mais pendant ce temps que délaisse-t-on.

§.321. Enc.

Être pris, dans une situation chaude, déliatecuisante, inquiètante –   –   –  –

Et ains ne plus bouger, ne plus faire, être immobilisé, et ses mauvaises habiudes, et réflexes ainsi aussi stoppés.

§.322.

Permettre à quelqu’un d’affirmer certains de ses critères afin qu’une fois fait il pussent être surprenant d’en sortir d’autres. Encore. Et divers.

Pour¨être – pacifiste il faut être heureux.

d’êre vivant.

§.323.

La HAINE c’est quand on ne sait faire de son expérience, une voie à la pacification.

§.324.

Continuer à adorer, en rajouter. Ainsi éviter d’aller au deant du courage qu’elle nos a pourtant donné.

§.325.

La survie de l’espèce. La vie ne donne rien, car elle exige de tous d’être a sa paix.

De trouver son max ou de tomber dans un mieux relatif de problème.

§.326.

Les gestes qu’on est comptable de souhaiter que l’autre fasse, de lui faire faire et ceux et seulement ceux que l’on se sait et peut à soi-même s’octroyer.

Le geste que ‘on voit faire est le geste doué.

Et on se sait.

Pouvoir s’en servir quand à sa propre mémoire.

§.327.

Oublier ses rêves pour avoir des histoires vraies.

FIN DE DOC 26.

A relire et corriger.

 

 

computerised extra Doc 25

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

 

S’il vous plait, téléchargez prioritairement les DPF documents en page 1.

 

Les documents ci-dessous, tapes électroniquement- sont les copies partielles – i.e. présentation de certains tomes mais pas dans leurs version intégrales – et parfois non identiques ou incomplètement déchiffrés.

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Donc une fois que sur ce site il est préférable que vous ouvriez et enregistriez les documents DPF puisqu’ils sont –plus surement- le plus proche de ce que l’auteur a écrit.

Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

Doc 25 Caroline.

 

Page 67 à 201.

 

Ouverture le Vendredi 17 Mars 2006.

Formulaire d’exécution et mise en peinture !

TRAME DE FOND POSSIBLE.

[ « é è ê î ï à â ù û ô Ô Ê Ë ç |  §. »]

* *** *** *** ***+ +++ +++* ***= ====* ***+ +++

+ +++++&&&&&&&&((((((  ))))))§§§§  §§§§++++  +

– —-+ ++++* ****+ ++++= =====#   ###### #####

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* ****°°°°  °°°°°]]]]]]]]$$$$$$$$$$+++++  *****

+ ++++= ===== ====+ +++++ ++++= ::::::++++   +

« « «  » » » ====////////°°°°°°°°°++++   ++++

§.1.

La conscience de soi. Se voir, se détacher. Voir les autres pareillement precéder.

Mais alors ou on est ?

Et qui est on ?

§.2.

On ne s’épanouit qu’en milieu protégé (apprendre ce que c’est. on nn grandit qu’en bravant le danger.

§.3.

Le guérisseur . Le nomade.

Celui qui apprend à n’avoir aucun autre repèren que lui-même.

apprendre à se concentrer sur le mouvement, doser, qu’ilsreçoivent et puissent alors ajuster, relancer en tout point s’orenter.

§.4. Enc.

Rapport Lardo – Braso.

Rapport distendu. Pas confortable car à situation imposé, toujours là même, alors on va varier les positions même si à la base celles qui posent problèmes dans l’optique de pouvoir s’en sortir de plus en plus indemne.

Posiion dans la position.

§.5.

A ma femme.

– Juré sur ce que j’ai de plus cher au monde

– Ah ! Et bien gentil.

(Cela devrait être elle. Pour moi c’est toi !)

§.6.

Tout le monde meurt. En est mort.

Mais non puisqu le monde est encore bouche ouverte.

§.7.

Voisinage maxilaire  respiration verticale + poitrine. Epaule basse + pression paume à paume.

Massage nuque avec menton sur poitrine.

§.8.

Pour rester en vie il fallait se taire et le but était dans le dépassement des conditions.

Se taire jusqu’à ce qu’on construise, s’invente des solutions.

Solutions qui permettent à tous et à chacun d’avancer ses opinions à partir du moment où elles existent.

§.9. Enc.

La violence c’est que l’effort ne soit pas relevé.

L’étalage de ce que’on en a retenu. le résultat lui n’aparaissant pas de la manière escarpé.

puisque toutes découvertes, apprentissage, se parre différemment de ce qu’on croyait.

Mais c’est cette connaissance de l’être qui construit, (donc le contact avec l’encore irréalité) qui constitue ce que la connaisance en subsistance est.

Mais pour que le vouloir puisse travailler.

Pour que toutes les formes d’une puisse exister donc coabiter et faire que toutes ls directions en tout endroit soit connectées.

Attire le passage d’un romanpouvait-on penser unmessage délivrer, n’avait-on pas compris que tout message est un sn défini dan une maille en particulier. il n’a pas dix ans il ne vas rien capter.

les mots sont là portent ceux que l’on escompte moins nombreux que tous les sens qu’ils peuvent emprunter sans que’on ne les sache, les sens qu’ils empruntent pour qu’à chacun aillent se diffuser, retentissent, rebondissent le son.

Le sens qu’il a d’être reçu.

ce sens qu’à pour lui en chaque main personne ne détient.

§.10.

Être l’inconditionnel de quelqu’un.

Être une personne sans discontinuer.

Maintenir son énergie ver la liberté que chacune de nos pensées, brutes, l’on voit sur l’instant agir sur l’humain, le tout par quoi il est, le tout qu’il rejoint.

Qui le rejoint.

§.11.

Heureusement la masturbation au sens large était là pour qu’on ne pense être obligé en ce cas là de la subir.

(Sport auto-frictionnement.)

Notemment donc comme toilette intime. Stimule la circulation.

§.12.

Il fallait connaître la tendance pour s’asouplir en fonction d’elle.

§.13.

Le pied d’autre appendice.

§.14

Une fois qu’on s’est suffisemment ramassé de volée sentimentale on peut s’amuser avec sa sexualité.

Sensualité de l’éveil des sens, de la circulation de l’énergie extérieure de la staticité.

C’est à dire les réceptionner t comprendre comment, dans quelles directions elles ont bougées car leur mouvement se répercute dans notre propre propre sentiment intérieur.

Non pas pour s’en faire une idée injuste un exercice de comment alors [puisqu’en nous] le rééquilibrer.

§.15.

Le bouc émissaire set à trouver un prétexte à toutes nos pensées rentrées.

Elles ne sont pas ratées mais vers lui tournées.

§.16.

– On m’avait dit que tu étais brillante et c’est vrai que cela se voit.

– Tu m’avais peut-être sousestimé.

– Je ne sous-estime pas, me répondit-elle, inspirant fort ceci lui plissant le nez.

Je pnse que tout le monde est brillant et toi une partie on te voit exploiter.

§.17.

Les peupes primitifs par rapport aux rapports sexuels.

Pas de choix au mariage

– On peut prendre la manifestationde douceur de l’autre. comme nous étant destinée. Comme imprenabilité, pas de possibilité de choisir son couple, impossibilité de vérifier.

Ainsi tout le monde est virtuellement calmé.

Moi depuis que j’ai compris que le douceurs des femmes n’étaient pas signes que d’un soulagement sur toute une vie partagée, d’un amour leur étant dédié c’est tout juste si je ne versâs pas à 100/100 de l’autre coté. Si ne s’appliquait pas exactement le même procédé.

§.18.

Mon écriture était tellement toute ma vie ue j’avais l’impression de me définir. D’être au travers elle reconnaissable parmi des milliers.

§.19.

S’amouracher à ce qu’on s’était constitué comme élément pour s’imaginer pouvoir tenir, dans quel sens évoluer, sur quel pied un équilibre allait pouvoir s’établir.Jamais ce a qui on s’attendait.

C’est du moins la vie est une leçon personne ne lui résiste.

Ce n’est pas dur maisbeau ce que je dis.

Ainsi je m’y habitue.

§.20.

L’esprit ou entre ce qu’il faisait et pourquoi il le faisait tant que chacun

pour chacun ne serait asuré.

§.21.

Le tabou du sexe était bien venu.

Car en fait il n’y avait rien de plus effrayant que (alors qu’on était en liberté de choisir et d’être choisit) que de ne pouvoir faire l’amour avec

ce qui semblerait être l’amour de notre existence.

§.22.

On avait marre de nos condiions mais suivant nos convictions alors ce ras le bol avait pour effet non pas de –           – mais de trouver une manière toujours plus efficace, plus apte à nous soulager, de les agiter, durablement.

§.23. Enc.

Je n’arrivais pas à exécuter l’exercice car mon corps était pêt à le faire autrement plus amplement, plus rapidement, plus décomposé, plus claquant , plus léger. Que sais-je encore ce qu’il avait à convoyer pour que la force qu’il porte il puisse faire aller et prendre celle qu’il lui fera dire bienvenue à la remplaçante via l’acte précédent.

§.24. Enc.

Cette impression de ne pas pouvoir car il était temps de savoir.

§.25.

Je l’appelais, son visage toujours me conseillais.

§.26.

Questions courage je préférais aller donner à manger aux crocodiles de loin. (Tiens ! Mon minou elle a peur des reptiles et pas moi !)

§.27.

Elle me traitait comme une « relation de sociabilité » même au réveil.

Etait mon privilège d’être là !

§.28.

Le rituel est important tant qu’on ne sait pas ce qui se passe entre.

Entre continuer à faire le nécessaire et ne pas se laisser emporter par l’imprévu ou oublier ce qu’on pourrait pousser ou ne plus rien faire.

§.29.

Son visage impassible ou se formant dfféremment et ou semblait-il dire ici ou illeurs je peux opérer.

§.30.

Si seulement je pouvais lui apprendre à ne pas faire attention aux gros cons comme moi.

Blancs.

Du              Un.

En plein milieu.

Aie.

Et ouverture sur demi droite.

§.31.

Le rapport à son mental. S’appuyer sur ses limites, déterminer son avancée équilibrer le flou se construire, se bâtir il apprend.

qu’est-ce qui [ne] fait, que je suis et sur quoi je m’aide à grandir cependant.

§.32. Enc.

Il vaut mieux que je jette quelque chose en un endroit pour qu’après je puisse me mouvoir, atteindre cet espace plus facilement. comme quelque chose de fixe sur lequel peuvent alors pivoter mes mouvments.

§.33.

Savouar.

Savoura.

Sa vous ait.

ça vous Ré.

§.34. Attention encadré à l’initiative de Daniel.

Je pleurais, je m’effondrais.

Me rappelais tous les objects [ d’objectivité, du : {sujet d’objection.} (O.K.)], tout ce qu’elle avait touchée et qui maintenant pourris me la rapellait.

Mais pourquoi pleurais-je ?

Tout d’elle était plein.

C’était certainement de (me) le demander qui en fait me vidait moi-même me rendait chagrin.

§.35. Enc.

On va mourir. cette remarque faisait de toute expérience une passade. Et aussi que tout ce qui avait allait être, était en fait autant au courant que nous et comme nous n’allait n’allait pas le rester. Le respect de tout, l’adoration de rien .

C’est pour ça que les religions sont si flous.

Permettre à l’homme de faire les même choses en sachant que la ensée ne s’arrête pas, est toujours pus loin.

La pensée qui souffre mais qui sait que sa délivrance future et liberté nature n’est de pouvoir être contrainte.

§.36.

Il lui fallait avoir sa responsabilité des enfants, our calmer l’émoi qu’il ressentait lorsqu’il en rencontrait un. Ne plus se sentir attardé parle sujet, ne plusse sentir privé, pour tout dire enfertilisé. Cette force à la ve d’un enfant, la famille, ce que l’on voit pousser, ce quenotre carcasse elle de plus en plus vieille mais de plus en plus sereine voit pousser entre ses doigts.

L’enfant.

La jouvance de soi.

L’enfant.

La jouvance dans la vie.

§.37.

Les parents, la chambre à coté.

Ne jouissent plus comme dans le temps puisque maintenant il est là le souffle, le battement du corps.

La présence. C

§.38.

Les parents revivait leur passé ou les choses de l’extérieur qui nous ramenaient dans notre rapport étroit.

ils noustransmettaient plus qu’eux  la magie de l’éducation état là.

§.39.

La personne de motivante était celle dépassant la douleur ou la combattant. Mais voir devant soi le noeud à quoi on ne donnait pas la possibilité d’étrangler.

Le noeud coulé.

§.40. Enc.

Le rapport à l’art !

J’étais différent sur une question si elle métait posée e que je devais y répondre du tac au tac (Ô râlement) que si j’avais une feuille un crayon ou de la terre glaise un scalpel pour y répondre d’une manière que je considère :

«Définitivement, quelque chose de, sinon complet, au moins d’achevé.»

La multiplicité des arts, mon ubiquité m’apprenant.

§.41.

Non encadré, mais j’ai déjà lu cela quelque part, mon bijou d’amour.

Je tremblais de l’entendre dire Papa parce qu’elle ne pouvait désigner qu’un homme mort en disant cela.

§.42. Enc.

Se tromper souligne simplement le temps qu’on passe à penser. Et comme on le pense perdu on le compte en moins bien que de voir les choses se réaliser est imposible puisque l’objet (O.K.) est là pour faire que puisse se dépasser l’idée.

§.43.

Les signes de la vie étaient d’une force terrible puiqu’à chaque moment de leur bonne ou mauvaise augure c’était à toi d’en décider.

transformer l’essai.

§.44.

Ainsi soit-il.

Quand l’autre me révèle sur quoi lui et moi on s’élève.

(Du sable de l’eau et des marécages, sables mouvants !)

§.45.

Il souriait, supportait la doleur sans que cela se voit, dès qu’il s’arrêtait je ressentais cet effondrement.

Mais aumoins je savais ce qui nous rattachait en ces précis, saisis moments.

§.46.

Pédophilie. Tu recomence à déconner ?

Le rapport à l’énergie sexuelle est aussi est aussi une promesse, une préparation pour que (un enfant n’ouble pas que ses parents il doit quitter. (Tu l’as recopié danscombien de Docs ? Abrutie. Tu avais forcé sur le bordeau ces jours là ?)

Mais problème de sécurité, puis comment se fait-il que es enfants n’est ue leurs parents comme éducateurs et quitter ses parents n’esr-ce pas les laisser au sin d’une société du chacun pour soi.

(C’est mieux comme pensée !)

Autant de question qui rende l’affaire problèmatique.

§.47.

Se parler avec les mêmes mots, mêmes accords mêmes sous-entendus. attester qu’on appartient à un même groupe, l’appartenance attesait d’une fidàlité, d’un lien inérant à notre identité. Ce langage permetait d’attester quelque chose à jamais par cela raccrochés.

Chaque source, mais déjà donc vie liée.

Ces particularités qu’on cultivait.

§.48. Enc.

(On m’a) Rayé dans le manuscrit.  C’est parce que j’ai été fuit pour mon infidelité lié à la non conscience du devoir de fidélité qu’on m’a retrouvé marié à elle. Voir ma réponse en D.PF du 18 03 2006. 23h36.

§.49.

Le carme devient SA.

Lorsqu’on ne convient qu’il estune force faisnt toute personne avec toute autres.

(C’est à dire non pas que dans une relation eu duel renfermée.)

§.50. Enc.

Je lisais le texte au 2, 3, Quatrième degré non pas comme cela mais avant il fallait que je sache ce qu’elle avait pû elle-même en écrivant en penser. Qu’avait-elle voulu me dire ?

Qu’elles étaient ses connaissances et ses projets.

La connaissance qu’on a de l’auteur est le relief et l’intérêt d’une recherche. Ainsi le lecteur analyse critique. Ce qu’on peut y trouver et ce qui ne s’y trouve pas.

§.51.

Je me rendais compte de ce qu’elle vivait. car sa vie, son courage.

(respirer – arrêter) me pendait au nez.

Je ressentais cela.

Je la ressentais.

De cela partager.

§.52. Enc. Page 79.

Après avoir son corps tout débloqué de s’occuper de son sexe je voulais la sentir me supplier.

§.53. Enc.

Ne voir, que concerter hétérosexualité et séparation des sexes car sinon ou on se brûlait les yeux devant tout le symbole de ce qu’on convoite, de notre variété.

§.54.

Comme une gouïne dans un vestiaire est obligée de s’aveugler:

Suie grossière. C’est justifié il y a de quoi parfois se mettre en colère !

§.55. Enc.

Différence entre ce que j’écris et ce que je pense et ce que je penserais sans pouvoir l’écrire, m’énerver.

ETAPE.

§.56.

Je pensais avoir tout vécu, tout donner à l’amour.

Mais avec elle une espèce d’inconnu lui naît.

§.57. Enc.

Il y a les phrases dont je sais qu’elles ne seront lues avec plus lourd de sens et pourtant elles me sont apparues à moi comme étant avoir l’émission de même intensité. La recherche en pensant aux autres différait même pour moi, le premier jet toujours l’impression d’une réflexion comblée.

§.58. Enc. Page 80.

Aussi vraie que n’importe quelle autre notion adjuvante. qui se sent concernée par elle au même moment qu’il lira ou qu’est-ce qu’il en retiendra pour le confronter après.

Qu’est-ce qui m’a conduit à l’union de mes pensées que je n’explique pas, que je ne m’explique pas.

Ces processus qui font de nous des génies sauf que ce genre est en l’instant trop complexe à expliquer, à remonter la plus part du temps.

§.59.

Elle voulait être celle qui ne me laisse pas.

Quand elle me prendra.

Dire que l’on peur lire une demande en mariage pour soi,

( Te souviens-tu de la mienne mon bijou d’amour ? ), laquelle on ne pourra comprendre en être l’objet si l’on n’y croit pas.

§.60.

L’horoscope était bon pour : toi, moi, nous ! ?

Remarque ça fait un moment qu je prépare le temps.

§.61.

Les gens n’enseignaient pas car ils pensaient de l’enseignement qu’il contenait une vérité, alors que tout enseignement est ainsi pratiqué car est conenu lui-même par la matière qu’on a à adoré, celle-ci ayant pour vocation d’entrer en toutes.

§.62.

On peut tout revendiquer.

Tant qu’est gardé le droit de se corriger.

Opportunité.

§.63.

Cette fois ci je choisissais scrupuleuseent mes vêtements sachant que ce serait euxqui auraient accompagnés mespremiers jours d’avec elle.

ces vêtements dont chacun n’avait porté et elle qui verrait tout passer dorénavant.

§.64.

je savais quoi mettre en toutes les occasions, car toutes étaient préparées et leur processus à mesure que cran par cran il se détendait.

Pas de surprise laisser faire le temps c’était faire que tous les éléments conservés bougeaient solidairement. La force de l’autre venant l’un échauffer, (masser, travailler) et l’extension que cela provoque la conscience de cette zone fait qu’une autre zone va pouvoir être activée par lui vers une troisième (nouvelle conscience) [tu avais donc déjà tout prévu c’est une sacrée confiance de jugement] mieux projettée.

§.65.

Est-ce que les rats étaient là avant notre arrivée.

= Je ne sais pas ne les ais pas interwievés. Bien joué et bien vu Amour !

§.66.

Le corps donne à la vie le but de se débrouiller au mieux avec la posture dans laquelle il est posté.

§.67.

Être folle de lui.Et savoir avoir pu êtr en osmose avec chaque individu ainsi.

l’amour se décidant depuis l’enfance, de quels éléments avaient-on envie, (formellement dans le fond la forme était la source et le oint ou vers l’ailleurs tout dond plus jaillit)

Cette conscience de l’amour faisait qu’on savait totalement contrôlable, mesurée notre folie.

Fruit de l’absolu dans le relatif.

Il pouvait être sans contexte l’homme de Marie.

Là tu t’es plantée !

§.68.

Car elle-même était un moment que l’on savait devoir conclure, donc de se créer pour un temps quelque chose d’établi, peut-être pour se créer des bases auxquelles allaient pouvoir s’enchaîner d’autres consciences.

Repères-ages.

Certainement.

§.69.

Une de tes relations de sociabilisation.

J’ai hésité  te réveillé.

Pour te prouver qu’elles étaient là dès le matin.

§.70.

La douleur ne vient-elle pas de se rendre compte d’endroit qu’on ne soupçonnait pas, dont on ne était pas occupé jusque là.

§.71. Enc.

Faire le point entr soi et l’autre.

le travail de l’amoureux.

La vie pour toi.

Toute vie est toi.

la vie que l’on donne deça.

Tote vie se donne à ça.

§.72. Enc.

Les sentiments sont ceux que l’on veut inspecter, ce que l’on veut comprendre, ce qui va changer.

§.73. Enc.

Et ce que l’n fait est le choix ce quoi on a décidé de sur quoi cogiter.

§.74. Enc.

Si une peu de lui ne laisser tombe, l’existenced’une peut exister, sans n’importe quelle aute forme j’étais autorisé à la chercher.

§.75. Enc.

Je tombait du pont.

Nos esprits s’aimaient tellement fort que relié au sien mon corps ne tombait plus qu’au ralenti.

Mais il arriva le moment où l’esprit de n’avoir pas tout connu et devenir tout à connaître se demande alors comment cela est possible. Regarde comment est possible cela. Et le fil n’est plus, puisque qu’on en empreinte un autre déjà.

OR FAIT.

§.76. Enc.

Et ces moments qui nous rejoignent 20 ans après.

§.77.

On ne devai avoir honte de trouver ne situation, toute situation possiblement avec son esprit de rigolo, sinon elle passait à nosyeux que comme une cruauté qui à tout moment sur nous pourrait comme à sa guise sur nous s’exercer si on ne donne le droit de toujours pouvoir différemmen la considérer.

§.78. Enc à l’initiative de Daniel.

Son trouble du comportement était de se plier en deux et de tendre l’oreille.

Accoucheuse. Médecin de la pouvoir enceinte ou non.

Ainsi faisait-elle son stétoscope particulier.

§.79. Enc.

L’apprentissage consisteen l’acquisition dune logique.

C’est à dire qu’au fur et à mesure des expériences on peur slectionner ce que l’on a à en apprendre, le reste reposant déjà dans son esprit sous une autre fome, tracée certes mais cette corrélation, une corrélation avec le fond (apprendre la métamorphose qui n’et ni une perte de A ou B mais juste le chemin de l’une  l’autre que C nous) leur fait prendre.

INITIATION. Tes § : 78 et 79 frise la folie hérétique.

Et exercice illégal de la médecine apparemment !

Elle parlait en vers attestant de la force du moment qui lui permettait d’être à la forme et au fond en même temps.

§.80.

Pouvoir communiquer via un monde commun, donner un rythme à cela, puisqu’en train de réfléchir en même temps, donner non pas un écomposé et une remagnétude de nos courants qu’on essaye de rattacher mais celui qui dans un bloc vient.

Et qui peu sa régularité donnera à l’oreille del’autre l’opportunité d’y accrocher opportunément le sien.

La première donne et repprend la vôtre du même jet qui vient attendant d’ainsi ce qui prochainement se de –    -?

Le remaniement lui batissant les codes par lesquels on s’entretient.

et lui l’association des plusieurs jets de la rencontre de deux poêtes, tiens.

§.81.

C’étaitcelui que personne n’attendait l’homo.

L’apprentssage de ne pas attendre, au moins pour en moitié quand c’est quelqu’un d’autre qui pour nous vas décider.

§.82.

Le moment de la compréhension. L’éclairage.

ce qui comprend d’autres choses à classer.

§. 83.

La douleur est le poit que l’on sait ne devoir continuer. De ce point on va le conter.

La douleur pendant qu’autre chose peut être soit fait et à pouvoir à quelque chose auxquells savoir ne pas se fier.

§.84.

Il fallait se conformer à une mégère pour s’aperevoir qu’elle était con.

§.85.

Tu aimes l’écriture en l’être en moi = Aucun.

Le concret était ces idées dont on se satisfaisaient. Les autres les découvertes.

Toutes découvertes était de s’apercevoir que ce n’est pas ce qu’on croyait. Belivien.

§.86.

L’échange de sentiment est la garantie à l’autre qu’on peut comprendre et ne pas abîmerce qui va dvoir se passer où l’assurance de s’en protéger. L’un comme l’autre puisque s’autentifier comme associer.

Je t’aime.

Bé heureusement.

§.87.

La lune.

J’avais pris tant de photos perdues maistant pis. Elle étaient si belles qu’elles seront conservées. Je n’ai pas plus de probabilité que entre de pouvoir les péréniser; quelle sera la pérénité ?

La lune.

Je faisais des exercices exprés pour pouvoir me voir en fae et lui montrait comment je me servais qu’est-ce que sa force m’inspirait.

La lune je l’avais tant vu que non maintenant je ne lui demandais plus ses faveurs.

Car après l’inspiration c’est devoir libérer ses pensées et les nôtres auxquelles on va aller mériter sa pensée et nous en délivrer.

Fée – princesse – chevalier.

pro – créable.

– Pourquoi je t’aime si fort.

– Parce que tu l’es.

– AMOUR – DOPE.

§.88.

Voir un point extérieur à tous ces éléments ayant pour but de s’y retrouver rester, permet alors à ces éléments de créer une organisation intimité permettant de travailler un assemblage différent à chaque fois (qui permet à chaque unité d’avoir cette fille là elle revêt.

Autant de point autant de jeton à différré qu’à un même élément de s’associer donc de l’atteindre et de lui même pour cela se tranformer.

ou remarquer qu’il est aussi d ça formé.

§.89.

L’autre s’inspire de moi et alors qu’il me donne de voir cela, ne peut comprndre ce que demande la part que j’ai pris quelque part déjà.

ce regard que je reconnais que sais-je qu’il peut bien vouloir voir se passer parmi ces cent milliers.

Que n’a-t’il accordé et ne cesse de différentes version m’informer.

Par exemple : je sais que quand elle me regardait comme ça c’est qu’aussi elle voulait me serrer.

§.90.

Ses copains avaient fait leurs fêtes d’anniversaires le même jour, ils avaient dû le faire le même jour.

§.91. Enc.

Il vivait plus fort, devenait du même coup plus impressionnant et tellement vrai, telement convaincant, non pas parce’il aait raison mais parce qu’il y pensait tout le temps.

§.92. Enc.

Principe d’irremplaçabilité.

Je n’arrêtais pas de penser à des choses quand je me rendais compte que d’autres pouvaient ou les avaient sns aucun doute traités.

Tais-toi boucher.

§.93.

Pour que tout reste décontracté  et donc évite de s’user, contrît parfois.

Il faut que tout reste décontracter et par un point le poids, la force nécessaire porter.

Exemple assis ou se stabiliser, se muscler.

Le bas de la colonne debout, les genoux.

§.94.

Je devais lui promettre de ne jamais la quitter. Elle qui rêvait de se marier à quequ’un comme elle. Comme cela elle ferait du sport n’ayant plus peur de rater celui qui 24/24 sans exos-physique la même matière qu’elle courtisait.

§.95.

L’amour, la confiance, la tranquilité cette image de noms en laquelle on aurait pu passer notre vie. Qui fait que chaque moment peut être uni et aller au delà de tout ce ce qu’on avait pris comme étant à contre courant.

§.96.

Elle la mettait pour eux c’est pour ça que la notre était belle.

§.97.

J’avais envie de le arler.

Ah, Bé ! C’est pas trop tôt.

Sociabilité du réveil.

Bonne nuit.

§.98.

Normalien, normalienne.

Aliènent.               comme le restant du peuple mi à part l’accent.

Attent à.

Aux abus.

A l’obus.

§.99.

Phrases par phrases. Nous et lendemain.

Le fruit de la réflexion déssiné sur ce chemin .

Métamorphose. Ce qui le relie. La force qui en jaillit, les éléments nouveaux pou la porter plus loin. La conscience d’un temps nécessairement plus long pour que ce fait puisse continuer à cet appel vient.

§.100.

La violence de l’impro. Tous les éléments qu’on a pu travailler en plus de n’avoir passer du temps à se demander comment les exposer.

Explosion.

Ex position.

§.101.

Nos réactions bizarres. La réaction qu’on a tous au surnaturel d’ailleurs tout naturel l’est. Se demander. Répondre !

La peur de ne plus croire si on ne continuait pas à la fréquenter ou plus croire dans ce qui va avec les autres directement (socialement nous associer).

La peur de n’être pas crû , et pourtant nous passons notre temps à nous l’expliquer.

§.102.

Elle engraissait ses enfants. (encore ! c’est de l’obsession !)

Tellement on s’était privé de tout pour pouvoir chez elle toujours à peuprès manger correctement.

§.103.

Rectification. Non pas que je ne sois pas de celles qui attendent mais pas de celle qu’on fait attendre.

§.104.

L’exploration de l’inconscient c’était que le sujet dominant reste en toile de fond et que les gens en parle dans leurs phrases spontanées à l’occasion d’un autre sujet en train d’être discuté.

§.105. Nouvelle Répétition.

On communiquait par ordinateur et je sais qu’à ma mort elle me cherchera aussi par içi ?

§.106.

Entendr des voix que d’autres n’entendent pas.

Le poête, Le fou ou le sage est celui qui comprend différemment qui s’intéresse à un autre aspect de la mouvance autour de soi.

§.107.

Il philosophiquement sait que parfois il sait et parfois l ne sait pas philosophiqument.

Les gens s’énerveraient ils me rappelaient à mes devoirs, à pourquoi faire.

§.108. Enc.

On était heureux avec la même personne mais j n’osais trop le dire  sachant que l’enfermement de l’un sur l’autre à quelle horreur peut conduire.

§.109.

Savoir quel blocage peuvent se placer (régler un problème) c’est donner à sa mémoire (rapport futur à l’intuition) ou l’éclairage d’un moment passé.

La re(cons) titution.

§.110.

Comme Colombo elle se pliait, pour iriguer le cerveau, peut être allonger son dos.

§.111.

La fidélité à l’époux et le transfert que l’on effectue, la force qu’on envie de notre premier parent.

La façon de construire jusqu’au bout.

Enfant je lui apprend quel est cela puisque ma prolongation, la raison première pour laquelle je ma rassemble est là.

Rapport t on – direct.

Procréation.

Existence de l’enfant, soin aux parents.

Domination d’une espèce.

Classe en groupe.

Colonisation.

§.112.

Que le bruit de fond m’acompagne.

Qu’il ne me perturbe pas car concentrer sur ‘objet ou qu’il n’y aide, ou que je travaille ma double concentration. c’est à dire ne plus me sentir perturbée par luitout en le même temps que le pouvoir de régulriser la perturbation provoquée en la recertitude de l’accord entre éléments en paralèlle au troisième élément (objet) qu’on assimile le mieux en ces précis moments. ( Moment précis : inversion injustifiée.)

§.113. Enc.

EGARE – HAGARD.

Ne plus savoir comment se conduire.

Si je veux dire, si on attention est accompagnée et veut communiquer avec un élément éloigné et que perte la même chose celui ci alors c’est en seconcentrant sur un élément intermédiaire que l’échange de flux peut se créer.

Dans ses yeux tu verras ce que mes yeux (nos yeux font de pouvoir se rencontrer.

§.114. Enc.

Ils m’ont fait faire.

de peur d’être pris pour des P. D.

Garçons manqués.

§.115. Enc.

Les coups mauvais qu’on m’avait fait.

Mais qu’est-ce que donc peut bien penser quelqu’un qui les faits.

Au plus amusant, voir l’attitude de certaines personnes et font croire aus autres qu’ils ont réagit différemment, retrace ce qu’il croit avoir tirer leçon de ( et c’est là que se sentait inconsciemment en manque d’expérimentation ils poursuivent leurs gamineries.

§.116. Enc.

Ce que l’on pense des autres.

Ce que l’on manque de savoir sur soi.

§.117.

Tassage de dos.

Comment aurais été grand la presonne si bonne alimentation plus bonne condition physique.

= Enraînement.

§.118. Enc.

Peu importe ce qu’on en disait mais sachnt qu’on ne contrôlait pas, n’avait pas assez d’éléments pour doser ce qu’il fallait et était en train déjà d’avancer.

Alors on prenait n’iporte quelle position sur cela dans le seul but de bloquer, prendre le temps de mieux analyser.

Le besoin d’analyse représnté par les conneries que l’on sortait symboliquement.

§.119.

Ces problèmes à explorer était une question qui occupait l’esprit.

L’esprit qui dans cette perspective pouvait un grain son évoluion contrôler.

§.120.

Charne elle. Chers.

§.121. Enc.

Prendre la responsabilité de ce qui se passait, les tensions alors on con – prenaint.

§.122.

L’élément constituant. Voter régulièrement.

Alors le plus utile a une chance supérieure aux autres d’être sorti.

de la célibrité, et renomé partisan.

Pas de jalousie à cela mais puisque chacun marche vis à vis de ses relations à ses adjuvants opposants.

le lien qu’on conserve aussi comme ceci.

§.123.

Une date qu’on a voulu tellement qu’elle se rapproche et qu’on voit à présent s’éloigner.

§.124. Enc.

Le conflit entre les sexes maintenait la réalité du conflit en général. Symbole des communautés, de peuples adversaires, s’ignorant.

Il tenait de symbole. Le devoir s’enfermer protéger.

Il pouvait faire que chacun à son niveau ressentait le conflit et donc n’allait pas plus loin le chercher – salutir leconflit extra communautaire.

§.125.

Le complexe d’oedipe étaitfaire le deuil de son père et y trouver la force que son foyer lui succède et prospère.

§.126.

Les boîtes noires n’ont plus de batteries mais on sait déjà qu’existeraplus tard un ordinateur suceptible de le réactiver.

§.127.

Les signes les codes, croire en sa destinée, s’y légitimer.

Quand on s’embrasserait et puis que chaque moment on esquissera, je n’avais pas de caleçon approprié, c’est ce moment qui nous choisira.

§.128. Tu aime decidément répéter la même chose des innombrables fois. EX : Les complexes d’Oedipe et de Diane; dans la série a voir et ne plus revoir.

Nous y voilà donc :

Complexe de Diane. Pour la dernière fois !

Le deuil du pére.

En rapport  la sexualité.

Deuil réussit lorsque le mari reprend le nom et le flambeau.

Qui te dit que lorsque je t’ai demandée en mariage je n’aurais pas repris ton nom ?

§.129.

C’est pas que je le prends comme ça (cela : contraction inutile) mais que je le prends dans la façon.

§.130.

– Je t’aime.

– L’amour était de pour la personne savoir, combien pourrait être cher.

Avoir le même bonheur de ce que l’autre permettait qu’il se passe en moi.

§.131.

On ne respirait pas un coup sur deux mais dans le temps (le mystère de la mort nous faisait perdre cette clef de temps en temps.)

On sentait tout ce qui se passait et il s’en passait tellement.

On hurlait, on ruait et s’embêtait bien aussi avec nos douleurs que parfois aussi on pouvaient (Nous pouvions) assassiner.

La vibration de nos gestes, s’entend.

§.132.

COURS !

§.133.

Chaque mouvement séparé d’un même espace, on peut dire de cela qu’effectivement l’écriture reste linéaire.

Les mots ne pouvant prendre d’eux-même leur distance.

§.134.

Je la pensais belle.

Puisq’elle me confiait qu’elle se pensait –    – ?

§. 135.

De quel moment est-on content.

A quels instant foit-on ce pour quoi on se sait fait vraiment.

Surtout quel est chaque fois et n’est qu’une fois où l’on sait ce que celui là doit devenir justement plus précisément.

Donc aucunement.

Et les moments de rêveries,de bien avec ces plus proches personnes, ensemble des premièrement.

De bande age.

§.136.

Avoir un aperçu, une connaissance est un privilège que l’on conserve tant que l’on la préserve de se retourner comme un élément (Soi, l’autre la psychique)

§.137.

On pend sa vertu à penser devenir vertueux.

On pend la notion de longévité, de préservation à renoncer à le devenir;

§. 138.

Mouvement sans connotation est un momentoù toutes les forces peuvent venir se nicher.

Sans avoir a préalablement frapper, déjà connecter.

§.139.

Pas donc connoté permet de toutes les douleurs pouvoir saigner car la douleur est justement ce qu’on ne sait ce qui s’est passé.

§.140. Enc.

Peur de mourir parce que ne plus pouvoir aimer. Et du même coup pouvoir se rendre compte qu’alors on en aurait rien compris.

Regret A mère.

Non mais comme l’homme est en train de vivre le comment il s’est rangé.

§.141. ( Là de nouveau tu te répète ! Caroline. )

On inventait des règles à la cons, histoire de se motiver à trouver laquelle mère à ne plus avoir besoin de labsence d’en avoir.

§.142.

Sa tension lui servait de sensation, d’existence de repère.

Ô rides.

Ô vide.

§.143.

L’exploration de l’art pousse à la découverte, il faut avoir lu dix livres parfois pour que puisse se lier les idées.

Entre chaque mot il y avait le même espace, car à chaque fois tout un autre monde pouvait s’y glisser.

§.144.

Avoir le couage de tout théatralisr comme celui de savoir que le jeu en devenait d’autant plus vrai.

Tout pouvor s’approprier, le prendre comme on le voulait.

§.145

Duand elle ne sait pus trop elle joue à l’abrutitude.
§.146.

Elle repécha j’espère deux fois.

Espérer que l’autre espère.

§.147.

Nous distrayait, nous tenait en éveil dans un monde de mort la jolie.

§.148.

Le prévenir qu’il devait faire faire.

Pratique l’accomplissement de mes pensées propres sa femme.

§.149. Enc.

J’avais besoin que mon vieux puisse changer  celle d’un de mes vieux puisse me conseiller.

§.150. Enc.

impression différentes aux entrailles.

Enterrement des déchets quand on mange moins.

Se remplit de cela.

D’ou peut être une relectance à s’arrêter de manger.

§.151.

Elle, ma réalité.

Me donnait la raison de m’y montrer, révéler.

Il demandait à une des lilas, le jonc.

Leur gars planté.

§.152.

– Tu pourrais appelerde temps en temps.

– Je pense à toi c’est suffisant.

§.153.

Le jeu de l’amour acec ce qui contenait de viscéral attachement, continuait que se fasse nos réactions, qui résoud par points ce qui , les points d’où sort par où passe notre énergie, les accent de sentiments.

Se voir à l’oeuvre. Contrôler.

Se découvrir comme l’oeuvre. Surprise et tressaillement.

§.154.

Dès le matin je pensais à l’appeler et après et après une journée l’esprit tourné vers mon avancé vers le soir à une heure déjà bien avant.

Je pouvais me récompenser.

Je L’appelais une fois, raccrochais une journée recommencais.

Et le rêve m’arrêtait.

§. 155.

Il s’occupait de sa femme.

J’eus du mal à comprendre, c’était une grande intellectuelle lui ne pensait qu’à réussir des barbecues.

Et c’est quand j’eus besoin de son service que je vis que puisque cela ne dérangeait personne que j’y accède, jamais parce qu’il était à la base de dire oui il s’en servirait.

§.156.

Pour me le retirer quoi que comme indélicatesse en cascade justement pas fait exprès je pouvais enchaîner.

Il était rigolo, il était attentionné.

Sa femme toujours en voyage je suis sûre maintenant M’escomptais quand il lui arrivais de penser à autre chose qu’à son travail, revenir dans ses mains l’accompagnait.

Je m’en suis rendu des années après dis-donc de ce qu’elle avait été pour moi

– Rajoute aussi à cette phrase et si rajoute alors comme toujours et à chaque fois.

§.157.

Est-ce que je mangeais parque sachant que je ne lavais les dents, masserais les gencives après.

Le rapport de charme étai un rapport viril ans le sens  le raport de puissance ostensible.

Dont-on se désignait comme cible.

Charme, elle check.

§.158. Enc.

Sa voix tremblait car sa voix tout son corps n’avait qu’une sensation,  n’était qu’une attention celui de se glisser dans mon conduit d’oreille et le soigner ainsi.

Mais pour que cela se fasse puisque en conscience de cela n’était pas arriver à nos esprits, il fallait que ceS mots ( Un seul pluriel ?) ne deviennent  plus qu’imbrication.

Il fallait perdre alors le sens formel de la communication.

Et on tremblait.

A nous de comprendre pourquoi on y arrivait pas.

§.159. Enc.

A plusieurs on ressentait moins d’intimité.

Car la relation moins exclusive. Moins longtemps pour s’attendre.

Le flux sexuel, intérieur se répartissait.

On gagnait sertainement à plusieurs en comparaison première de ricochet des forces, plus le temps d’observer cela, car plus de visages qu’à ce jeu on voit.

§.160.

La jouissance faire l’amour. (à la chaine) jusqu’àce que mort s’en suive.

§.161.

Les pensées.

Echantillonage précis de tout ce qu’il est idiot de certifier.

§.162. Enc.

Le tabou n’2tait pas le sexe mais comment le débloquer. Tout le corps autour, son entretien, son respect.

Tabou par la façon dont il nous fallait travailler.

Une ligne illisible annulée !

§.163.

Illisible annulée.

§.164.

Travailler différentes règles. L’angoisse d’être abandonné matériellement On ne connaî l’abandon spirituel seulement si les autres on a laissé [de se dire je peux changer de femme puisue ma retraite le permet.]

Et pas vraiment puisqu’alors la notion d’époux n’est juste simplement pas intégré.

§.165.

La fidelité permet de vivre le sexe (Oui mais alors sans pluriel ! ) et tout autre chose, se servant des forces différentes sans peine, donc l’un à l’autre fait que la force puisse traiter.

L’époux, une personne pouvant tout les symboles.

Reprouper

Partenaire sexuel.

Partenaire de vie en généralité.

Partenaire de jeux.

Partenaire de réflexion.

Partenaire d’action.

toutes les émotions, le émerveillements, tout ce qu’on considère dans la vie. Pas de perte, toutes les sources d’énergies provoquées pouvanten tout autre direction coïncider.

Un paragraphe sur la pédophilie supprimé :

Il y en a mare de tes conneries, abrutie d’obsédée !

 

§.166.

Il fallait nécessairement qu’un entre en action simplement parce que pour intervenir il fallait soit réfléchir avant, soit avoir l’habitude ou voir comment quelqu’un s’y prenait montrait, un exemple, d’y fait faire comment.

Formule devoir cela sans réaction.

§.167.

Son attention, son application.

Les traits d’un sujet qu’elle commandait.

§.168.

La difficulté que nous traversions.

Ce qu’on pouvait, ce que l’on cherchait comme solution.

Ce que nous en demandions.

Montrions.

Confions.

Drôle de conflit.

§.169.

Sado-Masochisme.

Tu me manque et je t’aime.

Car les gens n’était pas ce qu’ils étaient vis à vis de quelque chose en particulier. Jamais ce qu’ils étaient , n’était isu de ce qu’il avaità tout moment suceptible de supporter.

Il ne voyait personne et pourtant ses rides se creusaient.

§.170.

La recherche de puissance.

L’humanisme de commerce.

A chaque fois qu’un scandale tenté.

me revenait.

Être assez puissant pour évoluer et contrôler.

Donc à terme posibilité de réel équilibre. l’inégalité permettant le rétablissement NON, seule voie, trouver,mais a sa vue établissement d’un équilibre entre les éléments en liaison s’étant avéré.  –   –   – ?

§.171.

Être à elle.

La savoir toujours en moi.

Voilà ce qui faisait que chaque moment devait être traité, pouvait être aussi important que ça. ( Et encore cette contraction stupide. )

Cette force aparenté alors à toutes les forces ce que je devais abriter et puisque tout ce qui se passait prenait refuge en toi.

Tout aimer comme je l’aime.

Tout comprendre et prendre que toute force est à jamais san son pareil.

§.172.

Non pas que l’exercice nous rende fragile, simplement que le poids dans le corps se modifie ain si que notre sens tactile et la façon dont on va se mouvoir puisqu’en même temps se meuve en dedans.

§.173.

Ce qui me tient en garde dans ma vie avec elle, c’est est-ce que je continuerais à trouver les idées qui la changeait du quotidien.

Elle ou être avec elle.Il fallait que rien ne cesse.

Elle et pourtant ce qui vient.

§.174.

L’expérience de l’autre. Ce quon vit d’une situation nouvelle constitue de ce que nous vivons et d ce que l’autre vit aussi.

§.175.

Peut être est-ce une explication à une certaine inertie.

Le directeur de prison n’était pas plus apte que le pisonier à développer son ouverture d’esprit = à trouver des solutions pour que cesse de persister de telle situation en aval, en amont évidemment ceci étaitn la trace que deux être est la même chose en deux versions indispensables (comme le temps découpant une action) à la réflexion.

réflexion – Auto – gestion.

§.176.

Le type de gens.

Pouvoir se dire avec se type de gens, j’ai appris à tout leur mettre sur le dos et qu’il croyait vraiment à ne pas m’arrêter de frapper.

Tous son devoir, l’instint de survie, à ne pas échouer, vis à vis du symbole de ses difficultés et dangers.

Chien blanc – R – Bany.

§.177.

L’entre rapport des mondes enclavés. Puisque marchat avec des éléments peu variés (même si sur chaque éléments l’esrit peut s’entraîner infiniment.)Activités et groupes de personnes divisées.

§.178. Enc.

Alors en regrouppement femme et homme vont pouvoir s’appuyer sur la nouveauté , l’inconnu.

Se nourir mutuellment le soir de ce que dans la journée on a pas vu.

§.179.

Je ne la connaissais pas sans un autre mari que moi. Comme je ne la croyais pas décédé en tant que mari à l’age de 36 ans alors que mon frère en avait 54 et ma cousine trois.

Quelle était donc cet être là ?

§.180.

Je cherchais à recomposer mes souvenirs alors que ce qui me manquait à mon être (à mon être cherchant à vivre ) c’était ce que je pouvais toujours en faire que j’en sorte une impression.

Universelle sensation.

Elle allumait un bout de mon corps qui en allumerait un autre.

Le même essor.

Qui  allumerait une fenêtre au dehors.

§.181.

On ne pouvait dire que des choses fines. Il fallait en discuter d’abord et une fois le sujet, quand on arriverait en des carrefours où chacun se trouvait avec en ain plusieurs routes qui permettent au inter –      – le même ressort, on peut devenir fin = allr plus loin fait à ce qui avait été bâtit jusqu’alors.

§.182. Enc.

Ne pouvoir avoir besoin de personne pour le ménage car chaqueespace qu’on occupait était un espace où c’était notre propre ordre qui primait.

§.183.

La sensation d’amour c’est pouvoir être heureux avec une personne à être comme on est. Mais l’amour à pour vocation de nous  (empoisonner l’existence quand il est trop envahissant.) transformer et alors apparaît  la nécécité de repenser, de réconforterQuels sont les éléments à cette fois faire qu’ils puissent s’embrasser.

§.184.

Sexualité, mortalité. L’expression de notre rapport au corps universel et au complet. Mais qu’est donc n moi qui pet et quiest ce donc qui renaît

La relativité. on se ose mais en prenant e coordination que ce que l’on se dit savoir, avoir la connaissance de soi est entièrement dévoué.

Tout homme est absolu. Vis à vis de ces, ses, données là.

(Et moi je les ab-soud pour peu qu’ils me foutent efin la PAIX !)

Règle, base psychique de tout ce qui vit.

§.185.

L’imagination c’était de n’être plus seul faire à son corps un pouvoir en découvrir tous les reliefs qu’il avait tandis, lors des marches que le chasseur faisait et puis n’être surpris de rien  ce qu’il pourrait rencontrer et puis d’être par tout et partout accompagné.

§.186.

Je me remettais à écrire quand mon poignet me disait entraînement peut

recommencer.

§.187.

L’être comme une machine traitant des infos sans décoder qui foutent le bordel dans l’esprit. Il suffit pourtant d’activer  (tout un évènement)

Cette forme pour que le traîtement correct puisse s’exécuter.

La déconcentration – pensez avoir autre chose littéralement permet qu’il faille encore s’afférer.

§.188.

Le sourire qu’ona vu même une fois sur deux c’est l’attestation du jeu pour soi que tout les évènements de la vie peut représenter.

§.189.

Marcher avec ses faiblesses.

C’est trouver ses faiblesses (et composer un nouvel équilibre) ne se peut que si cet équilibre à traversl’intervention de système de règles on cherche (et ceci jusqu’au trépas.) Une règle est un équilibre et une règle de mieux à chaque fois Instaure un meilleur système de tout dans lesquels change d’endroit, faiblesses, endroits forces et qui pourtant sont tous capitaux car ne sont faiblesses tant qe n’amenait pas à ce qui fait que le système est brave, et qui deviennent forces, outil de la force ou deson renforcemen t (amélioration système ou plus en avant) dès qu’on les comprends.

§.190.

On est pas attaqué tant qu’on tient compte de sa faiblesse sans l’incriminer car l’autre ne voudra rater cet enseignement puisque sa propre faiblesse est alors possiblement porté et porteuse d’attention sans être exploité.

Se débrouiller comment ?

§.191.

Tout les soirs pour accepter de quitter ma vie.

Il fallait que tombe le sommeil. Tous les soirs où pourque je m’en rappelle il fallait que je me souhaite à moi-même une bonne nuit.

§.192.

Ma vie devait tellement qu’on fasse attention. toute ma vie à s’occuper de notre sotie sous la pression.

§.193.

Dand tous nos gestes, toute notre vie nous suit.

§.194.

tel était la manière de se compoter en fiancée. Ah ! Si cette différence puvait-être différemment interprété. Toute interprétation faussée.

§.195.

Souvenirs, émotions. Cec est une farandolle de moments que nous revivons.

L’esprit se berce à l’autre temps. Qui en a décidé ? Le temps qu’on prend et ressaisi à s’exécuter.

§.196.

La poésie.

C’est d’abord exprimer quelque chose en bruit.

Et comprendre qu’il faut le présenter autrement si la finesse des contours, si ce qui se trouve que la chose peut indéfiniement se discuter, si ce qui fait que l’amour est la manière de l’exprimer peut, veut être même –      – travailler, veut également s’y lire, s’y trouver.

§.197.

Pouvoir réfléchir ailleurs.

C’est admettre que celui qu’on emprunte n’est pas son passage.

Car savoir qu’est apellé en des endroits possiblement tout le temps différemment l’homme sage.

§.198.

Le travail laborieux, acharné sur une généralité pemet de se spécialiser.

le déséquilibre apparent de ses donnés correspond par ex dans le cas où on a trop d’éléments à le retourner en avoir pas assez si on décide de se passer sans limite sur cette artie du sujet.

et c’est à l’avènement de l’élément donner que ce relie puisqu’il n’y en a tous peuvent être vu comme fermant ou ouvrant une série.

§.199.

On ne peut pas être prophète en son pays. Car il faut avoir été jeté de sa croyance la plus absolu, la plus vivante, de tout ce qu’on avait crût, prévu, juré.

Pour savoir lorsqu’on rencontre celui qui croît en notre ferveur, travailler, ardeur, celles qui nous donne la force de tout, de tant faire, que bien qu’il faille le suivre, se croire prophète surtout pas.

La folie, la propagation de l’inorance s’évite comme cela.

Avoir vu s’effondrer sa cité et par le voyage.

§.200.

La vie se rencontrait comme ça. (cela)

Le voyage, les cités toutes y sont.

Et, on ne regrette pas.

Et leur ne regrette pas.

Et jusqu’à ne pas regretter.

Puisque’elles reconstruira à partir de tout se constituera.

§.201.

Puisque je n’ai pas moi-même confiance dans ce que mes mouvements peuvent prendre et laisser. Puisqu’il ne faut trouver cela.

§.202.

J’avais mal au poignet. Nonobstant tout ce qu’il avait porté.

Nonobstant tout ce qui l’avait porté.

§.203.

Sans notre agressivité, notre méfiance on cache son enfant. Celui dont on ne vient pas que ni l’ignorance de l’autre, ni la nôtre ne lui rentre dedans.

Or c’est ce qui fait qu’on échange comme cela.

C’est ce qui fait, ce qu’on sait qu’on échange.

Ce qui fait qu’on échange et change et rechange.

Ce qui fait qu’ils sont, on est, que tout naît, quoi !

§.204.

L’infinité dans un simple geste souple peut-être inspiré.

§.205.

On pouvait éviter une question, il fallait par contre à tout prix ne pas l’applanir.

§.206.

Elle essayait les vieux.

Histoire d’assoir, que ne soit pas possiblement relier, remise en cause la maturation, maturité, fondation, fondement de sa sexualité.

§.207.

La connaissance est la montagne menant au cieux si elle est accessible dans son acquisition comme dans sa propagation sinon un monste avaleur ! En échelle sanguinolante un mur rétrecissant, encore des images pour le terme oppresser.

§.208.

J’étais débutante à chaque fois que je ne voyais pas d’où cela venait, où je pouvais me raccorder/

Débutante née.

Jusqu’à croire à tout relier. Et son monde alors se désagréger.

§.209.

Nos corps.

Rien que de la composante humaine.

nos corps se soignait de se mélanger, de s’entrelacer, de se compléter.

Nos corps ainsi se touchant, se rassemblant, S’unifie comble les vides.

§.210.

Ce qui revient à faire que la terre, notre matière revienne à la matière. Quand s’assemblent nos vies.

Quand tu me la redonne. Quand le dessin s’accompli.

Courir vingt ans après qu’est passé le train. N’oubliez pas que l’on se trouve pas forcément ce que l’on cherche.

Les modes ouverts.

§.211/

Le jour où je rencontrais la femme de ma vie. Je ne doutais pas,j’étais reposée.

reposée de tout pouvoir échanger avec les autres. Par elle occupe, assistée, mélangée.

Et puis je n’avais aucune peine à me demander mais toi  :

« Qu’est-tu en train de penser. »

§.212. Enc.

On lui avait prété des dons de sorciers, d’accord.

Mais quand on lui enlevait alors parce que c’est ainsi qu’il cultiva sa place au jeu du groupe. Alors quand on lui enleve. L’impression d’être vidé elle persisait cette fois.

§.213.

Fou.

Rigolo comme tout quand on y pensait tout éléments.

Fou comme tout.

§.214.

Nos gestes, nos télescopes et autres précédents.

Le chemin continuant.

continuaient.

§.215.

Don d’ubiquité.

Le fait pour toi.

Et l’énergie circulera.

§.216.

J’étais contrarié.

Deux fois qu’on se confiait.

Ils partent à se saluer. Qu’est-ce qui donc nous lapait.

Mais le signal de devoir faire mieux. Tout plutôt concrétiser cela s’appellons-ça. Elle ne tomberait pas.

Ne remonterais sous-entendu.

La décision (arrêté)

§.217.

Ecrire pour elle.

l’autre.

La valeur de l’art réside en nous et en cela.

§.218.

Habituer à donner, son corps le faisant de lui même, même au repos.

Actif. chamboulé.

Repos. Actif. Permet.

§.219.

La religion dans son dogme tenait la transformation.

Le regard fixe.

L’application du dogme.

les règles interminées que chacun se forme pour pouvoir supporter la situation.

l’exploration intérieure qui bloque l’envie d’exploration vers l’extérieur ou alors se fait e essayant de reposer ces règles = garder l’identité du groupe.

Groupe essayant de tenir un équilibre susceptible d’y arriver tant que ce qui lui arrive peit être doser donc préalablement légiférer.

§.220.

Sensation produit de l’action. Les nons absordée en une affaire pour que l’autre sente comment se faire absorbés = si pouvoir de regarder mais cotoyer.

§.221.

Le problème quel est cette force que vienne et vienne et pour cela dissocié – associé résultat même à la conscience du troisième.

§.222.

Faire du bien à l’un.

Relié par la pensée, le souvenir.

C’est lui permettre de pouvoir.

La sensation recommencé.

(je n’ai pu avoir du bien,au cordon qui irigue mon oeil je ne savais qu’existait.)

§.223.

Le téléphone c’était pour crier.

« Merçi mon bien ! »

Avant de décrocher

– Je t’aime.

Ah ! Excuse – moi ce n’est pas toi que j’attendais.

§.224.

Il était normal que pour sentir quelqu’un on reproduise les mêmes gestes que l’on fait habituellement.

L’-               – comme étant un moment sensoriel fort où à faire vibrer son corps et le corps de l’autre on s’apprend.

L’-               – est rechercher cela seulement.

il leur fallait des sièges mous car stabiliser leurs fesses dedans était tout ce qu’ils faisaient.

§.225. Enc.

Je prenais conscience de la mort de pépé. Parce que plus les années passaient plus je me disais en voyant les vieux hommes non ce n’est pas son age mais 20 – 30 ans de plus il aurait.

Ou alors pour celui mort plus jeune.

Je voyais les gens du même age que lui naguère vieillir alors que l’image que j’avais reste inchangée.

Ou bien mon propre corps qui m’explique comment mort naquit.

§.226.

Rééquilibrer était faire appel à une autre contrée rassembler – ressembler.

§.227 Enc.

Ces quelques trucs intelligents permettait à l’absurde de se maintenir assez longtemps pour comprendre comment pouvoir faire pour que l’environnement transmettre.

§.228. Enc.

L’incidence de penser quelqu’un l’être.

Être – Etat.

Et la pensée, et la réflexion.

Et la vie se figea.

§.229. Enc

Elle.

Le pourquoi ma vie il était.

Il y était.

Il y avait.

§.230. Enc.

En maison de retraite.

Les vieux s’occupaient des vieux.

§.231.

Cette impression de n’avoir pas assez de souffle pour l’aimer.

Ne pas comprendre que l’aimer était déjà être en elle ou que ma peau par elle goûtait.

En avoir le souffle coupée.

trop court de croire toujours que c’est lui qui en déciderais.

§.232. Enc.

Elle rangeait ses objets avec tout l’amour que je lui savais.

Et à chaque coup la chaleur de, mouvement qui lui avait ranger quand je devais le reprendre. Son mouvement le mien accompagnait.

§.233. Enc.

La tenue recouverte.

le nombre de kilomètres parcourus comme il aura fallut pour chaque service rendus.

§.234.

La réflexion. Le couple.

celui qui avait un  regard intérieur et celui qui avait un regard extérieur.

§.235.

Obligatoirement confondus si le regard ne meurt.

§.236.

Insurgé, le jour d’un véritable mélo.

Il ne faudrait personne manquer et que tous puisse être respecté.

Une façon de petite nécéssité arrêté de penser qu’elles et une réaction de liberté.

§.237.

L’homme ne pouvait se percevoir que dans ce qu’il reconnaissait de lui en l’autre. Ce qui obligeait les gens à ne cesser de communiquer, ce se considérer sinon c’était le lien à eux-même qu’il perdait.

Le lien entre les gens c’était nos grands parents commun qui circulaient. Le poids de l’histoire pour chacun parlait. Se déssolidariser De un était le travail de pous manier.

Ce lien entre nous transportant l’hitoire de l’humanité.

ce par quoi on était et continuait. Les traces, notre bien commun. ce par quoi d’un commun jet l’on pourrait s’évaluer.

§.238.

On s’appuyait sur quelqu’un, s’inspirait de son énergie mais aucun des gestes effectués ne l’était par toi ou pour lui.

§.239.

A un oublié.

Tu iras loin !

§.240.

Ce qu’on appelle sentiment est ce qu’on partage (et intelectualise, nomme, met en relation avec expérience et espérance, expectative.

Avec l’intention ou/et la liberté de maîtriser cette visible, palpable, sentie mise en commun de l’énergie.

§.241.

Humain.

Hu main.

Hume un.

Hume une.

J’hume les.

Immune.

§.242.

– Ce que je pense de ma femme.

– J’ai tiré le cocotier.

§.243.

J’avais pensé à lui simplement parce que pendan des années. je croisais un panneau portant son nom et que sans ce nom là je ne connaissais que lui.

§.244.

J’avais cassé son vase. En pensan à elle. Mais c’était une mauvaise ocasion de lui faire remarquer en cette occason là.

§.245.

Être en couple et pouvoir garder ces journées où le silence ou plutôt le son de chaque mouvement étai ce à quoi dévolument onparlait.

§.246.

L’idée en commun permet le verbal.

§.247.

Des gens qui se damne pour de l’argent pour des affaires.

Le jugement à été inventé pour faire croire qu’i ya bonne façon d’être intéressé.

§.248.

Perte en frivolité. Chaque montagne qui de nos mains ne sortait.

Perte en évèement, si de montagne je savais qu’il n’y avais.

Perpétuel en son mouvement.

J’aillissante la pensée.

Là, là à tes cotés.

Rien qu’on ne puisse rater.

La conscience a l’espoir comme just met.

Autrement est-on silencieux.

§.249.

Se connaître mieux que personne.A penser des centaines d’erreur.

Après jamais à toi.

Et un seul de tes pas pouvant regrouper cela.

§.250. Enc.

Sept vies !

Ou la vie selon moi.

§.251.

Je regarde le sel comme une boule de cristal, m’aime, même pas.

§.252.

Le partageable.

Comme l’exorciste appelé le mal de soi palient par comment les gens voyait, expliquait leur douleur  eux.

Les hallucinaions, le sentiment de corps divisé ou éclaté traduit l’explication du rapport au corps qu’on de tout les gens.

L’explication pour la pathologie de ce qu’il m’arrive à contrôler, à trouver un sens, une utilité.

c’est ainsi que tout le mnde le ressent puisque les explications peuvent se transmettre = font apel à un vécu commun, perso.

§.253.

C’est à dire qu’on ressent ça tout le temps, mais temps qu’on trouveune manière de le replacer dns un contexe, une mécanique de vie sociale. On ne parlera pas de pathologie. on ne cherchera même pas à se demander puisue là repose sa situation dans le fait qu’on puisse prendre de nos certaines capacités pour pouvoir les exploiter, donc se définir par une autre particularisme donc ne pas avoir sentit peser cette apréhension de sa réalité jusqu’à la définition d’autre chose ou le maintien occupé.

§.254.

Le livre était ce que je suis, me pemet d’avoir une une sur ce que implique la vie et d’avoir une écriture, intervention dessus.

§.255.

Un avis critique en tout cas une implication une interaction qui va me mettre en état d’esprit de recherche de l’autre, de progression.

§.256.

L’auteur répertorie ces moments de vie.

La confiance (de simple fait de pouvoir vivre avec l’autre) est le début de la chaine du constant.

Le chemin de la réflexion ou de l’action débouche sur une possibilité de montrer ce qu’il se passe, puis de parler, de montrer, mes expressions, et puiqu’être sur de son existence (conjuguée par un second ) le vivre pouvoir le recréer. Le croire, et partir de primauté qu’elle se rattache à un système visible par plusieurs éléments, alors s’en servir, le demander , le démontrer.

§.257.

L’homme énervant, tel le moine le sexe ne connaissait pas.

Relation harmonieuse à l’intimité à une personne donnée.

Peut-être le tabou persistait-il pour ça.

L’indicible, l’évènement personnel particulier. La vie nous a été donné.

§.258.

Être un(e) autre.

Se réaliser à chaque fois que je pouvais être sienne.

§.259. Enc.

Les visages que je connaissais comme faisant partie de moi même déjà j’avais intégré leurs traits et plus profond en eux pouvait aller ou alors n’avait pas besoin de les saouler pour les sentir ou alors savoir qu’on se sentait et pouvoir autre chose (ce qui nous échappait naguère à deux déceller.). Ou avoir tout le temps à partir que les éléments savaient où ils étaient postés établissant un peu sur le quel l’action peur reposer.

Alors sur lequel l’action peut reposer. ALors sentir ce que globalement cela fait également d’unmême lieu en changer l’impact.

Continue autrement les effets.

§.260.

Les heures froides coulaient. L’avais-je rendu heureuse, Les heures des temps des plus reculés. Peut-être étaient-elles la degradation de l’éternité.

§.261.

Il me fallait toujours démarer les choses le plus tôt car ainsi le temps en avance restait pour celui pas calculable (= préparation pour départ mais venant une idée et le &:’ d’heure pour la longer et traîner sur papier. Ce temps avant que je perdais, ignorant qu’une constante préparation il me fallait passé et d’autant plus fortement qu’il, pour soi à ce moment là, comportaient l’essentiel.

Les revivre, les recomprendre, l’essentiel repris par l’essentiel.

Inépuisement.

§.262.

Gérr ses pensées. Traiter une pensée. S’exemplifier et pouvoir faire suivre son fux par ce fait.

§.263. Enc.

Avoir, n’avoir pas. les codes des gestes sur cela basé.

Cette préoccupation commune fait que la communiation infra-verbale peut-être individuellement s’opérer.

§.264. Enc.

La pensée; L’art, la mémoire.

Cette faculté que chaque geste pouvait être fait en l’honneur en liaison au passé.

Liaison = identité = mémoire + nouveauté, futur possibement constructible.

§.265.

Différent entre sexe. Compétition. Sexe, corporel. Possibilité dans l’exploitation du corps. Pouvoir sur possibilité. Combat la peur de l’extérieur, fascination, devoir donc de sacrifice vers cette rencontre prophétique ce plus de cohésion du groupe car fascination de l’ainée vers l’intérieur (retour du guerrier)plus neutralise le pouvoir car exultation des corps dans l’option conjugale. Le corps entier comme symbolique de l’enfant ou du coup de métier.

La spiritualité était le spirituel car à tout il amenait sans cette force là exploitée.

§.266. Enc.

Chassée croisé. Force exploité entre regroupé.

Femme sur femme.

Homme sur femme.

Mais pas dans la perspective individuelle.

Couple.

Emporté.

Force exploitée entre couple.

Femme et homme.

Mais pas dans la perspective de corps de métier connaissance.

Règle respectée.

Pouvoir.

§.267.

On vit d’avoir le droit de répliquer.

§.268.

Le relationnel, le sentimental tout subjectif donc croit-on. Aimé une fantasque. Sauf rapport au pouvoir, être contraint.

contrainte qui pousse à élargir notre relation fréquentations de domaines.

§.269.

Si je suis coinçé. Ne peux réaliser, alors c’est que j’ai avant cela (et donc transformation contrainte.

Transformation objective.

Pulsion.

Forme.

Nature.

Quelques choses d’autres à assurer dans le monde de mes compérenes conduire.

§.270.

Télépathie.

Même object même si route éloignée pas besoin de s’appeler.

Sauf pour infos qui aiderais routes réciproques.

§.271.

Je pensais à elle. Cette énergie me portait.

Allezcretine tel à la femme.

§.272.

Changement et instabilité temporel = apprehensions.

§.273.

Séparation des sexes = séparation des expériences dans le contexte pro.

éviter le rapport fusionnel.

§.274.

Travailler en couple et nepas tout se dire dans la seconde qui vient comme un rituel.

§.275.

C’est éviter l’impression de, s’être porter soi même.

§.276.

Toute discussion. Interruption d’une unité défi relevé = deux éléments capable à terme de se combiner à d’autres et de se reconstituer ensemble.

§.277.

Ne pas s’adapter, sembler se relier alors que c’était déjà pour elle et tout ce que je connais que je faisais c’était oser (se ) servir de ce que notre union s’était déjà donné. Avançé.

Ma femme. Ma maîtresse.

§.278.

Fantasme.

Se raconter des histoires au lieu d’affronter la problèmatique. Fantasmer.

Construction personnel d’un thème.

Voir comment on réfléchit, réglerla problèmatique.

Apés avoir compris son fonctionnement pouvoir décrire celle que la vie nous soumet.

§.279.

On sera aussi indépendant que le complément rend complémentaire complétement. On pensait et se dépensait pour l’autre, Srvir toujours plusieurs mots déjà écrits nous rendait conscient de cela. Permettait de l’utiliser, de l’exprimer.

§.280.

Efficacité.

Il n’y a pas de preuve d’amour puisqu’aimer c’est ça.

Cessa.

Cesse ça.

§.281.

C’était pouvoir que ne viennent en pensée tout ce qui s’était pensé.

§.282.

L’aspect de la tradition, se révèle dans l’image de la femme mondaine seule (affranchi ?) ivant au volant de sa voiture. Image limité à ce qu’on voit de la vie des gens. (Dns leur situation professionnelle) La famille, aux –      – –      ?

Forteresse qu’on essaye qu’elles ne soient déserté.

la vie –         -. La liberté à tous.

§.283.

La mysique c’est elle non pas comme monde de l’invisible, mais notre avancée quasi muette, inavouée mais sensible.

§.284.

J’évit de la penser mienne car j la penserais contraire 100 kilomètre aprés.

La penséenégative entraîne la pensée positive.

La religion entraîne ç ce que tous est la même, c’est à dire penser quelque chose mais en évitant d’être duel.

Bourrage de crâne et retournement par accusation et jugement.

§.285.

Pensée plus ou moins instable. Mille ans de religion, bourrage de crâne.

souvenir, le temps qui passe et les pensées ne sont plus raccrochées ?

Maintenant q’on a réfléchi à ce qui les a amené, la réflexion est un acte d’écervelé.

§.286. Enc.

La tension quand je pense que tu ne répondra pas. Le sourire quand je sais que tu sera là. La société établie, obligée, évite à l’individu de vivre ces drames là.

Drames qui le rendent romantique, prêt à tout ou à n’importe quoi. Attaché comme un fou à la vie ou ne trouvant plus goût en quoi que ce soit. Société donne des rôles inchangeants et l’individu ne peut plue jouer avec cett pression là = découvrir la propre subversion en soi.

Laquelle il réappliquerait illico.

§.287.

Les filles parlent à crevette.

les gars parlent à zézétte.

§.288.

Histoire de sa libido.

§.289.

A un homo.

– Pourquoi n’est-tu pas marié ?

– C’est un mélange d’histoire.

§.290.

Littérature Par rapport à la mise en scène = ce que voit le héro.

est-ce qu’il (l’ ?) est.

La période dans laquelle il est plongée, INTRO au surnature.

§.291.

Est-ce qu’il est. la périodedans la quelle il es plongée .

INTRO en surnaturel.

§.292.

Le sentiment sert à voir, à se remplir d’un contexte que l’on imagine et dont on se remplit.

le sentiment comme identité, ientification du soi. Parce que les pensées me sont encore un droit.

Alors on trépigne au lieu de déplacer montagnes et autres copines.

Sans frein.

S’enfreind.

§.293.

Le stéréotype comportemental mouvement que javais :

Quelqu’un.

Métier.

Pairs.

Famille.

Le même car la même ie est état de suit et état d’esprit.

Je recétais.

Classification sociale. Pas bouger.

J’en mangerais.

Oui ben moi pas tous les jours.

§.294.

Famille unité.

Famille d’ unité.

§.295.

Être une famille est ce qui dominait.

Famille de, et corps de métier.

§.296.

Nous avions vécu un tout ensemble. Chacun de nos gestes on connissait pour avoir été libérateur ou ligéré après.

Tout en nous se rassemblait.

Peut-être que la coordination à tout prix du groupe, l’existence même d’une société est-il voué à cet effet.

Penser à elle revenait à méditer car tout à son empreinte J’avais identifié.

§.297.

Affirmer le sexe revenait à dire que tout groupe pouvaient entre eux procréer.

§.298.

Ceci permettait d’être Calmer qar tout les éléments déjà connus et touchés plus en profondeur à l’inverse que de retr des éléments ou éléments pas encore traités et l’orreur qu’un peut l’atteindre.

Damné.

§.299.

Être toujours prêt était ne pas avoir à compter l’heure le temps dépassé. Alors qu’être première vue, en une pensée, une action, deux pensées était le relier. La vie articulée.

§.300.

Lesbienne ?

Par ce que   !

J’ ai toujours été étonné par l’étroitesse d’espit des hommes qui ne s’était jamais demandé si un clitoris et un vagin, ils ne s’en étaitpas privé et ainsi que leur femme dans la sexualité.

§.301.

Elle m’avit dit : Je t’appelerais lundi.

Elle appelerait.

Ell appelerait,

Ou un autre jour.

Ou pas

J’y réfléchirais ou ne fléchirais pas.

Les Einsteins naissaient comme cela.

§.302.

Il lui donnait sa bonne dico.

Mais tandis que l’autre bout et l’un baissaient les autres pouvaient profiter du moment, admirer sa technique, en prendre de la graine y rajouter leur grain de sel.

§.303.

Il m’avai fait un –  – en trois minutes.

Ainsi saisi ce que j’avais du mal çà saisir.

Cette aide dans mes plans rentrait à chaque fois.

Ce qui m’évitait d’être bancal. Ou le sur quoi pouvait danser, pivoter, se grouper autrement mes pensées que pour ma manière par défaut de le présenter.

§.304.

Art.

Relation.

Penser à la vie du compagnon.

Permt conscience- utilité, distance par rapport au soin.

Analyse.

§.305.

On m’a dit qui tu é t ais.

Don Juan est mort.

tu es.

} COULEUR.

Tuer.

Ne sont pas abstractives !

§.306.

Qu’à cela ne tienne.

§.307.

Chacun étant artiste à souhait dans sa vie.

Art et limite soliste.

Puisque dans chacun de nos gestes, toutes la gravité et, psychologie pouvait-être pensée, transvasé.

§.308.

Conscience = dosage.

Conscience d’être = s’élargir, se rassembler.

Soi plus Toi.

Moi – Autre.

§.309.

N’avoir toujours pas compris que c’est une question de point de vue.

§.310.

Se sentir être un oiseau.

Parce que sentir des ailes sur son dos, le soulever.

§.311.

La crainte vient de perdre l’affection.

D’ou conflit remettant à la nécessité sauver la vie.

Tous se regrouper, communiquer, se concentrer, s’opposer.

§.312.

Combien lui avait-elle fallu d’heures pour arriver à cette décision et combien pour s’y maintenir ?

§.313.

La couleur.

Quand on pense que toutes les formes naissant d’elles dépendent simplement de comment la lumière est vu par notre oeil.

§.314.

Le roman est une succession de lieu où on naît.

Ls héros e était transbahuté de ieux en lieu.

De continuer à respirer dans l’espace donné est l’enjeu à chaque fois.

L’idée d’appartenance au groupe justifie notre traval être repris,compris. On se repose sur cette idée. Pour que la dynamique ne se sente collée.

§.315.

S’organe – iser.

§.316.

Pour ne pas s’user il fut porter ce qui nous porte.

Avoir la force de soulever.

§.317.

En quelle manière je m’arrange pour que se passent les chose comme je l’avais défini que les sines m’avaient dit. S’accrocher à eux, plutôt qu’aux conditions, qui semblent par les autres, et leur vélléités, données.

§.318.

L’artiste.

Chercheur de société.

Ecrits sur les sujets qui lui sot confiés.

Que les Problèmatiques ont laissés, les questions que l’on ramasse su le chemin autaut que ce que de s’en charger est la condition à ce que le sentier révèle un peu plus pa ou il peut continuer.

Le problème soulevé.

La quête, question et accessions posées.

§.319.

L’on avait mis des noms, non pas parce quon n’était pas amoureux mais le temps de voir comment chacun considérait ce qu’était un couple.

§.320.

Lui parler de tout cétait s’accorder n’avoir aucun tabou, pouvoir prendre n’importe quel fait pour naturellement puvoir disgresser.

C’était se parler à soi-même, mais ainsi on conservait le faculté de pouvoir ou d’avoir en tête de tout à expliquer.

C’était ainsi que chaque chose des choses que je vivais, je savais pourrait lui être conter, ou lui avait été déjà raconté.

Me mettait en relation avec elle, chaque chose qui se passait.

§.321.

Elle s’était me dire que peu importait si ma vie entière n’avait rien était à coté parce que toute le force que j’avais charié (quoi qu’on en dise) ses mains le retenaient.

§.322.

Que je lui parle de cela et ainsi si avant elle ne le disait je pouvais être moi sûre que je l’aimais.

§.323.

Je suis amoureux de toi dans le sens où que lorsqu’amoureux on ne compte pas.

Son temps et tout les termes qu’ils soient.

Elle me parlait et je lui parlais, à réutiliser les mêmes phrases que moi.

Qu’avait-ele compris que je voulait en dire.

Qu’avait-elle compris que cela pouvait dire.

Et maintenant comment les employaient-elles.

Qu’est-ce qu’elle inspactait ou croyait ou savait-elle de sn monde.

§.324.

Les gens jetaient allègrement les plastiques dans la forêt ou là où ils se trouvaient.ormat ces objets n’apportaient pas le bonheur et ça ils l savaient. Leur désuétude, notre pollution le rappelaient.

§.325.  Enc à l’ inititive de Daniel.

Que je dise, IL !

Que je dise, ELLE !

C’est toujours le même individu : Qui m’y amène.

                                                Qui me convienne.    

Celui que je choisis.

(Tout tes écrits deviennent : On ne peut plus clair !) D. PF.

§.326.

Quelqu’un que ce soit quand j’explose quand je trouve me verve.

On bien quand il me voit me débattre pour trouver quel enchaînement de pensées me rera posséder mes chaînes.

Quelqu’un qui sache ce que je cherche sans cesse pour accepter mes creux.

Quelqu’un qui les comprennent.

§.327. Enc.

La pensée s’arrête là ou commence l’émotion.

L’émoton obligatoire qui contrôle sensoriellement si on est suivit compris, et pas mis en danger dans la présente situation.

§.328.

Sursauter et l’action de mettre ses muscles en marche pour se protéger.

Quand on est en pleine rélexion et qu’on remet à tout son corps par le sursaut on sent que le corps est un squelette, enveloppé de muscles protégant des joncs, où affluent du sang.

On sent l’armure que le corps est !

Ce que suppose la transformation interne et sa relation à l’extrème sufit pour se condirer comme son propre d’expérimentation.

et de savoirpar là pouvoir tout supporter, c’est à dire ne devoir reculer devant rien. C’est à dire à dire à partir de ce qu’on voit, avoir , que soit préservé la liberté totale du choix.

§.329.

Ne pas se sentir ensemble à l’univers en entier comme une de ses apparitions ou ne pas sentir l’autre comme étant ainsi.

La sensation de sa, d’une fonction, d’une action vis à vis de ?

Réponse : Une adéquation entre ce qu’on sait des besoins impératifs et de ce qu chacun peut chacun peut combler de ceci.

Ne pas sentir l’un, ne pas sentir l’autre.

Parce que ce rapport d’équilibre entre les besoins et donc éventuellement nos besoins, de nos aptitudes à nous mener plus loin doublés.

§.330. Explicite aussi ce §. D.PF. Enc à l’initiative de Daniel.

Le mensonge.

Je ne vous l’expliquerais pas.

N’en sachant pas plus.

Il fallait être à plusieurs pour maintenir l’intelligence.

Il fallait de l’intelligence pour maintenir le choix.

Il fallait le choix pour maintenir la dualité.

Il fallait la dualité pour maintenir la naissance.

Il fallait la naissance pour maintenir ce qui crée.

Il fallait un créateur pour maintenir le suivi.

Il fllait un suivi pour maintenir la raison.

il fallait la raison maintenir, pour recommencer.

Il fallait recommencer pour maintenir le désordre.

Il fallait le désodre pour maintenir la réflexion.

il fallait la réflexion pour maintenir le chaos.

Car chaque raison ses raisons avaient.

Le chaos c’est quand on peut encore parle de différentes unités.

Qu’est-ce qui tenait le chaos, et largement enchevêtrés.

L’infini s’appelait.

Et ne reposait sur rien si le cercle se fermait et permettait de ne rien contraindre.

§.331. Mêmes Enc : ensembles dans le manuscrit. 1.

Et qu’est-ce que la connaissance de l’infini créé ?

 

§.332. Mêmes Enc : ensembles dans le manuscrit. 2.

Le temps.

Le temps de la conscience.Comme mes actes s’imprégnaient.

Comme il y avait des naissances que l’on constataient.

Je savais que le temps en n autre endroit avait quelque chose, autre chose continué puisque mon souffle en mon corps et hors de lui naviguait.

 

§.333. Mêmes Enc : ensembles dans le manuscrit. 3.

Les couleurs naissent de la même lumière.

La lumière c’était tout ce qu’elles désignaient.

La surface des choses leur profondeur n’étant que couches supperposées.

Comme les couleurs ce n’était qu’une histoire de point de vue si on croyait on si l’on pouvait saisir ou non un object.

Rapport de lumière, rapport d’épaisseur, rapport de condensé.  1. 2. 3. Fin d’ Enc triple.

 

§.334. Enc initiative Daniel.

Ne pas choisir sa femme.

Ne pas avoir de relation à soi,à l’être avecelle.

Faisait qu’il nous restait plus que sexe pour nous nreprésenter ce que l’amour était.

Et en lui toute notre tristesse, et ce qu’on avait pas réussit à boucler de notre rapport amoureux au monde était.

Sang larmes.

sans l’arme.

Lymphe.

J’étais perturbé dans mon travail par certains, ou pensées intérieures à chaque fois que je ne comprenais pas le travail que je faisais.

Lecture. Soit que je n’avais pas compris un mot soit qu’il aurait fallu que je saute des lignes pour passer mon temps ur d’autres textes (selon objet) car infos importantes ailleurs se trouvaient.

L’important c’est.

Ce que je couperais.

Et ne cessait.

Et ne m’y aidait.

Oui nous sommes d’accord tous les écrits ont été mélangés par paragraphe selon ce qui arrivait. J’avais compris depuis pas mal de temps, mais pour ce qui est ; Que tous je te les reprennent et remettent à leurs places tu peux leurs transmettrent qu’ils ne leurs restent plus qu’à se chatouiller, jouer à touche PIPIS.

En un mot plus clair ils peuvent se branler ! D.Porteboeuf.

 

§.335.

La différence c’est qu’elle n’y pparenté.

Et que moi pas.

§.336.

Travailler pour sa matière.

Permettre au temps de n’avoir de prise sur soi.

Puisque chaque moment permettait cela.

Et le moment d’après allant de soi.

§.337.

Regarder quelqu’un dormir peut faire partie du bonheur.

Il me fallait trouver les mots comme les disaient ma mère pour arriver à les en sortir.Et à retrouver ce qu’ils supposaient, leur vibration de res-sentir et donc d’appaciacier, d’analyserce qu’ils me faisaient.

Qui n’était fait.

§.338. Enc initiative Daniel.

Je n’étais pas sévère avec lui, mais ma sévérité acclamait, honorait.

Puisqu’elle m’aidait.

Puisqu’elle m’aimait; (Fait gaffe à ce que tu dis tu sais que je suis jaloux. Alors parle de moi et écrit IL M’AIME ! c’est du présent de l’indicatif chez moi pas du passé.) Ton DANY.

§.339.

Les lois.

Le relation.

Chaque geste n’était pas destructeur car mettre au courant l’autre du monde qu’on croyait était l’intention qui régissait.

Croire – croix – s’enrecroiser.

Aux quatre coins répartaient.

A tu toujours une différence.

De toujours à jamais.

§.341.

Cela me rendait malade de penser :

Ne pas le faire me tuait.

§.342. Enc initiative Daniel.

Mon écrit (Mes écrits) n’était (ent) pas pareil que mon parlé (pas le même que mon langage),  car de, à différentes choses ils s’appliquait (car ils partaient de différentes origines éducatives) et l’un disait à l’autre ce qu’il avait négligé.

§.343. (Ce § tu déconne)

– Il n’y a pas que moi !

– Si !

– Si !  Moi il n’y a que toi.

– Dit moi qu’il n’y avas que moi !

– Si !

– Toi aussi dis moi !

– NON  C’est moi qui a eu l’idée.

§.343.

Ëtre amoureux.

Recomposé l’absolu.

Quoi qu’elle était.

La ferveur.

Qu’est-ce qu’alors je ne comprenais.

Et l’amour qui m’amenait.

L’amour.

Donner les clefs.

§344.

Ma mère m’appelle. Elle se trompe de phrase.

Sauf que celle-ci ele me dit, cétait celle qu’il ne fallait trouver.

§.345.

Je suis malade.

Il n’avait pas encore compris que le regarder dormir me nourissait.

§.346.

Aimer c’est pouvoir se dtacher des autres choses pour plus rapidement s’occuper. Efficacité.

§.347.

L’étroit de l’état l’esprit que l’idée jaillissait.

L’artiste tenant l’outil.

L’esprit de tous n’ayant plus qu’à l’utiliser.

L’état d’esprit que nous pouvons nous consciencieusement, regrouper.

inconsciemment, chacun à toute époque ayant les mêmes propriétés.

§.348.

Le rapport au corps fait que nous avons de tout temps le même problème à régler.

Un gros bouffe tout.

Dans cette automatisme.

Des choses à broyer.

§.349.

Cette vie de choix pour laquelle on se posait la question mais pourquoi ai-je fait si où ce qui consistait plutôt à se demander mais quand serait-il si j’avais procédé différemment que cela.

Parce qu’autant de raison, mais se demander rétrospectivement est enlevé aux hoses cela.

Ce qui n’est plus un choix en revanche étant de continuer selon ce qui se passa, l’amusement au plus près pour que soit préserver les raisons et suites de la même cuvée.

Cette raison qui nous permet la force, la travée pour les éléments voulus (et à chaque fois différemment conçus, avec le temps :

S’entretenir.

Cent-tenir.

Sang ternir.

Sans terne ire.),

retrouver.

§.350. Enc initiative Daniel.

Voilà un exemple de la diversité de tes textes. Le sport + le sexe + la philo + l’amour + la psycho. pour les trier comme prévue tu repassera.

Tendre les parties de son corps jusqu’au point ou leur étirement est en train de progresser = conscience du point jamais auparavant atteint l’assouplissement permet de garder la conscience du corps permet d’être prêt à l’attaque.

Tension porté sur ce point qu’on s’occupe à dérouiller c’est à dire occupé à tout son doigté et équilibre.

Mesure.

Poids.

de la force qu’on met.

§.351.

J’aurais voulu qu’elle soit ma femme simplement car comme cela je savais me littérture protégée.

Je pouvais mourir je savais qu’entre ses mains, l’écriture aurait simplement changé de mère qui portait.

§.352.

L’auteur face à son lecteurvit comme leprince charmant puisque inspiré des choses que la muse lui a délivrés ; l’écoutant.

L’auteur vit son rêve.

§.353.

Le temps occupé à trier est du temps en moins.(Dont acte Au-dessus.)

Car il es nécessaire à le comment on peut repenser. La base même de comment va-t-on s’organiser, après pour le couper.

Ne fabriquerions nous pas. Pensez-cela.

Synthétiser = procédé de l’invention

Je crée un système d’un système, je rends opérant un mécanisme qu’au cours de mes expérience j’ai pu repérer.

§.354.

Qu’est-ce qui avait de comparable entre moi et elle (son ex).

Puisqu’elle était présente dans son argumentatif. (argumentation idiote)

§.355.

Elle me refusait cette soirée là / Malade raison indiquée.

Et moi d’éprouver du bonheur à la voir dormir, à pouvoir m’occuper d’elle, la veiller, quelles justifications pour cela il me fallait.

§.356.

J’omettais de ui dire à ce soir car sans elle plus un soir ne se passait.

Pas est.

Pas sait.

passe et.

Noé.

No wom.

 

§.357.

La transition. non pas que l’époque, la personne, la logique ancienne passée. non pas ce qu’elle représentait comptait plus symbolisé comme ça on comptait l’absence, et puisqu’il était dans le but et la fonction de tout les vivants que la mémoire ne puisse se décrocher. C’était se renre un hommage discret.

§.358.

Prendre conscience de soi. Savoir écouter, être ressenti, se compléter dans l’accomplissement à l’autre.

§.359.

Je savais que c’était elle et ne voulant pas craignant comme la mort de devoir retomber amoureux si cela ne marchait pas.

A- D- Je voulais à cela, était prêt à y mettre ma vie pour que cela ne rate pas.

§.360.

Elle avait bloqué tout mes efforts, tous mes espoirs, toute vie l’énergie, l’énergie mis à penser qu’elle allait être une vie.

En résumé j’avais en relief  les mots, dégoûts, écoeurés.

§.361.

Un espoir trouver l’âme soeur.

Une pensée pour le sexe bien baveux.

Un truc qui me rappelait que pour continuer à bander il fallait âtre performant.

A défaut de l’être pour, vers elle seulement.

§.362.

Le dévouement nous apprenait la merveille tout le temps.

et aussi qu’on ne faisait rien d’extraordinaire puisqu’on se trouvait dans le vent m’apprenait le temps de vivre cela. Le temps qu’arrive ce temps, ce temps nécessaire ne me dérangeait plus. J’aimais la vie et plus rien n’avait l’air comparable comme cela.

§.363.

Sentiment de culpabilitéVis à vis du suicidé. De toute façon la mort ne peut s’éviter.

Notre amour. Comuniquant en notre tréfond. La force et la continuité. Sous quelle forme on le ressentait.

Que âme et prise de contact. Comme l’était la preuve d’amour, de créer à deux notre façon pour que se suive et se poursuive le flux.

§.364.

Croire en la maturité.

Respect du vieux, de l’apparente fragilisation de la nécessité de réfléchir et désintérressée protection.

§.365.

Croyance en l’espèce.

Admettre dans le mot maturité, le mot humain. Un homme, dit-on, une femme            Le mal fait et celui qu’on croit par ignorance avoir évité. Qui par son esprit aussi acerbe soit-il, nous préviens, donc nous protège du déclin. (Très positif, et tu parle de qui ? –  –    -)

§.366.

Retergiverser. Ce qui faisait du mal C’est de penser qu’en un mot tout pouvait changer.

Or ce n’était pas le mot qui était à trouver mais tout le temps pouvoir faire qu’il puisse arriver.

§.367.

Séparation des sexes.

Séparaion comportementale.

Aimer la personne habilité, habitué à s’émouvoir, à se sentir déirer par l’autre style.

Comprendre par ce qu’on comprend d’elle et de son regard pour les autres du même genre que soi, qu’elle s’émeut des gestes de l’autre qui est là = au gestes de moi.

= Oui il se peut qu’elle me veuille.

Il se peut qu’on me ressente comme étant un bon gars.

§.368.

Ses feuilles se remplissaient de petit tirets c’était son code à lui conséquence qu’il avait en tête le mot qui convenait.

§.369.

Il faut que e sois sûre que tu m’aies dit peut-être.

( NON L’amour c’est sur et certain ! )

§.370.

L’effort du détachement, la profondeur du dévouement. Et c’est dans le dévouement qu’on se trouve être au dedans.

§.371.

Elle savait le doute en moi, car le doute est. Et usait de tout le stratagème pour my jeter. L’idée de se rendre compte qu’on se trompe une fois à juré nous faisait trembler. Je connaissais son amour pour elle; tant et si bien que je savais ne pas offenser.

§.372.

Je savais que mes espoirs mes projets n’étaient pas insensés. Et je les faisais vivre pour chaque jour lui prouver.

§.373.

Il n’était besoin d’en rajouter plus que cela.

Pas plus de pression Puis on s’aimat et chaque moment ne devait pas être plus préparé que nos propres hygiène de vie décidés, pas de symbole, un jour chaque jour, les moments forts en la matière c’était à deux qu’il se construisaient  décidés

§.374.

M passion étai la même chose que ce temps passé à s’occuper d’un enfant, d’un élève, d’un ami, d’un parent.

Etablir une complicité.

§.375.

Une blanche comme le lune.

Inaccessible insondée et solitaire.

§.376.

Ne pas vouloir de quelque chose en pariculier. N’avoi pas besoin de se contracter. et n’avoir à executr rien qu’à ce que l’on doit se positionner cr avoir un avis préalable sur le sujet et donc pouvoir comparer. Avancer en ayant en mémoire toujours plus d’élément situation à faire coexister.

§.377.

La pluie chante sur mon toit.

§.378.

Allez faire du sport. L’envie ne s’en déclenchait rarement car il fallait l’intercaler entre rytmes biologique, emploi du temps, soir, matin –  –   – .

Mais on y allait en sachant que sinon on aurait à le regretter le lendemain.

§.379.

Chaque fois que devait se séparer nos chemins je devenais quelqu’un de nouveau. Nouveau car rattaché. pour le retour au foyer.

D’ailleurs ce retour était le lien ou allait m’être dit q’est-ce que j’avais ?

Il fallait maitenant en deviner l’intérêt.

§.380.

Chaque pensées inscrites.

Une décision, une résolution.

réinscrption.

§.381.

Le monde que l’on délimite pour pouvoir des éléments se regardant comme unité à part et unité regroupé puisse s’organiser et petit à petit grossir le champ. et subdivision par les racones de chaque éléments raccordés.

§.382.

Le commun accord entre le moment où on fait de l’art où on le regarde.

Il faut faire soit l’un soit l’autre pour que l’art atteste que se rassemble nos émergies, qu’on sache que sur un support peuvent se rencontrer les sensibilités de différentes personnes à différents moments.

Et le désir de sciences redémarre une fois que cela revient à l’esprit.

§.383. Enc.

Le promeneur ne voit pas que son chien danse sur la musique passant dans mon balladeur. Et pourquoi je rs non plus bien qu’il entende celui-là.

§.384.

Une question.

Des réponses.

Répliquer la question à chacune des réponses.

§.385.

On lui avait offert un voyage. Elle oubliait de dire que son père était mort cinq ans auparavant déjà.

Le mien aussi était mort, car qu’est-ce que le père si on ne le suis pas.

Société moribonde.

§.386.

La (les) science (s) est permise à l’être se sentant à la (in) conscience collective et qui ainsi peut se donner en expérimentations à ce que son esprit voit qu’il en est cmme cela et alors théoriser, son vocabulaire, dosant, chiffrant, lignant, visant, devait alors ce que du tout et de la place. Irrigué par le fait d’être assuré de le faire sans mourir, sans que les cordons tous ne se brisent. (Ils ne se brisent jamaisIdem après la mort cérébrale). Nous mais ceux que l’on : Sent.

Sans.

Cent.

Sang.

S’en. etc.

et ceux que l’on a référencés.

§.387.

Pas d’intérêt par rapport  à en plus ou en moins.

Tout déjà à fond.

permettait de faire ce constat de s’habituer à ça, toute relation.

Relation qui créait les groupes, et différentes unités comme sensation et interactivité. La conscience d’être , et d’être quoi ? Evolution, la métamorphose. tous les stades liés causes et closes.

§.388. Enc.

L’occupation à la maison est-ce qu’on avait en commun nécessairement avec l’enfant. L’enfant qui voyait se mouvait, s’etretenait son parent ?

D’ou la croyance en a seule qualité maternelle, le paternel lui partageant moins de moments. ( Faux pas systématique relation d’age et de sexe. Vrai pour la petite enfance. Plus tard, le garçon, se rapproche, pour les jeux, sports, loisirs, passions, passe-temps, professions, plutôt de son père.) Daniel.

§.389.

Le privilège du poête par la poésie.

Ne s’oublie pas.

§.390. Enc.

Mon art consistait simplement lui, et me donner une idée de ce que j’étais ou n’était pas, de l’entrelacement des moments ; de leur tout contenant. Dedans.

L’autre et l’déal était.

C’est ainsi que ma lutte toute avenante.

§.391.

La force affirmée. Je te sentais. Comme existe parce que l’on sent.

§.392.

N’avait-t-elle pas compris que lorsqu’elle parlait d’elle à la troisième personne, qu’elle se redisait ce que lui aurait dit son père.

Son père qui à chaque fois qu’elle ressentait l’abandon, autour de ses réflexions renaissait.

§.393.

Je te regardais, regardais une facette de moi. mais de ce qui me faisait faire,  je regardais l’énergie que j’avais à manager et moi même faire voir comment avec elle on pouvait s’arranger.

§.394.

Se rendre compte était la raison même pour laquelle je voyais.

§.395.

Bien sûr on surestimait ce qu’on avait perdu parce qu’on lui attribuait le tout.

– Ce qu’il était

– Ce que nous apportais de le chercher.

– ce qui nous énergisait et que pourtant on ignorait, d’entretenir une idée arrêtée.

§.396.

Ce n’était des défauts.

Mais des maladies contre lesquelles et avec lesquelles (pas d’état) on luttait.

§.397.

Sur la photo les gens flou ppassant das une, exactement comme je ne les voyais clairement comme quand dans les trajets quotidiens je les croisais, évitais, contournais, détournais.

Des tournées.

§.398.

La faire passer ou être en un courant unifié. L’émotion est faite pou que son appel à Oui je suis entouré, cet appel (d’air) permettait de prendre en main et tende la force inspirée.

§.399.

La tour d’argence. (D’argent idiote, tu le fait exprès)

L’anse du luxe. (L’antre imbécile encore exprès)

Le luxe de tout pouvoir perfectionner.

et puis devoir.

§.400.

J’ai perdu mes plus beaux vers.

Car à la plus belle es femmes je pensais.

Je perdais ce qu’elle me redonnerait.

Et chacun de ses yeux –  – y reviendrait.

Par l’action même que chez moi elle engendrait, l’amour, ses lois dictaient la loi, l’art, la matière, la vie.

§.401.

Tout ce que parce que ne les comprenant pas il se crée.

Ne le comprenants pas.

Cherchant à expliquer.

§.402.

La rage.

Savoir qu’était cette page.

La retrouver.

S’écrira encore un bouquin.

§.403.

Est-ce sur elle ou par elle que jaillit. J’avais écrit sur son père, sur ce qu’il était pour elle quand vait besoin de cesser l’oppression de l’abandon. quand dans ces réflexions renaissait le lien, l’origine.

§.404.

La conversation, le mélange par lui.

Pae ce qu’elle savait de sa présence.

Sentir ces gestes allaient vers quelque chose.

Ne pas prendre de retard sur la vie.

J’avais perdu ce que j’en avais dit.

Au même titre d’avoir quelque chose de lui.

§.405.

Le monde selon ce que j’en croyais.

Le monde selon ce que j’en pouvais.

La divinité.

§.406.

On ne voyait rien dans ses yeux car si de nous elle s’accupait c’est en d’autres endroits qu’elle s’y censé. Le mystère résidant dans aussi ce qu’on ?

§.407.

Vieillir.

Devenait l’exposer.

Pyramidale.

§.408.

Quel genre d’individu aime – N° ?

Son sexe ?

Le sien.

§. 409.

Ta Mère et moi sommes le même personnage.

L’idéal maintiend l’espoir car si je pers le plus beau des trésors, le plus beau de tous réunissant, appelant toujours ce qu’on est.

§.410.

Je pers mes vers à chaque fois la dynamique me poussant à faire attention à tout ranger, à surveiller et relancer.

§.411.

Et qu’est-ce qu’ils sont ?

Quand la musique dans la tête peut jaillir sans être entravée.

Le bruit de son moteur.

Une note clarifiée.

§.412.

S’intéresser à tout. S’apercevoir de n’être jamais coincé et ressaligue à quelles profondeurs infinis sa vie propre peut,vaut tend à s’engager.

§.413.

La fatigue.

Non pas qu’une partie n’est plus son énergie, mais cherche à autrement se former.

§.414.

Sex appeal.

Qui sent son corps et le ait sentir.

Accros.

A cros.

§.415.

Dépendance familliale.

La sexualité enfant, parent est une manière d’accentuer (comme de sonder, ou le reflet ) de ouloir que se maintienne la dépendance relationnelle.

§.416.

L’être doit à son corps de faire refroidir cette fonction (sentir l’acclimateu, découvrir des relations pour sensibilisé.

S’y habituer, les analyser.

L’expérimentation du corps une nécessité.

Privilégier cette dépendance exclusivement maintenir son enfant à ses cotés enfermement menace sa sexualité.

§.417.

Un –   – propre faisait partie du vocabulaire .

§.418.

On disait ne pas chercher le grand amour pour que dans chaque histoire puissent se vivre comme que on en attendait.

§.419.

Sensibilité et insensibilité.

Le but d tout un chacun : Exister.

Résister.

§.420.

Le conte de l’homme déserté par ses filles qu’ils avaient trop gâtés.

Apprend à quelqu’un qu’il est normal que différent traîtement puisent coexister.

Le partage est difficile dosage.

On apprend par la difficulté.

§.421.

Vie en couple.

Vivre pour toi.

Raison de vie trouvée.

Et chaque jour cotoyer.

§.422.

Le bonheur est dans l’attention si chaque jour à la même chose voué.

Dans tous les états tant que choses ne se proposaient pas de se fixer. Aucun à privilégier et sur cette possibilité, idées contreforts que n’empêchent de s’ébouler.

§.423.

Différremment : Y a de méchantes gens.

Et différremment : y a des cones.

Réplique.

§.424.

Elle m’avait insulté.

Parce que contrairement à ce que je pensais elle n’avait pas compris que c’était ma vie et tout ce qu’elle en voulait que je lui aurais donné.

Mais toi petit n’avait pas su voir ce que de moi elle je lui avais laissé envisager pour une fis la sentence tombée s’apercevoir que ce qu’on à fait comme sous entendu n’est apte qu’à sa propre personns s’adresser.

§.425.

Hiérarchie.

J’avais perdu un livre sur l’esclavage.

Et de un deux trois des plus beaux paragraphes que j’aais composés.

Et qu’est-ce donc qu je n’avais pas assez honoré.

Quoi à rattraper.

§.426.

C’était qu’une impression, le temps ne pouvait s’évaporer.

Une poésie ne pouvant pas dépendre de ce que oui ou non j’étais assez fraîche pour la retenir. Indépendemment, elle, ne serait-ce que dans les feuilles sur lesquelles elle s’étaient posée, elle aussi qui aimait.

Que j’aimais.

Me tractant.

Attractant.

Et si le vent ne fait plus de son.

L’air lui dans tout ce qu’on peut sentir en fait dans tout ce qui peut respirer.

§.427.

Soi = La position de toutes autres fonctions et responsabilités.

Porter.

Elle bloque.

elle arrive à son résultat.

Mais question que va-t-il donc impliquer.

Rien de plus que le parcours vers harmonisation, ordonisation.

Fau-il la rassurer.

§.428.

Ornement.

Raison de plus pour aduler les femmes dans les travaux ménagers, domestiques. Et les y laisser.

§.429.

Quand elle parlait à la troisième personne C’est la voix de son père qui conseille, présente, recueille.

Heureusement toute une vie pour un deuil pernait, car chaque fois que je voulais et chaque fois qu’il fallait, son oeil sur moi et savoir qu’il quo qu’en soit les apparences, ne me quittait jamais.

§.430.

Voir l’autre, constater ce qu’il avait vu de moi et ce qu’avec ça il faisait constater avec quelles énergies j’avais à manager et cequi de moi aussi et de tout autre, de quoi vers quoi cette énergie pouvait résulter.

Oui confirmez-moi que je sentais.

confirmez-moi que j’existais.

§.431.

Voir, pour le voir, puisque c’est pour cela précisément que l’on voyait.

Quelle était cette énergie, à quoi de lieux en lieux, quelles étaient les éléments pouvat se connecter.

Montre moi que je sens et que ce queje sens comme paradoxe et que sur deux, en tant que troisième, –           – je ne vois qu’un sommet.

Montre moi partout qu’infailliblementj’essaye de voir, sentr, l’énergie mise à constater.

Parce que se constitue, parce que comme cela peut prendre un sens et permet de continuer.

§.432.

Ce que la poésie avait de mystique c’est que parce qu’on perdait la famille ou le vers et que les plus belles e nos phrases étaient pensées mais jamais autrement que ans l’exaltations (même dans la vie faisant que plus loin même que le plus beau de ce que devant le poête, le vivant se formulait) la poèsie par le poête se tenait.

§.433.

L’affirmation de la force, –                 –                  – – celle qui mélange nos sangs, celle qui fait qu’il est indéniable que ma vie suit la vie de la vie, que je contemple, est constituée, de la vie qu’il m’est donné à penser et pensée.

§.434.

Mes vers, l’ajustementde mes mots qui indéniablement se perdaient, tel eux, sur témoins ne vois pas plus loin, mes idées.

§.435.

Elles aussi, Je n’arrive autrement qu’au délà de leur rêve, de moi-même. L’idéal au délà de toute unité.

Je n’osais lui dire ce que j’avais raté, pas fait. Comme si cela m’avait coupé.

Je n’osais liu dire et pourtant ou jusqu’à ce que j’admette (remette) que cela aussi, je me trouvais entier.

§.436.

L’écriture comme la vie me tenait dans son sillage de me dire qu’est-ce que j’en faisais.

§.437.

Je n’aime que toi !

L’aour n’est pas fait pour cela.

§.438.

Mon rapport d’esclave à l’écriture.

Être esclave du sien pour pouvor être maître de ses objets.

§.439.

Mes gestes vers lui me disait combien mes parents s’étaient aimés.

§.440.

Ce qu »elle avait vécu en le perdant pour povoir le savoir, ma femme me le disait. Puisqu’elle était la vie la servir par elle je pensais rendait imbattable divisible notre couple.

souplement arrivé.

§.441.

Périr d’avoir sû, être être à jamais.

Mes chaines ne sont que des chemins emmelés.

§.442.

Savoir, sentir.

Pouvoir, devoir connaître tout des pensées.

Penser, JUGER n’étant qu’un moment coupé de son autre moitié.

§.443.

Tout doit se vivre pour que puise coexister.

en admettant le moment où ces éléments peuvent s’entrelacer.

§.444.

Du tout venant de la réflexion, s’acorderait.

§.445.

Les conversations venat que ce que tous demandaient à B d’analyser.

§.446.

Plus besoin de la lune, pour moi parce que toi plus d’obscurité.

§.447.

Elle pensait que j’étais avec tout le monde aussi.

Mais c’est arce qu’elle était là que ce monde comme tel je considérais.

§.448.

Elle m’insutta !

Délibérément là où des arguments aurait éé la cible à trouver.

Je dis n’importe quoi.

Je sais qu’il y aura échec. C’est pas que je t’aime pas  – – elle m’insulta !

§.449.

Dialogue, interview avec 1/3, un tiers.

Tout le monde devient son monde quand on leur reconnaît la capacité de communément s’ajuster.

§.450.

Je l’aimais. Elle ne disait pas qu’on y comprenais rien de ce que je n’expliquais. Je pouvais.

§.451.

Ce n’était pas lui qu’il ne fallait renconter, mais ce qu’il était en train de chercher.

Personne perdue, mais des pistes, les pistes différentes, selon qu’on soit u ou s’y mettent à deux à emprunter, Empreinter.

§.452.

Sans les remarques. Tout ce qui n’a pu sortir, tout ce qui s’est vu mourir.

§.453.

C’est dans son support à l’affectif que ces réactions révélaient qu’elle avait été intimement traumatisée enfant pas pouvoir se défendre plus défendre l’inconscience. C’est d’être intimement, donc trouver une ressemblance, vraissemblance. Dans le traumatisme, s’y retrouver.

§.454.

TANT QUE la jouissance de pouvoir le soigner ne vient le supplanter.

§.455.

La transmission.

se comprenre dans les gestes qu’on voit.

Se méprenais.

Réparais.

Et ce qu’on avait pas compris.

Nous dit que continuer c’est changer.

§.456.

Confusion perpétué en l’impact de l’évènement n’était pas à l’image de ce qui serait dans le sens d’être déjà mais de ce qu’on croyait = qu’on en influencerait de cela.

§.457.

Se mettre en jeu, en danger tout ce qu’on en vivait en venait.

Rien égaré n’est garé. On ne perds pas.

approuver le danger était la seule manière en fantasme ensenble d’être stoppés.

§.458.

A mes yeux ces fragilités étaient puissance car sur moi élégament pouvoir les reposer.

§.459.

La conscience : Du danger.

Du pas danger.

De ne pas le regarder

D’analyser.

De se retirer.

De fuir.

De le déplacer.

Chacun à cette conscience, la même force sous différents aspects.

§.460.

La confiance, l’équilibre.

Qu’autour de soi ces poches d’énergies puisse être symbolisées par les uns et absorbées par les autres.

§.461.

Le fantasme. se rendre compte qu’on peut mettre n’importe quoi de nos humeurs dans quelques chose qui à un de nos sentiments attirés.

Face à face.

Le miroir que l’on voit comme on le veut.

Et capable de pouvoir tous nos gestes absober.

§.462.

Il lui disait je t’aime quand il devait la laisser, s’éloigner d’elle, il le disait Bon à cinq six mètres d’elle mais cela raisonné qu’ils étaient reliés par la pensée .

Avec lui –    – il emporterait. Mais son oreille à bien perçu ce qu’elle avait quand même reçu si quandbien même il se serait-tû.

Avait un disfonctionnement à signaler.

§.463. Enc.

Je savais que tu avai vécu cela sans t’en apercevoir.

Je priais pour qu’il t’arrive dans la vie quelque chse qui te le ferais savoir.

§.464.

C’est le jour De mes noces se dit-il.

Pas plus d’émotion que cela. Bien sûr plus état grand sa considération en mariage, plus il fallait toute une vie et toute une vie pouvait, s’évertuait à vivre, s’émouvoir, construire, s’apercevoir, vivre sans d’autre fin que d’en mourir celui là. La réponse en sa conscience n’était pas de l’acaparer l’amour de sa femme, de pouvoir se donner, n’interloquait pas mais amenait son pas.

§.465.

Elle ne voulait pas avouer m’avoir séduite, pour ne pas lui dire que c’st elle qui avait commencé si on voulait rmpre par la suite.

§.466.

Je lui faisais l’amour de suite car nos agendas mutuels faisaient qe de leur activité nous étions souvent amenées à echanger des infos transformants en nous terre et ciel.

Je lui faisais l’amour de suite par certitude qu’on le referais différemment, la fois, d’après, après.

§.467.

La foi toujours plus haut.

La vie est celle là, s’offrant à être cherchée.

§.468.

Faire d’elle la femme de ma vie était un jeu.

ce jeu qui du matin au soir me tenait en veille.

§.469.

J’admirais sa main si musclée.

J’aurais voulu aider mon dos si vouté.

Sport, normalité et se dédoubler.

§.470. Enc.

Admettre qu’un signe en est un.

C’est accéder aux mervilleux.

C’est se penser en communication ou se voir influencer par les évènements qui n’ont plus pour nous qu’un dehors de déconoter entre eux.

Le merveilleux, les relier, se trouver au centre de leur relation est alors que la stupeur apprenaît car on comprend qu’on est point des lecteurs mais cela la mère qui crée le texte (comme son texte crée) la stupeur de se dire cela était un signe quelque chose qui me fait souvenir, réfléchir à pour y adhérer, le rejeter et si cela aujourd’hui c’est que d’une façon particulière j’ai conçu voulu ce qu’il en était. Car enfin être au courant des choses, introduites automatiquement un choix le choix de notre comportement fait au situation, le seul qu’on est.

Et puis si j’avais des choix alors ce n’est pas le strict destin c’està dire que je pourais être à des kilomtres de là en train de vivre autre choses sans pour autant qe ce soit  mieux ou pire. Juste un autre endroit où ma conscience des choses j’aurais traîné.

Il est aussi du même coup forçé de constater que cette communiction à l’évènement fait que notre conscience s’st retrouvée faite à un choix peut alors imaginer et donc se projeter dans oùen serait-on Si j’avaisdifféremment statué.

L’esprit alors peut se permettre être en plusieurs endroits come on invente un lieu. On peut passer à coté de ce que le lieu où on est

invente pour pour que nous puissions continuer.

Reste que pou comprendre un signe il fallait vivre ce qu’il pouvait signifier. Est-ce que nous nous mettons pas en condition de chix car ainsi on donne du poids à une décision. La concurence où l’investissement qu’on a mit dans les autres relativiserait celui qu’on a fait (ce n’est pas la seule traité, mais pas la seule vie qui se pointait elle ne me touche pas ) ou bien se dire que tient bon la barre que je l’amène jusque là destinée.

§.471.

Contre vents, sirènes et marées.

Quoi qu’il en soit, on a toujurs le droit de se poser la quesionest-ce que autrement j’aurais pu [Si théoriquement on sait que chaque seconde un geste gauche on doit on peut décider à autre chose aspirer ?

Qu’est-ce qu’une quesion qu’à par la nécessité de lui répondre.

Traçer.

Mas puisqu’une réponse doit contenir le oui et e non pour accéder à l’autre vraie question d’après.

§.472.

La différence entre moi et lui c’est qu’il avait perdu son père et que moi j’étais sensé perdre le mien aussi.

§.473.

Je lui laisserai des messages sur ces feuilles puisque mon écriture est lié à ma vie intime c’est normal que mon écriture soit aussi le lieu où je discute avec les miens, ceux-là-même qui nourrissent ceque JE ET LLE devient.

§.474.

Ensemble être deux.

Les efforts pour maintenir la conscience de cela !

 

FIN DE DOC 25.

A relire et corriger.

 

 

Formulaire d’exécution et mise en peinture !

TRAME DE FOND POSSIBLE.

[ « é è ê î ï à â ù û ô Ô Ê Ë ç |  §. »]

* *** *** *** ***+ +++ +++* ***= ====* ***+ +++

+ +++++&&&&&&&&((((((  ))))))§§§§  §§§§++++  +

– —-+ ++++* ****+ ++++= =====#   ###### #####

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« « «  » » » ====////////°°°°°°°°°++++   ++++

computerised extra Doc 24

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

 

S’il vous plait, téléchargez prioritairement les DPF documents en page 1.

 

Les documents ci-dessous, tapes électroniquement- sont les copies partielles – i.e. présentation de certains tomes mais pas dans leurs version intégrales – et parfois non identiques ou incomplètement déchiffrés.

Ces postes, tapes digitalement, ne sont la pour lecture de textes premiers mais pour permettre de retrouver ou rencontrer les textes ou la nature de leur portée.

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Donc une fois que sur ce site il est préférable que vous ouvriez et enregistriez les documents DPF puisqu’ils sont –plus surement- le plus proche de ce que l’auteur a écrit.

Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

Doc 24.

 

 

Pages 446 à 513.

§.1.

Se battre avec les mêmes armes, les mêmes codes, les mêmes mots. S’établir comme initié vers un même but établit.

pouvoir s’observer, se sentir, s’établir pouvoir compter sur l’autre pour progresser dans sa technique. La surenchère.

Comment que ceci soit annihilé ? Avec le sexe opposé = Celui qui nous apprend celui qui sur lequel son action va pouvoir reposer. Sans compétition entre les deux et sans lequel l’autre ne peut s’appliquer. La puissance était en liaison avec ce que comme progrès l’énergie promettait.

§.2.

Être entier, comme puissant.

C’était être libre.

J’étais fermé parce qu’elle ou lui mon alliance à ceux-ci était lié =  à mon, son expansion.

§.3.

Il fallait penser à ne pas réflchir.

L’âme en peine.

L’âme bien isolé.

Qu’est-ce que de cela se perdait ?

Rien.

Il fallait seulement  ne plus avoir cela à  appliquer, l’art recevait nos spontanité. La société, seulement l’environement du groupe pouvait faire que nos actes d’abandon au monde puisse se faire sans danger.

§.4.

L’univers dans l’humanité.

l’humanité dans l’homme.

Notre vie dans tous les moments et mouvements excutés.

Il n’y avait idée de la soumission.

Quand le lien amoureux était admis.

Puisque différents peuples se battaient pour un territoire.

La dualité, l’apprentissage  détuire son semblable et ce qu’il avait fait devait s’enseigner, c’est ce que la destination des sexes avait fait.

La promesse de conjugalité était le déchirage, le partage.

Ainsi en fait la seule situation relationnelle qu’entre deux intéréts de sexes différents se concevait.

§.5.

C’était ainsi admettre automatiquement un déchirage réhabilité.

Les familles se battaient mais par l’intermédiaire du mariage, que l’union soit prolifique.

Or tout individu, y compris de peuples différents ainsi savait pouvoir être permis, d’ainsi se considérer.

Le clivage, la séparation infranchissable spéciale clamée.

§.6.

Puisque intérêt d’entente entre même sexe représentait le non changement

La situation des rôles sociaux (servant, servi) garder et coordonner un groupement ensemble pour assurer à tous contre adversaires de préserver nos familles et femmes, nous, nos vies. Clivage nécessaire à ce qu’on savait de comment organiser ceci.

L’amour c’était pouvoir en un même but des rôles qui s’aidant l’un de l’autre s’y achevant, achevait.

§.7.

L’exper.

L’expérience c’était de dire regarde comment je fais et l’effort de communication ou de compréhension qui avant de s’étendre , de se multiplier, de se transmettrem l’un (si un) d’abord divisé.

§.8.

La souplesse de l’esprit.

Nous imitaient  nos figurines infinies.

J’avais corrigé, pris.

§.9.

L’horreur c’était ne pouvoir intervenir.

La peur.

Le fait de vivre pour rien d’améliorer nos conditions ne croire, n’y pas y réussir.

Ainsi le fashisme présentait l’avénement du groupe si un représentant puisque la richesse de l’individu et celui du groupe on ne savait se servir.

§.10.

L’amour fantasmé.

M’avait appris à patienter, à vouloir arriver au vrai.

Présenter pour avoir le vrai.

Croire, car y songer

Y réfléchir.

Y arriver.

Pour être vu, pour être contemplée vouloir le sentiment intérieur avec la réalisation extérieure harmoniser

Savoir ou on en était.

§.11.

Il fallait reconnaître que par tous nos efforts venaient et vers tous partaient pour ne pas éclater.

(Manger pour qu’ils puissent  cela s’activer éliminer pour sentir toujours ses membres)

§.12.

La reconnaisance de son irralit est la –        – de comprendre l’histoire la sauvagerie que l’homme peut vivre comme contrôler.

§.13.

Le ramadan. Le jeune.

A l’époque était pouvoir d’un cran (clan) laisser des activités physiques exigées.

§.14.

La distraction.

L’élargissement. le conflit.

La réintégration, l’unité.

L’harmonie et toujours le même courrant, elle-même amenant  la conscience de la restrictivité.

§.15.

Baisser les yeux.

Puisque regarder est prendre, le regard s’en va et revient et le regard qui n’attend, prend alors ce que donc ce voyage je peux lui donner.

§.16.

J’ai su qu’elle serait la femme de ma vie car en toute conscience de l’autre ainsi nous en avions décidé.

§.17.

Chaque fois sa place à déterminer.

Sa place unique.

L’avoir handicap ainsi surpassé.

L’handicap tant la croyance que ce qu’on a est en trop en moins la connaissance insuffisance.

La croyance, donc le but, l’enjeu est érroné.

§.18.

La comptition au sein du groupe et l’adéhsion par le clivage des sexes représentés.

§.19.

La liaison au monde. ( Quand tu t’y met tu n’est pas la moitié d’une conne mon minou.)

Voir les gens s’occuper de choses qui nous donnent la liberté alors pouvait s’imaginer dans sa propre spécialité.

Pour le meilleur en tirer.

Et de ce que les autres ont fait.

Savoir ce qu’on, qui est.

La création est simplement sa nature dcouverte assumer.

§.20.

L’Art c’est l’autre.

Qui dit à l’autre.

Combien je l’aime.

Ai besoin de lui.

Et ce que je peux lui apporter.

Ne cesse de se former.

C’est l’autre que j’ai.

§.21.

Les bêtises sortaient de notre bouche seules alertes, qu’il était temps de se controler.

L’autre l’urgence de s’accomoder  l’extérieur le demandait.

N’appelait-on pas cela se rassembler ?

§.22. Attention ; Une Page et § différrés sur deux strophes. ( 452- 453.)

Merci de me l’avoir présenté.

Elle est folle mais je l’aime. (oui folle à lier.)

Je veux sauver le monde.

Je suis folle. (OUI)

Je le sais. (C’est moins grave)

Mais on  le droit de s’amuser.

Et c’est aussi ce qui rend la vie belle.

§.23

Bien sur.

L’existence c’était communiquer l’un l’autre.

Se moquer des bannières.

Les faire toujours plus lointaines les frontières.

Plus grand ce que le moi et le toi sont , quand rassembles.

L’art en est la preuve.

De ce but, de ce aue toute la vie est.

Par A + B.

§.24.

Ils foutent le désordre.

Normal personne ne peut imaginer un système qui ne serait pas muni d’une faille, donc la possiblilité que ce système soit un poison consciencieusement administré.

Donc il est normal sinon sain que il y ait ça et là des gens qui s’en défie.

D’ailleurs quoi qu’il puisse en paraître, l’on se défie de quoi ?

(Et tu ne réserve pa cela  ? Donc sélect Doc Dany ! Pour mise sous protection disque !)

§.25.

On ne pouvait attendre d’elle de laisser parler son esprit, adapté à tout ce qu’elle vivait en des réponses écrites ou chantées. (Ils sont donc bien aussi stupides que je le pensais.)

§.26.

Mes sensations reviennent toujours de plus en plus clarifiées de la structure de l’obsession, objectivisation et vision de l’esprit.

§.27.

Je savais qu’elle avait voulu arrêter de fumer car elle ne regardait pas sa cigarette comme un objet de plaisir, un outil ou quelque chose d’amoindri.

Mais comme un objet la faisant mourir.

Comme on est obligé de continuer  se servir de chose sans que leur coté qui nous ne puisse totalement se réduire.

§.28.

La discipline est de pouvoir se coordomner et  avoir toujours quelque chose  à travailler, qu’en la, sa, concentration et une meilleure quilibration du tout en sachant qu’il va alors pouvoir s’largir. Puisque tout le temps nous servir.

§.29.

Je ne cherchais pas à lui montrer ce que je savais déjà.

Mais l’écoutait justement.

La sagesse.

Le moment de partage, d’échange, de complicité n’était ni après ni avant ce que la situation, ce que le temps m’apporte ce que je ne savais pas.

§.30.

Chocolat chaud aux mots accolés.

Alcool – est. (I)

§.31.

Je restais debout.

Mais capable de faire autre chose qu’à toi penser.

Tu es la constante qui me permet de voir mes pensées s’installer se gérer se perde et s’extasier.

§.32.

Mariage manqué homosexualité verifiée les parents et les enfants de l’amour à l’autre ne pouvait parler.

§.33.

Non pas qu’elle soit ni gentille, ni méchante mais spéciale d’ailleurs la preuve l’esprit réagit avec les humains (représentation de l’esprit) comme elle communique avec ses fantômes. Comme le style de communication qu’on utilise pour se faire entendre. Et parmi ses fantômes certains qu’elle adorait mais qui est que nos conversations avec eux tout autant que l’invraissemblabilité de la vie matérielle, quelles folies nous fallait-il faire parfois pour avoir l’impression de réellement communiquer.

§.34.

Je n’avais pas honte d’avoir de l’argent.

Il connaît tout.  Après on ne faisait rien pour qu’il puisse s’équilibrer et les lois réagisent les échanges dans l’échange pour être supprimé.

§.35.

Est-ce ? Est-ce ?

§.36.

Enrober      |

|         Nos racines.

Dérober.     |

§.37.

J’étais quasi amoureuse d’un de mes profs.

Cet état me tenait compagnie.

§.38.

L’amour terrestre n’est-il pas possible puisque la mort, elle permet de supporter nos divergeances.

Comme des choses allait s’achever et pouvant donc s’admettre sans plus d’obligation à s’aplanir.

§.39.

L’écrivain accusé de plagiat mais l’écrivain en est un parce que parce qu’il lit. Et en reste un car on s’inspire de l’écriture.On instruit.

§.40.

Une femme mariée, elle, pendant des années, elle, l’avait aimée. Et s’en contentait.

Il a fallut quelle divorce pour qu’elle comprendre qu’à  vie ne serait jamais elle qu’elle choisirait.

§.41.

La vie, de la mort se moquer.

L’apprentissage de l’infini, chaque temps, inculqué.

L’amour est une recherche de toujours apprendre à  l’un à  l’autre quelque chose de plus sur ce qui va se passer.

Le combat doit aussi cette surprise, trouver.

§.42.

Pour son autre il fallait arrêter de se sentir vivre.

Ne plus varier mais faire résonner juste ce qu’il était.

Se proposer comme son instrument, son récipient.

Nous ne pouvions l’inventer, il fallait donc qu’il puisse nous visiter.

L’art, la figure de ce que l’aventure humaine est.

Nos tournants apparaissant.

Une manière de nous expliquer.

De s’expliquer (Sens réfléchit et réciproquement)

§.43.Enc.

Le noir fait peur.

Car l’esprit se demande comment devait-il réagir pour un ennui éviter, alors la tension à cela. Pour réagir très vite sentir le mouvement dans le noir (Symboliquement d’avoir à se battre contre quelque chose qu’on ne peut pas se représenter)

La peur.

Que cette pession ne soit pas utilisée, dégagée.

§.44.

Je ne pouvais pas vivre sans lui.

Bien sûr c’était une manière de s’exprimer, il faudrait que je survive et que je refonde un moyen d’honorer le bonheur quand même. Mais c’est parce que je ne trouve à le dire autrement que je formule comme tel.

On multipliait les partenaires, pour se cacher que c’était avec quelqu’un de l’autre sexe que l’on voulait. Avec quelqu’un que quelque obscure raison nous interdisait de comprendre que en cachette de nous même nous l’aimions.

§.45.

A chaque fois que les cloches retentissaient, à ma vie elles me rapellaient être mariée.

§.46.

Un auteur est rigolo de part sa blague.

Un –   – est rigolo de comment il ricane.

§.47.

Je me dévouais à tous ses recoins et ses plis.

Un sexe et l’autre pouvaient jouir sans retenue ainsi.

Péosie.

§.48.

On se faisait frémir de certains gestes imprévisible car se sentir avait comme qualité première de pouvoir transposer l’énergie de l’autre en un point ou corporellement il n’est.

Ce qui veut dire que l’on esquisse des mouvements touchant des points cachés,

§.49.

J’étais toujours sûr qu’il fallait que je potège mon père comme il le fallait pour que ma mère continue à se confier.

§.50.

Il ne me trahira pas et même s’il le faisait moi j’ai du faire celà pour vivre maintenant celà et de là je continuerai.

§.51.

Ne pas relacher une parcelle sinon tout s’effondre ou simplement une pour changer de direction. Le corps ainsi se lie pour s’épanouir de 1000 façons.

§.52.

Le travail est réellement un support d’ailleurs je dors sur mes livres écrivant ce que j’ai a inscrire des rêves d’où je ressors.

§.53.

Les chansons que je cherchais m’amenaient vers un mode de vie et la force de conviction qui la conduit.

§.54.

J’y ai pensé de l’entrée au dessert entre les plats à tous les repas et jusqu’au suivant.

Mille excuses je suis distrait.

§.55.

Du pauvre et du roi. De qui pourrait être dans la peau du misérable ou du souverain ne dépendait point,

§.56.

Il y en a qui pêche des plans tout de suite plus tard ou encore après , dépend quelle genre de solutions cherche t-on et donc éprouve du mal à éclosion.

§.57.

On ne se rendait pas compte des efforts fournis par les autres d’où mal comprehension et ni l’un ni l’autre ne comprenait le disfonctionnement précisement. Alors on arrêtait de le faire.

§.58.

Ne plus chercher de sensation pour pouvoir poursuivre le fruit de sa réflexion. Mais puisque c’est pour lui et tout autre que je réfléchis.

§.59.

Admettre ne pas avoir les défauts de ses qualités.

L’avidité.

Ce qui fait qu’on à le gout d’une vie ratée.

Car vivre pour l’autre, car vivre est le quelque chose qu’à chaque instant est à former.

§.60.

Le danger d’avoir son compagnon comme passion, la perdre, me perdre, nous perdre ne serait-ce pour moi que d’écrire pour lui.

Il me donne déjà la grâce et je dois surtout ne pas, ne rien exiger de l’esprit.

On écrit pas pour nous personnellement.

L’écriture décrit ce qui est, ne doit pas être inventé est le trésor l’essence de tout art.

L’art doit être un objet rendu tel que nous l’avons trouvé mais pour cela l’artiste ne doit quitter son sentier.

Il n’est artiste qu’au moment où son existence à besoin de sa technique, de son moyen de rendre queque chose (de tracer).

L’art est un moyen de prévenir de raconter ; Voilà ce qui peut en arriver.

Conteur de son histoire.

Ce qu’on à bien pu en voir.

(Select Doc Dany, mention superbe ma petite Caro d’amour.)

§.61.

Elle était grossière comme pour parer à ce que les gens lui aurait lancé. La réaction de survie. Attaquer le premier.

  • Handicaper l’autre.
  • Faire comme un système normalisé où l’on ne se pose pas de problème (en tout cas direct. problème déplacé dans l’homme des privilèges, donc la haine toujours prohibée) D’avoir  à l’insulte ou à ses dangers (effacé la peur mais par l’exitation, envie de mort) la transformer.

§.62. Enc.

Pour moi, à attendre ce moment Le temps s’arrêtait .

Voila ce que celà me provoquait Quelles pouvaient bien être les autres conséquences sur moi (différentes tenues) et ailleurs puisqu’il fallait bien qu’il aille se représenter.

§.63.

Ou alors il fallait n’avoir pas de projet (qui ne pouvait que trouver une application personnelle) ou bien vouloir autrement que l’autre y adhérer. Celà c’est le moment où dans l’illusion on se perd, l’autre n’étant là pour que l’on  trouve enfin le courage de tout seul le faire.

L’amour est universel ou reste chimère.

Or on sent l’universel et ne vit avec lui qu’à partir du moment où on se considère comme un autre, où tout comme soi même et se donne la possibilité d’accomplir tout ce que l’on peut ainsi. Sans reculer devant l’adversité ou se laisser aller dans le confort. Sans ne rien voir ni bien ni maudit.

La lumière se propage partout sans (distincion)

L’obscurité étant ce qu’on ne sait mettre en dedans.

Penser à une lumière sélective d’ailleurs est au moins risible sinon marrant.

§.64.

La clef des forces étant de reconnaitre et de remercier l’autre sorcier.

et de se reconnaitre les mêmes propriétés

§.65.

Et puisque seules mes conneries inévitables associées à mes moyens sont vertus et volontés.

§.66.

Puisque tout mouvement pouvaient ma douleur apaiser, ma jouissance provoquer. Si mes mouvements à l’autre s’accordaient.

§.67.

C’était sa façon d’être amoureux et la gène, et bien la gène qui occasionnait cette vaste plaine simplement vu être vaste alors qu’elle est pourtant lorsque raisonne (comme élément) sans peine,

Elle s’excusait en permanence de quelque chose que j’avais été folle de ne pas apprécier puisque l’ayant moi même solicité.

Et en plus de cela il fallait lui répondre sans peine de la voir se vexer.

Mais oui tu as raison, tu me fais chier, tu as trouvé.

§.68. Enc.

On ne voulait pas vivre avec les gens, ce qui supposait de nous, de montrer de l’accoutumance et de répandre la nécessité de s’habituer aux gestes que l’autre produisait. Les gens étaient des sources d’attentions, autant que les idées, les faits, les activités que l’on côtoyaient.

L’esprit ne pouvait pas faire tout cela en se disant que tôt ou tard il serait trahi ou obligé de trahir (= de se départir, d’abandonner, de décevoir).

C’est ainsi que son rapport à l’autre humain dans un rapport d’universalité à l’autre, l’adorement (= je rendrais visite et soignerais mon père même s’il pête le plus complet des plombs.

L’ultime est la seule forme d’équilibre convenant.

Le pourquoi de notre sauvagerie si distinguée.

§.69.

Le fait qu’elle lise mes textes, simplement et que je lise les réponses pendant des jours, après des jours y repensant me permet de voir là où quand j’associe deux mots il va les opposer.

§.70.

Nous qui nous connaissons si bien et que ce fait nous permette l’exploration indu d’inconnu continuel à chaque fois pour s’apercevoir que ce qu’on croit se dire possède toujours des sens donc des conséquences toujours plus multiples qu’on les croit, toujours dépassant l’autre, la technique, le raisonnement qu’on prétend toujours manier à des moments.

§.71. Enc.

Les mots, les réflexions, que l’on prend mal, avec lesquels on se sent mal –  –   –     – parce qu’à tord on prend les mots pour soi, n’appartenant plus à une mémoire ayant traversée les temps (dépassée, de l’action, du vouloir).

Les mots, comme les êtres, les significations, les applications, et tout ce qui est du ressort de l’un – incompréhension n’être ni plus à l’un qu’à l’autre.

Ces uns et autres, dont on ne sait ce qu’il s’y trouve, dont on ne sait où ils se trouvent de toute façon.

§.72. Enc.

Fait entièrement à son art. Faire de soi des personnes.Chercher en permanence qu’elle piste a t-on à chercher.

Être obligé à l’honneteté fait à ce qu’on fait.

Car a-t-on absorbé toute la vie, de cette vie il se nourrit donc suivre ou ne plus suivre son filon.

Fait que l’on renforce sa capacité à renforcer mon énergie.

Oui ou non, cette recherche de la source la plus dense.

La même que dans le temps débonnaire.

Fait de nous des gens fiers.

Eliminés et pas rayés dans la –          – ?

Tout moment qu’on peut vivre bien est un moment mystique sur lequel peuvent reposer tous nos efforts et difficultés d’après et même d’avant.

Ah non. Aujourd’hui il n’a pas envie d’être rigolo.

Et les moments d’avant revivable émotionnellement car tous instants d’accomplissements, de profonds témoignages d’existences pouvant renaître à notre esprit ainsi, l’incalculable don de l’esprit donné.

Le rapport à notre énergie cela pouvant et refaisant.

L’existence est cette somme de combat.

Puis plus étrange  chaque (religion prouvant  la limite de ce que l’on croit et dans pourquoi la croyance ne s’arrête pas, la frontière toujours plus loin. Ou pas de frontière des fores qu’on ressert, ressent.)

La somme des combattant.

Et pourtant nous constituant tout autant.

Faire la somme physique des combattants.

Et pourtant nous y sommes tout autant.

Et pourtant en nous tout autant.

Et pourtant là tout autant.

§.73.

Je suis comme ceci, je fais comme ceci.

Et c’est comme cela que je l’ai rencontré. Je sais qu’ils peuvent être en défaut. Mais parce que je les sais aussi qualités.

Je considère mes traits comme des particularités. Je les considère comme ce qui est de ma vie.

Ce que je peux en fabriquer.

Et puisque la vie peut s’aimer.

§.74.

Cette harmonie de vie, qui peut me propulser.

Comme s’exprimer dans ma minéralité.

Comme se propulser, comme de l’eau mais restant eau dans le courant.

Sans ne plus songer à aller d’autres organismes composer.

Comme pierre dans la montagne.

Pierre dont l’existence dont l’existence est de la fonder. Et de là aussi de là.

§.75. Enc.

Il faut se transformer pour le contempler et l’être,

Pour qu’un paysage puisse s’admirer.

§.76. Enc.

Il fallait éprouver les conséquences de ses actes.

C’est à dire ne pas les narguer avec d’autres vélléités pour se rendre compte de ce qu’ils prodiguaient et pouvoir en toute conscience les améliorer, les proscrires, les doser.Il fallait donc un déjà épuré.

Pour que se construise un bloc sans faille,

ou donc les failles. Car interdépendance consciente de tous les actes faits, que puissent à volonté se colmater.

§.77. Enc.

Sans me soigner, je devenais plus capable de m’entretenir, entretien physique, mental, spirituel.

Et il me fallait le faire, car personne ne pourrait cela soulager comme moi les autres plus que je ne le pourrais.

Car nos émotions, notre rapport à ce qu’on était en train d’être de ce qui se passait pour aux autres (même donc relation) le rapporter.

Le rapport d’équilibre à nous même.

Le rapport d’équilibre à ce qu’on fait.

Sont bien heureusement des pasages obligés à notre longévité et empreinte de ce qu’on crée.

De la création terrestre, le visible, aux inspirations et mouvements célestes ; Invisibles.

Indicibles.

Car formes pas encore décelées dont on ne sait où l’esprit encore est puisque nos sens n’ont pas tout découvert donc pas d’élément à décrire et à savoir qu’inconsciemment c’est ce qui est d’ors et déjà et depuis les premières heures, de fait.

§.78.

L’on ne s’était pas compris car chacun des cotés prenaient des aspects en se trouvant comme étant clairs. Alors que d’y penser ou de les penser comme cela, l’autre en est interdit.

§.79.

Tout geste rassemble tout le corps tout geste à partir du moment où le corps est bien placé et uni.

Tout geste, tout autre endroit du corps, peut être soigné pour lui.

§.80.

Le conflit.

Se ranger du coté le plus opposant mais si nous même en seront oppressés.

Stratégiquement c’est récupérer les honneurs si le plus strict gagné. Alors pas plus d’une génération ou deux pour être pardonné de l’attitude rétrograde et reprendre de la valeur (in)consciente ou –      – ?

Et permettre avoir plus  la –    – dans le sens d’exploration d’autres possibilités, combinaisons, liberté de la –        –  élargie, de ne pas s’emporter.

§.81.

C’est la graisse qui la mangeait.

§.82. Enc.

Ces moments sans lesquels je n’aurais pas compris.

Tout évènements qui se sont passsés de ceux-ci.

§.83.

Et si elle ne m’aimait pas ?

Et si mon ardeur sans cet amour continuait ?

Comme il me ravageait.

Je nierais donc ette réalité là.

Alors qu’elle était ce que le concret me donna.

Tics et errances expliqués par cela.

§.84.

Ma mère m’avait donné sa bénédiction.

« Je suis ton choix. »

L’important c’était cela.

Le compagnon c’était l’expérience qui le ferait durer ou pas.

L’amour de ma mère une fondamentale qu’en la mesure de ce qu’il me permettait d’être libre de pouvoir l’exprimer.

Je pouvais sans complexe passer ma vie à cela, penser à l’honnorer.

§.85.

On est pas jaloux mais on ne se comprend pas et il n’y a rien de plus dangereux ou de mis en danger que quelqu’un ne comprenant pas mais ayant quelque chose à redouter. (ou mieux à haïr.)

§.86.

Ne t’en fais pas.

Plaisir, effroi.

Des surprises la vie n’en honi pas.

§.87.

Elle avait ébahie la femme de ma vie.

Pendant tout ce temps que j’y croyais.

L’impression de lui écrire.

Comme une pensée me servir de l’écriture pour mieux me –    – ?

Traduisez juste l’impression qu’elle avait à l’égard des moments où elle écrivait.

§.88.

Plus cela allait et plus était fougueuse la poésie qu’elle faisait.

C’est ainsi que sa propre douceur possibilité elle gagnait.

Son erreur, elle croyait que c’était quelqu’un d’apaisé qu’elle cherchait.

Pareillement.

§.89.

La mystique sont ces mots qui s’empilent.

Et qui à la relecture étonnent, même moi.

Mais je leur sais une signification.

Alors je les réécris et en même temps que de les recopier, réexplque ce que j’entrevois.

J’entre voix.

§.90.

M’aurait-elle choisit si cela, je n’avais pas compris.

Non c’était comme cela qu’elle s’ouvrait l’esprit.

Elle avait besoin de s’amuser tout le temps de cela.

Par contre elle ne m’avait pas moins aimée.

Pour tout les gens que je rencontre je dois me rapeller de cela.

§.91.

Mon inspiration avait appris à plonger, amoureux de personne pendant des, condamnés par l’age, le statut social, l’orientation sociale sexuelle,  à une personne ne pas pouvoir fréquenter.

§.92.

Je dormais sur ma copie attendant de me réveiller.

§.93.

On voulait être père, mère car notre rapport à la tranmission se limitait à cette seule fonction.

§.94.

Je voulais être son trésor.

§.95.

La transformation de l’énergie.

Capter l’évènement.

Et retransmettre avec lui ce que l’on en a ressentit.

= le mélange des ingrédients là et de ceux arrivants.

Tenir compte de la cuisson et macération.

§.96.

Attention. Attention. Ouvrage de collection.

Prendre précaution.

Eviter trop de rigueur.

Si s’y lit maniaquerie.

A mon frère dans son rapport à l’autre ses exigences et concessions.

§.97.

La naïveté consciente.

C’est à dire le parcours de la réflexion par rapport à ce qu’il paraît et ce qu’a découvert l’expérimentation.

  • On le vit car cela met au courant de la possiilité et non de la réalité.
  • Calme, calle notre esprit le met en éveil. Cette douceur devant l’adversité est une –      – ?

§.98.

Le travail de celui qui crit est d’adapter son style  celui qui le lit.

§.99.

L’art, le mot c’est ce qui nous liait.

Car comment lui dire ce que j’étais, l’énergie que je ressentais sans l’effrayer.

Car cette énergie avec tout se coupler.

Le mot c’était une variété de formes avec lesquelles on avait décidé qu’on se répondait.

§.100.

Un but commun que l’on pouvai former puisque chacune de nos forces partaient et allaient en des endroits inconnus.

Sans les mots comment lui exprimer ce qu’il en était travaille , symbole de ce qu’on construit.

J’aurais certainement essayé cette force de détourner afin de lui montrer mais pour cela il aurait fallut que je sois en harmonie avec ce que j’en faisais.

Vivre en la force pour que la force tant que son rayon naturellement éclaire ce que je savais par o elle pouvait aussi passer.

Mais je l’effrayais et m’effrayais de tous nos coups manqués.

Mon Dieu qu’avais-je fait ?

§.101.

Mes éclats de tension pouvaient sortir dans « je suis folle de toi » au départ plus rassurant que « je vais te péter ce qui est là » au début en tout cas.

§.102.

Pouvoir être tout. Accepter l’existence de tout ce qu’on a perçu jusqu’ici. Chaque existence explique par le tout et cherchant avec ce que l’on est (autre partie à qui elle s’est adressée)  rejoindre sous une forme nouvelle – notre association – ce qu’il est.

Pouvoir être tout est le tout à travers tout, terrain de toutes les libertés car le tout suivant divisions ou regroupés.

Toutes liberts ax autres associées.

Vers l’explication, l’application des originalités.

§.103.

Accepter toutes pensées. N’en regretter aucune n’en vouloir pas en particulier. Plus d’elles.

C’est faire qu’on ne souffrait.

Cette souffrance qui nous tuait.

Et nous faisaient n’importe qu’elles horreurs et âneries pour avoir l’impression que notre vie soit prolongs. pour avoir connu la vie, il suffisait d’un moment éternel.

Ce qui ne s’additionne pas mais est là, à chacune de nos respirations quand même.

§.104.

Je ressens une douleur, mais ne me sens pas concernée.

C’est le résultat de la relation entre pour qui sur moi vient de ressurgir.

§.105.

Ce qui me fait rire.

Une personne avançait et très habitué à cela eux sursautent lorsque peut s’oblitérer son ticket. Au bruit ses yeux vont se fermer.

Que de surprise que d’introspection, d’identification, expérience, liaison, trouvaille combinaison, exploration à la con.

§.106.

C’est parce que je l’ai fait se reposer que quand je reprend  pareillement manger je ressens quel mal je lui faisais.

§.107.

Rencontre de deux personnes.

L’un slalom l’autre est immobile.

Mais c’est fait et à l’un et à l’autre qu’ils se sont croisés sans se percuter.

§.108.

Chemise en désorganisation. Obligée d’avec cela s’organiser.

Il re- re et regarde les compartiments non étiquetés, occupation oisive  à première vue, mais pour trouver donc arrêter de penser pour que d’autres choses puissent en mon esprit rentrer.

Neutralisation. La place laissée.

§.109.

Violée par lui.

N’était pas être violée

L’amour à la rescousse.

L’amour obsédé.

§.110. Enc.

Mon art.

La relation à l’autre.

C’était pouvoir cesser de me répéter.

Les choses soient, avaient été inscrites soit dans le résultat même de ce que je vivais étaient la preuve  même qu’elles persistaient.

L’obsession elles de les tracer pareille  ce que je les re et re ressentais pouvait cesser.

La mort, ma trace en d’autres lieux.

Changer de données.

L’usure qu’elles procurent.

Et pourtant toute la persistance, l’attention qu’on doit pouvoir administrer.

§.111.

Elle démarra en trombe descendant la descente aussi fort que son corps pouvaient aller.

Comme l’on constate que quelqu’un peut grandir quand il s’est assoupli et bien là, la grandeur de ses pas gagnait autant, tellement ses membres pour arriver à temps s’étaient ouverts.

Elles dévalait la pente et à coté des pêcheurs rejoignait son père elle hurlait.

Papa vient vite sinon maman va tout remballer.

En vérité c’était bien la mère qui l’avait envoyée chercher,

Ce jour là quand même la légende d’Hermès avait pour elle perdu ou offert de son secret.

§.112. Enc.

Je me disais, pas la peine d’écrire.

Je l’ai déjà fait.

Mes écrits sont ce que de mon parcours, j’ai pu  moi même attester.

§.113.

L’émotion.

A tout le monde pouvoir se lier.

Il suffirait du destin pour se faire.

Mais être lier à tout ce qu’on rencontre est ce que chacun de nous connaît.

§.114.

Penser. Repenser. Intelligence faire que celles-ci se complètent se neutralisent.

§.115.

Chaque geste.

Peut en tout espace se situer.

Chaque geste est une promesse de ce qu’il y a à trouver,  former et réalimenter, chaque geste, mouvement de vie une promesse comme elle est. Symbole de qui est-elle.

Qui-t’es ?

§.116.

L’adhésion, répulsion c’est d’avoir une idée sur le comment et qui a à défendre (défendre = privilégier le développement dans une certaine directon)

§.117.

Que sacrifie-t-on.

Qu’est-ce que le conflit peut cacher,

Car pas de faux fuyant, le conflit révèle que quelque chose est en train de trinquer et que le projet par l’instant en cours n’a pas trouvé de solution pour tout respecter.

§.118.

Le parti pris. Les connections. L’avancement.Mais ce n’estpas du tout du tout en main.

D’ailleurs pour ques’affiche en moi ce savoir (garder connaissance barrer)

§.119.

A la mort je vais droit.

La vie n’y manqueras pas.

§.120.

On avait besoin de profiter de ce qui était durable.

Plus on s’adonnait à cela, plus le plaisir s’inscrivait en même temps et plus vicéralement (vis) vise et ralement (ni non)

Les entrailles, les augures.

Ce qui s’inscrivait, purifiait, magnifiait le futur dès à présent.

Succulent.

§.121.

Dans le groupe de ceux à qui on brûlait les voitures. il y avait a chaque fois ceux ou celui auxquels cette fois cette fois on en brûlait moins ou on en brûlait pas.

§.122.

Je pensais que parce qu’elle était dans le nord c’était normal qu’ici il neigea. Puisqu’elle ne cessait d’être là où je me trouvais. Mais ceci me fit sourire, me faisait sourire, car je sentais son souffle si je le voulais et au moment, plus par tous les temps, ce souffle était traversé.

§.123.

L’autre.

Cela même pourquoi je n’étais pas autrement que moi.

§.124.

Mon programme, son programme. Tracer ce que demain serait quoi.

La perception de l’autre.

Que on émotion = ma façon de déployer mon attention.

Passe de moi  lui.

De ma façon de me sentir.

De ma façon de le sentir.

Rflexion.

Mélange, échange alterner.

§.125.

La conviction, l’expérience permettait de faire de grosses erreurs.

Et de comprendre qu’on les avait faites en toute inconscience ou méconnaissance, comme obligé.

Cette sensation de devoir quelque chose briser.

Cette sensation qui nous brûlait

§.126. Enc.

L’individu cherchant son équilibre peut très bien marcher  la vitesse de celui d’un pépé, d’un enfant tout en pouvant plus avoir sa puissance libérée, renforcée.

§.127.

Ele lui avait dédiée sa vie.

Et quand elle oubiait qu’a deux c’éait un trône qu’il avait construit et non pas quelque chose qui ensemble, ni à elle ni à lui mais quelque chose qui était là, le juste prolongement de toute vie.

Alors elle avait voulu le tuer dès que l’idée d’être quittée se pointait.

§.128.

Amis cette fois elle refusait intinctivement leurs gestes de tendresses.

– Tu pense à lui demande t-il?

– Bien sur que oui – En sourdine.

-T’as envie de moi par ricochet.

Vade rétro ?

Dévotion possédée.

§.129.

Elle me dit oui !

Car elle savait que ce oui n’était pas ni pour l’un ni pour l’autre. Comme un oui de oui.

Vas – y mais que la préparation aille tout de long.

§.130. Enc.

Facile la poésie.

En elle tous les sens permis.

(L’essence.)

§.131. Enc.

Pour combattre la mauvaise humeur.

Il fallait admettre suffisammnt l’être.

§.132.

La notion même de société idéale fait trembler.

Car c’est cette notion là qui ferait que complètement finie on la penserait et qu’elle serait alors imposée.

§.133.

Quand dans ma vie qui aime ce que j’écris. C’était moi et la survie de mon art. Comme  la base j’écris  quelqu’un.

lui c’est pour l’autre qu’il lit.

§.134.

Ces faits qui nous tiennent du symbole.

C’est fait.

De tout ce qu’on peut y mettre de nos existences qui d’être partagées (autant uniquement qu’universellement partagée

§.135. Enc.

C’est parce que j’étais sienne qu’étais double tout ce qui était auprès de moi.

§.136.

J’étais surprise surtout.

Parce que je comptais mes gestes comme devant être fait à quatre mains.

Et ceci était tellement vrai.

Que l’autre était là.

L’homme amoureux n’était jamais seul ni quitté.

§.137.

La douleur faisait qu’on ne se trouvait plus de ligne à parcourir, plus de sentier.

Et que tant plus en contact avec cela la conscience de la limite que les autres avaient du se fixer, pour pouvoir se maintenir en conscience d’une sécurité propre pour pouvoir garder.

Cette perception de limite là aussi, avait été égarée.

On reprenait conscience de cela avec ce qu’on pouvait exprimer.

L’art était le moyen de le dépersonaliser.

C’est à dire qu’une angoisse est un sentiment qui se pense comme étant  la base d’un isolement donc devient quelque chose qu’on va cacher de peur de n’être compris ou méprisé.

L’art permet de doser ses sentiments ou de voir que nous sommes les guerres d’un même combat, l’art permet de voir que de toute forme d’énergie nos sentiments sont puisés et ont donc pour vocation d’y retourner.

§.138.

L’art était le respect au temps.

Tout rytme ou forme qui ressortait de la concentration.

La concentration était la manière d’accomplir une chose dans les plus brefs délais.

C’est à dire suivre la matière dans son déplacement dans les différentes dimensions.

De cette activité là se dégage la forme que la vie a.

§.139.

Je cherchais à savoir ce qu’elle avait pu signifier par là.

C’était peine perdue.

Car pour le même acte.

Plusieurs problème où même la même personne aurait très bien pu vouloir dire toutes choses différemment voulues, différentes signification d’un inconscient qu’elle seule pouvait comprendre, comprendre car justement pouvait réaliser que ce mot à différent niveau en font révéler.

§.140.

Le fait de rendre compte d’une pensée d’un processus.

L’analyse de l’extérieur ou de phénomène intérieur.

De toute façon la conscience apellant quelque chose de séparée, quelque chose d’actionnant et d’analysant.

Donc le fait de pouvoir entrer en réflexion sur un processus né  d’une division alors que le fait de pouvoir le restituer, de décrire ce qui se passe en l’esprit dans les sens, vis  vis du monde avec lequel on est entrain de communiquer, recommuniquer le fruit de ce qui entre lui et nous est en train de se passer. humanise la pensée , humanise l’idée en retransmettant ses connaissances on démontre de quoi, avec quoi on est fait.

§.141.

Il reprenait  manger.

Toujours plus.

L’odeur de sa digestion sans le savoir il tentait de cacher.

§.142.

Il était éperdumment amoureux d’elle.

(Tu vois que tu as tout compris mon minou d’amour !  Tu écris au passé.)

Et la détestait sompueusement pour les défauts, qu’à ses yeux, elle incarnait.

(C’est bien cela ! Tu as parfaitement tout compris.)

Ces défauts là qui justement loin de lui la t(i)en(dr)ait. (Irrémédiablement !)

Il ne sentait pas que sa violence c’était justement que parce que c’était ce qu’elle était, comme cela, qu’il l’aimait. (Là ! Tu déraille !)

Ce qui lui apparaissait à lui comme défaut, c’était dans sa vie à elle les traces du combat qu’elle menait, le combat que chacun mène.

C’est à dire que personne ne sait encore, user, sans blesser.

Ce qui fait peur au groupe.

De Pardon ce qu’il fait qu’il (n’) y en ait.

(Et oui ! ce sera  toujours NON.)

§.143.

La page blanche !

Revient  vivre des choses, qu’on arrive à expliquer.

où exprimer.

où  ordonner.

où fructifier.

où !

L’horreur de la page blanche.

C’est comme ma fonction pas assurée.

Une sensation qui revient à être tuée.

Comme si j’avais pu traverser un pan ? De la vie sans être inspirée. Cela revient à un crime. A une vie qu’on a pas su voir reconnaître, en soi sauver.

§.144.

J’étais fou amoureux car il serait fou amoureux et suivrait mon moi.

Que pour, son bonheur mon bonheur était celui-là.

§.145.

Parce que c’était la même vie que nous adoptions à chaque pas.

Je me dépêche d’écrire avant que le rendez-vous qui m’inspire depuis une semaine n’expire en ce délai et que la réalité qu’on ne veuille qu’à moitié ou pas.

Pas assez pour moi, pas assez pour cela, pas assez pour que mon inspiration continue en vivant cela.

§.146.

Je me dépêche, et puise dans ce qui aurai pu en être avant que ce qu’il en est m’épuise et tout chavire.

Peut être ne le sait-elle pas.

Mais il fut mon amour durant tout ce temps.

§.147.

L’amour, c’était penser à l’autre, que l’autre pense à soi et que l’on puisse penser à la même chose une fois que la confiance après que la compréhension naturelle soit.

§.148.

Ne jamais réenchérir dans un conflit.

La porcherie, l’appat de sang.

Et justement ce qu’il faut apprendre à ne pas faire.

§.149.

La vie même nous apprend cela car à la mort elle conduit.

Ou la vieillesse peut nous apprendre qu’on ait des solutions en paralèlle avec le respect. Mais que tout sauf la force peut faire qu’elle puisse être durablement appliqué. La force bloque le processus qui fait mûrir la réflexion permettant plus aux éléments de pouvoir s’avancer, de se proposer, de s’essayer.

Que nos esprits soient regroupés. la sagesse.

La sagesse qui compose une société, et sa réflexion et où l’être a à chaque fois qu’il prie pour un monde de paix.

§.150. Enc.

Le poête fait des vers, transforme des mots, change de sons s’amuse de ce qui est déjà sur la palette de son papier, fait des mots, des nouvelles teintes puisque associés dorénavant et toujours tous différents.

Le poête crée.

Sa soif vient des mots en premier posé.

Il faut absolument les continuer, car sinon son oeuvre pourrait être poursuivie dans ce que lui considère comme n’importe comment.

Cette soif que ces mots se rapprochent, de ce que lui voudrait puis de ce qu’avec eux et son devenir, devenant du voyage , fait, fit.

(Maintenant que tu es partie les poêmes il ne faut pas rêver je ne VEUX plus en faire le 63 ième a été le dernier, comme un cadeau, en quelque sorte, à titre postume)

§.151.

Le danger de l’acceptation.

Marque d’amour comme d’intérêt.

Prendre toute la force de l’autre.

La considérer.

S’y reposer, s’y repenser.

Les dangers du refoulement = comme de l’intégration.

pas de recettes dans la croissance de l’idée.

Pas de configuration ou association préalables.

Pas de signes de mauvais ou bon augure.

§.152

J’avais encore rendez vous avec elle.

J’avais l’habitude de m’ouvrir, à chaque fois à moi mme.

Et me préparait à avoir encore un coup.

Me préparait calmement (comme un coup de plus) étant à celui ci.

Je passais à la bibliothque avant.

Me refournir en –  -.

De mes pensées et réflexions, dirigeant.

La sagesse apportait le pouvoir de crever en sachant ne plus souffrir de la douleur d’une société en extension ou future extension.

§.153.

Quand on avait perdu l’amour, le chapitre partage soulageait.

(Toi ! Vous ! Peut-être !)

 

§.154.

Il fallait mettre les choses au clair.

Faire qu’on ne devait pas revenir gratuitement au même endroit.

§.155.

L’errance.

La personne avait cette possibilité d’être partout où de tout regrouper à la fois.

§.156.

Être bien, avoir fait cela car même si chaque action mène à se retrouver face à soi même, seul. Face à rien on a tout cela. Je le fais car je sais que mon âme soeur serait en train de faire pareil de son coté.

Je le sais ainsi elle ne va me quitter.

§.157.

La pudeur est ce que l’on ne dit car tout le monde le sait.

Le tabou est ce que l’on ne peut nulle part consulter.

§.158.

Ma main moîte me signifie qu’elle a et donc avait besoin d’autant de vie que de répit ; Et moi qui m’affectais de certains mouvements que j’aurais pu rendre, flambants ou vierges, d’énergie.

Le défi n’est-il point en aucun des mouvements mais bien en une incapacité que l’on se cache à les rendre fuyants.

Capacité qui se révèle quand on admet que tel est ce qu’il faut faire et que n’est préparable d’avance à ceci et que tout y conduit.

S’il n’y avait que des gens comme nous, le monde s’écroulerait.

Sommes – nous les seuls ?

§.159.

Mes pensées.

Toutes mes pensées pourtant aussi m’accompagnaient.

§.160.

Et pourtant toute ma vie éclaté , parsemée car tout les pas de fait en un point, destins voulus pour, voulus vers pour que quelque chose précisément puisse arriver.

§.161.

Tous ces pas ayant amenés à autre chose que pourquoi et comment l’on se rassemblait pour qu’il puisse arriver ?

Ce qui en nous est né, ce qui est parti sans que l’on sache où.

De cré(m)ation en cré(m)ation, On s’oriente, ou se situe par rapport à elle. Mais ne pensez pas les guider ! Elles sont déjà où l’on ne sait.

Cela, cela veut dire ; VENGEANCE !

COMME UNE SORTE DE DIVORCE A L’ITALIENNE EN QUELQUE SORTE.

§.162.

La sensation de l’errance.

C’est savoir où l’on est.

Mais qu’est-ce que cela fait ?

Assurémment rien, et la vie ainsi ne devrait, n’en doit plus, s’en troubler.

§.163.

Je me croyais poête.

C’est ce qu’elle voulait.

Et je m’en exécutais.

Comme un abrutit.

§.164.

T’attendre voulait dire recevoir, accueillir en tenue de chevalerie.

–       –        – ? Attendre en général étant un acte généralement = ( si activement) admis.

§.165.

Le groupe crée et mainten.

Afin que puisse se rendre compte du résultat de son travail.

Peu son cercle d’influence chaque individu.

Il n’y a pas de démon.

Mais les anges aussi peuvent se former.

§.166. Enc.

La muse représentait ce qu’on disait de l’autre et le plaisir d’être là.

§.167.

Ces rapports à l’écriture étaient appeurés.

Car là sa valeur se trouvait.

Et elle était quasi terrorisée à l’idée de se vendre de verbaliser, de préciser des choses dont une plus grande confusion elle tirait.

Son écriture même lorsqu’elle s’en abstenait était la dernière des choses qu’elle aurait vendue, trahie ou laissée.

§.168.

L’art de parler  son propre esprit pour qu’il ne vienne aux autres se buter.

Quand à ma destinée, elle fut ce qu’elle a été.

Interriorisation.

Comme l’art contrarié.

§.169.

Elle sait très bien que je souffre de vanité.

Elle sait aussi que de l’avouer est être une marque d’humilté.

Elle sait aussi que de l’avouer est être une marque  de cherté.

Elle sait aussi que de l’avouer est être une marque de courage.

C’est pour montrer qu’une littérature aussi nulle, cela se fait.

Que viens-je d’avouer ?

§.170.

Comment un boeuf protégé par un oiseau lui enlevant les parasites pourrait-il en vouloir à cet oiseau d’être parti en d’autres lieux enlever des parasites.

Normal que tu passe ton temps à cogiter, c’est un tournant de la vie et puis il faut mieux trouver ce qu’est le plus judicieux à faire avant d’enorgueillir.

§.171.

Maman viens souvent que je lui avais dit.

Ce n’était pas vrai mais il n’y avait pas un jour ou je ne pensais pas à elle alors cela paraissait vrai en ces moments.

§.172.

Je brûlais de vérifier ce qu’elle m’avait répondu.

Ecrire et écrire encore.

Je ne le faisais.

Savoir qu’il me faudrait répondre était là pour me rappeler que plus j’en lirais d’autres et plus j’enrichirais et élargirais les sujets.

Plus la prochaine attente serait raisonnable et comblée.

Et si ce n’est elle alors avec mes livres je m’entretiendrais.

Et toujours non plus, mais mieux douée de patience, présence à la conversation, converse, diverse, le paralèlle, le double, plus à lui, plus les deux on était.

§.173.

«  Elle vous a raconté l’histoire.

– Oui mais l’histoire de ton coté elle n’aurait pu, même s’il le voulait. »

De la nécessaire conservation de multiplicité.

Sinon ombre en  pans entier.

§.174.

Le but ultime permet de coordonner les actions.

= Ne jamais arrêter de réfléchir à sa progression.

= Que jamais ne s’arrête sa concentration.

Jongler avec les actions complémentaires.

= Être occupé par lui c’est travailler sa capacité de persévérance, d’approfondissement, quoi que l’on soit obligé de faire.

§.175.

Ce que l’on dit ce que l’on pense.

Un exemple montrant ce qui bloque.

En lui, en soi, en nous, entrant dans la situation.

§.176.

Tant qu’elle n’eût pas compris que de s’inspirer de toutes les personalités, de toutes les vies (pareillement quand on les empreinte que quand on refuse que cela soit fait)

Etait tout à fait normal que comme cela dans la vie l’émotion pouvant être juchée à toutes les places à leur jour par jour arrivait.

Tant qu’être en sécurité avec les autres et soi même ne lui avait fait comprendre que n’était pas loin du monde notre condition (avérée ou non) de sorcier, celui qui se croit et voit les éléments se concocter.

§.177.

Chacun de ses « omis » Un acquiescement, plus fortement encore vivre mon rêve toujours mieux à la dureté je pouvais résister.

§.178.

Elle qui était pour moi la clef de la relativité je pouvais tou lui concéder, puisque se révélait frivole chaque mot que je pouvais prononcer. Elle qui savait qui j’étais, elle qui me voyais lutter, chuter. Elle qui savait que ne voulait rien dire les mots car par eux une vie ne suffirait jamais à comprendre le sens qu’une phrase contenait, ou bien qu’elle énergie, quelle résolution jamais terminée.

Elle sait que tout cela ont des cris, elle sait que ne cesse jamais cette ferveur, l’ébat, le débat constant que jamais ni même avec soi si on peut être bien jamais l’on ne peut être contenté oû bien résoluent d’accord. Ou qu’est – ce qu’alors le progrès et sa nécessité la vie ainsi regroupé ferait.

§.179.

Elle sût son hétérosexualité lorsquede pouvoir se sauver avec la femme de sa vie fut fait. Parce que l’amour lui fût acordé.

Alors revint toutes les légitimités.

§.180.

Les choses se sont passées comme cela car c’est bien mes erreurs qui ont empéchées mes rêves anciens. Mais rien n’empêche le présent. Rien. Et les rêves eux sont tous aussi splendides. Le rêve, l’obectif entier conservé.

§. 181.

Être fidèle à un c’était pouvoir à tout les autres pareillement se donner.

§.182.

Admettre chaque geste.

Partant d’une énergie devant êre prise.

Admette l’énergie, le fait que rien ne puisse s’arrêter.

§.183.Enc.

L’agressivité.

C’est croire ne pas toucher alors que vivre est être en contact ne peut être divisé.

§. 184.

Aucune communication, aucun donc progrès.

Ces lieux que je devais visiter.

A et B explorer.

De A à B répercuter

Art est.

{

Et rep – art.

§.185. Enc.

Non pas que je ne me rendais pas compte de quoi, de quel sujet pouvais traiter les autres mais de conserver son énergie pour autre chose que cela on avait le droit. Ce qui laissait un momet de flottement certes mais à chacun tenait de ne pas se faire un problème de cela.

§.186.

Le carthésianisme faisait partie intégrante du mysticisme.

Car tout ce qui se passait, absolument tout de l’expression du destin.

Tout ce qui  passait et qui passe moins bien.

§.187.

L’art.

Le plaisir de voir sourire réflechir quelqu’un :

Réponse : il y a ceux qui passeà la T. V.

et ceux qui leur permette d’être plébicité.

§.188.

La leçon que les femmes sachant que l’on ne pourrait se vouer, donner fidélité n’avait bien avant que je la comprenne.

La femme qui me l’a donné à qui je peux l’assurer. Sur le chemin, ma destinée. Destin inné.

§.189. Enc.

Savoir qu’un jeune, je ne pourrais plus le masser, le caresser mais le savoir toujours sentant, raccroché à tout mes frissons, à toutes mes aspirations tant que j’y penserais.

§.190.

Le rapport  à l’art est le rapport à l’autre monde qui se dessinait:

Sciences.

Techniques.

Autre = monde

Monde =  L’autre.

§.191.

On ne savait ce qui allait advenir.

Par quoi donc vouais-tu que je sois angoissée.

§.192. Enc.

On parfaisait la technique.

Dans le sel but que les idées soit plus longtemps et abondemment diffusées.

Choix et chemin.

§.193.

Je vivais dans un cafardathome. Je cite textuellement tes écrits :

J’aurais écris : Cafarnaum et c’est Capharnaüm. Latin c’est certain !

§.194.

Je pourrais lire en prison et si je ne pouvais pas.

et bien je me préparais à tout pour écrire dès le premier pas en possession d’un crayon.

§.195.

Les motsqui me :

qui les berçaient.

M’eux.

Meut.

Meuh.

Emeut.

} Est – Qui ?

Ailé.

Elle est.

Cela ne coute rien de s’amuser je voudrais consacrer mon temps aux autres. Mais quel temps j’aurais.

Aura.

Or – a.

§.196. Enc.

Il ne fallait pas s’en vouloir de se sentir souverain lorsqu’on était débutant, la bonne voie est toujours vécue comme ceci même si on sait être encore puisque très disponible.

§.197.

On se dresse et redresse en travaillant.

On profite des leçons de l’autre et sa propreexrérience faisant.

Révolution évolution.

Tant qu’on a pas confiance n ses talent on travaille le rapport aux autres et son acceptabilité.

N’Être pas de frivolité. S’en rendre compte revenant à s’esquinter.

§.198.

Être fidèle à l’autre.

C’est s’amuser de propositions amoureuse qui nous sont faites ou pas faites.

Il n’y a tellement qu’avec l’autre.

On glandait à longueur de journée.

Il faut dire que c’était comateux, on évitais de se lancer dans le conflit.

§.199. Enc.

La maladie d’Alzheimer apprenait tout simplement à son entourage dans quel état de transe fallait-il se retrouver pour traverser les évènemets qui nous avaient chqué sans cette aptitude à s’en dèconcter.

§.200.

Il ne comprenait pas pourquoi elle disait que c’était pour lui qu’elle écrivait. Elle en avait écrit des romans avant de le rencontrer.

C’était tout simplement que rien de ce qu’elle écrivait maintenant n’avait eût lieu sans l’avoir rencontré.

il changeait son écriture car il était dans chacune de ses pensées, de ses projets.

§.201.

Comme il eût fallut qu’il le rencontre et qu’il entende de sa bouche que c’était de lire les poêtes qui le passionient, pour se rendre compte qu’efectivement c’était de la poésie que lui même faisait.

§.202. Enc.

Je savais qu’il ne répondrait pas à ma lettre. Non pas manque de politesse mais parce qu’il voulait éviter que je puisse quoique ce soit espérer.

Il fallait penser, cogiter mais l’image de l’autre comme par peur de l’action, de l’investissement on tentait par une image de ce fait emprisonner, ainsi donnait au mental une raison, une application, une idée sur comment était, s’était-il emelés dans ses propres croyances, comment lui – même s’aveuglait, se racontait des histoires pour finalement s’être tellement embobiné que de ne plus pouvoir bouger.

A la seule différence que chacun son histoire connaissait et donc garder intact les moyens à dispositions pour qu’une fois immobilisé, fil par fil on puisse se défaire parce que sachant de quoi c’est fait.

En gros se mettre en état, en position de responsabilité et de rattrapage face à la cata plus vécu, conçu que tombée.

§. 203. Enc.

Je n’avais pa à me méfier de mes qualités si elles paraissaient me mener dans l’impasse. C’est que l’exercice à s’en sortir aller faire que je puisse emprunter les chemins le plus vertueux verdoyant après.

§.204.

Observer les gens. S’inspirer de leur attitude sont autant de cartouches.

De leur réaction que fait à notre contemplation sont une piste et prêt à l’emploi.

Cette année là prenant place quand les réactions spontannées coupent court à l’élan d’un torrent dont on ne pourrait supporter la pression.

Appui à la rime.

§.205.

Le corps est l’expression d’un Shera faisant transport d’énergie c’est pour cela qu’à son image l’esprit doit s’hamoniser à la puissance de sa réflexion et ainsi ne se voir désintgrer.

§.206.

Chacun a une image de comment il pourrait aider tout cela. plus on complexe car l’idée vient de quelle contrainte est fait notre micro-monde pour qu’on puisse envisager comment répercuter notre savoir dans l’au dela.

§.207.

J’avais besoin de quelqu’un qui lisait ce que j’ écrivais et qui réfléchissait au thème que nos esprits avait décidés de pouvoir classer.

J’avais besoin de ce qu’elle était.

§.208.

L’est parce que je savais qu’elle apprécierait et chercherait à comprendre à aider ce qui me passait par la tête, qu’elle fut la première et ‘espère la dernière à qui j’avais envie de montrer ce que j’écris.

Parce que je sus par elle que des gens pourrait aimer ceci.

§.209. Enc.

Quand ces hésitations sonnaient en moi comme une preuve qu’il n’osait su moi se reposer (et que j’allais pouvoir lui montrerque j’étais bien) Quand c’étit l’impression emporante en moi qui n’en croyait rien.

Elle n lui faisait pas l’amour.

aussi loin de pnser que son corps puisse ête un don plutôt qu’un fardeau.

§.210.

Pour nous les vacances c’était se retrouver. Rester en communication à nos passions. chacun la portait et en même temps tout pouvoir dire.

un couple dans la vie, du lever au coucher, du tout au tout ainsi que du métier.

§.211.

Ma discipline, mon effort mon effort des cornihons prenaient. les quls sans tous les visages qui se portraient volontaire la place laissait.

§.212.

Je mangeais chez moi.

Le rendez – vous sera manqué encore une fois.

Mais au moins je ne rentrerais pas dans mon bordel.

Comme tu dis !

§.213. Transfert, copie, Dan Caro.C’est trop drôle.

Je me sentais être une vie qui lui permettait à tout être d’être aussi. Nos existences but du but du savoir, la conaissance, convergences.

Quand tu sais c’est trop tard c’est que la connerie a été faite. Puisque la vie n’est qu’une suite d’apprentissage des leçons des choses que :  Nous n’aurions pas du faire.

Ce savoir est ce que l’autre m’apprend parce que je le prend = définit plus agrandi ce que entre (homme ou en commun c’est à dire les éléments qui vont lui permettre d’être en symbiose avec le monde et ses besoins.

Nous apprendre à voir et à sentir ls mêmes choses = les contrôler et laisser la place à ce que sont traités des étrangetés les remplaçants.

§.214.

La connaissance sur laquelle repose la communication en soi.

Et qu’est-ce qui résonne en soi qui s’est communiqué par info et l’universalité réveillée pour maintenir le monde. L’autre décodé et comme sentir et vers l’ailleurs ou l’après aller.

§.215.

Je devais privilégier tous les mouvements qui m’amenaient vers mon art, même l’amour de ma vie comprendrait le choix tout simplement parce que lui de moi est ce qu’elle même attendait était le comment j’étais attendable puisque déjà unique, solidaire m’animait un déjà pensable et tout ce qui se pensait, à plusieurs et par tous, si on laissait tous le travail, étant réalisable.

Parce que c’est comme ça que l’amour s’exprimait.

Que l’on se sentait le considérer. Que l’on s’y retrouvait.

Et qu’il alors qu’il soit partageable, multiplicable, multipliable, toujours plus étendu. L’amour donc le fait d’y voir l’autre, donc soi. Etant une preuve d’en être capable. Même si sans celle – ci par essence ou l’était la forme humaine en tant que forme cette manifestation recherchait.

L’existence que cela s’appelait. La conscience elle aurait du être le fait, le jeu, qu’on savait.

Qu’il n’y avait de bon ni de mal juste une force qui mangerait et que l’amour e ce qu’on savait qu’on en avait partagé (bien que étant tous partie d’elle partagé n’était pas approprié.)

§.216.

Je ne devais pas confondre. Son refus ne ferait pas mon malheur. Simplement il fallait (et le boneur était que cela toujours il le faudrait)

Que je continue à chercher.

§.217.

Je n’osais pas mettre mes vêtement préférés car même si je les portais  que dans ces ocasions que j’espérais qui réussirait comme je le voulais. Alors ils seraient mis en pièces avant.

Disons que de défaire encore je les tenterais.

Je ne devais pas stresser. Esr-ce que toutes les femmes que j’ai aimés.

Reviennent quand l’idée de au coté d’une nouvelle, Me happer de n’être effectivement trépassé ? Elle est folle mon minou

La femme ma moitié, toujours plus moi même et par cela sa vie ne m’esquintait.

§.218.

Poches sous les yeux.

Le fait de se les frotter, fait rentrer l’air.

§.219.

je réalisais des coses(dans le sens d’accomplir, comme de réfléchir à) simplement pour pouvoir penser à elle atisfait de moi. Simplement pour débloquer de l’énergiequi s’impliquera directement en cela.

Simplement pour toi.

§.220. Enc.

La vie des hommes n’était structurés par rien d’autre que par leur vie de famille et c’est ainsi qu’en droit tous puissent avoir un membre était donné. Ainsi le pouvoir en un, dans les mains de un était donné assurait soit une continuité.

Les choses ne pouvaient se faire sans lui elles étaient passées en fusion de lui du début jusqu’à la fin.

Soit si pas continu assurait alors la fatalité. Ce n’est pas comme ça mais à moi je ne peux pas en vouloir, ni à l’autre, ni à celui qui a tout droit d’en décider.

Ainsi les destins étaient-ils lourds à porter.

Ainsi on ne se lancait pas dans n’importe quel danger(ce qu’on faisait à partir du moment ou psychologiquement dans une situation d’auto resposabilité on se trouvait.

§.221.

Je rigole des fourmis au fond de mon verre de rouge, trépignant quand je le finis par le vider. Je rigole à la pensée de la cuite qu’elles viennent de se payer.

§.222.

Aprés des semaines à régler des problèmes, on ne s’offusque plus de quelques après-midi en vues.

§.223. Enc.

La dévotion à son art doit combler (ce que nos efforts pourraient s’ils étaient mis en d’autres espaces à nous apporter) La création naît de se dire en dehors de sa table de ravail ça et ça aurait pû être fai (nécessire donc d’un rapport eterne à son art, une vue sur ce que l’atre peut réaliser) et donc puisque à ça j’ose penser, voir, pour cela je  me sers et comment en être éclairé, alors que cela se refuse dans mon atelier.

§.224.

Apparition du handicap par le sport. Par ex suralimentation afin de doper la machine lui fait faire plus que son état actuel l’escompterais. C’est à dire aller certes plus vite mais d’une façon par laquelle on continue à s’abîmer une fois l’effet « doper » disparu alors que si alimenté juste ce qu’il aurait fallut et courir à un rythme qui aurait permis aux mesures de trouver comment en même temps se muscler, s’assouplir, se trouver en position afin d’être équilibré.

Remarque pas besoin de courir vite pour travailler sa puissance et son efficacité (légèreté, économie d’énergie, équilibre et donc souffer et son endurance travailler) quand l’énergie (bur implicite) dans tout le corps va circuler et des bouts de corps s’affirmer et s’allier.

§.225.

Quand t’as l’impression que je me fous de toi.La vérité c’est que je me fous de la vie comme tout le monde ici et comme il est sain de pouvoir le penser.

§.226.

Art – lieu de culte.

§.227.

Celui qui n’avait pas envie de crever c’était celui a qui il était permis de se battre san arrêt, quidonc nepourrait remettre en cause son utilité ou sa capacité toute naturelle à se transformer. l’adaptation incluant une nouvelle fonction à se transformer en rôle.

§.228.

Cette femme du nord.

Aux cheveuxcouleurs des sables desséchés.

§.229.

On aurait pu dire que je m’étais conduit comme une alotrue que je n’aurais pû le nier. Mais de l’avoir fait ainsi car pour la femme de ma vie c’est ce que j’avais fait.

Je ne pouvais m’en excuser.

§.230.

Ces phrases à rallonge, ce n’était pas comment que je percevais la chose mais aussi quelle pincette je mettais pour que l’impresion, le senstoujours rien que lui pluriel) lui soit redonner autant que du moins proposer.

M’étais – Mettais.

§.231.

Je priais pour qu’il m’invite le soir même il n’aurait pas le temps de relire.

( C’est l’aveu d’un coup de poignard dans le dos, cela, mon amour. )

 

§.232.

Elle me réconciliait à l’écriture. Je voyais ce que faisait le message quand on rentrait en son centre.

Nos échanges ne pouvaient certainement que se comprendre que de nous. Puisqu’au fur et à mesure chaque mot voulait en dire cent et que nous pouvions sélectionner le pourquoi du comment.

Nos échanges me rapellait qu’elle bie elle faisait.

ce particulier qui tient nos connection et continuation à l’oeuvre plus générale entière.

Puisque le général est que tout les gens puissent se sentir et choisir.

Ces mots qui m’appelaient.

§.233. Enc.

Les signes dans la vie, arrivent.

Ils viennent, certains viennent Mais que fait-on de ceux qui ne viennent pas.

Un signe transporte ce qu’on lui a attribué déjà plus inexorablement à quoi dans sa nouvelle apparitionon le raccrochera (signe anonciateur mais rétroactif dans un – deux jours – 12 ans ouplus de 123 siècles de cela)

Le signe arrive les bons jours, les jours pareilsà chaque autre (sauf que peut être on compte demander en mariage ce jour là) [ Tu  t’en souviens  encore mon minou ?] Alors le signe sera un pic émotionel, réactionnel pour que s’empreinte à jamais cette journée-là. en fait c’est parce qu’on le souhaite que le signe deviendra.

Il est également une sorte de relativisme. Cartoute sa vie peut être convoyé par l’apparition d’une couleur.

– On ne peut se séparer de ce symbole.

– Si je m’aimais d’une couleur, je m’habitue à l’émotion, la conjure comme cela, je serais moins  troublé par la rochaine apparition de toute sorte.

– Il est l’instauration.

D’un rapport aux choses.

Puisque j me sers d’elle, explique les forces que je donne, je vois aux formes pensées comme non vivantes et qui poutant combattent.

je crée une sorte de pont, de terrain de négociation entre elles et moi.

§.234. Enc.

Toutes différences sont aussi ma main mise sur l’évènement. Mon interprétation libre, la modulation, la traduction qu’ainsi sort de soi.

§.235.

Et que dire des signes qui se passent et que je ne vois pas.

Ouvrez les yeux ouverts, se tenir à l’affût les gars.

§.236.

Je n’avouais alors que d’être mariée le jour même où je dus lui expliquer qu’elle sengageait à un soldat  (à lui, à mon métier, à ma famille, à mon engagement, àtout entourage que j’entretenais) était sufisant à tut le bonheur que je pouvais imaginer. Et qu’il me fallait maintenant l’honorer, comme intitulé du combat demandant.

§.237.

Son coté sauvage rassurait ce mêe coté se trouvant inexorablement en moi (e coté ainsi que les autres que chacun a et permet aux autres de s’affirmer slon ce que l’opportunité produirais.

§.238.

Je n’avais pas ce problème. je n’étais pas préoccupée par lui à la différence de la majorité des autres.

J’en avais d’autres.

Il me suffisait de régler ceux que j’avais (on ne règle pas l’avidité par l’acquisition mais justement de réaliser que l’on se repaît dans l’acte de produire et de distribuer de l’inutilité [nourriture de l’esprit et corps entretenu – un bon état lobal pour l’effiacité.]

Nos problèmes avait été garant que je ne sois par les autres défauts touchés.

Mes problèmes me tiraillaient mais au moins je serais où ils étaient et mes non-problèmes euxme permettaient toute flexibilité.

§.239.

Le travail permettait de combattre le flou, le comment on aurait pusans cela être à la merçi de toute subjectivité. Inclus la nôtre.

§.240.

Le duo est que l’un puisse souligner ce que l’autre avait du mal à expliquer.

– Vas-y dis.

– Réponds d’abord.

– J’ai passé la question en premier.

– Oui mais c’est moi qui faisait tout pour l’éviter.

§.241.

Depuis des années dit-elle.

Depuis toujours.

Il y a une date donc une date avant.

Les choses peuvent changer car toute ont un départ.

Repart – part.

§.242.

A 20 kilomètres.

Et putain à 25 000 kilomètres – Maintenant et quand ?

Pressentiment.

Se laisser aller à réfléchir.

Est une prédication ou prévention de chaque instant.

§.243.

Le pionier fait réfléchir les gens, les gens se font la main.

Le pionier est celui qui voit de plus près les océans de méfiances, denon – retenus, horreurs ou merveilles qui s’empare ou s’irradie des gens.

§. 244. Enc.

Nourrir, et être nourri par la communication, la force humaine.

§.245. Enc.

L’ art est une précision de ce qu’on connaît comme tout avancement dans la vie.

§. 246.

Lire un poête c’est ne cesser de se dire A tous ces espaces et champs sans qu’il ait voulu y inscrire une signification.

§. 247.

J’ai pas le droit d’avoir envie de te faire l’amour ?

Si je suis récompensé à la fin !

§.248.

Elle a la main mise sur moi ?

Tant mieux !

Oui en fait            à fait de l’effet.

Est fée                  être fée.

§.249.

Le coureur va comme autant de gens peuvent ainsi être sous sa protection.

Qu’est – ce qui permet de courir sinon sur ce quoi nous reposons.

Pour n’attirer aucun traître.

Pour que l’on ne donne à la traîtrise pas l’opportnité d’exister.

Il fallait ne craindre aucun danger.

§. 250.

On tenait les parlementaires, diplomates avec pleins d’argent, pleine sécurité. Ainsi leur prue de rien faisait croire à l’ennei du bien fondé des politiques.

Remettre rien en cause.

Tout roule pour oim et onai (ainsi qu’à l’administré)

§.251. Enc.

Le syndrome de la dénonciation.

celui qui dénonce se veut parent de celui à qui il impute une faute et manie a celui à qui il le dit.

§.252. Enc.

Le guérisseur a comme spécialité le don qu’il partage avec celui qu’il va soigner.

Être sensible.

Avoir déjà combattu. S’être fait mal.

Et avoir gagné.

Donc pouvoir ressentir ce que en autre partie commune chez l’autre, comme chez soi il est en train de se passer, accéder à ça pour pouvoir apaiser.

§.253.

Se lever tôt – Se coucher tôt.

Mieux se reposer.

§.254.

Se coucher tôt c’est faire se reposer (confier à la décontraction du sommeil – La récompense) les questionnements

(Les questions. Idiote, imbécile de greluche !), stress de la jounée.

Se lever c’est être en forme et pouvoir mettre de coté.

(Car résolu o une nouvelle journée entière devant nous pour y remédier. (100/100 du temps que l’on peut en une fois accumuler)

Ou motivation ayant devant elle les meilleures conditions pour exploser.

§.255. Enc.

Préparer.

Je m’arrêtais de faire la tête, car le feuillet ayant été préparé avant que mon courage soit menacé, je voulais (parce que confiance inchangée) lui confier ce qu’elle avait pû couper.

l’échange comme cela (par exemple le chassé croisé d’une écriture à deux voix.

Répondre à la précédente avant de voir la suivante.

C’était mettre en avant ce que l’autre ne supposait pas, ‘attendais pas de l’un.

On s’offrait des continents à ainsi procéder.

L’autre devenait automatiuement le miroir de ce qu’on croyait de l’autre et forcément la marge donc juste comme celle où l’on se plante.

Ainsi que comment est-ce que l’on peut être lui.

Le doit – on se féliciter ou précision nécessite ou ce qu’o ne connaissait absolument pas.

cette part incompréhensible de ce qu’on croyait puisque justement va imbriquer quelque chse nous ayant dépassé et aynt pour conséquences invendable de nous échaper. L’autre est ce témoin, le rapporteur de cela.

§.256.

Ne pas s’arrêter de travailler, être tout le temps en travail chacun de nos moments, de nos raports, le même rendement de fruits systématiquement (car recherche intuitive, le comment faire que le résultat montre le bout du nez.

La rencontre, la discipline, fait que l’on puisse naturellemnt se travailler le regrouppement.

Le 17 Mars 2006.

 

Fin de Doc 24.

 

A revoir et corriger.

computerised extra Doc 23

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

computerised extra Doc 22

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Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

S’il vous plait, téléchargez prioritairement les DPF documents en page 1.

 

Les documents ci-dessous, tapes électroniquement- sont les copies partielles – i.e. présentation de certains tomes mais pas dans leurs version intégrales – et parfois non identiques ou incomplètement déchiffrés.

Ces postes, tapes digitalement, ne sont la pour lecture de textes premiers mais pour permettre de retrouver ou rencontrer les textes ou la nature de leur portée.

Les originaux et copies certifies sont en fait les photos de manuscrits, ceux-ci n’ayant pas de traduction électronique, n apparaissent et ne peuvent être enregistres ou répertories par ordinateurs.

Donc une fois que sur ce site il est préférable que vous ouvriez et enregistriez les documents DPF puisqu’ils sont –plus surement- le plus proche de ce que l’auteur a écrit.

Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

Doc 22 Caroline.

 

Pages ; 1046 à 1064.

§.1.

Tisser des relations c’est se mettre en confiance et aussi rendre les exigences personnelles aux uns et aux autres beaucoup plus acérés, âme de la tension.

Comme envers soi-même.

Doser, d’oser.

L’implication, le devoir au travail, ne pas faire n’importe quoi avec cela, relation avec gestion du temps qu’on va y passer.

Proportion des engagements de sa vie.

§.2.

La raison femmes pas guérisseuses parce que porte les enfants.

Femmes nourrices (importance du lait en bas age).

Importance de la portée. La femme travaille moins et important que ses instants de rendement minimum soient centralisés, par à refaire = bébé survivant.

La femme aussi s’occupant des enfants, des blessés.

Femmes plus grandes résistances à  la maladie passé historique avoir été censée présuposée aux mourrants

 §.3.

J’entends au loin un Tapie (s) que l’on bat.

Un enfant rit par saccade dans le même temps.

§.4.

Si je n’avais pas eu comme perspective que la misère.

Par rapport aux mieux nantis.

J’aurais voulu être le roi des bandits. 

§.5.

 Tête du progrès tentant d’ effacer les poblèmes actuels et de compenser ceux du passé.

On avait pas celà voilà pourquoi l’on souffait.

Alors que la souffrance naît du manque mais c’est par le manque de déséquilibre que le manque est alimenté.

Art de la guerre prépondérant privilège de la survie sur la qualité de la vie.

§.6.

Ils détestent, ils haïssent les fashos.

Les branquignoles, les tébés des show.

Les encore plus fashos parce que se réclamant des droits de l’homme.

Ceux qu’on rien co;pri qu delà de zéro.

§.7.

En général les branleurs jouent les hros en ayant rien fait de leur dix doigts de leur vie.

C’est donc ainsi qu’ils la traînent mais ne la reconnaissent pas tant que mieux et ainsi à autrui s’en prennent.

 §.8.

Zou! Allez!

Absolument pas à connotation.

J’ai entendu dire à Claude Chabrol que les prolifiques n’avaient pas pour but de créer la perle mais de pouvoir se protéger un peu des tempêtes.

Et que sa passions des choses pas super l’avait au moins aidé  se débrouiller pour les choses plus élaborées.

Et moi je déteste les brouillons ainsi tout ce que je fais c’est sur une copie que je vais l’mprimer.

le boxon et ce que je n’ai pas pu trier, ordonner.

La justification, l’explication en elle même de tout ce que je n’ai pu en dégager.

La cohérence des éléments qui étoufait.

Etoufait aussi les ratés des essais.

§.9.

Changer de plume, me repose la vue et la main.

                        d’encre, de format et poids de stylo.

§.10.

Juste un mot, un mot et perds tou son sens, sa dimension ce qu’on en a fait.

 §.11.

L’art est une manière de mener un projet de A à Z sans que personne ne puisse s’y opposer ou que l’artiste dépende lui même de ce que, comment l’autre, va s’y impliquer.

L’art c’est que ce projet, cette réalistion puisse par tous ceux qui le voudraient être regardé.

L’art, l’art majeur de son métier moyen universel de regroupement, d’échange.

 §.12.

Le dénominateur comun des techniques utilisées.

L’art et la matérialisation de la pensée.

La science permettant à l’homme (amélioration condition de vie plus condition de communication et d’exploration d’autres possibilités de structurations (structures) d’étendre la poussée.

 §.13.

La pratique personnelle l’expérience humaine pour irriguer.

  §.14.

Il révait d’une très épaisse moquette tellement que dans son appartement il sentait ses os se geler, le froid envahissant toujours plus son corps sentait qu’ainsi  une allure ingrate prématurment il utilisait.

 §.15.

Ma parano mes manuscrits  protéger.

 §.16.

La connaissance du bien et du mal ce n’est pas de savoir ce qui est bien ou mal car la connaissance est aussi chose à évoluer et que rien n’est ni mauvais ni bon parce que toujours fait réaliser en dehors de ce savoir. On peut essayer de les juger mais on fait les choses parce qu’on les faits, en dehors de toute sainteté ou maturité.

C’est simplement de remarquer qu’à des moments nous sommes mal et qu’à d’autres on est bien et qu’ainsi on tente tout ce qui est en notre pouvoir pour que puisse cesser l’un et l’autre continuer.

La morale c’est cette sensation par le groupe délimité.

§.17.

Réflexion d’un auteur.

On tue ce qui pour vous n’a plus ou pas de sens.

La progression de tout cela c’est ce que sera en mesure de l’individu, son choix de morale, on choix de groupe.

§.18.

Groupe lui-même évoluant à partir du moment où aux autres il ne se ferme pas.

traiter l’infos et les problèmes un à un.

La conaissance ni du bien ni du mal. Car c’est éterniser, se fermer au long cheminement de l’existence que de vouloir déterminer les choses ainsi.

C’est croire devenir le centre des choses en gros c’est courir à sa perte. 

§.19.

Je te trouve monastique.

C’est juste des restes ?

Je suis doux attentionné aux autres comme je le suis avec moi même.

mais ma pasion c’est la cause, car seule elle change avec moi.

§.20.

C’est vos cartons de déménagements qui ont ramenés  les cafards.

Moi j’ai toujours habité des lieux hauts standings. D’ailleurs pour moi un cafard est aussi lointain que peut l’ être la forêt amazonienne de quelqu’un vivant à une latitude supérieure à celle des tropiques n’ayant ni télé ni –     -. C’est à dire encore beaucoup de monde.

§.21.

Je me demandais s’il ne fallait pas que j’arrête de guédra.

§.22.

De deux choses l’une, je pense, ne résistais à une mettre plutôt avec quelqu’un avec qui je pourrais changer le plus de mot d’ordre général. Je ne résisterai pas à l’appel d’un psychique d’aventurier avec lequel je pourrais converser.

Conclusion. Je vais être sûrement appelé à changer de donzelle.

Et si ceci entachait une quelconque capacité, et bien j’en payerais, j’en payerais les frais,

Et en ce qui concerne les excuses faites à l’assemblée par rapport  ce que j’aurais pu faire alors si j’avais su ne pas y aller, alors disons que ce n’ étais fait. Le fatal y était.

                                                                                Le fatal y tuait.

Ce n’était pas l’atteind du sexe mais le sentiment de – – ainsi ce que plus largement il représentait comme si comme cela je pouvais avoir l’impression d’être manié.

§.23.

Le sexe irremplaçable dans l’explosion qu’il était. Peut-être si je l’expérimente au lit, j’essaye dans la rue de moins draguer, ou sinon de draguer prendre du plaisir sans être touché. Peut-être est-ce aussi de cela le plus qu’on enverrait se débarrasser.

§.24.

Pas boire + manger .  .  . chronologie boire + manger et bien espacer les repas.

L’intestin gonflant.

L’intestin colmaté.

§.25.

Se revendiquer comme ne l’étant pas, c’est l’être alors.

Projet. Facilité engager dans partenariat entre association de point pouvant avoir des difficultés.

§.26.

Si pas d’objet. Ou socialement depuis qu’on était plus 12 heures par jour au boulot, nous  n’avions pas d’autre fonction que d’être des consomateurs T.V.

Travailleurs nous étions démunis d’outils, quand ils avaient finis de nous utiliser.

§.27.

Problème respiratoire, nasaux.

Tendance  mettre machoire inférieure vers l’avant.

Correction de cette tendance. Nez qui peut se déboucher.

§.28.

Sans le sport mes membres semblent se disloquer.

Je deviens raide d’avoir reconnu de quelle souplesse était en mes réserves, attributions oppérantes et  cultivées. Cette clef, irrefaçonnable que j’ignorais.

§.29.

Comme j’avais appris à travailler ma mémoire,

J’apprenais à retenir ce que j’avais à écrire jusqu’à ce que je sois seule pour y aller.

§.30.

Etait mon secret ce que j’avais traversé.

§.31.

Et la vie gardait aussi secrète ce que je n’avais pas sû d’elle, ce que je n’avais su lui apporter comme justices, raisons, secours, bienfaits.

§.32.

Système de la dote seule assurance du régime patriarchale, héritage trace de socité archaïque territoire et bestialité.

§.33.

Quand lorsqu’on lit, on ne doit pas faire reposer le poids du papier dans ses mains, on fatigue mais caller le papier. On doit faire en sorte que l’on ait pas de poids à porter, que chaque chose que l’on draîne soit, par la disposition dans laquelle on est placé, calée.

Condition indispensable  pouvoir le tout au mieux continuer. Que rien ne soit laiss négligé. On y passe la majeure partie du temps mais seule route sur laquelle on ne va pas rester coinçé.

§.34.

Pour tuer les cafards.

J’attendais qu’ils se mettent à découvert, le laissant monter ou courir à sa perte.

Sinon un à un déplacer les objets me permettait de foncer sur lui.

Cela aussi je l’ai appris par rapport à avant où je fonçais sur lui sans avoir cela auparavant,  chaque coup, faisant un faux mouvement, un coup pour rien, du bordel chez moi si tant est que je n’ai rien des objets ou de mes muscles mis en prils froissés.

§.35.

 Le jeu des gars du foyer.

Un jeu parce qu’on pouvait s’en préserver.

Une danse, un passe temps, un rythme de mouvement, qui pouvait changer dans ces chambres si petites où l’on se servait de si peu d’instrument.

§.36.

Irak. Armes massives. Vérification.

Oppression d’un peuple. Déjà vérifié c’est peut-être pour cela qu’il n’en est plus question.

Au point de vue certitude, c’est une affaire réglée.

§.37.

Compagne! S’habituer à la présence de l’autre sans que son attention ne varie. Est possible avec une personne régulière.

§.38.

Fragilité cheville ; Lit et autres positions.

                        Pieds toujours comme en pointe.

                        A table je me déplie les jambes .

                        Mais ! Genoux 90 0/0.

                        Les reposes et chevilles aussi.

                        Tire sur les muscles, tenant les articulations.

§.39.

Je ne vais t’écrire mais prendre le temps de taper à l’ordinateur notre prise de courant de la journée.

§.40.

On désirait sa mise sa montée en puissance, on le savait délicat.

§.41.

 Juste jeune pour que sa maturité m’intresse et que je puisse conduire le bateau, c’est sans chercher à savoir fouiner qu’elle saura s’attacher, s’occuper de moi.

 §.42.

Les vieilles te demandent des comptes et moi je ne dois la résolution de mon bouquin  personne d’autre que moi.

Peut-tre est-ce parce qu’elle paraît comme ça que je le met sur le dos de notre jeunesse ce que j’en aimais.

§.43.

J’avais compris sa tendance à l’acte passionné , impulsif mais non calculé. Elle était encore trop peu consciente de la complicité , de toutes les pratiques, les moeurs et larcins qu’elle entretenait pour comprendre qu’on n’avait pas besoin de deux mots et explications, confirmations pour comprendre de quoi la trame d’un individu serait chauffé.

§.44.

Einh ! Que tu l’aime ce fromage blanc!

Ceux qui en bouffe à s’en faire éclater la paillasse.

§.45.

Le niveau de responsabilité, de diplomes, de connaissances, d’équilibre et de travail dans sa propre vie qu’il faut atteindre avant de pouvoir escompter être aussi perfomant sur ce qu’en apporte  la communauté.

Etre le plus performant possible pour le plus apporté en laissant pas le temps  s’exercer en faveur de la communauté ses qualités.

Car le système ne l’ayant pas ainsi instauré.

Et tant que les valeurs pourront se vendre et non revenir.

Comme il en est parti des états, de la nation par la nation.

§.46.

L’homme travaille pour l’homme sauf s’il est plongé dans un système où il est loi institutionnalisé de pouvoir  s’entre-bouffer, profiter.

§.47.

Etre professeur, rechercher et pouvoir vivre d’une recherche dont nous serons autant dans le résultat matériel que la recherche a continué, accessible à ceux qui auront droit d’être à cela formé (et  leur tour former.)

§.48.

Etre amoureux, épris c’est accepter de renaître  la vie.

Comme un être neuf de tout ce qui a pû nous user de tout ce qui a constituer distance, renoncement méfiance, préjugés.

§.49.

Je me suis répété au gré des occasions des dizaines des centaines de fois les chiffres en anglais, ils n’arrivent pas  entrer, (Par rapport au mot de vocabulaire qui n’ont besoin que de dizaines) (Tellement c’est en français qu’ils sont dans ma tête martelés) Pour arriver  les prononcer avec un aussi bon entraînement.

§.50.

On ne peut trouver personne d’imbécile ou intelligent ou d’une manière ou d’une autre se sentir, vivant ou se dévaloriser.

Car chacun avec nos expressions particilières c’est le même jeu que l’on est en train de jouer. Avec les billes la même cible et les points reviennent  l’équipe qu’on a constituée (partir de quelqu’un s’y englober)

§.51.

Ces inter actions c’est à lui même qu’il se les adressait essayant ainsi de se recadrer, déterminer (Savoir avec qui et qui il était ?)

Et se réarmer (au sujet absorbé) 

§.52.

Que chacun (Pour tout un chacun) voilà l’ordre moral et philosophique.

§.53.

Le sexe nous tient en haleine. C’est le symbole du corps auquel nous pensons (par le besoin d’entrer)

qu’elle passe l’évaluation de notre énergie.

§.54.

Ne s’avoir pas que.

Je ne suis pas amoureux de toi mais le problème est que je sais ce qu’est tomber amoureux et personne n’est amoureux de personne c’est une illusion.

Ue façon de s’occuper l’esprit ou de personnaliser l’idéal auquel on est. Celui pour lequel tient notre valeur à la vie.

§.55.

A chaque fois que revenait l’envie de dégueuler c’est que ressurgissait le souvenir d’eux.

§.56.

Je laisse ce que j’ai écris avant pour l’année sabatique d’aprs le D.E.U.G.

Ce que j’écris maintenant je le happe et me paraît beaucoup pus anodin, superficiel ce que je prends de temps non plus pour penser.

Ce que j’ai d’une pensée puis deux écris (Si cela n’a pu se faire dans le même temps puis trois relire et la dactylographier.

§. 57.

On et tous masculins féminins la fois.

L’androgyne est celui qui est les deux en même temps.

§.58.

Il faut travailler  la mesure de ce qu’on veut être.

Il faut aller, être persévérant au sport si on veux prendre son pied, baiser et toujours plus le sport deviendra exigeant et la vie reprendra dans le même temps  nos exigeances que nous aurons auparavant les siennes satisfaites.

 §.59.

Si c’était le seul moyen pour acomplir ce que de mon devoir je pensais qu’il était alors, n’avait plus d’importance, la durée de ma vie,  ma santé.

Le devoir qu’on doit,  la vie que rien ne peut arrêter.

Ou notre mort, ou notre extinction si on n’a pas sut y arriver.

Mais cette notion de devoir est là par nature, et s’offrir dans nos esprits à mesure parce que l’on devient conscient de l’usure dont on est l’objet, le devoir et l’absolu nécessité de se protéger.     

§.60.(Attentif numérotation refaite depuis 60)

Cela fait 15 jours qu’on est ici.

On dirait que cela fait des mois.

C’est le propre des nomades du campement, nos objets sont nos souvenirs ainsi que nous sommes obligés de nous en séparer, on reprends les vieux qu’on peut sur nos bases nouvelles trouvées et puis aussi nous allons de lieux abandonnés en lieux abandonnés et ce n’est pas qu’on le laisse faire mais les choses ici ne sont pas sur mesure à chaque fois il faudrait les changer.

§.61.

Et puis parce que c’est notre manière de vivre et que cela fait longtemps qu’on est chez nous là où on s’est installé.

§.62.

Je suis lesbienne parc que ce qui me fait bander c’est une femme certes (Mais cela tout comme un homme, tout comme j’ai aimée des bonnes femmes)  qui ne peut avoir d’égal, c’est une femme qui quand elle me voit exulte sa féminité autant que sa virilité.

(Docteurs, ditent-moi dans le creux de l’oreille que cela ! Se soigne?)

§.63.

Ce n’était pas très suivit (Je n’avais pas le même format) mais  chaque fois que j’exécutais ces gestes manuels que je l’avais vu faire j’avais l’impression d’être tout comme avait été mon gand père.

§.64.

En tant qu’homo je serais tout aussi catastrophée que mon enfant devienne hétéro (Si j’avais été élevé dans la même propagande homo qu’elle fut par nos parents hétéros) de peur que mon enfant ne s’épanouisse pas. Et si je l’avais vu s’épanouir alors la meilleure des choses que puisse souhaiter une mère  son enfant c’est de s’épanouir évidement. 

§.65.

Je ne leur rentre plus dedans avec ce sujet, d’ailleurs, je n’en parle qu’à demi-mots car c’est bien le mot qui fait peur tant qu’à l’idée ma mère y est habituée et eux se rendre compte que de mon envie.

§.66.

Les gens quand ils se revendiquaient branleurs et malotrus disaient, pour moi dû au mélange des femmes.

Classification! Voilà ! Comment ils arrivent à ne pas avoir à songer à leur propre déshumanisation.

§.67.

La manière qu’avait mon père de désigner par engin toute personne qu’il aimait bien. Son don d’observation.

 §.68.

 Je gardais les objets que j’avais pris, stylo encre bleu au lieu du violet qui me plaisait.

Le mieux, en personne toujours au violet. Mais écrivant avec le bleu le regardant et l’aimant même après des années de bons et loyaux services comme un objet curieux.

 §.69.

Le vif parmi mes couleurs mates, une touche d’excentricité.

§.70.

On avait tous peur d’être pris pour des imbciles évidement puisqu’en gros, les préjugés, ou parce qu’on jouait à ce qui ne savait, pouvaient plus, des 3/4 d’entre nous, affamer.

§.71. 

Les coups du sort faisait ressortir nos fragilités nos plaies à panser ou les points délicats qu’on avait repérés.

§.72.

Plus on dégraissait un problème plus on savait, on avait une vue fixe, sur ce qu’il y avait à opérer.

§.73.

Les notices de produit détergent où c’est marqué en petit ne pas avaler.

Ce n’est pas pratique pour ceux qui ne savent pas.

 Mais ceux qui ne savent pas n’auront pas à en bénéficier.

C’est comme la loi, plus qu’à prier pour ne pas faire partie des illétrés

 §.74.

Je serais opérationnel dans dix ans ce n’est pas la peine de chercher quoi de précis alors que dans dix ans, je ne sais pas ce que moi même, je ferais.

Quelqu’un qui m’acueille et ré accepte la façon dont j’occupe mes journées.

Voilâ les seules exigeances dont on peux se doter.

§.75.

Il fallait que j’obtienne ma première année pour pouvoir travailler pour le M.R.A.P., avec les associations et les différentes problématiques me familiariser.

§.76.

A une hystique.

On a pas une façon vous pouvez y aller j’ai l’habitude de me faire engueuler.

§.77.

Des fois ou chez des gens! Et cela se passe mal vous savez.

Eh ! Bien ! Cela fait partie du métier, il est là aussi pour ces cas particuliers.

Quand on rentre d’une manière ou d’une autre dans l’intimité.

§.78.

Son crayon sautait sur la feuille, il faisait contracter tous ses muscles du bras au lieu que seuls certains   de la main droite soit solicités.

§.79.

Quand elle avait fait ce qu’il y avait  faire sa main avait le pouvoir de devenir juste inerte comme pour laisser choir les objets sans avoir encore à exercer une pression supplmentaire pour ouvrir les muscles dans une action contraire à celle qui venait de précédé. Inerte juste comme il fallait.

§.80,

Bouger au plus efficaces, et en même temps s’étirer, s’assouplir dans les gestes et positions qu’à longueur de journées et d’années, on doit tenir.

§.81.

Les glougloussements des pigeons résonnent dans ma cour autant que leurs mouvements attestent de ce qu’ils mettaient en marche pour batir et entretenir leur nid.

Quand leurs cous se pointaient ou s’arc-boutaient.

§.82.

C’est avec les outils que l’on croise que chaque chose on va se fabriquer.

Exemple ; Mot dans un contexte qui n’a rien à voir et se révèle comme tout frais à ma mémoire et comme tout à fait bien placé, révélateur de ce qu’on pensait.

Un mot acéré dans le contexte parce que fraîchement réanalisé, réutilisé.

§.83.

Abandon sous X.

Réplique ; Cela permet à la mère d’acoucher en scurit et non d’avoir recours à l’abandon et à l’acouchement sauvage.

La mère accouché sous X pour que son enfant ai une chance d’être adopté.

§.84.

Mais vous n’avez pas, de nous, demandé  l’accueil ils savaient ; Quelqu’un qui devient l’info se contente d’avoir deux mots.

Qu’est-ce que je fais ?

Je dois les rappeller ?

§.85.

L’artiste comme l’inventeur ne peut s’ennorgueillir d’être CREATEUR puisque n’a de sens son oeuvre si elle s’inspire des tendances de son temps et s’inspire des dynamiques. (Tout n’est que addition appellation ou transformation et tu le sais très bien, nous en avions dissertés).

§.86.

Le rôle de troubadour de griot ou de toute forme d’enseignement de tout les arts, sciences et savoirs dans la socité moderne. (Ne sont que des ajouts, modifications aux «découvertes» plus anciennes.)

Sont des formes aussi variées que l’amoncellement des connaissances actuelles le sont.(Tu y viens!)

§.87.

Le problème de dosage de l’énergie entre obsession et laxisme complet.

Entre boulimie et anorexie.

Quelle est la dose qui me tiendra debout.

Dois-je engloutir ou ai-je besoin de quoi que se soit accepter.

§.88.

Les laisser tremper pour utilser les petits bouts de savons. (Georges Detroit il y a 35ans)

§.89.

Il travaillait tout le temps.

Et ne pensait pas que cela se voyait, tellement par exigeance, il pensait que rien n’avançait.

§.90.

Elle est dure.

Elle est très dure. C’est qu’elle vient des choses dures.

C’est une ténacité. Tout ce qu’elle a perçée.

§. 91.

J’évite de travailler la nuit  mes écris ce qu’ils ont dictées impersonnels ou foncièrement intime fait que je ne sais parfois comment me situer. 

§. 92.

Je me lave au gants (aisselles et parties génitales) chaque fois que je me change deux à trois fois par jour.

§.93.

Travaille minimun obligatoire.

Pour que cela puisse marcher et ceux qui ont trouvés quelles seraient leurs spcialités aucun de nous  ne serait assez fou pour ne pas s’y adonner.

§.94.

Lorsque tout  coup je suis prise d’émulation, lorsque mon coeur, mon corps se souviennent de gens m’ayant aimée.

§.95.

N’avoir pas assé replié les chevilles (bout des orteils vers le ciel en marchant) mollets sans dévelopement et tendances à trébucher.

§.96.

Où étais-je lorsque la maison était en train de brûler ?

§.97.

Il faut avoir appris  couter avant de bien parler (fanatisme de vieux inclué) 

§.98.

Etre très sportif.

Comme devoir réfléchir et être super actif cérébralement = ne pas bouger.

Exige d’avoir une alimentation super adapté.

Sinon son corps fait parasite et il devient manifeste que la performance n’est plus possible.

Il faut lire dans le R.E.R.

Ah ! Parce que vous croyez que je perd mon temps  regarder les gens passer ?

Bon des fois!

§.99.

Un cafard le corps écrasé peut encore bouger ses antennes.(un guillotiné peut répondre par des signes des yeux pendant 30 secondes après son exécution à des questions verbales -QUID-1986- Et cela change quoi au résultat ? RIEN!)

Je vois une copine, ne me vois pas s’il te plait !

[PAUSE]

Ou là je pourrais changer de phrase il est vrai !

§.100.

Au carrefour des rencontres, la croises des chemins, tout ce qui se toche crant une pense.

L’idée est la pensée qu’on a recherchée, filée, débusquée.

§.101.

O. K. Dans votre rayon je vous prend pas pour un con mais auriez-vous un conseil au dela de celui-là.

Pouquoi des fois on se répète les comments des pourquois.

§.102.

L’oeuf et la poule évident.

Les infos ce qui avait à se perfectionner  résoudre, enrayé par les parents de la future poule.

Et la transformation de la naissance ayant donné ce qui devait pouvoir suffisamment pour elle d’élément pour dans la nature pouvoir subsister = déjà parentale atteint.

 §.103.

Porter comme le signe d’avoir bien mangé.

Puisque rythme de vie et de conservation obligeant l’individu  manger de grosse part à des moments car devant se restreindre à d’autres = roter pour l’estomac signe de politesse de permettre à son hote de laisser faire son estomac.

§.104.

Bientôt l’écriture manuscrite disparaîtra.

§.105.

Qu’aurais-je été capable d’acomplir comme forfait si les gens m’ayant éduquée n’avaient pas passé de temps à me prévenir, déconseiller.

 §.106.

 Se sentir con c’est faire l’analise entre le savoir, la position qui nous a poussé  faire telle où telle chose et la comparer avec le savoir, la position dans laquelle on est et s’en inspirer choisir la même réaction cité.

§.107.

Mais cela est un autre problème.

Mais il y a tant de problème.

§.108.

On peut découvrir en chaque chose de l’intellect à condition d’avoir une démarche intellectuelle.

§.109.

Ne plus chercher à dépendre de sa compagne ou de son compagnon c’est n’être plus servile de rien.

N’avoir rien à désirer convoiter.

§.110.

Le désir d’aller vers le nord + les arbres retiennent le sol.

§.111.

Un litre d’huile de rose ?

Cent mille roses!

§.112.

Yeux pommes de terre = –      –       – ?

§.113.

Médicalement chinoise.

Végétal.

§.114.

Cahoutchouc = hévéa.

Jus blanc.

Le latex.

Aujourd’hui cahoutchouc.

Sensualité.

§.115.

Je sais de toute manière qu’aucun ne sera bien chez moi en tant qu’invité tellement le temps est à mes yeux mon seul allié en tout genre et tout moment.

Ne pas le perdre, la seule façon que les parties de moi n’en viennent à se dtacher.

§.116.

La psychose m’avait pris.

Boulot pas de conversation perso / Pro. Pro. Pro.

                                Shelt.

                                Parle d’un parano passé perdu.

                                Promenade avec Véro.

Après avoir rejoint le milieu familial, clos. Et un peu mieux la vie de relation.

Les voix toutes arrivent, intérêt pour expliquer qu’elle est l’activité psychique quand on l’actionne et les voit comme avec, j’avais l’impression d’être occupé lors de nos moments d’oisivetés.

§.117.

Les règles que les gens ont pris pour leurs.

N’étaient pas contre nous mais tant un élément qui en fait, d’eux-mêmes,  l’instant à tout les constituer.

C’est ainsi qu’un individu apprend, si on lui donne le temps de réfléchir et que depuis le début des temps on tente tout pour l’éviter, d’être dressé, automatisé sans ne pas pouvoir partir de là de soi même, évoluer n’avoir pas connaissance de soi.

Comment maman devait-elle même travestir ses sentiments pour continuer à faire le ménage alors qu’elle savait parfaitement qu’il était injuste que se soit à elle que tout cela revenait.

FIN DE DOC 22.

 

Formule d’exécution.              

[ « é  è  ê  î  ï  à â  ù û é  ô  Ô  Ê  ç  §. » ]

computerised extra Doc 21

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

 

 

S’il vous plait, téléchargez prioritairement les DPF documents en page 1.

 

Les documents ci-dessous, tapes électroniquement- sont les copies partielles – i.e. présentation de certains tomes mais pas dans leurs version intégrales – et parfois non identiques ou incomplètement déchiffrés.

Ces postes, tapes digitalement, ne sont la pour lecture de textes premiers mais pour permettre de retrouver ou rencontrer les textes ou la nature de leur portée.

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Donc une fois que sur ce site il est préférable que vous ouvriez et enregistriez les documents DPF puisqu’ils sont –plus surement- le plus proche de ce que l’auteur a écrit.

Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

Doc 21.  page 600. à 658.

§.1.

Froid d’un hiver m’affaiblissait.

§.2.

On peut éclairer son environnement quand on veut que sa lumière propre luise ensemble justement.

§.3.

L’echec a le goût de la rage.

La rage que je convertirais en effort, en ressort demain.

§.4.

L état d’échec, libère l’énergie appelée négativement énervement tant qu’on ne le comprend pas.

L’énergie que l’on juge nécessaire dans l’avenir afin de le prévenir.

L’echec n’en est point un.

Mais est un exemple rassemblant les éléments dans un ordre la tâche nous compliquant en même temps que nous donnant un truc pour y remédier =

1      Ne plus subir ce que cela nous a donné comme opportunité de comprendre ce qu’on peut en modifier.

2      Ce qu’on peut en modifier la force d’action qu’on constateras a prochaine fois.

Quel effet cela débloquera.

1. Ne plus se retrouver en position bloquée.

2. Mais qu’est-ce que c’est que c’est faire à une intervention, façon de faire de notre point de notre va de notre énergie débloquée.

Sans bander c’est savoir débander.

§.5.

Elle trébuchera sur son pied.

Tout le groupe se débloquera, la phobie commune était fantasmer d’avoir, était bousculé et d’avoir quand même à s’excuser.

Personne ne voulait qu’elle fasse ça.

§.6.

Être habitées,vouées, la force.

C’est se permettre de faire, d’agir et permettre au partenaire ça.

§.7.

Se guérir c’est vouloir neutraliser la maladie en l’autre et en soi, pour l’autre et par soi.

§.8.

Je représentais son père.

Et craignais trop que je la déçoive.

Elle n’arrêta.

§.9.

Guérir c’est la voir me passer le bras.

Cela voulait dire qu’elle soignait la tête d’’un autre.

Et que loi autree chose soulageait et qu’est-ce qui était en train de la raresser.

§.10.

Je voulais t’appeler mais tu sais ce que c’est la vie, cette putain de vie de merde où on n’a le temps de ne rien faire que de s’étendre et s’allumer.

§.11.

Les affres de ma vie ont ça que de mon œuvre ils peuvent me sevrer.

§.12.

Je t’ai aidé. Il faut que je me mette dans la tête que je peux être ton plus grand ennemi.

Qu’est-ce qu’aider signifie ?

Je fais mon devoir, c’est à dire ce que je dois sinon je m’abstiens, je me tais.

Je ne t’aide pas. On doit à la vie le respect.

( Dans l’art de la douche écossaise tu te pose là aussi, et un peu là.)

§.13.

Le péché qu’on ne et refait. De ne s’apercevoir de suite que le problème n’est pas dans ce qu’on fait mais dans ce qu’on ne fait pas, pendant ce temps là.

§.14.

Aider quelqu’un c’est s’aider.

Car aider n’est pas apporter ce que l’on a mais ce dont l’autre a besoin.

C’est à dire auparavant aller trouver, créer ce qu’il faut. Aller le chercher. Le pouvoir donner et le savoir ce qui est, se l’approprier et le connaître. Ou cela se trouve.

Comment le trouver.

§.15.

L’art est ce tmps que je ne perds pas parce qu’avec lui je converse directement.

Je le comprend, il me le rend.

La rencontre de l’outil, de l’intermédiaire, du pourquoi, du comment.

Cette figure, des formés pourtant.

MOURIR à chaque fois qu’on se rend compte que c’est simple.

§.16.

Tout ce que je faisais me prenait vie en non sens qu’au travers de ce que j’en écrivais, de ce que j’en retranscrivais.

Mais par ce fait il il me fallait la meilleure de nos vies lui donner.

§.17.

Les caractères pouvaient s’admirer.

Parce qu’était trop en l’un pouvait être donné à celui qui n’en avait pas assez.

§.18.

Les échecs n’étaient pas des échecs mais des partenaires appris qui de pouvoir penser à mes moyens de parvenir à quelque chose, à chaque addition mieux me le permettait.

§.19.

La perte de poids de graisse production de chaleur comme des fièvres localisées lui provoquait.

§.20.

En dessent les émotions des autres ou leurs assimilés qui en nous sont en train de se jouer.

§.21.

La culpabilité nous occupait. On pensait alors travailler directement à notre évolution. Alors l’acte culpabilisant était considéré comme salvateur car on pensait de li qu’il était une participation faute de savoir rester non pensant. C’est à dire tout ces moments où on est entre deux actions où on prend le contact avec terme ((moment où on se repose, se rassemble)

Mais impératif au détachement tant du moins du contrôle émotionnel pompe les émotions, les –   – , les processus intellectuels.

Cela était dû au fait que ces moments de détachement (méditation spontanée dû elle-même au besoin que l’inconscient avait arangé les buts conscients suivis. Se déconnecter alors de tout stimulus externe.)

Quand l’esclavage de soi est fini ?

Réponse : Ne pas s’arrêter oblige à remarquer que rien n’est surhumain.

Le repoussemen des limites comme pacifier ce qui est en dedans détermine notre conscience de l’humanité de l’activité individuel dépendant.

§.22.

La transexualité je pense est de se concevoir comme ayant des caractéristiques que l’on concoit comme étant l’espérance de l’autre sexe (dû à ce que véhicule la société.)

Et aussi pour s’autoriser à avoir les gestes que l’autre sexe a et qui est sensé représenté le comportement sexuel adapté à posséder pour satisfaire le sexe opposé.

Ne pas admettre que chacun à les deux sexes.

Hommes vaginaux et femme au penis.

§.23.

L’homme s’est attaché à un critère aussi superficiel qu’est celui de la couleur de peau par totale ignorance des autres critères que constitue chaque individu.

Critère qui fait que chacun est différent mais avant de dire cela il fallait se dire que quelque chose est de sa faute.

Le placer toujours en sa responsabilité.

C’est à dire en position de soi-même devoir se contrôler.

Prendre son mal en patience.

§.24.

Son trouble venait que je lui rappelais sa mère.

Mais ce rappel là faisait que comme sa mère envers loi elle se considérait.

Remarque : A être une mère, une mère ne lui avait pas qu’enseigné.

§.25.

La jeunesse – Vigueur.

Ne pas analyser ce qui se passe.

Et à force de ne pas comprendre.

La maturité.

Pense et repense.

Admet qu’il y a une autre vie parallèle à celle que décrive les faits. Ce qu’ils ont provoqué dans l’esprit maintenant toute notre énergie en vie.

Impossible de le décrire si de monde changer.

Je me rapelle de mon grand-père.

Ce que moi-même suis.

§.26.

La voracité des moments qui ne sont pas perdus.

Mais où je cherche.cette rage là, où je me sens loin de ce que je sais decoir trouver.

Cette rage là néanmoins est la force nécessaire.

Pour que vers ce que je dois, je puisse après avoir senti exactement le chemin à emprunter, et donc aussi avoir plus tard laissé) Je puisse de cela (De tout ce qu’il y a et aura) me propulser.

§.27.

S’occuper de son corps c’est se prouver qu’il peut faire quelque chose de bien, sentir que dans ces gestes, rien que le fait de les faire ou de voirfaire, faire du bien.

§.28.

Le rituel.

Des gestes, des idées.

Quand je fais ça après je fais ça. (ce geste que mon père faisait.) ou le préambule aux disputes que mes parents avaient.

Il m’a vu si souvent faire.

Alors je recomence à ainsi m’activer et lui fera ce que je continue-    –       — ?

Comme ça mon père je reverrais (révérais ?) ou leur dispute et un peu mieux me comprendrait.

§.29.

On s’interroge sur l’énergie de l’autre. Pour pouvoir à la sienne assez la mêler.

Pour pouvoir par elle se faire transporter.

§.30.

Savoir s’occuper de soi, de sa compétivité.

Transmettre le bienfait.

Légitimer sa cause.

Si cela ne se retrouve dans l’abondance de mes soins, je le retrouverais, se retrouvera dans la qualité.

Les vieux détenaient la sagesse car on se familiarisait avec la mort gens à eux.

§.31.

Elle m’avait vu parce qu’elle, sauver son pére.

Je m’imaginais que c’était elle quand me parvenais une douce vague de chaleur qui elle me tenait dans ses bras.

§.32.

Je ne comprenais pas ce qu’elle leur reprochait.

Elle me le fit comprendre en me traitant comme ils la recevaient.

Aimer quelqu’un c’est savoir qu’est le résultat de ces déchirements et rapiécés ce qu’il fait.

§.33.

Elle le disait avec une telle violence qu’on avait mal quand elle remarquait.

Ces phrases que cent fois on lui avait adressées éduquées par ses patrons qu’elle avait été.

Tu ne te plie pas à la loi, tu n’y arrive pas on va te couler.

Ces appréciations qui faisait que le soir

Elle allait plus ou moins bien manger. Et sinon que ferait la quasi orpheline qu’elle était.

§.34.

L’obcession amoureuse car matière trouvable partout et transportable.

Une unité de pensée.

Une habitude.

Pouvoir toutes ses sensatio en un se regroupper.

§.35.

Les femmes à la cuisine.

Oui, ma teste spécialisée quand alimentation et hygiène était la position de la survie.

Avec celle de la guerre.

§.36.

Les signes. Les rechercher pourtant.

Faire des exercices nouveaux, d’associations, de transformation.

Les contrepétries de nos pratiques vends don.

Donnez un sens aux choses pouvant se rallier à n’importe quoi d’autre.

L’imagination et l’observation continue apportant les outils.

N’avoir cesser de lui téléphoner.

A l’origine pour prendre de ses nouvelles.

Lui prouver qu’elle me manque.lui prouver que chaque jour pour elle sonnait.

Que chaque jour, c’était ça et sur ça elle pouvait compter.Dans un moment difficile, elle avait été la poésie.

Se permettre des stéréotypes d’écrits.

Atteste du temps pris.

Pour exprimer ce qui pourtant à longueur de journées à nos oreilles cri.

§.37.

Sentir la force nous habiter.

Trouver en elle toute celle de continuer.

La vivre c’est sentir que rien ne peut crever.

Que tout dans nos mains peut naître et circuler.

Que rien ne peut à chacune des respirations qui cela certifie.

§.38.

S. T. F. R –

Compagnons d’armes (SS – E).

Etre entraîné, des gestes rappelant tellement aux miens.

Se mouvoir, réagir au reste.

§.39.

Psychique.

Se reconnaître comme étant une émanation d’énergie.

N’avoir pour lui de la mort lui de la douleur.

Elles ne sont que limite de l’esprit.

Bien que l’esprit à justement ce don de voir (par les limites du corps en liaison avec de la matière extérieure toujours plus étendue.) Qu’a n’avoir de fin l’énergie.

Donc là et par englobement toute sa vie.

§.40.

Il faudrait que l’homme bien qu’il y trouve une raison nouvelle aux dispositions et développement.

Il faudrait que l’homme se départisse de son fantasme de pouvoir donner ou enlever la vie.

Ceci n’étant qu’un signe déclinant de sa compréhension.

De lui qui a besoin de la vie.

La vie est en lui mais n’a pas besoin de lui à pareille névrose de lui qui a besoin de la vie..

§.41.

Lever mes genoux porté par le dynamisme de la course = débloquer.

§.42.

Je pensais à eux car logiquement j’aurais dû donner des nouvelles, être en phase avec sa prise de responsabilité = àavoir l’esprit clair et cette clarté pouvoir continuer.

§.43.

L’un ne peut exprimer longtemps ses intuitions et doit dans le même temps apprendre à les éduquer.

Impression continuel de malaise sinon.

Sensation la tenant continuellement à trouver meilleur et plus juste plus globale (à l’image de comment son corps maintient avec tout éléments en communication) solution.

§.44.

Les gens perdent leur tonus avant plus petit que de travailler ,non persévérer et continuer.

Après les vacances tout le monde raplaplas.

On ne peut tout le temps être optimum mais au moins ne pas décider de quand des plages où on va flancher.

Performance du métier, de l’activité et accuité dans ce qu’on fait pas de place aux erreurs.

Pas de vide qui est en fait le signe que l’on s’est ainsi vidé.

§.45.

Chaque moment de l’autre était une aide (en soi en tant qu’autre) à la méditation.

§.46.

Devoir (longtemps permet decomment sonterme postural – obligation de positionner très certainement son dos vertical.

Sensation intérieure profonde.

§.47.

L’echec ne puvait être échec car il suffisait de vivre les choses complètement, en sachant que chaque moment était une aide à sa vie, à la vie.

Un insétarable irremplacable supplément.

L’échec ne pouvait être vécu comme un échec car n’importe qu’elle situation nous apportait un monticule de renseignement (aussi profond qu’on décide de les creuser simplement.)

L’échec n’est pas quelque chose qui ne s’est pas passé comme on le voulait simplementavoir d’informations à garder précieusement.

§.48.

Tout là, se tient la notion de destinée vivre tellement de choses pour ce qu’elles sont.

Les éléments qu’on a pour que le combat puisse se mener en soi.

§.49.

La non reconnaissance du mariage homosexuel et la non reconnaissance de leur parentalité, c’est à dire laiss la resoonsabilité que représente d’élever un enfant sans forme juridique.

C’est à dire aucune garantie de la société de ne pas se retrouver à porter seul le bien communautaire.

§.50.

La critique de l’autre, rappelle que de ses faiblesses il faut se méfier.

Peut paraître sans fondement jusqu’à temps qu’une tuile imprévue(Et justement annoncée) arrive sur le nez.

§.51.

La psychose.

Entendre des voix des hallucinations.

N’est pas une question d’y croire ou de n’y croire pas.

Mais de vivre avec.

Ni plus ni moins ce que certains appelent halucinations est une simple discussion que l’esprit nous ramène.

C’est à dire qu’on ne doit ni plus ni moins les écouter, y croire, s’y conformer.

Mais sont des éléments qui comme les autres amènent à réagir, à faire réfléchir.

Une manifestation du monde, quelque chose qui est et quoi qu’on en fasse cet hormi les endroits de pensées additionés avoir amené.

Et pouvoir y réagir à l’infinité différemment puisque la réflexion est l’art de pouvoir tout continuer différemment.

Et chaque série un nouvel enfant qui garde à la portérité de ses parents.

§.52.

Ses migraines.

Je suis à elle.

Elle fait ce qu’elle veut de moi.

Où et quand.

L’amour que l’on faisait constamment.

§.53.

Elle m’en avait toujours voulu d’avoir écrit à autre qu’elle.

Heureusement pour moi j’avais toujours pu m’inspirer, vivre l’amour avec d’autres qu’elles. Mais la personne lui ayant dit que je lui avais écris à elle aussi était une personne qui m’avait confié ses peines de cœur, que j’apréçiais fortement.

Et moi toujours amoureux je lui avais écrit ce qu’il me restait à avouer à la première.

Pour réaliser que plus rien puisque cela devenait la mort de décrire une source d’inspiration qui délibérément n’avait pas fuit. Et à cette époque là la sécheresse ne faisait pas partie de nos amis.

L’autre la connaissant avait eût assez de flair pour savoir qu’il n’y avait que mes efforts pour me détacher du souvenir de la contrée ou avec ma belle j’avais été. Jamais plus loin allé.

La passion propre à l’individu lui permet d’être indépendant, de n’avoir à chaque fois qu’une autre personne se pointe, a recommencer.

§.54.

La drôlerie c’était de devoir écrire des trucs complètement différent à mesure que l’histoire avançait. (Et souvent débile!)

D’où l’importance du plus petit dédail (dés taille) qui tout changeait.

L’histoire avec lui pourrair se réécrire au complet.

§.55.

Pourquoi je ne t’appelle pas tous les soirs ?

Parce que tu as peur.

Oui bien ça, facile.

Mais ce dont j’ai peur c’est qu’on arrive plus à distinguer nos priorités.

Il fait toujours dans notre recherchele plus dure et que ma moitié puisse comprendre les sacrifices qu’il me faut lui dévouer.

La plus belle des récompenses que cela fait. C’est de comprendre que personne n’a besoin vraiment de ce que l’on est.

La pire des épées de d’amoclès (Damoclès) envolée.

§.56.

Je peux mourir mon amour, (car je penser à elle était penser à tout ce que j’avais), en paix.

Investissait cette place, ce projet.

§.57.

Avoir son projet vivant en tête était pouvoir se servir des éléments que l’on avait sans la main qui au premier abord ne nous aurait jamais oublié en convenir et qui à la fin se trouvait à être parfait.

Bien sûr les outils de la réalité, transformait lui-même le projet, le rendait tout simplement viable, vivable, humain, aimant et inconnaissable, enrichissable, aimable, partageable, opérant,  grandissant d’être le fruit des choses qui se rencontraient et qui de cette chance se repensait.

§.58.

Ecrire à elle.

Puisque ma vie passait par l’écrit.

Il fallait qu’elle puisse rentrer dans mes travaux quand bon lui semblait.

Voir ce que de nous je faisais.

Parce que ce que j’écrivais je ne lui disais.

La feuille était pour moi une façon pour régler, m’accuper d’un, de tout projet.

Mon autre parce que, tout le, les, jours sur elle, comptait. Mon autre lui, ensemble.

Mon autre était la réponse à faire.

§.59.

Ressentir la difficulté de l’autre.

C’est se mettre en tête ce qui y a et doit, l’on va.

Je m’en tape de cette salope.

Je peux être jusqu’à scato.

Tout ce qui coule d’elle, directement me nourrit.

Etre à l’affut, me lacher rien de ce qu’elle émane.

Je ne veux que, rien (ne) soit omis.

§.60.

La pluie me rappelait que mon visage sans elle, paraît être trempé.

§.61.

Elle était jalouse parce que même si jamais je ne la trompais, je me permettais d’avoir un comportement flou avec les autres.

J’étais en permanence distrait, troublé à la moindre présence.

Alors elle ne rappelait la sienne en constance.

§.62.

L’aimer tellement.

Pouvoir baiser correctement.

N’avoir plus peur de mon agressivité car c’est la hargne de tout protéger qu’il me donnait justement.

Et tout protéger, n’avoir plus peur, transformer l’agressivité en puissance, en force d’accord.

N’avoir peur de la douleur – Savoir que c’était simplement quelque chose qu’on ne parvenait à relier.

Ne pas s’en croire personnellement l’objet.

Juste au centre le problème vécu pour tout le monde était.

§.63.

Je n’aimais pas penser à cela.

Exercer mon imagination. Simplement parce que cela n’arrivait pas, parce que n’était pas comme ça les personnes rencontrées.

Parce quil y avait des raisons pour lesquelles ils n’avaient pas fait ça (même, bien que je ne le connaissais pas.)

§.64.

Légèreté.

Son départ ne devait être qu’un prétexte à penser  différemment qui m’avait pesé ou traumatisé des conséquences de ce défau là. Lui détenait mais alors pouvait.

Après coup m’en occuper.

§.65.

Eviter la douleur c’est n’en rien redouter.

Ni pour les autres. Ni de faire du bien, ni ce que l’on va endurer.

Car aucune épreuve ne fait plus que tuer. Et rien ne dispensait tant que toutes les choses n’avait pas été sagement vécu et – – – -après prolongées

La vie est un devoir d’expérience. Pouvoir de résistence.

§.66.

Ne crainde la douleur ni pour soi. Ni pour quelqu’un d’autre.

Vivre est la toute liberté de pouvoir la résorber.

On doit admettre cela de soi et de l’autre.

Elle existe soit de ne pas croire(voir quels sont les effets. La résorbation, réharmonisation en étant un grand manifeste.)

Ou de ne pas voir à quoi elle est dû.

Qu’estce qu’on a encore pas constaté ou mal conclut.

Toute conclusion étant à la con car la réflexion n’a pas pour but de conclure mais de relier, (et de découvrir et se découvrir) les choses entre elles à l’infinité.

§.67.

Problème de digestion.

Surmenage de l’estomac. Ne serait-ce pas pour compenser l’atrophie du bas du dos (avoir activité jambe et haut du tronc d’où faiblesse de point reinale et abdominal)

§.68.

Peur de moi.

Je ne cédais pas à la panique.

Jusqu’à ce qu’elle me barre de son chemin. Et je ne devais plus passer par là pour respecter ce qu’elle voulait préserver de son terrain.

Et là c’est la peur de me perdre, de m’avoir interdit qu’elle la rejoignit enfin.

§.69.

Protéger tous les chemins.

Lui laisser comme elle le désirait les siens.

J’étais devenue son gardien.

§.70.

La fatigue est juste le signe qu’il faille faire supporter, actionner le mouvement par l’intermédiaire d’une autre partie. Autre ou plus ou moins localisé, étendue, à celles qu’on utilise jusqu’ici.

§.71.

Idée.

Idée de lumière.

Conversation avec les astres.

§.72.

Agressivité.

Quand le don de son énergie. (Par dérapage commun, bien utilisée) énergie enrolée dans un mécanisme.

Mais quel grabuge va faire le système dans un accident ou pouvant (être) clairement défaillant.

Nos regrets de l’existence.

Tant que nous, nous retrouvons dans nos élèments.

Ces mêmes éléments qui nous mettent en liaison qui font que chacun peut voir l’autre comme son égal et soutenant l’entièreté (le complet) l’unité qu’ils sont également.

§.73.

Voir l’autre comme son égal et soutenir l’entièreté l’unité qu’il sont également 

Elle me défend l’entrée de son jardin jardin, qu’elle m’avait ouvert pourtant.

§.74.

Le temps qu’elle y découvre mon genre de femme.

§.75.

C’est en s’intérressant à tout que le discours devient naturellement poètique.

Car tout peut ainsi exprimer par image toutes idées.

S’intéresser c’est trouver en profondeur l’intensité, le mystère, l’image, la relation à ce qui tout autour peut graviter.

§.76.

Le rythme [comme la maladie le ver,  la précision dans toute technicité est par la répétition de la pensée, enfanté.]

§.77.

Communiquer avec quelqu’un.

Communiquer une pensée.

Communiquer un geste.

Implique de regrouper son énergie.

Travailler : perte car formation.

Se raprocher l’un de l’autre.

But. Se rapprocher de l’inconnu de plus éloigné.

Formation un insuffisante pour deux.

Bien qu’à l’origine tout ingrédient y est.

Caution = perte.

§.78.

Se servir de l’élément de la compréhension pour apprendre car ce n’est qu’en apprenant que tout autre lettre pourra s’entendre.

§.79.

On formatait les esprits.

Si on pouvait se dire que mon compagnon pense comme moi.

Alors du même coup je me sentirais prêt à le rendre heureux comme ça.

S-L.

Question que je ne me pose même pas.

§.80.

Il prenait le temps avec les choses.

Il lui laissait ce temps.

S’inspirant de l’énergie qui les faisaient se transformer (ainsi que celui, que tout autre chose qui se trouvait à côté.

Ou bien son propre rapport à ce jeux d’énergie.

Ce qu’il avait observé.

Ce qui le touchait.

Donnait à s’expliciter (s’expliquer)permettre la focalisation sur le mouvement occasionné.

Se mettre au carrefour de l’attention et l’attention redonner en ricochet. Faisseau.

Fréquence retentissement, reflet.

S. M. !

Dépeint l’incertitude des rapports.

§.81.

Violence du sentiment.

Débouché.

Sans lendemain ou jusqu’à la mort.

Heureux ou containt.

§.82.

Richesse que l’on trouve dans notion, situation, toute signification.

Vient de l’attachement, ou s’en occupe inconsciemment.

Elle ne m’aime pas, elle me l’a dit trente fois.

Mais je peux toujours trouver un argument valable dans la manière de voir.

Elle, l’annonce pour me dire que ce n’est pas un véritable détachement.

Ignorance de la douleur.

Mais absence de valeur sentimentale.

§.83.

Transpiration.

Affux de sang ?

Irrégularité des prises et volume alimentaire.

De dépenses énergétiques.

§.84.

Le mouvement est la chance de voir agir extérieurement son ressentitou de faire venir en soi le mouvement visible,quantifiable extérieurement pour analyser quel impact a-t-il sur soi.

En bref.

Après cela.

L’utiliser comment ?

§.85.

L’amour c’est se toucher sans se séparer.

Similarité + complémentarité.

Pour sentir cela.

§.86.

Enfants considérés comme des adultes pas entiers.

Démis de leurs énergies.

Car monde adulte élaboré, rempli de concentration sur l’autre et code général (qu’est ce que t’évoque tel geste – importance gestuelle car vocabulaire limité) + sujet de conversation d’action, tabou restreint.

Or nécessité au geste de l’autre (Dépourvu de signification réelle) entier.

Admettre qu’un geste est une manière de corporalité tirée de l’intimité.

Que toute corellation peut être sexuellement ancrée.

Maîtrise du corps et utilisation suivie de l’énergie.

§.87.

Pseudo.

Valeur de société. $. Caractère.

}       Réussite, adaptabilité.

A la production.

Valeurs.           Adaptation individuelle.

Tant que chacun de nos gestes ne devra pas être à l’intention de tout le reste redistribué.

Tant que la valeur n’aura pas pour échelle ce qui peut présentement comme futurement servir et non désservir également la communauté. Moitié pour.

§.88.

Cette régularité de ma part est-elle stable ou étéit une demande de régularisation.

C’est à dire une stabilité que je n’arrivais à contrôler.

Donc problème qui allait sur elle se rajouter.

Elle me vira.

J’arrêtais d’appeler.

Seulement des lettres sur des sujets qu’on avait pas bouclés continuait de lui envoyer.

Elle saurait que c’était le meilleur de mes années que je lui offrais, ma puissance d’action.

Je voulais qu’elle sache ça.

Qu’elle sache que je l’avais aimé (peut être pour qu’elle soit sûre de pouvoir aimer ces gestes qui font que l’on s’aime de se voir aimer.

Chercher ce qui dure.

Le mouvement perpétuel continuer.

Ne plus voir aucune chose commune pouvant bloquer.

Ne plus subir la violence.

Y compris celle qu’on trouve de l’avoir rejeté ou pas adhéré.

§.89.

Regarder l’horoscope de l’autre.

Etre face au fait que l’autre peut des questions se poser.

§.90.

SUITE. D’après.

J’avais pris des risques en l’appelant tous les jours.

Ce que je voulais dire c’est je suis là.

Et maintenant elle le savait.

§.91.

Je ne voulais pas vivre autrement que me sentir avec quelqu’un.

Autrement dit en couple et encore entier.

§.92.

Je ne parvenais à me pardonner cet acte là car je ne me rendais plus compte dans quel état d’esprit je le fis.

§.93.

Elle m’avait manquée

Alors je l’avais pris au pied de la lettre et avait répondu si c’est ce tu veux et bien je le fais.

Normal elle m’avait manquée.

Mais les choses dans leur analyse avaient évoluées et je me rendais compte qu’étais ce que j’avais fait tout sauf Souhaitable.

Alors pourquoi me paraissait-il complètement justifié.

Parce qu’elle m’avait narguée mais pas narguée pour me voir  faire telle ou telle chose qu’elle suggérait en particulier, narguée parce qu’elle ne savait pas ce que j’avais en tête et avait peur de ce qui pourrait se passer.

§.94.

Le soleil que je venais.

Chaque matin pouvoir contempler sur lui oubliant que de son existence naît la nuit.

Ou peut être avouant ainsi implicitement que la nuit à mes jours permet à la lumière d’apporter la notion d’éclairé.

§.95.

Par problème de concentration.

Sans pouvoir penser à lui tenant la raison pour laquelle je sentais et pensais.

§.96.

Porter le deuil. (Pas de toi ni de notre amour.)

Dire que l’autre résidait toujours en soi.

Le respect dû aux vieux ou à j’endueillé expliquant son retrait par la mémoire de l’autre/ à sa propre existence.

§.97.

Et l’existence au sein du groupe en train de porter.

Dénié, charge à la personne de montrer la présence en elle du défunt et la présence dans la réflexion du destin.

Incarmer la situation à gérer.

Mort statufiante.

Constante autour duquel un code peut s’instaurer, une communication.

Communication = info sur condition = but existentielle de la vie.

§.98.

Vivre l’extraordinaire, il suffisait de secouer, de contester avec las choses. Avoir tout du soin, de l’attention, du –   – admettre.

Tout était message et ouvrage .

§.99.

La douleur n’écourtait pas la douceur, la merveille de (se) savoir (en) vie.

LA – Le poête dit.

Loge y fera.

Logique fera.

Logis fera.

(Légiférera.)

§.100.

1                  Ou – Amour.

2                  Rire.

3                  Ah ! Excuse – moi.

4                  Je ne sais pas faire L’otarie !

§.101.

Est fière.

5                  – babouin compris.

§.102.

Moqueries, dimensions – Formes de complicité.

On parle de toi.

(On parle ? De moi ? De toi ? De nous ? Des autres ?

Si les bavards courrent aussi vite que nous les emmerdons ? Prêt pour les J. O. : Ils sont.)

§.103.

Le transfert des énergies était pareil à un jeu de dominos. Sauf qu’être la tête de quelqu’un et le pied de l’autre (à coté à des milliers de lieux) on ne les voyait se toucher (à part les mouvements se succéder ou est-ce notre regard qui faisait que successivement sa vue il composait.

§.104.

Le travail est toujours opérant. Nourrit la propre poursuite de sa logique, trouver une pierre à l’ensemble de l’édifice selon son état d’avancement.

§.105.

Quand avoir peur est pouvoir reconnaître le danger.

(Tu viens de définir la différence symbolique entre le courageux et l’inconscient, le courageux surmonte la peur l’inconscient ne la connaît PAS .)

C’est pas une femme qui m’empêchera de dormir.

(Moi si, mais  par amour.)

Ce n’est pas une femme qui m’empêchera de mourir.

(Là nous avons tout le même rendez-vous !)

§.106.

Tant que maintenu dans cet état de meute, on ne pouvait vivre mieux que des chiens.

Se contenter de vivre « relativement » bien, niché.

Relativisant tout, puisque ça allait passer.

Accompagné de cette vie de ces peines.

J’avais parfois peur quand une nouvelle venait de tomber d’avec elle devoir m’endormir, me coucher.

§.107.

J’ai demandé au vieux s’il entendait toujours des voix.

Je n’écoute plus rien fut celle qu’il émetta. (Emit)

§.108.

Heureusement arrêter de fumer.

Sans le sport dans l’hygiène de vie.

Il souffrirait.

§.109.

Vendeur. S. A. V., qui se font engueuler à longueur de journée. (Tout est dit.)

Savoir à quoi ils peuvent renvoyer ?

§.110.

J’ai appris à vouloir tuer mon pére.

Et si tu condamne dis mon pére.

Alors sans me poser d’autres questions je te tuerais.

La peur de tomber dans la gueule du loup.

Mais si elle élevait ce loup alors tout mieux.

Représentant tout, je saurais lui faire dévorer mes angoisses, comme moi tout ce qui me ravirait.

§.111.

L’émotion.

Le regarder et se mettre en accord avec soi-même pour vivre ce qu’on pouvait, voulait regarder notre émotion.

SUN. Idées autour de cela.

L’esprit une manière de se construire comme, on le saurra, il le voudra.

§.112.

L’art ce que peux être l’esprit par l’esprit construit.

Je ne crois pas aux fantômes.

Nous sommes tous des esprits.

§.113.

Emerveillé, médusé.

Que nos ancêtres, et que nous devaient être pour un corps qui travaillait qui fleurissait.

§.114.

Le don de connaissance, seulement de s ‘émerveiller en ce teritoire qu’on détenait plus mort que se fasse.

§.115.

Pour lui.

Je resterais dand l’arène.

§.116.

Se répercuter en moi.

Les frémissements de la machine.

§.117.

La belle aux bois dormant.

Lui sait ce charme aussi.

§.118.

Il pensait que j’étais un drôle d’individu.

Soit.

Travailler quand je pouvais vivre librement cette pensée, cette indéniable énergie, qu’acceptais comme une source de force intérieure à manœuvrer à me servir.

§.119.

Pour ne pas tromper il fallait se choisir et choisir la vie ou tout se poursuivait.

L’obéissance donnait ce temps de se préparer complètement à vivre ce que l’on voulait.

Préparait au on ne peut plus comble de la fidélité.

§.120.

Je me mettais en fureur.

Ces conneries, c’est à la conséquence qu’elle se préparait et faisait n’importe quoi pour l’éviter (ou éviter d’y penser) calme léger.

Sortir du cercle. Le pouvoir de la briser. Ne pas donner à la horde l’opportunité de se refermer.

§.121.

Mourir, dépérir sur le choc.

Comme une obligation car cela voulait dire que tout ce qu’on croit n’est pas.

§.122.

De toute façon réalité en son seprit cela est être prêt à accepter la mort sans formr d’invitation.

§.123.

Rentrer dans ce brouillard.

Rentrer sans une autre luminosité.

Comme sans une autre lampe éclairée.

§.124.

Changument de méthode.

Crainte de perte d’idées et de temps injustifiée.

Car nouvelle méthode si plus efficace à long terme au plus une idée.

§.125.

Manière de s’organiser, de réfléchir apparaissait.

A la base de tout. Se renouveller.

§.126.

La mission.

Supporter nos – de caractères tous morts et tous restreints.

§.127.

Digestion.

Colonne vertébrale vers le lit plus bassin rentré.

(Je comprends que je te dérangeais et quand tu travaille tu fais comment idiote tu vas au plumard avec ton ouistiti ?)

[BON PAS GRAVE JE CONTINUE DANS LES CONNERIES APRES TOUT CE NE SONT PAS LES MIENNES.]

Pour qu’organe soit contenu, pressé, aidé.

§.128.

Préserver la puissance.

C’était convenir que toute force pouvait de partout venir et aller.

Ainsi on pouvait la vivre et restier entier.

§.129.

Puisque là puissance était justement tout ce qui nous constituait.

§.130.

Être son héros, c’était faire les choses que j’aimais le plus, que je savais le mieux chérir.

Pouvoir totalement = me donner.

Être son héros c’était faire cela, être le plus fort qu’il soit tout en pouvoir que continue sonamour à ele sur moi en l’assurance de la plus grande des douceurs, je parvienne de ma lettre perpétuelle préserver.

Etre son héros, c’était rester quelqu’un que l’on pouvait aimer.

Parce que par l’autre guidé.

Donc à l’autre sachant amener.

§.131.

S’inspirer de quelqu’un c’est nous donner la chance, qu’il reconnaisse ce terrain , (comme la chance de le connaître personnellement nous maintenant) et ainsi de pouvoir continuer (savoir comment rebondirenchaîner sur l’énergie ainsi.

§.132.

Etat des lieux.

Expérience.

Ceconnaissance.

Comparaison.

Addition –  –  –  –  séparation.

Expension.se sentir vu, repris. Et reprenant le fil de la vie.

Se sentir investit atteste que notre attitude aussi empli.

§.133.

J’aime personne.

Je t’aime pas.Tu vas vite y arriver à ton statut demain.

T’inquiète pas.

§.134.

L’angoisse de n’atteindre les choses qu’on sait savatrices implique l’obligation de se former une idée de l’idéal.

Pouvoir continuer à se motiver face à la finitude.

Créer quelque chose d’approximatif mais qu’importe une chose qui nous convainct que cela continuera.

§.135.

L’utopie est irréalisable  car un seul esprit ne l’achevera pas.

Un peut la compempler.

Et elle (le secret) attend qu’ils se soient auparavant tous rassemblés.

Secret.

} SPIRIT.

Révélation.

§.136.

Il se comportait en héros, comme tous.

En plus, sa spécialité était la soif des grandes contrées.

Alors en famille ils organisaient des problèmes à résoudre, des drames qu’il fallaient colmater, ainsi notre besoin d’avancée d’analyse relationnelle, de recherche des comments trouvaient-ils à s’aimer et se cacher.

§.137.

 Anticiper les choses c’était les surveiller Sans la forme qu’on pouvait pour l’instant supposer attendre qu’elles prendraient.

C’est à dire pouvoir stratégiser. Un enchaînement, un plan à ce quoi on voulait, pouvait faire qu’il soit fait.

C’était cela et c’était aussi pouvoir peser l’acte plus loin c’est à dire trouver et commencer à penser à d’autres impératif que l’on rencontrerait et à d’ors et déjà s’y former.

Ensuite, c’était que ne cesse de vivre son projet en sa tête et c’était qu’à cette activitéque ce qu’on imaginait réalisable sans une forme donnée (contraignante et incomplète la plus part du temps.

Puisqu’à ce stade là (puisquil fallait anticiper) et que de toute façon on avait pas de modèle devant soi, être toujours en terrain d’innovation les meilleures solutions venaient de comment l’on pouvait organiser pratiquement fait à un terrain que la réalité n’était que parce qu’on était et qu’en faisait qu’en prenait.

Il m’avait fait vivre des choses graves.

J’avais été en extrême danger avant de pouvoir m’en protéger.

Je lui en avais voulu.

Tant que n’était pas venu en moi que cela n’avait éviter de bouder dans le superficiel.

Car je vivais mal les choses graves tout de n’avoir vu que reposait la connaissance du plus profond de tous et englués enfouis tout en elle.

La place fantasmatique, onirique d’y avoir la fonction de l’être communément celèbre.

Pour l’accord, les aspirations de tous à sa place évoluer.

Ce que par l’autre on pourrait représenter le symbole constituait.

Le connu. Celui qui nous rassemblait.

§.138.

Je ne pouvais m’apercevoir ce que perdre son père était, puisque le père pour moi était celui qui abandonnait.

§.139.

Elle s’occupait de sa mère comme si était était la sienne mais s’il arrêtait de s’occuper d’elle (De sa mère ou de la sienne) alors c’était leur couple même qui se dédierait.

Le couple c’était pouvoir s’occuper à deux de deux fois plus de choses qu’une seule personne ne le pouvait.

§.140.

Trans port.

Trans pie.

§.141.

Ne pas resteren nos sensations à ce moment là lui permit de s’apercevoir qu’autre chose, une autre présence la regardait (elle demandait à être regardé par elle) à ce moment là.

Son sage ou les forces qui encore n’avait pas trouvé d’autres solution que de combattre.suspendre mes sensations c’était lui dire qu’avec eux auusi mon esprit se trouvait.

§.142.

L’émotion. Atteste que le présent ne s’inscrit pas que dans l’immédiateté (l’immédiat.)

Une autre figure, un autre aspect de ce que comment le présent peut se répercuter.

Répercussion. Variation. Continuité.

Continuation nous est déjà plus étranger.

Capacité au dela de la forme qu’on connaît.

Au dela de l’émotion dans le sens moyen d’expression déjà usité.

Avoir (déjà fait) Ré (explorer, redimmenssionné).

§.143.

J’aimais présenter les choses comme elles avaient surgies.

Me montrant à moi comme aux autres quelle BOITEUSE j’étais. J’en souriais car il fallait s’avouer ses faiblesses pour escompter un jour soigner son infirmité.

Et les autres avaient besoin de voir les faiblesses pour se faire une idée des terains minés.

En sachant que ne rien faire contre l’existence de l’explosif était justement que la mine sans soi se trouvait.

§.144.

Ecriture.statège pour donner forme à mes pensées que de toute facon il faut qu’elles puissent se féconder.

§.145.

Jugement, positionnement psychique donne une idée de la difficulté de tous à conduire un monde équilibré.

§.146.

Je hurlais, je hurlais. Je reviens pour elle.

Cela m’avait fait du bien de savoir qu’elle pourrait garder ainsi un souvenir, une trace de ce qui avait bougé au fond de moi.

§.147.

Je ne l’aimais en vain. Quelque chose en moi, par elle et sans m’oublier, était né.

§.148.

Le travail toute étude, tout essaye de focaliser sur un déroulement précis sa pensée. L’entraîner à suivre une voie.

La commère par rapport à des mécanismes. La voir s’actionner.

Se faire à des mécanismes mais au dela d’eux, élargir la contrée.

Travail, ne pas se laisser aller par les pensées elles-mêmes, mais maintenant dans l’inconstrustion matérielle répertorié différents mécanismes pour qu’un n’emprisonne toute une mentalité. Empêcher de préjuger.

Elle disait des mensonges en contraste avec ce qui allait alors ressortir, se disait de la réalité (ce qui allait tomber.)

Connaître le non pour que oui montre qu’il fait sont entrée.

§.149.

Il aimait bien trop les mots.

Jamais le bon ou touours à en trouver d’autres assortits.

Du coup le mutisme lui sied. Lui va.

Scie.

Sit l’amie.

§.150.

J’écoutais la radio.

J’entendais des messages dont j’aurais voulu qu’elle puisse s’inspirer. 

FIN DE DOC 21.

Première correction Daniel

computerised extra Doc 20

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Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

DOC : 20. . Pages 500 à 599.

( On ? Nous ?  Perpétuelle faute de forme.)

é è ê î ï à â ù û ô Ô Ê

§1. (encadré)

Je me disais alors, tout ce que j’ai fait était à jeter aux oubliettes, que certaines d’entre elles avaient à la personne en question face à l’amour penser, de vivre autant de choses dont je ressusciterais plus tard comme ça mon aspect lugubre me gardait.

§.2.

 Je sais que toutes pensées que j’avais eu sur elle, elle l’avait pensée sinon ressenti de moi aussi.

Puisque c’est ainsi que toute la pensée se défit.

Et quand on est inspiré par la nature ?

Maman on dit.

§.3.

Je ne voyais plus ma vie comme un exploit mais comme le résultat la récompense du devoir la puissance des choses qui s’y passaît.

§.4.

L’analyse d’un texte.

Qu’est – ce qui l’expose que je savais ?

Qu’en ai-je appris. ?

§.5.

Elles laissaient faire ses amours.

Après tout.

Et puis elle savait que l’adoration qu’il avait pour elle se transformeait en énervement dès qu’il se rendrait compte qu’il ne pouvait l’aimer car simplement elle n’était comme il la croyait et voulait.

Elle, elle voulait en fait vivre et puis qu’il puisse faire autre chose de ses sentiments enfin sans, disons le, qu’elle ne puisse rien à son acharnement.

Il voulait tout lui donner et c’est qu’ilpuisse donner à tout le monde que devait se profiler.

§.6.

Il ne savait de quoi il parlait.

Il voulait pouvoir juger.

J’avais envie d’en taper un.

Mais après tout cette histoire pouvait être vu par plusieurs personnes (la globalité de l’histoire seulement à elle et moi ensemble) donc pourquoi pas, j’étais large d’esprit c’était une occasion de le montrer et puis surtout on se sortait de notre relation à deux, je pourrais la regarder et être regarder en pour parler exrérieurs à ce qu’on savait déjà en nous entrain de s’élaborer.

En récréation.

Nous deux, quoi, que cela fasse, toujours de nous deux dont il s’agissait.

§.7.

Les enfants sont certains de porter l’inconscient de tous sans avoir aucune intention ou crainte de le proter aux nues.

L’adulte doit arriver au même résultat en sachant que sa force se trouve là mais en delà.

Se renforcer et trouver qu’est juste une piste de décolage (visible partous) et jamais celle ou le sens et équilibre atterrira.

C’était dans ces moments où je ne comprenais cela que je savais que je pouvais faire à chacun un cadeau de moi.

C’est à dire pouvoir tout apporter de ce qui manque.

Et si à tous.

Tout de ma sœur et de mon âme reposera enfin sans fin.

§.8. (encadré).

Le statut de penser ne tenait pas de sa position mais était l’emblème de l’être car de pierre. Le temps donné à la réflexion le mouvement suspendu.

§.9.

Je t’ai vu rentrer.je me suis dit ça pourrait être elle, mais interdisons-nous d’y penser.

Cran de sureté.

§.10. (encadré).

Soufler à la ligne de l’insecte.

Le voir, nous apprécier au lieu de devoir finir à tout prix.

§.11.

Il réfléchissait si profondément, ces choqes étaient si compliquées à réexprimer ou même à lui-même s’expliquer qu’à chaque fois  qu’on lui coomuniquait une info qu’il couperait (faisant place à une incompréhension, en dehors de l’enchaînement d’une réflexion) c’était l’événement, le ressortant de ces profondeurs du moment.

Et tant que ce moment choisi de lui était aussi.

Cela voulait dire qu’il pouvait retourner a sa réflexion.

Refaire et réanalyser automatiquement le chemin.

§.12.

La fatigue. La tristesse qui chaque jour doit s’en aller.

C’est d’ailleurs pour cela que lorsqu’on ne travaille plus, ne se fatiguant pas,se donne un droit sur le sommeil. Alors l’amertume vient plus simplement nous assassiner.

§.13.

Ce qu’on savait de sa fougue c’est de délier quelque chose en soi qu’elle pouvait exister.

Alors cette fougue qui le portait était à l’image de ce qu’elle devait trouver le moyen de débloquer car s’il y avait la fougue il y avait les moments où plus un geste à ce propos il serait apte à esquisser où un retour donc.

(Soit une réflexion en lui ou soit une réaction d’elle en retour qui permettait une continuation tendant vers un ordre.

Elle pensait à ces moments où c’était cette fois qu’elle devrait le caresser.

§.14.

C’est de celui par qui on était regardé qui avait de la sensation entre choses que de soi perçu, que la conscience s’étendait.

La conscience n’était pas savoir la vérité ?

La conscience était savoir qu’autre chose existait que ce que l’on croyait.

§.15.

C’est en questionnant sur ce que je ne comprenais pas que l’autre me livrait ce que je savais de ce qui m’entourait et donc me concernait me constituait.

§.16.

Le sexe dans le couple.

Le geste affectif et corporel.

Il était comme ces moments de la journée où tout le temps être affairé à ce qu’on doit faire progresser.

Naturellement le souvenir d’autres choses que ce à quoi on est attaché vient nous divertir.

Toujours d’ailleurs comme étant des informations nouttissant directement une avancée.

Quelque chose de pertinent.

Le sexe était Tabou tant que le couple s’était choisi et choisit ses possessions, les conseils quil reçevait n’existait.

Peu d’occasion, alors quelle que soit la nécessité de s’occuper. Masser les corps est : Journalier.

§.17.

La vie c’était constater que les choses bougeaient et réfléchir à ce que cela impliquait.

§.18.

La mort paraissait à l’esprit naturellement (à donner) à mesure que ce qu’on connaissait de la langueur du monde.

La mort était le seul moyen de ne supporter une situation jusqu’à la fin des temps (toujours ceux qu’on connaît. Pas plus loin que le jour même)

Faire mourir était alors la seule solution. Pour que son monde puisse changer !

Puis on apprend que la mort d’un, va faire mourir un autre et finalement nous tuer.

Aussi que ce qui est mal là serait la providence pour quelque chose à côté.

Question : Que deviendrait la mort si l’esprit ne la voyait plus comme une solution ?

§.19.

Faire toujours ce qu’on doit faire.

C’est pouvoir continuer à le faire même quand la situation n’est apparament pas propice.

C’est s’apprendre à être nourri tout le temps et que tout devienne nourriture, puisqu’en des chemins inexplorés il faut savoir tout faire et tout en ce terrain d’alchimie tout peut en guise d’expérience se transplanter.

§.20.

On devait avoir une notion de valeur.

Car c’était la notion de perte de temps, qui nous faisait, nous donnait la force de, dans la vie, faire des choix.

§.21.

Elle en avait toujours voulu à sa grand’mère de l’avoir toujours trop bien nourri alors qu’elle même était une femme pas trop mince mais svelte comme on dit.

L’était sans comprendre la peur de la privation ou celle de l’anorexie.

§.22.

Il préférait se faire passer pour un imbècile ainsi les trucs qui bougeaient, qui faisaient réagir les gens autour il n’en prenait pas la responsabilité, sachant qu’elle ne lui revenait.

Quelles étaient le fruit de tous.

Simplement qu’on désigne celui qui fut montré du doigt, celui qui prit sur lui la décision de revenir au même endroit.

Et à ce même moment regarder la même chose un individu) pour se rendre compte de comment après se dispatcher l’énergie.

Le pouvoir de regrouppement et de distention.

§.23.

Bien sur qu’il avait attendu son coup de fil.

Il avait peur de cette femme là.

§.24.

Comment ne pas sentir en permanence son animalité lorsque vivant dans la pauvreté. (C’est à dire se battre pour sa survie immédiate, ne pas pouvoir penser.) = difficulté pour chasser, répondre au besoin, pour se laver.

Un animal superprédateur avec un vivier comme éco-système n’a plus à ruser. Juste à manger et dormir.

L’homme entouré de la nature sauvage, se sent obligé d’entretenir son afressivité, attention.

Il suffit qu’on me mette une fois dehors pour être dévorée par une bête plus forte, mais aussi sauvage.

§.25.

Les moments ou je n’osais plus le toucher tellement, redoutant d’encore le voir s’en aller.

Emportant avec kui la chaleur de ses caresses comme du sang maitenant dont le manque m’anémierait.

§.26.

La musique de ce qu’on fait.

§.27.

L’agressivité était la dictature qui nous était faite de penser que par exemple tout le monde n’avait pas un fond gentil, ou tout autre oblige.

§.28.

Notion.

Ce qui est et comment être répertorié.

§.29.

Les signes, étaient les manifestations qu’on raccrochait à un événement étrange, paranormal, ce qui se révèlait si fort à notre mémoire sans qu’on sache à quoi le rattacher :

Ils permettaient d’en discuter le comportement ostensiblement.

§.30.

Les examens étaient une telle pression qu’on y repensait :

 1 ; 2 ; 3 ; jours.

 1 ; 2 ; 3 ; Semaines.

 1 ; 2 ; 3 ; voir années après.

Et cet exercice là nous faisait progresser.

§.31.

Penser à autre chose, à quelqu’un était la manière de se répondre à soi même, de se dresser, de maîtriser son besoin de contrôle sur sa dualitéou tout autre chose sur lequel repose notre nécessité, obligation, désir, progression de communication.

§.32.

Penser à autre chose consciemment et sans s’en cacher.

Etait briser le tabou de l’absence, de la séparation.

§.33.

Son ambition aurait maintenu en respect n’importe qui.

Autant qu’elle l’exacerbait, comme si de vivre ne lui suffisait, elle devenait vulgaire et me choquait même moi qui aurais pu vouloir lui préter ma vie.

§.34.

Dans l’homme qu’elle vit, elle reconnut un sosie de son père chéri.

Dix ans ou plus qu’elle ne l’avait pas revu depuis.

Elle le regarda.

Ne pu plus le voir, les yeux s’engorgèrent et c’est du sang qu’elle vomissait.

§.35.

Je ne suis pas macho mais ai été élevé par des machos.

Bien sûr ou sous évaluer la femme car la structure de la société, veut qu’elle puisse nous donner notre bonheur ou pas.

La femme celle qu’on nous impose, celle qu’on ne choisit pas.

On la sous-estime tellement qu’avec elle on ne parle pas, en fait, on essaie de se soustraire à la tyranie de celle-là.

Que devient-on si notre bonheur ensemble à personne qui n’en prend pas soin.

§.36.

Le machisme c’était reconnaître tacitement d’être un prisonnier sans même pouvoir rien rattacher à ce qui nous méprise, le dévaloriser étant notre seul geste pseudo-souverain.

Ce commun accord, ne pas se laisser faire, partager cette barricade, faisait qu’on était des copains.

Plus on était de fous plus on pouvait se reconnaître des affinités, un lien fort entre nous.

On ne pouvait se marier mais les liens de nos alliances bien que frustrés étaient admis.

§.37.

Rien ne se passait.

Le temps me laissait la place pour me mettre, pour reconstituer ce qui s’était passé mais avec ce qu’elle en pensait.

Qu’avait-elle ressentie.

Après comment se faisait-il que l’on en soit là.le questionner vers la connaissance de la sagesse de l’autre répondait.

§.38.

Les trucs pour les abdominaux.

C’est de toucher son dos en éliminant.

En faisant masse sur le creux du dos et ne relever les épaules que si le dos est parfaitemeny ancré au sol.

Abdominaux plus massage colonne vertébrale.

§.39.

Le créateur en rendant l’amour donateur, permettait l’égalité de traitement qu’il permettait.

§.40.

C’était me retirer des années après qui me plaisait, m’apportant ainsi la chance de me rectifier.

Les pertes de formes plus celles de fonds qui m’y maitenaient.

§.41.

l’émotion n’est envers personne, elle est justement un échantillon de ce qu’on a vécu et de ce qu’on est capable de faire en personne.

§.42.

Ce partage de l’expérience indiquait à quoi il serait mieux à l’avoir chacun.

L’oisiveté de nos générations, civilisations.

Ne pas oublier que serviront les expériences de tontons maintenant qu’on peut prendre le temps de parler de la vie, d’établir nos paramètres de survie et revendication.

§.43.

Je ne peux pas te laisser me faire du tort.

Je crèverais seule alors.

§.44.

Tous pouvaient se regrouper, être symbolisé au travers l’obje de l’aieul.

§.45.

Il me fallait continuer à hurler en partie contre moi puisque personne ne prenait, n’aurait pris sur moi le relais, sinon la vanité.

§.46.

Mais de le mettre au courant de tout ce que l’environnement pourrait déceler comme danger, option, possibilité, éventualité, bref maintenir l’esprit en éveil sur le panel de ce qui peut arriver.

§.47.

On ne peut qu’aimer l’humanité.

Mais à la voir se détruireelle-même vient le désemparement.

Elle (comme tout) un appel, cri dans l’inutilité.

Que peut-il bien arriver ?

Rien que personne ne sait.

§.48.

Son poignet avait la gueule d’un cobra.

Pour autant pas de sur-homme il apparaisait.

Comme un cobra malade bien des fois.

§.49.

Rejet de tous.

Il n’avait plus qu’avec ses vieux intérieurs.

La possibllités de trouver des lois, une marche à suivre, des conseils.

Les vieux intérieurs qui chez chacun donnaient un avis et son opposé.

Avaient pour fonction non pas la régulation de l’être dans ses choix, comportement.

§.50.

Regarde-moi.

Tu me vois ?

Moi aussi, la lumière.

Je reçois et renvois.

§.51.

La progression permet de s’apercevoir de la tension sur tous les plans.

INITIAL. (Initiaux.)

Et de la détedre sur tous les plans comme condition aux résultantes.

§.52.

Avoir le bon poids comme la solution pour ne pas se charger ou décharger de ce qu’on ne s’employe pas.

§.53.

« Elle m’écrit des lettres d’amour.

1      Et vous aimez cela ?

2      J’en tremble !

3      Pourquoi fuir ?

4      Parce que crainte du jour ou je n’aurais plus que ça.

Ce jour je ne serais plus à toi et par conséquent personne ne pourra plus me revendiquer.

Je perdrais tout à ce moment là.

§.54.

Des insectes dans ma boîte que je veux faire sortir.

Car je dois fermer ma boîte sans eux à l’intérieur.

Je ne veux pas les éliminer, simplement les faire sortir de là ou moi je ne veux pas.

Notre attachement à la vie pourrait à ce qu’ils ressentent à ce moment là.

§.55.

La vieillesse c’est s’apercevoir de tout ce qu’il y a à faire, en sachant que cinq ans,dix ans est juste le temps de se dire tient je ma rappelle d’une date et l’autre vient sans que je n’ai fait autre chose que de cela non pas accomplir mais réaliser.

Tant de choses à changer mais par sa propre nécessité de s’habituer, se surveiller, se remettre de tout cela, accaparé.

Le temps passe et l’urgence, elle, demeure tandis que nous sombrons.

§.56.

Dans sa voix qu’elle controlait le plus pleinement par choix.

Elle laissait glisser que de lui rien de lui ne pouvait la blesser (pas de ravages dans les environs S.V.P.) autant que profondément il fallait l’aimer autant que l’amour lui était donné de connaître (par cet amour offert) et que prenne possession de sa, ma volonté.

§.57.

Quand comprendre que pouvoir aimer était le plus grand révélateur de don.

Comprendre qu’à travers cela il fallait remercier.

§.58.

L’œuvre est de mettre à plat le temps qu’on mette.

Une forme nouvelle.

Que les limites du possible soient des gestes !

§.59.

M’occuper de mon corps.

Bien très bien ainsi il se sentait de pouvoir recevoirdignement l’attention qu’elle lui prodiguait.

Si moi-même l’avait préparé avoir bien travaillé.

A montré, recevoir et donner l’affection (ce tout espoir, ce tout permis qui en nous reposait et se déposait.

§.60.

Le choc de certain moment. Impossible de me chasser de l’esprit certaine idée et volonté d’exprimer de communiquer faire que face à mes blocages, ma déraison en face de moi va se trouver.

La rencontre de l’autre avoir cet effet de se dérouler.

Problème :

  1. Face à la décision il faut un système assez dure (car difficilement ficelable) pour pas se risquer à chaque une de se faire étrangler.
  2. Un système dure veut dire que l’on reste sur ces positions, le droit la possibilité d’être libre (car surveillé dans le sens d’éduqué, et avec possibilité de retenir.
  3. Dans ces expressions n’étant pas donné.
  4. On tuerait pour éviter d’avoir à se poser des questions.

De faire fructifier son avancée dans son expérience.

Non pas en devant planter ce qu’on pense avoir instauré, mais de conserver l’énergie pour avoir l’art ou à tout art de vivre retransiter ce qu’il nous a fallu comme patience, passion, fureur, vigueur, cogitation, tempérance –    –     –      -.

§.61.

On est toujours comédien de faire rayonner à ce pour quoi on a décidé d’être vu (et comme un jeu de main. Se servir de la conscience de l’ailleurs pour avoir l’énergie suffisante de s’y jetter en plein.

On est comédien (et toi abrutie) de vivre pleinement la situation. C’est de pouvoir la considérer comme un simple décor.

§.62.

J’avais fait un geste qui signifiait, je me voue à l’écriture, elle me met dans un état au-delà.

Elle l’avait pris pour de la vanité.

Mais l’écriture est tout ce que je pensais.

Elle était ma seule chance pour y arriver l’existenceme servait sans cela.

D’ailleurs l’écriture était une manière pour voir, un truc tangible de notre activité, j’écris donc je pense, sens et ceci à un sens car la réalité en est une trace qui de perception en révision se transmet.

§.63.

Faire un acte que l’on pouvait considérer comme beau.

C’était pouvoir s’emplir et vivre tout ce que beau il nous semblait.

Chaque rencontre.

Chaque élément.

La force qui pour continuer de cessait de se circonsformer.

Le passage.

C’est comme ça que toute forme on se donne puisque chaque élément esr comporté par un à se donner et se transformer.

Pouvoir différemment communiquer.

Puisque le premier est d’être constitué par plusieurs devient puriel.

La vie ainsi s’exmpique en se rappelant ce fait.

Se sentir est sentir ce qui à côté et le sentir c’est pouvoir à côté, et que l’à côté puisse aussi en d’autres endroits transiter.

§.64.

Le culte.

Reconnaissance du corps alors pas de gymnastique ni de sport, car sport = préparation à la guerre ou travail dur de toutes manières plus pas de professeur, pas de livres, pas d’outils.

Le culte est un moment où chacunpeut poser, peser ses gestes au ralenti.

Moment de liberté où la communauté prend le temps du supplémentaire de donner les principes pour battre la peur de la mort et les identiques pour que le groupe puisse continuer à espérer prospérer.

Religion. La voie du recueillement.

Fanatisme justifié.

§.65.

Le soir ou je me suis dit ne le sors pas.

L’autre quart pour dire ce qui ne se ravale pas.

§.66.

Elle pensait être tranquille.

L’amour qu’elle avait pour lui pouvant tout surmonter.

Mais c’est parce qu’elle s’offrait qu’avec elle il dut prendre ses secrets.

Et leur amour = se blottir entièrement sans que rien ne puisse parasiter.

Pour cela leurs démons ils devaient se montrer et tout ressurgissait.

Le combat la raison d’aimer.

L’amour la raison du renouveau.le voir s’excuser de quelque chose sans impact ou pas de faute.

C’était le voir ne pouvoir se défendre où même accuser de la même façon l’innocent où le pas à blamer.

D’ou le sentiment de culpabilitépassant qu’il n’arrivait à réprimer.

§.67.

Pour pouvoir l’analyser, l’éprouver, l’améliorer.

Il en fallait pour faire tourner le manège tel il nous avait biaisé.

Elle pensait que pensant la tromper ou bien la quitter, je me servirais de l’écriture de texte informé.

Alors que c’était (un des aspects majeurs) mon rapport à l’écriture à ma dévotion.

La dévotion était par la pression aprise et qui pouvait supporter quelqu’un écrivant, suivant les mêmes choses, et qui pour ce faire était toujours attablé.

Si n’était scrupuleusement fidèle reconnaissant celui-ci.

L’écriture était ce que j’avais à donner de nouveau car comme l’amour elle était ma liaison ininterrompue.

§.68.

Le sport dans l’énergie de vie doit se pratiquer quotidiennement pour avoir des liens intimes avec lui.

C’est à dire accompagné de divers exercices d’assouplissements, pour soulager les douleurs ressenties.

On fait exos avec les enfants comme ça on ne fait plus de sacrifice pour eux et on ne sacrifie plus les petits en même temps.

§.69.

Elle ne me comprenait ou me croyait.

Elle me faisait souffrir car je ne la comprenais ou ne la voyais.

§.70.

Le challenge était de se sentir bien en toute circonstance, c’est à dire trouver la force de changer, d’agir sur les présences en force ou les forces en présence lorsqu’on ne s’y sentait pas bien.

§.71.

Dissention. Distorsion. 

Peut-être mais.

Pouvoir avancer sur plusieurs fronts.

C’était s’assurer de n’être dépendant d’aucuns, comme d’aucuns évènements, avènement, capacités, coordonances, possibilité, hasard, proposition.

Ne dépendant de rien.

Tout pouvait être mis en attente à partir du moment où j’étais occupé à faire autre chose progresser. Par la simple logique que si un élément avançait alors je pourrais faire lorsque j’en avais la possibilité, faire avancer les autres avec la même qualité, densité que celui-ci était en train de m’inculquer.

§.72.

Je niais de ce que je disais parce que je répétais ce qui m’avait déjà fait rire, de l’avoir entendu, ou de l’avoir déjà formuler.

Ainsi si je n’avais plus d’amour conjugal.

L’amour de mon autre, de mon collègue, à ma mère ou à tout autre entité, de prodiguer cet accomplissement à mon prochain concubinage me garantissait.

C’est à dire continuer à avoir un concubin puisque de l’amour je continuais à abreuver protéger prodiguer et aussi donc appeler puis m’auto prévaloir m’empêchant l’a cause me fasse impression d’en manquer de faire tout ce qui pouvait le constituer (tout le reste sombrer.)

§.73.

Reste lugubre tant que le but de toute vie d’être pour tout autre prolifique, bénéfique n’est achevé.

Le culte du lugubre car tant qu’elle ne peut rester lugubre c’est par ce biais là qu’elle doit être consacrée plutôt qu’ignorer.

Car consacrer n’est qu’une forme (donc modifiable) sans laquelle on décide qu’elle va être tentée.

Mais l’impact n’est pas le comment juste dépendant des circonstances mais de la décision consensuelle qui permet que tout groupe s’y attele donc puisse s’y constituer..

La force de la concentration étant de tout regrouper.

C’est faire que tout s’organise pour que ne dure plus le pleur du bébé.

§.74.

On la disait pornographique.

Leur propre portée sexuelle il ne reconnaissait.

Quelle indécence, (con), il était.

§.75.

Il y avait la force qui se transmettait = qui donc nous portait.

Celle qui montait = Dont – il fallait attendre d’être plein.

S’auto – féconder = la laisser s’exprimerlaisser ce que nous avait communiqué l’autre, trouver une voie à l’expérience de soi une possibilité de trouver un code, une transcription de ce qui nous à été donner = Que la force continue à s’engager.

§.76.

Le maléfice est rassurant.

Que la mort soit consacré !

Puisqu’en ne respectant la vie.

Sous des prétextes de la faire avancer.

La mort prend un aspect lugubre.

Plutôt que la nature continuant à s’acheminer.

Être tout le temps occupé avec la possibilité de planifier les choses c’est à dire de coordonner, d’enchaîner.

Qu’une chose soit faite pour une autre, en appelle une autre, fasse réfléchir d’une autre.

Sentir en soi les coses s’enchaînner, se dérouler, se constituer.

Cela apportait la possibilité d’une énergie appellée c’est à dire de pouvoir demander ce dont on avait besoin, pouvoir détecter ce qu’elle était d’où elle venait, comment s’en débrouiller (même si évidemment elle était complétement extérieure) mais avait pour particularité l’exigence stricte de répondre à un appel que notre connaissance (conscience, explorer) pour faire que cet équilibre( = l’élargissement, l’approfondissement de la chose) puisse en nous continuer ( = âme même des choses allant s’y rapporter, s’y joindre)

C’est à dire dans une logique de prolongement c’est à dire sans se couper de rien avant unité s’élargissante.

Son unité appelle un élément à s’intégré.changeant sans désavouer l’élément A pour que lui-même vive, naisse D.

Que dis-je plus d’élément mais une entité en train de se détacher !

§.77.

Il m’avait confié ses pseudos larmes.

Pseudos car je les avais regardés sans y croire, sans admettre qu’en moi aussi qu’elles s’y trouvaient ou elle ou leur remède. Le souvenir, l’expérience c’était pouvoir l’une ou l’autre à présent en moi comme en toute chose faire couler, libérer.

§.78.

Le respect.

Le risque de tout prendre en compte ensemble être dépassé.

Sa spécialisation, sa maîtrise, sa manière de doser.

§.79.

Le risque alors contrôlé donner une chance aux choses qu’elles puissent arriver.

§.80.

La conscience est une affaire de temps décomposé.

Et redevenir cendres.

Le phenix pro-grès. (œuf.)

§.81.

Administration.

Truc.téléphoner à plusieurs reprise jusqu’à trouver quelqu’un réelement capable (formé, réactive, de bonne humeur, motivé) de vous arranger.

Quand bloque un dossier !

§.82.

Mon ex, je l’avais perdu.

Me rappeler cela c’était t’aimer plus.

D’ailleurs san toi l’avenir à quoi me servirais de reconnaître cela.

§.83.

lon ex qui puisque dans ses derniers instants me portera de toi à moi.

Mon amour pour elle.

Mon amour était aussi là.

Mon amour tout en toi.

§.84.

Victime – Bourreau.

Le malheur de sentir qu’on ne représentait qu’un aspect.

Ne pas être à tout meler ou ainsi vu, considérer compris.

Le malheur restitué.

A quand ?

A qui ?

De le reconstituer.

A tous si on ne voulait le perpétuer.

§.85.

Accepter le danger, la peur repoussée.

La vie repoussait.

§.86.

Il ne faudrait pas qu’il appelle.

Je l’appelais déjà tellement violement que lasemaine m’avait fait perdre le volant.

§.87.

Accepter toutes les forces.

Pouvoir pourtant reposer.

§.88.

Le don de guérisseur s’acquiert à masure que capable de nous guérir nous même.

(Se réaliser, s’allier sans pécher mais indéfailliblement (infailliblement) ayant créé quelque projet et quelque cfose de fait étant survenu.

La rencontre des volontés.

Le don de quérisseur à mesure qu’on nous donnait à réparer.

Le don venait d’offrir.

Savoir de lui qu’on ne pouvait en rien enlever.

§.89.

L’attention constante du quêteur, guetteur.

Comme en perpétuel recherche.

Ou bien foncer vers le pour ou bien scrupuleusement par l’entretie,t de ce qui est que lui même dise comment mieux le déterminer.

L’attention constante.

Permettait que les temps puissent passer, et en souplesse car déjà à sa tension propre.

§.90.

Constante puisque recherché.

L’arrivée d’autre énergie de cette constante pouvait être analysé, –             -.

§.91.

Il était remplacé.

Tout moment avait pour mission d’avoir demandé de tout pouvoir la perte trouvée.

§.92.

Les autres l’avaient éloigné en lui racontant des saloperies.

§.93.

C’était elle qui m’avait l’épreuve réussit.

Toujours pie. (De la vache ?)

§.94.

L’idée de pouvoir l’aimer me rappelait, me réconciliait avec tout ce que j’avais alors jusque là adorée ou marqué de l’avoir fait.

§.95.

Passer de l’obcession à la résolution.

Parce que tu es mon orésent.

Le passé est seule lecture.

Et mon futur que tout s’y rejoindra.

Tu es la preuve que rien ne périssait.

§.96.

Elle prenait le même timbre de voix que moi alors qu’elle n’avait encore entendu de moi ces sonorités.

§.97.

A regarde B.

En pensant à cet en reproduisant une mitique de C.

B regarde D en reproduisant une mitique de C.A regarde D (première fois qu’il le voit en reconnaissant la mitique de C.

Double choc il revoit ainsi C. cela fait des années que cela ne s’était pas passé + rejoint à ce à quoi inconsciemment dans la mémoire de son corps se déroulait.

§.98.

La conscience est obligatoirement une conscience d’inachevé, de mouvement toujours à compléter soit nous préoccupant de ce qui se passa avant ou bien après.

§.99.

La conscience était de prendre en compte un déséquilibre, quelque chose qui ne peut ce qu’on pensait devoir le compléter, nous ammanait à libérer l’énergie par la suite à cet effet.

Donc la conscience  était la prise en compte d’un facteur que l’on portait jusqu’à s’en servir.

La libérer, se libérer, se leir face à l’énergie que la conscience  qu’il faille ré englober ait pu les divers ingrédients le tout reconcocter.

Et nous ré animer.

§.100.

Je lui enverrais à condition que me vienne un motnqui convienne.

§.101.

Mon ange.

Ma fille.

§.102.

Ces chiffes auxquels on attribuait tous les pouvoirs et qui revennaient chacun toutes les dix coupes.

J’ai tellement de bruit dans ma tête que l’hiver j’entends les cigales chanter.

§.103.

Ma grand’mère mine de rien prenait de mes nouvelles.

Je n’avais totalement rien mine de rien à lui dire. Car n’occupais pas complètement le sujey.

Mais de but en blanc je pu lui dire soulagé, tant fais pas, ne t’en fait pas : Je vais très bien.

J’attends simplement ; plus de temps à travailler.

Que cela découle et toujours plus d’appoint ce jour là (quel que soit le résultat) de savoir de quoi et donc comment vers quoi le toujours fidèle immodulable se dirrigera ! .

§.104.

Si elle fesait cela, partirait ce que je pensais comme étant une de ses vertus permettant tout mon amour s’y réfugier.

Tout mon amour s’y réfugier.

Si elle ne le faisait pas c’est de connaître la raison pour laquelle on ne pouvait s’allier .

Et cette raison là autant qu’elle je devrait l’aimer.

Tant que c’était elle et rien qu’elle qui en finale la prenat quand j’avais réussit çà avancer tout les éléments a ma portée qui auraient pu la faire changer.

§.105.

Manger trop.

Manger, se reposer.

§.106.

Ce n’est pas assez faire confiance à la naturelle marge de la nature : Qui d’elle-même, de suite quand notre corps a la nécessité que s’acomplissent et se hissent les unes et les autres.

Les corps tout entier à fermer les cathédrales pas à l’état d’un et une seule encore.

Mais le travail même que met un corps à lutter, vient toujours de la même nature ni autre ni sensible, mais supra, bien qu’apparenté, alimenté à lui- même, se regrouper se constituer autour d’un mouvement, d’une idée.

Cette pauvre maman qu’on incrimine de faire reposer en elle des vieux méchants, mais si tout venait qu’elle se trouve de border comme le savent cent millions de milliards de personnes qu’on ne peut pas tout surveiller. Ni tout à temps enlever.

Mais les casseroles peuvent elles même s’apercevoir que à cuisson on peut aider. 

Ou bien peut être est-on le lait qui selon où il pourra être prêt sans s’évaporer.

§.107.

Je ne travaille pas trop le premier jet, comme ceci.

Il ne me restait du travail, pas que de relecture.

(Mais aussi de remaniement total possible car ordinateur) du travail divers.

§.108.

L’itinérant apprenait à vérifier les lieux scrupuleusement à chaque départ, pour contrôler ce qu’il pouvait y laisser, qu’il lui fallait emporter, ou mettre en sécurité.

Il lui fallait respecter chaque départ, le vivre pleinement, aimer le lien, s’occuper de l’endroit d’où on partait.

Pour être sûr d’arriver.

§.109.

Faire des erreurs.

Savoir quels ingrédients sur lesquels j’avais la main mise, à part (la main) que la recette a foiré(e). (échouée.)

Est me retrouver mut comme me suivre à écrire.

J’écris sur tout sujet.

Celui-là s’inscrit et rien que pour ne devoir me le retaper, ne devoir encore lui faire faire (pour voir que mes gestes ces gestes[dont je prends conscience de me les voir utiliser )] m’oblige maintenant à m’effacer.

La sagesse de la diversification m’ayant dictatiquement abandonné.

§.110.

Cette sensation d’avoir constamment quelque chose oublié était motivé.

Mes clefs ma carte –  –    –       – QUE SAIS-JE.

(Toi! Tu as vécu le monde du voyage.)

Je ne pouvais pas tout restituer.

De jeter un coup d’oeilsur mon bureau, mon lit, ma bibliothèque, ma table, ma poubelle.

Tous les endroits où je laisais mes outils ou produits s’amasser.

C’était cela qu’à chaque fois j’omettais.

§.111.

Etre ensemble médecin de chacun.

Si on savait que l’autre bénéficiait er administrait les même soins.

§.112.

La patience.

Savoir que puisque le déséquilibre venait que plusieurs chosent étaient engagées, il fallait du temps pour les prendre et toutes les abriter.

L’amour était ne pas perdre de vue cela et cela, c’était savoir que le mieux engendrait le mieux après.

Que pas un geste que l’on savait pouvoir être salvateur me devait être économiser le savoir.

§.113.

Bout à bout.

La logique et lien.

Le temps symbolisé.

Le savoir.

A la formation du monde aboutissait.

Etre perdu.

Car on n’admettait pas que l’énergie prise, exaucée par un geste élémentaire en soi et l’autre continuait.

C’est ainsi qu’à l’espace on pouvait s’accrocher.

Le temps était la distance parcourue.

Le temps était la solution pour la rattraper.

§.114.

On avait la sensation de la voir en plusieurs endroits se manifester (à différent moment bien sûr, on ne pouvait voir deux endroits en même temps) mais c’est qu’en fait entout déjà.

La manifestation, l’existence de tout se trouver.

Simplement de saisir que notre moitié dans l’autre résidait pour que l’écoulement du temps ( de la manière décomposée).

Cesse.

§.115.

A qui ça (cela) sert ?

A notre niveau savoir que vers le bonheur on peut se diriger.

Bonheur.

Accepter le conflit.

Se battre pour l’intégrité, regagner.

Avoir la conscience que nos esprits se déchiraient.

Vieux et enterrés.

Insensibilités.

Silence – S’écouter.

Sac de dècomposition.

§.116.

La gravité permettait au corps de conserver cette constante.

Ce poids que l’on pouvait faire avancer toujours en conservant ce qu’il était.

Cette constante si on s’y attentionnait et qu’on la gardait, avait pour fonction évidemment d’être parce que tous les poids extérieurs à ce centre, c’était en lui rassemblait et savait où trouver du poids (et le doser puisue l’on s’attentionnait à la base à la preservation de sa qualité en tout que l’ayant pour base la totalité.

Fondamental.

§.117.

On ne pouvait jamaid se regarder, se voir bien faire, car ceciimpliquait d’y être tout à fait.alors comment expliquer à une idée de qu’elle tête à ce moment là on avait ?

Si on se regarde au moment dans un état (étape de tout processus) on enregistre une photo de cet à peu prés (du temps où on était encore au temps = à ce qui la passait, finir, voué à l’imparfait + on devenait maître de la suite du processus qui faisait que des deux points enregistrés on pouvait déterminer dans quel troisième (qui allait devenir ce l’un d’une prochaine ligbée) on allait pouvoir tout entier et pouvoir s’y mettre en son entier.

Devenir.

Cette sensation de complétude enregistrée  imaginée la zone de notre béatitude.

Tel était le seul moyen de se voir avec soin et le monde réconcllié.

L’instinct.

§.118.

L’image n’est qu’une tache de couleur plus ou moins mouvante ou assombrie.

Le mouvement par conséquent ne demande pas l’impossible à être par le biais de l’imagination. L’émotion le système, le jeux de l’énergie reconduit.

Animé, suivit.

§.119.

Pour travailler correctement avec ces instruments c’est fatal qu’il fallait devenir avant   –   –   –

§.120.

Ses joues se creusaient.

Elle faisait trop attention à son énergie.

Croyait qu’il fallait obligatoirement donner une dose apparente particulière à son toupet. Que celle ci spontanément n’aurait pu varier, faire croire.

Savoir comment les choses pouvaient percuter.

MAÎRISE.

MEPRISE.

§.121.

La discussion intérieure au fait de  l’expression.

L’apport aux autres.

L’existence sinon que cela n’était plus que nutrition.

§.122.

L’expression était le signe d’être libre aux éléments dont on se savait entouré.

Libre d’en jouer, de s’exercer.

§.123. (Page : 553 BIS pour un oubli de numérotation)

Penser – Etait pouvoir tout comprendre, reccorder.

§.124.

Elle pensait que je ne lui avais dit qu’approximativement ce que j’étais parce qu’elle trouvait quelqu’un de différent de ce que j’en avais été.

Je me gardais d’en rien dire dans les détails qu’elle n’avait changés.

Cela venait du fait même que faire réfléchir d’avoir à se conter.

§.125.

Je lui avais dit qu’il ressemblait à quelqu’un que jadis je connaissais.

Quel était cet ami ?

Je ne sais plus il était devenu lui.

Une personne que je connais depuis le temps d’avoir trouver le terrain sur le quel nos esprits se parlent comme de très vieux amis.

Ce terrain qui nous paraissait ancestral.

Puisqu’à la différence des autres sujets nous y passions dessus nos journées et nos moments.sorties et ainsi de suite.

Pas peur de pratiquer quelque chose, c’est connaître le lendemain, ne plus être seul.

Savoir que le jour vient.

Avoir ensemble toujours quelqu’un à protége au temps de la nuit venue.

Le jour a aussi le droit de se reposer.

§.126.

Tout le monde était sous le tabou.

Le non dit le non su.

La boite de pandorre de la violence.

Bien sûr uen belle bête ne devait rester.

Il fallait donc la voder.

En sachant que déjà tous nous connaissions ceux déjà sortis.

§.127.

Ma grand’mère était que pour ma moitié me monte à condition qu’elle ne me fasse de mal à la sortie.

§.128.

L’étude est de pouvoir associer quantité de chose à un seulement.

  1. Travaille de mémoire.
  2. travaille de réflexion – La logique les reliants.
  3. L’innovation vient de cela. A

A, pour, par, sa pratique attire :

L’expérience, l’observation.

B – C – D – E –  –  –  –

H par pragmatisme attire : E – F – I – J – K.

Donc on s’aperçoit que si on retrouve E dans les deux même cas.

C’est que d’autres associations s’y trouvent aussi.

Les essais hasardeux mais toujours sensés et à même de trouver des résultats suivant font, aspects donc utilisation d’étude, de plus ample et structuré = durablement relié, étudiable, peuvent se créer.

§.129.

Les signes trouvent forcément un sens puisqu’ils viennent de l’extérieur qu’on observe particulièrement en pensant et en leur donnant une valeur symbolique de choses intérieures.

Les signes sont ce que l’on fait figurer au creux de nos questionnements et intérêts.

 Ils sont là comme des bornes chargées de nous rappeler quels sont-ils où on étés.

Et ainsi véhiculer le cours de sa vie, ils servent de repère identique dans ce qui fût les étapes de notre pensée.

§.130.

Il n’y a pas de puceau.

Car l’être, relève d’un contrôle d’une décision, fusion moins entière que d’avoir des rapports, sur sa propre sexualité (et opportunité) toujours présente dire uoi ou non est en détenir les clefs.

Evidé ?

Ne parlons plus de sexualié.

Puisque n’est plus réactivé.

Car pas une chose qu’on n’ait eut l’intention d’accomplir, de doser. Idem pour le violeur qui se prive de partenaire.

(Abrutie ! Si pas de partenaire, pas de viol, puisque pas de relation. Ou auto-viol par la masturbation, mais n’est plus un viol, puisque auto-consentement.)

§.131.

Je ne préparais jamais ce que j’avais à lui dire parce que les choses essentielles venaient toutes seules en fond et quant à  la forme, j’aurais pu mettre des jours à peaufiner mais c’est à autre chose que je devais les destiner.

Je ne préparais pas d’ailleurs ne finissais pas car peaufiner un discours et répondre à ce qu’on a dit jusque là et ainsi on peut y passer toute la journée.

Quel que soit l’importance du moment pour moi je ne préparais pas.

Surtout je bafouillais. Je bafouillais peut être mais les mots quand ils partaient avait le son de la voix de son papa, quand c’était cette voix là qui à son oreille precuterait.

La vertu, le jaillissement de la spontanéité.

§.132.

Au cas ou tu voulais m’appeler.

Faute de français ne voulais pas dire que tu le voulais mais que c’est ce que je pensais.

§.133.

Les signes n’annoncaient pas les choses mais les expliquaient via la détermination à trouver en eux une raison.

§.134.

Elle avait accepté sa condition.

Elles en paraissaient tellemnt vitales qu’il fallut qu’elles partent pour voir quel boulot elle faisait par aucun refus.

§.135.

L’inspiration. L’idée.

L’inspiration nécessaire à la diction.

L’association faisait l’éloquence.

§.136.

Elle pensait à moi.

Tout ce qui bouge.

Ne le dit.

Apparaissaient des éclairs ou des choses, phénomènes de diversions.

§.137.

Aussi forts que mon esprit.

Donc de tous les mouvements puisque de séparation entre tout et toi.

Il n’y a.

§.138.

Si j’avais confiance en lui.

Mais cette confiance là il me permettait.

Parce que j’en espérais à ce qu’on était maintenant capable d’en faire ressortir, n’était pas le mieux qu’on en pouvait –  –  –

Qu’il en fallait –  –  –  – qu’on en devait.

§.139.

La souffrance, la mort, ce qui était mortifiant en nous qui s’exprimait.

La mort qui en nous vivait.

§.140.

Economie d’énergie.

Vivre tout ce qu’enclenchaitla pensée.

Car la suggestion n’était qu’un chemin qui se proposait non pas comme vérité mais comme la voie.

La voix était nos moyens pour l’énergie circuler et ainsi faire que les parents puissent se regrouper.

La voix permettait l’unicité. (L’unité. Mais comme imbécile tu l’es : Unique.)

Transport de l’énergieneutre car sa raison d’être était de créer le point d’unité.

L’énergie neutralisée neutralisait.

La voix commine.

L’énergie rassemblant les ponts permettait à ceux là de ne pas avoir à expérimenter la suggestion de ce que leur susurait la pensée dédéquilibrée car issue du fait que deux points me pervennait encore à simplement s’éveiller, fleurir éclore, non plus être une issue mais vraiment l’endroit tout endroit, tout recueillait.

§.141.

Gagner du nez et se nourrir de ce qui en coulait.

§.142.

Ne pas pouvoir aide un endroit devait être la promesse de ne permettre aucune perte en ce qui nous était confié ou dans ce que nous savions pouvoir amèliorer.

Avoir au fur et à mesure choisir les défis qu’on se savait le plus apte à élever.

Laisser la chance aux choses de sur-soi se reposer ainsi que (puisque inspiré) de voir comment avec les choses nous procédions = nous rejoignons.

C’était permettre aux choses de se méler à nous de connaître notre existence.

  1. Pouvoir qu’elles s’en inspirent d’inspiration en inspiration.
  2. Qu’elles sachent qu’elles pouvaient nous trouver.

Et qu’est ce que le plus directement ce qu’il était le plus souhaitable de proposer.

§.143.

Echanger, était pouvoir reconnaître à l’autre, la pleine possibilité de se charger de ce que nous avions dégotté de ce qui était manière de résoudre.

Et le résoudre maintenant que dans l’air, nous permettait de faire nos esprits s’épouser, était de notre responsabilité désormais.

§.144.

Quelque chose de visé, permettait à l’autre de se projeter, en même temps que de se calculer.

§.145

Penser à A.

C’était n’être vraiment en lui.

Mais opérer une transfiguration = ce mouvement là est celui qui m’inspire quand j’ai cette pensée = produire un mouvement identifiable par exemple par B.

Ce mouvement là, visible, pouvant visiblement alors se répercuter sur par exemple : C.

Donc à l’origine manquer de fissionner (ou fusionner [illisible]) avec C et tout autre lettre de cela constater.

§.146.

Et donc sentir avoir un quelconque effet.

Et de sentir comme-ça, ce qu’en lui cela reliait pour à l’extérieur de lui ce à quoi il pouvait.

§.147.

Se retirer de la sensation.

Permettait à ce qu’on vivait d’ors et déjà de se trouver de se – –

§.148.

S’occuper de chaque mouvement.

Pour rencontrer l’énergie.

Toute énergie compatible en tout de nous ramener.

S’occuper de tous.

Tout mouvement.

C’était permettre à la meute de se rassembler.

§.149.

Mon bas du dos fixé ? pas de mouvement.

Mais dans mon attention aussi niché elle, elle bougeait et moi je la regardais et chacun de ses mouvements mon immobilité guarantissait.

§.150.

Et conflit tension.

Et quoi comme mouvement pour se réconcilier.

Conflit.

S’être reconnu.

Et divisé.

Et le mouvement décomposé analysé.

Et le système pouvoir reconstituer et en tout réadapter.

L’analyse. La décomposition clef du mouvement qu’on pourrait perpétuer et perpétuel. Le temps que l’on faisait que son support puisse s’alimenter.

Et ne demeurerait qu’une chose que dans l’équilibre des, aux autres choses se constituait.

§.151.

ECRIT nul.

Le mieux = fin de la véracité, utilité.

De ce qui est dit.

§.152.

Casse-toi. Je m’ettends dire à ma femme.

Moi que mon désir le plus problème.

§.153.

La dévotion – le dévouement.

Qu’importe l’amour s’importe.

Qu’importe l’amour s’exporte. Bastring.

L’amour.

Mà pour.

§.154.

Aucunes des activités de la cinquième roue du carrosse cae tout étaitinstable d’équilibre ?

Et sur l’équilibre se reportait.

Tout de l’équilibre de tout dépendait.

§.155.

Le complexe de l’humanisation.

Combien demain serait-on.

Qui aurait réussit à se reproduire et que réussisse à se reproduire à son tour sa production.

L’impression de ne pas mourir.

Oubliant que l’esprit n’avait pas de forme, que partout en tout nous devrions faire que continu la, et de la notre vie.

§.156.

Mes écrits ne voulaient plus rien dire.

Je savais qu’il venait d’enu incapacité de moi à ne pouvoir me relire.

§.157.

Je voyais en cela cet amour.

Mais en fait qu’est-ce que cela m’en dit.

Cet amour bien qu’il soit tellement de choses pour moi.

L’ai-je honoré si bien que cela ?

Est-ce en signe que j’ai été valable en ce combat.

§.158.

D’ailleurs le sentiment d’amour pour me rassurer sur moi, ainsi n’était-il pas fait pour ça.

J’aime donc, je suis bien. Je réussis.

Mais en vérité qu’est-ce quej’ai fait de cela.

L’émotion n’ouvre sur un monde, une imagination et le pouvoir de mieux comprendre tout en m’engageant dans ceci.

Mais qu’ais-je redonné de, à ceci.

§.159.

L’exitation sexuelle.

La mobilisation.

Ou : Qu’on la vivre, la dévie, l’envie, l’évite, qu’on la névrose est cruelle.

Car crée un faux mouvement.cette énergie à rassembler en un point hypersensible, toutes nos sensations voilà ce que son but est. Cela et soulagement.

Cette énergie là rassemblant la force pouvant tuer autant qu’engendrer.Le combat quand on meurt.

Le combat quand on est.

La jouissance donnant aux gestes un impact en dela, de la ou ce qui paraît des supports en étaient.les gestes donnant des après.

§.160.

Dose et félicité.

Tenter d’enfreidre la loi.

Recaptive l’esprit.

Uni rappele le juste milieu (de se qu’il vient de déséquilibrer sciemment comme tout le reste entre ses mains est.

§.161.

Il ne reste pas avec elle. Et partout naturel sa fille qui la voit tout les jours ou pas, qu’importe son comportement envers tous de toutes façons ne changeaient.

Et c’est à l’heure de son propre accomplissement dans le travail que l’estime qu’il avait pour les autres il découvrait.

§.162. (Encadré.)

Le suicide quand la douleur devenait trop forte.

Elle l’était toujours quand celles des autres, du monde on ignorait.

Ignorant même celle de la calculer.

§.163.

Cela ne marcha pas.

Mais j’eus d’autres choses après cela.

Une autre vision.

J’avais d’abord moins peur et était moins dépendant de ce que je croyais que les choses devaient se passer.

Mon exigence n’était pas devennue une prison.

« L’échec avait du bon. »

§.164.

Croire en demain.

Est se charger d’aujourd’hui.

§.165.

L’esclavagisme nous donnait des airs d’idiots.

Evidemment il fallait faire semblant de comprendre ce qu’il ne l’était pas.

Foi fanatique.

La foi qui nous sortait du maternel.

Le fanatisme pour que continnu cet entraînement ce forcing à le spiritualité, trouvant à l’injustice des lois divines dont on disait n’importe quoi, en pleine connaissance (cette fois encore justifiée, donc réellement rassurante) que copieusement on ne pouvait que les ignorer.

§.166.

J’éprouvais de la culpabilité d’appeler les esprits en sachant que les phénomènes que je voyais étaient provoqué, étaient l’extériorisation de ce que je ressentais. Alors mon appel aux esprits, je me disais était un leurre.

Me démettre de ma responsabilité de fait.

Moi même j’étais esprit une chose à ne pas occulter.

§.167.

L’être traumatisé était celui qui sortant d’une quelconque torpeur, tombait dans l’agressivité en craignant que celle-c soit sanctionnée :

Peur.

Surplus regain d’agressivité.

Ou rentrer volontairement dans l’arrêt de communication. (Tiens donc ?)

(Se regarder s’écouter.)

Volonté de ne plus du moins pouvoir.

L’autre exister= porter des responsabilités dont on ne se sentait pouvoir les assurer.

§.168.

Question : Peut-on assurer l’éducation dans ce BORDEL de merde de société. (Comme tu dis CARO cela tombe très bien ce jour 20/12/2005. Et tu remonte dans mon estime.)

Comment éduquer. (Sans démissionner ?)

Comment se protéger de la destruction puisque tout était en discussion.

Une alliance sans que je le vois aller aider à renforcer l’injustice, permet pouvoir un combat.

Puisque l’être général, le même traîtement pour tout le monde ne prévalait pas.

§.169.

Savoir que l’on partageait l’énergie.

Etait savoir que plus loin, en un autre.

En une unité.

Vers l’exploration et l’unité du futurement plus encore élagi.

Conduit.

La création de chaque geste.

§.170.

Que se pase –t-il s’y on s’ignore et ne prend,

Pas n’utilise pas tout l’énergie .

Que nous reste-t-il alors.

Remettre un jeu le puzzle décrouvrit.

§.171.

La certitude de l’après.

Donne du poids, une raison de croire auprésent, et à tous mouvement, expérience plan pouvoir qu’on les choses de se confier.

Croire à ce qu’on fait.

§.172.

Reconnaître aux gens en capacité de nous reconnaître.

C’était acouer qu’eux même en soi, ils reconnaissaient et ainsi plus loin pouvaient aller.

§.173.

Expression sexuelle.

Ce que chacun peut décrypter.

Importance de ce lecteur sur quoi chacun peut compter comme ultime,perr manent moyen de faire qu’on puisse se signifier à l’autre.

§.174.

Les paramètres de l’autre, il nous fallait intégrer pour pouvoir comprendre qu’est-ce qu’il fallait faire, quels étaient nos besoins, problèmes, outils, la rencontre de l’autre, mien.

Que pour dans ces propres travaux se diriger.

VITALITE.

§.175.

INTIMITE.

Le geste que je faisais pour l’un à l’autre pouvait-être destiné et reçu.

§.176.

Merci de m’avouer fou.

Ainsi je peux vivre en cette contrée.

Se jeter dans le vide.

Obéir à la gravité.

Se servir de croire que le centre de la terre peut être au sommet.

§.176.

La pluralité.

Un de ces corps m’aimerait-il et se donnerait à aimer.

§.177.

Le divertissement sert à ce que passe le coup du à porter.l’on sait le prendre dans chaque chose qu’on fait .

Alterner le style d’activité, d’information.

§.178.

Mes sens sont fait pour pouvoir de tous gestes m’inspirer.

Ma réflexion, donner aux miens une portée ? qui pourra être intercepté.

§.179.

Toi à qui tout le temps je peux penser.

Toi qui est la force constante qui me maintient.

En toi se trouve tout ce que je fais.

Il me suffit de savoir que je peux communiquer à l’autre c’est se rejoinre en n’importe quel endroit, c’est pouvoir à tous poment te trouver.

Notre liaison au delà.

Communiquer par eux jusqu’à toi.

M’apprenait que tout aussi était en dehors de nous, et qu’ainsi on pouvait de retrouver partout.

§.180.

Le bonheur (que nous, par nous, nous symbolisions)

L’était de poutant pouvoir passer et pousser.

§.181.

Ma date d’aniversaire.

Je ne la voyais plus que dans les dates de péremption.

§.182.

Vieillir.

C’est le mieux doser sa machine que s’use de plus en plus.

Peut être est-ce à cause de ces problèmes techniques et de la perpétuelle et précise attention qu’il faut lui en parler qu’on a la possibilité de mieux s’arranger.

§.183.

La sensation d’échec dans laquelle je me trouvais ne venait pas de ce que je venais de faire mais était le révélateur du trouble qu’être nous incombait de résorber.

§.184.

Il pouvait être présent en mon esprit en toute situation.

L’amour qui me suit.

§.185.

Egout – objets succédés.

§.186.

L’oral permettait de ne travailler de texte écrits. Le syle :

A qui, comment pourquoi on s’adorre sait.

§.187.

Rentrer  dazns sa vie comme dans un roman.

Se raconter une histoire.

Comme se préocuper des sujets pour toute la communauté.

§.188.

J’évitais les choses.

Après ? Savoir m’expliquer avec ardeur pour ce faire je ne manquerais pas.

§.189.

Ainsi avec nos mots nos sens, je vois que tu me parle aussi.

Vide ? EN dehors de la pensée,la vie est pour nutrition.

Mais partage.

§.190.

L’on pouvait se rapprocher de l’autre.

Qu’en éventé son don (à sa matière)

Parfaitement dévoué.

§.191.

Suite de l’expression liberté dans un mode commun.

Mais croire le conaître.

Ou n’agir que dans ce qui nous confirme l’expression de la liberté vient de la restriction.

Qu’est-ce que j’emprisonne ?

En étant que dans un espace.

§.192.

Qu’est-ce qui est vit en danger alors qu’on croit être protégé.

§.193.

Trouver un interlocuteur faisait de notre flux d’N. R. J. qu’invariablement il trouvait une réponse dans son quotidien, dans la société.

Ne se posait pas la question de : Est-ce que ce que je pense est bien vrai ?

Est-ce que je suis complètement en train de délirer ?

D’ou la néxessité que même domaine de religion :

Ne puisse être remis en cause.

Toujours pouvoir parler.

Une : Et incontestable.

§.194.

On me disait. –        -.

Mes muscles était principalement ce par quoi je ressentais le mouvement.

Et donc ainsi c’est par eux que les gens ressentaient ce qui en moi circulaient.

J’étais par eux-       – .

La reconnaissance de mes mucles.

L’objet partagé.

Récepteur / émetteur.

Parce qu’on concevait l’image, le statut on était.

§.195.

Il croyait que j’étais contente de ce que j’avais fait.

Non j’étais contente qu’il continue à me regarder à me parler.

Ainsi je pouvais continuer à sentir l’amour m’inonder.

§.196.

2+2+2. faux.

Effet sur génération.

Effet kiscool, ce qui nous tombe dessus et demande étude et préservationdes études pour savoir comment se débrouiller de choses apprises bien que mortelles ou même de choses dont on ne sait pas comment elles sont là.

Pas le mal. Mais la difficulté à remonter et s’arranger.

§.197. (Encadré spécial en vie 12 New et select doc Dany.)

Je n’avais pas à faire ce geste là. (Moi non plus, et avant moi MARC encore moins : [Le bras d’honneur.].) Il était (depuis) longtemps une habitude.

Maintenant je pouvais m’en défaire.

Quand je pense à : que je peux  maintenant le remplacer par autre chose le remplacer va à elle ou à tout autre mécanisme qui pourrait lui en être formé.

Ce mouvement qui dans mon corps ou dans tout autre peut quand même se répercuter.

Pensé d’avoir été si souvent porté, expérimenté, accompli, senti.

§.198.

On vrille sa position.

Ne se tenait plus droit.

Car on escompte se détendre un endroit alors que c’est un autre sur lequel l’exercice agira quand on se cherche l’équilibre le plus sûr.

§.199.

L’amour me suit.

Suivit absolu.

§.200.

La conscience en là sorcellerie due à la manifestation de maladie.

D’où venait-elle ?

On ne savait pas.

Mais seul la force de notre esprit de notre attention pouvait eux annuler cela.

Qu’est ce qu’éprouve quelqu’un qui voit son être cher passé de vie à trépas sans savoir ce qu’il y a (Derrière ?.)

(Après avoir vécu cela c’est tout simple : Tu ne présente pas de condoléances à celui à qui tu vois que cela arrive les mots son superflus, un regard suffit !.)

D’ailleurs cela a rendu nécessaire à notre zsprit de prendre en compte ces réalités vivantes, agissantes dans le corps.

Ce souci fait que nous nous concentrions sur cela, et ou ira l’esprit lorsqu’ils n’aura plus à être là.

Où le repos de certaines parties (de son corps) l’ammenera.

Quels rondes s’ouvrira de ça.

De ces guérisons.

§.201.

En quelle mesure ne battait-il pas sa femme pour prouver aux autres qu’elle avait la force de supporter ?

§.202.

L’agressivité envers les concurrents.

Etre prêt à tous les dangers.

Alors qu’à l’abjurer donnait le pouvoir de nous dompter.

J’aurais pu me battre avec les loups.

Quand un regard d’elle pouvait à tout me faire céder.

Ma hargne ! Me défendre et la défendre par elle justifié.

Tandis qu’elle détenait le pouvoir de pouvoir à tout me faire réfléchir, admettre.

Chacun de nos problèmes était un mistère à élucider.

LE problème du secret.

Celle qui me montrait qu’une autre porte existait.

Nombre après nombres.

La mystique classique touchait le vif.

Sans risquer de l’écorcher.

§.203.

Un jour.

Elle serait que j’avais, (J’aurais) vécu pour elle.

Elle finira par croire ce que mon visage oser u n’oser (Pas) de nous penser.

§.204.

Il fallait prendre plaisir à la tromper en fait c’était la réaction de sa fiancée qui lui plaisait.

L’autre égala à elle-même ne perdait pas de vue que c’était elle l’aimée.

Et de toute façon sinon elle partirait sans regret.

§.205.

Se centrer sur soi-même rend complétement imprévisible, car pas en préalable calculée.

Ce que l’on va faire, ce qui’empêche l’adversaire de pouvoir anticiper.

§.206.

Il l’a suivait, il y tenait et était rigoureux dans toutes les prises de rendez-vous car pour rien au monde il ne voulait ressentir des situations un besoin de la tromper.

§.207.

Les bijoux.

Objets sans usure. Pouvant être portéen toutes occasion, rassemblant.

§.208.

Régler un problème sur l’autre c’est admettre en être autant l’origine que lui et autant responsable.

Donc qu’il ne revienne car la réactive et ingrédients sont effectivement en soi comme partout.

Admettre que le soulegement d’être médecin et d’être aussi patient.

Et que l’obstination du patient vient que la médecine en lui étudiait.

Peut ainsi se révéler.

Peut ainsi concocter.

§.209.

Elle avait raison d’exprimer son opinion.

Il ne pouvait être à la masure d’aucune autre vivsion.

Car chaque point de vue était l’addition.

De ce que personne d’autres n’avait vu et ne comportait rien de ce que les autres.

§.210.

On est jamais seul.

Tant que de son combat accompagné.

§.211.

L’art est une trompette de rassemblement.

Pour parler donc envisager, puis s’engager sur un projet.

Le projet lui était le support pour bien que travail à sa spécialité (son travail qu’avec de la chance on peut mener vers ce qu’on trouve le plus à développer en soi)

Et sa spécifité faisant que le plus précis cherche l’équilibre on doit.

Au prochain regrouppement la possibilité de chacun de se trouver, la possibilité du groupe de toujours mieux s’installer ainsi que la stabilité de tous ces éléments.

§.212.

La haine était nécessaire.

Rien qu’à devoir éviter.

§.213.

D’elle j’apprenais qu’un mot blessant pouvait venir d’une voix qui ne soignait si je voulais qu’il en soit comme cela.

§.214.

Vas-y.

Sors une connerie. (T’en as pas m’art ?]

Pas dans le sens ou elle sera pris. (Prise abrutie !.)

(Supposée maladresse ?)

Voir comment l’autre réagit.

Des situations se révèlent en faisant ce qui tout à coup passe comme ça à l’esprit.

Elle ne voulait pas que je monte dans le train.

Elle voulait d’abord m’envisager dans tous les wagons.

§.215.

Je l’aime plus que je ne l’ai aimé.

Chaque jour découvrant mieux ce que je suis capable de donner.

Et puis les moments d’amour passés sont en moi maintenant.

Ils sont amour de me constituer justement et jamais sanseux je ne suis désormais.

Et suis capable d’aimer par ce qu’ils ont été.

§.216.

Le lendemain :

« T’as passé la saint Valentin ?

4      OUI, OUI.  Sans mourir ! »

(Excellente remarque la question que tout le monde se posait !)

§.217.

Un problème entre nous d’eux.

Elle préférait suspendre la relation. Qu’il se calme en nous éviter qu’il se déchaine à chacunes de nos rencontres ?.

Faire qu’il ne prenne toute la place que notre travail puisse quand même continuer.

Le problème alors nous accompagnait dans toutes nos démarches et se déliait en même temps que les pas que notre esprit encore assez vaillant, modéré, pouvait encore exécuter.

Et c’était comme dompter le monstre qu’on partageait quand on se revoyait.

§.218.

on se moquait de lui car il parlait tout seul et les gens que faisait-il à déambuler, faire du bruit sans rien de plus qu’ils passaient.

Et ! Mais ! Rien de moins.

§.219.

Etre chez soi son domaine.

Entendre les choses respiter.

Malgré les lieux.

Etait une activité de vivants.

La manière de le faire, elle, devenait enterrée, cachée, même des mieux initiés.

C’est ainsi que la vie se transformait c’est tout ce qu’on savait.

Et !

Le lien intime entre toutes choses qu’elle permet.

Tout est permis.

Se chercher et trouver.

Remet.

§.220.

Je prends des risques comme ça.

Les évènements arriverait d’eux-mêmes quand dans mon imagination,mon existencialité de fait ne sera plus là.

§.221.

La seule notion d’handicap que je connaisse est toutes les positions qui m’amenaient à ne plus pouvoir faire ce qu’il faudrait.

Encloisonné et encore que l’esprit de tous pouvait encore comme ça toucher.

L’esprit renfermé de tous.

Tant que reste des prisons de diamants, de briques de tôles ou d’acier.

§.222.

La haine était belle car elle faisait partie des noms qu’on donnait au combat qu’on menait.

Médecin.

Arrête.

§.223.

Chaque problème dans ma vie avait une médecineà appliqué d’elle, de moi.

RE M’AIDE.

CO EXISTER.

§.224.

Une idée arrêtée.

A proscrire.

On ne pouvait plus y réfléchir.

Une idée arrêtée :

Permettait de sur des trucs dit comme sûrs, les autres éléments de pouvoir conjointements étudier.

Ne faire bouger et réagir que certains en particulier –   – ce qu’on faisait pour pouvoir le faire ensemble et le plus possible rassembler à nos vues les effets.

C’est à dire agir le moins possible, pour avoir le plus de choses d’une action à réfléchir, stabiliser éviter d’avoir trop remuer.

§.225.

A ne transporter et ne faire que des choses symbolique pour soi.

Important et portant la poids et la libéralisation que représente l’effort de la recherche et de l’accomplissement de ça plus tout devenait signe, tout prenait un sens, tout étais utilisé non comme pour dicter à la raison, mais comme ce qu’elle devait.

§.226.

Le transgène traditionnel, représente celui envers qui on peut se permettre tous les fantasmes sexuels, sentimentaux tout pouvoir mettre en danger, la structure familiale ;

Le contrôle, maintien social, tenant, fixant.

§.227.

A tester.

Attester. 

Plus personne ne pouvait me faire du mal.

La vie n’était que tentative que de se faire du bien.

§.228.

Pour y arriver il faudrait conquérir au max sa vie équilibré et pour demander le plus profondément, sonsavoir et son partenariat (démocratiser sa profession) déveloper.

§.229.

Tu fais et aime ce qu’il te plaît.

Ce qui te plaît.

Et aime.

Extraime.

Exrême.

§.230.

Vivre quelque chose comme si on l’avaitdéjà vécu alors que c’est impossible.

Et si nous l’avions rêvé (rêve possibilité en commun à 2, 3, 4,)

En connaissances des évènements potentiels et communications.

§.231.

Tu ne devrais pas nier.

Ta réelle pré occupation aux autres

Gentillesse ?

On en a besoin.

§.232.

On pourrait passer au, tu, dans le récit.

Les (ils) venaient eux quand loin du cercle intime, on regardait.

§.233.

Le détachement aux choses permet de non plus les considérer comme des choses mais de les ambrasser comme des adjuvants.

§.234.

L’écriture est antistatique quand elle joue avec les symboles, quand un mot en entraîne une farandole.

Il faut une complicité préalable. Parler d’un même passé.

Soit d’un autre bouquin où de culture passée.

L’on rappelle et donne une vision personnelle sur à quoi a servit le noyau.

§.235.

Avoir des relations c’était se voir agir fait à une émotion, donc comprendre par cela les raisons de celles qu’on a digérées et qu’on peut maintenant comprendre mieux.

§.236.

Toute relation était s’occuper de ça.

Comprendre que le mal à l’explication de l’expérience, ne résistait pas.

§.237.

Après tout était du domaine de l’expérimentation.

Tout ce quon cherchait en tous et ce qu’on devait (serait amené à expérimenter) avec des problèmes on le trouverait.

§.239.

Le tabou de la mort est le tebou de la facilité car aucune question ne peut plus être soulevée.

Tout parlant de près ou de loin à la mort ou à ce qui renaît.

§.240.

Il jetait les choses pour établir des statistiques sur ce qui allait ou non se casser.

Selon comment il balançait.

                Vers quoi.

Et qu’est-ce qu’il balançait.

§.241.

Clivage homosexuel.

Plus sexe séparé.

Permet à un groupe de ne pas virer à la partouze car partage de moment de vie à cela dans les esprits occupés tous à la même chose, aux mêmes endroits.

Conduit à cela sans pouvoir être évité.

§.242.

Il lui était arrivé cela à 12 ans.

Et à ses 12 ans elle revenait dès que cela d’une façon ou d’une autre revenait sur le plancher.

§.243.

On devient aveugle de penser ne pouvoir voir qu’un certain type de cancer.

En dehors de cette vision arrêter.

§.244.

Le rythme de la croyance.

Le rythme de la voyance.

Mettre dans l’autre, la possibilité, la communauté de découvrir ce que nous même n’emettais.

Mais ce qu’il va pouvoir sortir de nous avoir rencontré.

§.245.

L’utopie est l’état de non pragmatisme si on ne peut expérimenter en segment d’une méthode alors repose, son évolution, son perfectionnement repose sur de l’avoir pour présent.

§.246.

Peur de la malédiction.

On ne raconte pas les victoires de chacun (dans la famille)

Parce que les esprits cogitent traumatisés.

§.247.

Point commun. Tous échangeons.

Stocke et perd de notre vie.

Mais le monde viable pour tout échange d’énergie.

§.248.

Bien sûr qu’il dépassait le maître puisque c’est en lui que le contrôle était.

§.249.

L’erreur est de croire.

§.250.

Le chef  l’est parce qu’il se donnait à l’énergie du groupe.

Celui qui en est le plus consciemment le carrefour et celui sur qui on a plus de support sur comment s’est-on organisé.

Cette intimité au groupe est aussi une garantie que le chef sent qu’a lui il est rattaché, donc sera prendre la mesure de ses responsabilités.

Sensibilisation au je suis ce que je fais.

Elle me battait pour s’assurer que je pouvais me protéger des coups et rester à la soutenir dans son agonie.

Elle me tapait pour savoir si elle pouvait ce qu’elle avait du subir. Où voir que subissait sans broncher.

Il fallait qu’elle s’assure que je sache qu’on ne sache quoi faire en ces moments durs bien qu’on sache que l’on sent.

Que cela n’est pas une histoire où elle ne puisse puiser .

Rien en elle ne sait faire que détruire. Si on croit cela c’est à sa mort qu’elle serait conduite.

Fin de DOC 20.

Première correction Daniel.

computerised extra doc 19

 

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Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

DOC 19 :  Page 400. à 499.

[Une fois pour toutes tu es nulle en conjugaison !]

§.1.

Elle ne vivait à présent  car ce qui avait été partagé (j’avais aussi cet élément mais une autre connotation lui était attribuée,

Avait réveillé en elle quelque chose d’ancien, de traumatique mais pas encore passé.

§.2.

Devoir dire merci à son étoile c’est se rendre compte combien tout le temps on peut l’honorer et faire qu’elle puisse ou non nous éclairer.

§.3.

Tu as raison d’être inquiet.

Je ne fais pas que des choses bien tu sais.

§.4

L’ironie était de l’humour se délectant toujours même si par malheur il fallait bien finalement le prendre avec dépit.

§.5.

Il ne devait pas être question pour eux de faire régime de protéines.

Mais on ne s’était nullement bougé aujourd’hui. Ce serait trop calorique.

Faux problème. Ce n’était des problèmes qu’il nous fallait mais des protéines, pour fabriquer du muscle.

C’était l’entretient du corps qui manquait.

§.6.

L’habitude de vérifier.

  1. Vérification assurée en cas de pépin.
  2. Permet de désangoisser sur d’éventuels problèmes imprévisibles.
  3. Permet de faire deux choses à la fois lorsque la vérification n’est qu’une formalité.

On continue naturellement à penser à l’action en train dans le même temps d’avancer.

§.7.

Devenir sa femme c’était lui prêter mes parents.

Elle leur ressemblait tant.

§.8.

Nature – Duel.

C’était sur elle que notre compréhension de ce qui meurt et naît pouvait être expliquer notre seul vision et communication à l’extérieur.

D’où le je m’en foutisme, car la nature sauvage aussi était l’emmener.

Et surtout représente encore l’intouchabilité.

Le divin.

La ou les pies de nos déchets n’endommageaient rien.

Elle s’affairait à autre chose bien que condamné à être à elle occupé.

Voilà comment il soignait son instinct de possession.

§.9.

Rapport à l’art et discipline terrain d’entraînement de l’esprit.

CON – ESSENCE.

CO – ET – SENS.

§.10.

Ou se parer, se maquiller.

Car personne n’était là pour s’inquiéter d’entretenir, de regarder, de soigner, de cajoler le corps qu’on enfouissait.

§.11.

Il était content que le conflit éclate car leur revirement de comportement, expliquait la pourquoi avant il ne savait sur quel pied danser.

§.12.

Ne pas forcer l’aide à se lier à ce qui se présenter était automatiquement là.

§.13.

Ce qui se présente estimable comme supplément de vie quand la pensée le coinçait.

Comment était-on ?

Et aidant au prolongement de soi.

§.14.

Le sexuel tyrannique de stabilité quand représentait non pas la fuir en avant de l’oisiveté mais le soin, la vivacité et les profondeurs du corporel, les stratégies accompagnant l’aboutissement du sexe la vie du couple le symbole de l’ensemble et l’attitude de vision.

§.15.

Ce qu’on prend pour de la soumission.

L’essentiellement moral, l’adhésion de la femme à l’homme est en fait la représentation du pouvoir de reconnaissance qu’aura la mère sur son enfant même si celui-ci peut faire ce qu’il veut même avant d’être sevré.

Chaque fois qu’il veut et le danger est grand.

§.16.

En pensant à lui je pouvais rester des heures dans la même galère pourvue qu’elle a une chance de m’y amener.

Génisse et ces années.            Essaie.

Ulysse et ses années               et savent.

§.17.

Mais je t’ai appelé.

Le midi, l’après-midi.

Je suis devenue à moitié folle donc je t’ai écris. (J’avais compris.)

Puis passer à autre chose à tout prix.

§.18.

Je pus m’imaginer aimer quelqu’un d’autre ou être un autre.

A partir du moment où ce que j’étair, être bien avec lui-même et accepter donc de ne pas croire quelque chose en particulier mais de vivre à chaque fois le tempsplus ce qui s’étairt nouvellement confié.

§.19.

J’étais tellement devenu méfiant que j’en avais oublié (qu’heureusement mêmesi térré ausside moi)que ne s’étiat, n’avait pu s’en aller mon côté sympa.

§.20.

Il fallait un entraînement quotidien pour pouvoir travailler ce qu’avait provoqué comme impression l’entraînement avant :

D’un jour.

De deux jour.

De trois jour.

Gain.

Combatre.

Ré équilibration.

Lien.

Le temps qu’on mettait dans le sport chaque jour était celui de plus en plus tard ou l’on pouvait encore courir.

§.21.

L’ombre d’un cafard dans le voir faisant près d’une vieille ressemble à une souris.

Amis de la : {                 ) merci.

{J’écris littéralement ce que tu as mis} PREDIGESTIDATION : (En français cela veut dire quoi ?.)

§.22.

Violence.

On ne peut donner à quelqu’un tout ce qu’on est si on a pas en lui confiance, car notre confiance va naturellement ailleurs s’évader.

§.23.

Violence.

On ne peut donnerà quelqu’un tout ce qu’on est si on a pas en lui confiance, car notre confiance car naturellement ailleurs s’y évader.

Or si on croyait( position factice du contrairement de l’homme) qu’elle nous était du : implique l’affabulation sur son peste que l’on croit pourvoyeur automatique de dignité, d’autorité) et si notre attitude empêche les autres de nous associer alors ou va la relation elle-même dérérioré (violence au sein du couple) car dans l’impossibilité de se faire une autre idée de clle-ci.

§.24.

Puisque c’est seulement comme étant cela qu’on nous a autorisé à penser (encore une fois les abus qu’on nous concédait à la exacte hauteur des contraintes posées.)

Puisqu’on ( nous ne pouvions) ne pouvait changer notre rapport,notre échange à la société.

Alors il fallait que quelque chose d’autre accompagne le fait que notre proper image prenne une réalité.

§.25. (encadré.)

La libéralisation des mœurs.

Devait-être accompagbé de propositions d’activités libres = que les gens investissent les idées que cela leut provoquaient dans les projets de leur choix.adéquares à ce qu’ils puissent leur énergie transformer.

La libéralisation sexuelle, des mœurs, corporelle, ne peut se réaliser.

L’auto-gestion en société ne peut-être possible qu’avec des hommes apaisés.

Une  –      – de son cœur prouvant qu’elle peut-être jeste à cette vertue là d’apaisement si on sait qu’on a qu’à le décider pour la même ou une aussi  –        – trouver.

Si c’est sa souplesse qui nous faisait rêver en particulier.

§.26.

Ne pas fantasmer c’est pouvoir l’énergie sz disloque d’un seul coup.quamd l’objet à porté.

§.27. (encadré)

On n’était plus dans le complexe du handicap.

C’est à dire que sa particularité n’était plus véhicule de douleur.

A partir qu moment où l’autre peut être à cent pour cent dans ce qu’il fait.

C’est à dire que les esprits peuvent se rencontrer.

C’est à dire (encore ?) que le mien alors il arrivera à expromer, à délivrer. (que de répétition.)

Et que d’un même cuop il comprendra que ma particularité est une porte ouverte que jeporte sur une autre dimmension (simplement pas encorre atteinte.)

Et que cela sur nous n’aura comme effet de chacun se permettre à installer nos –        – aux échelles qui fera que chacun ou pas-    – pourra s’articuler.

La douleur fantôme.

Le handicap fantasmé.

§.28.

Elle était en moi.

Jusqu’à ce que sentiment vienne me bloquer.

Que faire sans elle ? Qu’est-ce que je dois faire qui me, nous fera aller plus loin.

Être bien et toujours plus plein de cela.

§.29.

L’action de jouer ne comportait rien d’extraordinaire.

Sauf le rappel justement discret quel animal discret d’hibernement de sang froid en nous pouvait s’activer.

§.30.

L’animal en nous était nécéssaire à comprendre notre humanité.

Le besoin d’horizon nouveau était de pouvoir se mettre dans la peau de l’extra terrestre et se critiquer.

§.31.

Le comble était pouvoir se retrouver devant l’autre comme face à soi-même.

Et bien que toute traduction soit unique.

Les esprits parlent tout d’un seul et même aussi de cette communication qui de toutes choses ?

Une infinité de rétablissement soit permis.

De cette loi de la vie que mieux et plus longuement plus ouvert. Un autre univers se construit et nos soins jamais finis.

La raison la logique doit l’emporter.

§.32.

On ne peut être en harmonie.

Sans soigner.

Sans admettre devoir se soigner.

Tout autant que tout ce qu’on avait pu détecter et s’occuper de l’extérieur comme on a été enseigné et continu de l’être puisqu’on le refait, autant que s’applique, se redistribue cela.

§.33.

La vie était de prendre au sérieux, à coeur son métier de commédienne.

Le mouvement sur scène.

§.34.

Le rebouteux. Est celui qui grétit un point, en rétablissant l’équilibre du tout c’est à dire en débloquant, en faisant faire recirculer l’énregie en tout point.

Equilibre du poids ?

Symétrie mécanique, articulation, nouvement.

§.35.

La muse rappelait le pourquoi on écrivait.

Le plaisir qu’elle prenait à la vie était la raison de pourquoi le poète de son art jouissait.

§.36.

Le sentiment.

L’ambiguité de toute pensée.

Par la nature même, que contient le point de vue général et relativisé.

Les différents bouts, origines qu’un même élément fait, vont poser.

Le mouvement qui pouvait en être le maître.

La vie.

Va et vient.

§.37.

Séparation des sexes, au niveau pro, et extra-conjugales.

Ne pas être à longueur de jounées à côté de quoi nous étais refusé.

L’inadmissible. Autre inaccessible s’appelait.

§.38.

Les femmes autorisées à accepter la protection de l’homme.

Ainsi tout homme aimant une femme apprenait à déculpabiliser des élans d’amour pour les autres hommes (plus ou moins conscient) qu’il avait.

Puisque ceci était interdit.

Mais que la femme (pouvait, représentait tout aussi bien un homme) elle était permise. La preuve que cet amour en était bien également.

L’obligation de transfert  = je suis obligé de me penser comme étant l’autre pour accéder à cette libération.

Utiliser des intermédiaires. = apprendre à ne pas avouer que nous aimions (celui avec qui on ne se mettait en conflit) avaient ces qualités que j’admirais puisque le maitenir enfermer il me fallait.

Ou apprendre à toutes du’admirés comme étant celles qu’on lui désignait.

§.39. (encadré)

Comme on aimait son toi !

D’être celui par lequel toute l’expression de se toi.

(Si l’amour pour la femme à l’homme appartenait.)

(Si l’amour pour l’homme à la femme ppartenait.)

§.40. (encadré)

Il fallait être aussi illuminé que les religieux pour comprendre de quel aveuglement = en lumière vouloir obstinément = vouloir éclairer d’un côté laissant dans l’ombre l’autre part.

§.41.

Elle s’était reveillé contre elle-même.

Pucelle elle ne se supportait pas comme ne supportait pas non plus que donc ce cela d’autre se mopue d’avec la sienne.

§.42.

Entre l’envie et le devoir du contrôle de soi pour que reste et reste positive, cette idéee là.

Ces forces étaient dures à calmer en attendant c’était quelque chose de suprème que d’y arriver.

La relation à l’art, avec la science, à toute discipline est se rendre compte que n’ait pas de limite à la perfection.

§.43.

Le contact à la mort fait que le risque que l’on peut voir dans chaque acte, n’est plus vu comme seul et ainsi continue l’action.

Même si compare un danger de fin peut être.

La mort serai-t-elle une porte ouverte.

§.44.

La vieillesse permettait la réflexion sur l’effort, l’action.

La vie consiste à préserver scrupuleusement les besoins vrais.

§.45.

Il m’arrive des fois de penser qu’« être sienne » était la seule formule que j’aurais voulu inventer.

§.46.

Le dévouement est l’éradication de la peur.

(Si cette pensée est de toi Caroline, mes compliments.)

Est l’acte qui prend forme de sacrifice, peut se transformer en acte de libérateur.

Le même but mais dans un autre état d’esprit total de changement de la manière de faire et du produit.

§.47.

Me frotter à ses affaires.

Me poster, le nez parcourant ses écharpes et :

Dans ses.

Danser.

Dense et.

MANTEAUX.

§.48.

Je l’aimais de l’avoir choisi.

Je l’aimais qu’elle l’est fait aussi.

Bien sur cela aurait pu être une autre.

Mais choisir était de se suivre et tant que le bonheur serait là ?

La relation avec le jour.

Ce que chacun faisait de lui tissait notre amour.

§.49.

Il avait rougi à la –          – fait par quelqu’un d’autre que son fiancé.

Car lui avait plus l’habitude de le sentir que de le regarder.

§.50. (encadré)

Après avoir inventé la différenciation il fallait inventer la Parité.

§.51.

S’occuper des vieux est s’occuper de sa propres viellesse. Penser à ceux qui nous ont quittés. (qu’on  (que nous savions)savait devoir partir et ne plus revenir) dans sa propre vieillesse comme quelque chose venant présentement et depuis longtemps renouvellée.

§.52. (encadré)

Il critiquait mais ainsi se préraraît à voir ses propres boiteries et dans le moment même  où il formulait le problème son esprit un remède délirait.

Le problème énonçé, la solution restait, envisagé.

L’esprit ainsi se formait une conscience des difficultés auxquelles il devait faire face.

§.53.

L’amour.

La réunion.

La force qu’on ne s’explique pas.

Et pourtant c’est ce que l’on tente de faire.

Ce que tout le monde fait, se doit.

Toutes théories, phénomènes venant de ce processus là.

§.54.

Elle me demandait de lui dire que je l’aimais.

Ma grande frayeur est qu’elle ne le voit pas.

§.55.

La prière est la manière de ne point vieillir quand on ne peut faire autre choseface au temps.

Quand il faut l’occuper de notre esprit, sans d’autre outil que lui.

La prière aide le temps, les gens à arriver là où ils n’ont plus que soulagement à porter.

§.56.

Il n’osait pas trop être gentil avec lui, car il se voyait en lui et ses défauts toutes ses faiblesses qu’il se connaissait aussi.

§.57.

La vie consiste à comprendre, émettre des hypothèses encourager des apparitions avec lesquelles peut se hisser notre rapport à elle.

§.58.

Je me croyais romantique.

Mon père l’était autant que moi.et je voyais qu’il blaguait ou parlait d’autre chose quand lui s’avouait comme cela.

Mon père donnait sa romance à ma mére en secret, seulement elle pouvait la garder.

Et bien qu’entant que seconde nature il n’ait jamais à me l’expliquer.

Et que sans cesse à ma femme suis en train de cogiter pour pouvoir lui confier.

§.59.

Ces gestes explicites qui donne une idée de quoi, de quel effort, qu’est-ce qui forge tous ceux qui me restent non pas muet, ou sans vie, seulement sans explication centextuellement rattachée.

Mais qu’est-ce donc qui nous a fait penser ?

§.60.

On parvenait à ce que les gens s’obcédant sur leur carrière devait rimer dans l’absolu avec la constante poussée de ses capacités, or si la passion, l’engagement n’y était pas, l’argent lui permattait l’apport du confort donc d’une longévité de vie et donc d’en relativiser la dureté et de la diversité, des nuances lui concéder et donc de découvrir et de s’accorder toujours scrupuleusement avec ses, avec les raisons d’être de toute coloration et métissage et ainsi de pouvoir savoir pouvoir suivre, être, vivre, créer, quêter, donner, partager, respirer.

Sa manière propre de pouvoir faire toute chose en se développant.

(Pouvoir faire sa lessive en se disant que l’inspiration à son crayon sera plus aisée sous un pull qu’on a endosser en le respectant.

§.61.

Elle m’avait pensant que je ne lui serai fidèle.

Moi je voulais l’être.

Et ce qu’elle avait décidé avait fait que j’avais rencontré une avec qui je couverais mieux sans doute.

Avec laquelle on (nous pouvions) pouvait tout se permettre en nous gardant, en nous sachant que plus complétent.

Du coup l’autre a vie ai-je pu aimer.

Achaque fois que je me rendais compte de ce qu’elle avait pu, qu’il se soit passé.

Comme toute l’énergie que l’on trouve à comprendre pourquoi chaque chose s’est ainsi déliée !

§.62.

L’idée de sa mort.

Lui ferait faire n’importe quelle folie pour qu’elle ne parte pas avant son idiot.

§.63. (encadré)

Puis il y repense et sait ce qu’ils deviennent à la fin.

Il sait que rien ne s’approche sans elle.

Alors la mort viendra.

Comme elle le voudra !

De toute façon si on la recule (nous la reculons) d’une mauvaise façon c’est d’une autre façon qu’elle nous aura.et il préférait mourir que de perdre sa femme, de cela.

Et puis il savait que la mort jamais de sa femme de son temps ne le séparera.

Il pourra faire autrez chose il pourra continuer c’est toujours à son sentiment du tout auquel il pourra se référer duquel il partira et  vers quoi.

§.64.

Il fallait pouvoir chauffer ce qu’on digérait pour garder la tension du corps.

§.65. Encadré.

Les sorciers.

Toutes traditions, les manières de faire, de se manifester.

Tout simplement pour que les existences les unes les autres puissent se prouver, c’est à dire l’importance de se retrouver, communiquer.

Tous ces gestes de ressentis les plus affreusement.

Mais qu’est-ce d’autre que la vie que de tenter de se signaler, afin de naître partout. Darwinisme psychologique.

Mais puisque nous partageons et composons toute psychologie l’existence à tout ce que nous connaissons et accompagnons sans grade ni ordre de garder rattaché.

Je te prouve que je vis et devant nous ( l’émotion, le partage d’énergie.

La conscience de l’autre, de sa pensée, des montagnes que l’on représente (nous représentons) et qui sont ce sur quoi nos corps peuvent nos corps étendre et leurs appuis trouver.

§.66.

L – A = Langage amoureux.

Invitation pour le premier janvier deux mille cinq !

Et les autres qu’est-ce quetu en fait ?

§.67.

Mariage forcé était l’apprentissage de comprendre pour finalament aimer ce qui était tout à fait différent.

Par la volonté et la structure sociale seulement rassemblée.

Lien inter-émotionnel de violence. Personnel et d’obéissance à la structure d’organisation sociale proposée.

§.68.

On se rassure de vivre, on se mobilise au maximum dans cette optique et à mourir se préparer.

Une course à handicap.

§.69.

L’égoisme ?

Mais puisqu’on ne (nous ne pouvions pas) pouvait plus rien faire sans la bonne santé, puisqu’en ce cas là la société nous clouait.

§.70.

Je ne savais pas pourquoi je réagissais comme cela, j’en étais même gênés mais pourtant à la presque perfection un honneur à mes ancêtres ou à ce que le passé m’avait donné un clin d’œil pas encore conscient ou pas encore intégré.

§.71.

Jaloux des douceurs qu’il donnait à la sienne.

Peur au ventre que cela puisse manquer à la tienne.

Mais qu’à cela ne tinne, si j’avais envie, si je réussissais à m’améliorer dans l’utilisation de mon énergie (et de mes sentiments refoulés aussi) alors c’était autant de la faculté à la tendresse que tout autre chose qui pourrait être bien placé ou replacé ou en cours de trajet et que quelques-uns ne pourrait qu’apprécier.

§.72.

Non ce n’est pas assez difficile d’être bonne.

J’ai préféré être bien.

§.73.

La lune fait les saisons disaient les vieux de leur élément d’inspiration, d’observation.

Réponse : Elle leur faisait faire aussi.

§.74.

Je pensais à quand je me sortais comme un pied de situation lié au respect à ce qu’on appelle la considération.

Alors on m’aurait tiré les oreiles ça m’aurait plus.

Non pas que dans ma mémoire ce style de manifestations reste inspiré, mais simplement dans le sens (je vous ai compris) qui me remettait au niveau de la conversation ou au niveau et type de moyen autre que le groupe avait conventionné comme moyen d’autentifier leurr ayant c’est bien entre nous qu’il faut casser, s’engager.

[inconnu]

Qu’elle était les éléments que pour cela il fallait quitter le groupe pour qu’il puisse y accéder ?

Conséquence, vers un nouveau groupe aller et continuer quand l’un et l’autre était pour soi plus qu’un, qu’une alimentation nous paraître pour nous, nous avoir donner une façon par laquelle notre acte de persévérance, de manière de prendre s’offrir aux choses pourra ce qu’on connaît aider, agrandir, approfondir, relier.

§.75.

La nostalgie de ceux qui ne savent plus avec quoi s’amuser.

L’insouciance dévastatrice passée.

Ou reste la volonté de détruire ou bien un moyen d’investir le changement en espérant que de trouver des moyens meilleurs.

Lui ne nous laisse pas tomber.

§.76.

Être soi, être en contact avec ça (cela) c’est être en contact avec tout.

§.77.

Tant de choses qui m’emmenaient dans des pensées complètement romanesque.que j’arrêerais de savoir qu’il avait fallut y passer ma vie à les penser pour avoir une chance d’être à la hauteur de comment leur existence avait pu se dérouler.

§.78.

Explication, à l’explication aux autres de notre condition.

§.79.

Penser, c’est trouver des raisons aux mouvements dont on est entouré, c’est pouvoir leur trouver, s’associer à.

§.80.

Quand je ressentais de l’anxiété à une personnepouvant accomplir quelques choses, c’est que bien que cela soit porteur d’accomplissement, l’angoisse venait que quelque chose dans ma pratique manquait dans ce que j’en comprenais  – excercer.

Dans ceque j’en faisais – apprenais, diffusais.

§.81.

La relation phisique entre les hommes était à la hauteur, symbolisait tout à fait l’obsence de l’humaine mission.

Relation au monde, qu’il nous fallait manger, qui nous mangeait mais dont on savait (nous savions) qu’il faisait grandir.

Qui nous ammenait teneur et sainte dévotion !

§.82.

On « tenait » tous : (nous nous tenions tous)

[Une fois pour toutes tu es nulle en conjugaison !]

A.

Par.

Pour :

 Les expériences vécues et donc les gens avec lesquels  on avait partagé cela (pas besoin de longtemps pour être complice à partir du moment ou l’on désigne l’autre comme étant le représentant de quelque chose en soi.

On pensait tenir plus des uns ou des autres je ne le crois pas.

On sait qu’on tient d’une personne car la qualité qu’on met en avant quotidiennement nous fait rappeler celui-là jusqu’à ce que dans les situations auxquelles on n’est pas accoutumé alors une autre de nos particularités ( inspiré obligatoirement d’un vécu passé) fait surface.

Mais est-ce que faire surface n’a pas toujours été là, actif mais tellement intégré ou ayant pris d’autre forme, ayant été intégré dans un processus ou passé de leur inspiration de base ayant disparue.

Par exemple au lieu d’avoir le même sourire que quelqu’un si nous conduisions cet étirement sur le foie.

§.83.

Faire l’amour ensemble jusqu’à temps on l’espère qu’on encense jusqu’à la fin des temps.jusqu’à temps que la vie veuille bien nous pousser.

§.84.

Quelqu’un d’universellement adaptable.

Esr celui qui s’arrête nulle partout partout dans le but de connaître les gens les gens ne se connaissant pas eux-mêmes et ainsi peut ne pas se bloquer sur les gestes des l’autres ne leur sachant aucune signification excepté d’avoir des codes qui les a conditionnés.

§.85.

Séparations différentes des sexes.

Plus union.

Symbolique de réunification.

§.86.

Elle disait des invités qu’ils étaient comme le poisson au bout de trois jours puant.

On ne pouvait rigoler de cette blague car elle pourtant aimait les gens au bout d’un jour sous son bureau ne le supportait pas.

§.87.

D’accepter d’aimer son enfant comme soi-même c’est le considérer comme assez fort pour savoir qu’aucune expérience ne le tuera. Mais dans ce qu’elles lui montreront de ses contradictions et harmonies toute sa force tout le temps il puisera.

§.88.

Le subjectif, l’émotif est de trouver une source personnelle.

Un apport interne contrôlable à l’événement extérieur qui sinon nous envahirait, nous gomerait.

De faire de toute réalité une qui permette qu’on s’enimplique, qu’on s’y forme et y progresse.

C’est à dire cultiver quelque chose de parallèlement (bien qui s’y étais rattaché.

C’est à dire soit, elle, dépassé, pouvant naturellement se manifester.

§.89.

Tu as bonne mémoire des visages ? Domage !

Je comprenais sa nervosité.

C’est comme cela que sachant me mettre à l’autre bot, je pouvais la sentir, m’en calmer, et nos deux êtres aussi la balance entre eux deux.

Leur électricité les rattacher.

Faire que l’une était pour que vers l’autre puisse aller.

§.90. Paginations décalées. De 406 à 431

et blanches de 416 à 422 à laisser en l’état.

A laisser à ses enfants un monde viable.

§.91.

La violence de l’Etat meilleur.

Que n’a-t-on pas fait ?

Que faut-il que nous soyons ?

L’ébulition, tout maintenant pour préserver cela.

Reculade avant que puisse être comprise et reproduit cheminement du résultat.

Et une fois cheminement intégré autre constat.

§.92.

Le temps qu’il a fallu pour que l’idée soit assez installée pour se blottir, en ce qui est moi.

§.93.

Les loups saluaient la lune comme la veilleuse leur prouvant qu’ils n’étaient pas descendus en enfer.

Et moi la fixant comme l’astre qui du soir au matin avait ouvert les rêves que le temps de tout un chacun est quoi qu’on veuille, bien obligé de faire.

§.94.

Les gens qu’on disait ce à qui on pouvait danner du temps.

A restituer la dynamique de notre réflexion en comportement.

C’est à dire l’art de la conscience de respirer sa perte d’énergie.

A partir du moment où on se dit : C’est le fruit de mon travail.

§.95.

Se matérialisant.mon travail, mes semblables guidant.

Le but du travail communiquer sans perte de sang.

L’éducation au centre.

Les gens vieillissaient pour surveiller le geste du petitle petit Im – portant. Em – portant.

§.96.

Le petit.

Désir des parents.

Sagesse des anciens.

Le cadeau aux siens.

La raison de l’essaie de l’effort de structure.

§.97.

Nos hésitations lors de notre premier baiser.

Laisser de la place pour le refaire et refaire encore tout notre vie. Chaque jour le fit.

§.98.

Se plaindre.

Besoin de se faire engueuler.

Remonter.

§.99.

La rapidité du mouvement.

Permettait à l’énergie de ne pas se cogner à d’autres mouvements de ne pas trembler, vaciller.

L’instant où on sait où aller.

Suspendre.

§.100.

Il faut être dérangé pour changer de position et connaître les vertues faisant défauts.

§.101.

Pour ressentir le désir.

Pour ressentir que l’autre voulait.

Il fallait comme à sa place bander.

§.102.

Problème sexuel.

Tabou sexuel.

Interdistion homosexualité.

Et entre femme et homme une énigmatique de créé.

§.103.

Blocage du désir, de l’envie.

Le désir de l’autre ainsi bloqué.

L’imagination suivant.

§.104.

Blocage de l’homosexualité : Réalisée par l’insignifiance de sexe de la femme.

(Soumission, silence inexistance de saignement)

Le sexe tué en soi  par enfant défaut d’influence éducation ratée.

Mise au monde enterrée.

Complexe de non-jonction.

Violence.

L’homme lui tout aussi soumis à l’echec.

L’échec de sa dite extériorisation.

Deux mâles ensembles se faisaient mal et autrement dit d’après ce que se.   .   .   . (Phrase incomplète.)

(Après la pagination mélangée tu recommence à ne pas finir. Si certains § sont excellents cette DOC tu y a décidément foutu le bordel mon minou.)

§.105.

L a décadence.

Plus ou moins que soigner les enfants restera un privilège.

§.106.

C’est (ce sont) les blancs maintenant qui doivent se méfier du rascisme.

Non c’est tout le mondequi doit.

Le rejet, cette comune maladie de tout temps.

Quand qui le pense : Est à l’agonie.

Tout le monde y pense.

Surprise.

Il n’y a que l’échec qui déchire.

Celui-là qui s’exprimait.

On ne sait encore se rassembler pour mener le même combat.

§.107.

Mort à l’amour.

La rencontre du danger.

Se rendre compte par l’attachement à l’autre qu’on est menacé.

§.108.

Le diable.

Ce qu’on ne réussit à fairesien.

Le pècher.

T’entraîne d’oublier.

Ensemble de supprimer.

§.109.

Le gaspillage estest une sorte de déculpabilisation.Je ne suis pas le seul à devoir y penser.

(Tant que la tranmission du mieux et meilleur se voit coincé.)

§.110.

S’élever tout seul.

Bande d’enfants.

Tomber.

Le tuteur comme soleil.

Rechercher la chute sur le parterre.

Adulte.

Comme on s’est éduqué turbulant.

§.111.

Mon pére.

Puisqu’on avait du laisser son enfant pour tout parent.

Mon père, se errant.

§.112.

Le travail de la matière.

Le travail de l’énergie.

Permettant de se réaliser quelque chose : Soit les choses étant.

Car quelles sont les choses émisent elles sont dans l’attente d’un mouvement

De l’une vers une autre pour temps.

§.113.

Son devoir au sein de la troupe était dans son esprit la nécessité, le fondement de la troupe elle-même.

Donc une idée (de) constence sur la place, l’actionque sur elle en avait, que de notre travail elle pouvait (toujours) accompagner.

§.114.

Etude de la structure.

Les mots souligner.

Etudes des mots.pour réussite de la structure avant de les relier.

Etude d’un sujet.

§.115.

Lémotion et le mouvement qu’elle provoque est une simple expérience des sens prouvant que nos esprits et nos corps ‘ce que nous en savons) sont en liaison sans équivoque.

§.116.

Conflit entre tout groupe.

Car se croyant les seuls.

On donnait de mauvaises habitudes de vie (De survie) à l’individu.

Alors que bien qu’élevé, bien que l’on s’occupe de lui, une devienne justement de ce fait en un autre endroit plus qu’inadapté,moteur de se qui allait à sa propre perte l’emmener.

§.117.

Pour elle mes jours continuaient.

Possession.

§.118.

Le symbole magique.

L’objet est là pour démonstréier (J’aurais mis -dé monstruer-).

L’humain = les forces qu’on ne comprend pas ne viennent pas de mort ou étrangeté.

Mais du fait de ce qu’il se trouve que tu as, es, tombé.

Pour repère : Sept pages blanches.

§.119.

La vie fait sourire.

Quand on sait que les plus grandes douleurs peuvent se combattrent, se vivrent sans que rien ne se voie.

§.120.

Anticiper sa stabilitése concevoir équilibre pour l’instant d’après.

C’était pouvoir concentrer souplesse = puissance faire aux secouses et reliefs quisi tous font trembler.

§.121.

La poursuite du bonheur c’était ne pas cesser d’être sur que chaque instant avait à l’autre apporté.

Pour cela il fallait que le don de soit ne cesse de se faire.

Ecnanger.

Et réfléchir aus échange aux mieux.

§.122.

La lune sera au rendez-vous.

Même quand je n’y serais plus.

Pas toi.

Mais situation = souffrir.

Et fera souffrir tout le monde.

Si tu n’arrange pas.

Ce n’est pas toi ni moi le problème mais il faut que le problème ne reste pas.

 Tu ne dois pas me laisser comme cela.

Un petit peu de temps ?

Interprétation faussée.

Et si c’était cela qui était à relancer.

Chose à mettre au clair.

§.123.

Une dissertation.

C’était le temps de deux films d’une heure trente avec généric plus publicité.

Pendant une dissetation il avait le temps de s’en raconter.

§.124.

Les hommes avaient tout l’espace.

Les hommes n’avaient qu’une passion voir leur histoire s’écrire.

§.125.

Être accompagné de ses anciens (dans sa réflexion, dans sa vie au quotidien.)

C’était ne pas faire de faux pas.

Être et se surveiller comme un enfant.

La bonne santé. Aider ses parents.

La bonne santé. Pouvoir toujours conseiller ses enfants même après et toujours mieux encore que passe les ans.

§.126.

Elle était assomée.

Proche du knock – out.

Elle continuait à manifester de la vie.

Je suis là.

Reux encore aider, aider.

En sortir.

§.127.

Mais les autres pensant qu’elle n’avait reçu de choc croyaient qu’elle se moquait.

Charmé.

Arrêter les clans.

§.128.

Faire bouger pour que l’énergie puisse circuler.

Sang chaud.

Qui circule et corps irrigué, alimenté.

§.129.

Féroce.

Férocement se rejeter dessus pour que les autres ne n’en empêchent.

§.130.

Pouvait-on voir la soifd’hanter les bar ?

Comme une recherche de ce qu’englobe le concept du « monde de la nuit ».

Que ce passe –t-il par ici.

§.131.

L’art était la possibilité de converser avec soi-même.

( Etait  : En voilà une bonne nouvelle. Qu’elle est bonne !.)

Et l’art de concerver avec soi faisait de notre solitude un grand conglomérat, si tant est que l’art s’échangea.

Pouvoir s’amuser, réfléchir, s’informer de l’état de l’autre.

Permet à l’individu d’être au sein du groupe tout un sélestionnement de quoi il veut se nourrir en guise de complément.

§.132.

Cette capacité à être en phase avec le monde tout en explorant les endroits en particulier.

Rire seule d’un bon jeu de mots fait, c’était aussi pouvoir rire avec la personne qui nous accompagnerait.

Être en comité restreint mais parce qu’à ce moment là pour saisir le monde nous y étions invité.

§.133. (encadré).

Il m’avait fallu toucher ses muscles pour me demander comment les miens pourraient devenir comme cela.

Par exemple s’asseoir sans jamais courber le dos.

Sans jamais s’appuyer sur ses bras.

Ami – gos (se).

A mi.

§.134.

L’émotion c’est de se rendre compte combien pourrai -être salvateur de faire quelque chose.

Rire à cœur ouvert quand elle ne pouvait pourrait plus m’entendre.Et ne pas le faire car simplement devant elles sont se trouvaient d’autres figures.

Que tout moment redonne plus d’une vie.

§.135.

Art : étendu de ce qu’on peut explorer.

Technique : Comment y mettre un ordre.

La dualité de la vie s’exprimant ainsi.

Ce qu’on fait = de nos mains est-il bien.

Toute action devant être moteur donc progrès = elle-même s’auto obsolètiser.

EST-ce que comment on le fait maintien l’énergie en harmonie ?

Réponse : Impossible de penser aux deux en même temps.ou bien le fait rend impossible de penser.

Etat d’animalité.

§.136.

Elle croyait me surprendre avec la violence de ses sentiments.

Comme si l’amour d’elle, dépendait !

Alors que s’était l’amour même qui nous avait inventé et d’un point de vue plus personnel qui fait que pour moi (comme tout un chacun) ceci, tout ceci est : (Sa furie inclué.)

§.137.

Ces signes sont là.

Mais moi, dois-je m’y trouver ?

Fin de dé pagination 431.

§.138. page 492.

Un problème ?

Cherchez ? attention nez.

§.139.

La violence de l’amour.

Car élasticité.

Pour elle – vers tout.

Et la menace de ce que le choc puisse causer.

§.140.

Toutes des connasses.

Je me demande même pourquoi je continue d’être une sexualité.

§.141.

Ce n’était pas parce qu’on était de même métier qu’on faisait les mêmes gestes ou les excécuteraiient en puisant à la même chose, des appuies dépendaient dans ce qui allaient se développer.

§.142.

parcontre sans qu’elle bouge, je pouvais sentir ses muscles qui de son activité habituelle, allaient.

§.143.  Page 493.

Le héros faisait pareil, que les autres.

S’activer tout le temps.

Le héros avait simplement la mission de l’actionner à un résultat, à un tendre à une quête.

Comment par tous.

Ainsi, il était regardé car on devait inspecter les résultats de ce qu’un comme produit à partir du moment ou on sait au maximum possible qu’elle visée avait-il.

§.144.

Le symbole de la misère sur soi. De son impunité ou de son utilité est une autorisation qu’on se fait pour justifier notre inactivisme.

Mes grand-parents travaillent à la chaîn crias-je = et qu’ais-je fait pour justifier notre inactivisme.

Mes grand-parents travaillent à la chaîne criais-je de m’accomoder des produits viande  « children chinese » fait.

§.145.

Elle ne m’avait pardonné d’être totalement par autre chose à cette époque nourri.

Elle l’avait fait. Comme elle le désirait alors, je serais fidèle à elle jusqu’à la fin aujourd’hui.

§.146.

Si théorie  étaitent rapporté à des observations fait dans la vie.

Quelle équivalence de quoi avec quoi me mettrait.

§.147.

On disait, je vous adorre de pouvoir ou avoir le droit, de tomber amoureux.

(Raison d’age ou d’assurer au quotidien), n’avoir pas.

Je n’arrivais pas à lui dire mes raisons.

Tellement je redoutais la comparaison.

§.148.

J’écoutais ou lisais des histoires, sachant que toutes les lignes la mienne comptaient, m’expliquaient ou bien me suggéraient.

Ce que j’avais vécu, ce dont les autres m’avaient fait part de leur présence à laquelle je pouvais songer tant que je voulais.

§.149.

Celui qui voudrait traduire ces pages pourraient utiliser les synonimes de mes mots tant tout d’entre eux sont approximatifs.

Il –           – ce que je bacle sans volonté de le faire de ma possibilité d’expression.

§.150.

Le mensonge.prononcer le degré de gravité d’une chose ou d’importance ou d’aviter les conséquences ou tester la dimmenssion de naïveté ou de défiance de l’autre.

§.151.

Cela occupe l’esprit.

§.152.

L’amour les liants et bas réveillait que bien qu’on se transforme. Il n’y a qu’un toujours.

C’est d’être à s’occuper que l’un change.

Et énervement m’appartenir qu’être soi.

§.153.

Les histoires. Peines et joies.

§.154.

Signalant entre deux émois qu’il fallait, qu’on puvait se remettre.

Que tout était en l’autre.

Que tout était en soi.

Que tout allait en soi.

Que tout allait de soi.

§.155.

Je pensais au gateau que l’autre allait me donne alors c’est une large part que celui que j’avais acruellement j’allais pouvoir tout en continuant à (me savoir ) nourrit, tendre en me délectant simplement que cela soit fait.

§.156.

Elle aime les sacs d’os ta copine ?

OUI sinon je serai en train de me remplir la panse.

Ce que l’on en dirait.

Il n’avait pas grossi.

Les mains avec l’age prenaient devenaient des nœuds.

Si pas des maillons.

§.157.

L’émotion était l’acte de charger l’arme à la communication :

Corporelle.

Temporelle.

Sensorielle.

Permettent.

 = Raccord de mouvement.

§.158.

J’étais dans les coins avec une grosse envie de dormir. J’avais vécu planquée plus de trois ans ici.

Et pour la première fois conséquences des années Je me rappelais du soulagement quand épuisée je pouvais ranger mon nez entre matelas et oreiller.

Toujours la même sensation de pouvoir s’étendre dans un endroit secret pas froid.

La jouissance du repas, redonait la jeunesse après chaque fois qu’on s’était épuisé.

§.159.

Ce qu’on  finissait pas de penser d’une situation qui nous échappe, nous repousse.

La pensée est un pont pour situer, conceptualiser une structuration (structure) afin de s’y rattacher ou s’en détacher.

Pourquoi cette violence ?

Tous des cons que je me disais.

C’était ce que les uns et les autres ressentaient aussi à l’embarquement de ce qui se profilait.

Cette impression était une façon de comprendre.

Non ?

L’embrouille traversée.

§.160.

Il y avait les gens reconnaissants et ceux qui ne tenaient pas à s’investir.

La vie passant ainsi que les gens.

Toute stratégie était bonne pour se maintenir dans la conscience, l’idée d’un mouvement.

§.161.

La maturité sexuelle c’était avoir conscience de vivre sexuellement. (pensée de renouvellement et sensation de vibrement.

§.162.

Il y en avait qui négociait immobilisé et d’autres avec l’instinct, et le sentiment, la mystique.

De toute façon on pouvait se mettre d’accord.

La religion.

Sur que cela pourait.

§.163. (encadré).

Elle était balbutiante, analysait tout et bien quand on tenait compte du peu d’infos  qu’elle avait mais voilà le plus brillant qu’on soit ou ne sait les tout et même si ayant petit petit.

Toujours des détails qui apparaissent comme tel et qui portant la signification des choses changeant tout.

Or ces détails s’oublient et on ne se le rappelle pas quand une autre info fait que maintenant ils deviendraient la clef de tout.

§.164. (encadré).

Il ne comprenait pas que mes moments dans le reculdevant nos sursauts, quand on a la force qui était en marche en nous on avait surpris, n’était pas la peur de trop aimer mais l’instant que je vouais à prier.

Ce temps (de secondesà dez années) qu’il me fallait pour demander comment faire pour toujour en être accompagné.

La prière d’ailleurs était un moyen.

Pour le suivre, fait que plus que dans mes souvenirs mais aussi dans ma réflexion, ma volonté ce moment soit encré et ait été utilisé. Ce n’est pas le genre de chose qu’on supporte de pouvoir brader.

§.165.

Pour avoir une bête il fallait une belle.

Car la bête peut dégager toute sa puissance de devenir aveugle à l’environnement avait besoin, c’était le deal obligé à réussir un tour de force en soi.

Pur commandement.

La belleétait la main retenant la bête de se jeter n’importe comment la main dont la bête savait qu’elle l’aimait la rappelerait au bon moment.

§.166.

Je m’arrêtais de m’expliquer alors à ce qu’elle, m’avait dit je pouvais penser et alors c’est là que les nouvelles idées éclatent = planifier.

Orqaniser en pensée.

Etablir une position.

Car une position dans un contexte m’ayant émut ou bien mouvant me permettait de chercherun eéquilibre mais dans ce qui me déstabilisait.

On avait commencé comme cela et puis cela avait chaviré. Dans ma lecture passionnée.

Fin de doc 19.

Premièrecorrection Daniel.

computerised extra doc 18

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

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Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

DOC n° 18.

Pages : 300 à 399.

§.1.

Les phrases que je faisais me paraissaient ridicules, simples comme bonjour, faciles pourtant elles décrivaient ce que je n’avais encore vécu, quelque chose auquel je réfléchissais et qui ne c’était encore passé.

§.2.

Ce signe de l’auteur qui ne connaissant rien de ma vie, par sa rencontre et recherche de sens de ce qui est ainsi proposé.

Ma vie à pu être éclairé.

Dans le sens un élément trouvant une explication de plus à ce qu’il est. Est donc une manière de mieux avoir maintenant les formes et l’action penser.

§.3.

L’imaginer sur mon dos.

Qu’il soit musclé souple et prêt et préparé à avoir tout à faire !.

Je n’arrivais pas à imaginer combien me faisait drôle mes premières rides car je n’avais pas imaginé à quels endroits elles se porteraient.

§.4.

Mieux vaut agir trop vite que trop tard.

N. SARKOZI.

Théorie – –       -.

Je ne posais jamais de conditions à avouer mes erreurs cette prise de conscience sur soi était réussir, fait à l’esprit de rébellion d’autrui pour que puisse continuer cet esprit.

Mais si cela ne remettait pas les choses au clair instantanément, on avait (nous avions) besoin de connaître les vérités même si c’est dix ans après qu’elle pourra nous toucher.

§.5.

Le fait de pouvoir me coucher.

S’étendre, se reposer.

Permettre à son corps et son esprit de se promettre demain et un autre jour et reposer tout cela, afin de rester dispo.

§.6.

Les hommes violent étaient appréciés.

Il fallait bien savoir disposer des femmes quand on le voulait.

Elles qui trouvaient toujours un moyen pour faire obstruction.

§.7.

Le diplomate est celui qui trouve toujours sur quel terrain avancer qui à ce jour représente un – -pour tous les groupes en train de jouer.

§.8.

La déformation de la colonne vertébrale par le trop, ou trop peu, manger. Digestion et action.

§.9.

Mon action présente me rappelle à celle passée.

Qu’elle vie ma vie s’évertue-t-elle à rappeler ?

J’écrivais sur la mort.

Faire partie du programme, me le permettait.

§.10.

Il avait joué les chefs puissants à ne pas me faire un prix contrairement à ce que m’avait proposé son employé.

L’article m’intéressait l’avais joué le jeu la boutique aussi.

J’étais de bonne humeur, et tous les vendeurs repassant devant l’étal, souriant car mes vêtements étaient de bonnes qualités et ma fidélité aussi. Mais c’était plus fort que moi maintenant  j’avais du mal à rentrer ici.

Non je changeais de style simplement je n’avais plus besoin des remises pour respirer.

§.11.

Il en rajoutait, tiquaient les gens qui l’aidaient. Il était tellement peu assuré de pouvoir quelque chose dans sa vie gagner (Ne pas souffrir de manière assurée) qu’il en rajoutait, rajoutait autant que de lui-même il escomptait se dégoûter.

§.12.

Rien de nouveau à lui dire.

Mon âme poétesse (penser à cela toute la journée la tâche facilitait) simplement avait trouvé des nouvellement à dire.

Il ne fallait pas lui envoyer, c’était pas une compétition, je devais m’avouer que ne serait pas même  irréfléchie, ni emportée mais portant sur ce une analyse de ce qu’elle cherchait.

Il me fallait admettre qu’à ce que je lui proposais, elle devrait ses –    – ses propres dispositions comparer.

§.13.

Elle était épuisée c’était ces moments ou ayant un problème on ne cessait de le remanier. Appelant les anciens, appelant en sa tête tout ce qu’on pouvait pour envisager qu’une solution puisse se dégager.

Il fallait faire très attention à elle en ces moments là car c’est son mari décédé auquel elle se référait et alors à ces moments l’intervention de tout es autres personne l’irritant car personne ne pouvait le remplacer.

Mais j’y allais quand même manière de dire. Je ne compte pas le remplacer mais s’il est avec toi alors il est avec nous, ce n’est pas le à un mort mais à la conscience toute vivante que tu es en train de parler.

§.14.

La mystique aux morts reliée.

Car on apprenait des gens comment être encore et toujours à l’absent( peu le mort, tout le monde de l’invisible agissant) lié.

Expérience- ancien- respect.

Ceci étant le secret indétroussable comme la sensation de chaque expérience l’est.

§.15.

Elle (n’) en voulait encore (pas). ( Moi non plus.)

Elle ne répondait pas.

Je ne pouvais lui en vouloir.

Mon destin d’homme était de m’apercevoir que personne ne parlait comme moi que la communication était justement une extension de l’espace admis déjà.

§.16.

Être admirer de sa troupe.

Trouver sa raison en cela.

§.17.

Mais l’élément dans lequel on pouvait toujours creuser profondément à fréquenter tous les lieux nous amenaient.

Famille et origine.

L’endroit où tout retient le temps.

Il est comme les autres endroits, j’ai décidé que tout devait y dépenser seulement.

La création en est le décor.

Ce qu’on en garde dans l’isolement, donc son semblant.

§.18.

Quand on pense que c’est sur ces erreurs que tout son bonheur peut doit se construire maintenant peut-on parler d’erreur vraiment.

§.19.

Servir son groupe et permettre ses différents éléments d’être porté.(jusqu’à ses tréfonds et ses différents extérieurs)

Par soi.

§.20.

Le statut quo dans notre société à travers la conjugalité prévenait l’être de devenir jaloux.

Pouvait vivre en troupeau sans risquer de perdre sa femelle ou devoir risquer sa vie pour la garder.

C’est ce que les castes et la caste dans le caste s’évertuer à ce que soit éviter.

Ainsi le bien de l’autre n’était jalousé tant que le notre était unanimement pré attribué.

De plus un individu en vaut un autre. (C’est avec des idées comme celle-là que tu m’as perdu avant de m’avoir.)

Dans la relation tout pouvait se trouver, fallait-il encore la vie, ça pour le maximum de stabilité au sein de la communauté recherché.

§.21.

Je n’étais pas rassurée de son entrée dans ma vie parce que c’est sur nous que j’écrirais.

Cela allait-il l’intéresser ?

Et puis s’il trouvait cela bien, le reste, ma théorisation il allait s’apercevoir de la redondance, puisque écrire, s’était s’écrire or lui ne m’avait déjà plus qu’en photographie à la maison.

§.22.

La conscience d’être un être humain.

Une espèce de prédateur ayant intérêt à réfléchir sur ce qu’il faisait sans peur de s’auto consommer.

§.23.

Ne plus vivre comme un animal était de prendre conscience que la terre était un terrain évité ou tout un chacun pouvait et devait maintenant se rencontrer et s’arranger.

Et que l’idée de vivre, de l’absolu qui nous avait jusque là porté était ce pouvoir d’auto régulation auquel chacun devait participer.

Conquérir le territoire comme pour accéder à cette évidence, ce devoir que d’entretenir de satisfaire ce que maintenant on pouvait comptabiliser, qu’il s’y trouvait.

§.24.

La magie c’est que son ancien amour avait pu vouloir mes bras comme patrie et que le mien des siens avait pu en vouloir aussi.

Ces êtres en nous, qui nous constituaient et qui pouvaient s’exprimer, se réaliser en ce qui était pour nous ce par quoi on mesurait et savait que demeurerait.

§.25.

Ma femme.

Je ne voulais plus nourrir.

Ma femme.

Etait le symbole qu’il me fallait me dépasser sans les dangers courir.

Sa présence. Mon rapport au présent.

Je devais prendre un à un tout les éléments sans en prendre aucun négligemment.

Sur tout ce qui nous entoure ne soit donc pas pour elle donc pour moi, ainsi que tout autre dont on avait réussit à capter le pourtour.

§.26.

Ma femme représentait mon devoir du tout amour.

Le devoir de vie, de tout protéger sinon l’absence ou la mal aisance de ce qui ne me ferais pas ainsi rongerait.

Ma femme, mon devoir de ma situer.

Et chaque chose m’y amenant.

Chaque chose accepter.

La présomption sur sa force.

Afin que ses faiblesses ne soient pas attaquées de manière justifiées.

La séparation des sexes, des activités, problème ou vue –     – donnait une justification de la dualité en soi.

§.27.

Je m’apercevais toujours trouver des signes, des coincidences mais comment faire autrement puisque 24 heures sur 24 j’y pensais ?

Essayais de ne pas y penser ou pensais qu’à ça.

§.28.

Ne pas arrêter de digérer ou de cesser de digérer que ce soit avant, maintenant ou après était comme une sorte de recherche de même état.

§. 29.

Son visage se musclait de devoir s’exprimant et juste du bol alimentaire nécessaire.

Savoir = pouvoir se contenter.

§.30.

Le couple le plus uni, pas besoin de jalousie.

Etre uni aux autres alimentait ceci ainsi que de n’avoir  à craindre qu’on soit détruit (de ne voir que par nous , la force venait d’élargir et prêter ses compétences.

Et comme l’était notre couple on ne basait (nous ne basions) cela que sur la confiance.

La jalousie naissant du devoir qu’on se donnait cela question sur la confiance.

La jalousie naissant du devoir qu’on se donnait (surplus) de ne pas relâcher sa surveillance.

On peut tout voir nous desservir sans psychique.

Le bonheur de chacun toujours possible, à tout moment en toute circonstance lui.

§.31.

Il ne fallait pas la bloquer, c’était de ses propres réflexions qu’elle pouvait comprendre son propre fonctionnement donc de voir cela influer sur elle donc sur les pensées qu’elle réservait aux autres.

Comprendre ses travers et les redresser en raccourci.

§.32.

N’avoir pas l’air d’un idiot.

Cela dépendait comment dans notre histoire on voulait bien placer ceci.

§.33.

La séparation des sexes.

Des codes.

Se repassaient de pères en fils de mère en fille.

Quelqu’un de rattaché à soi départ une fusion qu’il ne pouvait rejeter.

Quelqu’un qui nous suivait.

Quelqu’un qui nous ressemblait.

§.34.

Heureusement je lui disais des conneries.

Comme cela quand il ne me répondait pas je pouvais enchaîner, me contredire me préciser, continuer à parler.

§.35.

Garder la forme.

Qu’est-ce que cela donnerait ?

J’étais amoureux ?

Et mes sensations remerciaient.

Tout ce que j’étais en mesure de faire.

In – humains.

Sur – humains.

§.36.

La méprise connaître ce vaste problème.

Ne plus craindre de donner le meilleur de soi.

Ceci ne se rejetait pas.

On s’apprenait à les uns les autres.

Le regretter était pareil à ne pas s’apercevoir  de l’effort que l’autre lui-même produisait.

§.37.

Sensation de maximum – minimum.

Sensation de mesure.

Que tout le monde possédait.

§.38.

Le genre de phrases qui sortait de cris d’enfants.

Ou de gens qui dans leurs discours nous regardait particulièrement an vous crois.

Ces phrases impulsives.

Que lorsque vous pensiez sérieusement mais cette fois ci il n’y a plus rien que je puisse faire continuer ou que dois-je faire un ?

Je fais « C’est pas terminé.

Sur que tu l’aimes, t’as qu’à appeler. »

J’aillissait.

Il faisait le beau.

Style, je serais un beau et bon mari.

Il n’était pas le seul et « qu’il oubliait. »

§.39.

Ne pas se sentir abrutit.

Revendiquer sa façon d’être.

Son droit d’aimer.

§.40.

Le désir de ne pas user les choses donnait à la longue le secret de comment soi-même bien que soucieux de quelque chose. Ne pas s’user. Voir de se réparer ou de développer sa façon d’y arriver.

§.41.

Des S. D. F. sur le bas côté.

Pourquoi ne m’arrêterais-je pas.

Pas de mes compétences.

La misère de ne pas prendre conscience que de ce qu’on prend en main.

§.42.

Je devais me rendre à l’évidence les doutes qui me chambouleraient à propos de m’aime t-elle vraiment, mais si je le faisais le plus sincèrement ces mêmes doutes sur moi elles les avaient vraiment.

§.43.

Je ne voulais pas qu’elle ait cette image de moi.

Donc je décidais de mon comportement transformé (gestes.)

Seulement de mes hésitations de réfuter ce qui pour moi était naturel, ne faisait de mal à personne et ne signifiant (Mis à part ma façon de garder l’équilibre sur mes deux jambes) rien.

Sauf que de ça une image inévitablement je donnais a voir de moi n’importe laquelle mais quelque chose de faux.

Une image quoi.

Alors –     -.

Et tout à ce que je suis.

§.44.

On faisait bien du sport, on s’activait bien à réfléchir les choses.

Le sport lui, l’entretient du corps faisait aussi penser en même temps.

§.45.

La confiance.

Que le corps, que son corps puissent s’exprimer comme il l’entend.

La confiance, l’expression lisse nous libère de toutes les violences.

Tous systèmes.

Si ce t’aime.

Rend l’erreur frénétique, sans autres événement, évènement nous sortant d’une seule optique.

Une seule optique, ne plus savoir où faire transiter l’énergie.

Et tout casser, comme le tenterai l’homme dans un cercueil vivant.

§.46.

Aller à l’encontre du problème.

C’était voir, comprendre pourquoi le meilleur s’était-il passé comme ça, qu’est-ce qui avait pris les gens aux tripes.

Rien que le combat à la vie qui avait fait s’entrechoquer cela

comprendre que de méchanceté il n’y a.

§.47.

l’énergie que me donne le passant pour me souvenir de toi, sa chemise me rappelant une que tu porte des fois.

Qu’allait m’apporter de nous cette ressemblance, reconstitution là.

§.48.

La douleur.

La jouissance.

Me rappelait à moi-même que puis-je y faire.

§.49.

Le gouffre du fantasme.

Et peux deux grâces.

§.50.

ne pas croire en ce que la rencontre avec l’autre fut un bout de vie, de procréatrice énergie car on était pas rendu à comment se servir de l’avoir pris.

§.51.

Et si le temps était les pièces d’un puzzle qui ressemble ne rien vouloir représenter car sait-on ce que l’on vit en premier ne devrait pas mieux dans un futur (par rapport à sa place actuel passé) se resituer –  –  –  -.

Enchaîner.

Inter – changeable.

§.52.

Nature mère.

Nous a appris à être violent.

A puiser nos forces sans restriction.

Et on apprend à faire qu’elles s’aident s’inter-échange petit à petit.

§.53.

Les signes ?

Il fallait se rendre compte pourtant à l’évidence, la lune avait toujours à exprimer.

Aurait.

§.54.

L’erreur vient qu’on pense d’un venant plus important qu’un autre d’où prise de risque mais danger ou pas assez.

§.55.

Le passé ne nous aidant plus le futur pas assez préparé.

Dope.

Dupe.

§.56.

Nos moments comme ceux de celui d’à côté.

A côté car nos importances inversement ne se sont pas encore conjugués.

§.57.

Accepter son pensée être.

Accepter ses pensées.

Et tout que son corps.

Agissent, retentissent, acte pour nous y projeter.

Idée. formulée.

§.58.

Toujours penser des conneries.

Taille l’impératif de toujours penser plus loin.

§.59.

Avoir toujours une explication aux choses.

Chercher à se préparer.

Aussi la fin du monde est intériorisée.

§.60.

Être on ne savait quoi.

Mais décharger de l’énergie d’un endroit permettait à un autre de se rechercher d’une qu’il ne soupçonnait jusqu’alors pas mais qui lui dévoile un pourquoi du comment du fonctionnement d’une chose dont maintenant il sait qu’est ce qui autour de ça s’actionne.

§.61.

On l’avait regardé.

On l’avait évité.

Il avait du nous observer.

Il n’avait pu nous observer.

Tout ces styles de rencontres de toutes façons nous fécondait.

Et de ça on trouverait quelque chose de rigolo, spirituel, sérieux, quelque chose à nos compagnons raconter.

§.62.

J’avais fait une connerie qu’après j’avais compris.   –   –   –   – .

L’événement entre nous.

La mémoire.

L’attention, la régularité autant de symbole dont on se servait.

Rappelant les émotions et ces rappels aussi signes du destin.

§.63.

Lorsque la coïncidences les faisait s’entrechoque en soi s’imprimer ce qu’on retient.

Ré – tient.

Importance comme impotence.

§.64.

Je t’en supplie un ?

Ne répond pas à la légère.

§.65.

L’art.

L’information qui va en delà des années.

§.66.

Son air malheureux m’énervait il me faisait repenser à toutes les fois où il m’avait injustement soupçonné malmené.

§.67.

Conflit et partenariat.

Maintenir sa conscience de l’autre pour que se maintienne la réalité de l’inter action d’esprit à esprit.

Maintenir la recherche en la foi.

§.68.

Ma quête, mon absolu.

Mon éternité.

La façon de vivre.

§.69.

Elle hurlait de perdre du temps mais tout le monde est là ce règne là.

Vous savez sinon on aurait fait des trucs extraordinaires.

Nous aussi.

D’ailleurs c’est par le dévouement qu’on se sortait de ce cycle.

Pas de temps qui ne comptait et recomptait.

§.70.

le sexe de la femme moins exposé.

Mon choquant.

Pourtant plus intérieur, plus enclin à souffrir de l’infection.

Moins habilité à bouger.

§.71.

La maison ?

Sa logique me permettait de même ne se souvenant plus d’un fait précis, n’en ramener, rapporter à elle et me dire oui logiquement c’est comme cela que j’ai du faire car d’après ce que je sais des choses et de moi il n’y a que comme ça que j’ai pu réagir.

Garante de mémoire.

Pourvoyeuse vue.

§.72.

Quand il me réveille.

Pour dévorer mon corps.

Me masser.

Et me nourrir à mon âme encore et encore.

§.73.

La lune et ses halos concentriques.

Dans un nid que produit sa lumière.

Rejoindre son appel.

§.74.

La lune se baigne.

La lune en elle-même.

Me rend électrique.

Et je la regarde.

Ne cessant de vouloir la rejoindre.

Qu’elle m’apprenne.

Je ne cesse de l’observer la désirer.

Comme un chien aux aboies.

Puisque loup fou de toi.

Et ou vais-je ? Voudrais-je ? Sera.

Au fond de moi ensemble (comme apparaître la nature).

§.75.

Pouvoir toucher son corps comme si je m’apercevais que j’étais en un autre endroit.

Ce qui est à toi  –   –    -.

§.76.

Pourtant j’étais même fidèle à la cantine téléphonique d’où je l’appelais mais il ne cessait de se dire que d’un coup jusqu’à de ville je pouvais changer.

§.77.

Réussir quelque chose remplaçait la certitude.

Réussir remettait en cause ce que l’on fit avant et ce que l’on peut faire maintenant de notre nouvel état.

§.78.

assumer sa virilité était très dur.

Assurer tout court à autre chose mener.

Fier d’être macho.

Fier d’être bené.

Heureusement pour l’évolution du temps.

Cela était vra.

§.79.

Se rendre compte combien il devait s’en être passé dans nos gesticulations net nous arrêtait.

Se rendre compte que ces histoires platoniques que nous délaissions, repassions étaient le cœur de tout ce que nous faisions.

Amour céleste.

Amour terrestre.

Nous ébahissant et nous ayant construit et nourrit de la même façon.

§.80.

Reptations.

Femme pute qui couche car pouvoir d’enfourner lié au pouvoir de garder l’homme ainsi ayant ensemmé.

Vouloir garder pouvoir sur l’imission. Date.

§.81.

Comment m’aider.

Comment l’ai-je aider ?

§.87.

Il disait ne pas aimer le théâtre refusant de voir en lui un instrument d’expression. Cet instrument que tout le monde pouvait utiliser.

Il se serait douté que des choses parlant directement à son esprit.

Le théâtre tout les styles de gens, de reflexion, de style de vie pouvait s’y trouver, s’y échanger, s’y découvrir (dans le sens de la nouveauté, dans le sens du revenir).

Il disait ne pas aimer le théâtre car tout comédien qu’il était, il pensait que des textes qu’il aurait pris comme siens, il n’aurait pu trouver.

§.88.

Réfléchir à A.

Etait ne pouvoir réfléchir à B.

Une histoire de temps pour que chaque élément puisse,

chaque élément penser.

Création d’unité.

§.89.

Il me redoutait, me fuyait.

Moi qui ne connaissait que le malheur de savoir me donner.

d’exilé.

Vivement être vieux (pour pouvoir considérer tous ceux que je rencontre comme mes bébés.

Responsabilités.

Peut être en meurt-on ?

§.90.

La femme n’a pas l’instinct du violeur car elle s’handicape et devient à la merci lorsque engrossée.

La femme n’a pas l’instinct violent car plutôt que de se battre elle doit pacifier et protéger sa portée.

§.82.

Il se soutenait maladroitement de peur que sa mauvaise odeur apparaisse.

§.83.

Faire n’importe quoi.

Contre tout ce qui se passait.

Y compris l’amour qu’elle pouvait me donner.

Tenait à ça.

Il n’y avait pas de moment mineur dans la création.

Simplement des moments où on, où je ne comprenais ou décrivais (Savait enchaîner continuer moins bien)

§.84.

L’autre, était l’esprit qui balançait ?

Celui qu’on appelait.

Pour se dire non il ne faut pas s’accoupler avec tout autre, simplement car il y faut suivre = garder du temps pour suivre ce qui nous semble le plus vital, le plus urgent à rassembler.

Mon amour pour qu’auprès de toi je puisse durer.

§.85.

En tel partie de ne pas risquer se mettre sur la gueule on obéissait à un « ordre » Suprême.

Cachant les incompréhensions et inadaptation de chacun.

Quelque chose qui ne se contredisait.

§.86.

L’agressivité.

Se portait de toute façon toujours en son quelque chose qu’on voudrait voir se calmer.

Être fécondé.

Ou permis de s’arrêter.

Il fallait simplement ne pas être évincé à coté.

§.87. (encadré)

Il disait ne pas aimer le théâtre refusant de voir en lui un instrument d’expression. Cet instrument que tout le monde pouvait utiliser.

la comédie n’était pas le moyen pour tromper mais vivre son expression et l’opportunité de comprendre dans sa chaire ce qu ‘un autre avait pu vivre ou engendrer.

et plutot qu’artefact il est doté de choses parlant directement à l’ esprit.

Le théâtre tout les styles de vie, de gens, de reflexion pouvait s’y trouver, s’y échanger, s’y découvrir (dans le sens de la nouveauté, dans le sens du revenir).

Il disait ne pas aimer le théâtre car tout comédien qu’il était, il pensait que des textes qu’il aurait pris comme siens il n’aurait pu trouver.

Vivement être vieux (montrer que je considère pour pouvoir considérer tous ceux que je rencontre comme mes bébés.

responsabilités.

Peut être en meurt-on.

puisque la vie avait, faisait que ou aurait pu faire jouer.

§.88.

Réfléchir à A.

Etait ne pouvoir réfléchir à B.

Une histoire de temps pour que chaque élément puisse,

chaque élément penser.

Création d’unité.

§.89.

Il me redoutait, me fuyait.

Moi qui ne connaissait que le malheur de savoir me donner.

d’exilé.

§.90. (encadré)

La femme n’a pas l’instinct du violent car elle se handicap et devient à la merci lorsque engrossé.

                                                   violeur

§.91.

Il disait de son compagnon.

Il y avait une justice on aurait le même nom.

Ouf ! Disait l’autre.

Pourquoi pas les garder et puis ce serait aussi un autre choix qu’à notre bébé on donnerait un autre nom !

Le produit de notre activité.

§.92.

Garder l’esprit du groupe qui nous a initiés.

Garder les habitudes et hygiène de vie donnée.

L’entraînement était se raccorder, pour être suivi partout par son vécu sans que personne n’ait à me suivre ou à me garder.

§.93.

La nature comme tout don était le plus précieux des bienfaits.

Jusqu’à ce qu’on en prenne trop on demande trop ou pas assez et même ne plus pouvoir l’honorer.

Se décomposer.

Et non pas de se dire, je ne suis pas touché.

La mort vue et celle qui nous pend au nez.

Un homme avertit en vaut deux.

connaissance et infinité.

§.94.

L’est de continuer à s’instruire quand on pouvait fire volter.

Qui permet de savoir ce qui faut faire pour éviter de régresser quand on croit être coincer et obliger de s’ennuyer !

Rien que de travailler ses assouplissements, à tous moments peut être fait, appliqué. Pour cela les travaux quotidiennement et savoir ce qu’on doit faire, le corps habitué, sachant communiquer au cerveau qui prend en compte, lui-même le devenant, anticipant.

§.95.

Problèmes de genoux en moins dans trois mois cela sera réglé (sourire)

Non sérieusement il n’y a qu’à attendre une cinquantaine d’années.

§.96.

On ne m’avait pas pris.

Savoir qu’on peut dire à son étoile MERCI.

Lui trouver des raisons. Ne plus faire le con.

Améliorer avec elle sa relation.

C’est d’avoir parcouru toute la terre qui nous donne de connaître et de se remettre parfaitement au ciel.

§.97.

Interface.

Relationnel. Irréel et révélation.

Deux vies, pour une énergie.

Jugé.

N’élève.

§.98.

Devoir parler.

Pour se restaurer, comme pour se regrouper.

Ne parler qu’en des moments où parler et s’allier.

§.99.

Attendre.

L’attendre tant qu’il me le permettait.

Ils faussent la –        -.

Il ne comprenait pas que cela me plaisait.

Que je le désirais.

Il fallait attendre jusqu’à ce qu’il comprenne.

§.100.

La rencontre, la connaissance de quelqu’un amenait l’individu à soumettre à l’autre sa condition.

C’est à dire demandait à l’autre de lui résoudre ce nœud que ses croyances, dépendances font qu’il n’arrive à s’en aider.

§.101.

Montre-moi ! Toi que je vois le partage de l’émotion, de l’énergie.

Engage le processus de la transition prise de la communion de pensée.

Qu’est-ce que tu en ferais ?

Mouvement fondateur, ainsi passe et rien ne meurt.

L’art ?

Reflète un sentiment, une conviction, un cheminement.

Que j’ai.

L’art m’atteste à ce moment là que je suis bien entrain d’exister.

Et à ce moment là mon courage plus loin me mener.

L’art n’a de flou ce que l’on ne précise pas justement ce qu’on considère être entre l’autre et soi.

Qu’est-ce donc ?

Réfléchir à cela !

§.102.

Les autres aussi voient les clins d’œil que leur font les étoiles.

Voilà ce que m’apprenait le mot scintiller.

§.103.

Elle attendait que je gueule pour se rendre compte que cela craignait.

Elle saura que c’est quand je me tais qu’est le danger quand elle aura compris.

Que toute son énergie était déjà partie.

Mon âme se connectait.

§.104.

On donnait tout le temps d’arriver à une solution, si ne l’attendait pas, ne la cherchait pas, on continuait à enchaîner sur (toutes les)autres actions.

§.105.

Bien sur j’aurais pu passer toute ma vie à argumenter mais l’art était là pour recueillir mes supplications, en ce qui concernait mon amour pour toi.

Je n’avais plus rien à ajouter.

§.106.

Tu me pardonneras cette impertinence si je t’avoue que le temps que prendra ta réflexion, il ne me gêne pas que tu gardes tes soirées solitaires. (Aucunes n’auront plus jamais le goût de celles passées en ta compagnie, c’est du passé, et sans avenir mais c’est comme cela !)

Comme balance pas –     -.

Ma famille qui me rend heureuse de savoir qu’on apporte chaque jour de ses expéditions de bête curieuse.

§.107.

1                                         -.

Préfère prendre pas le moindre de mes mots pour un peut être.

Qu’escompte-tu faire.

Relation ouverte. (Ouverte ? Ma porte, elle, est maintenant toujours fermée depuis ton départ : Et la mort seule sait quand elle se rouvrira à quelqu’un !)oh allez amuse toi un peu personne t’as mis au coin

§.108.

Si tu –      – vraiment dis le je m’en irais dans le cas contraire tu pourras y répondre qu’en ma présence.

Comme moi ai besoin de la tienne.

§.109.

Il fallait que j’arrête d’argumenter, sinon elle croirait que c’était là que mon seul plaisir se trouvait.

§.110.

Je lui avais envoyé une fille diviser en deux qui portait son nom. L’autre je l’avais gardé.

Nous étions à cette époque depuis trop longtemps séparés.

Elle avait pu prendre, elle, cette pièce qui portait le nom de son fils, comme le mien j’avais aimé.

Comme la mauvaise augure de ce que merveilleux j’en voulais.

§.111.

Personne ne peut jouer.

Imiter le chef.

Car personne ne peut commander.

§.112.

Il ne comprenait pas mes réflexions car j’étais tellement sure de notre relation, que mon langage était celui d’un couple après trente années alors que tout juste un moi venait de se passer.

§.113.

Je préférais qu’il continu à voir le psy, non pas que lui en et tant que tel (pas plus que moi) ne lui était même de si peu responsable.

Mais le mardi, mauvais planning c’est là que les décisions se prenaient.

§.114.

Je la connaissais elle reviendrait avant que je songe à la tromper.

D’autant qu’on trompait son compagnon de ne vivre vraiment sa propre vie. (Et comme cela on le perd de ne savoir ce que l’on trouve de l’avoir perdu !)

De ne pas connaître ce que l’amour (de soi) signifiait.

§.115.

Il était sincère.

Mais combien de temps le voudrait-il vraiment.

§.116.

Le pouvoir naturellement aux mains de ceux qui comprenaient et pouvaient utiliser et s’organiser autour des mots.

§.117.

Jouer sur la patience.

On avançait des choses.

Par habitude, par principe et on revenait dessus surpris par l’attitude de l’autre.

Pourtant il ne fallait pas appliquer des choses au-delà de sa propre conception de la douleur.

L’incompréhension suivie de la déconnexion à sa propre régularisation comme pour se mettre dans le même état que le terrain pour l’instant embrouillé de notre inspiration.(La rencontre à l’objet)

§.118.

L’épuisement était synonyme de paysage (Pays sage ?) car justement on était (nous étions) en vie et ce n’était pas au point mort que l’on restait l’esprit toujours l’eau suivait.

§.119.

L’art est un lien. L’émotionnel.

L’art est un lien amoureux.

L’art est un lien existentiel.

§.120.

L’artiste qui ne savait pas que, pour quelqu’un, à un moment donné pour quelqu’un la forme de son œuvre allait être prise tel un message.

La forme du travail allait faire à ce que le travail lui-même ne visait donc n’influençait pas.

Elle devenait l’appui d’un choix.

L’universelle émotion, essaie d’expression permettait ces raccords là.

§.121.

Parler du devin reviendrait à vouloir traduire une langue qu’on écouterait à longueur de journées sans jamais ne comprendre un seul des mots utilisés.

Les religieux s’amusaient.

(Avec les religieuses ? La bonne sœur ?A la bonne heure ?)

§.122.

Une vraie Maman.

Patiente mes moyens.

§.123.

La conscience des anciens.

Celle qu’ils ont décidée de nous léguer.

Ce qu’ils étaient ou durent être, où on en est.

§.124.

Elle disait des messages ou elle racontait ses recettes.

Elle criait que tout ceci n’avait pas vraiment d’importance.

Bien que ce poids tende à la faire crouler.

( Donc nos relations auront été inutiles puisque tu n’as pas compris qu’une importance n’est que relative à celle que philosophiquement nous lui donnons !)

§.125.

Conscience de l’humanité.

S’apercevoir du trou dans lequel, et par lequel les humains doivent communiquer.

Vers, eux, autres dimensions. La même chose doit se passer.

Mais que va-on découvrir ainsi que l’on est prolongement de nos corps au delà de mars ou jupiter.

( qu’est-ce qu’on en a à foutre nous sommes si bien sur terre !)

§.126.

Avoir sur soi.

Comme autant de choses qu’on peut voir fonctionner.

Accepter que sa vie : Qu’une addition, de ces performances, soit.

C’est à dire sentir les unités.

Ce qu’on en repousse et encore tout ce qu’il y en a.

§.127.

Laisser sa douleur s’exprimer.

Que laisser le temps de la soulager.

J’avais peur de l’insécurité pour son avant.

La pire des morts était de devenir frileux.

§.128.

Déjà vivre avec moi supposait d’accepter les conditions dans lesquelles j’avais décidé de vivre.

L’aimer c’était d’accepter les siennes et non pas comme des attentats à la mienne.

§.129.

Elle savait que c’était elle.

Elle a décroché puis sans rien dire raccrocher.

L’autre et toute contente de l’avoir eu au téléphone.

Le silence est parfois d’or.

Pas conne.

Et si demain elle ne raccrocherai, la deuxième raconterait sa journée.

Elle n’avait pas parler.

On ne parlait jamais dans le vide.

Elle n’avait peur de rien.

§.130.

Elle savait que si je montrais que je n’étais pas sûr de l ‘amour qu’elle me portait c’est que je ne savais pas réellement sur quoi le mien reposait.

§.131.

  1. On ira vivre là-bas ?
  2. Oui.
  3. Tu me le jures ?
  4. OUI, on va y aller.
  5. Mais ! Moi je ne veux pas !

Connasse de bonne femme, va !

§.132.

J’attends le jour ou pour la vingt-cinquième fois, elle me dirait : Je te quitte et de pouvoir lui répondre ne fais pas chier, en souriant de savoir que je n’aurais pas à en trembler.

Le jour où elle se rendra compte de l’absence qu’elle est.

§.133.

Avoir rendez-vous avec mon amour depuis le premier jour ou je vis. (Tu le vis ? Et tu l’as vu ?)

Ma destinée.

Bien sûr puisque je lui donne ma vie.

§.134.

Etre préparé, être prêt à sentir la chance.

§.135.

Toute ma vie.

Serais-je à la hauteur de ce que, (gens) j’en dis.

Pas grand-chose.

Mais être à toi.

Etait toujours cela de pris.

Ça lot pris. (péri).

§.136.

Que se passe-t-il vraiment.

La réalité de tout pouvoir changer

Celle que tant demande à l’être.

§.137.

Les enfants agissent avec la foi cent / cent de connaître l’histoire des parents alors que cette histoire bien sûr leur échappe quasi, complètement.

Comme les autres histoires qu’ils raconteront après mais en étant plus conscients !

§.138.

Je voulais que tu me dises que tu m’aimes.

Je pourrais vivre le : Rien ! Pour toi sans en devenir malade. (Parfait ! Nous vivrons donc, chacun de notre côté, la même chose !)

Tu m’aimes alors.

Faisons en sorte que soit plus performant nos lendemains.

Continuer étant son bien.

Et si tu pars pourtant surtout mon amour n’en dit rien.

§.139

La jalousie.

L’amour est ce pour quoi on a plus rien à foutre.

L’amour est ce pour qui résume et reprend et assoie tous nos bonheurs.

Plus d’échecs ou peur d’échouer avec celui ci.

Il ne peut être repris  mais on peut le croire ainsi.

La haine, (Tiens ? Tu connais aussi ?) La violence qui se dégage quand on voit que l’amour réside dans un seul et  même abruti.

§.140.

Bien que sans notre forme humaine, l’expérience entre unité, dont on dit (nous disons, ou, il est dit) qu’elle est la mais bien qu’on ne la connaisse totalement et qu’elle change et elle vieillit, se vit.

Être amoureux, être pour, dans, un autre, nous rend humain, nous prouve à longueur de temps que l’être, tout être dans leur nature (et donc entre temps) peuvent réaliser ce , nos, miracles-ci.

§.141.

Je n’ose écrire sur des sujets car je pars d’un principe et d’essayer de l’expliquer en dégage une dizaine d’autres qui jusque là ne s’étaient montrés.

Par quel bout ?

Impression de ne pas maîtriser, alors qu’on ne sait faire quelque chose.

§.142.

Le flou lui de ce qu’on ne connaît de son besoin de développement.

§.143.

La désespérance.

La violence de ne pouvoir rien faire.

La puissance, la contenance, la sagesse qu’amène de se dire qu’exister et bouger permettent aux éléments de futurement

Etre de soi.

Le saint esprit.

§.144.

Chercher.

Tout le temps chercher.

Et toujours sans me trouver.

Rester à sa recherche la plus constructive du moment sachant que l’on faisait (nous faisions) avancer comme cela le prochain sujet qui se poserait à nous.

Avancer au plus la dextérité dur un point est l’avancer tout simplement.

Tout bonnement.

§.145.

Je racontais ( Des conneries comme d’hab.) de mon mari un de ces travers dont-il ne se rend pas compte, qu’il a.

Il se vexe que je trahisse ses secrets comme cela.

En présence de ma mère, heureusement je pense à rajouter, mais ne  fais pas la gueule elle est comme toi.

§.146.

Il ne devait pas considérer cette chance comme un absolu car que dire de celle que je n’avais prise.

Mais de ne prouver que je peux vivre le bonheur absolu de ma relative.

§.147.

C’est de pouvoir croire avoir tout, que tout permet.

( Et que l’on perd le plus important et garde le futile).

§.148.

Elle me jouait ces petits tours.

Mais je ne les avais compris, elle, ne m’aurait pas pris.

J’étais morose, (maux rose mot rose) d’y penser.

§.149.

Et des miens troisième degré, elle n’avait qu’à y songer.

§.150.

Parler au féminin.

Parler au masculin.

Me permettait de prendre de la distance et de la choisir selon les cas.

Dépendait comment je me sentais l’un et l’autre pouvait n’en ra ou dé reprocher. (Eloignée ? Donc maintenant de façon définitive. Le pain® anglais te bourrant Harry étant une fois de trop, la fois fatale. Tu sais bien l’amour cela ne plaisante pas ! Et tu as fait ton choix.) D.PF.

{Un Noble et une roturière cela durera te temps que cela durera :  Tu en retrouveras un autre dans ton AVENIR.

LE ? NOTRE, PASSE ? : Tu l’as effacé.

Tu sais bien il n’y a que les imbéciles qui ne reviennent pas sur leurs décisions.

Entre cocu, cornard et connard tu m’as fait choisir.

Je me sens mieux au troisième adjectif.}

(D. A.).D.PF.

§.152.

C’était obligé quelqu’un les avaient déjà écrits, c’était tellement simple ce que j’écrivais.

Tant pis pour ma part c’était la première fois que je le vivais et la suite des mots aussi pleinement que ça venait.

Et le resterait.

§.153.

La faiblesse qu’elle me confiait.

Celle qu’on arrivait à ce qu’elle vienne au creux de moi.

Car non elle à quoi mes forces serviraient de levier.

On pouvait avoir un enfant et –      -.

Il suffisait d’avoir à trois a partager en quatre.

La solution de Salomon résidait en ceci.

Ceux-ci.

Tseu-ci.

§.154.

Il l’avait dénoncé à sa mère, prenant comme opportunité de l’avoir vu parler à quelqu’un dont il pouvait dire qu’il ne faisait pas toutes choses en toute légalité.  Simplement pour inciter la mère à cracher ce qu’elle savait pour à d’autre mieux placé pouvoir reprocher.

§.155.

Aujourd’hui j’avais du écrire huit lignes sur le sujet à rendre ? l’élaboration entrecoupé sur tout le long à chaque entre deux pensées, précédées, suivant ou suivies d’autres traiter ou cernant dans tout ce que mon corps arrivait, parvenait à mobiliser.

La mort était à la vie ce que je devais laisser.

§.156.

Apprendre une langue nous apprenait que l’entrée en d’autres civilisations sans la leur nous était quasi interdit.

Alors connaître un peu des autres cultures, tout en ne pouvant écrire jamais que dans un seul langage nous expliquions combien le plus grand essai de tout restait petit.

§.157.

Tu ne fais plus ce que tu faisais auparavant.

Maintenant tu connais mes goûts, et suis libre de ne pas les suivre tout le temps. Ne pas m’enfermer dedans et puis rien d’autre que toi (donc aller à l’essentiel de ma santé le plus directement.) Me donne l’envie toi, crûment (entièrement nu.)

(Sans doute mais vu les dernières cela ne sera personne.

Pas même celle qui à truquées, biseautées, toutes les cartes.

J’ai bien écris : PERSONNE, en ce qui me concerne en tous cas. D’autant plus que ? Entièrement nu, tu m’a vu et donc tu me connais.) D.PF.

§.158.

Elle me parlait de son ancien amour comme preuve de son défaut. Elle était trop au désespoir pour s’apercevoir qu’un ancien amour pouvait reprendre à tout moment.

Il me fallait la garder était ce qui en moi pressait et que notre union, des fêtes est.

Que sa constante victoire je vois et puisse lui montrer.

Tu fais ton bonheur et moi de le respirer.

§.159.

Vérification. Régularité.

Prendre tout en compte c’est s’apercevoir.

Que ici un élément manquait car en un autre endroit en trop il était.

Rien qui n’ait été oublié !

Je lui demanderais, un jour je ne sais pas quand.

Pourquoi ? : Il y a de préférable moment !

Réponse. Comment.

§.160.

Jusqu’à la fin tu (je) resteras (rais) amoureux de la femme, des feintes.

Mais n’oublie pas de donner une chance à quelqu’un d’être amoureux de toi.

Ne serait-ce que pour que tous en fait comprenne qu’est toujours vivant Papa donc avec lui vivant pouvoir toujours être là.

défeintes des feintes.

§.161.

Peuh ! Tu n’as toujours pas compris que je te respecte pauvre con.

§.162.

Je ne conduisais pas dangereusement à part quand j’étais ou me sentais seul. (Mais on est très bien seul sans contradictrice [eur].)

Avoir à craindre le système, la mort qui guette.

§.163.

Régler ses problèmes au jour le jour.

Affronter.

Et le lendemain ne plus avoir besoin de personne.

§.164.

C’est avec mon amour que je découvrirais que tous , même ceux que je considérais comme une catastrophe l’avait été ?

§.165.  

Il ne fallait pas rechercher la pression.

Les autres nous représentaient et si nous étions énervés, être face aux autres était comme être face à nous-même. Notre état d’énervement nous confier, nous montrer, nous prouver, prendre en considération, nous méritions.

§.166.

Être avec elle.

Pouvoir tout lui donner.

Faire ce que je fasse soit digne de cela.

Que tout ce que j’approche (dans nos manière de l’approcher puisse à cet emblème de ce que je choisis[choisir de tout avec partager])

Tout lui avouer.

A vouer.

A vous et.

Avoue, est.

§.167.

Le drame de la vie.

C’est de savoir conquérir sa paix en pratiquant son mode d’intellectualisation à longueur de journée de savoir conquérir sa paix en pratiquant son mode de corporatisation (corporation) à longueur de journée entre le corps et celle des infos du passé sur domaine moins contenant mais contenu.

Le drame ne pouvoir faire les deux et vient de là notre faillibilité.

Et ainsi plus qu’une seule issue celle qui les joints de la spiritualité.

La spiritualité pourtant nous laisse mortel mais la connaissance ou moins de savoir qu’on ne sait ce que c’est et donc dans sa vie ne pas la désirer ( = la redouter si ce n’est pas à ce qu’on estime être à son compte du, son énergie aille s’exercer.

Ainsi donc la laisser aller et s’apercevoir que dans ces conditions c’est sur quelque chose de toujours plus grand, loin et néanmoins rattachant qu’elle va se tourner, sans espacer (et avec sentiment de resserrement puisque à aller plus en avant permet à des éléments de se reconnaître mieux [ avec le nouveau] et donc mieux se coordonner avec ce qu’il y a de pré enregistré.)

§.169.

On s’entraînait (nous nous entraînions) à se (nous) battre, évitant de se (nous) castagner.

C’était quelqu’un, je revivais ces émotions que je comprenais que celles-là même témoignait de ses essaies à ce que nous, nous confondions émotions et liens profonds.

§.170.

Souffrir ne savoir plus.

Parce que justement la souffrance n’était de ne plus pouvoir savoir.

Car si je me disais connaître le sens de ses paroles, pour n’y asseoir et m’apercevoir qu’elle pouvait prendre un autre sens plus tard.

Barre – barre.

§.171.

Il me donnait des signes d’abandon idéal mais se méfiait à chacune de mes rebuffades.

C’est pour ça, je n’avais pas l’air malin.

Pourtant ma rébellion participait aussi à mon amour pour lui sans condition.

TOTAL.

§.172.

La société de loisirs, était pouvoir être heureux par soi même en plus d’en soi même.

Se découvrir et la liberté de ceux-là ouvrir.

§.173.

Ce que cela me rappelait restait flou.

Mon patrimoine de vie.

Ne pouvant m’apporter ce qu’y était pourtant stocker.

Qu’est-ce que notre passé ?

Patrimoine génétique et tous les éléments qui composaient notre environnement ainsi devant à l’endormissement de ne pas s’en savoir s’activer, qui à la mort nous conduisaient.

La mort symbolisée par des éléments actifs à reconsidérer.

§.174.

User un outil.

S’user sur un outil.

C’est analyser qu’est-ce que pouvoir, de notre utilisation ou utilité il faut qu’il soit construit.

§.175.

La recherche de la mort.

Quelle est sa programmation ?

Calcul du point de non-retour.

§.176.

Séparation des sexes.

Vivre des relations d’amours. (Platoniques choisit) (Et puis quoi encore ?)

Sans avoir à subir les pressions sensuelles autour puisque des nommer, la chose était interdite.

§.177.

Ou pécher pour se voir, sentir qui on allait pécher, faire le salaud sans se rendre compte qu’on le faisait qu’après.

Ou repêcher pour que le coup cette fois nous anesthésiste et qu’on ne voie que cela.

§.178.

Mes abus me rappelant qu’il fallait compenser par des diètes nous permettant d’avancer tout en permettant d’écluser le trop amassé.

§.179.

Comme à son boulot de huit heures à dix-neuf heures il l’insultait consciencieusement.

§.180.

Comme le boulot.

Je ne disais pas cela négativement.

J’en référais à elle comme à mon chef, notre contrat était d’être libre intimement.

Ou de s’avérer ainsi, se permettait comme ça, de n’être détournable.

Qu’est-ce qui allait mieux que cela ?

Que pouvait-il aller plus sûrement ?

Qu’est-ce qu’un être d’autre avait à offrir que sa stabilité ?

Je t’aimais toujours jusqu’à crever.

Ce n’était jamais des moments « bandant » à passer.

On savait pourquoi on le faisait.

Pour pouvoir infiniment aimer.

Se nourrir d’échouer.

Et nous restait la fureur de tous les soirs mieux l’embrasser.

§.181.

La baleine de Pinocchio une image de notre intestin.

Qui ne s’est levé dans le voir pour boire et devoir trier avec la langue, le palais et les dents les insectes tombés dedans.

La baleine ou ce qu’on ne peut digérer bizarrement. (de parapluie, tu as essayé ?)

C’est en l’entendant dire qu’elle lisait Le rouge et le noir (Stendal) en une journée de quinze heures, que j’osais ne pas lire d’une –      – tous les mots qui s’y trouvaient en train de les décortiquer.

§.182.

Je ne mettais donc plus trois semaines.

Comme tout on pouvait par nécessité, ou par choix, lire un livre en diagonale.

Comme ça aussi elle m’avait dépucelé.

Car lire une œuvre ainsi n’était pas moins là ou bien se respecter.

Avoir été trop religieux sur certain point on en oublie ce qui est à coté.

§.183.

Me mode. De la chine, rapide, en diagonale, s’arrêter quand on comprend qu’on ne comprend plus.

§.184.

Elle exprimait sa souffrance. Je devais comprendre que l’aveuglait celle-ci et qu’elle ne s’apercevait que je doutais de moi gravement.

Que par conséquent son amour m’échappait.

Je ne pensais pas elle réfléchit mais elle m’abandonne simplement.

§.185.

Les gens aux têtes veinés.

Les gens à grosses têtes, plus petit déjeuner.

Ma régularité faisait qu’à tout moment elle pouvait choisir de m’attendre, ou de : M’accompagner.

De m’emmener.

De m’indiquer.

Elle savait.

Me trouver.

Ou nous nous trouvions.

Notre secret qui entre nous rien ne cachait.

§.186.

Il y a une chose que je faisais et qu’elle n’acceptait pas, vu que cela la mettait dans tous ces états je ne le faisais pas !

Quand elle était là.

Quand elle arrivait et qu’elle trouvait la chose, elle hurlait et m’insultait.

Non pas pour le fait mais moi qui pouvait entendre et non pas voir son arrivée, j’étais prévenu et m’abstenais de le faire ce temps là.

§.187.

Une présentation et l’art de pouvoir replacer dans le contexte et apprendre, et lister ce que du contexte précédent, quelles leçons, analyses, réflexions, on peut en tirer.

Qu’est-il avancé d’un sujet, dans ce qu’on en décrit qu’il est mais comment auparavant on se fait une idée des limites de comment cela doit révolter.

Quelles sont les propriétés dont on l’a attribué.

Préalablement.

§.188.

Prendre du temps.

Labeur.

Et finir par accomplir quelque chose de lourd.

Vite fait.

Comme l’athlète qui porte l’insoulevable comme une plume et ainsi sa force conservée.

§.189.

Le travail de réécriture et celui de la relecture était différent bien qu’en les alternants un texte était modifiable inévitablement.

§.190.

Plus on avançait vers là où elle serait soulagé de me voir arriver, avancer vers l’une des raisons de mon existence à ses yeux que devenait  non plus ridicule, mais naïve, héroïque et sentie ma fidélité.

§.191.

Admettre que les gens pouvaient n’avoir rien à foutre de mes textes. Enfin comprendre qu’heureusement ils réfléchissaient à d’autres sujets, comme heureusement je pouvais réfléchir aux sujets que je, et qui m’étaient exposés.

§.192.

Elle me fuyait comme si j’étais quelqu’un de dangereux. Cela m’horrifiait.

La différence c’est que devant la glace c’est moi qui face au monstre me retrouvait.

Allais-je devoir finir comme un vampire, m’imaginer sans reflet.

§.193.

L’étranger insulté.

L’étranger portant tout l’inconnu, l’inavouable.

L’étranger. La mort.

L’étranger. La maladie.

l’étrange? qui suit.

et fuit.

héros et épopée.

§.194. (encadré)

Le devoir d’apprentissage.

Analyser le genre de l’autre pour pouvoir le conseiller.

Intégrer ses erreurs pour pouvoir remonter jusqu’au cause et savoir quoi en dire pour qu’elle puisse s’arrêter.

§.195. (encadré)

Donc porter un problème qu’on sait localiser à ce qu’on l’a vu sur quelqu’un se manifester.

Savoir quelle geste nous soulagerait  puisqu’on s’est analysé auparavant.

Comment notre bon état lui se pouvait.

§.196. (encadré)

Faire un geste c’est aussi faire le geste que l’autre devait faire pour nous ou pour lui-même soulager.

Puisque le corps, le sien comme celui de l’autre doit pouvoir se sentir (car telle est le propre de la sensation – va et vient et aussi plus tard intervenir , analyser différemment.

Amélioration d’un point capable de remonter jusqu’au très fond de ce qui n’est encore soupçonné par rien.

§.197.

Apprentissage.

Ces gestes qu’il a regardé une fois de moi et qu’il fait et continue à leur trouver des fusions et utilités sont et continue.

Rencontre.

La rencontre ne s’arrête pas à ce qu’on a vu qu’on s’était partagé, échangé (Ce qui s’était ou non passé) mais les éléments continuant inévitablement à circuler ; donc ces instants à vivre et être porté, transformé en chacun.

La voix et ce qu’on ne voit que notre chemin d’or par nos pires difficultés (un travail qui se fait) aussi, tout autant au plus par elle créée.

§.198.

Je m’arrêterais d’écrire.

Quand je ne pourrais plus le caresser.

Mais si ne plus écrire : De moi-même me dégoûter.

§.199.

Il dit que cet argument ne marche pas.

Mais pourquoi alors l’autre l’emploi.

Qu’est-ce que cela cache comme propagande ?

Qu’est-ce que la propagande cache de ce que le système lui-même comme fléau engendre ?

§.200.

Haut respect et rituel envers le mort.

Car ce qui ne le respectait pas avait été la mort.

Symbole de l’extérieur incontrôlable, la pire des bêtes.

§.201.

Contrairement à ce que j’en pensais au premier abord ce n’était pas des signes qui avaient fait que les choses se passent mais simplement qu’elles se passent comme cela. Des éléments qui me permirent une plus grande finesse dans mes desseins sur des choses qui se seraient réaliser ou pas.

Tout ce que je sais c’est de les avoir aborder avec en tête un nouveau refrain.

§.202.

Je prétendais connaître son état d’esprit en regardant la lune.

Facile (ou pas) mais c’est quand elle n’était pas là que je me servais de cette science là.

Et toujours pouvoir dire que son humeur dépendait, mais ne  reflétait pas ce qu’elle en répercutait sur moi.

§.203.

Réconciliation et conflit = pression.

Amené à une autre, avoir plusieurs appréhension de la réalité.

On  ne peut dire que cela m’aura servi.

§.204.

Les réponses soulignaient ce que l’on ne s’avouait.

§.205.

Peu importait la vilainie puisqu’en nous tout se soignait.

§.206.

Il me fallait admettre que pour quelqu’un d’autre que moi il pouvait chercher pour me voir moi-même sans lui me retrouver.

§.207.

Mes vêtements prenaient moins d’importance à mesure que mon corps était l’objet.

La fierté est l’art de montrer tout ce que l’art nous a amené.

§.208.

La rencontre.

Ce que représentent les choses pour nous et ce qu’on fait (nous faisions) pour se séparer de l’image pour mieux épouser l’essence qui a tout.

§.209.

Créer une société plus resserrer ou on se préoccupe (nous nous préoccupons) plus des besoins, voilà à partir de nous-mêmes ou on s’occupe (nous nous occupons abrutie) à quoi sert (servent) les associabliltés (les associations.)

[Quatre fautes de pur français en une phrase il faut le faire.)

Analyser. Problème et flexibilité, recherche sur le système entier pour pouvoir réellement y remédier.

§.210.

Les enfants me rappellent que tu étais là que j’y suis encore.

§.211.

Puisque le groupe nous apportait sentiment de sécurité, on lui pardonnait (nous lui pardonnions) tous les défauts qu’il avait.

Sentir qu’on avait par ces éléments imbriqués, sclérosés quand même la peine évitée d’avoir à tenir compte et supporter tous les dangers qui pourtant dehors courraient.

§.212.

Remettre l’énergie dans le système de n’avoir plus qu’à se battre comme être happer par le trou de la mort.

Ce trou responsable de toutes les folies.

Toute vie prodiguait par cette intermédiaire de s’occuper de tout en se souciant de lui.

Mon corps s’abîmant.

Qu’est-ce que tu pourras continuer à jouir de lui ?

Pour toi toute ma dévotion.

(Dieu sait combien tu t’es moquée de celui qui tant t’aimait.)

Savoir cela n’était valable que si j’étais capable de me la dédier aussi.

Situ décide d’être là. Tout de moi tu pourras disposer comme abri mais (puisque je te donne tout c’est qu’auparavant à tous je me suis donné aussi)

(Et bien ! Tu peux tout garder là où tu es, il ne me restera qu’à te réexpédier tes défroques.)

Si tu pars rien ne sera perdu, d’avoir tout donné on sait(nous savons) que sont là prête à en nous venir si loger, nos meilleures sensations de la vie. (Rêve !)

Activité en solitaire.

Permet aux rythmes de ce qu’elle nous apprend de repenser tout autre élément.

§.212.

Ce n’est pour moi que :

Tu l’as écris.

Ce drame de la vie, n’aimer qu’elle.

Le drame du poète, elle ne l’ayant pas compris.

§.213.

Tomber en admiration.

Se donner une idée de ce que son esprit se donnerait comme mission de ne pas lâcher.

Se hisser. (Tu parles et écrit et tout a été fait ? : Pour rien !)

§.214.

La lune était le symbole du soleil continuant à briller, quoi qu’il en paraît. (paraissait)

m

§.215.

Après cette promesse d’histoire d’amour

(Et de prévision de  cocufiage à contrer ?)

Je prendrais un garde à la Rosico-Freddy.

Pour baiser le plan cul qui la suivrait.

(Tu sais maintenant ou cela mène : A rien !)

Polonaise :              Réponse anticipée à chair.

§.216.

J’écoutais les disques de l’autre.

Pour savoir ce qui se passe (passais) en elle.

Tout ce que moi je ne connais.

De m’abrutir sur d’autres thèmes ou d’autres injures.

§.217.

La lune associée au promeneur solitaire.

Qui pense à l’autre ?

Comme elle est son phare !

(Une putain poète on aura tout vu !)

Celui qui de la nuit n’a plus que la lune à fidèlement rencontré.

A l’astre il se consacre.

§.218.

Différence entre silence.

Et autour de moi je fis taire.

Airé.

Tout                                Terre.

Commentaire.

co ment taire

§.219.

J’étais tellement en colère de la manière dont on le traitait.

Je ne sais pas ce qu’il m’a pris.

Et j’ai fait n’importe quoi. (Ouais ça tu peux le dire !)

§.220.

Il était comme en moi.

Et je parlais pour moi comme je parlais pour lui.

D’où d’énormes occasions de contresens.

Tellement de trucs qu’on était mal pris.

C’est pour cela que notre complicité pouvait me donner d’inimitable coup de main.

§.221.

La femme du taulard.

C’est si vous serviez que cela vous ferait rigoler.

§.222.

Il fallait que cesse ma propre névrose on pouvait penser à ces morts comme de ne pas y penser.

(En radio la névrose ils ne sont pas encore guérit !)

§.223.

Problème de digestion.

Non pas du à ce qu’on mange à cent pour cent mais quoi qu’on mange si pas activité et projet; pour que se faire se fait, impossibilité que soit évacué.

(Jamais entendu parler de malversation en vomitif par des salopes de pharmacien et médecin par hasard !)

§.224.

Elle attendait que je lui dise je t’aime alors que depuis des années maintenant tous mes souffles s’élevaient vers elle.

(Pour ce qui en a été fait !)

S’élevait. Prenait conscience de leur son, du passage qu’ils étaient, faisaient.

§.225.

Je suis folle amoureuse de lui. (Folle ça c’est sur.)

Et je n’ai pas l’habitude de perdre la tête.

DURABILITE.

Le propre du couple devenir l’esprit de l’autre, savoir ce qui s’y nichait comme vivre avec découvrir et le monde invisible que chaque esprit révélait.

§.226.

Cette chose complètement surnaturelle c’est que tu me connaissais, tu savais comment sur ce sujet les choses allaient s’enchaîner jusqu’à cette date où puisque toi aussi tu te connaissais à faire les mêmes choses aux même moments ou toutes sortent de coïncidences, de chocs des forces dites inexpliqués.

§.227.

Je m’étais moi-même fourvoyer dans ce que je voulais dure par « je ne suis rien sans lui » Je le sentais, représentais sincèrement, profondément comme tel.

Mais ce n’était pas à l’individu en tant que tel.

Il ne pouvait plus en être ainsi si la personne me quittait contrairement à ce que j’en avais tellement, fortement supposé que ce soit ce que j’aurais vécu.

Puisque m’interdisant d’autres amours, puisqu’en incapacité de m’imaginer d’amour, et d’amour à moi-même plus fort que celui là.

Il fallait réaliser ses projets pour s’apercevoir de ce qui avait été au-delà.

Vouloir aller au-delà puisque c’est le dosage ne connaître pas, pourtant les meilleurs ingrédients se récoltant de celui-là.

Je ne serai rien sans lui ne pourrait dépendre de lui car c’était ma conception du couper qui était là et en passant par la conception de moi et de ce que ce socle quotidien pouvait supposer.

Ce que pour l’autre j’avais compris qu’il pouvait exister = indissociable de ce que je peux engendrer quels pouvoirs.

§.228.

Cette force qui se jouait dans le couple rappelait que le monde des esprits au monde de la matière était aussi présent, aussi épais.

D’où la question du passé, présent, futur puisque l’esprit s’y promenait, c’est que la matière elle-même faisait.

Ce semblant d’enchaînement, à quoi tous nos souvenirs.

En tout cas dans leur démonstration de bêtise, chagrins, revendiqués les vieux disaient aux jeunes souvenez-vous d’avoir été enfant, souvenez-vous que nous le sommes restés (maintenant et pour tous ce qui avant c’est passé.)

§.229.

Je prenais la voix de sa grand’mère. Je m’étais tellement mis à la place de ceux qui l’entouraient  pour pouvoir la comprendre et savoir la conseiller.

Qu’eux-mêmes en moi (par l’intermédiaire de ce que de leur présence elle faisait que ressortait) s’agitaient !

Ces moments où je disais ce que je comptais dire mais qu’un simple mot changeant donnait une double signification à la phrase prononcée (Si encore celle pré conçue avait une place – OUI pour ceux qui ne connaissaient l’histoire de fond.)

Ces moments où une attitude sortait de moi.

De ne l’être jamais comme auparavant comme de l’avoir conduit jusque là. (Conduire ? Reconduire ? Econduire ! .)

§.230.

Reconduire.

S’exclure.

Se mettre à part.

Se reconduire comme cela.

Amener.

Raccompagner.

Conduit d’oreille. (Aucun rapport.)

S’écouler.

§.231.

Le devoir de mémoire.

C’est pour comprendre en avançant, prenant ainsi du recul, ce qui se passa.

Pas de présent, de passé, de futur.

Puisqu’ils s’expliquent et se réusitent ; A mesure poussent les trois.

§.232. (encadré)

Notre poids, tente de se stabiliser.

Difficulté d’une conscience d’unité de son propre corps car ses différents points en relation, accrochés à différents problèmes de l’extérieur sur lesquels son poids va donc transiter.

§.233.

Il faut pour ne plus tenir en cette situation.

Résister à la tentation c’était m’accorder le droit d’être à l’origine de quelque chose qui s’améliorait.

Bien que j’aie un amour indéfaillible (infaillible ou indéflectible.) En ma moitié. Cela voulait simplement dire qu’à autre chose elle était occupée même si nous nous préoccupions de la même chose nous étions à être justement pour nous permettre de voir les choses sans différents aspects et de nous accorder après d’englober.

§.234.

Souvent on se refusait de faire quelque chose de bien car le soulagement serait si fort qu’on en gerberait le mal qu’on ignorait puisque dans nos tissus même, faisant semblant d’être –     -.

§.235.

Il pensait ses comportements et que sa pensée était dédiée à faire sortir l’humilité toute humilité de l’enfouissement.

§.236.

T’as pas peur (tu n’as pas) qu’un jour j’arrive en disant.

C’était moi.

Je n’en faisais rien n’étant pas sûre de ça. (cela.)

§.237.

Je gardais ces vêtements exprès, ces vêtements qui faisaient, qui me permettaient de pratiquer mon métier.

(Mon amour tu avais tout compris ?)

Ce temps qu’il fallait dédier à ça. (Cela ! Encore et toujours les mêmes fautes, exprès, car tu es plus forte que tu ne le montre dans ces textes.)

Revoir les gens les choses.

Revoir le chemin.

Resservir le chemin la voie est claire. Tous temps.

§.238.

On dansait sans retenu avoir un enfant.

On ne se posait pas la question m’abandonnera-t-il, que ferais-je le jour ou il mourra (devrais-je mourir ou comment vivre après cela.) (VIE ta jeunesse la mienne se passe.)

Ou un enfant naturellement devait par bonheur dépasser nos pas, sans qu’on ai à se soucier de ce qui se passera.

§.239.

La génération du temps donné à, occuper, se demander qu’est-ce que cela avait été d’être de la génération qui précédait.

(C’est refuser l’évolution et nier les différences primordiales : Les différences d’entraînement et d’endurcissement résultant des modes d’existences alimentaires et misent en conditions des différentes époques.)

§.240.

Elle l’aimait comme c’est pas (ce n’est pas) permis.

Et pourtant elle était obligée de le prendre pour un abruti tant qu’elle ne comprenait pas pourquoi il avait fais cela.

Le chemin de croix est celui du pardon. (Ben voyons)

Connaître la misère et la guérir car ne la détestant pas.

§.241.

Se tromper était monnaie courante. Puisqu’on ne choisissait.

§.242.

Je décidais que ma théorie sur ne pas avoir d’enfant était idiote car la terre était surpeuplée.

Qu’à condition que ses ressources soient mal utilisées ?

Le problème resterait inchangé il était dans la qualité de notre vie et non en quantité.

Les enfants de demain apprendraient du surlendemain et ça (cela) aucun vieux ne pouvait en juger. (Là ! Je suis philosophiquement d’accord.)

Cela que l’avenir nouveau-né.

§.243.

On me prend du temps.

Mais réfléchit à savoir ne s’y dissiper.

Quel que soit qu’il est à nous présenter !

§.244.

Elle savait qu’il n’était pas qu’une mauviette mais que quoi qu’ils paraissent sur le coup.

(Alors à ne pas traiter comme tel sinon : Pas de pardon.)

Je savais que le matin tout en pensant à moi son corps se réveillait.

Je sentais en moi tout les muscles qu’elles bougeait s’étirer.

§.245.

J’écris.

Comme elle se tient à mes côtés !

D’avoir laisser un vide.

Ou d’être aller le nécessaire chercher.

§.246.

Il était si raffariné. (Tu ne veux pas dire raffiné par hasard ?)

§.247.

Elle m’aimait. Je n’étais pas fou.

Du moins me l’avait-elle dit.

§.248.

Je t’aime :

:

:

:Bien.

(Oui je l’ai dit à CAROLINE : En dehors de tout jeu de rôle que je continue à nier.)

§.249.

Dans cette raison où le vent s’engouffrait quand on avait froid c’était comme si on au lieu de la mer ou s’était pas perché.

Romance.

Comme au milieu, de tout élément, que l’on sent.

On est alors certifié comme acteur de vie.

§.250. (encadré)

Comme l’équilibré s’ancre dans le sol.

Mais peut du corps en relation avec la structure et les articulations de –      – ou de tout support sur lequel   – – – -.

§.251.

C’est parce que pensant à moi que mon corps prenait forme et atteignait, plaisait, parlait en bien voulant.

§.252.

Le pécher est une énumération, rénovation de la réalité.

Qu’est-ce que cela peut donc produire ?

In convenant, re perversion après tout il faut recommencer autant de fois, pour qu’il y soit, le déclin de ce geste :

Ne fait ça plus ça plus ça. (cela)

 Raison de plus. Répercutions illimitées.

§.253. (encadré)

Les signes qu’on cherche. (Nous cherchons.)

Ne fais pas penser plus longuement ç une situation que l’on ne détient pas.

Les signes sont là pour justifier des choix d’un comportement et se dire c’est parce que j’ai fait ça (cela), c’est à dire d’éviter de se demander qu’est-ce qui aurait eût lieu si pas les signes c’est mettre du poids, de l’ –  – extérieur à nos décisions ou visions personnelles.

§.254.

Le couple pour déposer quelque chose en toi.

§.255.

Accros à ton répondeur.

La cabine pourtant me disait de décrocher.

§.256.

L’interdiction de l’homosexualité prodiguait aux hommes le sentiment de savoir se dominer = disposer de leur sexualité.

Comme attirant quand cela les arrangeaient sans devoir en attirer la violence d’être un objet désiré.

(Tu rêve tout debout comme une nymphomane frustrée.)

§.257.

Variation de poids.

Avoir du pain sur la planche.

§.258.

On passait tellement de temps sur ces sujets qu’on savait se faire comprendre.

Etre clair car sinon que devenaient nos vies.

§.259.

C’est parce que l’intelligence était pris comme un don et non un temps que l’on investi, qu’elle soit minorée tout comme le débile n’était considéré ainsi parce que le temps qu’il passait à réfléchir sur les choses n’était comptabiliser et compris.

§.260.

J’ai tellement crû pouvoir vivre le grand amour que j’ai pu me niquer toute seule dans cette histoire. (N’existe pas.)

Besoin de personne. Comme avant ! (Déjà plus intelligent.)

§.261.

Les gens à qui j’offre ma vie ne la veule pas.

Les gens à qui je n’offre pas ma vie ne me veulent pas.

Les histoires de sexe sont des histoires d’amour.

(Même pas : Des histoires : Tout court.

Tu fais comme tout le monde tu t’en raconte trop.

Moi aussi avec toi j’y ai cru, mais pas longtemps.

Douche écossaise ?

Elle ira se faire foutre comme les autres. L’écossaise.)

§.262.

Simplement que dans un couple aux activités différentes on a toujours partagé ça.

Il n’y a que le cul, s’explique comme cela.

(Donc pas de cul : Pas de couple, il n’a pas donc existé !)

§.263.

Dans tous mes écarts de comportement. Dans tout mes généralismes et laissez aller . je pouvais dire. Je me suis suicidé. ( ! Tu parle de ta collection : d’Amants. Il était le problème, justement !)

§.264.

Ce n’est pas elle qui avait le pouvoir de me dire si notre histoire était finie ou pas (elle n’a jamais commencé) pour moi. (Une simple association professionnelle d’activité c’est tout ce que cela à été, j’ai repris tes propres termes.)

Il fallait qu’autre chose dans ma vie la remplaçante.

§.265.

L’équilibre de vie.

Equilibrer ses plaisirs (donné par l’objet qui se réalise) qu’on abuse de l’un sachant sinon que assez de place à l’autre ne sera donner ?

§.266. ( page 375.)

Nos ripostes.

De mes anciennes trop grandes prises de liberté de ce que cela nous avait value de nous jacter.

Il reste maintenant un vide, une place ce silence dont on sait quoi il est en train de démêler.

La connaissance de soi de l’avoir chercher par l’autre, exposer à l’autre permet de nous-mêmes nous regarder.

Et prendre en compte.

§.267.

Avoir un amour c’est devoir se rendre compte de sa singularité.

D’aimer les stratégies que l’on doit appliquer pour vivre jusqu’à 80 ans en bonne santé.

S’occuper des affaires que le quotidien_peut_amener.

§.268.

Pour elles mes intuitions, les signes toutes ces théories dont je n’étais entouré jusque là disparaissait.

Pour elle il n’y avait plus qu’une seule règle ; Tout donner.

Tout vouloir.

Tout admettre.

Tout tenter.

§.269.

Pendant deux semaines j’avais pu trouver des prétextes pour lui laisser des messages sur le répondeur.

C’était la première fois où je me tairais.

Ou je me taisais sans avoir l’impression de me terrer.

Une suite logique.

. Une manière de montrer que moi aussi je savais me fouler ne faire que ce que j’avais en prise d’information et étais passés.

§.270. (encadré)

Les silences entre nous deux devenaient beaux puisque nous savions ce à quoi l’autre faisait face seul mais donc pas. Puisque l’autre le savait.

L’autre alors devenait un pilier, un endroit d’où l’on savait que notre action était sût. Ce sentiment, comme émotions offraient un condensé de ce que nous avions vécu et aussi comme ça ils servaient.

§.271.

 Je pensais aux gens seuls non pas de n’être pas entouré mais seul avec ce que de la vie on croyait et comment à elle on s’accrochait. Comme les gens seuls face à leur object se retrouvait car seul la bête, s’étant dans notre esprit formé se pourchassait.

Et comme cela nous étions tous chassant le moyen d’avoir tout le reste se restituer.

§.272

Avec qui t’es-tu fâché ?

Avec la moitié de la terre et avec mon frère.

§.273.

Cette chose était finie. Plus rien à faire avec elle.

C’est en ces moments qu’on aimait autour de soi manger.

Le temps de la digestion c’était le temps d’être pour une nouvelle situation, prêt.

§.274. (encadré)

Les pêchers étaient des gestes que j’avais appris, sentis. Pour comprendre cela et me faire naître, maître d’eux il me fallait avant les exécuter.

§.275.

Pour moi, il était le symbole qu’on pouvait avoir –       – tout en réussissant à se sortir de l’embrouille.

Porter en soi ce passé mais comme un visage était capable de toutes les prouesses quand il arrivait à se stabiliser. Stable ce n’était plus son malheur que l’on portait même si de lui on parlait.

Le bonheur était de porter

§.276. (encadré)

La promiscuité fait savoir à l’esprit que le plus intime de nos souffles, l’autre, tout autre peut détecter.

Et la promiscuité n’est qu’affaire de subjectivité.

§.277.

Toutes les choses semblaient inutiles et prenaient leur sens quand s’accumulant, elles trouvaient à parler entre elles.

chaos.

§.278.

Quand elle s’engueulait avec lui elle venait me voir au moins comme ça j’obtenais de ces nouvelles tous les quatre – trois mois. On était ainsi voilà.

§.279.

L’autre langue était le risque que soit trahit notre pensée.

Si dans deux, amours et haine avaient le même son.

Penser du bruit en résumé.

§.280.

T’es une bite à ça.

C’est pas forcément un compliment ?

§.281. (encadré)

Je ne l’attendais pas, je ne changeais rien de mes habitudes si je n’étais pas sur, de l’aboutissement.

C’était le seul moyen d’éviter les blessures.

et quand-bien-même pas effectivement.

§.282.

J’eus un geste comme si j’allais vomir.

Mais celui-ci pouvait dire que j’avais trop mangé et que pour le garder, je pourrais même faire, le temps remonter.

§.283.

Sa spécialité c’était viré. Elle était imbattable, admirable en cette affaire. Mais lorsque la personne en face pouvait l’aider et qu’à cela elle se remettait alors

on pouvait dire ?

§.284. (encadré)

La maturité sexuelle. C’est d’arriver à se dire que le sexe n’est autre qu’ un moyen de s’exprimer (pouvant s’arrêter et repartir. Durer ou s’endormir. Que de toute façon ce n’était pas pour cette raison que me femme savait que mon corps le sien était !

§.285.

Le truc c’était de changer de crayon pour que les doigts aient à différemment se crisper.

§.286.

L’argent était admis comme moyen de lutter contre invasion protection civile et diplomatique et institution ou comme moyen de s’offrir, de soutenir des projets ambitieux.

Moyen de loterie desquelles expérimentation par ce biais-là allait pouvoir en convertir.

§.287.

Les tableaux avaient des esprits bien sûr comme maintenant nous prendrions les manières d’un animateur T. V . Nous nous inspirions de leur anatomie, attitudes, kinesi= on leur empruntait celles-ci.

§.288.

Corrélation entre peinture abstraite et dissection.

Illisible – – qu’étais du en muscles les expressions.

Qu’est ce qui les faisait bouger donc ?

L’art est la dissection de la pensée. (D’accord avec toi.)

Réfléchir = sortir de sa pensée.

Il fallait en sortir pensée et émotion pour que l’énergie en soi puisse se défaire des contraintes du temps, de l’espace, de circonstanciel. Qui faisait que tout foutait le camp.

§.289.

La douleur. Devoir se ré concentrer Quand tout devient flou.

Danger. Prévenant. Ma moitié. Me fait la vie.

La vie était en soi extraordinaire mais pas ce que l’on vivait.

1                                         – d’enfants gavés.

§.290.

Accepter de vivre mais autrement c’était jusqu’à l’autre va convoyer.

Faire qu’il pourra après, vouloir pouvoir la rechercher.

Refaire.

L’énergie. Règle du jeu. On ne pouvait se délier.

Refuser.

Rien de ce qui se passait.

§.291.

Preuve d’amour. (OUI)

Mon bonheur le soutenir.

De malheur il n’y a quoi qu’il se passe.

Je ne me mets pas en colère ou crie à la douleur.

Car sont cris amoureux soit ne le suis pas.

Mais le désespoir la lutte pour la vie ne connaît pas.

C’est la mort qui s’annonce quand lui est là.

Et savoir t’aimer c’est apprendre mais ne la souhaiter pas.

Tu ne m’aime plus continuer à pouvoir ensemble être maître de cela.

Et l’amour ne se commande pas ni se désavoue.

§.292.

Être du voyage.

Rassembler ses affaires.

Ne rien laisser sur place.

Que les choses qui y pousseraient.

Garder le minimum et l’essentiel à portée.

§.293.

Faire les choses en un minimum de mouvement.

Avoir plus de temps gagner.

Faire les choses en un minimum de temps.

Les espaces rassemblés.        

§.294.

Qu’est-ce que je sais de ce que je n’ai pas noté ?

Me rendormant, me disant, je m’en souviendrais après.

Toutes les fois où me sont venues des idées qui au lieu de me lever ne l’ont fait car une voix susurrait ‘demain’ et comme cela de mes rêves elles ne se décolleront.

§.295. (encadré)

La culpabilité ou la fatuité, vanité, c’est se dire que telle chose est à cause de ce que j’en fais se produire.

Maman est décédée car ce matin là je ne lui ai pas proposé d’entrer pour prendre le café.

Comme si Maman n’avait que moi à penser !

Attention.

§.296.

La communication.

Qu’est-ce que l’on partage. (nous partageons)

(Informations et connaissances.)

Qu’est-ce que comme cela on étudie. ( nous étudions.)

(Nos erreurs et celles des autres, en philosophie aussi !)

Les choses qu’on (que nous voyons) voit en même temps.

Le paranormal.

La découverte de nouvelles liaisons.

Alors que tout est uni.

§.297.

L’humour c’est quand l’amour me fait avouer que je suis con.

Permet de s’amuser de n’importe quel parcours, dédramatiser.

Prendre comme une enfant toute réaction.

Permet  de sentir sans rancœur.

Sans détour.

§.298.

De faire de tous moments, plusieurs sons différents est la preuve intime qu’en soi s’établit la vie s’accouple le temps,

Naît ce qu’on choisit.

Et toujours plus ré – des – finis.

Autrefois on se lavait moins.

Pas assez con pour se déshydrater la peau.

Laisse-là faire les gestes comme tu veux toi.

On fait l’amour à notre façon tout les gestes y convient.

Les douleurs ?

On va à la mort aussi. (tous conviés au bal un jour ou l’autre.)

§.299.

Les erreurs personnelles.

Quand mamie me répétait trente fois les mêmes choses et que je craquais m’occupant à être plus énervante que je ne l’étais ! A chaque fois à ces moments je m’apercevais qu’un truc j’avais mal fait.

§.300.

Mon observation d’elle m’avait fait comprendre qu’elle avait mal aux oreilles.

Son abandon à moi.

Je sus qu’il me fallait masser.

Etre à l’écoute des miennes.

§.301.

La conscience.

La conscience de n’être pas.

La conscience de n’être plus.

La conscience de n’être du futur de tout cela.

Le poète décrit.

Le sorcier se demande pour qui.

§.302.

Le handicap.

D’un sens s’être délesté.

Une autre forme de raison.

Une autre forme de réseaux.

Exploiter.

Communiquer avec la montagne ?

C’est entendre ses craquements.

Qui nous renseignent sur le puissant !

Sans que : De notre dedans, ils n’explosent ou ne s’évaporent!

D’épuisement ou de soulagement c’est l’expression de l’autre qui retentissait également.

Se voir.

Se sentir.

S’être senti.

§.303.

Les yeux.

Miroir de l’âme.

Car organe sensoriel centralisateur.

Plus marqueur visible.

Le sens en plein travail.

§.304.

Le conflit intra groupe permet d’être diplomatique.

Ménager les interêts extérieurs divers (qui se trouvent être entres eux en pleine rivalité.) Sans pour autant paraître comme traître.

§.305.

Ce qu’ils cachaient (ce qui n’arrivaient pas à sortir me paraissait violent) car ils avaient en eux ce que j’adorais tant.

§.306.

On trouve la recherche de ce que l’on recherche en étudiant son présent, en s’en imprégnant et d’avoir pensé à cela le garder précieusement jusqu’à ce que le maniement d’autres éléments nous inspire sur ce qui peut être apporté à son fondement.

§.307. (encadré)

Il était rigolo car pour me  bâcher il rajoutait que des trucs au moins circonstanciellement pas vrai.

§.308.

Je t’aime –  –  –  –  bien.

Ah ! Qu’est-ce qu’on se marrait.

§.309.

Ah ! Si 400 avait passé le coup de barre !

Le temps qui se chérissait.

§.310.

L’art. Echanger de culture de l’un à l’autre.

L’intuitif, le sensoriel comme constat et le reste se traduisait.

Et se débattait ?

§.311.

Je t’aime – bien.

§.312.

Je regardais la lune jusqu’à ce que les nuages se soient tous cassés, puis je guetterais après.

§.313.

Les signes étaient des signes car quand et où je regardais, dépendait de ce que je faisais.

§.314.

On se demandait la force qu’on se trouvait de la raison., de trouver la réponse

§.315.

L’agressivité aveugle préservait rien que parce que je sais que bien qu’indique à moi,si j’étais de l’autre sexe(ou d’un autre bord) ma condition, l’objet relationnel donc la manipulation changerait.

§.316.

Il faut que l’esprit soit engagé dans ma réflexion pour pouvoir nous émouvoir, sans compter sur l’émotion pour se sentir agir, réfléchir, respire.

A la sensation instantanée ou enregistrée d’exister, s’unir, conscient, inconscient.

Devoir durer.

Donc rester.

De voir passer.

Donc encore quelque part.

A continuer.

§.317.

L’écrivain l’était fait à celui avec qui il parlait.

Le canular était rigolades pour les essaies de rester concentré (en dehors de ce quoi l’observateur.

Lui prévenu s’attendait en dehors du voyage le résultat, il regardait d’où les choses étaient venues.

On le prenait pour un con puisque rien ne bougeait plus mais c’était que l’esprit était capable de reconstituer ou essayait ce que le mouvement du lanceur ou du lancé avait, était.

§.318.

Elle l’aimait car elle savait prendre des risques.

Mais on s’habituait au danger et faisait des situations où on aurait pu le chasser plutôt que de le voir rôder.

§.319.

L’étendu de mon amour pour elle paraissait –               – lorsque la voyant en danger je n’avais plus quel –          – mort pour que là me paraissent la retendre.

§.320.

Peut être que le désir de mort, de destruction était là pour référer mon impuissance.

§.321.

Non pas à la protéger, mais à lui assurer jusqu’à ma propre mort ma fidélité.

Ma fidélité me permettant de la garder aussi complètement que mon souci d’exclusivité le rapport absolu qui faisait la mort s’annuler.

§.322.

La personne qui deviendrait celle partageant ma vie.

Après que ma moitié, sera euphémisme, partie sans avoir seulement une part choisit.

Même si savoir encore se tiennent entièrement celles-ci.

§.323.

L’amour me permettait de comprendre que quand je ne voyais.

M’écrouler.

Fin de DOC 18.

Correction à faire.

computerised extra Doc 17

 

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

 

 

 

S’il vous plait, téléchargez prioritairement les DPF documents en page 1.

 

Les documents ci-dessous, tapes électroniquement- sont les copies partielles – i.e. présentation de certains tomes mais pas dans leurs version intégrales – et parfois non identiques ou incomplètement déchiffrés. 

 

Ces postes, tapes digitalement, ne sont la pour lecture de textes premiers mais pour permettre de retrouver ou rencontrer les textes ou la nature de leur portée.

Les originaux et copies certifies sont en fait les photos de manuscrits, ceux-ci n’ayant pas de traduction électronique, n apparaissent et ne peuvent être enregistres ou répertories par ordinateurs.

Donc une fois que sur ce site il est préférable que vous ouvriez et enregistriez les documents DPF puisqu’ils sont –plus surement- le plus proche de ce que l’auteur a écrit.

 

Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

 

http://unautrepoete.wordpress.com/

 

DOC 17. PAGE 200 à 299. 

§. 1.,

Mon ex que je revoyais dans celui qui me redonnait ce qui apparaissait, ce qu’il avait retenu de mon allure.

Je l’avais donc amené avec moi.

§.2.

Le but n’est pas de décharger son agressivité, mais de maîtriser son énergie.

Appel l’un par l’autre.

Jouer avec, se découvrir. L’une et l’autre sensation sont des signes.

§3.

L’étranger conspué car on souhaite que le temps, la force qu’on donne soit, à ce qui est le plus proche dédié.

L’étranger est le plus proche avant le proche.

§.4.

L’imagination, réelle, répond à la question.

Ah ! ser_ai_s-je au monde.

!

§.5.

Il répétait non pas ce qui était trop dur pour lui de taire mais ce dont il voulait que devienne pour l’autre une conscience, une réalité, une nécessité.

Hobbes session.

§.6.

La nature a prévu que si elle avait une réserve de carbone illimité, l’homme l’utiliserait jusqu’à s’en faire étouffer.

La raison humaine qui par la limite, la mort, s’instruit.

La sagesse elle quand les circonstances nous ont fait s’en sortir.

§.7.

Qu’est l’autre à mes yeux et les meilleurs hommes qu’ainsi me paraissent parce que lui loges à soulever ?

§.8.

Une mise en plis était une expérimentation un rapport à la matière, à nos moyens d’action, d’entretien de communication.

§.9.

On (nous ne devions) ne devait forger les choses car on ignorait comment les choses se débloqueraient pour notre interlocuteur et avec quelles choses, était empêtré. Rebellion

§.10.

La vie comme le jeu ou la réponse qui venait n’était pas celle à la réponse d’avant mais d’encore avant.

La réponse était une affirmation de ce à quoi on pensait et non de ce qu’on pensait (n’étant que l’arbitraire du jeu auquel on songeait.)

§.11.

L’affection aux gens était la tour d’argent de tous les savoirs.

§.12.

Il n’avait encore pas compris que je pouvais le dévorer des yeux sans le regarder ce qui prouve combien il pouvait être con.

§.13.

L’art. L’amour mit à le faire.

Le ressort, de la pression.

Idem celui qui s’y intéresserait.

Rechercher le point être soi et l’autre.

La forme, une relation partagée.

L’enchevêtrement des ombres, les couleurs et les densités.

§.14.

Les situations de l’absurde.

Agir en une situation portée par une seule raison.

On est beau et fort lorsqu’on est décidé.

La puissance elle était la force et la jeunesse ajustées.

§.15.

Il fallait toute une vie pour faire un deuil.

Je ne l’avais pleuré des lustres simplement parce que quand je le voulais, quand il le fallait, sa pensée, son conseil, importance et recueil ; Tout comme,puisqu’il ne m’avait jamais quitter d’un œil.

§.16.

Debout sur la tête massage de la boite crânienne, remettant jusqu’au bout.

§.17.

Je vis émotionnellement l’autre, et voit ce que j’ai vécu se passer en lui et ma réaction à cette rencontre fort viscérale réfléchie et spontanée.

Prise de conscience.

§.18.

Les gros problèmes faisaient l’obligation aux êtres de se rassembler,eux, leurs informations, travail, disjonctions, outils, avancées.

§.19.

Le clonage allait faire des hommes plus performants d’un point de vue.

Danger d’être mis en péril par une société ne marchant que par lui.

§.20.

Les signes selon ce qui se passa le même je me dis tiens il me prévient que c’est passé, que j’y suis ou m’engage à persévérer où la –    – venait sonner.

§.21

J’ai mal qu’importe.

Aucune chose m’atteste que n’ensemble ces jambes on ces bras. (cela ne veut rien dire).

§.22.

Pour elle, il fallait trimer.

Le bonheur ; s’inspirer d’elle et la forcer. Persévérer, concrétiser, ré-appliquer, me servir de ce qu’elle avait fait sortir de moi.

§.23.

La mode était une affirmation de l’individualité oui je peux à tel style de vie, je peux le choisir parmi l’éventail, je peux en être fier, je peux le choisir sur catalogue sans d’autres papiers que celui qui n’a pas d’odeur, d’origine, de religion me certifier.

Je montre ma vie, je l’expose, je la propose.

N’être plus à s’en cacher ou si l’on parle l’informe.

Pouvoir regarder dans quelles conditions on est pour réfléchir et agir sur le comment le retailler.

Il pensait avoir pris conscience de ce qu’elle avait fait.

Il voyait 24ce que pour lui cela changeait.

Mais en fait jamais ne s’était posé la question :

Qu’est-ce qu’elle avait pris comme risque.

Qu’est-ce qu’elle avait accepté, sans même parler de sacrifice mais de modifier de sa vie pour que cela puisse exister,

§.24.

La lecture, c’est pouvoir que soit décrit la torture être au courant d’elle, m’imaginer des stratagèmes pour entrer –     -, matériellement, pour contrer ce qu’elle est scientifiquement.

La savoir sans avoir à directement l’endurer.

Par fascination que l’art exercé ou autant que toute représentativité des religions ou technique à s’habiller.

Connaître, reproduire, travailler avoir comme –    – de résoudre sans être obligé avant de se dissoudre, de se décomposer.

§.25.

Ce qu’on a besoin de manger.

Permet au fait de ce qu’on a dépensé.

Devoir le prévoir.

Devoir le doser.

S’interroger.

§.26.

Ce qui avait été avant, n’étaient pas des hasards, c’est pour cette raison que maintenant qu’il arrive, le moment est parfait. Puisque tout y est préparé.

§.27.

Cela n’avait jamais été des totals échecs. Comme on le pensait aux moments ou on les vivaient mais des demi-succès.

Toutes choses que j’avais vécu et n’en avais perçu le secret.

Ces relations que j’avais crû mortes, alors qu’en elle un grand amour sommeillait.

Ces problèmes je ne le voyait plus ou notre vision n’était plus d’actualité mais toujours là, donnant une force mais aux autres qui maintenant elles , faites aux réflexions précédentes, nous perpétuaient.

§.28.

La vieillesse, la fatigue.

Comprendre le monde.

Le monde qui s’agrandissait.

Avec notre expérience et notre exigence,savoir qu’il fallait aimer à une –          –       – ,sous les mondes qu’on devait se faire se comprendre de plus en plus étoffé.

§.29.

Je sais être porteur d’un sein.

Le jour où elle s’en est emparé.

§.30.

Elle posait des questions sur sa belle fille.

Ne t’inquiète pas je t’apporte ce qui te plaît.

Ma mère qui n’avait appris, permis à mes sentiments d’être à regarder, à mesure que je m’en étais servis, donc à mesure que je pouvais les accepter.

§.31. (encadré.)

La mort faisait mal, de ne rien pouvoir y changer on ne peut rien changer ce qu’on ne connaît.

La mort ne pourrait donc être ce qu’on disait qu’elle était.

§.32. (encadré)

Communiquer.

Se servir des énergies ressenties échangées tout le temps, autrement à quoi la vie servirait.

Mais ne pas les susciter car autrement on est plus que dans l’émotionnel et l’émotionnel sert simplement à se rappeler des forces dont chacun est habité ; Afin qu’il puisse une fois de cela au courant, songer à qu’est-ce que j’en fais.

Sinon menace de surenchère des émotions amenant à violences par désappointement des sentiment d’inefficacité, d’irréalité, d’inexistence, d’inconséquence.

Appel à toutes les tonalités ici brutalités, se convaincre qu’en nous le sang coulait mais s’assurer de ne pas en souffrir car si un autre avait le droit de nous tuer, il fallait que nous gardions le pouvoir si être par elle diligenté, ne pas être touché par la tyrannie, mourir sans souffrir.

ne pas en rajouter.

§.33.

Si mes écrits voulaient ?

Après tout, ce que j’avais écrit sans mes phrases existait.

C’est le bonheur de le savoir qui comptait.

Ainsi que la rencontre avec tout autre réalité.

§.34.

Existence vie et naissance face à l’immensité de toute pensée.

§..35.

Le monde. Le mode de vie. La déculpabilisation.

Je m’organise ainsi pour acquérir la liberté de procéder à ma façon.

Restreindre ? Comme toute spécialité toujours au moins en parties pas encore raccordées à toutes autres.

§.36.

Peut-être était-ce au travers de ma sagesse qu’on ne peut acquérir à force de penser aux gens et accéder aux raisons de ce qui se passe.

Elle s’était montrée à moi et cette sagesse avait nourrit.

Cette réflexion venait que je l’aimais(l’amour c’est aussi vouloir créer la distance.

1      Pouvoir être libre pour bien s’exécuter.

2      Ne pas dépendre de quelque chose qui ne serait.

3      Alors qu’elle de cette mise à distance justement pouvait l’interpréter comme un rejet.

Il fallait pouvoir s’expliquer. L’explication découvrant ce qu’il fallait m’expliquer.

La limitation des territoires, des mémoires.

Ne rien abandonner.

A aucune de nos tentations ne pouvoir céder sans soi-même se brutaliser, s’appauvrir.

Céder.

S’aider ?

Ces dés.

§.37.

La réflexion. On essayait (nous essayions) toujours de la faire appuyer sur des signes extérieurs qui nous conseilleraient jusqu’à ce que notre responsabilité s’installe assez pour que le choix de ce qu’on fait soit établi par la connaissance du avec quoi on veut le voir grandit.

Choisir quelque chose en ne tenant compte que de quel est le choix ( compte tenu de tous les paramètres) (le long terme, l’amour, la volonté extrême qu’apporte le plaisir des choses ciselées et proprement finies.)

§.38.

Respecter chaque chose, la savoir à évolution et présente, vivante.

Respecter le temps. Infini de chaque instant. Puisque par alliance tout pouvait venir de et en lui.

Reconnaissant.

§.39.

Elle n’arrêtait pas de me faire des réflexions sentir ma –      – , non pas pour critiquer mais sur moi cette critique provoquait un retranchement vers ma féminité et c’est ce qu’elle convoitait.

§.40.

Ces gestes qui nous fatiguaient mais qu’il fallait continuer à faire pour notre sécurité.

Apprendre à différencier les fait s’imposait.

§.41.

Positions assises douloureuses.

Et si maintenant on se tenait assis de façon non plus à s’avachir sur le bas du dos mais de le tenir droit, de le muscler.

Ou chaque geste pouvait étendre son muscle et le poids mi-dessus, étendre toutes les parties qui l’entouraient.

§.42.

La matière apprenait à l’esprit le futur à l’encontre de l’intemporalité qui s’émanait de lui.

Faire et défaire.

Contrefait.

§.43.

On ne peut vivre qu’au présent.

Mais on ne peut trouver la raison de le faire qu’au futur.

3      Servir- Car en tout sera transformé ce qui à présent fait.

4      La sagesse dans ce qui fut fait, le pouvoir d’y penser.

§.44.

Regarder comment le monde marche.

Tout ce qu’on arrive à se cacher de nos dysfonctionnements.

(Où à supporter.)

Et comprendre cette terreur m’habitant enfant quand il s’agissait de me rendre à la cave.

Les sous bassement.

§.45.

Ce que j’écrivais d’une réflexion tout le monde pouvait le comprendre et donc aurait pu prétendre l’écrire.

Tout ce que j’écrivais d’artistique ne concernait que ma seule pointure.

Le monde est dur.

 

 

§.46.

On se sert de la seule force de la nature.

Dépassement.

§.47.

Se rendre copte que tous action, métier, réaction avait été essentielle à ce que l’action 2 / 2 en général puisse se continuer et continuer à être convenue. Analysé/

§.48.

Ce n’était pas du mensonge.

On s’était simplement habitué à dire que tout allait bien pour que personne ne s’inquiète.

Comme aucun accident ne s’évitait.

Pourquoi parler de la mort.

En-bête.

§.49

Les responsabilités.

Distinguer deux problèmes.

Donner à temps en temps.

Même un instant une fondamentale sur n’importe quel détail pour tout régler.

§.50.

L’art s’était faire que s’inscrive nos vies.

Notre savoir-faire.

Et la manière.

Art de vie.

 

§.51.

L’art de s’étirer avait vu même principe bloquer un endroit et l’autre éloigné.

§.52.

L’art de s’étirer avait vu même principe bloquer un endroit et l’autre s’éloigner.

§.53.

Mon infidélité aux uns n’avait que fait naître ma fidélité aux autres.

La vie lorsqu’on la voyait comme l’unité, nous constituait nous appartenait.

Je savais pouvoir être digne de la main –       -même si difficulté.

Qu’est-ce qu’était vivre quatre-vingt ans.

§.54.

Rien ne disparaîtrait, le futur homme capable de vivre cent mille ans aurait le temps de retrouver les manuscrits oubliés.

§.55.

Une chose.

5      Le sentiment n’assemble pas autres.

Ne pouvant pas se mesurer .

6      S’il ne peut pas se mesurer alors un = un.

7      Et le sentiment est une force comme une autre.

Juste trop complexe pour savoir de quoi elle est constitué donc la doser, donc la produire in vitro ce qui n’empêche que les que les maths puissent tout un jour s’-        -.

§.56.

Tout ensemble. Ceci est l’avantage.

Et j’appartiens à tout comme momentanément tiraillés.

§.57.

Le malheur.

Il faut bien que soit contredite par lui certaines de ces intentions, intuitions, convictions. Pour ne plus être par elles enchaînées.

Pouvoir se dire que ce que raconte sa petite voix intérieure comme tout peut se tromper.

Et même ne se tromperait-elle pas sur A=B, peut être, sans doute est-ce que D par nous serait mieux penser.

Ou se fier à quoi ?

Que puis-je faire, qui fera que je puisse de moi-même me rapprocher, ma comprendre, m’apprécier, partir de cette incomplétude, de cette bencalité.

§.58.

Le sentiment est l’art de transposer en un élément toute la connaissance et la force pensée de tous nos éléments répertoriés.

Concevoir l’entièreté.

§.59.

Etre en préparation mais ne jamais prévoir ce que le déroulement de temps change en spolia cité.

Maturité.

C’était dans mes réactions me connaître, me faire connaître en toute nature, rejoignant l’autre se liant de respect (en des zones insoupçonnées) et résultat révolutionné.

 

§.60.

L’énigme complice.

Le jeune racontant au vieux en sachant qu’il comprend toutes les intrigues de les avoir déjà constatées.

Le vieux lui ne répond rien à part la phrase qu’il faut et d’autre que le jeune pourra comprendre après dans une sorte de don de connaissance, d’expérience qui s’activera après.

§.61.

Ses gestes vers une femme étaient virils de peur qu’on ne s’aperçoive de l’extrême sensualité qu’elle y mettait.

§.62.

L’évolution du temps c’est admettre n’avoir pas bien doser avant pour revoir ce qu’on a préparé et pouvoir changer l’utilisation.

Des ingrédients à tous moments.

L’existence ainsi n’est qu’une réévaluation, une purge de tout ce que l’on sait jusqu’au dernier moment.

Le fatalisme n’est que ce qu’on croit que le mort est le néant est qu’on désire s’injecter avant.

Encore que ce soit l’affaire des gens qui disent leur tristesse non pas comme une vérité mais simplement pour expliquer leur détachement.

Ne pas vivre la vie.

§.63.

Il se disait rancunier et n’avait toujours pas compris pourquoi les gens se méfiaient de lui.

§.64.

Les efforts qu’on ne faisaient (nous ne faisions pas) pas, de peur de ne s’apercevoir qu’on ne soutiendrait pas.

Préféré ne rien faire que de par rapport les faire au risque de perdre une barrière et n’avoir la force de se relever cette fois.

Pourquoi il ne revenait pas.

§.65.

Le temps c’était la possibilité de passer d’une chose à l’autre.

La perte de temps, se questionner sur comment faire pour –         – sans perdre de la longueur.

Se questionner. Sur elle ? Tous les éléments nécessaires à notion, éléments, nécessaire, et assimilés.

Assimilant.

Temps assis mulant.

§.66.

La peur qu’un jour elle ne m’appelle plus.

Peur et attachement.

Energie restante.

§.67.

Le clonage contient le symbolisme que de tout groupe, unité assemblé, cherchant une définition de ce qu’elle est.

Il y a des forces extérieures, influences extérieures lesquelles par nos actions intérieures (se groupe déjà constitué) révélées.

§.68.

Tenir ma poche par la main.

Bras le long du corps.

Pression refermée par le petit doigt.

§.69.

La patience, la charge.

L’à propos, la détente.

Question, problème, le détonateur.

§.70.

Lune. Blancheur.

Virginité. Déesse de l’amour.

Vertu, sagesse de la mère.

MYSTERIOSITE.

Le sacrifice.

Destitution.

Le don.

De l’être sans soutien, sans passé, à qui on a enlevé toute fonction.

Justification que se fait le société ; la possession.

L’argent, le potentiel.

Pourquoi s’inquiéter de le dépenser, où le dépenser.

Car quoi que l’on fasse il peut être finalement, fort mal distribué.

§.71.

J’aimais le passant qui m’intimait comment de milles façons toujours se multipliant je pouvais encore l’aimer.

§.72.

Je n’avais besoin de dire c’est moi quand je l’appelais.

Simplification. Simplificateur.

§.73.

Pour s’apercevoir de quoi les autres éléments venaient.

On devait faire sans cesse,ou retenir par cœur.

§.74.

Chamanisme. Elément extérieur.

Le groupe n’est perturbé que parce qu’il demande à s’ouvrir ou, et, resserrer le lien intérieur.

§.75.

Sorcelleuse, (sorcière ou ensorceleuse) figuration du traumatisme des vengeances personnelles.

§.76.

Le danger en protection des luttes de consciences, d’action, d’influences, de pression, (terreur et réconciliation entre différents protagonistes) lois des seuls protagonistes.

Sanctions arbitraires.

Action isolée.

Guérison et condition d’hygiène laissé à l’entourage , aus partage du savoir, des effets

§.77.

Ce qui était bon, à garder n’étaient anciennes pensées en particulier. Mais celles qui m’avaient fait enchaîner par d’autres.

Les moments ou par chance deux éléments s’étaient accrochés, avaient dans l’entrechoquement, une apparition en elle créé.

§.78.

Tout avoir supposé de son retard était une sérénade.

L’inquiétude amoureuse.

Son destin lié à l’autre permet de devoir supporter les méfaits, accrues, coups divers que la vie peut soumettre.

§.79.

De cette incartade connue dans l’enregistrement. Comptable.

§.80.

On faisait attention aux heures auxquelles on s’appelait histoire de voir si intuition ou stratégies ou impulsions s’interpellaient.

§.81.

Retenir quelque chose : Evènement.

Objet.

Son.

Non pas phonétiquement, mais comme réserve de notre mémoire, et ainsi savoir qu’on y fera se passer quelque chose.

§.82.

L’homme sa ferveur.

L’équilibre c’est continuer.

La paix intérieure.

La recherche pourtant est la finitude d’une action.

Côté plus pris.

Côté moins con-pris et n’ayant pour répercute que d’éviter de ne plus compter que l’on est, les plus bêtes.

§.83.

Le pécher. (des profondeurs originelles comme l’eau) répond à l’angoisse.

Est-ce que j’ai fait avant est assez solide pour me tenir debout.

§.84.

Elle me fit sursauter.

J’avais mis tant de temps à oublier qu’elle pouvait aurait pu arriver.

§.85.

Les moments enivrant.

S’apercevoir que notre état d’âme change envers les mêmes choses.

Versatilité.

Du moment.

De ce que l’on sait.

De ce que l’on veut.

Ou la recherche est détecter ce qui bien que présent ne l’était.

Les contre temps m’apprenaient à ne plus douter.

§.86. (encadré.).

Elle disait n’importe quoi .

Des trucs que je savais.

Ou insensé.

Ou qu’on c’était déjà dit vingt fois.

Mais c’était une sorte de mise, en scène, en valeur, en action.

C’était me montrer comment elle était quand elle pensait à moi.

Son esprit vagabond, elle le gardait quand les gens n’étaient plus là.

Je fini par aimer, adorer, savourer et l’essentiel prendre de la graine, passant par là.

L’intelligence ne subsiste que si elle ne perd pas de vue la grossièreté de ce qu’elle sort.

§.87.

Tout jusque là m’avait fait rencontrer la vie intime assis.

ci-gît.

§.88.

La bête ressentait face à la mort le désappointement de l’écraseur qui ne pu l’éviter, où le soulagement du prédateur pouvant manger.

Le combat continuait.

La politesse s’appris de chez la boulangère aimable.

Elle me faisait ce genre de réflexion ma grand mère.

Ainsi comme réaction elle pouvait voir sortir de moi les manières de son père.

OUI, c’était bien nidifier ici ces bonnes leçons.

Et réapparaissaient pour elle comme un flash, pour moi comme une lumière.

Pue ni hier.

Foyer.

Foi y est.

§.89.

L’art m’appelle aux sentiments de toutes individualités son le rassemblement.

C’était méchant.

Signifiait.

T’en fait pas.

Ce n’est pas un acte bien.

Et le mal repartira.

Repart se un s’en servir.

Méchant (pas de retrait implicitement : on le prend en face.)

Et ne devient qu’un prétexte au combat seulement.

Penser à cela soulageait.

C’était méchant et le méchant était là pour qu’on se rende compte petit à petit que c’était de laisser cette pensée là, laissait toute pensée justement guider nos actions. VERDICT.

Ce n’était que cela qui provoquait la douleur, le meilleur fielleusement.

Mais chants.

§.90.

Le méchant faisait du bien à ne pas être –      – par le gentil.

Et ainsi pas à pas on avançait.

L’esprit.

§.91. (encadré)

(Choise) Chois – y.

La mort dit de la vie qu’on ne sait jamais.

§.92.

Les signes.

Seulement des éléments qu’on a décidé de remarquer, de retenir et de passer a notre interprétation les liens, c’est à dire vivre la réalité. Son histoire se conter.

§.93.

Va t-on arriver à se voir.

Sans tendres.

S’entend.

Sang temps.

Symbole phallique.

Sa force qu’on tient.

Touche – –       -.

§.94.

Je n’étais pas jalouse.

Je détestais qu’il pris avec des gens ne servant pas son, mon travail.

Cela devait en être. Ma version généralisée.

La force des études faisait révéler toute la puissance.

Forces coordonnées et ainsi on ne se déstabilisait plus des relations, évènements, confidences, responsabilités.

§.95.

On lui reprochait de ne parler que d’elle.

Elle fut la seule personne à qui je savais pouvoir tout dire entièrement tout dire dès l’instant que je me confiais sans jamais l’ennuyer, m’épancher. (Elle le sentait, le baratin elle le coupait).  (Et si elle avait coupé des incroyances qui auraient été, étant, des vérités.

Mais trop tard pour y songer. Quand le mal : EST FAIT ! )

§.96.

Elle recommençait l’imprécation de me faire dix, quinze fois cette remarque parce que c’était seulement au bout de la vingtième qu’elle aura pu de bout en bout de ma réaction régénérer.

C’est à dire  comprendre au lieu de défier.

Aider au lieu de provoquer.

§.97.

Je ne pensais plus préparer les moments que j’allais passer avec elle puisque je voulais tous lui céder.

Plus de temps en rêve.

Une vie rêvée.

§.98.

Toute préparation correspondait à une relation réfléchit au temps.

Les techniques utilisaient des subterfuges.

Il fallait pour être à point penser dès le matin à ce qui se passerait le lendemain.

Toute la symbolique de l’accoutrement, l’hygiène de vie était une application directe du besoin qu’à la conscience de l’existence, de l’exercice du positionnement dans le paraître maintenant sorte de virtualité de ce qu’on voudrait savoir réaliser.

Préparation.

Image de soi conçu du temps.

Histoire revit.

§.99.

Différence de comportement.

La tension que chacun créé artificiellement pour maintenir son attention artificielle.

Je dois me ré concentrer sur cela alors que naturellement mon esprit se pose sur autre chose mais puisque question de survie alors je dope, déstabilise d’une manière savante mon esprit.

Se concentrer ou se déconcentrer de l’objet soumis ou mis (s’éloigner de mon penchant si l’on crève de n’être soutenu vis à vis des impératifs réduit à la somme du groupe construit.

§.100.

On ne saura jamais si ce qu’il a dit était pour toi uo pour moi.

8      Pour tout le monde.

9      Tiens en toi toujours à sa                validité.

Ces questions qu’il pu chercher au préalable sans la continuité les réponses instables.

§.101.

Le jeu du coucou / caché avec Manon.

Montre à l’enfant que ce n’est pas parce qu’on ne le regarde pas qu’il ne fait pas partie des pensées.

§.102.

L’art achève. De la mise en scène.

Tout seul ou qu’importe un monde m’entoure.

De personne à accompagner ne dépend.

La vie se savoure sans détour,

Etre détenteur de ce qu’on ressent ce qui nous entoure et ce qu’on prétend.

§.103.

Supporter être faiseur.

Qui perd lui la conscience.             Conscience.

Qui permet aux autres.

D’ajuster la leur.

§.104.

La dualité.

Le fait que l’autre n’est pas la même conception de la voie du parfait.

Personne ne connaît tout du monde ou de lui-même.

La dualité ricane de la nécessité pour tous de le réaliser.

§.105.

La belle fille posait problème.

Celle à qui tout avait été dit des méthodes d’éducations.

§.106.

–               –               -.

Laure sentiment ce qui est.

Soi et l’autre en face à face.

Comme on le souhaite.

Sereins.

Choisissant ce qu’il a de plus précieux à nous révéler.

§.107.

Je suis pas la pute.

Amertume.

Ma jouissance.

Ma femme en train de me demander encore.

En sachant qu’il n’y aura que des encore.

 Et encore.

 Et encore.

§.108.

Le péché utilisé par l’esprit pour s’expliquer pourquoi notre condition déchue est ressentie, vécu pour nous ayant coincé.

§.109.

Elle lui avait bien fait un –     -.

Mais avant de partir mais en 2004 ? les façons des questions pépés d’avoir-        – –    qu’elle avait comme on le film ou elle l’avait vu faire n’étaient à priori plus d’actualité ? alors simplement, elle sourit (aux anges).

Toi aussi ! T’as peur ?

§.110. (encadré).

Comme quelqu’un parfaitement sait faire que la mort ne sépare plus rien.

La mémoire est continuer à le comprendre.

A sentir ce qu’en soi l’autre, le temps ne cesse en scène ?

§.111.

Je pense à quelqu’un.

Ou bien c’est que je ne peux plus penser.

Jusqu’à ce que comment faire que ressorte ce qu’il compulsa en moi.

Et que je puisse me commander.

§.112.

Le but précis.

Long terme.

Permet à l’action de sans avoir à se penser, s’enchaîner.

L’arrêt, la cacophonie, le disloquement.

Permet à l’opération d’être analysé = refaite.

Repensée.

§.113.

Le son –   – de l’autre comment on peut guérir.

Sa dureté : Puisqu’il peut prévenir.

§.114.

L’aventure, m’enfermer pour pouvoir les éléments tournant pouvoir les compter, les voir entre eux interférer.

Pourvu que tout le monde au sien –   –   –   -.

§.115.

Pour qu’un monde puisse s’organiser, se comprendre, se voir, s’appréhender.

Et il faut des différences car prise en compte de l’autre.

Et où va t-on ?

§.116.

Ne pas savoir que tous les gestes ont un sens, un impact, toujours le même impact dépend simplement de ce qu’il va rejoindre.

A quel moment va-t-il s’additionner ?

Toujours cette force qui parce que rejoignant-      –       – des choses qu’on ne voit pas ou bien qui sans qu’on ne voit pas ou bien qui sans qu’on le sache beaucoup plus de choses que l’on soupçonne ou bien connaît revêtir.

Cette force que l’on ne cesse de si au surestimer.

§.117.

Battre sa femme était communément admis.

Battre sa femme avant d’avoir à se battre contre lamant éventuel permettant la bagarre générale.

De stopper le risque.

§.118.

Un message avait toujours –           – de me  remettre au fait de ma graisse qui pendouille.

§.119.

Je suis un raté.

Autant être un raté sympa.

§.120.

Image religieuse.

Les courbes du corps le besoin interne.

Le sommet du crâne vers le ciel.

Pour que notre colonne vertébrale se repose même à la verticale.

§.121.

Orange. Le danger.

Le sang à la lumière mélangé.

Ou bien aux jus, symbole, pour ceux auprès de l’oranger.

§.122.

J’explorais avec elle les déclarations d’amour qu’il fallait honorer cette fois.

Elle me répondait qu’elle m’aimait, que pour elle j’étais donc capable de le faire.

§.123.

L’autre groupe et eux sont à liée.

Les conseils ne s’arrêtent tous gestes ayant pour vocation de soigner.

§.124.

A nous homo-enfance.

Naturel.

Vient de me considérer tel un homme.

Ou de faire par une vie de momie abstraction de tout cela.

Code sociaux du mariage, de la conquête conjugale.

§.125.

Déshydratation.

Si pas de douche.

§.126.

Tu oublie que Einstein à l’initiative  de sa découverte.

Ne serait-il pas le levier, (le non philosophique certainement pas ignorante de ces lois) à prétendre cela.

– Mais est-ce que la théorie d’Einstein est toujours vraie, OUI

certainement dans une maîtrise contextuelle du cas.

§.127.

Je t’aime, suis éprise de toi.

Ô faite.

§.128.

En quête.

En quette.

En cas de nouvelles de nouvelles règles, nouvelles perspectives.

L’arme à cela de fascinant (que ce qu’elle me donne de faire n’existait pas avant, ou n’autorise à l’exercice de chose non autorisé = non exploré) en clair pour activer (à chevet) sa proie accomplir sa foi.

Mis si le chasseur pense que ce dont il faut se nourrir s’est donné déjà alors plus de sacrifice et son instinct alors fera pour que lui en même temps que la personne qui l’aimera, qu’il aimera chercher d’autres liens.

Puissent se nourrir, nourrir sans être manger et se reposer.

§.129.

D’ou retard de dix huit heures quarante quoi.

Proposition à l’arme que tu abhorras et à celle que tu effleura fleurira

Art martial.

Jusqu’à ce que mort s’en suive.

Nota Benne : Fais attention à mes solutions d’appoint rédhibitoires. (Merci de l’avertissement Caroline, mais tu as quinze ans de : Trop tard).

Style je te soupçonne d’être en lien avec le supermarché du crime. ( Tu lis trop de roman.)

Je me suis toujours foutu de la gueule du chasseur dans blanche neige qui me l’a suivit point. (La preuve).

Ce chasseur serait devenu sorcier ce qui l’a fait l’a rendu sage d’avoir éviter puis de rester aux cotés de là ou le méfaits compte, se manifestait (conte et réapparaît).

§.130.

Arts martiaux.

Le combat réel. Être debout et en meilleure santé.

Samedi combat jusqu’au bout .

Pas le temps de prendre de douche et boulot et boulot pas équipé.

C’est ainsi que je viens à nos rendez-vous telle une jaune.

Mais le plus beau des instants est quand nos contacts peuvent s’allier travailler le fascisme vient de la gargamelle et que le meilleur gagne.

§.131.

Mais le lien intergroupe apprend à chacun qui n’est pas seul et donc à terme apprend au groupe que la tête simplement quand mon émotion était bouleversée.

§.132.

Les mots instinctifs là m’apprirent que se défende (en évitant le coup ou en donnant le premier) était des moyens d’expressions.

Je n’en dit rien de plus que ce qu’ils étaient.

Ma mère m’ayant frappé.

§.133.

Je ne pouvais accomplir ce travail là.

Tant pis il fallait premièrement que j’étais fait comme cela.

L’expression était là pour cela.

On ne peut pas mais voilà les problèmes, les solutions qui sont devant soi.

En tant que déjà idéal.

Idéal. Se préparer à ce qui existera.

L’expression préparant ce qui pour l’instant ne se fait pas ou ne se coordonne pas (ou pas complètement.

§.134.

Comme elle avait mal aux oreilles les miennes vacquaient.

Je savais être en correspondances avec elle mais ne savais comment cela se faisait.

Une seule façon mon chemin continuer.

§.135.

Je cherchais des raisons pour maintenant rejeter celle qui m’avait habité si longuement.

Elle m’avait dit rejeter nos projets.

Elle m’avait menti.

Je sais que nos vies nous serions tout à fait capables d’à nouveau rassembler.

§.136. (encadré)

Je suis amoureuse de toi. Tu ne me crois donc pas.

Bien envie que ta vie repose sur la mienne.

Grognon peut-être mais rein d’inatteignable, inéteignable, en moi.

Mon soulagement d’être à toi.

Ta présence résume le dialogue permanent de ma vie.

Et je suis fort, je suis fort de t’être fidèle jusqu’à la mort et de savoir dans mon don à tout autre.

A moi. Au groupe. Que cette harmonie serait là si je continuerais à l’honorer avec ou sans toi.

Tu es ma compagne. Ma moitié.

Mais personne qui en mon âme ni celle- là même que DIEU t’as donné.

§.137.

Il aurait voulu mourir pour elle.

Comme un cadeau qu’on donne.

Qu’elle voit que –   –       – c’est à elle qu’il avait dédié ces souffles.

§.138.

L’aimer c’était s’apercevoir que ses départs n’en étaient.

Mais l’inconnu dû à l’exploration c’est à dire encore ne savoir comment se servir des différentes étapes.

§.139.

A voir comment mon corps réagissait. Instinct de défense même quand aucun mouvement de quelque chose pouvant me percuter.

De grands mouvement de défense (se protéger).

§.140.

Je ne le faisais plus simplement parce que j’avais dû et donner à quelqu’un d’autres ce que j’avais. Et ils étaient secrets et ils étaient précieux et ils étaient ce que j’étais. C’est à dire fort et amoureux de les avoir donner.

Et ne porter aucun nom la spiritualité.

Et c’est ce que l’autre savait qu’elle les détenait que je sus ce que le 1/3 ne révélait.

C’est de donner qu’on sait ce que l’on reçut et ainsi ne plus jamais en être séparé.

§.141.

Voyage.

Voix age.

On est en mesure de comprendre ce qu’il s’est passé, de retenir une leçon, de retrouver quelque chose son utilité, un événement du passé que lorsqu’on est prêt (par le surplus d’information ayant permis d’arriver à une certaine maturité.)

A honorer ce qu’il s’est produit et par delà même les vies par lesquelles l’événement a été joué.

Tout ainsi finira par s’ouvrir et faire savoir ce que de divin, d’essentiel il avait.

§.142.

Le poète ?

Et sa mystique est de s’adresser à son idéal, à son amour avec comme tout appui ce que l’existence lui a montré.

Avec le pen faire que le lien entre le reste puisse dire qu’il est.

Hape ans.

Apre rend.

§.143.

Cela me faisait rire de me rappeler comment ma mère me tabassait. Sachant combien elle m’aimait.

Combien elle est.

§.144.

Le travail est une valeur encensée, adorée car il permet à l’homme de soutenir sa soif (la base de sa raison d’être) de compréhension, de le soutenir ou il veut se diriger.

Pour réfléchir il faut tout d’abord manger.

Et pour manger il faut réfléchir à comment manger sans l’être et plus tard se nourrir sans tuer.

§.145.

Celle à qui je pouvais tout expliquer sans apparaître bête.

Ma mère.

§.146.

Je voyais dans les manières des autres que j’avais transmis ce qu’elle avait été et ne cessait de devenir (pour moi en soi) sans frontière ni d’individu, ni de lieux, ni d’avenir.

§.147.

La conscience de mon sexe, de son doigt, des parties de son corps. (Voilà qui prouve qu’en ce qui me concernait et notre affection tu n’as que jouée la comédie. Car cela n’a jamais existé entre nous.)

La conscience aussi que tout cela était un à un à moi autant à moi ce que je savais que les parties de l’autre se tendaient vers moi.

§.148.

PAIX.

La vie avance et on ne prend nul retard.

§.149.

C’est –     – voir la vie,cela donne des signes peut être en trouve t-on à foison dès qu’on enquête un peu au dedans.

Et puis ça les reprends.

§.150.

GOLDMAN, écrit :

Serions-nous brebis du troupeau ?

Ou larmes au milieu d’un torrent.

Chacun a suivi.

Chacun s’est rebellé autant qu’à tous est permis pourtant.

Les signes auxquels on tenait tant.

Aucun sacrifice n’était trop pour les maintenir opérant.

Ses signes qui faisaient que je pensait être de bout en bout maître ou de ma vie ou même pour elle éjectée, manquée.

Traduction.

Avait-il eu de l’importance ce que j’avais fait.

En fait tout bêtement c’est de la gravité de l’importa,ce que j’accordais à ce que j’avais rencontré que la réponse dépendais.

§.151.

Elle me reprochait mon humeur pourtant pour elle d’avoir la meilleure que j’expérimentais.

En gros je me fais de comment elle me voit.

Car le fait est qu’elle ne me voit pas.

§.152.

Evidemment il allait de soi qu’il me fit le reproche d’être tigre. Certainement tout autant que je le trouverais plus terne pour moi.

Il avait été sourd tellement psychosomatique que = Lui avait comme avoir menti, simulé.

Il devait tomber dans des entités chroniques pour comprendre que bel et bien il en souffrait, qu’il n’était pas déréglé, qu’il y avait danger.

§.153.

Elle n’avait pas compris que j’étais sa mère, c’est à dire lui disait comment j’étais capable d’aimer mais aussi pendant quatre vingt ans eu de cette univers.

Client tout de suite mais jusqu’à la fin son servant.

§.154.

J’étais rejetée des hommes tellement j’avais en moi mes qualités de rapace et ma complicité à la vie on ne peut plus complet lorsque mes mouvements croisaient les mouvements d’un.

Lorsqu’il bougeait son cou à mon arrivée, serrant ma poitrine ou que mes mouvements appelaient ce qu’il faisait.

§.155.

Un rapace qui me regardait était un rapace qui me donnait ses yeux.

Un rapace m’ouvrant les cieux.

§.156.

Il y avait les plus ou moins bonnes méthodes.

Mais les moins bonnes aussi des peuples, trouvaient absentes des meilleures.

Ma vie sera ce qu’elle sera, chérie.

Et elle est mienne car je n’ai besoin de personne pour l’aimer, ni même pour (t’) (m’) aimer.

§.157.

Ils étaient accusés d’être des prédateurs.

§.158.

C’est en mangeant la même chose que l’on sait ingrédient après ingrédient assaisonner au gramme près.

Savoir maintenir tout le goût de nature à plus sophistiqué.

§.159.

Les études ne valent que si elles laissent le temps à l’individu d’explorer ce que sont à elle ou, et en parallèles d’elles il peut découvrir comme secret.

Se créer.

§.160.

La rage.

Pour s’apercevoir que la maladie, croire à son malheur c’était se tromper.

A cet effet aller jusqu’au bout de tout.

Méchanceté du sort = sort de soi, l’autre.

§.161.

Défendre A.

C’est fait que B puisse nous délivrer.

Le secret permet de le protéger.

Le temps nous a partagé.

§.162.

Mon histoire d’amour.

Ma relation à la mère.

Nourricière.

Il ne me dérangeait pas qu’elle ai accès à tout ce que pour moi de plus extra il s’est déroulé.

Amour ce que j’ai permis qu’il soit fait.

Les détails ne se racontaient sans que soit pris des heures pour se faire sans lesquelles le fond de nos histoires nous feraient passer pour cinglés.

La relation intime.

La relation intime à l’art.

Prenait le temps de décomposer.

Comme chaque chose contient le sens de l’entier.

Le cercle.

L’art est ce, se fait.

En transformant son histoire personnelle en une.

Regroupant toutes les histoires qu’on connaît et qu’est-ce que l’on dirait pour expliquer ce qu’il s’est passé à cette mère qui serait justement tout ce qui nous a accueilli, hébergé et sevré comme chassé.

Art.

Le cycle – généré.

§.163.

On finissait par dire n’importe quoi.

Une confirmation que la souffrance dépassait notre intelligence.

Je me cassais la gueule.

Car à lutter, repousser contre ce qui me gênait sans me donner la peine de l’aider c’était tout bêtement reproduire le problème comme on l’avait rencontré.

Etape avant de pouvoir : Repasser.

Déplier.

Détendre.

Dérider.

Rajeunir.

Le temps n’est pas une fuite en avant.

Et tout finira par être fait.

Et il n’a de passé que ce qui sera à futurement considérer.

(Non ! Jamais rien ne se fera si tu es au loin je m’opposerai à tout : Passé comme Futur.)

Re considérer la page d’avant. (J’ai dit : NON.)

§. 164.

Compléter quelque chose au lieu de l’affronter exige stabilisation de l’évènement.

Situation.

Enseignement.

§.165.

Institution.

Rôle situationnel.

Un écoutant, un écouté.

Les deux cette possibilité là créent.

Exige confiance.

En commun.

Partage stricte.

Ou pas strict tant que l’intérieur du groupe n’a pas de relation précipité avec extérieur à lui.

Quand seront vues comme complémentaire ces spécialités servant chaque individualité comme indivisibilité le groupe, tout groupe servant.

Dépassé ajustement.

Faire appel dans ses Réserves pour se propulser.

Tout en même temps que de le reprendre le travail et techniques indépendantes des réflexions passées.

Afin que justement elles ne viennent pour combler un vide.

Et cet espace à reprendre, cacher par d’autres que l’apport du nouveau va convier.

Pourquoi voit-elle un arbre et pas la colonne vertébrale de papa. Qu’est ce que son réseau de corps humain n’a-t-il pas encore compris de la fonction vitale de son végétalisme ?

§.166.

Le couple.

Connaître la capacité de l’autre.

Accepter de l’incarner.

En reconnaissant qu’on doit être prompt à changer d’attitude, celle de l’autre pouvant être tout aussi apte à être par notre intermédiaire.

Répercuter.

Intimité.

Amour-propre.

§.167.

Poids, masse,volume, densité.

Tout paramètre est quantifiable.

Et ce qu’il mesure est la matière en train de traiter.

D’où différentes formes et réalité obtempérant avec elle même s’adresser.

Consciente de sa communication.

Avec les mesures qui se reconnaissent puis vont pouvoir penser à se compléter plus inconsciemment échangeant avec ce qu’elle n’a réussit encore à sentir comme étant soi mais qui pourtant l’est.

§.168.

Faire des enfants relatif d’un esprit.

Ils relèveront la famille.

Ils relèveront le monde.

§.169.

Elle jouait au tyran pour signifier aux autres l’impression qui lui était fait.

Son propre support, rythme, initiative de pensée permet de laisser à ce qu’on a déjà vécu de se coordonner.

D’eux-mêmes et de nous initier en même temps.

Peut s’intercaler ce que travail avait.

§.170.

La fin de la torture c’est la fin de la rupture qu’on décide de continuer ou de s’arrêter.

§.171.

Je ne savais ou elle était mais en Amérique ou aux cieux, nos esprits continuaient de communiquer.

La mémoire faiseuse d’esprit.

Le grenier.

Une coupe ! Anglaise.

§.172.

Le corps une raison à l’esprit.

Donné.

Permets.

§.173.

Importe la violence, l’incontrôlé avec lequel on l’exprime.

§.174.

La sexualité, La corporalité de chacun en interaction avec chacun est l’unique assurance consistant à dire oui je t’ai remarqué.

Consistance.

Procréatif. Relève, éducation ou assaillable- danger- déstructuration.

Confrontation ; inévitable des réalités.

Réalité inévitable à notre bancale.

EVOLUER.

§.175.

Le visage que je ne lui, (me) connaissais pas.

Nécessité de le trouver et qu’il nous manquait de pourquoi.

Quoi ?

Comment ?

§.176.

Immaturité avant qu’elle me quitte crût m’accrocher à elle par le malheur, la charger de la faiblesse ne voyant pas comment à l’époque je pouvais atteindre la force qu’elle m’inspirait.

Jalousie chantage.

Blessures multiples.

§.177.

L’on comprend quelque chose de le constater. Observations.

Expériences.

La réflexion résulte seulement de l’expliquer.

Un événement, deux évènements, pouvant prendre une telle place dans sa vie.

§.178.

Que d’eux une théorisation. (Théorie)

Une loi, c’est à dire au préalable lrs avoir senti sur son propre corps régner, légiférer, fonctionner.

L’émotion passe et   –   –   –   -.

§.179.

Après ces gestes convulsifs de défense, ne s’apercevoir que c’était l’attitude de celui qu’il avait battu qu’il adoptait ou craignait d’adopter comme si le bourreau avait de sa victime exigée d’avoir son action. (Symbole d’une intention, projet.)

Comme attention commune que ce soit pour la reproduire ou la compléter (Ce qui n’a aucune espèce d’importance. Ce qu’on qualifie d’affirmation ou d’in finition de soi, qui ne l’est jamais car en permanence en train d’englober).

§.180.

Refuser la douleur ou la difficulté (qui peut être d’admettre qu’au sein d’une ou un événement (mortel) on peut connaître la paix.

Refuser l’émotion c’est se –   – dans le sens tout (car l’avis qu’on porte en soi même est l’idée qui peu l’apréhension de tout le reste se faire.

Refuser l’émotion c’est se sur estimer.

C’est empêcher que se développe vers l’extérieur ou de l’intérieur ce qui venait.

§.181.

EVITER – CHERCHER.

Le choc.

§.182.

Le poète était parce que d’autre éprouvait du plaisir à lire.

§.183.

L’art est un outil, un support d’une sensation.

Libérée.

Et consciente donc futurement créatrice de liberté car partant de moments observables donnés.

Discutables.

Insaisissables. Aux carrefours des pensées.

Montrualiser quelqu’un.

C’est le penser comme étant ce qu’on pense de lui (Par rapport à ce qu’on croit qu’on sait.) (Merci de savoir rendre justice mon petit bijoux de Caroline d’amour, puisque toi tu sais ! LA VERITE.)

Perdre de vue qu’il a justement tout ce qu’on ne sait pas a transporter. (Et si il ne veut plus comment ils font ? Ils l’auront au tant et en heur que ce qu’ils m’ont fait vivre !).

§.184.

Le fait d’avoir appris à son corps à exploser après échauffement et lui apprendre à se libérer, de ses tensions. C’est à dire lui donner le diapason pour qu’au repos ( = sans l’aide du sport mais dans les postures obligées  de l’exercice de son train de vie au quotidien) il puisse lui même se placer de façon à repartir le poids en lui, c’est à dire de ne pas se surcharger 2.

Travailler son équilibre en toute occasion             sans tension.

Travailler en soi             la citation.

§.185.

La JALOUSIE s’exprimait en moi quand écrivant quelque chose je sentais que cela avait était déjà pensée sinon communément au moins par quelqu’un donc par tout le monde senti à un moment.

C’était une jalousie car atteler à ma tâche (Ressente pour moi comme ma source de vie) je remettais en cause l’aspect vital qu’elle avait ( donc mon utilité) car évidemment essayait de maîtriser avait comme leçon qu’il n’y avait de maîtrise, seulement jamais que des pièces.

Et ma seule reconnaissance possible, elle me donnait vie.

§.186.

Être gourmet me servait quand les aliments ne me font plus saliver tout le temps, ça sonne la rassasiaille.

§.187.

NUL, rien ne mourrait c’est ce que je devais lui confier pour que le socle du tabou, du meilleur soit soulevé.

Cette levée du socle encore plus cérémonieux nous rendait.

Non vis à vis de la mort mais du imputer que l’on admettait.

Présence sans relâche elle devenait.

§.188.

Le traumatisme de l’inceste pour lui l’homme sexualité était vécu comme. (On retombe dans la connerie ?)

Car ne s’était jamais permis de convertir son désir de fonder une famille avec le même sexe alors des sentiments aussi fort assimilés à cela, n’avait comme source (non pas ses petits amis ou ceux dont il aurait voulu qu’il en soit ainsi mais la seule histoire consciente de cette intensité était rattachée au frère, à ses propres parents. ( Exact AUX FOUS !)

§.189.

Elle était enfin amoureuse.

Et lui qui était amoureux d’elle pouvait enfin car son esprit à elle n’avait plus besoin de savoir qu’il était dans ses filets. Etre libéré. Il n’y avait tout simplement plus de place là ou il était.

§.190.

Je suis folle amoureuse d’elle l’avantage avec elle c’est qu’elle ne le voit pas.

§.191.

Je ne dis pas que t’es pas un grand garçon ?

D’ailleurs tu le seras d’autant mieux si tu laisse mon côté maternel et le soulagement = (meilleure compréhension de mes sentiments) lorsqu’ils s’expriment.

§.192.

Il fallait user de sa plus grande virilité pour pouvoir que sur elle s’appuie sa plus grande feminité.

§.193. (encadré)

Le code du langage était fait pour que ceux qui s’alliaient aient quelque chose à s’expliquer et que ce monde là ne soit pas pour les autres percé.

Parallèlement, l’attitude de chaque individu comporte cette dimension ; c’est à dire se veut trompeuse dans le sens qu’il à amené à être ainsi exprimé si celui qui est en face ne cherche pas à plus longuement et profondément comprendre l’individu qui lui fait face.

On devait s’harmoniser et arriver à quelque chose de l’ordre de la vie, de la création, de l’évolution, à chaque fois que cette étape  s’accomplie; faire sens; s’accoupler.

Ce désordre une apparence, image de notre incompréhension, le devoir d’accomplissement rattaché à celui de complétude.

Aller vers l’autre.

Le monde.

Soi même.

Croisade combat divin et originel.

§.194. (encadré)

Le port du signe ( informe en tout genre) représente pour l’individu l’emblème de toute l’autorité, la difficulté le combat (implicitement pour tous même si conceptuellement maladroit) de sa communauté. L’uniforme lui rappelle que sans lui toutes les responsabilités et habilités et paramètres à perdurer, endurer, contourner. L’uniforme est le spectre du devoir et du droit que l’adaptation des sociétés parmi les autres sociétés, clans nous force à observer: se tapir, revêtir, (se) représenter.

§.194.

Le port du signe ( uniforme en tout genre) représente pour l’individu l’emblème de toute l’autorité, la difficulté, le combat (implicitement pour tous même si que conceptuellement  retardait) de sa communauté. L’uniforme lui rappelle que sans lui toutes les responsabilités et habilités (habilitations) et paramètres à perdurer endurer ; contourner l’uniforme est le spectre du devoir et du droit que l’adaptation des sociétés parmi les autres sociétés nous force à observer se tapir, revêtir, (se) représenter.

§.195.     

Je le sens. Me sent mieux.

Ça y est il peut tousser.

§.196.

C’est fait.

§.197.

C’est les limites et rôles.

Exemple naturel de la maturation de gens à certains stades et dans certains domaines

Ex : Maturation sexuelle. Diversité des relations féminines que l’on comprend qu’un geste n’a pas de signification.

Gestes connotation sexuelle mais cette connotation à pour code à la con faire pour être remplacé car ne peut Jamais communiquer notre exacte pensée de pensée de tout à façon.

§.198.

Avoir un geste envers quelqu’un ne correspond pas à nos façons, façon de faire ou de lutter en pensée

Ex : penser le geste c’est quand j’ai envie de taper ou moment où notre vie sur le champ on lui donnerait.

§.199.

Rapport au temps.

Sérieux, besogneux, besoin d’une vie réglée.

200.

Le n’importe quoi.

Le flou.

Permet. Nécessite.

Implique.

Une détente  ou flottement dans la façon de s’organiser.

Le pouvoir réfléchir et son allié ou opposé.

§.201.

La muse du poète sait qu’il est inspiré par les choses les plus prosaïques.

Et par cela elle le ramène à la réalité.

La réalité qu’elle pense être mystique.

Ne pas bloquer l’émotion.

A quoi sert de penser.

Si ce n’est pour amener à la communication.

§.202.

L’excitation de provoquer, d’agir sur un corps et que l’autre indépendamment de nos gestes même dans le même désir : Veuille aussi le satisfaire autant que le susciter.

§.203.

Les inachevés, incomplets d’un moment permettent de suspendre notre action, naissance d’une conscience d’observation donc de se fabriquer maternellement.

Et comment faire autrement. Ces situations où on avait appris à devoir protéger et l’autre sans parler de soi-même.

§.204.

L’avancée dans le temps était atroce car soit qu’on approchait de l’heure qu’il aurait choisit pour se déclarer, soit penser cette heure de mes espoirs les plus fous c’est à pas d’appel du pont que je deviendrais.

Donc après tout aujourd’hui pouvait être un beau jour qui un peu plus encore me permettrait moi d’avoir une idée. De me fixer.

Faire ce qu’on peut est donner à l’autre de faire de même.

Relation de confiance dans laquelle on assoie ses qualités et ce qui ne se fait avec l’autre n’étant pas à regretter, car les qualités sont elles préservées et n’avoir à se dire de devoir recommencer.

J’ai fait ce qui était en mon pouvoir, une autre page, peut alors se tourner exempt l’autre de tout regret.

§.205.

Je suis sûrement la dernière des connes.

D’ailleurs je t’ai aimé.

§.206.

Je ne cesse de penser à ce qui s’est passer.

Est ce que cela s’est passé pour que le puisse y penser.

Puise et penser.

Une halte. (une Balte ?)

Résoudre, ressoude.

Une avancée.

J’avais marqué un code, le fera comprendre à toutes les équations celui qui le trouverait.

Divin et dé.

Coïncidence.

Ce qui sous la main s’est trouvé.

§.207.

L’erreur d’interprétation venait que j’avais parlé de cet objet ? C’était celui d’un autre. Mais il m’aurait fallu préciser sans pouvoir le moins du monde vouloir le dévaloriser.

Pour moi elle n’était plus que les larmes qui étaient sorti quand elle m’eut laissé, non quand nous n’eûmes plus pu nous enlacer.

§.208.

Ce panneau me ferait penser à cela chaque fois que je passerais.

En quelle mesure n’appelais-je pas les choses à le rencontrer où à penser lorsqu’elles arrivent.

§.209.

Ne pas au présent se raccrocher.

La démesure qui nous fait à n’importe quoi s’accrocher.

Pour vivre le présent et l’avenir épouser.

Etre puissant sans batailler.

Plus de tort quand le présent se fait passé.

§.210.

L’amour d’un commun accord.

Lui donnant ce que je suis, ma vie, tout les autres en elle se sont inscrits.

Et ma mémoire, leur apport me suit.

§.211.

A peine supportable, nos particularités ainsi nous rendaient.

Ne pouvoir supporter au quotidien que moi et moi que lui.

Nos rigueurs nous envoyant tous travailler et par l’un ou l’autre la rigueur qu’on sait devoir tenir à comprendre celle-ci de l’autre.

Explosait en câlin où toute la récompense de tenir nos paris, peut tout entier du gage de notre amour chacun de nos efforts en tout.

S’abandonner.

Se protéger.

§.212.

Je suis malheureuse de vouloir capter quelque chose qui m’aurait (moi et ma vie) calculé.

§.213.

Sa mort. La rigueur sur une personne.

Voir ce que sa propre présence peut provoquer en l’autre provoque en soi.

Au même degré le désir de se renforcer.

Pour pouvoir ce lien resserrer.

§.214.

Ne pas être épuisé ou ne pas avoir d’emploi de son temps au maximum sensé faire qu’on –    – des situations dans l’objet de perdre du temps.

Pas de sport ? Je fais des allés et retours dans les rayons.

Ou pourquoi pas attendre pour rien, mieux vaut ça que de se vautrer devant lé télévision.

§.215.

Notre intimité pouvoir me dire ; Je t’aime.

Tandis que je rêve pouvoir toujours la regarder.

§.216.

L’autre caresse ton visage.

Sentir que tu es et que je ne sais pas partout ou elle ?

Une mémoire, pour psychiquement retourner à un moment donné.

Position d’un présent d’existence.

Coordonner ces moments les porter, liens vers les moments qui restent à féconder.

Retour vers le passé.

Le futur atteint une fois que le présent peut faire à ces appuies se projeter.

On demandait à un d’incarner les tensions car sinon comment s’en occuper.

§.217.

Tout le monde courait après l’argent car de cela dépendait notre condition de vie à court terme notre souci, pour rester on ne doit tomber.

§.218.

Les femmes très féminines considéré, comme des prostitués.

Les femmes féminines.

Comme ça, se battent pour le droit d’affirmer le style qu’elles choisissent et ainsi le revendique, le plus pointu des guerriers.

Puisque toutes les guerres A contre B ont toutes quelque chose du combat du prêt à porter.

§.219.

Vu enfant.

Je passe à côté.

Une grimace. Pas terminé.

Mauvaise humeur de ma part.

Je me mets à m’entêter. Je me remets.

J’accepte sa grimace, je me dis, mais qu’est ce qui en toi peut se passer.

§.220. (encadré.)

Le couple jaloux.

L’est de ne pas voir que c’est tous les rôles qu’il joue.

Du père, de la mère, de l’enfant, du collègue, de l’événement, de l’environnement.

Ne pas penser être quelque chose de défini est, pouvoir vivre un amour infini recueillant tout.

§. 221.

J’avais pas mal de force de ce côté.

En même temps que beaucoup de chose y restaient bloqué.

§.222.

Bourg la reine.

Salpé de fiancé.

(Salope de France).

§.223.

On peut savoir ce qui se serait passé si je n’avais trouvé toute seule que tu m’aimais.

Il ne se serait rien passé.

C’est tellement de fois amitié.

Remercier.

§.224.

Le voile.

Préservation hygiénique, fécondité, vie.

Obscénité de la longévité sans conditionnement.

§.225.

Il ne pouvait pas recevoir mon enseignement puisque je ne le considérais pas comme mon égal ce qui voulais dire que moi-même n’avait pas compris ce que cette nouvelle situation m’avait apprise.

Car l’enseignement à tout enseignement est qu’une délimite dans ses extensions et – –       – (donc inter dépendances et connaissances, ce qui permet le raisonnement le pas ç pas, le défilement, le suivi, la cohérence.

Touchons faisons la sensibilité des choses, leur coordination, résonance, s’appliquer, s’affiner et toujours plus loin se raccorder et plus précisément.

§.226.

Rébellion interne.

Porter le même uniforme le permet (Fascisme aussi se combattant entre courant de pensée.) autant de fascisme dans un groupe donné « nazi » et combattant psychiquement que dans un groupe d’humaniste.

Même uniforme  permet d’oser les codes, d’expérimenter ses traits, tolérances et résistances sans se mettre en danger.

§.227.

Séparation des sexes.

L’homme pouvant relancer les sentiments de l’homme.

La femme pouvant relancer les sentiments de la femme.

Pour le sexe opposé.

Différentes énergies s’exprimant,sans que pour autant celui qui en sait l’objet qui l’a provoquait le veuille en son âme.

Tu ne sens donc pas que j’ai une touche avec toi.

Si représenter par le sexe opposé, cela est court circuité ainsi que le fantasme associé et son danger.

§.228.

La logique du mystique dans chaque chose car la mystique naît dans les différents degrés ou différentes compréhensions d’une chose avancent à tous les coups à mesure qu’on peut y retourner.

 = A force d’y travailler.

 = De le produire.

 = De l’analyser.

Universalité, spiritualité.

La contemplation d’une botte d’herbe y suffisait.

§.229.

D’où la fascination, tradition.

J’ai enfin toucher la main qui la masse.

Tu te lasseras de ce que tu fais.

Ma main set blessée.

Je la soigne de pouvoir te toucher.

Je voyais mon corps comme pas nécessairement à moi raccroché.

Mais comme un objet, une vue me raccrochant à un aspect de la réalité.

Une forme et la forme ne tiendrait.

§.230.

Qu’est-ce que la mort si on se voit délaissé.

Si on se voit tout court donc telle une extériorité.

§.231.

Reconnaître ne pouvoir changer le monde, toute fois le vivre chaque seconde.

C’est reconnaître comme du monde être puissamment seul.

Puisque tout être.

Tout nous accueille.

Pareil seul.

§.232.

Se relever de la culpabilité.

S’appuyer sur l’énergie mal consommée = Pêcher.

§.233.

Tu dois « sourire »

Tyrannie.

§.234.

Mon boulot ce n’est pas un boulot.

C’est ce que je suis.

C’est ce que je fait.

C. T. C.

C’était essai c’est.

C. V.

Sept et sait.

TAIT.

S’en – tendre.

Sens tendre.

§.235.

Set et sait.

§.236.

Elle ensemble apprend à être impatiente.

J’apprenais à être patient.

Nous apprenions toutes à être.

Amoureuses.

Entre accepter la passion et accepter de l’entretenir sainement d’être attentive, et mesurer bêtement pour calmer et non enfouir ou exalter les plus douloureux.

Ce que l’amour est capable de regarder en face pour prêter main forte continuer, embellir, réussir.

Que les forces puissent se conquérir !

Ô ! faire.

Offert.

§.237.

L’amour des mots.

Les choses en différents problèmes, sons moments, évènements, significations.

Vibrations.

Ces choses qui se transportaient.

Et à chaque fois d’autres choses se formaient.

Et tout le temps rappelaient appelaient.

§.238.

La maturité.

S’avouer que son expérience n’est qu’un parmi des milliers d’autres et d’autres façon sans lesquelles elle aurait pu se manifester.

La maturité c’est savoir qu’à chaque version c’est l’intimité d’autres dont on va rester sans être par elles mis au courant.

La maturité sang gage.

Sans gage.

§.239.

Se sentir seul c’est moment privilégié.

Choc.

Je suis une belle salope mais je ne le fais jamais exprès.

Ma grand-mère quand après une connerie m’entendais dire que je ne l’avais pas fait exprès.

Disait.

Encore heureux et me baffait.

§.240.Le temps fait que jamais personne n’eût pu plus que moi t’aimer.

Destin.

Des teint.

Tint.

Pas sait.

Savent.

Sert.

§.241.

La notion du destin est un mot connu pour chacun.

L’expression de ce que pense les uns et les autres de l’impact du tout sur leur vie dont on ne peut (nous ne pouvons) mesurer les effets car ici ce qu’on désigne par le tout est ce qu’on ignore totalement de ce qui se passe et donc on va prendre ce qui arrive dans nos vies comme des signes de l’interpénétration des forces extérieures, à notre connaissance sur les courants de notre propre avancée.

L’idée de destin est savoir que d’autres choses (à forciori régulières et qui prend donc forme de signe que l’on va codifier) apparence logique, structurée même si nous ignorons quelles dynamiques eux suivent). l’idée de destin qui entraîne à interprèter.

et laisser traîner, voguer. vaux-guêt.

§.242.

Non pas que je ne croyais plus en l’amour mais je ne cherchais plus à y croire. (Ah ! Toi aussi ? Moi ! Je ne peux plus, et tu y es pour une part, finale, d’achèvement !)

C’est à dire à vouloir un autre à l’image de comment je croyais qu’il pouvait me l’apporter. Sur un plateau dressé.

§.243. (encadré)

J’éprouvais la profonde impression de n’être peut inciter.

Je savais que l’on en veut plus, ne pas faire ça, car de l’autre côté les autres se disaient que c’est ce que je voulais faire qu’on avait fait.

Alors je ne ressentais plus rien.

Je savais que cette sensation là il ne tenait qu’à toi de la faire dégager.

Je savais que le désir de vengeance ( de dédain, toutes les façons d’entraver quelqu’un) n’étaient que des moyens utilisés pour se faire croire qu’était utile cette rancœur (venue en fait de ne comprendre pourquoi le s choses ainsi se présentaient.)

§.244.

Et elle qui n’avait pas vu que je l’avais aimé que j’aurais pu continuer.

Elle qui avait crû que ma sincérité voulait l’emprisonner.

Je m’étais rendu pieds et poings liés, je m’étais montré comme j’étais.

Par cela mes risques de pouvoir donc ne plus se trouver (se reconnaître, admettre nos combats pour notre liberté, combat qui nous déchaîne et nous enferme et dans ces deux cas, l’on ne doit oublier que dans cet enchaînement de naissances de découverte et le camp qu’à chaque coup il faut lever. Que l’autre, que tout autre, que soi même va se voir transformé, se perdre ou se trouver mais qu’est-ce que cela implique et cela nul ne le sait.

Tout combat.

Ses perpétuels dangers et dégoûts.

§.245.

Elle emportait avec elle cela.

Elle croyait m’avoir démasqué.

Elle avait pu détruire ce que je lui avais confié, (Ce dont j’avais crû qu’elle veuille se charger)

Ce qu’elle ne pouvait plus toucher, atteindre, ces choses encore plus secrètes et se rapprochant, s’encrant, reposant en moi.

§.246.

La mort apprend à ne pas aimer les choses pour ce qu’elles sont ( = ce qu’on croit ou voudraient qu’elles soient)mais pour ce qu’elles représentent).

Le symbole qu’elle porte. C’est à dire qu’en ces conditions on admet ne les avoir pas mais être en relation in destructible avec elles dans ce qu’elles représentent pour soi et dans ce que notre réflexion à elle toute notre vie nous apportera (enrichi si on le souhaite de chacune des respirations que l’on aimer terra.)

§.247.

A nous.

A nous.

Comme l’enfant qui grandit.

§.248.

Il fallait laisser faire les réflexions qu’elle faisait, une réflexion était une réflexion et s’appliquer, allait faire son petit –      – donc valable à toutes les gares, pour elle, les autres.

Et me des, dès, servant aussi.

§.249.

La violence, est la peur dérisoire de se débarrasser du danger.

§.250.

Elle pourrait me dire n’importe quoi sans que je réagisse parce qu’en des moments il n’y avait plus que  « tu vas lui répondre que j’écrit comme l’argument que j’attendais.

§.251.

Au tel.

Je suis sur la route.

Il fait nuit ici aussi.

§.252.

Ne pas prendre de la glace alimentaire était important pour son père comme si on devait lutter contre cette sucrerie comme on aurait refusé la première cigarette.

Manger de la glace était important pour sa mère car si de faire attention à l’équilibration (équilibre) la diversité des repas.

Etait enfin permis. Améliorable aussi.

(Donc une bande de fous, c’est bien ce que je pensais !)

§.253.

Je ne l’appelais pas.

Quoi qu’il en pense je m’en fous.

Un  mot juste un mot m’éclaterait le cœur cette fois.

§.254.

L’art.

Collections de tous les moments de vie.

Tout ce que le monde supporte et subit des persiflages

Persifle – age.

§.255.

Nous rappeler.

Mais que faut-il devenir pour que nos vies puissent gagner.

L’art remet en condition.

L’art échantillon.

§.256.

Comparé à quand on est enfant.

Toujours c’est quand on arrive demeurant.

La patience de savoir qu’on peut puiser l’énergie de la vie en tous moments.

Qu’il faut savourer comme autant de présents.

§.257.

Nos grands sentiments d’amour là.

Pour nous rappeler qu’à tout age l’on su ensemble ce qu’était la vie.

Sa et.

Ça savoir s’ouvrir.

L’avantage c’est que ça ne me demanderais pas beaucoup d’effort pour t’assurer.

§.258.

Machisme.

La femme ne sait pas conduire seulement quand, troublée elle voit un homme passer.

§.259.

Je m’arrangerais pour que tu sois là.

§.260.

L’imagination ou au delà.

(Action)

En avoir besoin car ce que je sais provenir de mon esprit que ce soit par la construction de mon imagination que par l’exécution.

Tous ces phénomènes là ne peuvent m’inquiéter.

Par contre l’évènement de ce à quoi je n’avais encore pensé ou participé est un facteur extrême d’inquiétude même quand il est de bon augure car de toutes les manières il peut à tout moment m’échapper.

§.261.

L’esprit tendait donc à tout imaginer et tout expérimenter dans le maintient à sans peine de déguster, savoir au moins ce qu’on est en train d’ingérer.

§.262.

Il pouvait arriver tout les trucs les plus insensés ; Cela n’importait tant qu’on les avait pensé avant, auparavant, donc qu’on assimile comme n’étant de notre côté.

Le maudire, militant finalement imprévu, atomique devenait une bombe à retardement.

Attention tu ne sais pas tout, tu n’es donc pas tout, alors qu’est là la condition, la mort annoncée.

§.263.

Charisme.

Le travail fournit dans la pensée, puisqu’on avait le moyen de directement se réaliser dans ce qu’on avait souhaité.

Il fallait faire le cuisine, il fallait faire X, Y, Z, au lieu de ce qu’on voulait et la faire d’en passer par là au nom de notre non perdu de vue finalité alors c’est dans la mesure de nos sens, de notre énergie que l’on parvenait à gagner.

§.264.

La délicatesse est de savoir que le danger est redouté car suspendu à toutes les têtes.

Lutter contre la douleur prendre le temps.

Améliorer ses conditions.

Conditions insupportables que lorsque l’on en change.

La vie est courte.

Elle y voyait l’expression d’un désespoir.

Et bien ! Je peux affirmer que non.

§.265.

Les signes extérieurs des esprits.

Papa décédé qui me parle en faisant craquer la lampe qu’il m’a donné.

Les signes qui nous disent que l’esprit n’a pas besoin que l’on y pense pour continuer à exister.

Des vies indépendantes sont en train de continuer.

Chaque signe et croyance est aussi un au revoir à ce qu’on pense que notre propre vie à d’exhaustive.

EX haussé.

Exaucé.

§.266.

Ce qu’il y avait de magique entre elle et moi c’est que qu’oi qu’on faisait ? rien ne deviendrait pour autant notre amour.

On le faisait puis voilà.

Notre amour étant tout le temps aussi profond que comprendre et admettre pourquoi.

Que comprendre et aussi profond et allant avec nos passions.

Profond car rien de grave.

Tout se suivait.

§.267.

Tout ce qu’on peut faire de nos mains l’esprit sans d’autres supports que le mouvement qu’il espère en ta matière peut refaire.

Opération à cœur ou Vert.

§.268.

Le tabou de la sexualité vient qu’elle s’explorait majoritairement au contact des membres de la famille entre eux.

Donc tabou à toutes directions de l’inceste lié.

Et puisque aucun contrôle possible dans les familles sociétés démission de l’inceste.

§.269.

De deux choses l’une.

Soit ?

Soit ! On resterait ensemble et j’avais pas fini d’en chier.

§.270.

Emotions corporelles.

Quoi ? Nos sens étaient-ils connectés.

§.271.

La douleur venait que l’on se refuse à se dire que quoi qu’on en pense ou quoi qu’il puisse se passer, ce qu’on ressentait (d’intense pour, via l’autre) ne pouvait de toutes manières qu’exister.

Et quant aux mauvaises pensées oui c’est à ce point là que nous étions en train de combattre.

§.272.

Le retentissement, la répercussion  l’émotion résonnant en moi que les choses pouvaient prendre à certains moment était la résonance de ce que pour moi ma vie était suspendu à cet objet ou mouvement = ce que j’en fait à quoi il sert ?

Qu’est-ce qu’il produit ?

Quel signe ?                   

Symbole ?

Répercutions ?

Liaison ?                     }On lui a.

Attribué.

§.273.

Il savait que son père avait séduit sa mère en lui écrivant.

Le couple qu’il admirait.

Et lui aussi ces sentiments c’est à l’écrit qu’il y pensait et repensait.

Qu’il régulait, installait, officialisait, sécurisait ce qui en lui se déroulait.

Revivait.

Ravivait.

§.274.

Je te regardais seulement pour voir dans quelles directions tes yeux, tes gestes partaient.

§.275.

Première prise de notion.

Une couleur.

Deuxième d’affirmé.

Autre couleur.

Sélection dans le déjà sélectionné.

§.276.

Je n’osais pas reprendre contact avec les gens que j’aimais.

Se sentir bannît des lieux, m’occupait.

Toute cette sensation de malheur  (du plus que rien ne peut plus arriver) tout entièrement m’occupait.

§.277.

J’avais pris tellement l’habitudes de marquer toutes mes pensées que maintenant en moi elles restaient jusqu’à ce qu’elles arrivent à l’état d’inventions.

Comme ils étaient convenues qu’il se devait.

§.278.

Malheur.

Tu choisira une femme meilleure que moi  .  .  .  .

C’était le genre de phrases attristantes dans lesquelles elle se réfugiait ? Plus rien à ajouter.

Si lui prouver tout le temps que le cœur de ma vie elle était.

N’avoir pas comme un état, mais c’est vrai qu’à vouloir moi aussi tous les jours il me fallait savoir comment lui redonner.

§.279.

Il parlait plus fort qu’elle.

Parce que sinon dans sa tribu lorsque n’était le cas qui se passait.

La femme alors recevait une beigne.

§.280.

L’émotion, être dans la personne de l’autre.

Quels blocages et quelles poussées fort que c’est là que nous en sommes arrivés.

§.281.

Si je manquais cet examen.

Ils auront le droit de me quitter.

Sans que je cherche à le tuer.

§.282.

Elle ne couperait pas que mes défauts n’étaient pas des trucs que je pensais que l’autre avait mérité ? une situation que je laissais se produire (mais dont je pouvais paraître être l’acteur.

Alors que simplement comme le pire des dressages, ces choses réapparaissaient.

Elle ne couperait pas que c’était au-dessus de mas forces.

Que tout ce que j’exprimais était ce contre quoi, non pas que je ne pouvais pas, je luttais.

Je paraissais parfois en accord avec ce que les choses disaient.

Toute ma force et le jeu qui le faisait se développer avait.

Le nom, la forme, de ces discussion problème porté.

A s’être réconcilier avec tout, tout à sa place et devient moteur.

Raison.

Stabilisateur.

§.283.

Vieillir. C’était se rendre compte que son temps passait dans un monde ou ne pouvait donner de terme.

§.284.

Ma dévotion à lui était de cet ordre.

Soit-elle rejoignait ce que je croyais avoir compris de lui et ce qui l’en rendait folle amoureuse on non.

Soit-je revêtais et j’en serais folle heureuse.

Soit cela ne marchais pas et je sentirais pareil soulagement à m’en débarrasser.

Et recommencer la détermination. Le langage de soi à soi, par la préoccupation de, vers, l’autre affinée.

§.285.

je roulais à 130 au lieu de 70.

Heureusement je n’avais pas mon permis sur loi au cas ou il aurait voulu me l’enlever.

§.286.

Exercer sa volonté.

C’était commandé, analyser, voir comment les choses s’opéraient sur une perte de soi.

C’était pouvoir se concentrer en se dévorant.

C’était pouvoir se sentir que notre propre main pourrait nous soigner indépendamment (reconnaître le mal et apporter le bien en même temps)

§.287.

J’en programmais. Elle me rappelait que si ce n’était alors rien ne serait.

§.288.

Aider A ou B n’est pas une perte de temps jamais.

Car ils arriveront avec la lumière ( la certitude d’agir justement qui par la suite inspirera en tout cas que leur recommandations susciteras.)

§.289.

Elle disait mes C.D.

Elle avait raison.

Puisqu’ils m’appartenaient, autant.

Elle avait le goût des choses qui n’ont donné leur genre.

Suivant les avoir vu, du, avec distance ces choses qui nous ont ré-apprivoisés.

§.290.

J’étais stupide et personne là pour m’engueuler de ça.

§.291.

J’allais courir.

Je pouvais penser à lui pendant ce temps là.

§.292.

00 Heure – 11 Heures.

12 Heures en coupure.

Si grave pépin.

Salope de patron.

Pas assez de cours.

2puisé sans rien n’entendre de l’anglais dans des routes en lacets ou le routier  de ligne se sent obligé de rouler à 110 au lieu de 90.

Sportif obligé.

Heureusement sanction pend au nez.

Heureusemenr le retour de jour se fait.

Ride. Cet été 4 heures de sommeil.

Je puis le chacal.

Cela ira rejoindre la barquette.

Rideau encore comme si –      –       -s’arrêter de nuit.

§.293.

Je ne suis pas bien.

J’ai déjà assez (me pose) de problème avec mon homosexualité.

§.294.

S’occuper des uns.

S’occuper des autres.

§.295.

J’arrêtais de me battre, quand dans ma réalité il ne me paraissait plus être alors à moi-même non plus je persistais.

La mort ? Ce que par mes négligences, la mort était une rencontre.

Si nouvelle.

§.296.

Je regrette de n’avoir pas dormi pendant plus de trente six heures.

Pour t’appeler comme cela : 1 –  Je suis déjà assuré.

2 – Je serai encore plus clair.

Que d’habitude = mon échec à cela pourra avoir à cela encore été attribué.

§.297.

tout ça pour dire que je ne me sais pas rendu compte et que je ne la referais pas.

Expérience

§.298.

On avait parlé de la mort. On avait fait sauter le blason.

Mais maintenant que nous savions à quel amour, à tout l’amour ceci correspondait pour nous (entre ceux qui était parti et ceux qu’on ne pourrait accompagner jusqu’au bout)

A chaque fois qu’il était question d’elle tout ceci (et ces dangers) était autour de nous.

Me quitterais-tu, la mort en cette vie demeurait celle qui ne me laisse de répit.

Il fallait simplement que je cesse de penser comme indispensable à elle ou à d’autre ainsi qu’à moi-même ce que j’avais du accepter comme activité afin que la vie continue en loi de se manifester.

Fin de DOC 17.

computerised extra Doc 16

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

 

 

S’il vous plait, téléchargez prioritairement les DPF documents en page 1.

 

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Ces postes, tapes digitalement, ne sont la pour lecture de textes premiers mais pour permettre de retrouver ou rencontrer les textes ou la nature de leur portée.

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Donc une fois que sur ce site il est préférable que vous ouvriez et enregistriez les documents DPF puisqu’ils sont –plus surement- le plus proche de ce que l’auteur a écrit.

 

Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

 

http://unautrepoete.wordpress.com/

 

 

Page 1000 à 1092.

De 1075 à 1092. Textes retrouvés et ajoutés.

Après départ. Hors Doc.

§.1.

Apprendre une langue, un personnage, des pensées.

Apprendre une tirade, que son esprit sur elle pendant l’action puisse s’échapper, se retrouver.

§.2.

Elle avait oublié que dans mes réactions (et je prierais pour pouvoir lui faire confiance ) à aucune preuve je ne pouvais m’attacher.

§.3.

Il la voyait par tout car elle était à un tel point devenue un fantôme dans sa vie.

Il n’osait plus vraiment regarder.

avait ou aurait été =  à la présence obsessionnelle du flou authentifier.

§.4.

Courir, un but fait partie de la communication à entrevoir.

bien que devant être sur le chemin du self et seul puisque les autres ou les uns aussi bien inconnu.

La solitude était elle aussi inconnue de ces moments ci.

§.5

Être paranormal, si on avouait nous avouions que nous nous repérons, et puis influençons et tout ce qui coule, et puisqu’il n’y a qu’une source, notre côté animal risquerait alors d’être moins con.

nous nous repérions.

reparions.

§.6.

Parce que la stabilité du système impliquant sa rigidité permettait à l’aventurier de pouvoir ses découvertes entreposer et se confier.

parce qu’à cause de la barbarie ont été précieux les prisons et palais.

qui bien sûr êtes les mêmes.

le but de l’aventure, garder, perpetué.

et pour cela la richesse je comprenais.

parce que la richesse était et qu’il faudrait la répendre pour rééllement la délivrer.

et par l’aventure l’homme trouverait l’universalité et la paix du peuple, du peuple roi et de ses contrées.

§.7.

On ne parvient  (nous ne parvenons) à décrire ses (nos) rêves.

(Marre de ces conneries je ne corrige plus ces fautes je les traduis désormais directement.)

Car le rêve n’est pas par le conscient travailler.

Ainsi loin de la structuration (structure idiote) du concret rendu par une longue analyse et ré analyse qu’implique la longue revue et passage en cible de nos journées.

Le rêve, sans cet entraînement le phénomène habituel, situationnel, du à une extensivité (extension) planté, situé, ne peut dans la mémoire être fixé.

(Elle est partie se perfectionner en Anglais, elle connaît à peine La langue Française, où le fait sciemment ; Provocation ?)

§.8.

La mémoire sensorielle.

Comment nos réflexes ont été éduqués.

Le bruit de l’auto de papa faisait que mon oreille je tendais.

§.9.

Puisque le rêve est construit. (et constructif)

Puisque le rêve est créatif.

Où savoir que rien ne jaillit de rien.

Donc le rêve est une rencontre prévue, qui s’élabore nuit après nuit.

Ils sont des réponses, à quelque chose que l’on poursuit.

Quelque chose qu’on élabore.

§.10.

La pensée est faire pour poursuivre l’idée.

La poursuite de l’idée pour pouvoir viser.

Et re- viser.

(Réviser).

§.11.

La différence de charge émotionnelle peut venir du fait que l’on relie à un tiers ( =souvenirs ou présence directe) ce qui arrive à nos sens du à la communication avec un alter (fluctuation).

§.12.

La recherche d’équilibration (équilibre, décidément !.)

Sa nécessité = manger peu = éviter les graisses + système digestif abîmé.

Conséquences = Jamais tous les paramètres satisfait.

= Variation.

Et si cette complexité était l’apprentissage du mouvement.

Apprendre par lui à soi-même aux fluctuations comme sujet !

  1. Intervenant au sein.

S’harmoniser avec lui.

Etre lui.

D’action à état.

  1. Extérieurement être par lui propulsé.

Et ailleurs visiter.( sans pour autant plus ou moins être chamboulé, traumatisé, interrompu, rendu à l’état d’inférieur.)

§.13.

Elle posait des questions en donnant des appris à la con.

Je lui répondais communément, connement, tout autant. « Mais non, mais non. »

Alors que c’était moi la mieux habilitée à pouvoir sur cette évaluation me prononcer.

§.14.

Ce qui est exaltant dans la communication, c’est qu’on sent les gens et qu’on peur avoir la suivante.

Vivre dans ce qu’on en ressent, le –       – menant vers l’épaississement.

§.15.

Le joueur d’échec.

Je l’aimais.

Car un autre joueur par ce jeu passionné, l’apaisement de cette rigueur me revenait.

§.16.

On oublie parce que ça (cela) a changé.

§.17.

Admirer quelqu’un c’était voir en lui des particularités qu’on allait pouvoir viser et une fois cela atteint dépasser.

§.18.

La société incapable d’élever ses enfants.

Société primitive, assistée.

Société de loisirs cédant aux caprices de chaque individu.

Puisque l’ensemble incapable de se former.

§.19.

Il n’y avait pas de race, seulement l’espèce humaine pouvant être bien grasse.

§.20.

1      Le monde ? nous ?

2      Mutant.

Ce qui est , est. Tout peut arriver.

Tout dans le supra va ?

Se résolver.

Muter.

Etre un camp.

Se résoudre, rimait avec le meilleur, donner.

(SOI); en soi.

§20B

Il ne fallait pas avoir de cœur.

L’iniquité du sensible.

Dépendance affective.

Appartenir à aucun lien faisait que le tissage de l’épopée se suivait.

pour eux; pour tout ce qui peut s’aimer.

mon, mes dévolus comme mes ratés.

§.21.

L’être spécialiste. L’étalon.

§.22.

Elle était partie ne sachant la réaction que j’aurais eût.

D’ailleurs moi non plus je m’y serais mal pris.

Fort à parier, et il ne fallait pas faire d’impasse dans ce moment clef.

§.23.

Je pouvais l’appeler maintenant correctement je réagirais.

Simplement parce que ce serait pour lui dire que pour moi aussi elle avait où était une clef.

§.24.

La famille. Croire pour qui on parlait. (Nous parlions) La famille ceux qui jusqu’à la fin faisaient plus que nous accompagner mais nous constituant.

L’autre.

L’imiter.

Ressembler.

Rassembler.

Le totalement inconnu mais parfaitement repéré.

Celui fait auquel la quête du seul aussi loin qu’elle irait était à chaque fois mieux.

§.25.

Pour moi c’était le chapitre humilité, sympathie qu’elle avait  faite, que je le ré écrive.

Chacun envers chacun avait l’effet de tout revoir et renforcer les à qui? Acquis.

§.26.

Le deuil enseignait que la vie était invisible autant qu’invincible.

inviter.

§.27.

La sexualité est l’urgence de se reproduire car conscience de s’user = conscience d’ensemble avoir un ensemble plus grand (A explorer.)

§.28.

Avoir un passé.

C’est être son futur.

Le présenter.

§.29.

La peur est le réveil pas maîtrisé de la conscience de pouvoir sur un moins conscient au pas équilibré que soi tomber aussi.

§.30.

Tout est écrit.

Meurt et remord.

La douleur de croire disparaître contre la jouissance de connaître ce qu’est d’exister.

§.31.

Le changement exige une constance dans la maturation.

Car le mouvement n’ensemble que pour que soit suivit le moment.

§.32.

In-time.

En-glaise.

§.33.

La réflexion permettait à l’esprit l’arrêt de l’envers des évènements.

                                                                                   des éléments.

                                                     l’enregistrement

§.34.

La conscience était ce que l’on se permettait, le déséquilibre mis en commun pour que soit nommément rééquilibré. Comptabilisé.

§.35.

Il avait peur de moi.

Mais de moi que pouvait-il donc penser ?

§.36.

Ce danger de mort.

Tu parle d’une dépêche.

§.37.L’épreuve dans l’attente du repos.

Le repos n’étant assuré que si vers quelque chose de plus ardu, de plus complet on va rester projetter (nécessite entraînement préalable.) Et de se sentir se renforçer à l’idée de ce qu’on va pouvoir bientôt se faire se dérouler.

Ce n’est pas que je ne lui plaise pas, cela mettrait un peu plus de temps que prévu.

Dans un siècle ou un an.

C’est parce qu’elle dit avoir un délai que la vie nous mêne (ou bien nous ment).

§.38.

Le bouleversement en l’individu à lieu parce qu’il est négligeant (Lui apporter l’attention)

Ou parce qu’il est mort qu’à point (donc ouverture sur un monde dominant ( = plus à ranger.)

Les deux toujours en même temps apparaissant.

Puisque nous sommes en prise avec plusieurs aspects.

§.39.

La mort est l’absence de l’autre.

Absence qu’il n’a pas choisit.

Le deuil était dur à porter.

Non pas envers celle qui était partie.

Mais comment être présent avec ce qui nous reste de vies.

§.40.

Les gens ne savaient pas si j’étais pianiste ?

Mais si je pleurais sur lui ? Si.

§.41.

Fasciner par la féminité car quand elle ne serait plus comment s’exprimer c’est de ma virilité sur quoi je savais qu’elle irait s’appuyer (se ressourcer, se regorger [et bien il y en a qui vont être contentes, chez les classiques], s’initier, se compléter, la suivre, l’inspirer.)

Lui donner ce qui manquait.

elle, qui ainsi me validait.

§.42.

La jalousie était une folie.

car l’amour consistait à pouvoir dans tout te retrouver puisqu’en toi tout reviendrait.

(Tu vois bien qu’à certains moments tu es folle!)

§.43.

L’amour. (L’inconnu.)

Pouvoir ressentir le soulagement de mourir pour quelqu’un.

Celui-là même qui nous garde. (Et nous tient.)

Je ne peux dire, écrire sur lui, pour lui.

Il est celui qui veille.

Celui sous qui se met le grâce à qui.

Et vers tout ce qui entraîne.

§.44.

Chercher à un ensemble.

Ce pendant à le porter.

Etre toujours en échappée.

§.45.

Je t’aime.                        | Cela fait longtemps que je veux te le dire.

Je t’émeut.              | Je n’y comprends rien.

§.46.

Nos parents nous avaient fait sortir.

Mais qu’importe.

Tout les mondes (Dont-il nous fallait faire la visite) étaient ici.

Avaient pour destins de faire parties des étapes comme nous leurs pèlerins.

-(DONC NOUS avait FAIT VIVRE L’ENFER ! Pour rien.)

§.47.

Elle lui en voulait.

Elle lui en voulait en cachette d’être décédé.

En cachette d’elle-même alors.

Pour m’engueuler moi et ses proches ( Ceux avec qui leur relation elle pouvait comparer.)

N’importe quel prétexte suffisait.

Elle lui en voulait.

Elle n’admettait pas ne pas assez contribuer à son bonheur propre alors une faute à son malheur il lui fallait.

Superficialité.

Je laissais sa tyrannie faire car en elle mon bonheur elle laissait s’installer.

Et quand assez d’espace nous avions créé.

Alors le soulagement que cela me produisait pouvait elle aussi toucher.

Sa tyrannie.

Puisque je l’aimais en liberté.

Puisque aussi elle écoutait.

§.48.

Les revendications que parce qu’elle s’ouvrait à toi (avec ses peines, elles y sont et il ne fallait pas négliger)

Je pouvais formuler.

§.49.

On hurlait de rire quand le chef signalait qu’il entendait parfaitement ce qu’on disait tout bas, de penser à ce qui devait

Etre de même de ce qu’on ne disait pas.

§. 50.

L’art.

le cycle

Le cirque chacun peut dire avoir vu et pensé de la même façon que l’œuvre l’éprouvait.

(Ah ! Tu parle des salopes qui nous menaient ?

C’est bien ce que je pensais.) SELECT DOC DANY.

§.51.

De l’amour.

Fantasme à l’amour qui naît et élevé du groupe.

Au puits de grâce.

Reporter son attention de profondeur infuse pendant quête de sa spécialité.

Comment continuer à se poser et se réguler pour l’avenir. (Toute autre séparation)

Simplement en prenant garde à comment plier son blouson ou du ton que l’on prend avec son patron ou son petit garçon.

§.52.

Je l’admirais.

Cela servirait bien à quelque chose.

Comme le poète n’exprimant cette dimension.

§.53.

Dormir sur le dos.

Pour reposer les épaules, ses coudes plus pour –    -.

§.54.

Sentir la pression.

La maintenir.

Tient une partie du corps différemment.

Et donc relation des différentes parties, changeantes.

Re vivifiante.

§.55.

Les conneries que me sortait ma femme, que le long terme m’apprenait à comprendre dans tous leurs sens ou leurs non sens.

Que le long terme et non –      – m’apprenait que tous avaient largement sa part et doit d’avoir été ainsi dit.

N’expliquerait pourquoi celles dont j’avais gardé de la rancune pour les autres, elles aussi les comprendre je devais.

§.56.

Chacun possédant le secret de la salvation, du pardon accordé à ses propres pensées.

Les savoir motivées ou introduites par regret.

Le hasard qui n’est qu’une mission qu’on ne demande mais qui nous fait prendre et à son terme (résolution) mener.

§.57.

-Mes matières fécales sont bloquées.

-(Eh ! Bien tu n’es pas chez le docteur mon bijou.)

-Aujourd’hui, je ne sors pas c’est promis.

§.58.

L’épreuve.

Se sentir moins performant. Descente énergétique.

En prévision du tournant.

Arrêter la descente puis revenir à la stabilité que l’on sait

S’imprégner du chemin connu.

Placer ainsi sa détermination et alors sur le rail qu’elle nous emmène au-delà de ce qu’elle enseigna de ses inclinations.

§.59.

Sybilin.

Est-ce la comédie de l’autre dont elle parle ou de celle qu’elle voudrait que je prenne ?

§.60.

Très agressif. Très costaud.

Je le lui dis quand je me reculai. Très costaud.

Il voulait en être sûr je crois.

Quand la vie voulu qu’on fût fait et formé à cela.

Puisque occupé au cercle.

Puisque engendré au cercle.

Forcément continuer à parler en enfant, c’est admettre que la discussion en elle-même vous a emporter.

Et de là engager l’effort que sait-  – l’énergie d’avoir vécu, essayer.

§.61.

La recherche de l’esthétisme permet à toutes les-         – de mots, de sens, de trouver sa gloire, s’entre ouvre.

La morale est balancée.

Auto gérer.

Se regrouper pour y aller.

§.62.

Si c’est toujours l’autre le problème !

Alors que cache t-on à soi même ?

§.63.

Il fallut pour qu’il sue que je l’aimais depuis toujours et voulait qu’ainsi se finissent ces jours, que je le quitte avec la même assiduité.

Il fallut pour qu’il comprenne que je garde mon esprit de pluralité.

§.64.

Il était celui qui pouvait retenir à distance .

Puisqu’il était mon inspiration il savait combien elle m’avait trouvé, je m’étais trompé moi-même.

Les vieux qui enseignent l’amour de la vieillesse.

L’explication-         -bien.

La pression montait.

Rien que de plus normal.

Car A était entrain d’expliquer ce qu’il pensait qu’il n’allait pas avoir B.

Donc c’était à même de timidité et de pouvoir d’entreprendre mais c’est le fait qu’il reste à draguer qui chez lui le malaise entretenait.

§.65.

Puisque moyen était dédié à comment envie d’aimer.

Je sentais que ma détermination en lui arrivait dès qu’un lien en moi s’établissait.

Montrer comment on fait pour que la machine ne se mette à s’emballer.

Solution se faire face.

Etre conscient que l’on est entrain de glisser.

La mesure de sa propre manière de concilier.

Puisque s’énerver c’est ne pas se contrôler.

§.66.

Se calmer c’est prendre conscience de ces difficultés et expliciter. (Expliquer)

(Même en silence en même temps qu’en soi même on (nous  aurons) permis à la réflexion de s’arranger.)

Avaler l’échec = avoir visé plus en plus  et savoir ce qui est à travailler. Plus admettre le contre temps.

Mais ne pas d’un fil rien lâcher.

Il faut que se passe ceci pour que plus rien ne nous arrête = que l’on sache s’y maintenir à longueur de journées.

Pas de faux espoirs, mais savoir que s’y tenir va découvrir vers quoi on naît.

§.67.

Ne pas se remplir le ventre !

C’est permettre au corps de s’apercevoir de la nécessité d’un procédé à la place d’être vocation.

Puisque ma promesse que je reprenne : Il m’y avait condamné.

§.68.

Il fallait du courage pour avoir atterri dans ce monde de salauds. (Tu avais donc bien compris.)

A-vi-s.

§.69.

Arrêter quand l’autre le disait suspendre le masque.

L’analyser.

§.70.

Ne pas considérer comme close la discussion (n’implique pas de seule condition à pouvoir un nouvel ordre, à la recherche d’un monde nouveau créé.

La morale n’étant j’avais plus que ce qu’on s’est décidé à réfléchir.

Vies faites de rencontres limitées.

§.71.

Un mot est une unité et grâce à cette limite, des moments précis venant nous rappeler.

 que ne doit nous échapper ces moments ? Cette chance infinie de préavis, ramener l’événement situation en particulier.

§.72.

Celui que j’aime. Tout donner, sa liberté exceptée.

Tout grandissant de ce fait.

Ces évènements auxquels je n’avais réfléchi me paraissant  normaux et étant en réalité les symboles qui entièrement ma vie avaient tenu lancée.

§.73.

Savoir que tout message a quelque chose à raconter.

Comprendre les langues étrangères quand on commence avec celui là.

Se dire qu’il faut décrypter.

Comme ces phrases qu’on ignore même quand formulé avec des mots-              – problème et que l’on connaît.

Qu’est ce qu’ils racontent qu’est ce qu’on enverrait. (Nous enverrions.)

§.74.

Je ne le faisais pas pour l’entretien, je partais.

Mais pour m’apprendre la systématique de ce que dans un lieu il fallait mieux qu’il sache faire.

La systématique qui me permettait de la faire sans réfléchir et sans rencontrer après = faire tout en se reposant, se récréé fixer.

§.75.

Je ne voulais pas comptabiliser les signes du destin car après l’exaltation se posait.

Est-ce par eux ou par raison et justice que je fais.

Et tout servait alors à reconnecter.

                                   recommençer.

§.76.

Oublier. Perdre le fil c’est se rendre compte de ce qui revient automatiquement et par quel lien ils sont ré sollicités.

S’apercevoir de quel roulement, manage notre vie est endettée.

§.77.

Verbaliser c’est expliquer avec quelle pensée on a à se dépatouiller.

Exemple quelque chose vient de me paraître injuste

Je ne suis pas bien qu’elle ait été dite mais je dois me trouver bien de la combattre.

Je mets l’autre au courant de ce qu’il traverse.

Exemple : une grosse connerie vient d’être dite

( –    gars tu as oublié ton médicament.)

§.78.

Avoir le strict nécessaire sur soi et donner à l’image de cela.

§.79.

La reproduction du défaut de l’autre.

Pour que puisse être rectifiée.

§.80.

L’utilité. Penser en un point devoir se trouver, plutôt que de se laisser glisser.

§.81.

La confusion. Se rappelle au regroupement à la re concentration.

§.82.

Ne pas remarquer.

Qu’on avait remarqué.

§.83.

Communauté sectaire et impose hétéro ou homosexualité exclusive.

= impose d’aimer une personne sans la vouloir

(Conjugalement = la cession la plus complète).

§.84.

La conscience assuré d’une chose.

Vous la partager avec au moins un élément.

Vous le devez à l’ensemble.

§.85.

La culture, symbole de ce que le groupe a réussi de convenir qu’il faille que tout individu est une commune (partageable) recherche du plaisir.

§.86.

Les phrases et leurs poésies.

Le rythme du mot.

Cette mélodie particulière qui fait que rien n’est jamais dit deux fois de la même manière.

§.87.

Ne pas être à la hauteur

de l’équilibrage.

A mon amour permettre autant

veiller sur

Assurer sa ferveur.

assumer

En ne plus rien omettant.

Ô devoir d’être tellement.

et puis lui éternellement.

s’offrant et

se faisant.

§.88.

Si sexuel appartient à momentané.

Le spirituel appartient à quand on ose le quitter.

Le groupe le permet.

Voir loin.

Esprit de progrès si ambiance d’équité se dégage; telle la morale.

Des moyens actuels à et divisant le matériel.

§.89.

Faire le contraire de ce qu’il faut.

Je peux parfaitement m’en passer.

Mais je deviendrais malheureux si c’est moi qui de lui m’en irais.

                                                                                        m’ennivrais.

faire ce qu’il fait.

§.90.

Devant l’amour que lui portait son parent ;

Je savais combien ma fidélité pourrait redoubler de rester en lui, tel le sang.

(précédement engendré)

§91 B

Les mots étaient pour nous faire croire que nous savions. L’indicible lui ne peut être pris pour un con.

Qu’est ce qui entre nous se passions ?

§.91.

Prendre les autres pour des cons ou des doués, était le moyen de se responsabiliser.

§.92.

Aimer être froid.

Voir le corps se réveiller.

§.93.

La maturité faisait sentir à la réflexion que ses sens avaient.

Précédemment engendré.

§.94.

Parce que voir un individu progresser et innover et telle une naissance.

Les hommes se maintiennent groupés pour s’apercevoir des étapes que l’individu parcoure et parsème.

§.95.

Elle demeurait ma femme.

Ayant un esprit d’unité en moi suscité.

Cette femme qui même partie, l’amour m’avait appris à considérer, regarder, désirer, protéger.

Puis à mon tour proposer.

 

 

§95 B

Le social – privatisé !

§.96.

On faisait des excès que l’on payerait après ou bien que l’on avalerait parfaitement bien car arrivant de manière fortuite.

C’est à dire pas prévue (tu crois ?) mais dans la lignée de notre progression.

Cet événement va servir à l’esprit comme dernier du nom.

On s’en remet vraiment très bien car il décide du même coup qu’à redonner de l’N. R. J. à ça il ne refera pas.

§.97.

Je ne me relevais pour dessiner mes rêves parce que la journée se trouvait mon moyen de manger, que les rythmes seraient imposés, pas la place de mieux y songer.

§.98.

L’avantage de l’habitude frugale c’est d’une assiette se faire un festin.

Et que cette assiette nous fasse carburer deux journée au moins.

§.99.

Pouvoir repenser à cela en gardant le plaisir et sans dans la folie retomber.

Peut être était-ce là que le plaisir se dressait dompté.

§.100.

Faire l’amour à sa vie comme évoluer dans le positionnement de nos objets.

Matériels.

§.101.

Pouvoir en parler au passé.

Sans mourir.

§.102.

La vie est éphémère.

Car l’amour, comme les aptitudes se transforment, et pourtant c’est la poursuite de l’amour (dans son objet désignable et donc unique qui nous donne forme et consist-tense.

§.103.

La modestie est admettre que les autres nos défauts diminuer = se sentir admettre soi-même progresser, n’être à blamé, à redresser (en tord.)

se sentir aussi libérer du sentiment d’être celui qui à vaint que de celui qui à fait échouer.

§.104.

Sa recherche pour être consacré et pour qu’un puisse s’y adonner.

 = Comment se nourrir donc et que l’âme des autres fournissent la –   – , un itinéraire complet tout à fait ; Doit trouver écho c’est à dire être objet et résultat d’une communication à autrui.

§.105.

Elle avait pris peur de moi tout angoissé.

c’était une des plus violentes caractéristiques que sa propre personnalité lui faisait se rapporter.

Moi je ne l’étais pas. Seulement à son contact le devenait.

Cette caractéristique me mettait en contact avec d’autres de mes réactions et façons d’explorer, d’envisager.

106.

La figure charismatique du personnage est édifier comme un phare comme personnage de légende qui répond aux questions différentes sur vais-je faire que pourrais-je faire manière.

Degré de réalisation.

Degré de possibilité.

Besoin qu’ainsi exprime la communauté.

§.107.

Mon désordre aimé.

Représentant.

De l’ordre auquel de temps je ne perdais.

De l’ordre auquel d’avantage je ne consacrais que le temps pour moi les autres assurait. Celui qui viendrait celui dont-on n’avait plus à se préoccuper.

§.108.

Il le regardait tendrement.

Il savait que dans trente ans encore à lui.

Repenserait en enfant.

§.109.

Le besoin de voir les autres.

Car une discussion suffit une fois.

Et il suffit de revoir :      Les actions.

Les gens.

Avec qui le sujet (linguistiquement ou extra linguistiquement)

On partagea, pour nous remettre en condition.

La vie. Ceci arriva.

§.110.

Les hallucinations.

C’était rêver tout haut.

On était renfermé, empêcher d’être aimé ou aimant, alors il fallait faire venir à soi les sens.

Revoir sa mère, parler à ses anciens amis se trouver pourquoi (diabolisation) déraillait société et esprit.

§.111.

L’affirmation d’un conflit.

C’est pour attester que dans le mal aise on ne se complaît.

Conversation inutile.

Chercher à l’être.

§.112.

La recherche de la vertu assure l’état de fait.

La recherche de la performance conduit au même circuit que l’expérimentation de la décadence.

Car pour se faire pour se rendre compte ré dose.

Ré-élargir.

Reprendre ne serait-ce que la conscience  de soi  puisqu’il le fait pour maintenir ses choix.

Se buter à ses limites pour quelles ne continuent pas .

Il faut obligatoirement s’y trouver puis se ressaisir de l’état de grâce est bon de tout temps quelque soit le problème la situation d’avant.

§.113.

L’état de grâce est lutter contre et est un don permanant.

§.114.

La communication doit répondre à une question.

Pourquoi, que cherche t-on.

Qu’est-ce que nos institutions communes promises se sont ?

Echanges d’instants, de savoir être fait.

Compréhension, acheminement.

§.115.

Il avait plus de trente ans.

L’autre pensait qu’il en était à son premier échec amoureux.

Pas essayé avant ?

Oui, oui, sans cœur et volonté apparemment.

§.116.

L’image qu’on avait de l’un, en fait non pas qu’on avait mais qu’on construisait.

Ce qui nous tombait dessus on, ne le comprenait pas.

J’ai mal et pourtant, j’avais de telles pensées.

Mais sur le chemin de la pensée idéale vers quelqu’un.

Qui ai-je abandonné ?

§.117.

Toi, l’autre qui ferait que je ferais sans problème (une hésitation = perte )

Tous ces chemins là.

§.118.

Le –          – comme tout style, tout les styles donnantune force à ce qu’on sait,tout ce qu’on lui sait étant que celles-ci s’échappent les uns aux autres –        –       –       -et se rattachant.

Le mysticisme allège nos peines.

Toute assertion étant un simple prétexte à son couplement.

§.119.

Mon grand malheur c’était d’avoir manqué de me présenter à l’E. N. A.

Bien qu’il y eût assez de politique pour qu’on puisse se moquer de n’avoir sauter sur cette occasion là.

Faire le fanfaron que se soit ici ou là.

Comme chaque personnalité avait sa façon d’y mettre le feu, le bout de terrain qu’il m’abandonnerait pour rien.

§.120.

La rage de vaincre.

L’appétit d’apprendre.

Douant aussi la nécessité de remercier ce qui faisait que pouvait s’abandonner à ça mon esprit ; La seule possibilité de repos.

Pour la machine; le cerveau.

§.121.

La proximité du couple et des enfants et l’intimité que l’éducation exclusive (pas d’autres modèles) fallait qu’il faille détourner l’intention de reproduction (du type comportement sexuel) des enfants. Pour ce faire on leur apprenait à détourner leur désir sur d’autres enfants . (De leur age.)

Mais que devenait ces habitudes lorsque grandissant.

L’attirance gouvernantée (gouvernée) toujours opérant la pédophilie devenant.

§.122.

Ces symboles nous permettaient lorsqu’ils éclairaient notre compréhension des choses encore rencontrer, ces symboles nous permettaient d’y mettre toute la force de volonté, de courage, de persévérance d’endurance que nous en avions réfléchi avant.

§.123.

Je fuyais l’amour.

Ne sachant si c’était un cadeau que je m’offrais.

§.124.

Ma dame pourrait m’aborder sans avoir peur du plusde ce problème de ce qu’elle est le jour où moi la vie seule sans peur et sans reproche je pourrais continuer.

L’amour c’était pour lui qu’en toute condition on faisait que soit là ou non le paradis.

(l’amante, le mari l’enfant     –       -) quand on courrait vers lui, le bonheur suivait.

Savoir aller seule sur le chemin pour le meilleur du plus fort des voyages après lui ramener.

§.125.

J’en avais élevé du même age que toi en cela on était de la même génération.

Ensemble avec tout les groupes d’ages permettant d’être intime et désireux avec tout le processus de transformations et remontant rien ne meurt tout se transmet.

§.126.

Des phrases de personnes c’est vrai.

Mais là aussi parce que l’on s’endormait tellement (afin d’entretenir un domaine –        – particulier)

Qu’à la merci de tout on se trouvait.

§127.

Elle s’était demandé combien d’amant (et bien plus qui sait) [cela n’a plus d’importance pour aucune, je ne ferais plus jamais parti du nombre des conquêtes d’aucunes, en ce bas monde].

L’avait-elle perdu en jouant l’animal qui semait et déroutait.

Perdu rien car ce serait celui qui aurait remarqué que suivre les règles l’assagissait, il n’était que celui là pour l’aimer.

§.128.

Les symboles appris (ceux par exemples qui dans les fables n’était conté pour mari 😉 les symboles avaient toute la force du questionnaire et de la réflexion qu’ils avaient recueillis gratuitement.

§.129.

Partager un problème une réalité.

Avoir quelque chose entre nous deux qui et coincé.

Personne, ne sait vers quoi tendre pour que puisse mieux aller.

Puisque toi aussi était imbriqué.

§.130.

C’est l’amour de la vie qui me permettait à tout moment de surpression = garer l’énergie comme on voulait.

Plus l’énergie devait conduire à la réflexion, puisqu’à lui la réflexion je pouvais lui amener.

§.131.

Cet amas de chair coupé, le sexe de la femme.

Parce qu’aussi celui de l’homme opulent.

Pour la pédophilie neutralise.

Plus de sexe si plus de zizi.

§.132.

Et polygamie pas de partenaire intime.

§132 B

La polygamie est un reproducteur entre reproductrices partagé.

pour alléger les prétensions de naturel dit mysogines versés.

§.133.La pluie régulière tranquille et puisque pas battue par le vieux n’inspirait pas de s’arrêter.

§.134.

Le contrôle de sa sexualité (et sa reconnaissance une victoire impliquée.

Sa sexualité reconnaissant l’autre et sa corporalité.

§.135.

La fidélité par contentement son énergie diriger comme quand le bassin s’en ressentait.

§.136.

Can you speack english.

Espagnol.

No, pablo.

§.137.

Enseigner sa matière était ma façon de récapituler de résumer, de trouver un plan simple pour ce qui serait futurement l’endroit ou s’organiserait le plus naturellement ses plus complexes idées.

§.138.

Pour baiser, il fallait être baisé.

Le geste la symbolique spécifié simplement quel tournant on prenait = direction, le chemin des sens.

La communication, la relation à tout prix parce que peut va ouvrir des canaux.

§.139.

Avouer la difficulté de l’émotion évite l’explosion de la situation puisque problème émotionnel, cache problèmes de reflections et de situations, exeptions et vibrations.

La réaction à cela ne peut être qu’une cata.

Mais on réagit, réagir n’importe comment pourvu qu’esprit occupé.

Alors qu’avouer émotionnel particulier est occupé l’esprit à sa communication.

jouer et rencontre l’inconnu.

se révéler est l’émotion satisfaite, l’énergie compléte et la déraison et quand on sent que ceci n’est en train de se passer et qu’au lieu de se guérir on est par nous-même bien en train de périr.

§.140.

Ce qui n’avait marché c’était un de ses traits de caractères qui aux automatisme du mien m’enlevaient.

§.141.

Avoir fait le tour des choses pour savoir que le geste n’est que culturel, émotionnel.

Et ne doit être penser et repenser que pour parvenir à saisir ce qui nous libèrera de lui et en lui.

§.142.

Chacun à la protection de ses droits personnels et quand cela marchera vraiment s’apercevoir que ce que sied vraiment = à un est ce qui ce partage indifféremment.

§.143.

A espérer avoir toujours mieux elle avait laissé des parties d’elle dans ce que pour son elit elle avait délaissé.

Elle ne parvenait donc pas à mieux puisque n’arrivant pas ‘entiere’ à l’étape dite supérieure à laquelle elle aspirait.

§.144.

La sensation de mort permet de suspendre les pseudos urgences du présent qui sont ou peuvent être décision sans réflexion.

Le désir apparent qui est une manière d’ignorer sa souffrance (la fuite en avant) sans lui apporter de solution (sauf de jouissance = douleur transformation).

§.145.

Formule t-on ce qu’on pense ou ce qu’on est obligé de penser.

Ce que la situation nous a dictée.

§145 b

Le système hétéro marche comme naturellement dans les esprits car naturellement on s’imagine pouvoir partager une intimité qu’avec celui avec qui on est (a été posé).

Et donc l’on est amené à penser sa quotidienneté.

le quotidien pour lequel chacun vit, les traces d’un amour terrien.

§.146.

Les hommes s’identifiant aux hommes.

Les femmes s’identifiant aux femmes.

Car ayant mêmes activités, mêmes corps, mêmes besoins d’ à une tâche spécifique le soulager, le developer, le renforçer… se remplacer.

§.147.

L’agressivité non voulue, contenue (l’énergie débordante, lancinante, conciliante) venait d’un reproche ou d’un conseil qu’on sentait devoir (conter) contrer ou suivre (en tout les cas s’enrichir de ) mais qu’on ne parvenait à prendre comme ça, de ne pouvoir les formuler, donc ne savoir ce qu’éventuellement il se pourrait, ne pas savoir les prendre, ne pas pouvoir exercer dessus son énergie, esquiver sa volonté (une croyance abreuvée).

§.148.

La graphologie ne pourrait être au complet tant que les gens ne donneront, leur main gauche et droite à analyser.

§.149.

Je concevais la chute pour le redressement calculé.

§.150.

On s’appelait « connard » depuis les dizaines qu’on ne connaissait on l’avait toujours fait.

Notre degré d’intimité et un pouvoir de coercition sous forme de politesse éphémère puisque les gens s’abandonnait; qu’entre nous on n’acceptait.

§.151.

Parler de tout et de rien.

1      moyen pour la population de s’alphabétiser oralement.

2      Conserver les mots du patrimoine plus en créer de nouveau.

3      Place informative

4      creer une plate-forme temporelle pouvant donner place à toute sorte de créativité.

Parades possibles lorsque l’autre commence à dire des futilités (futilités car ces connaissances pourraient donner autres choses ou à d’autres être donné.

« merci bien j’ai déjà appris à parler »

sous entendu; allons plus loin ou occupe toi des gens a qui ils manquent ce que à quoi tu es prêt.

§.153.

Je n’ai pleuré dans ses bras le jour où la mort de mon père me fut annoncée.

Aussi la mort du sien je continuais de consoler.

comme papa m’y aidait.

sa presence en moi ou la force laissée.

§.154.

c’est avec le parent symbolique qu’on pouvait apprendre à vivre sa sensorialité libérant sans avoir à craindre les risques d’attouchements.

identité-intégrité.

le sexe étant une aventure de gens mature et une décision de partenaire à partenaire, un contrat de gens librement lié et se liant.

tandis que le parent lui est le symbole de l’autonomie qu’on acquiere et de l’amour humain, de l’amour de celui qui nous éléve, et de l’amour que cette relation révéle de la solidarité à l’autre tout comme à l’universel.

§.155.

Elle m’avait sous estimée, bien sur, parce qu’avant elle et cette manière nouvelle de voir les choses puisque différemment elles se présentaient)

§.156.

Je m’étais arrêter pour penser en route.

§.157.

Mettre longtemps pour réfléchir.

Et prendre ce temps.

Ne lâcher ce sujet, la solution me venant pas immédiatement.

§.158.

La recherche du sens = réorientation ré dosage qui crée l’excitation sensorielle appel au sens, recentralisation orgasme.

§.159.

La provocation à une âme.

Ce qu’elle provoque dans toutes les têtes auparavant était.

Aux enfants qui ont leurs parents ligués.

§.160.

Je vivais de ça heureux.

En tout mais n’y réfléchissant pas.

Et un jour tout s’écroula.

§.161.

Ces mots anodins qui révélaient et réanimaient tout ce qu’on et pourquoi on était.

Une marguerite, un lapin.

Le soleil de mon enfance.

Maman et le romantisme du quotidien.

§.162.

Penser.

Cette chanson symbole de mes suppositions, maintenant me dégoûtait (quand avant j’avais fantasmé pour elle mon attrait).

Quand je pense que c’est à ça que nos vies perdues, passaient.

§.163.

S’avoir à l’économie, au commerce est la meilleure façon si on veut par la communication quotidienne être informé.

La recherche, le savoir, les idées à porté.

COURAMMENT.

§.164.

Aider l’autre et soigner.

Et accéder aux bonheurs car s’apercevoir combien les problèmes sont compliqués et que c’est seulement pourça qu’ils peuvent continuer.

Et même par vice, ou par méchanceté.

§.165.

La haine, la mort.

La peur d’être laissé en train de crever.

Rejet du corps.

§.166.

Conquérir ce que je voulais pour elle qu’il y est.

La contenir la fidélité même au prix de l’abstinence, du célibat etc.

Permettait de la contenir.

En contenir ce qu’il me faut qui puisse lui convenir.

Mon amour accueillir.

§.167.

La peur par un mobiliser.

L’attention centralisé, tout le mouvements qu’il faisait me surprenaient, personne si d’une pichenette un bruit de boite il produisait.

(Bien que ce serait le bruit d’une bombe passé inaperçu, parce qu’on lui attribuerait.

§.168.

L’on maintient son crayon et en n’importe quoi pourvu qu’on aie quelque chose à suggérer, à figurer symbolique transporte l’idée.

L’idée, l’énergie.

§.169.

L’énergie, la vie qu’éclose.

Est close.

Mais dans l’œuf.

La naissance ressentit.

Toutes les chances qu’a le hasard d’engendrer.

§.170.

On ne s’avouait (nous ne nous avouions) le véritable rôle qui jouait en nous les gens parce que leur fusion situationnellement ne pouvait comprendre.

Exemple : il était mon mari = celui qui me donnait l’exemple de ce que je voulais et pourça quel époux ou épouse il me fallait devenir.

Sauf qu’il était impossible pour nous de se marier.

§.171.

N’y est.

Nier.

Ni ai.

Rébus : Œuf et bannières.

Buse.

§.172.

Il avait été en contact avec des réalités que l’autre ignorait.

Il se disait que l’autre pourrait s’en arranger.

Il créait des situations développant ce qu’il lui fallait des qualités requises.

§.173.

Le sport rassemble les peuples de voir des gens formés pour que la connaissance du corps puisse avancer.

Le sport contrairement à la culture est automatiquement compris par tous qui devront travailler avec lui.

§.174.

Ah ! J’allais oublier cette chance qu’écoutais, toute ma famille pouvant me rappeler mon esprit naissant et ressuscitant.

§.175.

L’expression était pouvoir faire pleurer son visage sans que de traces sur ses yeux ne puisse rester.

Ses yeux de tous épargnaient.

§.176.

Les rides mais les notre étaient temple de la temporalité à posteriori ou anticipant à se régler.

§.177.

J’étais fou !

J’avais des à priori.

Je dois avouer.

Une fois qu’on convenait à temps des appropriés, le groupe de fans pouvait alors commencer à réfléchir.

§.178.

Ne pas se forcer car tout à une origine et donc il y a quelque chose que demandant de nous aider pour aller au bon endroit.

§.179.

Les gens de droite qui en sont par croyance d’un niveau de vie élevé pour tous.

Seulement qualité veut dire cherche homme à un chose dévoué, de qualité ne veut pas dire consommer.

§.180.

Les conneries qui se disaient qui me rappelaient les miennes d’antan et me rendaient moins acide pour celles que je répéterais.

Quand futilité rappelait ce combat constant.

§.181.

Mare        –       gueux      –       rite.

Prés de la-     pas que     –      eux (muet)être.

§.182.

Peut être la – (puis illisible.)

Aux enfants qui s’aiment comme ils voudraient s’aimer quand comme plus grand.

§.183.

Il fallait s’habituer aux troubles pour enfin remarquer qu’ils nous ressemblent et réussir à avoir le mal par la racine.

§.184.

Se confier à ses enfants.

Ou aux; eux enfants est une expérience parentale.

§.185.

La méthode, le sang-froid.

Aller d’un point à un autre en le sachant permet de réfléchir constamment à comment au mieux stabiliser, utiliser le chemin devant.

Pas de perte. Ni perdant.

§.186.

Être constant. Pouvoir préparer sa mort.

Comme sa présence dans le courant glissant.

lui appartenir, un ensemble, étant sûre que sa matrice ne s’éteint pas puisque la nourrissant.

Prendre son temps.

§.187.

Croire que quelqu’un est idiot parce que soi-même le centre se pensant.

Le temps d’être en connexion avec l’autre pour comprendre ce qu’il est entrain d’expliquer.

Et l’univers se faire.

Le chemin jusqu’à l’autre pour savoir expliquer.

Pour qu’il y est vraiment.

§.189.

Combien de rêves avais-je pu avoir qui n’avait été prémonitoire parce que quelque chose ayant été décidé la veille par un des acteurs fut le lendemain repassé ou annulé ?

§.190.

Comme il fallait réfléchir longuement avant de s’apercevoir ce que l’intelligence emmagasinait.

Les théories grossières, bourrages de crânes, essayaient de tenir à courant le peuple affolé pour que ne soit perdues de vues  la menace de quelques choses auxquelles on échappait.

echapper dans le sens de n’être encore capable ou de détecter ou au moins pour sûr de nommer ou spécifier.

§.191.

Tout traité, étude était vecteur de d’auto apaisement on alimentait, accumulait un savoir-faire. etre lançer et s’arrêter quand quelque chose arrivait à notre heure ou notre flair attirait.

Réfléchir sur ce quoi on avait décidé que reposerait notre qualification.

de se reprenne notre justification.

§.192.

Ces lieux de rendez-vous.

Qui permettaient des discussions avec les objets, l’environment, le rituel, le passé, l’idée_quand l’autre, le désir, le futur, n’y était.

l’imaginer.

§.193.

Un enfant était dans le couple ce qui permettait que deuil puisse être vécu comme une vie qui continuait. N’être pas seul pour pouvoir l’autre sentir encore toutes nos parties (intimement porter) aimer, parce que parties de nous tenues ouvertes sur ce qui ne cesserait de se passer.

§.194

Être familier à un lieu.

Se rendre compte quoi qu’elle soit grossièrement porté en soi, elle en ces raisons que jamais nous mêmes abritions.

La révolution évolutive ne s’arrêtait

Toute constitution de la métaphore en cours implique.

Mais hésitant comme ce qui l’habitait.

§.195.

Devant l’excitation.

Du calme, du calme.

§.196.

L’affirmation de l’idée/ l’action / et que doit-on trouver pour affiner ce que trouver ou en cours être stabilisé.

§.197.

Les erreurs grossières maintiennent ce qui se passa dans l’histoire.

On est toujours pour la possibilité mais où son alors étudié, idolâtré des siècles derniers pour savoir que les moments ont existé. Qu’est-ce qui revenait ?

La réponse à pourquoi plus ou moins de ressources permirent.

§.198.

Aimer sa solitude autant que le moment merveilleux que la vie le permettait.

Autant que l’on voulait.

Cette recherche.

Pour que la solitude face à son art était l’avoir couvé.

L’amour – Le fait.

§.199.

Pour se servir de certaines situations j’avais pratiqué l’ablation du voleur.

On ne me demandait plus de faire circuler mon sang mais autre chose le reverrais forcément.

Après tout, tout n’était pas affaire de choix.

§.200.

Être rêveur.

Avoir le droit de penser à sa fiancée.

Expression – revendication du mouvement.

Esprit docteur.

§.201.

L’on implique à ce que l’on a fait, ému, qualifié, cependant tout ce que l’on voit, ne se voit qu’en pensée.

Le chaos. Disons le désordre ainsi appelé.

C’est ainsi que l’autre regroupe,une idée (l’unique, la ferveur)

§.202.

La vérité se trouve dans la construction.

Car répond aux questions qu’on se pose sans jamais cessé de les reconduire.

Pourquoi finir toujours par finir ?

La vérité sous forme de paroles.

Car l’idée en est le matériau de construction et les mots servent bien d’outils et d’ouvriers.

                                                                                          tiennent lieu

quand la communication sert à unifier.

l’idée est le seul, l’infiniment.

§.203.

Les hommes avaient des théories sur les femmes comme n’ayant pas d’âmes  –  –  –

Parce que l’homme ne pensait pas quelqu’un capable de l’aimer. (Tu y a mis le temps mais tu as compris : Enfin. L’évidence indémontrable.)

Amour porter = être analysé,compris, recherché, et que le temps à cela soit octroyé.

Les théories l’avis des femmes sur l’autre devant refléter.

les hommes avait la parole sur les pensées grossières; d’un petit nombre, du même nombre d’homme ou de femmes à l’égard de tout et du reste…rire de disserter sur cela; comme si il fallait encore se convaincre qu’une différence entre esprits il y avait.

§.204.

L’émotion donne à l’action, le comment pouvoir, le courant pour s’exercer et s’ériger et l’action à l’émotion sa légitimité.

§204 b

La polygamie n’est pas au sens stricte du terme car si diviser on ne peut être époux entier.

§.205.

On m’avait interdit d’aimer ma mère.

Je ne cherchais plus que les hommes du même age depuis cela :

Le mien progressant, celui de mes conquêtes pas.

rapport vis à vis du murissement.

§.206.

Une juste diète. Pas de graisse amenait l’homme à chercher comment palier ses carences.

Puisque seraient mises à nues quand il cessera de prétendre qu’elles ne sont (En cachant l’inadaptabilité de ce qu’il prend en prenant over dose tel calmant = en s’engraissant.

 1 – Réflexion sur le soin, le be soin interne.

 2 – Réflexion sur s’aliment.

§.207.

Désirer. Quelqu’un.

C’est préparer l’enfant ou enfantement à endosser ses valeurs.

le travail du procréateur.

§.208.

L’essai de communication est un don en temps présent et doit être pris comme tel, c’est à dire récompenser l’autre d’utiliser.

Comme énergie additionnelle.

Le principe de concentration, ré concentration, dé concentration part du fait que l’énergie nous ayant projeté vers un tout et l’énergie libérée en arrivant à ce but et celle cherchée après seront différente; et du point de vue de la prise de conscience et de l’utilisation pleine ou partielle différée.

§.209.

Parler aux gens comme à nos parents. Parler pour se nourrir et alimenter.

Parler comme à ceux qui au temps étaient des nôtres et que le devoir que sait chacun nous tient séparé.

De plus en plus de gestes signifiant qu’on ne sent quel sentiment (Ceux qu’on aimerait voir assurés justement.)

On en reproduit encore et encore tout le temps.

Et plus on s’adonne à ça plus on oubli que les autres font, œuvre pour la même chose mais qu’on ne les voit pas.

On fait dix sourires pour se dire paix entre nous alors qu’on ne tient compte, ou dénigre, ou s’ampute de celui qui ne sourit pas mais qui le garde comme nous, au même titre que n’importe quoi..

§.210.

Vouloir être pour personne d’une spécialité c’est reconnaître être handicapé dans certaines –       –

Et par amour pour sa mission (qui doit comme vue comme pouvant de tout désirer) devoir le rester.

§.211.

L’homme avait appris la discrétion dans ses gestes et réaction pour arriver à servir un pouvoir (Qui se trouvait être celui qui centralisait, qui administrait.

Avant en gardant pour lui, en lui ses opinions.

Puisqu’il ne pourrait se passer de structures pour penser, développement diffusé donc.

Expérimenter l’applicabilité de ses idées.

§.212.

Ne pas dépendre de quelqu’un (rapport de pouvoir et d’autorité, aussi bien en tant que savoir ou informer hiérarchiquement).

§.213.

Son équilibre personnel.

Problème : Que chaque chose reste sous le contrôle de tous afin que sa soif d’expérimentation sur la santé des autres n’empiète pas.

Besoin d’expérimentation = là où l’autre on ne rencontre pas.

Sa force d’organisation.

On n’arrête pas une idée, idée qui est le transfert sur ce qu’on avait à comprendre et le rendre (donc pouvoir en changer de l’autre bien sur, du monde)

Sur une communauté ouverte à cela.

§213 B

C’est parce qu’ils mettent un temps infini à pousser que les cheveux peuvent avoir des reflets.

§.214.

Le mythe de l’horizon.

–               –               –

§.215.

Lors d’un étirement.

Revenir en position normale, médiane.

Membres après membres, simplement après segments.

Avant tous autres enchaînements.

§.216.

Après s’être nourri, on nourrit la nourriture.

L’appétit ne s’arrête pas.

§.217.

Être papa c’est trouvé l’effort porteur.

Le savoir-faire pour les siens.

Savoir le devoir, comme celui de l’autre peut me transporter sans fin.

Ne plus ressentir d’agressivité parce que la douleur disparaît.

Ne plus voir l’effort comme à doser.

Parce que part le but est à l’orchestrer.

On courra mieux vers notre épreuve si elle nous valut d’être éclopé.

§.218.

Observer l’autre.

C’était ressusciter (puisque l’observation à l’application de ce qu’on avait vu menait).

Ce que l’autre vivait.

Ce qu’on a vu de lui étant la résurrection d’un moment par lui saisi.

La communication est une demande à l’autre de faire agir son expérience.

Question entraînement quand impact sur nous elle aurait.

D’où une situation suivante d’inspection.

§.219.

Le sexe, la sensation centralisatrice et aussi sensible qu’elle arrive au summum de l’énergie.

§.220.

Ils n’ont pas pu leur faire du mal gratuitement.

Tu crois qu’ils les ont payés ?

221.

Ce n’était pas les autres qui me dictaient les phrases, mais entendre ce qu’ils savaient complétaient mes connaissances ou me donnait une idée dans quel sens je devais les continuer.

Donc la compréhension est une communication vivante, assemblée, et pouvant rassembler.

§.222.

Il, parce qu’il réveillait ce qui dormait en moi.

§.223.

J’écrivais quand, même les idées dont je savais parfaitement qu’elles étaient mineures.

Ecrire pour un écrivain revenait à tracer était le travail –     –       – qui se faisait.

§.224.

Chaque chose nous changeant de nos habitudes nous permet devant se faire pour pouvoir en innovant renforcer l’action qu’à notre vie chacun de ces actes consistait en un éveil, en le réveil de la joue que l’on découvre comme étant la prochaine étape d’une pleine créativité.

L’acte créateur consistant là à permettre, à octroyer, réaliser, avancer ce qui est déjà sur ce comment il demande à être décoincé.

Inter-activité.

§.225.

Prendre des risques, connaître ses propres faiblesses c’est pouvoir être content d’avoir fait les frais de l’apprentissage qu’un autre faisait.

Savoir que l’expérience à cela de grand qu’elle instruit, qu’elle nourrit l’esprit et que de voir un esprit s’ouvrir est le sien qui grandit.

§.226.

Les vieux regardant les jeunes comme s’ils y avaient 150 000 ans entre eux.

Les vieux devant ce qu’ils devraient être en plein dans l’essor  de ce que leur propre jeunesse permit mieux.

§.227.

Je n’avais pas rendez-vous avec l’évènement aujourd’hui mais avec le signe, je savais avoir à trouver le symbole de ce que toute ma vie drainait.

Je me tenais posté au même endroit ou ma réflexion s’architecturait et à moi les enblèmes reviendraient.

beaux, ceux superbes non pas de ne dire ce que l’avenir serait, mais de pouvoir susciter un avis sur ce que pourrait.

§.228.

L’aisance des gestes explique le détachement.

Leur crispation. En cours d’habilitation.

Leur réussite une non hésitation , savoir comment et qu’elle issue prendrait-on.

§.229.

Avoir hâte de se retrouver plus tard.

Faute d’avoir préparer et donc séparer les choses maintenant.

230.

Dire bonjour pour signaler sa venue de manière sonore.

Comme on voyait l’aveugle, lui sentait en notre vue ce qu’elle produisait à délà de stimuli.

§.231.

L’appel du sexe était gênant, car la sensation d’orgasme aux parties du corps permettait de s’extasier, d’un mouvement rassembler s’alimenter et se sentir attribué de toute l’énergie qui nous enivrait.

Opulence, haut débit, une impression de finit qui peut de l’autre tenter et par sa continuité, (sa conscience de lui-même et pleine reconnaissance) l’espèce continuer.

§.232.

L’amour de ses moyens.

L’union à eux.

Car toute son activité dans ce qu’elle à de facilité et de limité trouve pourquoi elle est.

Performance relié. Pensée.

§.233.

La philosophie est pleine d’évidence.

Elle fête la gloire de ce qui s’offre à regarder.

la philosophie étant l’art de penser.

§.234.

Ne pas chercher à faire quelque chose c’est s’assurer de n’avoir la vanité, ou de trop grand denivellé en expension.

C’est pouvoir référer, réparer ce qu’on a manqué ou ce qui venait sans qu’il y ait suspend.

                                                                                                                   Rattrapage.

                                                                                                                    Fleur T age.

                                                                                                                    Et événement.

§.235.

Pourquoi douter de soi ce n’est pas bien ?

( Pourquoi ne pas douter de l’entourage et accompagnement lorsqu’il n’est pas homogène et constructif à cent pour cent.)

SELECT DOC DANY.

§.236.

La frénésie de la corvée.

Comme celle où il fallait toujours paraître bien, mieux, concerné.

De crainte que si plus cela n’allait moins cela voudrait.

Oublier d’être leur vieux, comme on est.

Chacun à ses affaires si les affaires étaient sûre.

De nous voir tous avec amour et autonomie le pourrait.

L’exercice de l’escalade réussissait tant que la montagne on comptait épouser.

§.237.

L’exubérance ou simplement un comportement détaché, singulier.

Démontre d’une volonté de chercher où accoster sans voir de rire

Gêne détecter.

§.238.

L’aventure, l’écriture.

Avoir des idées.

Les écrire et parcourir. Puis après les avoir faites.

Pouvoir les ranger ou les rayer.

La jouissance de l’agenda, du cahier.

§.239.

Avoir tellement mal en soi.

Que considérer la destruction de l’un ou l’autre comme une libération.

Une option salutaire.

Eprouver ce besoin là.

§.240.

Nous sommes et devons nous considérer comme l’exemple et le centre de ce qui se fait.

Dépendre de comment on regarde ce qui a été fait.

Et d’où.

Différentes dimensions, de recul.

Parler aux gens comme on aurait eu envie de les voir au matin.

§.241.

Pourquoi n’avais-je pas pleurer comme elle cette fois là tout le long que montions cette rue.

Peut être parce que depuis longtemps sinon prévenu, aperçu.

§.242.

D’être regarder avec mes yeux d’adultes.

Pour me sentir de nouveau enfant il me fallut.

de reconquérir cette liberté d’entends.

a corps.

antan; entendu.

La vengeance était briguée parce que l’on voulait évaluer sur le coup (en vision directe) l’approche désireuse ne s’était pas soldée. Ou les croyances perverses ou l’ignorance baiseuse.

§.243.

La conscience.

La conscience d’être à une organisation.

La conscience d’être à une organisation dont l’action est la gestion.

La conscience d’être pris en compte et de devoir (se) rendre compte provoquait chez l’individu un coûte que coûte d’être

Perçu et de perception.

Etre dans le jeu.

§.244.

C’est à dire que tous nos gestes et leur résultat s devant être perçu par quelqu’un.

Pour le meilleur et pour le pire. (Pris, Prix, Prie.)

Car il en était de même pour les gestes dont on ne savait

( Nous ne savions) faire soi même (Et perte, faute du contrôle de leur résultat et même de l’état de nous)

Violence et cetera.

L’existence de plusieurs groupes était basé pour ça.

Puisque l’individu (qui expliquait déjà le groupe, un exemple de pluralité) pouvait, s’expliquait une absence de résultat perceptible car action s’adonnant, allant vers une autre (Plateforme) d’expérimentation.

Ce que je ne soulignais pas n’était pas ce qui n’avait pas d’importance.

Mais ce pourquoi l’on avait les bonnes compétences.

§.245.

Mon grand père pêchant sentant l’eau et son mouvement.

Combien avait-il pu avoir et s’occuper d’idées.

Combien ?

Une idée dont chacune exige qu’on s’en occupe.

Mon regard plonge dans l’étang. Et s’étend.

Est-ce autant ?

Qu’est le temps ?

§.246.

Aimer quelqu’un, prendre ses réflexes.

L’aimer, l’ avoir enduré.

Savoir combien elle fit mal interpréter.

Reconnaître.

§.247.

Me mettre entre ses mains.

Savoir qu’elle en userait, s’en en abuser.

Savoir de celle que j’aimais qu’elle était intelligente.

Lui donner les éléments.

Un à un, la réflexion en commun était le champ.

Avoir des enfants est passé un temps dans l’observation de l’autre ainsi qu’à l’explication de ce qu’on fait.

§.248.

Tout écrivain peut à lui tout lecteur intéresser.

Il ne manque plus que de convenir de l’exact et interminable des sujets.

§.249.

Supporter les erreurs de son compagnon, le préparer à y renoncer.

La dépendance fait cela.

§.250.

L’équilibre de l’énergie.

C’est l’énergie à tous.

Et mettant au délai.

Ne pas montrer qu’on puisse se défendre c’est de dire non cela ne risque pas de tomber sur moi.

§.251.

L’esprit de chacun de ses gestes permet aux qualités d’établir un pont.

Un novice en course pourra communiquer les qualités qu’il aurait développé en elle aux vues de ce qu’il devra dans d’autres cas que cela.

§.252.

Savoir combien la vie passe vite, savoir combien si peu de gens sont restés, annonce le plaisir d’être observé.

Ce pouvoir que dans chaque gestes on puise à l’autre tout rappeler, que tout il puisse reglisser.

Et voir dans le retour, qu’évidemment cela forge son effet.

§.253.

Son charme qu’elle pensait être.

Un devoir envers l’autre.

Un devoir reposant.

§.254.

Être troublé devant une décision pouvait appeler à en prendre une autre.

Est- ce pas ou bien pas assez.

Arrêtons de se demander.

Et enchaîner sur une autre activité.

§.255.

Lire des romans policiers.

Pour s’exercer à dans sa vie détecter.

L’art invite à l’état d’esprit.

Histoire de s’y retrouver.

§.256.

Accompagné de l’amour, les autres plans que ça me faisait gerber à pleurer.

Je pourrais élever des plans obstinément des plans culs je n’en trouvais pas.

§.257.

Ce souvenir de ces gens m’habitant, source de mes réactions et défenses et procédé de compréhension.

Toujours inattendu en soi surgissant d’une urgence qui en disait long sur ce que d’autre s’était installé durablement (sans même plus que l’on ne s’aperçoivent, que l’on les détachent de notre morale.

§.258.

Le sens tombant sous le sens.

C’est à dire le fait de pouvoir regarder sans que le regard s’use ne serait-il pas inconsciemment entrain de regarder ce qu’il comme lui même considère.

Comme étant quelque chose de lui. (en lui)

Qui ne nécessite ni éloignement ni rapprochement.

La partie elle usant les sens et à quoi on réfléchit quant à l’évitement de la dégénérescence.

§.259.

Le jugement naît d’une faiblesse à chercher le pourquoi s’est-il passé ceci.

Et pourquoi ne fais-je pas ceci ?

§.260.

Espérer que l’autre (animal) se nourrissent de ce qu’on ne peut digérer pour que dure la vie en cas de pénurie.

§.261.

Un canard couché sur une nappe d’algue plantée ;

Les flots faisant bouger, gèrent aux algues sans dévier.

§.262.

On apprenait à l’enfant réagir à nos réactions, mais devant d’autres réactions.

Qu’est-ce qui se passait ?

La machine ne sachant plus s’arrêter.

c’est ainsi que puisque la societé est morcellé; on apprend à réagir conditionné sur une situation alors que les situations doivent être interméllées et solidaires et tangentes et et ::: si tant est qu’on espère un temps de paix.

§.263.

Être trop exigeant = intolérant.

Parce qu’il nous fallait rester en un seul endroit, à une seule tâche.

Alors que notre esprit aimait, avait, était à voguer.

Mais à cette tâche là pour se nourrir où être nourrit, rester.

que faire de ce qu’on ne faisait ?

§.264.

Va te faire sucer est dire.

Pas facile d’y arriver.

Ou encore à jouir sur le moment tu n’y es.

§.265.

Mourir pour elle était ce à quoi je devais me préparer.

Être la plus forte de ses guerriers.

Et la plus forte face à la vie être puisqu’une vie allait durer.

Et si c’est elle qui venait à me quitter.

Une vie de plus serait suffisante à me servir de ce que vivre ça.

Est le plus accompli.

Ce qui ne sert pas le corps ni l’esprit mais le tout en nous dans les tripes.

Ce qui donne qu’âme ne meurt pas.

§.266.

Tout ce qui en était dit pour un en particulier est à tenir.

Et tout ce qui serait dit par tous,un plus grand espace ne peut convenir.

L’autre tient éveillé.

§.267.

L’usure peut venir de vouloir rabâcher l’effort (exemple : de la voir qui prend.) on ne cesse de la solliciter car au lieu de compter sur son immobilité pour tenir une stabilité, on la montrait à reprendre et lâcher.

§.268.

Le signe dont on peut dire qu’il éclaira ou obstrua.

Qu’il fallut suivre ou rejetait.

Le signe parce qu’une explication on lui trouva.

La raison que l’on croit.

Et lui assure un soutien dit dans providence.

§.269.Savoir être naissait de ce que les gens pensait qu’on était.

Et ces deux là.

De l’autre.

Comme la forme que l’on revêt vous donne une idée de la puissance renouvelée une forme qu’on veut déterminée. L’obsession à la quelle on s’est attachée.

§.270.

Une idée de la mort dans ce que consciemment on faisait et ne s’était pas révélé.

Pourquoi s’entêter.

La réincarnation est toujours au delà de tout ce qu’on aurait pensé.

§.271.

L’excès d’N. R. J., est une énergie qui est déjà débloquée, mais mal investit.

§.272.

Conséquence sur soi d’un autre temps. Incarnée par d’autre réalité.

Réagir neutre pour englober.

§.273.

La fascination à la hauteur de ce qu’on a à nous apprendre (= ce que l’on met.)

Le pouvoir concerné.

§.274.

On pouvait lire une page d’un hauteur pour voir un mot. Ce mot qui viendra nous bercer, nous propulser.

§.275.

Se sentir pleurer, réagir un peu ou trop peu nous aura vidée.

§.276.

L’émotion ressentit n’est qu’une proposition de l’esprit. (Un signal, la réplique de quelque chose senti et renouvelable et modifiable à volonté.

Dit qu’il est temps que par ça tu te ré énergise.

Sert toi à ton envie.

§.277.

Comprendre sa limite autant qu’on a pu explorer sa spécialité, passion, particularité.

Se dire à travers cela tout j’ai pu être.

Et toujours la même chose qui en ressortait.

Besoin de muter ?

§.278.

Cette rencontre que je mis en place de tout changer ou revoir.

§.279.

L’attirance pour l’opulence aurait un objectif, la santé et la sécurité car on savait bien qu’un esprit à besoin d’être tout absorbé.

§.280.

L’être seul.

Le héro solitaire, le loup égaré.

Nos rencontres avec le solitaire ou l’indépendant fait que d’être, de faire partie de son processus d’identification (sur nous il va falloir, il va savoir s’appuyer aussi conciemment qu’il mène la bar e son destin consciencieusement.)

en reconnaissance 2.

§.281.

La spiritualité est de se poser des questions sur son existence.

Bien sur car est partir donc s’en poser.

§.282.

Le fait de notre si grande ressemblance me faisait perdre l’image de moi.

Puisque mes repères se posait sur l’autre étant donné que c’est l’autre qui face me faisait; et comptait.

§.283.

La peur est un appel.

Car à force de rencontre on apprend à résoudre le problème.

Et ne plus avoir peur de l’objet ( on en fait une source d’énergie = l’action plus loin emmenée) et ne plus avoir peur de son absence (car savoir que plus loin retrouvé, poussé)

§.284.

L’agressivité naît que l’on ne _noeud se rend pas compte que l’etre comme d’énergie est fait pour être à bon escient, mobilisé, utilisé.

Avoir déjà en main la clef.

Quel que soit l’impression de difficulté.

§.285.

Tenter de manipuler ses sensations car savoir qu’en une domaine on est le roi ; mais perdre à cause de vouloir faire reposer sa tranquilité sur cela. perdre l’énergie utilisée à se remettre en train, en sortant d’abord de quelque chose qui par sa nouveauté, (pureté) nous remettrait droit.

chemin et humilité.

§.286.

Qu’il n’y aient de variation que celles que l’on rencontre (que l’on appelle).

§.287.

Qui sont logiquement des variations que l’on retiendra parce que le lien dans lequel on se tient de la logique de toute notre démarche ( de nos réflexions antérieures ) tiens déjà.

N’être comme variation que celles apportés par se rendre compte n’est pas une connaissance à déjà disooser mais un éclair par la situation créé.

La connaissance à disposition est ce qui reste bloqué.

§.288.

Être pris pour ce qu’on est pas (Pour ce con l’est pas ?) tant mieux.

Faire appel à ce qui est chez l’autre et passer avoir été ou être chez soi. Etre de ça.

§.289.

S’interrompre pour parler et perdre son idée mais informer ou s’informer.

Avoir une idée sur ce que l’autre peut en penser = comment l’abreuver.

§.290.

Se diviser.

Car n’est pas le même celui qui porte le problème et celui qui va le résolver. (Résoudre).

§.291.

avoir moins que tu vois envers de l’action.

(Mais si pas intéressant en soi.)

la réflexion qu’il a incarner.

Avoir moins l’acharnement.

Avoir la réserve qui ne permet déjà de préparer quelque chose de mieux que celui là.

Ou la réserve me permettant d’entendre ce que tu lui répondra.

§.292.

Le vieux combattant solitaire n’a pas de tension à gérer ainsi il peut réfléchir à celle vers lesquelles il va.

§.293.

Penser à son ventre alors que l’autre monde manque de calories.

Penser à son ventre avant tout.

Rentrer bêtement dans l’écueil.

§.294.

Comprendre les autres.

Est bêtement pouvoir lui donner. (Leur).

§.295.

Le don de soi ne se regrette pas car à la capacité de souligner les interactions.

Ce qui s’aide et se ré connecte et cetera.

Ce qui fuse et rebondit. Ou sur quoi ?

§.296.

Et papa tu m’as fait avec quoi. (Devine).

Toute ma fougue et accessoirement ta mère. (Bien vu).

§.297.

Il n’y a que le don de soi pour révéler l’erreur.

Le chaînon manquant.

La bataille la force tombe à côté et pourquoi.

Parce que ceci pouvait avoir comme ça et on ne le pensait pas.

Le sacrifisme. Le symbolisme.

§.298.

( Ne ) rien attendre.

Tout maintenir et entreprendre.

Donne l’assurance de celui qui vaincra.

Eviter le vertige.

Ne pas presser le pas.

Faire sur nous. Cilpabilisation.

§.299.

Le geste retentissait.

D’être dit au moment où décidé, s’étendant ou atteignait.

2      – d’avoir été tant contredit ou préparé.

3      Si y est et fuit.

On se disait du voyeur qu’il avait certainement quelque chose à apprendre.

§.300.

Pourri.

Etre une flèche il le prit.

Il ne lui avait répondu l’autre fois d’avoir pu par lui se calmer.

§.301.

Puisque c’était notre vie qui se jouait à chacun de nos gestes.

§.302.

Evidemment je ne disais pas j’ai peur de la perdre, quand j’agissais.

Dans nos actes étaient empreins de cette prudence là.

A longueur de journées d’avoir le courage d’assumer cette contrainte là.

§.303.

Et si était rejeté l’échec.

Comment quand maman arrive de nous voir douter.

§.304.

Bien heureux elle n’est pas là.

Pour voir ces gamelles là.

§.305.

Penser tout le temps à l’autre.

C’était vivre avec nos moments biens morts trépied en toutes circonstances.

La pudeur, l’exclusivité de nos sentiments,le fait qu’il soit sans fuite,imperturbable, imprenable.

Qu’il soit exprimable à tout le monde,à la face de la terre.

L’énergie, toute l’énergie aidant jamais suffisant.

L’amour.

L’ensemble.

N’ayant de plus grand.

§.306.

L’inaction. Laisser connaître les choses.

Mon amour voilà ce que permet le conflit,plus ne pas savoir que soit réfléchi.

(Hormis l’effectuer.)

Avoir un élément ayant toutes les caractéristiques.

§.307.

Je ne vous lis pas pour apprendre quelque choses mais pour savoir si de nos têtes le messages passe bien.

Les mêmes pensées, comme intellectuellement et psychiquement, chimiquement peuvent s’échanger.

Comme la télépathie  prend le relais.

§.308.

La question du conflit.

Comment s’en dépêtrer ?

§.309.

La surpression perçu.

Dans l’attente qu’une sans, puisse se mélanger.

Percevoir. Associer. Décoincer.

§.310.

Prendre le temps = lui donner entièrement = pouvoir qu’il arrive comme il se doit.

§.311.

Laisser moi mourir en paix.

Dans le dernier moment se réfugie le désir d’immortalité.

§.312.

Ce qu’on ne voit pas, la suspension, le mouvement qui à notre conscience a permis.

§.313.

Courir, se servir d’une spécialité était avoir en soi la préoccupation de s ‘épargner.

De prendre gare au danger.

§.314.

Un groupe en séparation, antagonistes distincts, représente le dilemme et n’ayant de dynamisation psychique.

Pour la même chose le même problème.

Un esprit qui s’en vient et l’autre contre le pour et le contre.

Les deux gardiens qui maintiennent une large vue sur tout système.

§.315.

Le tri automatique, continuer son chemin et attendre que l’idée s’invente d’elle même.

Car continuer le chemin est penser et –  – les éléments dont on a le plus besoin pour que la route soit plus belle.

§.315.

La mort est le pouvoir ne plus bouger, de n’être contraint à aucune sollicitation.

§.316.

Tant qu’on ne pourra bronzer comme on veut et en toute tranquillité, existeront de jardins privés.

Tant qu’existeront des privilèges, la violence vécu comme une explication (cicatrisant, un envers de ou revers la situation.)

.

Comme tout moyen de réfléchir est une occasion de liberté. car la réflexion est que d’une perception et vécu personnel des situations, un étalage des outils possibles à disposition pour proposer solutions, ébaucher. Tout étant matière à réflexion, et réflexion ce que l’esprit à transpirer de libération.

§.317.

Un endroit à s’approprier pour avoir le temps de voir en lui la vie circuler.

Être surpris, puis l’appeler.

Pour la savoir prêt pareillement s’activant et respirer.

§.318.

j’aimerais arrêter d’écrire tellement j’en arrive à le détester aussi.

§.319.

Pour l’équilibre du corps.

Equilibre de l’espace.

Il fallait toujours s’en reférer à la gravité.

Au sol pour chacun de ses segments car où que soit et se présente le reste du corps il fallait qu’il soit lui même attaché à elle, fixé en dedans.

L’amour c’était pouvoir tout décrocher mais ne pas penser à ce que cela avait comme valeur (ce que cela délivrait comme opportunité) mais ramené-vénéré, s’inspirer toujours de ce quoi notre force venait.

§.320.

Se rendre compte d’une expérience vécue, d’une moralité, d’un experience de ce qui pourrait se passer = des positions initialles qui s’étaient transformées.

Quelles conclusions on en tirait mais on sentait la force de l’évènement

En se demandant quelle importance il aurait pour les autres, comment ils s’en serviraient, s’en souviendrait.

§.321.

Le travail représentait tout.

Jusqu’à ce que je me rende compte qu’il était mon moyen de compter les années et que c’était ainsi qu’il devenait indispensable ou si précieux pour moi.

§.322.

A la vue de comment des cafards colonisaient des lieux vétustes on se dit que vivre sans pesticides on est pas.

§.323.

Tous les coins dont on avait à s’occuper correspondaient aux péripéties de ce qui sommeillait ; De nos paralysies.

§.324.

Il ne prenait rien que de très logique que dans rêver de faits auxquels on n’a pas pensé depuis des années.

Car quand soi même on repense à des évènements du passé et que décortiquant revient des images de gens que a des moments, de simples fragments nous avait on avait réellement ou avait tellement voulu nous donner, à ce genre de souvenirs là revue tellement que l’esprit à l’autre bout devra sentir qu’est arrivés à terme ce qui envoyé précédemment.

§.325.

Ré expliquer un thème comme on en fait est une opportunité pour que l’esprit se dise si je l’explique la prochaine fois différemment même en rapport avec les infos additionnées du feed-bach ou avec celui avec qui on discutait.

§.326.

Même évènementiel = position différente.

Même exemple = deux différents évènements.

§.327.

Il avait compris ce que personne n’avait admis alors que sans savoir j’en crevais.

La tendresse que j’avais pour lui était venue faire le lien puisque moi-même maintenant ayant brisé l’interdit.

§.328.

Il fallait faire place.

Faire ce qu’on savait et pouvait faire le jour même pour que les idées nouvelles viennent.

§.329.

Ensemble.

A regarde B.

B regarde C.

Et A compte sur B pour communiquer sur ce qu’il à perçu de C.

C’est à dire quel élément à A il manquait.

Se croire incompris.

Se battre (souffrir pour qu’on ne doute de notre raison.

Et s’apercevoir que loin de là on était pris pour un con.

Supporter après toute idée, de chacun, tout représenter l’être souverain.

Comme exemple :  L’escadron.

§.330.

Être à fond dans sa spécialité donne une humilité car ce qu’on sait d’immense sur nos capacités, fait que privé d’elles, on ne se trouve plus capable de concession, de cette force de poursuite, d’adaptation = besoin de soutien pour que donne et dure le lien.

Spécialité avoir besoin de l’autre pour s’enfoncer, être relayé, et l’objet d’un besoin, d’une demande ou acceptation. entendement et étendement.

§.331.

Je pensais cela alors je frayais.

Et si tout s’écroulais.

Alors c’est qu’avant de faire j’avais besoin de révision.

Il ne pouvait avoir d’amour plein et jalousie car aimer c’était être assez fort pour pouvoir tout et en tout –         -.

C’était apprendre justement que cela se pourrait.

N’être pas comme avant. Parce que quelqu’un me suivait.

Sentir son regard, sa présence qui aurait voulu me dévorer.

§.332.

Un jour de me demander. « Mais qu’ais je pour les autres fait ».

Le maximum pour ne pas péter les plombs.

§.333.

Ce qui me tu eras ?

T’as manqué.

Ainsi la notion de responsabilité se constituait.

§.334.

l’absence d’une recherche (Donc d’une sensation de manque) au niveau émotionnel traduit et est permis par une simple demande (que personne ne peut refuser ou faire destruction).

Le désir de continuité.

Le bonheur est dans l’attente.

Le bonheur est dans le près.

§.335.

La différence de notion des territoires était si l’on s’y trouvait par hasard ou que sans aucun prétexte on ne lâchait le terre du regard.

§.336.

Les gens ont la sensation de plagia.

Parce qu’on a déjà entendu ces histoires cent fois du fait que ce sont d’expériences continuelles que l’on comprend et dont on fait des généralités transmissibles à l’autre, les choses essentielles les plus vites faites.

337.

Croire que l’on est mort méchant, insultant, gentil, accordant.

Est d’associer des pensées à des résultats.

Qui ne sont valables que dans le fantasme.

Et encore un fantasme qu’à ne développer (mais qu’on bloque)

Car développement ou construit des mondes = mouvement, changement rééquilibre, attention.

Jugement est image donc ce qu’on pense de soi.

De ses actes.

Sa situation.

338.

Le mystère ne réside pas dans l’opposition femme / homme.

Mais dans ce qu’on aime et à quoi on doit s’allier.

Document ajoutée.

§.339. page 1075.

La drogue ouvre des portes.

Dont on ne peut construire les ponts.

Comme toute dope.

Elle fait croire.

Car c’est ce qui serait à notre portée.

Et ce que l’on surpasserait.

Mais nous assure la vision de n’être construction.

Désillusions.

§.340.

Le mécanisme qui dresse les dates de ceux qu’il connaît.

Le mécanisme qui représente le lecteur qui n’est plus imaginé.

Mais contre le symbole du lecteur par qui ont fait l’art exister.

(Pour moi dada c’est ce que tu es.)

(Merci quand même mais cela je m’en passerai bien).

Tu sais qu’elle était ma profession d’origine pourtant, et passion.

§.341.

Je m’attendais à la mauvaise manipulation je l’ai bien faite.

Pas facile de régler en deux jours ce qui devrait prendre cinq minutes. Au bout du cinq centième coup sur le bouton qui ne veut pas marcher.

Mais il est bien plus facile de croire l’autre in faillible.

§.342.

Aimer à froid : Utiliser sa charge de protéines.

§.343.

Dictature. Pour préserver force de loi.

§.344.

Perte comme résumé de tout ce qu’on à fait.

Puisque fait pour ça = le moment qui arrive.

§.345.

Exclure un.

Pour le forcer à travailler.

§.346.

N’avoir le temps que de sourire pour exprimer.

§.347.

Mourir était la façon de dire à la vie, que l’obligation de mort on lui reprochait.

La laisser.

Laisser tomber nos connaissances pour se rapprocher de ce qu’on avait ingérer pris.

§348.

Non par vraiment pour se suicider mais avoir envie de plonger dans le fleuve pour que l’eau me gobe et que mon corps cesse de-              -, de me donner de lui son démantèlement d’objet dévissé du bébé qui croyait que son corps constamment qu’un ne ferait.

Comme si idéalement on ne faisait un sans avoir à comme récompense de se diviser pour se –      -.

§.349.

La peur d’être jugé par un tiers.

Alors qu’on fait un geste pour un autre.

La peur intervient quand on suspend ce geste.

§.350.

Durée dénier du développement.

§.351.

On parle de création d’emploi.

Alors qu’on impose des travaux dont on a pas besoin, en trop en pourvoyeurs de luxure.

Alors que celui à assouvir ne se fait pas.

Message d’espoir.

§.352.

Le pire ravage de la guerre, des mines, le racisme.

Cette courte vue qui dissémine des attentions ! à chaque fois que se présente un étranger, tout en cherchant à tout prix un allié, comme pour sa vie protéger.

Attention survie.

§.353.

On doit vivre exclusivement/ à soi même afin de ne pas drainer à chaque coup que l’embarcation des situations, des ressources, des alliés se prend une embardée.

§.354.

On vie les choses mais comment les retient-on.

Travail du sommeil, les ré imprimer.

La mort.

§.355.

Sexe faible.

Car convention par être un devoir / à ça.

Protéger.

La femme convoitise, pourvoyeuse d’armée.

Petit = celui qu’on peut dresser.

!

§.356.

Jalousie intra communauté ; Autorisé. Légalisé. Stratifié.

Pour agressivité dans conflit inter.

Voué, permettre, fois, intensifié plus que admettre, glorifier.

Comme catalyser guerre invective qui plus esttout comme objet personnel commun et donner à l’esprit impression de se dresser.

§.357.

Pour t’avoir sauter dessus.

Je ne peux pas m’excuser.

Pour la simple raison que je ne me souviens que du moment où je te faisais mal, pas celui où je me suis jeté je peux t’assurer.

Je t’avais fait une sérieuse bêtise sur ton travail d’étude d’anglais, et tu ne m’as pas fait mal, seulement surpris et vexé.

Si seulement tu pouvais recommencer ma CAROLINE cela ferait que tu serais encore là.

Seulement que je ne risquerait plus de me mettre dans uns situation qui me re-propulserait.

Le travail d’une année à trier des bouquins ressort.

De mon côté je ne croyais pas lui devoir cette explication.

Il était en crise admettons. Ce serait faire offense à son intelligence, à son innée que de lui dire qu’il faut, qu’il va les miennes provoquer.

Ou peut être que non.

Quand moi même cède à la tentation de bouillonnement c’est cela même que j’occulterais-    –       –       -en soif d’effet de feu d’artifice d’événement qui nous prouve que nous même on n’ai en fait    –       -à contrôler.

§.358.

Le temps de la maturation permet de dire et de sentir ce qu’on va développer ou non. Préparation à l’implicite du texte le non dit par non temps, de l’installation on dit en lecteur que l’auteur lui même se sent encore sur le sujet trop ignorant.

!

§.359.

Le regard est le miroir de l’âme car il indique à l’autre où nous regarder, ce qu’on met en avant, la sensation qu’on contrôle ou peur par laquelle on est jauger.

!

§.360.

Etudier les autres.

Pour savoir ce que je n’ai à écrire.

Et ce que j’ai à dire qu’a été fait, déjà servie.

§.361.

Ne pas manger.

Permet de penser à d’autres mets que l’on savoure rien que de savoir que l’abstinence permettra de les savourer.

§.362.

L’homme a le corps qui rend compte que les esprits se rendent visite.

Rû brique.

§.363.

S’enfermer devant un travail.

Façon de ne rien faire que se qui est automatique.

Danger des complications.

Machine nal.

Laissé si on ne les admet pas comme diversifiant notre pensée, apprends des choses.

§.364.

Rencontrer la difficulté.

Pour comprendre ces choses sur lesquelles les autres insistaient.

§.365.

Ne pas être pressé.

Car ne pas le vouloir autrement que bien et quand je saurais super prêt alors tout seul il viendra ou je pourrais m’en passer.

366.

L’âme des mots.

Ou sont d’en finir vite avec ou sont de rendre la densité d’une idée.

§.367.

Pas besoin de mère pour pisser car sa feuille de vigne est dans sa tonsure, son clito feutré.

Et d’aussi d’elle.

Différente.

§.368.

Avoir un comportement inhabituel pour montrer aux autres comment on se sort de l’émotion qu’il occasionne.

§.369.

Faire les choses à fond ainsi la moindre erreur se désigne tellement qu’on à d’autres choix que l’effacement vraiment.

§.370.

Faire comprendre à quelqu’une une sensation, (réaction, impulsion) avant de discuter, ce qui mène à elle nos plus géniales conditions = ce qui fait que nous ne contrôlions

De ce quoi on dépend.

§.371.

Ils nous traitaient de –     – ainsi avec la couleur de notre peau on était susceptible d’être mieux qu’eux .

(les dits plus terres plus paysans)

approcher.

Ils nous traitaient ainsi pour qu’on aille s’en occuper.

Lien.

D’un en un.

Parce que c’est dans la violence que tout reproche se fait.

§.372.

Sentir ses bourrelets mais cette fois avoir raisonnablement manger.

Les sentir pour penser à faire du sport à se tenir droit.

A engager sa graisse quand un geste on déploie.

Et cetera.

§.373.

Pour lui j’aurais donner ma vie, sans compter il était mon bien.

§.374.

Je l’aimais              l’attraction.

Ce qui ne m’empêchait pas de me rebeller en attention.

Se trouvait dans mon amour l’amour de ce qui était.

Fin de DOC 16.

A corriger.

computerised extra doc 15

 

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

 

S’il vous plait, téléchargez prioritairement les DPF documents en page 1.

 

Les documents ci-dessous, tapes électroniquement- sont les copies partielles – i.e. présentation de certains tomes mais pas dans leurs version intégrales – et parfois non identiques ou incomplètement déchiffrés. 

Ces postes, tapes digitalement, ne sont la pour lecture de textes premiers mais pour permettre de retrouver ou rencontrer les textes ou la nature de leur portée.

Les originaux et copies certifies sont en fait les photos de manuscrits, ceux-ci n’ayant pas de traduction électronique, n apparaissent et ne peuvent être enregistres ou répertories par ordinateurs.

Donc une fois que sur ce site il est préférable que vous ouvriez et enregistriez les documents DPF puisqu’ils sont –plus surement- le plus proche de ce que l’auteur a écrit.

Les documents tapes n’ont pas été vérifiés et sont l’essaie de transcription d’une écriture parfois très pénible.

Ceci étant, je vous invite vivement a les lire également puisqu’ils sont plus lisibles et contiennent annotations présentées sous différentes couleurs, par cet autre auteur.

http://unautrepoete.wordpress.com/

DOC : 15.  Pages 900 à 999.

Arrivé au §.126 :

§.1.

La recherche de l’équilibre accepté sans inciter la variation.

§.2.

On pouvait dire à quelqu’un je t’enlèverais après la mort.

Quand on sait qu’il tiendra à jamais la première place dans sa vie.

§.3.

S’occuper de quelque chose, le mettre à sa place.

En service. Ni plus ni moins et redonner son autonomie à le chose.

§.4.

La généralisation, l’intelligence devenait connerie quand on ne s’édifiait pas pour obtenir un résultat une exemplification. (exemplarité).

Je dis ça parce que ça, se mettre d’accord sur un système de pensée et pouvoir aborder (ensuite pleinement) la situation. en plein après.

§.5.

La critique est :

  1. Un moyen de communication.
  2. Un moyen de réflexion.

Il faut être à la mesure de ce que l’on en dit comme avoir d’élaborer et suivre les propos, règles que de cette façon on pressent.

Le pouvoir sur soi qu’est la critique se mérite et se préserve à mesure qu’on les respecte et de leur respect d’autres rigueurs (mais dépourvu de continuité puisqu’à l’origine d’une expression des savoirs à savoir donc la liberté et du contrôle de ses capacités = puissance, profondeurs sans s’esquinter.

§.6.

Comparer les deux individus.

Exprime non pas le jugement des deux groupes mais de la situation globale.

Le jugement est l’impuissance devant une absence est un fait eu refus, une incapacité, impossibilité à communiquer.

Problème traumatisme, solution, deuxième bloqué.

§.7.

Il me disait vouloir refaire sa vie.

Car c’est en compagnie de son passé qu’il se résolvait

Dissolvait.

§.8.

Met l’en colis.

Cadeau la semaine ou bien collier.

Play –till.

§.9.

Le jugement est le recours affectif, déroutant, irrésolvable car conséquence d’une irrésolution.

§.10.

Blanc – calle.

§.11.

Le devoir de chacun était de s’apprendre notre pouvoir corporel évitant ainsi l’usure du mouvement de l’esprit comme celui de se former.

§.12.

Tissé volontairement.

Le voir travailler.

§.13.

Détermination à la hauteur de la trouvaille.

L’attirer.

La détermination car il est épuisé d’avancer en changement de but à ces gestes rationalisation.

§.14.

On ne résolvait pas les problèmes en parlant de la provocation en elle-même parce que la provocation avait déjà pour but (pariez?), premier de jeter en pâture un élément douloureux pour trouver ce qui pourrait le calmer = élément non encore absorbé.

En rapport avec la provocation.

§.15.

Savoir les choses qui me donneront ma déesse.

Ma déesse si je veux qu’elle le fût.

Le fût, drôle, de la destinée.

Quelle – qu’elle.

§.16.

On sentait qu’il était patient.

Parce que sa patience il avait travaillé.

Se montrer, s’avouer en perte d’énergie.

Dire une vérité.

Sur le même champ on est  – comment se regrouper.

§.17.

Aimer une chose – signifier.

S’enfermer.

§.18.

Le conflit, l’urgence, révélait le lien charnel (conjugale, –   -)

Intrinsèque (reproduction dans l’action ou le –      -)

Qu’ensemble entre chaque, puisque entretenait l’inconscient.

§.19.

Les gestes du groupe permettent de se déconnecter et de venir juste un appel ; une manière de se rassembler autant que de voir une concentration pression s’édifier.

§.20.

Un mendiant.

Je vous souhaite une bonne compréhension et bonne journée.

(Sans les vacances oublier.)

§.21.

La poésie est.

Car d’elle, la manière naît, d’avoir l’objet cent et cent mille fois, repensé.

                      musique

§.22.

On ne donnait pas confiance à quelqu’un.

Mais on donnait sa chance.

Confiance ?

Le repos ne se trouve pas là où on ni tout, mais nous.

Mais là prochainement la confiance nous défierait.

§.23.

Les lois rigides de la morale, discriminatoires, sectaires…

car la morale faisait office de loi.

Et la loi ne supporte pas d’être discuté plus tant que le régime, l’ installation judiciaire soit complètement stabilisée, démocratique.

Alors règles morales sous forme de sermo sert Mon, Code civil ne souffrnt la discution.

dans ce style de climat plus qu’une regle de foi.

Tenir bon !

§.24.

Être idéalisé.

Est un grand danger envers les inspections qu’il AVAIT à corriger.

§.25.

Il est sympa.

Réponse : Il a une vie sympa, le cul de nouilles, bordé.

Celui qu’on sert.

1      Il ne sait pas ce qu’est de s’user.

2      Mais ne sait pas non plus à quoi il sert.

Après cela tu as plutôt intérêt à trouver de la sympathie autour : Sinon tu peux te buter.

§.26.

Faire agir l’inconscient.

Le flux d’énergie mise en valeur.

Pour ceux qui observent.

Pour soi se demander ce qui a pu se passer.

Mais s’en foutre quoi qu’on aie pu incarner on était bien de cette, de la bête libéré.

juste se servir de ce que la conscience nous donne d’ardeur.

faire vivre l’énergie dans nos corps, decouvrir par son utilisation ce que la vie peut délier.

§.27.

Je ne pouvais me moquer des banlieux maintenant qu’habitant :

La Varenne.

§.28.

L’art donné à celui qui s’y adonnait, le sentiment véhiculé. on y reposait tout ce que (de) la vie (on) avait à (activer) archiver.

L’art avait pour mission sur l’individu une fois que celui ci y avait pleinement goûté, qu’il se dise que dans sa vie propre cet idéal il doit former.

§28 b

ne pas penser que sa propre situation était un mal pour soi, car sinon c’était se culpabiliser pour quelque chose qui déjà sur elle s’abattait.

§28 c

Je m’énervais.

Puis après tout c’est celui qui dit qui est.

§.29.

L’habitude des gens.

Comment les côtoyer, en respectant leurs besoins et les nôtres.

Un grand apprentissage permettant la symbiose.

Parce que le temps qu’on y prend, parce que le temps pris, le temps en lui même est pour ceci fait.

§.30.

Je vis des paysages beaux par millier

Moi j’en étudiais les pierres.

Je ne prenais pas de photos, un autre aurait une vie pour que ceci soit fait.

§30 b

Se foutre d’avoir tel ou tel rôle attribué, tout depent de comment avec celui-ci on se débrouillerait..

J’en ai une grosse moi et puis on est tous exploités. au moins j’en profite pour savoir ce que de ce ventre j’ai.

§.31.

S’occuper des autres en même temps que faire ce qu’on chérit le plus.

Est le moyen pour que l’égocentrisme deviennent des qualités la plus merveilleuse.

Régler des problèmes devait nous rendre –    -.

Car c’était l’analyse de problèmes (que sur soi on pouvait décider d’arranger) et sur les autres une simple éclipse mais qui devait nous toucher puisque après tout ce défaut infectait.

L’événement venait

§.32.

Ne jamais avancer d’hypothèses quand on veut se renseigner.

Ou bien alors sous forme de questions. Car la question est à la base de la complicité.

Je ne t’interroge pas.

Je ne me base pas sur le principe que tu sais mais sur celui qu’ensemble de toute façon on peut chercher et que l’intelligence se développe comme cela.

§.33.

Séparation homme femme canalise la compétition dans le couple.

§33 b

Les choses ainsi se poursuivent.

Car que ferait-on sans la sagesse qu’amène les vieux.

Et que peut être amené à condition que soit assister, en, le mouvement.

§.34.

La vie et son danger constant de mort doivent nous faire prendre conscience du danger.

Donc mesurer ses actes, tout en sachant que la liberté passe par prouver que de mort il n’y a.

Mais toujours plus loin nous amène et amène nos conscience de responsabilités (et prise en compte et en charge) cette dimension là et aussi notre esprit doit rester de marbre face à cette menace qui pèse sur lui.

Si pas de mort.

Pas de peur.

Ni d’ennemi.

Sang froid et profondeur.

§.35.

C’était mon enfant, comme le meilleur des amis, le plus certains.

Et puisqu’il allait mourir mes parents, il prenait leur place, dans mon cœur et pas seulement.

§.36.

Il fallait des rendez-vous réguliers et établis pour ne pas traiter des presto à la va vite. Pour se préparer, les aborder de façons tempérées, et prévoir le prochainement approfondis.

§.37.

Va être visé.

Celui dont c’est sa partie.

Car est celui qui détient les arguments.

§.38.

Et quand ces gestes de ma mère venaient en moi.

Je me sentais belle.

§.39.

Les choses ne peuvent aller trop vite car les vieux doivent rester adapter aux changements.

§.40.

Les signes.

J’avais vu des auteurs, des –   – , des panneaux, des plaques d’immatriculations des phrases sinon juste dans la rue, à la radio, des –      – débordait des poubelles ou d’étalage.

Des formes des nuages aux vols des hirondelles combien de fois tout m’avait rappelé.

§.41.

La sonorité de son nom, le nombre de fois qu’ici elle m’embrassât, tous les mots échangés de sortie et tous ceux qui sentaient su où tu, dû où mû, lu, vu, bu.

Puis l’indifférence d’U par rapport au coup. Un chiffre me frapper, ses centaines de fois, mais bon sang ce chiffre combien maintenant n’avais-je passé de moi.

§.42

Apprendre des tournures.

Se remanier.

§.43.

Le ventre se vidait.

On lui redonnait à se remplir.

Et arrêter la fin de, du travail digestif par ce fait.

§.44.

S’exprimer, répéter.

Trouver le son, trouver le mouvement ou l’action que tout le monde entendra.

Il ne s’était pas battu parce qu’on l’avait appelé par un prénom féminin mais parce qu’on avait voulu faire une insulte de cela.

§.45.

Elle m’avait avoué de cette façon corps et âme m’avoir aimé.

Mais on (nous nous inspirions) s’inspirait, mais nous ne partagions pas la même idée.

Quoique ?

§.46.

Non pas être gêné par le trait sexuel mais gêné parce qu’interrompu dans un geste d’intimité.

§.47.

ON la prenait pour une adolescente au plus qu’elle tenait dissimulé les traits de courage qu’elle imposait et puisque les autres, infantiles, ne lui reconnaissaient.

§47 b

MI-EUX.

§.48.

Il devenait rigide, de plus en plus rigide.

Car crise après crise et de moins en moins pris au sérieux.

§.49

      _Je le rentrerais bien dedans.

      _ ?   ?   ?

§.50.

Savoir que son parent disait n’importe quoi.

Car pouvoir pousser l’expérience plus loin.

§.51.

On me contestait.

N’importe quoi il disait.

AVEU.

Le pourquoi j’étais hautement blâmable nul d’autre que moi le savait.

Quand je prends des (envers) airs de troisième personnes –

De généralités.

§.52.

Association – conflit.

Reconnaissance de l’autre.

Qualité – de fait s’affirme et se forme ainsi.

§.53.

Quand je ressentais un malaise.

C’est à lui que je pensais, lui qui par tous les moyens je l’avais hurlé.

Du coup je savais que le malaise d’autres le supportait, que ce n’était pas un simple dérèglement intérieur.

Mais que nous li (r) ait.

§.54.

La tristesse était imposée, que nous avaient rendues hors d’atteinte, nos blessures.

Et l’écrivais autrement c’est bonjour chou que je lui disais où mieux.

§.55.

Tout donner.

Se rendre compte que l’on n’y arrive jamais.

Parce qu’on nous passe et repasse sans arrêt.

§.56.

S’insulter.

Mais merdre c’est quand même bien l’enfer ici.

Pourquoi personne ne le dit.

S’insulter les amis.

Quoi il travaille pas.

Parce que le boulot peut-être de l’esclavage ou les boulots bien, plus t’as jamais vu quelqu’un qu’on a exclu.

Péter un plomb, tu sais pas ce que c’est attend on va te montrer.

§.57.

Ecouter un son.

De façon à ce que fasse le tour de nos genres de vibrations..

§.58.

La preuve que l’esprit perd, le temps à l’intelligence de prendre en compte la position inverse de celle auquel elle réfléchissait.

Le tour d’un sujet.

Equilibrer.

Ne plus être positionner mais englober plus de parti – pris.

S’affranchir.

Comment une relation s’anoblissait !

§.59.

Donner tous les défauts à ces parents.

Pour avoir tout l’amour que l’on a pour eux pour nous permettre de nous éviter ce que l’on considère comme écueil qui ce qu’ils ont permis entre-lient.

§.60.

L’art permettait d’avoir de l’influence sans avoir à exercer son autorité.

§.61.

Etre violent avec quelqu’un.

La force qu’on essaye de développer pour l’empêcher de se noyer.

§.62.

La provocation.

Nous rappeler que l’on en était.

§.63.

Inoubliable – compliment.

Empêcher où inciter à être.

§.64.

La fin de l’épreuve un cadeau.

La fin de l’épreuve qui est la raison pour laquelle le présent défi est par notre rage nourri.

§.65.

On se confiait à lui non pas par  naïveté mais pour être sur que soit répété.

§.66.

Se faire traiter = hiérarchiquement, fonctionnellement, définir.

§.67.

«  Pute  » est pourquoi pas se sentir fort fait à ça.

Pas plus pute que toi.

Se moquer de nos faiblesses comme étant un état provisoire d’une situation qui les uns comme les autres, dépassait.

§.68.

Se faire traiter, s’était vouloir revenir dans un endroit qu’auparavant on évitait.

Se faire traiter !

Pour prouver que quoi qu’il se dise :

Par – dessus on était.

§.69.

L’idéal est en fait l’expression mélancolique d’une douleur

la manifestation d’ une énergie qu’on a mais qu’on ne sait encore maîtriser.

L’absence de l’autre venant expliquer ce quà soi même on tient caché.

§.70.

Une façon de décompresser faire un trait d’humour :

( Caricature ) en restant sérieux comme quand les autres sortent avec conviction les plus belles conneries.

Eronie – repasser.

IRON | IE.

Demande une explication D. PF. Hello Da – Da !

Une dissociation.

Permet de réfléchir à une autre association.

Après toi plus PERSONNE.

 

 

§.71.

Psychotique, névrosé.

L’état de nos perceptions catégorisé.

Sommes – nous seulement HUMAINS ?

en tout les cas loin encore d’être dans des conditions humanisees.

quand l’on pense que l’humain de sa propre liberte, de sa pleine dignité devrait s’emparer.

mais il oublie que de lui comme de tout autre chose, et de son esprit en premier, seulement, simplement il ne peut dire qu’il sait.

la connaissance est la trace de devoir s’allier

puisque je ne sais rien alors c’est dans l’alliance que dieu peut se trouver.

§.72.

Quelques jours qu’est ce que c’est ?

Une vie en train de se passer

Le temps de se demander.

§.73.

Ce n’étaient que des souvenirs assez frais pour être reconstitués donc constitutifs dans le présent.

Plus tard l’oubli viendrait en second de l’ensemble.

Déès – laissé.

§.74.

Entre le danger de ressasser et l’obligation qu’à notre survie d’en tête garder.

§.75.

Au lieu d’imaginer ce qu’elle m’inspire, tout l’idéal que je peux imaginer de l’énergie qu’il a en moi débloqué.

Ne devrais-je pas me demander ce que  réellement je ferais si c’était un OUI que j’obtenais.

Qu’est ce que je construirais puisque l’apport d’énergie à déjà répondu à qu’est-ce qui me construit à l’exploration des ressources matériels humains servaient.

Maintenant qu’un super – état peut nous faire l’ordre refluer.

Sans plus avoir peur de se faire manger.

Ordre = égalité.

La science, les sciences qu’était l’aide de cette équation ne peuvent durer.

§.76.

Les muscles de la persévérance, ne sont plus qu’en superficie, parce que a la limite de l’abatement, on réfléchit aux gestes que l’on accomplit.

alors à cette tâche l’on est empli.

Les muscles eux – mêmes s’attachent en profondeurs et nos attaches relient.

§.77.

Si l’on ne souhaite que l’essentiel, en nous vienne à s’assécher.

§.78.

L’énervement est ce qui surgit de deux esprits, que vont-ils pouvoir ensemble régler de ceci.

§.79.

Familles aisées doivent représenter ce quoi vers les autres doivent espérer.

Ils sont les forts représentant de l’objet commun. Quels beaux objets, quelles activités à développer.

De guide à expérimentation écho donc = Le laisser complètement décisionnaire dans l’air qui lui était attribuée.

Cette situation crûe permet de voir comment l’esprit réagit selon comment on l’a gavé.

§.80.

Etape 1 : Vouloir faire prendre en conscience qu’on se sent mise en position secondaire.

Etape 2 : Une fois fait, ne pas accepter qu’elle croit que c’est le statut qu’on veut lui attribuer.

§.81.

La vue sur cratère, nuage et soleil la mettent à l’abri.

Non qu’être, nos plans avaient ses couleurs mais ces couleurs que nous verrions.

Comme être blanc et noir toute la panoplie de ce que nous distinguons.

§.82.

L e rôle chéri arbitrairement attribué à pouvoir révéler ce que dormait l’éducation de quelqu’un quand une fois on n’avait plus rien a lui commandé, imposer.

§.83.

Chaque geste devait – être perçu comme constitutif de sa santé, l’unique moyen pour se motiver.

Chaque geste un sport, un moyen de s’entretenir, de tenir le coup face à ce qui nous était demandé de tenir pour savoir comment prévenir.

§.84.

L’esprit ne diffère pas par paresse mais en attendant de pouvoir avec eux traiter le sujet, attendre le pouvoir de maturation sur lequel il veut se pencher.

§.85.

Nous bronzerions au clair de lune que notre peau deviendrait grise, rouge, jaune, noire, selon les quartiers.

§.86.

avouer avoir mal fait; comme le seul moyen de rééquilibrer.

Et devient réalité ce qu’on se donne une chance de pouvoir –  –  –  -Balancer.

les tourments de l’esprit.

balancer ici comme de se débarrasser.

§.87.

On ne peut écrire que ce qui s’est donné.

L’émotion. L’art est un moyen de savoir ce que le monde que nous côtoyons, nous a offert.

Il ne pense que ce qu’avec l’autre de l’existence on a débusqué.

§.88.

Ne pas savoir ce que les différents parties ressentent puisque les mots ne sont que des approximations d’où la difficulté de la communication et donc de l’harmonisation.

Le paranormal ne serait-il pas ce qu’on ne pu dire que s’était rassemblé (L’explosion d’N. R. J.) on le voyait (Pour s’apercevoir qu’on croyait à une même chose qui en fait plusieurs était.

(Explosion de la réalité.)

Et de ses perceptions.

                Elément qu’on ressent comme divisés.

                Elément qu’on sent comme fusionant.

Perception.

Energie – Ce qui se révèle.

telle un monde sans cesse

restant

à explorer.

§.89.

Ne pas joindre son temps à.

L’esprit missionnaire. (Mission – AIR.)

C’est aller vers l’action qui doit être faite pour que son esprit libéré après que soit fait puisse le plus efficacement s’adonner à son objectif.

Exercice annexe, s’outiller.

L’outil, l’esprit, le bien qu’on doit lui procurer.

L’état d’esprit rechercher.

La nature de nos relations, quels mélanges peut-on faire pour que l’esprit puisse jongler.

Le plus découvrir et le moins oublier.

Se constituer.

§.90.

Chaque nouvelle rencontre prend le relais de nos connaissances (arrêtées) sur un type de relation.

Pour qui tu me prends ?

Et ainsi qu’ai-je ?

Pouvoir s’appliquer, dire calmement s’infiltrer, fuser.

Fuite ou se colmater ?

Se voir, s’appliquer.

§.91.

De ne pouvoir plus s’utiliser au mieux de ses possibilités.

C’est souffrir, une maladie développée.

§.92.

Encore assez petit pour être dragué.

Du genre vrai tu es plutôt bien, histoire de nous rassurer.

Alors que ce qui est à savoir c’est que l’un sait que tout les autres se valent (= donc plaisent)

Ne peut être complet.

§.93.
Le regard d’un autre pour comprendre que quel fait mon affection, la marge de protection pourrait aller se nicher.

§.94.

Le symbole.

Celui qui absorbait toute mon attention.

Le symbole pouvait devenir tour à tour funeste ou vital selon.

Ou bien qu’il me permette de réfléchir de rendre universelle mon action.

Ou bien que formant toute mon énergie je loupe d’accorder ma raison que de vouloir lui trouver une signification fasse que je tombe en impossibilité de réaction.

Accident.

§.95.

Être avertie donnant l’ouverture sur d’autres étonnements.

Le néophyte donne des ouvertures parce que réagit selon une arrière pensée par rapport à une ère nouvelle.

Ouvertures par lesquelles l’averti va d’être utilisé

(Obligation à) ou de n’être aidé (L’intervention de chacun sur chacun devant mener à l’autonomie de tous = liberté + solidarité au sein du groupe.

§.96.

Le manque d’affection, de reconnaissance, de certitude de n’être abandonné dans la quête, l’attitude sexualisé.

§.98.

Symbole platonique, vagin, clitoridien, anal, cordon ombilicalien (ombilical).

§.99.

Ne plus en avoir peur puisque cette conscience était le résultat de vouloir tenter de s’améliorer, de s’émanciper.

§.100.

Ne tenter de communiquer c’était implicitement reconnaître que la connerie c’était = une chose est certaine je n’en fais pas assez.

§.101.

Être perpétuellement dans le renouveau, l’avancée pour se rendre compte de ses imperfections et comprendre résoudre en soi ce qu’on voyait qu’il n’allait.

§.102.

Qu’est-ce que servent nos actions ?

Qu’il y a –t-il sans la forme.

Nous ne sommes au fond.

§.103.

Je retourne encore au frigo.

Je n’ai pas l’âme tranquille.

Que puis-je faire ?

Consommer ?

En tout cas supporter mon trop de graisse.

§.104.

La cruauté s’explique par ceux qui disent, honorer la gentillesse. !!!

Alors que d’ignorer la misère qu’on ne combat, qu’on s’occupe d’ignorer.

§.105.

Les tiques de la fin d’une ère permettent de remettre en question le bien fondé des perceptions.

§.106.

N’avoir peur de rien.

Le monde est constitué de ce que l’on sait et de ce que l’on sait.

§.107.

La mort d’être.

Poursuivre la vie est dépasser ce que l’on croit.

Puisque de fin il n’y a.

Peuvent être conservées.

§.108.

On comprend ne pas être exigeant mais simplement déterminé.

Quelle attitude adopter face au désarroi que le monde lui-même nous a confié ?

Comprendre alors combien est trahison de n’avoir pas su l’apaiser.

§.109.

Se repérer, être en communication.

C’était avoir confiance en l’esprit du voisin pour qu’il nous transmette, soit une occasion de réconciliation avec ce que ; Notre esprit est au maintient (Sans en savoir rien) puisque l’harmonie à l’autre décidera de ce qui sera reconstitué en soi.

§.110.

On peut s’arrêter de convoiter si les réserves du travail effectué deviennent comprises et respectées.

§110 B

Quand il penserait réellement à moi il comprendrait alors ce que je fis.

Il vivrait alors l’amour que je sais en lui.

SORT Y LEGUE.

§.111.

Ne critiquait-il pas les autres pour lui apprendre le mépris.

On se protégeait dans des mondes fermés de savoir combien s’ouvrir pouvait comporter de danger.

Etre mangé, être craint ou convoité.

§.112.

L’invention est une chimère.

La superposition, le repère.

§.113.

L’art préserve le cheminement solitaire, préserve l’originalité de l’esprit, de sa perception du monde dans un monde formaté selon la restreinte et grossière somme de ses répertoriées et officielles exploitations.

§.114.

Il avait eût peur de moi.

Il s’était mépris.

La mère et la fille dans leur identification obligatoire (car proche et rapprochées par leur tâches et fonctions).

La mère dans son identification contre sa fille à l’amour du père qui est, elle mais dans le paradoxe.

Plaire à son père (ressembler à sa mère) rester elle même pour être bien ( = ressembler aussi à son père).

En sachant que ce qui déplait peut être un moyen de se détacher de l’aliénation (puisque personne ne sait ce qui est mieux de proposer) plus une façon de ne susciter l’inceste ou de susciter la rébellion, la crise faisant éclater l’insoupçonnée.

§.115.

La violence dans le monde.

Combien de morts ?

Autant d’hommes qui soient.

Autant qu’ils avaient eût à l’affronter.

§.116.

La sexualité exclusive apprend la concession – savoir former un couple équilibré (dans son travail entre même sexe) en sachant ne pouvoir, n’avoir le droit de conjugalement pouvoir l’exploiter.

Tribus et contrôle des unions.

§.117.

La maigreur est féminine. (Ben voyons !).

Comme les femmes sont moins bien nourries.

Comme la délicatesse est la conséquence d’un dosage de :

l’N. R. J..

 (J’ai déjà lu et recopié pas mal de conneries mais là c’est le bouquet et ne s’appelle sûrement pas CAROLE).

§.118.

Ou comme moi il l’était.

Ou comme lui je l’avais sentit.

§.119.

Le gentil mal.

Puisqu’il est.

Etre = pour la vie persister.

et

aimer.

§.120.

On pense que les vieux perdent la tête.

Mais au nom de quoi devraient-ils répondre à nos questions.

Au nom de quoi devrions nous être à l’origine de leur préoccupations.

Dis fonctions – Résultat.

§.121.

L’homme de son temps est aveugle car pas capable de voir à quel point son époque est une, en révolution.

§.122.

Le lien sexuel est symbole d’une intimité d’une connivence –

Sans plus.

Le lien sur développé la croyance à ethnies différentes (alors qu’elles sont en fait différenciées) pas sans attache que le nombre d’objet commun en permet.

§.123.

Le fantasme nous défend de développer les défenses.

On développe le fantasme car défense à l’extérieur de soi ou à l’intérieur de son monde différemment confisqué.

§.124.

La douleur est un point fragile.

La douleur est un point de localisation facile d’où l’énergie reprendra son chemin.

4      -.

§.125.

L’agressivité ensemble que si on n’a encore remarqué que chaque groupe à partir du moment où il n’est pas en harmonie avec le tout. Dans une aspiration d’ouverture et de stabilité.

Tout groupe est en train de crever de se ramasser sur lui – même.

Tout groupe n’entrant pas en communication tue en son intérieure les individualités.

Pouvoir, devoir se raccrocher à tout.

§.126.

Se découvrir parler.

Réagir.

Et découvrir ses brusqueries et embrassabilités. (Embarras).

Chaque mouvement est ne pas.

Toujours vers l’univers.

En son sein.

Savoir mourir à la relativité.

Vivre dans l’absolu !

§.127.

La religion ne se discute pas.

On doit l’écouter et voilà.

En dehors de sa valeur de loi.

C’est aussi devoir écouter l’autre, coûte que coûte.

En partant du principe de responsabilité :

S’imprégner.

§.128.

La différence est faite entre homme et femme.

Simplement pour développer une différence qui pourra prouver qu’un esprit est un esprit (quelque soit ce qu’on en dit et la situation devant laquelle il vas e trouver).

§.129.

Tu n’avais pas pu me rendre malheureuse puisque tu m’as Tuée.

le crime passionnel.

Puisque en notre relation à l’autre nos pères revenaient.

§.130.

Soi l’autre.

Le conflit parce que soi et l’autre ne se connaissent que parce qu’étant en train de manquer le troisième.

§.131.

il l’aimait.

Cette enfant, elle était pour lui ce qui aurait donné l’amour s’il avait pu l’aimer (L’autre cette femme qu’il ne pouvait escompter approcher qu’on veut à partir du moment ou l’on peut prétendre avoir accès à ce qu’est permis à sa particularité(s’adonner au même sport, à la même activité).

§.132.

Les visages changeaient comme étant le seul moyen de son autre face regarder.

§.133.

Cette carte postale de l’homme sur la montagne.

Tu étais une mère de la comme de moi tu savais cela.

J’espère que comme moi tu le reconnaîtras.

J’espère car je sais me l’ayant dit – tu m’as permis cela.

§.134.

L’imaginer faire cela.

Peut être ne le fera-t-il pas.

Jusqu’au jour ou l’idée.

5      –  –  – lui en viendra.

§.135.

L’élément et le sentiment.

Etre le passeur.

Porter une énergie, une réalité.

Quelque chose de répertorié.

Vivre l’événement.

§.136.

On cultivait le sentiment, l’émotion (rancœur et reconnaissance), la mémoire.

§.137.

Sortir et être reconnue.

Ainsi que de se reconnaître (reconnaître sa raison et appuyer sur sa décision) lorsqu’on accède aux autres.

Faire rester à se préparer dans son laboratoire.

Voilà pourquoi.

Complicité et persévérance. Dans l’autre se voir et aussi vouloir se continuer.

§.138.

Ne craindre rien.

Tout est possible.

Et donc durera, viendra le meilleur.

§.139.

Une critique = une restriction de la vue une demande (EN fait un appui) pour que l’autre explique comment il pourrait en être autrement.

Et d’une vision d’horreur, découvrir s’extasier avec les mêmes ingrédients.

§.140.

L’on (nous pensons. Pas tous !) pense par le sexe car symbole gestuel, prouve que penser à quelque chose nous donne le pouvoir de plus tard le vivre dans sa gestuelle.

Possibilité de contrôler.

§.141.

Parler tout seul pour concurrencer ceux qui parlent à deux. Pour ne pas perdre le fil de cela.

§.142.

La vie.

La passion tout autour.

Celle qui nous rappelle que c’est d’être passionant qu’à la sienne l’ on doit.

§.143.

J’avais pensé à elle toute ma vie sans trouver cette solution pour elle qui un jour avait surgit.

A elle, son image pourtant ne me quittait pas.

Et c’est en secret qu’elle était mon amie.

Parce que penser résoudre autre chose avait été mon problème à moi.

§.144

Ne pas nourir sa graisse.

C’est s’avouer de son corps libérer.

Aimer l’idée qu’il puisse s’assécher.

Accepter sa juste épaisseur et fluidité.

Comprendre sa future disparition.

La juste dose de son énergie mais révelant son immobilité.

Vivre plus vieux, gens à cet état d’esprit-lucidité.

puisse.

poisse.

§.145.

Quel compagnon ?

Celui qui m’acceptera comme je suis.

Remarque, je peux être tranquille avec cela.

Encore seule pour longtemps.

§.146.

Les amis servaient à se dire qu’on était pas aussi terrifiant que la silhouette qu’on devinait dans la glace lorsqu’on osait regarder vraiment.

§.147.

La présence à nos proches de travailler.

Simplement être à coté en force que les outils, nous ont rassemblés ou parce qu’il est temps de rassembler nos idées.

Etre présent simplement là, sans en avoir parlé, unisson transcendant (que pour tous elle le fait. (quand par tous conduit).

etre avec quelqu’un parce que nous y conduit la pensée: contenir.

La transcendance du parent. aussi present que la génétique, ce que pour qui et quoi notre esprit est affairé. toujours avec soi, ce  qu’il nous a donné l’opportunité d’aimer.

 

§.148.

Les expressions.

Redire à mon enfant les mêmes phrases qui m’ont été adressées.

Savoir enfin ce qu’on fait.

§.149.

L’esprit s’occupe de entre ce qui est et qui pourrait être.

Sauver les conditions connues et savoir reconnaître comment un mouvement qui est sûr.

§.150.

Les gens continuaient sans problème de conscience à consommer autant, ils se considéreraient comme une espèce en voie d’extinction, ils se considéraient comme derniers des générations.

C’est encore d’être dans la zone qui justifierait tous les comportements auto dévastateur qui en découleront.

L’humain n’était pas responsable, n’envisageant pas de faire partie du tout, certainement de trop grandement méconnaître ce qu’il était.

§.151.

La muse = tout partenaire est essentielle à l’art. Car l’art est une réponse, une question.

§151 B

( Ouais ! Et bien là nous serons tous d’accords. Cette fois je ne suis aucunement concerné ).

Latitude | plus de passé ; Ensemble des lieux.

Règne.

Je suis seule, sans plus d’habitude.

Je suis eux.

§.152.

Evènement | autre vie.

Importance ?

Toujours même ingrédients.

Vivre pour toi.

Expérience – pour autre travail.

Que la foudre tombe sur moi.

Pour me ré énergiser.

§.153.

La relation au sein du groupe, faire vivre quelque chose à quelqu’un, à une conscience commune de ce sur nous même nous devons être en train de surveiller.

§.154.

Le contrôle de la bouffe c’est pouvoir avoir du plaisir à la regarder.

Implicitement savoir qu’au cours de sa vie on pourra s’en délecter.

§.155.

Une situation qu’on ne comprend pas.

Se re – concentrer.

Pour ré animer devant soi les choses tout simplement.

§.156.

La liberté de penser.

Permet la liberté d’action.

 = à n’importe quel sentiment, ne le cesser = le comment de l’énergie peut continuer sans interrompre la pensée, l’objectif nous liant.

§.157.

L’observation de nos gestes.

Révèle l’inconscient.

Pourquoi nos mouvement sont-ils brisés.

Qu’est-ce que porte comme peur et refoulement, la société ( instabilité personnelle justifiée par manque de stabilité, cohésion sociale.)

§.158.

Se reposer sur un mouvement, une table comme si on était soi-même les objets.

La colonne vertébrale n’en sera pas abîmée.

§.159.

Qu’importe de s’économiser.

Puisqu’on s’éteint.

§.160.

Les entres vues.

Comme source d’objet, de travail d’achat, de pouvoir, ou comme les formes sans ses formes accueillantes allant tout dévorer.

Être pris pour une poubelle à force de soi même jeter, consommer.

§.161.

L’émotionnel c’est permettre à communiquer.

Celui qui perçoit et réjouit d’expérimenter, de s’accaparer la même façon de répondre, d’expérimenter, de s’arranger avec l’énergie que soi même plus de civilisation.

§.162.

Proposer comment on se sortirait de cette position.

Comment ?

§.163.

Retomber dans le péché.

Le chemin refaire.

Ré – analyser.

§.164.

Le geste, la communication.

(Emotion, mouvement, sentiment) qui de l’un à l’autre peut relier toutes vies s’étant rencontrées.

§.165.

Ne pas comprendre.

C’est le pouvoir, l’élément rechercher.

§.166.

A chaque trait de complicité, avant chaque éclair qu’elle engendrait au préalable c’est l’égarement qui donnait.

Puisque la voie n’était pas l’action de penser ( penser à ) mais être pensées.

Tout pour être véhiculé.

§.167.

La tenue et ses richesses devaient être partagées ?

Faux !

Devaient être par tous et pour tous préservés.

Préserver la culture de la culture et avec elle manger.

La violence apparaît avec des responsabilités qu’on ne peut et ne veut assurer.

Responsabilités ?

Tant qu’il n’y a de vie de groupe le terme est usurpé.

Car la machine est le groupe et ne peut se trancher.

§.168.

Avoir une expérience positive avec quelqu’un permet de passer au-delà des préjugés.

Cette               , ces expressions qui ne revenaient pas, maintenant je suis capable, de permettre qu’elles aient en moi le meilleur des effets.

Pouvoir tout conjuguer.

§.169.

Ses réactions violentes venaient du fait qu’il imaginait toujours plus grave que ce qu’il se passait. En fait, il était beaucoup plus indulgent qu’on ne le pensait.

Nous ignorons ce qu’il s’exerçait à pardonner.§.169.

Ses réactions violentes venaient du fait qu’il imaginait toujours plus grave que ce qu’il se passait. En fait, il était beaucoup plus indulgent qu’on ne le pensait.

Nous ignorons ce qu’il s’exerçait à pardonner.

§.170.

Les croix gammées n’étaient pas contre les juifs ou autre, la SLAVISKA était un emblème utilisé sans doute avant l’antiquité.

Le symbole du soleil.

Les croix gammées, l’absence des raies à la culture (Se cultiver = l’histoire et le futur protéger)

Des cris de gens qui n’ont que la culture hitlérienne, du type propagandiste sous laquelle se réfugier.

Je pourrais en écrire des lignes mais peut être arrêter.

Cela libère mon intelligence pour autre chose que ces trucs là.

§.171.

L’œuvre d’art (Comme toute structuration) peut être le support de toute une organisation.

Elle est celle en particulier de l’expression d’un vécu.

C’est à dire des diverses manières d’accéder à une régulation effective.

Parce que le vécu justement peut se partager et à cette seule condition l’humanité ( Et tout ce qui entoure sa conservation.)

Peut tout faire pour se préserver. et tout esperer; et à tout arriver.

arriver, parvenir, par ce devenir.

§.172.

Le conflit.

Exposer n’importe quoi.

Mais il faut bien en parler (La folie est défendre ce droit.) de signaler l’existence d’une incohérence.

La folie évidemment est confuse car on ne peut définir ce que le reste ( = Le groupe.) est en état de comprendre exige d’auparavant se regrouper pour avoir un terreau commun, une base pour que les mots utilisés dans l’explication se comprenne par l’entendement commun la somme des mêmes, m’aime, expérimentations individuelles.)

La folie dit attention chercher l’erreur elle ne loge pas qu’en moi.

Le conflit pour pouvoir nos exclusivités pointer, rassembler.

Faute de ne pouvoir les éviter, en moins.

§.173.

La contestation est encore une manière de ne rien faire.

La contestation est se mettre d’un coté ou d’un autre, donc d’alimenter, se servir de la déséquilibration (du déséquilibre.).

On est dans le domaine du faux – semblant.

La force de l’individualité pour se rassembler pour savoir comment à l’outil se raccorder.

§.174.

L’individualité à la recherche d’une forme (Sentir, définir ce que l’on vit ) pour pouvoir l’élargir.

C’est parce que les choses se perdent que perpétuellement je les répertories.

§.175.

R.C.                 .

Admettre = accorder la connaissance.

§.176.

Craindre la paranoïa.

En quelle réserve, jusqu’à quel point

§.177.

Ne pas comprendre pourquoi le type ne s’en sortait pas.

Il avait l’air bien.

Mais quand ce n’était plus le cas, alors c’était là qu’il ne sortait pas. La misère s’enterrant n’est ce pas.

Nous avec.

§.178.

Dé symboliser un geste.

Ne pas relier systématiquement une situation avec une position (Dans le geste tous deux suggérer.).

Ne pas systématiser.

Situation évoluante.

§.179.

Agrandir la famille. Constituer un havre comme celui de mes parents.

Elle n’avait pas voulu s’engager.

J’étais seule, le resterait.

Mais j’aurais essayé.

Pourquoi pas une autre.

Elle, était la preuve que ce n’était pas faute d’avoir tenté.

§.180.

C’est parce que les siens pouvaient dormir en paix = avaient le choix fondamental de se livrer au temps comme ils l’entendraient.

C’était grâce à ces conditions que l’on partait en paix.

Et combattre pacifiquement est ce que de plus beau la vie a à donné.

p art ait.

§.181.

Ce chant missionnaire me rappelait ma mère, tout ce qui était imaginable.

Ce chant pouvait me rappeler la vie entière puisque c’est à lui que je m’étais dévouée, à la mission, à ce que l’autre avait lui même dû mener pour que ce chant soit écrit et crié.

§.182.

La haine vient d’un. D’un amour digne ou par amour pour qu’un haïr ceux qui le destitueraient.

L’individu là combat en admettant l’impossibilité de certaines relations.

Mais plus ou moins pris c’est avec un autre que ces qualités découvertes en l’amour se révélant impossible, je développe.

Ou en aimant quelqu’un en sachant que c’est faire aux privilèges, (issu d’une situation) qu’il est.

§.183.

Les différences sur permis match,

Elles nous tiennent en haleine pour la série :

«  Ce qui se passe au boulot. »

§.184.

Exercer de la voyance sur un sujet.

 C’est travailler sur un sujet car présentement plus rien à se mettre sous la dent.

Un devoir de gamberger.

§.185.

J’avais essayé d’en faire ma femme.

J’avais mis ma mère au courant.

§.186.

L’écrivain donnant à son lecteur cette possibilité d’activité en sachant que le lecteur à un autre moment le transposerait.

A un autre endroit.

C’était le propre du émotionnel à changer d’environnement, de rapport à l’extérieur, de définition de nos rêves.

C’est pour ça que suspendre le temps ( = donner un             ) était faire changer le monde, comme le monde pour nous même le demandant.

De ce qu’on supposait de lui ( imaginaire).

Se sentir affecté ou conforté était une fausse affaire.

La conversation servait à produire une réflexion, un mouvement que chacun à son compte pouvait reprendre, entreprendre.

C’est pour cette raison que l’art qui consistait à produire un objet rassemblait les gens autant que le relationnel le faisait.

§.187.

Il m’avait quitté et pourtant il restait incroyablement comme prés.

Tous ces instants où je n’avais réalisé qu’à moi if s’offrait, ces moments là revenaient, cet amour me prenait.

Perdre connaissance.

Nécessité de se glisser vers une autre réalité, contenance ou de réfléchir à celle là pour tout pouvoir reformer.

Perdre connaissance.

Naissance.

§.188.

Le chant religieux.

Devenant la ferveur.

Qui ne s’enorgueillerait-il pas ?

§.189.

Caresser l’autre.

Etait caresser la sensation,

Qui en nous tressaillait.

§.190.

Dans toute discussion, échange (Exemple : Entre deux personnes) Il fallait l’intervention d’un tiers.

Mais pourtant dans une conversation entre deux on pouvait de l’un d’entre eux.

Oui mais du côté = ne peut-il par notre connaissance du monde, du sentiment, de la réalité de certains vécus ou situation.

Que ce que l’autre comment il avait réagit avait été la manière de tout un chacun.

Pour cela il fallait avoir connaissance de ce qui pouvait être un jeu.

Expérience.

§.191.

L’épée et l’obscure.

Nous avions d’autres idées d’orifice ou de saillance.

Le respect profond que nous avons envers quelqu’un qui respecte notre différence.

Mais s’il en vient à parler de celle ci en véhiculant l’intolérance alors s’il brise le tabou lequel nous pompe toute notre patience, alors la violence qui nous ai donné de contrôler, ce change en impertinence.

Provocation devant ce que nous subissons.

§.192.

L’envie d’ailleurs vient à mesure qu’on s’éloignait des possibilités qui étaient à l’origine de ce qu’on avait imaginé.

ou etait-ce le besoin? la nécessarité?

s

§191 B

Mais !

N’importe quel prétexte était bon pour en parler.

§.193.

Connaître l’autre.

C’est se rendre compte.

Le repos.

C’était auprès de ses parents qu’il se prenait.

Le comment et pourquoi y avait nom et de nouveau y aller.

§.194.

La légèreté de nos problèmes quotidiens, espérer que ne seront ceux qui pourraient remplacer les plus désastreux.

§.195.

Ne pas céder à l’envie.

Car l’envie criait l’autre monde.

Ces états, le phantasme occultant notre esprit, mais pendant ce temps que ne faisait-on pas ?

§.196.

Mère nature avait repris ses droits en mettant devant leurs devoirs toutes sa tripotés.

§.197.

Tous se mettaient à travailler 2,4,8 mois sur les guerres civiles prenant de l’ampleur.

On pouvait être journalistes, ministres, médecins  .  .  .  .

C’est de toute façon en guignol que l’on parlait.

§.198.

Les conneries des autres.

Mes critiques qui s’affirmaient.

Les enfants exprimaient ce jeu délirant auquel s’adonnaient leurs sérieux parents.

§.199.

Parce que la pollution était devenue plus préoccupante que les guerres.

(Qui resteraient ou termineraient un jour.)

On pouvaient (nous pouvions nous occuper) s’occuper des conflits inter peuples maintenant que le danger populaire était devenu pour tous celui de tous.

§.200.

Critique = point de vue = L’art, toute œuvre devait bien revêtir un aspect.

§.201.

Femme de ménage.

Ensemble un tout, faire du ménage, consistait.

§.202.

La netteté du rêve s’estompant à chaque fois qu’on veut l’expliquer.

Parce que le rêve est vécu une fois consciemment – réveille la mémoire plus exactement. dans le sens desillusionné de mémoire courante, spontannée, celle qu’à notre survie, chaque jour on ne peut faire autrement que d’utiliser.

mes rêves envolés.

§.203.

Est le conscient lui n’est en fait que le code communément établi (Le rêve consensuel, qui a un dialogue, amorçé, envoyé) d’une réalité dont personne ne sait qui elle est.

L’idéale.

Je me menaçais avec des sinon « il me quitterait. »

( Et c’est toi qui es partie.)

§.204.

La notion du choix, du dosage fait apparaître chez l’individu la notion du mal.

Mal ajusté.

Etre biaisé.

§.205.

Recommencer une chose.

Je me dis c’est comme si encore et encore elle me disait « Oui mais. » Recommencer n’importe quoi.

§.206.

C’est parce que je peux la faire avec lui comme m’en passer.

Que l’amour peut aussi être nommé ! (Si seulement tu savais lire dans un cœur ?)

§.207.

C’est quand on a (nous avons) perçu un geste fait par quelqu’un à notre égard qu’on s’aperçoit que soi même on le fait.

C’est quand on en (nous en avons fait) fait un geste pour quelqu’un que l’on (nous percevons) perçoit qu’un autre vers nous le présentait.

Expérience.

et redonner.

§.208.

Les gestes anodins qui nous prenaient toute la vie. Et qu’on (que nous ne pouvions) ne pouvait souvent s’empêcher d’expliciter ? (D’expliquer) s’expliquant notre fatigue, notre usure ainsi.

Rabâcher ! Pourquoi m’esquinter à ceci. (Je me posais à l’instant la même question.)

§.209.

Fantômes sont autant de choses avec lesquels nous ne sommes pas réconciliés.

§.210.

Ces moments qui nous en rappellent d’autres.

Ces instants qu’on a appelés, créés et de les avoir oubliés, être susceptible de les répéter.

Etre fin. Savoir à quoi ils nous servent.

Et du même coup les retenir à jamais.

§.211.

Il demandait toujours à tout le monde « ça va ? »

Toujours serviable, toujours attentionné, convivial.

Je su plus tard qu’il avait vécu la guerre. Je sus que c’était une façon de l’éviter ou la voir venir, la prévenir.

Un acte quotidien de paix.

§.212.

Obsession – nourriture.

Maigreur ou alimentation.

Qu’est-ce que se trouble à l’intérieur ?

§.213.

Je me foutais de savoir ce qui l’avait fait changer [d’avis].

Je savais que cela arriverait.

Je savais que l’occasion elle avait trouvé.

§.214.

Avec ou sans lui.

Ma vie se ferait.

C’est parce que c’est dans la mystique qu’il découvre son humanité.

Une raison d’espérer.

§.215.

Chacun peut croire et vouloir tendre vers une forme Olympique parce qu’existe les jeux.

§.216.

L’est en reconnaissant un sentiment similaire ou bien ( ? ) Qu’on se dit qu’ensemble l’autre puisqu’il devient un autre qu’on connaît, identifie.

Que l’on devient ?

Et on ne se sent plus seul au monde.

Comment ou aller.

Comment deux-vient.

§.217.

L’envie de se suicider.

Sentir la mort.

Ne pas avouer qu’il ne tient qu’à soi de l’arrêter.

Méprise.

Rejeter quelqu’un.

C’est supposer qu’il n’a pas besoin.

§.218.

Penser à n’importe quoi plutôt que de réfléchir à quelque chose que – par manque de crayon, de lecteur ou de vocabulaire on n’inscrira pas.(nous n’inscrirons pas.)

§.219.

Comment ne pouvais-je pas rester fidèle à ceux qui m’avaient trahis, puisque c’est eux qui par qui, la fidélité j’avais apprise.

§.220.

Le raté ?

Ce qui sera repris après.

§.221.

Forme visage selon mastication.

mastication selon digestion, activité, climat, nouriture.

§.222.

Ne pas fermer sa mâchoire à fond.

Les joues aident à rassembler.

Epaissir la bouche de nourriture entre les dents.

§.223.

Ou se retrouve dans ce qu’on a toujours cherché à  perfectionner.

Ainsi pour un musicien c’est penser être n’importe quoi.

§.224.

L’échec permet de ne pas avaler n’importe tout ce qui est dit.

Prendre en compte ou ignorer inconsciemment ou le décider.

Naître de ce qui a existé.

§.225.

Evidemment il faut se soigner soi-même, pour que dure l’action.

Mais se préoccuper seulement de soi fait que d’autant d’autres on ne se connaissait pas.

§.226.

Ce qu’on a raté pour soi.

Et ce qui nous manquait d’avoir apporté à l’étranger.

INCONNU.

Et à son habituelle présence à nos côtés, se faisait.

Ses actions communes qui nous habituaient à la complicité et similitude, simultanéité de pensée.

Transmission.

§.227.

Le geste ce n’était pas pour te l’apprendre mais aussi pour toi, pour moi, pour l’autre que je le faisais.

La recherche, l’               un plaisir immédiat révèle la peur que (la vie) ne continue pas.

Dans son absence de long terme commun.

Manger, symbole de l’abondance et convivialité.

C’est par amour que l’on vit. (Oh ! Que c’est beau ce que tu me fais écrire ! Et c’est vrai : Que je ne vis plus que par et dans l’espoir de ton retour.)

§.228.

La plus violente ne connaissait pas de douleur plus ou moins qu’on mobilisai (nous mobilisions) toute son(notre) énergie à tenter de s’en échapper ou de se dire c’est le dernier moment, mouvement que je me sente (fasse) exploser.

§.229.

L’usure nous rendait compte combien moi et tous mes voisins se ressemblaient du temps pour inspecter cette apparente immobilité.

Du coup tous les mouvements que je percevais étaient des mouvements que j’exécutais ou permettais.

§.230.

Travail d’assouplissement permet de concrétiser joues endolories, voir paralysées.

§.231.

Il fallait ne pas se préoccuper de son humanité ou penser devoir tout, la piller pour penser à s’amuser dans le sens vivre pour s’en foutre. 

§.232.

S’être tellement habitué aux gestes de l’autre que l’enchaînement de nos actions, par le simple rappel à l’autre.

La complétude.

§.233.

Les contre temps.

A repenser.

Obligeant.

§.234.

Manger ; Donner une raison aux entrailles d’être là.

Avant qu’ils se plaignent de servir à quoi.

Contre temps.

Temps de se placer.

D’un –      –       -remplacé.

Toujours nécessaire à soi même ne s’expliquer et expliquer ses motivations.

Entraîne la compréhension.

Et la compréhension est le nerf de la guerre.

La rencontre recherchée.

§.235.

La relation à l’art.

Constaté que des gens ont leur vécu transposé.

Ont vécu pour attester que se retirer du monde pour(et) que puisse se faire déposer son expression sur le matériel.

L’art nous dit que essentiellement ou rapprochement.

Il ne me répondait pas.

Je ne voulais pas lui parler de ce qu’il en pensait mais de ce qu’il aurait voulu dire de la tribu l’ayant marqué. Retenu.

Comme ça.

Il fallait vivre les souffrances pour les arrêter.

Il fallait avouer.

Délits.

§.236.

Les handicaps à la porte de la mort.

Qu’est-ce que la limite de nos sens ? Ne nous prennent.

Nous permet d’actionner, d’expérimenter, de vivre.

S’arrêter, la mort, ce même champs par nos consciences (comme nos corps) encore inexplorés.

§.237.

La communication, attendre que le branchement se fasse.

Pas le temps de réfléchir à autre chose.

Qu’à ce qu’on est dévoué car cette chose              nous même à s’y retrouver.

§.238.

Sodomisation fausse allure des soumissions.

Car bassin rentré qui sera assez doué pour l’attraper.

Evoquent des mouvements des deux bassins assez tendus et ajustés pour provoquer orgasme -communs, instantannées.

sexe et travail du bassin.

§.239.

Il me regardait la société en face, négligeant complètement ce dont elle avait besoin maintenant.

Pensant à ce qu’elle pourrait être demain.

Quand on serait télé transporté au lieu du R. E. R. du soir midi et matin.

§.240.

Sentir bon.

Bon à manger.

§.241.

Je lui parlais de ses cicatrices.

La famille.

Ceux qui m’ont porté en adulte les premiers.

Confiez moi ce que la vie.

Que je puisse m’en (langue d’) OCCoUPER.

(Tant que vous y êtres vous pouvez aussi couper les Roux sillons.)

§.242.

En un geste je te tuerais.

Encore tueur me dis-je.

Escompté tous les liens en plus que j’ai fais.

La communication, laisser ce que nos présence (présumée et –-  – veulent faire effet.

§.243.

Attendre que ce qui avait été pris comme une récompense avant de se révéler néfaste devienne à juste titre un signe de danger plutôt que de calomnier.

En dessous des possibilités ?

Intimité.

Sexualité domination.

Connaissance de l’autre.

Attachement. Promiscuité.

§.244.

Coincé pas pressé, laisser passé, digérer.

Intestins fassent, leur travail de pression sur tout le reste.

Massage.

Plaque tournante.

§.245.

Laisser sa force en suspend.

Demander à ce qu’il nous entoure avec ce qu’il nous entoure avec ce que je te présente.

Qu’est ce que tu ferais ?

La place laissée à se combiner.

Addition de suggestion. Effet.

§.246.

Lorsque trop ou pas assez d’ N. R. J.

C’est que pas pris en compte.

Une force qui s’ajoutait ou nous appelait.

§.247.

La déconnexion.

Analyser ce qui est en alimentation, gripper une réserve, vers quoi arranger.

Qu’est-ce que  sont les buts d’une vie sinon ranger ces duretés.

Vues par l’esprit.

Ou se met en position d’avoir accès à ces problémitisations. (problèmes)

Sans cela la notion d’existence ne peut exister.

L’esprit continuellement s’ouvrant aux problèmes et résolvant ceci.

Passage obligé.

On doit pouvoir imiter quelqu’un (Perception              action.)

Pour que le message des uns et des autres puissent passer.

§.248.

Croire dans son mouvement.

C’est le rendre efficace.

Car même si diversité des mouvements imposés.

Leur donner toute sa force conduit à ce que l’énergie (par la sensation que le sentiment, l’intelligence, la réflexion) puise dans le corps.

Entièrement ou à discrétion, à volonté. Se propager.

§.249.

Mourir c’est croire qu’est le néant ce que  l’on ne connaît.

(ou nocif).

§.250.

Humilité s’apprend à servir dans la volonté même de servir le tout en sachant que lui même doit à lui même entièrement se donner.

Celui qui s’étonne n’a pas tout compris et se –      -ainsi.

Celui qui ne s’étonne pas voit qu’il sait et se dilue comme ça.

§.251.

L’humilité s’apprend de l’échec.

Vivre dans la chair que son temps à soi n’est pas plus que l’autre sacré.

Soi = ce que l’on suit.

L’autre = ce qui va arriver.

§.252.

J’avais crû qu’elle ne s’était pas marié car j’étais trop gras.

Et puis j’ai pu parler avec ma voisine, alors ce fut une bonne journée quoi qu’il arriva.

Un plus gros que moi elle a épousé.

Du coup mon poids svelte ai retrouvé.

§.253.

Se battre ?

Sans complexe.

Couverte.

Chacun trace son chemin en toute liberté. (Il est flagrant que c’est écrit par une JEUNE femme.)

§.254.

– Félicité lors de l’échec parce qu’il ne survenait pas d’un manque de travail mais d’un trop petit choc émotionnel.

6      Et ceux qui ne travaillent pas ?

7       Se préparer à assumer ce choc.

§.255.

La figure femelle et mâle (c’est à dire une complémentarisation, [complémentaire] du signe et de la signification qu’on lui donne)

Comment permet à l’esprit.

§.256.

Se donner à l’un c’est lui accorder la confiance lui permettant d’un troisième nous relier.

Différentes vues = dé – chaîne.

§.257.

Se faire marcher sur les pieds pour comprendre.

Soi et celui psychiquement plus de dessous en de dessus.

Puisque par faute de savoir qu’on en avait.

§.258.

Etre ce que j’aime.

Lui offrir cette fierté.

Ne plus l’encombrer des complexes qui exploseraient d’être par elle effleuré.

§.259.

Comment pourrais-je en rien regretter ou avoir un quelconque (préjugement) jugement sur ce qui est arrivé puisque c’est de ça ou du moins au travers de; et toujours au délà pour le mieux que tout mouvement n’est encore donné.

§.260.

Aux uns on devait le pourquoi de l’instauration.

Aux autres le comment.

§.261.

Le courage donnait la patience.

On a tout fait pour.

Et advienne ce que pourra.

Rien ne sera perdu.

Pour cela.

§.262.

La guerre.

Je la faisais pour elle.

Et toute la journée par amour pouvait être guerrier.

§.263.

L’hypnose, comme tout guérisseur l’était car laisser l’énergie en lui circuler.

Hypnose ou magnétisme car à ce moment là sur un endroit commun se concentrer.

Partager le sens de la vue ou celui du toucher.

§.264.

Une leçon véritable est celle qui profite à tout le monde.

Le désir de plagiat est une légitime réaction de ne perdre se que déjà enseigné.

§.265.

Ce n’était pas que nous étions imbéciles ou gras, simplement l’–       -de la communication nous ou son artifice réellement nous amusait.

§.266.

C’est parce qu’elles furent désignées comme porteuses du désir ;

Que le rôle donné à la femme était de nier ce désir.

Le feu alimenter et contrôler.

§.267.

Ce que j’attendais de l’autre ?

 Il me fallait ouvrir la voie.

§.268.

Le message sur enfants.

Connaissance –        –       – .

Car pression des mains sur corps et petit tendon et souplement – – que –      – plus connaître les endroits de fragilités ou je mis-                -, savoir comment on avait voulu voir épaule manipuler.

§.269.

Ce n’est pas grave si elle n’est pas là.

Mon esprit lui transmettra.

Ou bien n’est-ce pas parce qu’elle, si je le vois.

§.270.

Répondre rigolo.

C’est être laissé tranquille car quand on ne répond pas veut dire qu’on a pas envie de rigoler on demeure intouchable parce qu’être autre chose l’esprit en train de s’exercer.

Parler de tout à rien. Bonne santé.

§.271.

L’art.

C’était avoir un aperçu de ce qui pouvait te passer par la tête ou bien être en train de se préparer.

§.272.

L’écrivain l’artiste peut opposer à l’autre de voir le monde qu’il a vu dans l’œuvre qu’il propose.

A la différence de la relation directe au l’on dit à l’autre voilà ce que je pense savoir de toi, de moi et ainsi impose.

Bien que l’œuvre soit inspiré de la vie et qu’on y trouve ce qu’inspire notre individu.

§.273.

 (Tu écris toujours aussi mal ma petite CARO D’AMOUR.)

L’art permet de choisir la distance entre le veux et vieux.

Ne pas être , juste contempler un résultat, des forces (capables de changer le monde) (Dans le bon sens alors progressiste raisonné.)

Sans que je doive ne rien remercier de ces changements.

Dépendre combien.

§.274.

Etre obligé de les suivre pour continuer.

De s’y conformer.

L’art parce que s’appuie sur un jeu ma technique, un objet, un projet propose un lien où les forces sont montrées un avoir la mort.

D’une relation directe ou se sont les muscles qui doivent être suspendu ou transfigurés.

Alors notre vécu devenant l’objet.

Puisque l’être à irrémédiablement que cela de lui avoir, voir être opéré.

A la différence de l’art que dans le relationnel les deux individus à chaque moment comme revient, mènent,l’œuvre elle se propose de ne plus bouger.

Point de vue.

Point de chute.

Pouvoir observer.

§.275.

Vite, vite, réfléchir.

Avant de ne savoir plus.

De ne plus comprendre.

De là lui mettre une volée.

§.276.

Elle me disait tout le temps mange alors que j’étais ventrue mais elle avait compris que mon appétit je perdrais tandis qu’elle ne serait plus à mes côtés.

On appelait (nous appelions) les petits, petits quand l’un d’entre eux ne nous comprenait plus que c’est parce que c’est parce que nous l’incorporions dans notre existence (dans nos pensées) qu’il était.

je ne comprends plus ce que j’évoquais sauf que c’était à ma grand-mère que je pensais.

mami qui me disait mange par habitude de s’être privé.

§.277.

Emporter le secret de l’existence avec soi aux yeux des autres.

Mais bien sûr elle ne nous laisse pas (((partir comme cela.)))

?

§.278.

Ce qui nous apparaît comme de la bêtise doit nous donner une idée de combien nos traits de génies doivent être limités.

Si on ne peut savoir ce qu’ils mettent s’apercevoir au moins combien ils sont ratés.

Ou comment la bêtise pourrait être génialement comprise.

Select DOC DANY. (TU TE MESESTIME, MON AMOUR ? Là ! Tu l’es ! Géniale.)

§.279.

L’écriture consiste à écrire des mots pour qu’ils servent une situation.

–       – apporter cette première fois en sachant que toute situation en – – d’autres engendrer ou en utilisant les mêmes mots.

§.280.

Ceux des pères qui nous apprirent à parler et conserver ; l’avoir sous la main quand nécessité.

§.281.

Action – épreuve – émotion.

Réception de l’émotion – contrôle – réflexion – décision – action.

§.282.

Mon père s’occupait de mon établi.

Quand je n’en n’avais pas eu le temps.

L’amour de mes outils.

Les entretenir une passion.

§.283.

Vivre l’amour avec elle.

Revoir ressortir des réactions de ma mère.

C’était comme ça, avec la même ténacité, la même ardeur que MAMAN m’avait accordée ses pensées.

MAMAN de m’avoir porté était plus que me mère mais réellement s’était en moi glissée.

En loi, et moi de ce que j’avais pu, su lui confier.

Respect et hommage CAROLINE. Select DOC DANY.

§284

On (nous étions) était écrivain car il fallait observer ce qui avaient passé toute leur vie sans écrire jamais.

§.284.

Œdipe. (Et DIANE tu l’as oubliée ?)

Inceste.

Lien fermé.

Père, mère utilisation de la force.

Tuer le père n’est pas que tuer l’autorité mais aussi l’amour invétéré.

Comme suivre sa mère sans comprendre pourquoi on n’y est pas emmené.

Puisqu’on ne peut tout comprendre mais qu’il faut continuer à avancer. l’horreur à l’âge mature révélé.

Est prit compartimenté homme, femme. C’est à dire prise de position (que l’expérience arrivera un jour ou l’autre) à remettre en question.

Adoption de ces comportements caricaturaux amène l’individu à se rendre compte de leur position (déterminé donc sujet à questionnement- et accord bien sûr mais toujours que partiellement)

Caricature externe – /  électro – choc.

 §.285.

A – B – Se repousse et s’attire.

Voir, même faisant partie indéniablement d’un ensemble parce que C supporte naturellement A ou B.(= se nourrir directement de leur dynamique à la sienne relié).

Notion va et vient de A et B.

Représente la conscience = comment cela peut-il révéler = se développer.

§.286.

La mythique ne veut pas dire qu’on manque de quoi que ce soit mais qu’est ce qu’une situation tendrait à renforcer ?

§.287.

Ne souffrir de rien.

Tout geste est un assai de pacification éradications des peurs.

§.288.

8      Personnalité.

9      Permet à chacun de se cultiver.

10Echanger.

§.289.

11Doit d’arrêter de consommer pouvoir s’occuper l’esprit.

12Pouvoir accéder à la santé.

13N’avoir la famine à redouter, cette peur qui conduit à tout acheter( Peur la vertu de l’âme.)

14Travailler, penser son bien être, le bien être de l’autre.

§.290.

15Recherche vers quoi on est fait élargir le monde.

16Se rendre compte. Symbiose.

17Développement de soi même.

§.291.

18Tu feras ce qui te plaît.

19Plaire au correcteur.

20Moyen.

21Et qu’au métier d’éditeur pourrait accéder.

§.292.

To expess then and display.

§.293.

Apprendre des règles.

S’imprégner d’elles pour évoluer dans la synthèse et qu’elles – mêmes puissent changer.

§.294.

Ne pas céder à l’angoisse de prendre la part de la potentielle incline.

Mais si les âmes ayant souffert et souffrant de notre prise en main cela, se levait ?

§.295.

Maman est si belle que nous ne nous apercevons pas pas comment pour nous elle se sacrifie.

Et comment au monde on l’est aussi.

§.296.

Le froid identifié à la mort.

Car on expérimente la paralysie lorsqu’on est engourdi.

froid et preservation _ pour le côté salvation.

§.297.

La vie est d’un point = nous même pouvoir expérimenter l’autre.

Et s’apercevoir de soi.

§.298.

La plus grande des délicatesses, seule habilitée à sentir la plus grande des brusqueries.

§.299.

On dit des esclaves aptitudes physiques pour continuer à développer leur potentiel, et surtout pour justifier d’une capacité psychique exceptionnelle qu’on peut de la sienne différencier (d’où apartheid)comment psychiquement créer former à différentes formes de concentration.

Exemple : entre contre –         -.

§.300.

Lutte contre la douleur.

C’est ne pouvoir entrer pour son émancipation.

Quand l’esprit à appris comme survie à lécher les plaies laissées par les cordons.

§.301.

Exprimer ce que l’on ressent.

Permettre à l’autre qu’il le fasse aussi.

§.302.

Montrer un défaut de l’autre (= son propre dépend de vision pour qu’on puisse régler cette façon( de voir? de procéder? ???.

                                                                      défaut

§.303.

Elle avait inventé une série de mensonges.

Puisqu’il fallut qu’elle cache comme cela ce qui lui avait échappé (ce qu’elle avait avoué de vérité et qui lui restait maintenant à dissimuler.)

§.304.

La dissymétrie des corps faisait que si la main droite gauche / droite était par le même type de travail plus sollicitée, de devoir pareillement l’exécuter « tue » la main à la mesure de la pression (concentration de la continuité sur son point) alors que la gauche [balance-partenaire] de ce fait s’en trouverait soulagée.

insister sur un même côté et se ravager. équilibrer et de se sublimer.

§.305.

On peut communiquer (sentir l’autre) parce qu’on s’est senti lui avoir un moment donné. Permanente télépathie

Nos jugements sont ses ratés, ses déchets. ou les nôtres ravivés.

§.306.

Croire est la seule façon d’accumuler des pierres aux régimes.

Bien qu’obligatoirement elles finiront par être minimaliser (minimisées) où contredites (Avoir de toute façon. )

§.307.

Si j’ai éclairé cela qu’ai-je à l’époque et encore assombri.

Mais la croyance est une quête car plus on recherche et plus elle nous permet de croire fort ?loin et indéfiniment approfondi.

Croire c’est aussi collecter assez de force pour que l’autre voit ce que la force de notre croyance produit.

C’est devenir soi même le champ des investigations.

Se désigner comme tel.

Se voir source d’N. R. J. (et amener en différents liens. Par les consciences associées choisies.)

§.308.

Le saint.

Parce qu’il n’a pas d’âme autre que sa performance qu’il poursuit ( parce que sa situation lui permet une conscience et un exercice de celle-ci.

Le saint et la mystique puisque se travail en toute circonstance toujours l’esprit.

Le saint parce que son dessein de performance .

Il n’a pas d’image arrêté de lui.

Un deuil joyeux renouvelé de l’état passé.

22Mais passant.

(Pas si sûr que cela soit a chaque fois guérissable).

Comme il sait que les images de l’autre lui permettent de s’élever.

Car par le corps, l’esprit l’âme peut se révéler.

Ses états comme les autres.

Pouvoir le reconnaître dans les gestes que je faisais.

C’était me rendre compte qu’aimable, que rassurant, qu’enseignant des gestes moi-même je pouvais exister.

Puisqu’il m’avait été envahi de lui pour moi, je devais maintenant continuer à ce que soit.

D’avoir connu l’autre.

§.309.

Etre au contact des caractéristiques de l’autre pour comprendre que les siennes ce sont ni défaut ni querelles mais juste prêt à disposer, à servir.

§.310.

Une  déséquilibration (un déséquilibre) une croyance assez assurée autour pour pouvoir vaciller.

§.311.

la sexe, l’amour-     –       – à la mort car tu adhère à un monde = mort d’un autre.

Adhésion au monde ?

 = mort de la croyance en le précédent.

Celui venant.

§.312.

La maturation n’est cause de variation.

Expérience – réflexion et pour éviter le traumatisme de tout cet enchaînement – Perte d’énergie sans savoir même où elle va ni d’ou elle vient la relation instantanée une communication = un essai de suivi. De ne pouvoir penser à une étape plus ou moins qu’un de nos impératif pas régler.

§.313.

Aller à un endroit, même si cela prenait du temps pour éviter l’angoisse de n’y aller et de se demander que faire pour rattraper ce qui restait une question sans fond.

§.314.

C’est les ouvriers qui faisaient les rois, les dictats se justifiaient aussi en un monde sans pitié.

§.315.

Economie d’énergie car ce qui est le plus douloureux c’est de se trouver en état d’écrire une idée sans avoir la force de prendre son crayon (et de concrétiser).

§.316.

Le sens se perd quand il cherche a trouver ce qu’il sait alors que c’est la découverte d’autres sens sur quoi il sen cherchait.

Puisque les sens – Imputé, réalité.

§.317.

On parlait (nous parlions ) de tout de rien.

Il m’avait fait du mal comment le lui dire.

L’écouter.

Si il s’écoutait soi – même que nous nous faisions du mal il le saurait bien. L’écouter devait suffire.

§.318.

J’exprimais mes idées.

Je n’avais à lui expliquer la douleur que j’éprouvais.

La ponctuation.

Et non pas le style môme, mais comment d’un moment à un autre, d’une période à une autre il différait.

Le support même de mon –     -.

Comme la manière d’appuyer sur son pinceau suffisait.

§.320.

L’auteur donne aux autres et à lui même ses idées.

Autan que son état d’âme.

Le temps passé à.

Et sa réflexion en plus ou moins qu’objection.

Pour penser sur le mouvement = imager.

C’est à dire courtement et lie le but de l’intemporalité.

Divin car tout se rejoint.

Tout ?

Qu’est-ce enfin.

§.321.

Il se disait.

Un jour ou il va m’appeler.

« Et on s’en ira tous les deux, un jour que merveilleux’ pour que sa joie puisse être Ô combien contenu à cette pensée » car comment sa comme quelquechose de soudain ou plus nettement de passé il expliquerait.

La bouteille y passait.

§.322.

La jalousie se combattait parce qu’à son ami l’amour on souhaitait = le savoir capable de donner du bonheur à sa mère, à sa femme bref leur souhaiter.

Et c’est ainsi que lui, étant jaloux en amour, tout en étant poli, n’en « aura donc jamais ni reçu, ni donné. »

J’en ai quand même rencontré des plus malins et plus malines dans ma vie.

Mais il est vrai que c’était il y a : [Très longtemps.]

§.323.

Avoir confiance en quelqu’un c’est pour s’éduquer a se servir de ses sens (le regarder, le toucher sans réfléchir à ce qu’on fait ; Sans s’abîmer.

§.324.

Etre dans la possibilité de ses besoins relationnels comblé, c’est aussi être dans l’état d ‘esprit de combler ceux établissant l’accomplissement de ses activités n’avoir plus rien d’autres à faire que de parfaire les objectifs espérés.

Plus besoins de rêver mais faire gain de dépression.

A chaque fois que l’on s’invente des choses.

§.325.

Pour écrire, je me cachais.

Comme quand à l’école je faisais semblant de faire l’exercice.

Car mon écrit rien pour me dire si l’exercice était bien fait.

§.326.

On m’avait suggéré par là-bas (§ 6-9 mais) j’avais décliné.

Mais l’idée avait fait son chemin jusqu’à moi = en mon langage là-bas j’irais m’installer.

§.327.

T’as rien compris n’est ce pas.

T’as toujours raison.

 (La preuve tu t’es fait flouer pour ton boulot en Angleterre).

Ces gens là ces critiques ne pouvaient être bien formulées.

Car il n’y a plus de problème quand bonne formulation.

Attention danger.

Attention.

Ce terme vous fait si peur que cela de se trouver sur mon livret militaire ? Pourtant j’en suis revenu ! d’Allemagne.

Ce que ni plus ni moins se trouvait être dans n’importe laquelle des conversations.

§.328.

L’expression que je te donne (à voir) est l’émotion qui peut reprendre par laquelle je suis présentement attachée.  Par laquelle je sentais que ma présence à la tienne un ajout.

Un échange, un emboîtement.

Avoir été.

§.329.

Elle avait laissé les choses faire, comme devoir si elle était « homme amoureux ou femme hystérique ».

Car la femme devenait hystérique.

De ne pouvoir aimer.

L’hystérie exprimé vis à vis de l’amour un manque de liberté.

Tout exposer.

§.330.

Retomber dans le péché.

Réactiver en soi la nécessité de doser.

§.331.

L’individu révolutionne le monde qu’il traverse.

Ce qui rend les uns les autres un peu irréels c’est que si est visible le corps(et un certain état d’esprit) le restant n’est pas dans le lieu où le sien gît.

§.332.

Ne (croix) croire plus en soi.

Ne plus pouvoir croire en les siens

Car à quoi rattacher nos buts, notre opportunité de sens (à donner) si l’impression de pouvoir faire et refaire est partie

avec celle d’être est aussi .

§.333.

On se disait les choses, de se connaître parfaitement l’on savait qu’elles n’étaient pas représentatives à laisser prises comme vraies, authentiques du moment.

Si elles n’étaient pas représentatives du tout, avec quoi l’autre était-il aux prises donc ?

Enquête et énigme ?

Ainsi se résolvaient.

§.334.

L’amour de l’autre.

Nous enseigne, combien on est dingue.

Ne plus pouvoir penser à autre chose.

C’est s’apercevoir qu’à être vivable à nous même ne sommes prêt.

Sans l’autre (tout autre) le monde s’écroulerait. Suivre l’autre comme le but et le terrain où chacun s’entendrait.

L’amour ce qu’on est capable de voir et faire. Changer.

Le changement. Savoir que n’est jamais moins qu’à une personne de dépasser une difficulté.

et sans cela trépasser.

§.335.

On était tout mais pas à retoucher l’avenir.

Redoutant pour rien car rien ne changerait.

Mais si du moins beaucoup plus doucement les changements se faisaient, que ce qu’eux en redoutaient.

C’est aussi parce qu’en tant que « freins » ils actionnaient.

§.336.

S’habituer à ses propres réactions.

Avoir pour résultat qu’on pense à leur répercussion (but – se calmer).

Sans avoir à bouger.

ag(e) ir

§.337.

Nous.

Parce que nous avions en tête chacun, ce que les autres ne comprenaient.

§.338.

L’amener en des rendez-vous.

S’encrer dans des programmes et continuités.

Une réalité auquelle (à laquelle) participer.

§.339.

garder son amour c’est se poursuivre soi.

§.340.

Elle fit une enquête et le miroir entre elle et moi se brisa.

Si seulement elle savait comment j’avais vécu cela et ce qui se passa.

§.341.

Tu comptes défendre extérieurement.

Il y a quelque chose qui te gêne intérieurement ?

§.342.

Se rassurer, être déjà sécurisé est le signe que l’on est en train d’en écarter évidemment, le malaise apaisant.

§.343.

Mariage exogène car entre tribus différentes, marque de spoliation différente, donc rappel aux rapports de force et d’inégalités moins frappante.

§.344.

La fidélité que l’on se vouait.

Envers et contre tout.

Select DOC Dany.

C’était le moyen de comprendre que à tout autre nous aurions pu le rester.

Mais qu’à celui-là précisément, l’un, le bonheur de pouvoir le rester.

§.345

Choquer quelqu’un, attirer le regard.

Faire attention à ce que j’ai à te montrer.

§.346.

Maintenant que la science elle-même prouve que le tout n’est qu’un, on rigole bien.

§.347.

Savoir se satisfaire et ne voulait que le nécessaire est n’avoir jamais l’impression de manquer de rien (ni avoir de regret) et manquer du nécessaire est savoir que nous n’avons cessé de vouloir le trouver. Ce qui est essentiel et à la vie souverain.

§.348.

Son geste me rappelant l’autre.

Ses gestes me rappelant la présence.

Ses gestes me rappelant l’existence.

Son geste me rappelant toute l’existence.

§.349.

L’œil voit.

Ou bien l’œil capte les couleurs sans les voir.

Mais révélant l’infinité dont l’esprit est inondé

§.350.

Être rassurant est de savoir porter autant que porteur.

Pas de manipulation, jamais acculé. Toujours être au cœur de ce qui va changer.

§.351.

La femme interdite de pouvoir car avoir changé.

Le sentiment, à être au cœur de l’affecte désigné.

Le dompteur tenu loin des guerres pour que la communauté soit également éduqué (à la défendre entièrement).

L’aimer.

C’était pouvoir aller partout où une clarté c’est à dire où se devait puisque jamais elle ne me quittait.

Et qu’en elle (et devant soi, le meilleur que puisse donner) L’endroit suivit se dessinait.

§.352.

Ce que l’autre est.

Est toujours ce que l’on croit.

Ce que l’on croit est.

Attention (encore) aux limites que tu fixes.

Puisque défini pour ça.

§.353.

L’intériorisation évite une dépendance affective échange de vues avec l’autre.

§.354.

Réaction de manière affective quand problèmes relationnels.

 = Je t’aime, je t’aime pas.

 = Avis sur personnalité.

        Permet de se dégager des faits.

        Ne pas être identifié comme celui les ayant rapportés.

Comme dire des choses sans logique permet d’informer sur les sujets qu’on a pas l’occasion contextuelles d’aborder.

§.355.

Je trouvais ces moments géniaux, jusqu’à ce que je m’aperçoive que si j’en étais la provocateur, et ce vers quoi il pouvait être envoyé, s’il me touchaient ce n’était pas moi qu’ils appartenaient.

§.356.

Je réagissais calmement à ceci car ma sensibilité non vécu, mes connaissances me le permettaient ou mes perspectives d’y accéder.

Mais sans elles, je vous aurais sans doute tué.

§.357.

La passion de tout art.

Combien de fois ?

Ne voir que par ça.

Penser cela, perdre ce moins d’autres temps être quelque chose de pas à cela.

Perfectionnement. Constant et immédiat.

§.358.

Ne savoir pas était le moteur de la vertu car une fois qu’on avait une idée sur ce qu’il nous fallait y vivre au mieux l’absolu.

A elle de s’offrir, il ne restait plus.

§.359.

Ne plus voir le gens.

Car être trop occupé à ce qu’il nous avait déjà apporté.

Trop occupé à eux encore penser.

Comme celui-ci qui ignorait qu’il avait pu par son simple passage le parent et enfant réconcilier du fait d’avoir pu l’observer.

§.360.

L’amitié était l’art de soulever des problèmes ou savoir ne pas en rajouter ou les désamorcer ( = ne pas se sentir attaqué) sans se faire la gueule.

§.361.

Se croire seul.

Mais regarde ce qu’on lui mets sur le dos.

Supporter la critique en sachant transformer le négatilisme (négatif) en l’agrandissant est le propre du parent.

§.362.

Le débat problématique .

Entre deux les gens qui parlaient.

Pourquoi, je me mobiliserais ?

Pour quoi, je me mobiliserais ?

§.363.

DIEU merci on est égaux.

On meurt tous.

On voit la misère, mais c’est beau la vie.

C’est beau parce qu’on peut tous lutter contre la misère.

§.364.

Mineur de fond pour la plus solide des finesses extérieures.

Alchimiste.

§.365.

Puisque c’est aussi par l’échec qu’on comprend.

Compte-rend.

§.366.

J’esquisse quelque chose qui me déplait.

Une esquisse. Je sais que tout de même en creux de cœur de quelqu’un ils réussirent à aller et je pense par la multiplicité des situations.

Pour toute je continuerais ce qui ne pensait, vide je n’ai plus qu’à faire un trait d’esprit pour qu’on puisse dessus savoir ce qu’à voulu si unifier.

§.367.

Les meilleures idées dont on croit qu’elles vont rester.

Elles restent c’est vrai mais pas comme à l’instant ou on croit avoir trouvé les mots et l’ordre exact pour la décrire.

Cette richesse là donne une idée de la valeur de l’instant.

De chacun des moments.

Tant il faut faire de l’or.

§.368.

Le putain de TAF.

§.369.

Le jour de mon dépucelage c’est quand je compris que je ne pouvais pas trouver les risques.

Ni aucune d’elle après.

§.370.

Elle m’avait insulté.

J’en avais souffert, en avait été vexé.

Dimension supérieure.

(Tu te souviens encore du : Vieux con ?)

Pour plus tard comprendre que si cela s’en était arrêté là c’est qu’elle devait drôlement m’aimer.

(Et de ma réponse : Jeune putain ?  Ce n’était pas du meilleur goût que nous ayons pu avoir ce jour là.)

§.371.

Chacun ayant une tâche d’assuré, de reconnue.

Des femmes s’occupant des affaires.

Sans couverture car simplement DUO, par exigence d’efficacité.

Déguisée.

§.372.

L’esprit avance aidé de ses pensées il faut juste apprendre à ne pas les imposer.

Elles transportaient l’énergie sont un moyen mais le but lui n’est que de tout pouvoir associer.

Comprendre que l’autre est sujet à ces pensées (aide à la maîtrise de l’énergie avec développement de soi dans une approche de la réalité)

Comprendre l’autre c’est comprendre ce qui pour nous n’est pas vérité.

C’est s’apprendre à ne pas défendre des idées (obéir, imposer) par les quelles nous sommes traversé.

Comment ne plus tomber dans le préjugé.

§.373.

Je ne comprenais pas qu’elle ne me chérisse pas autant que je la chérissais.

Parce que ces efforts et ces difficultés je ne voyais.

Elle ne pouvait donc se reconnaître dans ce que j’étais.

Tu trouveras toujours des excuses à tout le monde, qu’elle générosité ! Select DOC DANY.

 

 

§.374.

Cet étranger qui la même chanson que moi écoutait.

–       –       – , des poèmes constater cela faire, frère, pouvait.

§.375.

La liberté face à la recherche = donner à son esprit ce qu’il se sait le plus prêt efficace, à retenir, à analyser.

Jouissance et efficacité.

§.376.

Respirer = ce que l’on a dans nos ventres, la place laissée à la combustion de ce qu’accumulé.

Combustion de l’énergie.

Et du problème que la place a laissé au mouvement peut localiser et remplir de notre action.

§.377.

Pour s’apercevoir combien on a pu décevoir autrui. Il faut préalablement avoir une idée de combien par (pour) lui on a existé.

§.378.

La communication implique à terme une reconnaissance de l’autre comme intrinsèquement essentiel à soi = comme protection et au-delà.

379.

On accusait ceci ou cela ;

De garde de pouvoir dire j ‘en ai marre de tout et n’impote quoi.

§.380.

Le fascisme n’était qu’une systématisation de ses réactions vers la sévérité, comme pour braver, le laisser aller de la systématisation faite qui soit accordée.

§.381.

Comment dire, prouver que les signes ou ma vie laisser.

J’ai vu plusieurs titres de livres dans le même genre d’endroit me dire ce qui allait arriver.

23Mais les gens cherchent comme moi des réponses.

24C’est pour ça (cela) qu’ils ont écrit.

25Est –ce ça (et allez donc, cela) vraiment qu’il (qui, pronom personnel, la personne est où dans cette locution ?) s’est passé ou bien me contenterais-je d’explications hasardeuses faute de savoir précis.

26Ce signe amène une signification, la signification de doute.

27Et on m’en voudra toujours pour avoir tenter de trouver une vérité plutôt que de l’appliquer. (L’expliquer).

28Tout englober plutôt que de désigner.

§.382.

Mon geste n’est ni à moi, ni à toi.

Mon geste.

Ton geste.

Est le symbole du tiers.

Qu’est-ce qui se passe (et casse) entre Moi et Toi.

L’infiniment autre. Puisque la cause de notre rencontre naît de cela. (Tu vois quand tu veux, cela. Va bien !).

Le plaisir suprême est de maîtriser son monde et d’y rencontrer la surprise (avec même degré que le détachement qu’il nous fallût pour notre monde précédent quitter (et des certitudes que nous avions jusque là patiemment constituées pour que puisse notre gouvernail être dosé ou d’y rencontrer la connaissance (servant notre croyance = la force qu’on peut puiser.)

En voyant qu’elle nous rejoint vers le lien de notre destinée parce qu’on l’y a préparé.

Parce que nous, nous sommes situés de part les actions passées.

Logique et référence à ce qui a notre vie constitué.

§.383.

Admettre que toute rencontre est le fruit d’un effet et peut rendre le meilleur de son jus = dans un autre monde nous propulser.

Le devoir d’accompagner la manifestation de la perception.

Sentir cette autre force.

Sentir qu’a son corps suspendre ses perceptions, pour que la force déjà emmagasiner.

§.384.

Expérimente son mouvement non plus sur le lien de l’action (sensation) mais l’amener vers l’autre (= mouvement non perceptible car amenant vers une autre dimension)et permet une mystification.

Ce DIEU qui est bien parce que le symbole d’une chance vers une unité sans nous.

Le miracle d’être en vue.

Affirmation.

§.385.

C’est en enseignant qu’on rend hommage a sa discipline et à ses maîtres.

Ne se perd pour tout de soi continue et en soi se marier.

§.386.

Être drogué c’est de ne pouvoir s’empêcher de faire un détour.

Que pour la santé on devrait éviter.

Le fantasme est ne nous permet de vivre avec l’autre ce que la vie de notre choix ne nous permet (mais permet en fantasme donc peut symboliser encore la liberté)

Le fantasme permet d’imaginer des vies expliquant ce que l’on vit soi même.

§.387.

Le signe qui met en valeur notre sens de l’intuition, de l’interprétation, de la précision, de la prévision, de l’anticipation.

Construit.

§.388.

le pouvoir de fidélité.

L’attente toujours.

C’était vivre à jamais.

Cet état la vie prolongeait.

Car ou que je sois toute ma croyance (en l’éternel) en cela s’avérait et  reposait.

En ces moments là.

Plus loin était déposé.

Plus rien.

VRAI.

§.389.

Elle avait des amants pour répondre à :

Comment s’occuper d’un mari ?

(Quand nous avons lu cela nous savons tout comprendre de la vie et de la confiance qu’il faut accorder à une femme).

Select DOC DANY.

§.390.

La veine.

Quel endroit en fusion de disponibilité de calories est sur sollicité ou sous alimenté.

§.391.

Le vocabulaire spécifique sert à déterminer qu’est-ce qui nous a inspirés.

Regrouper sa théorie pour qu’on puisse la mettre en parallèle à tout autre système.

§.392.

Être jaloux des caresses qu’elle donne.

Savoir comment sa main peut comme ça (cela) se durcir.

Pour me –        -, commande de séance de –   -.

§.393.

L’autre est la manifestation du travail.

Je n’arrive pas à me concentrer.

Mais justement –     – de t’en rendre compte pour te mobiliser. (Au lieu de te venger, d’incriminer cette manifestation extérieures.)

§.394.

Repense à qui tu es ?

Ce que je ne cesse de déterrer.

§.395.

La notion de qualité n’est rien sans celle de quantité.

Un monde de sur consommation possible si effectif des hommes baissait 5, 6, 10 fois ce qu’il est.

Qui inventerait ?

Quoi ?

La colonisation, et trouver d’autres matériaux de lancements ne se trouveraient plus comme cela.

Être le bon nombre, pour que la mécanisation dans sa diversité et complexité ne prenne sur l’humain le pas.

§.396.

« T’en veux un peu ».

Ce n’était pas lui, mais il y en avait qui en manquait, elle le savait bien.

§.397.

Je pourrais rendre quelqu’un heureux non pas de ce que je fais, car cela pour tout le monde il devrait, mais de comment la vie je prenais.

§.398.

Le soulagement dans la douleur.

Non pas qu’elle soit.

Mais la douleur un échappatoir toujours a.

§.399.

L’homme est infiniment seul à chaque instant mais son humanité vient qu’il porte en lui toutes ses rencontres d’avant.

Et les associe au temps.

§.400.

Le suivi de l’autre, humeur différente.

Une vue sur les revirements qui peuvent être fait, vécus, parcourus, vus.

Re crût.

recrut.

§.401.

Je n’avais accepté çà avant alors je le ferais maintenant.

Avoir manqué ?

Non, car la réflexion qui en suivait m’a donné une idée de comment faire ceci non pas en tant qu’action permise mais bonheur choisi.

Merci.

§.402.

Nos temps sont différents et de cela à entretenir son propre épanouissement on apprend.

Mais épanouissement = épanouissement de l’autre à mon contact si mon équilibre propre je suis.

§.403.

La difficulté apparaît cruelle lorsqu’elle a cessé d’être inévitable.

Et lorsque l’on peut l’éviter alors elle est un exemple pour que les prochaines soient contournées.

§.404

Le signe a sa contrainte.

Car croire en eux est les suivre (en ayant pour simple certitude d’utiliser au mieux notre potentiel de croyance, moteur de la concentration et persévérance ( mais ne donne-t-on pas tout son temps à y penser.

Les signes qui sont une désignation par quoi l’on va accepter d’être habité.

L’ensorcellement est aussi ce qui donne à l’errance une destinée, à la douleur.

Un moyen d’être évacué.

De l’autre part si on se met à ne plus les suivre alors plus rien n’a de sens et eux-mêmes logiquement nous font perdre l’assurance. Ils ne veulent plus nous servir puisque nous ne les avons honorés.

Il est donc normal que je redevienne incroyant puisque ayant trahi ce qui la gardait.

§.405.

Penser pendant qu’être en train de communiquer. Travailler à des sentiments, des réactions, une émotion.

C’est pouvoir s’extraire du sens de la communication pour montrer à son partenaire à quoi est-on en train de songer dans le sens, le sujet réel est :

Comment je peux m’extraire de cette apparente réalité = contrainte; et gérer l’émotion (extérieur à toi, celui qui observe) donc montrable, démontrable, enseignable.

dexterité.

§.406.

Le rapport au temps est un rapport à l’activité.

Veuillez m’excuser j’ai à faire.

Une information première catégorie.

Je ne serais plus là car on n’attend..

§.407.

Aller jusqu’au lieu du problème. (exemple : Bordel.)

Mais ne pas y rentrer.

C’est durant le chemin refaire une estimation de sa situation à fond et s’exposer entièrement au problème ( et les points plus ou moins permettant de désirer y aller) pour que puisse s’envisager clairement une solution et savoir tout les points positifs pour envisager une substitution.

Connaître le problème que l’on a éviter à fond.

Pouvoir y puiser son avenir  avec détermination.

Cette profondeur nous extrayant de tous les malheurs.

§.408.

Mon amour.

Lui donner mon temps.

Le temps qu’elle saura et le temps passé loin d’elle mais pour nous, ce temps qui me permet de la servir comme ma reine sachant souverainement me servir de moi.

Le temps glaive de la vie.

Qui fait que devient l’amour le sentiment amoureux.

§.409.

Quelqu’un m’a fait penser à quelque chose.

La créativité ?

 = lui faire penser à la même chose, mais ceci ne pouvant que différemment s’exprimer.

§.410.

Se sentir pierre.

Si la vie se faisait sans elle de la mort je m’emparerais.

Alors de mon appel qui continuerait.

§.411.

Considérer les objets tels des symboles était se permettre de s’arrêter sur eux, et méditer, comment si son esprit un instant d’être contenu en eux se contentait et re puisait.

§.412.

Il ne s’agissait pas de soumission mais de rétrograde.

Permettre à son esprit de comprendre le départ, le tournant douloureux qu’avait pris l’énergie.

Se mettre à niveau pour combler ce point-ci.

Les mécanismes se donnaient à ce prix.

§.413.

  –     –       quand on le peut du soleil.

Il fait beau dehors.

Il fait beau dans ma vie.

§.414.

L’indépendance, vis à vis de l’autre est la certitude que les amours rencontrés nous servent comme des expériences fortifiantes.

Et le sera le nôtre.

Et vers cela notre esprit parviendra à se diriger.

§.415.

Le signe dans le ciel qu’on va chercher ne serait-ce pas un prétexte à se rendre compte de ce qu’il est.

Le signe (astral, transcendantal)

Le ciel (sien).

Le conflit c’est :

Je ne suis à l’origine de tes sensations, revendiquer.

§.416.

Se plier à la situation,de la souplesse dégage (crée, démonte, ressort) parallèle avec système d’articulation.

Plier l’une afin que le mouvement puisse respirer (consciemment tout le corps donc toutes les articulations)

§.417.

la folie le sur réalisme non créé nous permet.

§.418.

La maigreur la finesse permet au squelette de se reposer.

Entièrement sans rondeur et discontinuité .

§.419.

Ce qu’on ressent n’est pas dans la –       – de la manifestation mais dans la manière de l’intercepter.

§.420.

Penser faire circuler et s’apercevoir être l’esprit de lui.

Il n’y a entre nous qu’une vérité (car union) poursuivre nos pensées.

Ce n’est pas celle de l’autre que je saisis, mais ce qu’elle lui prouve en équilibre en énergie.

§.421.

29Qui est-on ?

30Pas de secret, chacun des individus qui regarde la vie passer.

§.422.

Mon self-contrôle.

Cette forme d’ union m’ apprenait la patience qu’il faut pour parvenir à me tolérer.

§.423.

Pourquoi est-ce toi.

La psychanalyse n’a qu’une centaine d’années.

Textes ci-dessus entièrement revus avec assistance Ordinateur dans le sens donné aux textes. DANIEL.

FIN de DOC 15.

A corriger pour les illisibilités.

computerised extra doc 14

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

DOC : 14.  Page 800 à 899.

§.1.

Les femmes étaient douées de leur désir sexuel ainsi le désir que l’homme restant étant pris comme étant un signe de virilité.

Quelque chose qu’entre homme = objet de convoitise la femme = le bébé.

Femme et homme = maturité, ignorance sinon démission des pulsions.

Peut être représente-t-elle une sexualité donné.

Au delà de l’accouplement = la famille de fondée et gardée.

§.2.

Admettre l’innovation.

Créer.

Et de pouvoir se croire être capable d’une autre inspirer.

= aussi dans lui se retrouver.

(Tout comme on se retrouve en refaisant ce qu’il faut, ce qu’il fait)

parce que les choses prennent leur utilité.

§.3.

S’habituer à quelqu’un.

A comment le trouver beau, à sentir que lui même se bloquait à cet effet.

Trouver le chemin qu’il, qui l’embellissait.

§.4.

Adulte = calme = apprendre à sentir l’émotion pour mieux sur son ouvrage se re – concentrer et non se dissiper. Comme sentir un revirement à repenser un de ces anciens liens passés.

Résoudre les problèmes coup par coup.

Seul manière de faire             un contrat à vie.

Quitte à ce qu’il change de ferme.

Selon ce qu’on en a compris.

Et qu’il nous faut comprendre de notre action sur l’ailleurs en tant qu’application l’appliquant sur le reste.

L’on s’adresse.

A des hommes en sachant que chaque parcours est un parcours d’erreurs juchées.

§.5.

Faire face à la difficulté = non-adaptation à la situation présente = le pouvoir se parler.

§.6.

Rivalité – deux routes différentes.

Le point conjoncturel – Le pouvoir de faire coexister, se rencontrer, se détecter.

Rivalité du pas encore fait.

§.7.

Je suis sur que vous allez bien vous entendre.

Le même genre de personne ; Elles s’admireraient, se rapprocherait affectivement,   –   –   -, –   –   -, —   —, s’éduqueraient.

Emotion – affectif – énergie nécessaire.

Attachement.

Symbole.

Signifiance.

A revoir tout cela.

§.8.

Diffuser, commenter, annoté, représenter.   .   .   .

Tout acte touchant à une œuvre est une œuvre elle-même.

§.9.

Emotion = instinct.

Instinct de l’énergie dont à besoin le corps pour se détendre, s’exprimer, se faire du bien.

Problème restant : comment les faire se libérer.

La question se résout si cette question reste la règle. Plus ou moins que l’on ne perd de vue qu’il faut s’occuper des difficultés comme elles viennent.

Pas moyen de les différer.

L’épopée est une aventure qu’on ne choisit, qui présente le monde avec toute sa diversité.

Une aventure dont-il nous faudra toutes les étapes franchir, quelque soit leur manière de nous demander assistance (de nous dépasser, pour les border) et à l’étape au dessus accéder.

§.10.

Spécialité permise parce que notion d’ensemble.

Spécialité permise pour que chacun puisse constater ce qu’il a en lui sans avoir pu le développement.

§.11.

Jouer le jeu qu’on nous concède pour communiquer avec les autres.

Et ainsi éveiller la conscience jouer avec les préjugés, gestes symbolisés, éveiller les peurs, les illusions, les questionner intellectuellement, sans les violenter ; laisser l’imagination s’en charger. Sans charger la conscience de penser à propos de ce qui nous environne.

Penser l’environnement est :

  1. l’influencer.
  2. donner naissance à comment se positionner dessus.
  3. Glaner les informations fondamentales aux prochains projet, venues et aller.

Bien positionnées ?

!

§.12.

Faire les salauds.

§.13.

J’ai passé un Noël à penser à toi.

Chose sûre : Envers moi c’est un sentiment que tu ne te représentes pas.

§.14.

La personne qui vous fait reconnaître qu’il y a danger.

Le danger imminent est celui qui ne se prépare pas.

Qu’on règle maintenant pour ce qu’il serait venu grossir après.

Comment se libérer.

Par la personne d’être en train de préparer ; se fait.

!

§.15.

Le problème psychique est un instinct.

Sentir un problème au loin.

Le problème psychique dure tant qu’on ne s’en approche pas. Pour le régler.

A ça, tant que durera.

§.16.

Toute communication est relié au sexe, car remise à la vie.

Qu’est-ce que la non communication ?

Où le sentiment de non communication !

Dont les symptômes sont les maladies et le résultat de ce qui se détruit.

§.17.

Être adulte.

(Subjectif, cela ne veut RIEN dire. Fait de la psychologie.)

Est savoir porter le monde.

Et ne devoir être bon qu’à cela.

§.18.

Se marginaliser tellement que personne ne nous adresse la parole = Ne nous marginalise où ne nous pointe du doigts les difficultés, les rivalités relationnelles.

§.19.

1      Bonjour.

Insistant.

Qu’est ce que cela aurait pu donner si nous nous étions assisté plus longtemps.

Réponses : entre autres, tu n’aurais peut être pas pris tous tes Kilos grammes.

§.20.

Garder un problème au chaud, lui accorder un droit de circulation constater en découvrant ce qu’il a à donner ; combien on a .

§.21.

La mort est un face à face d’égal à égal.

Quand on s’est senti mentir par la vie.

§.22.

Mode.

Pas de chaussures pour femmes taillées pour marcher pendant des kilomètres, pour prospecter.

Etrangeté.

1      Jeté.

Irréalisme.

§.23.

Enervement.

Etre capable de faire mieux, mais rester au statut quo, pourtant.

Rencontre – proposition d’adoration.

§.24.

Hétérosexualité.

Rendre normale et comprise l’admiration qui entre sexe associé représente un danger mais puisque choix du mariage et choix du métier propose de façon à ce qu’ils ne puissent pas se chevaucher, pas de problème de compétition.

Désactivé donc les affres de l’ admiration, la rendre sans danger parce que sensé dénué d’intéret  hormis celui de son affect recomposée.

determiner artificiellement des objectifs professionnels et relationnel de facon a ce que la competition ou l’absence de competition ne s’excerce que dans des potentialites déjà déterminées; allégeant ainsi ou encourageant certains mécanismes de la comparaisons aux autres avec laquelle on se détermine à socialement progresser.

§

§.25.

Les « FATAS » et autres poeples.

Tels des histoires à raconter.

§.26.

Les traces de ce qu’on ne m’évita.

Etre coincé de ne s’être soulager.

Mais qu’a t-on décoincé en échange de cela.

§.27.

L’expérience = Habitude aux changements.

Ne plus prendre le changement comme un coup du sort mais d’une chose dont il faudra sortir.

Modification.

Prendre le changement comme une épreuve en constant, c’est à dire le prendre à bras le corps maintenant.

Stabiliser son comportement. Ne pas tomber dans la dépression, dans la terreur, dans l’erreur, le découragement.

Chaque problème à la résolution de celui qui vient = celui que l’on considère comme vraiment principal.

Participant.

§

§.28.

De penser qu’une société est capable de laisser ses vieuxsans place ? sans que s’occuper de l’enfant de celui à éduqué.

Un devoir mais à peine.

Une option.

Montrait-on ne fait que d’y être amené, forcé n’est pas permis.

Et que serait-on (Obligé de s’auto-formé à la sauvage) taxé de pédiphilie.

§.29.

L’autre, l’idéal.

L’enfer, oui mais qu’on a choisit.

§.30.

Tous ce que voit un professeur est ce que produit notre réflexion.

§.31.

Ne pas tirer parti des particularités d’autrui.

Et avoir une imagination limitée sur ce que peut nous faire traverser la vie.

§.32.

L’exploration de l’esprit toujours à l’age de pierre.

§.33.

Il se sentait diminué.

C’était l’age qui à tout le monde apportait cette idée.

Le fait même de changer et que ne donne jamais longtemps l’adaptabilité.

Je ne pensais pas cela de lui.

Qu’il puisse s’y sentir assujettit.

Pour moi le sur homme.

De ne l’avoir compris.

L’illusion se  portant sur l’être aimé, ainsi on a le temps de le repenser (et de le soigner) toute sa vie.

Mon parent. De la racine, à la tête, à l’esprit.

!

§.34.

Apprendre à ne pas être perturber par l’autre.

Pour que son amas d’informations puissent continuer à influer, tout en continuant à réfléchir de son côté.

Ne pas tenir ni l’une ni l’autre des sources.

Inspiration sans interruption.

Conseil motivé ; alimenté.

§

§.35.

Donner la solution, la recette à l’autre.

Toujours chercher.

Partir à la conquête.

Problème une fois fait, remise en question. Qu’est-ce qu’on fait.

Vie et danger. (youpi)

!

§.36.

La conscience du geste que l’on fait.

Par la technique, l’expérience.

Tolérance, persévérance, redondance qui conduit à tout lui donner, tout y voir.

Le pouvoir de soi même se dresser.

A soi s’adresser.

!

§.37.

Ses mains étaient magnifiques.

Bien sûr c’est à elles qu’ils pensaient.

Dans le statisme qu’ils vivaient.

Par elles qu’ils soupesaient.

!

§.38.

Faire la démarche de.

Pouvoir sentir ce qu’implique.

Y renoncer.

Ou modifier.

Ne pas en plan laisser, essayer, réfléchir entre les étapes.

En chez ne ment.

!

§.39.

Le problème symbolisé par les affirmations portés.

D’où le besoin de s’affirmer.

De le jeter, tel un théâtre, une ouverture à partager.

Décomprimer.

§.40.

Lutter.

Prendre des biens comme objets.

Pas pour ce qu’ils sont.

Mais pour éviter que l’on soit ceux qui soient à la porte, qui ne puissent plus rentrer.

§.41.

Les mots ont pour donner à nos gestes une signification = donner à ses gestes un sentiment d’action.

Les liés = se sentir vis à vis d’eux, vivant, agissant.

Comme donner à ses gestes impuissant une manière pour remédier.

Ce que je dis = ce que je fais.

§.42.

Une glace.

Deux personnes assises en file indienne.

Le dos du ventre à trois mètres cinquante.

La première se retrouve et ne voit pas que la seconde est en train par la glace de la regarder.

Et pourtant la seconde est bien en train de lui répondre.

§.43.

Dans nos grandes villes on a plutôt tendance à ne plus pouvoir imaginer comment il se fait que l’on mange un fruit.

Mais d’où viennent ces bananes, ces pommes vitaminées.

O. G. M.

§.44.

Dans la pauvreté on parvenait à oublier que ce n’était pas par pitié qu’un plus riche pouvait nous regarder.

Être regardé par admiration.

Oublier ce que notre vie avait compté.

Tant de choses qu’il fallut surmonter.

!

§.45.

La mémoire permet aux sens de se reposer.

Se rappeler d’une inscription, l’afficher en mémoire pour n’avoir à ses yeux réadapter pouvoir l’analyser, la traiter.

§.46.

S’occuper de que voit donner la possibilité de toucher.

En route d’être comme cela à majoritairement additionné.

§.47.

le mouvement repose non sur ce qui est immobile mais sont ce qu’on a im mo bi li sé.

§.48.

L’image de quelqu’un, la sensation d’une personne suffisante pour se concentrer.

Cette sensation conduisant à comment, au devoir (celui de pouvoir arriver avec l’autre à se concilier.

De continuer.

D’arriver, de pouvoir venir.

§.49.

Comme dans un corps, tout correspond.

L’étude du tout, à tout le reste correspondant.

La notion des problèmes survenant.

Une solution donnant à tout ce qu’entourant.

La solution dans le tien, dans l’art de relier.

Expérience : Occasion de jonction.

§.50.

Donner corps au mouvement. Y investir l’N.R.J.

Afin que le flux se stabilise, se régularise, se focalise.

§

§.51.

Devenir aveugle car ne voyant que nos gestes pris en compte.

Tromper le lien.

§.52.

Savoir que tout nos gestes à un alors est joint, correspond.

Mais savoir qu’un lien les ressent, les centralise, les traitement, les pluraliste, les différences les mélanges  –  –  –  -le plus rapidement.

Le lien c’est soi. = ensemble d’ailleurs répertorié et aussi s’assemblant.

§.53.

Ils s’enterraient d’être ce qu’ils étaient l’un pour l’autre. Cernés. Sans se rendre compte que ceci à être un les auraient amenés.

Perte de conscience.

  1. C’était ce qui crée en nous l’idée par le biais là nous au souvenir.
  2. Ce que les autres voyaient eux et paranormal appelé. Les matières qui sans intervention de matière visible s’assemblaient.

§.54.

Des fois où je (me) prouvais que j’admirais le danger, que je connaissais mon corps et qu’aussi j’en disposais.

  1. Que j’étais conscient de ce qui se passait ainsi que des injustices qui sur moi se tramait.
  2. Qu’il pouvait être fait tout ce qu’on voulait.

Je n’avais peur de ce qu’arrivait mon corps était trouvable mais la conscience de lui m’en faisait disposer ( = inviolable, incorruptible)autant qu’inconscient alors j’avais pour mission de le soigner quand je le réintègrerais.

§.55.

Détester fréquenter quelqu’un qu’on aime.

Mais tous à la même enseigne.

Pouvoir retrouver dans tous les regards qu’on avait envie que ce soit sans sa mère qu’il puisse être porté.

Quelqu’un donc qu’on va cela aussi envers l’autre remplacer.

§.56.

Faire des activités qu’on n’aime pas vraiment.

Mais qu’importe si elles sont l’occasion de se                      .

Rythmes des prières.

Chanson.

Permettait aux gens en restant sur un même endroit de psalmodier à plusieurs vitesses.

D’un mécanisme où l’on va pouvoir faire ce que l’on voudrait connaître.

Que l’on peut déclancher sur tous les tons.

§.57.

Maison trop grande pour tenir :

Responsabilités.

§.58.

Ethnies se rejoignent. Puissance comprenne leur racisme.

Pour s’apercevoir due tout au contraire la richesse qu’est la femme avec le même sectarisme.

§.59.

Quand plus beaucoup que regarde comme une maman.

§.60.

Se concentrer – faire le calme – laisser venir pour mieux sentir et capter et que soi retransmis où pouvoir se protéger.

§.61.

Ne pas pouvoir enseigner en 2, 4, 10, 20 regard ce que n’avoir fait.

Personnel mon art continuer,La vie qui me le promet.

Ne pas obstruer.

Prendre tout énergie.

En            -.

Sentir la vitesse de son étude.

§.62.

Il souriait à chaque fois que je guettais.

C’était son père que je lui rappelais.

§.63.

Il me fallait nier d’être fermé mais la seule façon d’arrêter une connerie est de la réparer et faire que ce qui la neutralise (Les qualités prêtent à intervenir pour contre balancer et faire qu’on ne laisse se produire ) continue à s’exercer et se développer.

§.64.

Le handicap prend une forme singulière qui permet de constater nos singularités.

= se raccorder.

Etudier.

Comparer.

§.65.

La vérité n’est pas dite d’être garce de trop gros complexes.

§.66.

Tout moment est reproductible.

Et tout moment s’offre d’être le point et croisement d’enclenchement de ce que vécu auparavant.

Chaque action devant être la conséquence d’une certitude pour être franchement déclarée et donc être l’objet d’une réaction qui permettra d’émettre une position. Position  = prise en compte = réflexion.

Se rendre compte que l’on génère une intelligence.

§.67.

Ophélie.

Haut-fait-lient.

§.68.

Spécialiste – Soulager.

§.69.

Corps et lapin – pas de concurrence.

§.70.

Souffrance, lassitude.

Discrétion.

Ne pas perturber l’autre.

§.71.

La vieillesse n’est pas plus vieillit que la jeunesse.

Puisque chacun de ses mouvements peut guérir un élément de n’importe quel douleur.

Ou bien porter la douleur jusqu’à ce qu’elle remonte à se soulager.

§.72.

Quel animal suis-je en train d’élever (de mal élevé) qui serait susceptible de m’enlever les vers déjà en train de me bouffer.

Le rêve fait partie de la vie qu’on vit car le rêve est un élément que l’individu construit.

§.73.

L’émotion est l’expression de ce qu’avec soi veut communiquer.

§.74.

Ce que l’on est.

Ce que l’on se propose de jouer.

§.75.

L’énergie prise en compte pour penser ou ne plus penser.

§.77.

A  partage idée avec B.

Pour que puisse signifier à travailler à faire réagir A.

Tant que travailler le voit cette fois.

Car si relation duelle (que à Z) comme ne saisit pas = attaquer.

Voir, sentir directement.

§.78.

L’imagination provient d’avoir eût à se battre contre la vent, d’avoir été pour cela le vent.

De cette métamorphose d’autres transmutations se proposant.

Le lutin, l’esprit de l’air, filleul, filant.

§.79.

Être le passeur car :

On ne peut rien voir et saisir sans l’aide d’un tiers dont on ne pouvait tenir compte pendant l’opération concernée.

Un autre extérieur correspondant à ce que cela a dans notre esprit activé.

Relevé.

revelé car se transforme tandis que nous faisant mais s’en qu’on puisse s’en douter de devoir être à autre activité absorbé.

§.80.

Se passer nos gestes.

Car l’expérience fera que l’autre s’aperçoit de ce que l’un ne pourra détecter.

S’informera.

§.81.

La patience apprend à celui qui en bénéficie que son malaise ne vient pas de ce qu’il croit.

Quant A s ‘énerve et B reprend le relais.

Alors A et B pense qu’ils sont le problème.

Et le malaise s’empire car le problème n’est ni trouvé ni l’objet de considération.

La patience c’est la temps des tests pour s ‘apercevoir que le problème ne vient pas de ceci.

§.82.

La conscience d’arriver quelque part, d’être dans un contexte et associé par le fait de ne rien comprendre à ce dont on est entouré.

La conscience est l’élaboration d’une vérité qui tout comme le destin a pour objet d’amener des signes qui reviendront à dire que la seule conclusion est qu’il est en nos mains et jamais mais toujours à définir.

§.83.

Rappeler sa mère à quelqu’un, mais que pourrait-il bien lui dire comme expériences vécues et qu’est ce que sa propre mère se rappelait-elle dans ces conditions ?

Qu’est ce que la mère patrie ( partie), la matrice, le cocon où l’on naît.

Ou l’on meurt  –  –  -.

Je m’entêtais.

Je l’avais bien aidé mais pas à ce que j’en croyais.

§.84.

Arrêter d’écrire sur l’amour quand je l’eût trouvé.

Remercie les muses qui avait ma compagne me l’inspirant.

M’inspirant, m’appelant de quelle manière il fallait me Comporter.

§.85.

Il me fuyait telle le mort.

Il me fuyait telle qu’il m’avait fait.

Il me fuyait aussi vivement, résolument que ce qu’avait fuir cela.

§.86.

L’amour de l’absolu.

L’amour du temps.

Car alors on attend avec passion que le temps soit venu (et il passe).

Tant qu’on choisit la solution l’illustrant.

Etre toujours auprès de l’amour.

Tant que fidèle, vient son tour chaque jour.

En soi toujours plus vivant.

§.87.

On suscite la peur de quelqu’un rien que par des gestes.

Et il faut alors que son esprit trouve à quel danger il doit faire face pour ne plus être troublé.

Retour en arrière pas avalé.  »'(Avalisé : Du mot aval et non pas du verbe avaler.) »’

Mise en avant, pour affronter ce pourquoi on doit mieux s’ armer.

vivre emotionnellement ses craintes pour y plus concrétement et loin des situations réelles avoir l’occasion de se dominer.

§.88.

La joie n’était pas ce qu’espéré.

Seulement force puisque le projet était préparer à longueur d’années au quotidien et pour prendre le quotidien des années,

qui suivait pensé.

Lorsque la réussite arrivait, ce n’était de la joie mais l’état de fin à une autre diversion qui prenait.

§.89.

On adhère à un individu car il pense à nous ou l’on pense à lui.

Identification.

Attention, ne pas adhérer est vouloir mais n’avoir encore d’idée sur ceci.

ne pas s’être encore realisé et donc avoir a entrer et travailler le processus de y adhérer.

(ou refuser la proposition tout simplement).

§.90.

L’art c’est compter les jours qui passent.

Constater que notre temps ne peut nous être volé.

Quoi qu’il se passe, choisir l’absolu (Ou ne le choisir pas = se trahir soi même mais en ayant possibilité constante de revenir à soi.)

En faisant de son mieux pour créer – se réaliser.

Et si trahit par l’autre ?

Que de mieux que d’avoir ‘état’, etait soi peut-on espérer ?

 

Provoquer l’autre.

Pour que faire qu’il ose.

§.91.

Si tu n’as pas compris que je te confie mon intérieur, mon baromètre.

Non tu ne l’as pas compris sinon tu te tairais.

91b

On est critique parce qu’influençable.

On critique comme une demande à l’autre d’être guidé dans ses sentiments et réactions.

§.92.

Les psychés sont encore synonymes de batailles.

Parce que chacun des gestes de l’autre peut représenter un sentiment, un complexe, un préjugé, une condamnation, un danger : On a peur d’être pris pour un con.

Car parce que la différence de traitement est, elle permise.

Danger : Être privilégié = en dehors, d’autres mondes écartés.

Casté = au service aveugle et muté.

toutes significations, aléatoires, interprétables doté de la faiblesse d’être assujeties aux déséquilibres déjà agissant.

(pourrait etre encadré apres un regroupement thématique des écrits)

§.93.

Télé un parent surveillait que l’on puisse faire (et fasse) ce qui de notre devoir retournait.

§.94.

On se  devait d’être un bon ennemi pour quiconque vainc, l’on garde des récits de grandes batailles pour nos petits.

§.95.

La rondeur de notre colonne n’est-elle pas faite autre afin d’encaisser les chocs, s’arrondir, faire tourner l’énergie de façon à ce qu’elle circule et non à ce qu’elle s’accumule dans les bouts et coins.

§.96.

Ce n’est pas que cela ne m’aille plus.

Mais je me sentais avoir assez d’élément pour sentir une proposition que pour l’instant je n’avais pas.

Arrêter la conversation pour prendre le temps, laisser le temps à cela.

§.97.

Nous remercions nos anciennes galères quand venaient celles qui ne s’arrêtaient guère mais qu’à leur apparition grâce aux précédentes nous ne sommes impressionnés par les nouvelles puisqu’ alors pouvoir plus efficacement, l’on réagit.

§.98.

Ne pas aider les autres, faire les choses à moitié, ne pas les faciliter, puisqu’on est à la pièce répertoriée, payée ?

Qu’à la traîne même pour la bonne cause on est taxé.

ce système qui retribu les premiers comptabilisés.

§.99.

Avoir en projet quelque chose est super bien car il nous permet de dérouler le temps, tant que pas finit. Le temps suspendu.

Bien qu’il passe. Il est du bon temps. le regarder ainsi pouvant être du ressort de la vie; du travail sur nous.

Et plus encore on sait que même sans lui, parce que nous nous donnons à lui et une fois que parti. Pourra continuer.

§.100.

Comme on peut être con quand on nous laisse faire.

Rien que parce que de la peur d’être mis à mal, reste en soi des instincts, réflexe de défense dont on s’aperçoit qu’ils sont malsains.

Ne parvenir à résoudre le problème. Réaction ignorante. Tant bloquée si tant est que le processus puisse être ralentit.

Temps mieux.

§.101.

La capacité à penser simultanément.

Penser à son            , ne pas réfléchir juste se remémorer un problème un moment ou une problématique.

Juste quand se passe quelque chose dont on n’a pas envie.

Exemple : Façon de lire des informations sans importance ; Sans se fatiguer à les retenir.

Que cette activité agisse à la conscience d’une situation à faire évoluer.

Vers quoi.

De quoi construire.

§.102.

Discuter avec le tiers.

Pour que le second constate l’effet.

S’informer. S’intervertir.

§.103.

Il n’ensemble de perte de temps.

Mais de temps nécessaire à la préparation.

2      Disposition.

3      Compréhension.

4      Action.

5      Réflexion

6      Transformation.

7      Méditation.

8      Accession.

9      Succession.

10Cessation.

11Assertion.

12Désaffection.

13Opération.

§.104.

Le boulot de chacun est de positiver.

Ce que la vie dans ses mains a déposé.

§.105.

S’occuper, réfléchir à ses anciens plans, c’est s’occuper inconsciemment des présents.

Puisqu’ainsi on offre une image de soi, se résolvant.

§.106.

A force de penser cultiver les autres.

On se cultive seul.

On devenait con.

§.107.

L’art est le symbole de la recherche individuelle, de la nécessité de besoin super spécifiés, particularisés.

Vers une société qui n’ira pas jeter, qui saura respecter et perfectionner les matériaux.

Chaque chose à sa place et une chaîne de gens concernée dans l’art de les arranger.

sans fin.

§.108.

Celui qui soulage l’autre (Exemple : ostéopathe) ne sert pas qu’à remettre en place ce qu’il touche mais par le contact donner une idée de comment gérer ses appuis.

Comment poser ses mains, jouer avec son poids, s’étirer, bloquer ou débloquer son articulation.

§.109.

Avoir peur est la possibilité d’ exploiter sa capacité à ressentir et détecter le danger.

ainsi saisir ce qu’est et prolonger la survie de la situation.

Désamorcer.

§.110.

Ne pas céder à la luxure = abus et excés bloquent.

L’intelligence à développer est comment se nourrir et correctement raffiner. Transformer de façon à conserver = savoir ou se trouvent et comment disposer des qualités.

§.111.

Anorexie.

Ne pas vouloir être qu’un poids ou trop s’alimenter.

Mais la sous alimentation est aussi un moyen pour n’être que par sa son seul corps préoccupé.

§.112.

La comédie.

Dire des choses qu’on ne pense pas pour que les autres en discute, y réagissent.

Et même si mes mots sont toujours les mêmes, les réactions à eux ne le sont pas.

§.113.

Point de vue, comment les choses se sont déroulées ; c’est à dire apporter le rectificatif que notre conscience et sait supléer amener.

Compéter les gestes de quelqu’un par l’expérience incomplète qui a bien voulu se dérouler.

§.114.

Histoire d’une libérée, à qui on a pu dire, on a besoin d’homme la bas pour travailler, faire des bateaux par exemples.

La trait®e.

§.115.

On se fait avoir par la fascination.

Penser que ce que sait faire quelqu’un ne requiert pas de travail.

Question : Qu’est-ce qu’on en fait ?

Qu’en est-il fait ?

Tout un programme.

§.116.

Elle remercie dix fois.

Tellement elle avait l’habitude de gueuler ; et que là le bienfait de l’action obligé de reconnaître, elle était.

§.117.

La vie a une promesse.

Elle se finit.

Ainsi on cherche à se faire une image d’elle.

Pour l’emporter :  « que l’on se dit. »

117B

Ne plus rien vouloir.

Savoir comment tout peut en tout se trouver.

§.118.

Refuser d’avoir telle ou telle qualité.

Parce que le travail auquel l’on s’est consacré justement nous l’ayant enlevé.

Non je n’ai pas la condition physique bonne.

Comment est-ce possible au bureau terré ?

§.119.

Les habitudes alimentaires de suralimentation venant de ne pas avoir à protéger ses organes qui ne vivaient 60 ans ou bien 100.  Plus problème de conservation par réfrigérateur résolu dans la réserve des graisses.

§.120.

Une réponse.

N’importe laquelle.

Une réponse ? C’était la prise en considération.

L’intelligence de l’homme une amélioration, analisation (analyse) des conditions connectées, assurant ; assurées. (moi je mettrais, entre les lignes, conne tout court.)

§.121.

Une action ne sert jamais à rien.

Rien parce qu’est un progrès de se rendre compte de ce fait.

(Sera suivit d’une autre nouvelle annulant ou complétant la précédente.)

§.122.

Pour avoir conscience de devoir protéger, il fallut le positivisme.

Pour que se dégage une unité des conditions des classes.

Maintenant la                   du mâle sert seule à arrêter.

La compétition à l’effet de sert.

Air.

Ere.

–  –  -.

….

….

§.123.

Sans pouvoir se rendre compte de ses limites puisqu’à personne et pas d’objets possibles rattacher.

Le savoir académique permet de s’apprendre à réfléchir à apprendre à travailler la pensée en groupe puisque parlant des même faits.

§.124.

A savoir que, dans les trains d’Auswitch ou d’ailleurs, les gens ne devaient arrêter de faire l’amour à l’intérieur.

§.125.

La lutte contre le danger cyclique.

Se protéger du mal sans le vivre.

L’imaginer avant répliquer. Pour autan que tous les maux on ne vit.

Et d’en être préserver par les enfants, mis au courant par le vécu ancien ou de nos voisins. Et les résoudre après avoir résolu la peur que faire.

§.126.

Méthode de lecture.

Association de la vue du texte avec élocution.

Son que ferait.

Pouvoir accélérer la vitesse de ses yeux, comme simultanément les paroles intérieures prononcées. (Bien écrits alors ? Lisiblement abrutie.)

§.127.

L’émotion, le sentiment qu’on peut penser à l’autre pour expliquer le pourquoi du comment d’une réaction.

Transférer le vécu et sa logique d’action.

voir dans ses emotions une possibilité d’établir un système ou au moins profiter de connaitre une réaction à l’autre pour désirer en ressortir plus de structuration ( en ce qui concerne la connaissance de ses propres mecanismes; connaissances exploitables par la suite et réapplicables dans toutes autres essaies de logification).

§.128.

Le respect aux pairs venant qu’il faille pouvoir réfléchir sur les mêmes choses pour pouvoir se rendre compte qu’une chose génère des points de vues différents et aussi habituer son esprit à n’aller pas que là où il le veut par défaut ou par là où il se trouve être déjà le plus de pression.

quel but sert?

§.129.

La mémoire est trompeuse.

Entre.

Aime-t-elle ce pour quoi on est concerné ?

= de s’en rappeler ou d’agir dessus.

= est ce que s’en rappeler est agir dessus ?

§.130.

J’avais eu du mal à ne pas les apprécier.

Ils étaient les seuls que je connaissais.

Si on y réfléchit ; chacun étant le seul représentant de la manière (De l’optique, du domaine, le seul spécimen à notre expérience présenté.)

Et devoir puisque obligatoirement la constituant, être amené par nous a être le plus totalement productif, nourrissant.

§.131.

Quel but, sert ?

§.132.

Susciter une conversation dont on sait que l’autre se servira des armes qu’on lui a données (Que l’inconscient est déjà en train de traiter) susciter un problème et voir l’autre prendre un geste, une logique de soi.

Se voir s’activer.

§.133.

Je m’excusais.

Elle me répondit:

-Ce n’est pas grave.

-Ce n’est pas grave parce que vous êtes là sinon je continuerais à chercher.

§.134.

L’on se fait marcher dessus.

Mais ou l’on pourrait trouver d’être d’une plus grande utilité.

Suivant que l’utilité est une affaire de développement de particularité.

C’est à dire qu’il ne peut tenir qu’à l’individu de se ramifier.

De s’inventer.

§.135.

Faire quelque chose parfaitement pour que de cette pratique naisse la réflexion adaptée au conseil qu’il nous faut absolument envers le reste = ce qu’on ne fait que traverser, ce que l’on rate, ce envers quoi on a le niveau = le temps qu’on donne et l’énergie (plus l’énergie crée, renouvelée) qu’il nous faudrait lui dédier = progresser soi-même de la situation = faire d’elle que notre cerveau puisse d’elle s’épanouir.

!

§.136.

Se demander si papi avait senti que c’était cela qu’on deviendrait.

En tout cas le faire pour lui. Qu’il puisse être fier s’il revenait.

Aimer. Retenir la mémoire.

§.137.

Apprendre la rébellion.

Parce que par nature exige d’être modifié comme pour être peaufiner.

La loi est l’application d’une vue restreinte sur une condition; ni plus ni moins qu’une opinion.

L’existence devant élargir sa connaissance de ce qu’elle prend en considération.

§.138.

Je fis sa fierté.

Alors qu’il eut craint que en me faisant que j’emprunte ce chemin là le signe de son incompétence il eût été.

Il vit qu’avec ces instruments je m’en sortais, que c’est cela qui vers un accomplissement m’emmenait.

Il croyait à cette réussite car une réussite est un dépassement de ce qui était.

Il croyait à cette réussite car par cela je m’accomplissais.

Je m’épanouissait.

§139.

Dans un milieu différent, les gens nous regarde étrangement.

Comme notre arrivée, ils nous apprennent à constater la nouveauté, ainsi demandant qu’on nous réponde à ce que cela suscite de questionnement.

Mimétisme.

!

§.140.

Faire marcher ses vitesses. Toutes ses vitesses. Toutes routes. Moteur décoincé.

§.141.

Une machine de muscles et de nerfs.

L’animal à l’œil nu.

!

§.142.

Etre éduqué par quelqu’un.

Trouver ses manières surprendre.

Les adopter.

Les faire avec foi et tout ce que peut représenter le fait que le temps, le vieux, le monde et l’autre nous.

Ait éduqué.

§.143.

Exultation du sexe.

Retombé car n’amène rien sans amour = tout donner.

Exaltation car tout le monde concerné. (Mais pas trop consterné en ce qui me concerne si vous ne voyez que par le sexe).

Dans une activité personnelle reformée. (et non formée)

Aussi englobante que l’envie

!

§.144.

Etre dur avoir tellement douillé.

Avoir peur des changements comme de la menace d’être tiraillé, écartelé.

D’être formé.

Devoir se transformer encore en quelque chose d’obligé. ?

!

§.145.

Se délecter de sa faim car elle rétablit ces excès passés.

!

§.§146.

Peur froid = personne ne meurt d’une douche à peine tiède = au contraire.

Nos corps préviennent si encore plus froid problème.

Quand on doit prévenir le corps qu’il n’a à s’inquiéter, la tension va se stabiliser.

Peur du froid = gèle = mort.

!

§.147.

Il faut être un étranger pour arriver à changer les sensibilités

A s’interroger sur soi-même avoir complètement controversé.

§.148.

Trouver bizarre.

Jusqu’à temps de trouver familier.

Reconnaissance.

Il faut être adulte ( Avoir mûri l’exception)pour s’emparer de la force qu’elle proposait.

§.149.

Dédramatiser la masturbation.

Pour dédramatiser le geste compulsif.

L’automatisation dû à la recherche de plaisir, d’éjaculation.

Car lié à bien d’autre chose qu’au sexe.

Sexe finalement pas si tabou.

Mais en fait explique bien des choses auxquelles on ne donne de non.

Rêve et réalité.

Le sexe étant la matérialisation de l’esprit.

En tant que symbole du paroxysme de la corporalité.

§.150.

Prendre une décision.

Appliquer sa réflexion ne plus réfléchir.

Mais maintenir les fruits des antécédentes.

Bloquer le gouvernail. Avancer l’action par ce pouvoir de ne plus remettre en question.

§.151.

Le rôle du parent est de permettre à l’enfant de se mettre en difficulté ( = expérimentale)tout en étant surveiller protéger.

§.152.

Une femme à l’avantage sur un homme de n’avoir à se préoccuper du vit lorsqu’elle urine.

§.153.

Eviter l’admiration.

Le devoir d’amélioration.

Montrer, sentir sa graisse.

Avoir à se servir de la réserve.

§.154.

Se demander si son ancêtre aurait été content.

Continuer pour Papa.

§.155.

La douleur c’est sentir à côté et devoir sur une cible autre rester.

La douleur c’est savoir qu’on doit donc se diviser.

Mais l’apprentissage de se recycler, atteindre le but renforce après = donne une idée plus précise :

Une conscience.

Une recette.

Un contrôle de l’esprit.

Le conseil qu’il me donna.

La leçon.

T’y arriveras.

la douleur c’est de n’avoir le choix; mais le choix lui de se renforcer et de se bonifier demeure sans exeption à portée.

§.156.

Aimer et respecter son travail.

Avant pour l’apprendre à l’autre.

Et aussi de laisser à celui de plus dévoué, pour se dévoué 100%.

Le respect apprend le 100%.

Respect = envie et possibilité de découvrir.

La profondeur = sans arrêt.

§.157.

La faille dans l’éducation.

C’est que les parents se sentent seuls en public.

Lorsqu’ils doivent leurs enfants guider.

En étant obligé d’être suivis.

Dans un environnement ou ne peut faire autrement que sur l’autre compter.

Alors que toute la responsabilité de l’individu enfant, parent

est laissé.

Alors que l’autorité positive est la décision partagée.

L’avis et l’action de tous.

La relation enfant parent autiste faisant croire que les éléments sont déconnectés les uns des autres.

Que les parents par exemple n’éduquent pas les autres parents et ne sont par eux éduqués ou que toutes les choses peuvent se passer.

La citoyenneté.

§.158.

ne pas parvenir à faire les choses que l’on sait devoir accomplir ; de suivre des objet qu’on sait ne pas convenir.

Un peu comme le progrès dont on dit qu’il est alors qu’il pollue.

§.159.

L’adulte a besoin des mêmes gestes que l’enfant.

Le rapport au corps en perpétuel évolution.

§.160.

Pleurer fait du bien.

Quand il accompagne un sentiment d’avoir frôlé la mort.

Et de tenir à la vie. (Seul l’amour, sa perte, de l’être chère, peut me faire, en ce qui me concerne, pleurer de façon sincèrement amère en cas de perte définitive, convaincue, comprise, pensée.)

La peur de la mort ?

Stupide !

C’est avoir peur de l’inéluctable inconnue.

§.161.

Saisir ce qu’il est idiot de faire.

Mettre en valeur la structure solide.

Afin de mieux l’intégrer.

Afin de mieux l’analyser, de s’en servir plus consciemment.

§.162.

Ensemble magnifique pour tout trouver à la même place.

L’impression de mourir quand on cherche ce qu’on devrait connaître.

§.163.

Le boulot ne devoir penser qu’à cela.

Violer la priori, les tendances apprises.

Pour ne pas baisser en performance.

Apprentis.

§.164.

Entendre des pleurs.

Non mon gamin ne pleure jamais lui.

  1. Le gamin de l’autre n’est-il pas le tien ?
  2. Ne peut-on pas pleurer les yeux secs ? (Si dans le cœur en silence).

§.165.

Ensemble contre dit.

Pour être complète.

§.166.

Si l’enfant comprend cela il n’est plus conscient de vieillir ni l’adulte de rajeunir (car la vieillesse venant de n’avoir assez de plomb pour cette étape réussir)

Ou d’avoir admis une fois pour toutes que la vie n’est ?

Que du temps à perdre à se démener pour atteindre à :

SON BUT.

Qu’on me démontre le contraire en me présentant un vivant de quelques siècles d’age.

Ou pour laisser quelques traces que les descendants, s’ils ne les oublient pas, feront ce que vous me lisez faire sans broncher depuis si, trop, longtemps, critiquer tout azimut tous mes contemporains ou presque.

Con temporain.

J’en suis un autre mais qui se s’ignore pas.

§.167.

Etre consciemment OBSERVE.

(Vous y croyez, vu, lu et écouté ?)

Avant de communiquer.

Avant de pouvoir se servir de la force occasionnée.

§.168

L’agitation appelle le silence doit après avoir résolu l’agitation on doit se servir pour viser.

Pas de vit ? aucune autre vibration que sa volonté dans l’interaction de ce que la connaissance de force :

Peut amener.

Doit amener.

A la visée.

A l’acheminement.

A sa destinée. / De quoi ? Comme tout le monde.

§.169.

Seul ? Qu’importe le vent s’inspirera des mouvements que l’on fait.

!

§.170.

Vivre est communiquer.

Communiquer consiste à exister, à interagir – faire circuler une information, une énergie, des éléments.

Sans se sentir mourir.

!

§.171.

Ou on regarde l’autre sans être pas plus arranger.

Parce que son courrant interne lui reste caché.

 

 

 

§.173.

Quand les anglais parlaient dans du mot à mot par rapport aux français, j’avais l’impression que la tour de Babel s’effondrait.

quand l’apprentissage d’un language apprend une autre vision, logique, rapport aux choses.

ou peut-être le fait d’avoir une multitude de ses organisations de pensées refléte-t-elle la tentative même de s’élever vers les cieux, par la pensée multiples, la culture de differentes réalités et preservation, essaie de mise en forme de vérité.

 

§.174.

Il fallait apprendre des mots dans tous les domaines comme cela on pouvait situer la conversation et apprendre d’elle.

Un sur un mot les autres s’enchaînaient et prépare notre mémoire à recevoir plus tard leur plus détaillée définition.

Compréhensive  – global.

– – –   -les moyens de –  –  –  –

 

§.175.

Je vais changer  et ne plus mettre « je » plus suivant il ou elle qans ou je quand ce ne sera pas le cas dans la falsification de mon identité.

(ou re classification.)

j’aime pouvoir écrire ce que j’escompte et fais ; à moins qu’il ne faille parler au passé.

§.176.

J’avais la même exigence pour apprendre l’anglais, ainsi  j’enrichissais en même temps mon ‘veau k bu l’air’ français.

Ce qui n’était deux niveaux de compétition sur un apprentissage.

Je passais des heures à décortiquer. L’ultime excitation c’est quand il s’aidait l’un l’autre et se poussait.

§.177.

Puisque l’angle suce avait toujours la propriété de me faire prendre conscience des amies que j’avais eus en tant que connaissances et le pseudo de la maîtrise de français qui s’annulait. Tu as eu de très mauvaises fréquentations.

§.178.

Relation émotionnelle –   –   -plus standard.

Oblige à se rendre compte de cette surprise qu’on exprime spontanément.

Car élément constamment là la signifiant.

On fait attention à sa construction je suis surprise donc c’est ainsi que la phrase je dois former =           – mondialisation.

Comment la surprise, la réflexion sur un terme peut être canaliser. Faisant appel aux règles apprises.

Voir comment se poser.

§.179.

Ne pas contrôler l’évènement, et pouvoir, avoir la propriété

intrinsèque, systématique d’être à l’événement chaque chose qui l’a composé.

Entre celui qui a évolué, souffert ou ignorer ou dans le processus de pourquoi on à souffert.

Tous les acteurs portent en eux ceux que l’existence leur à appris donc l’existence.

Appris ce qu’elle pouvait être, réfléchir à ; composer avec, la subir autant que la dépasser.

§.180.

Les petites phrases qui facilement vexaient, n’avaient rien à voir avec le sujet ou qu’un rapport très vague.

En fait celles-là qui révélaient que l’autre avait réfléchi à la situation, qu’il en pensait des choses et c’est ces choses là qui s’exprimaient se rattachaient à rendre nos pouvoirs.

Leur rappeler qu’elles s’étaient formées.

Elles se raccordaient à une notion pour exprimer ce qu’on avait pensé d’une autre réalité, particularité.

§.181.

Pourrais-tu m’écrire pour me dire si tu sera « à lire », car ce n’est pas forcément évident pour moi de me débrouiller à y être et cela le devient encore moins s’il n’y a qu’une feuille blanche et pas à moi dédié.

Il y a aussi parfois ou j’aimerais envoyer des messages pour les rattraper.

§.182.

Les dates et les événements tissent sentent, causes des conséquences.

§.183.

A chaque fois que je devais me rappeler d’élément il me fallait travailler leur mémorisation et comment faire que j’allais m’en rappeler également (= quel question, quel plan fondamental auxquelles elle répondait.

§.184.

Je ne me laissais plus réduire à un question la véritable était pourquoi se posait-elle ?

Qu’est ce qu’il fallait reconstitue en, et autour d’elle.

§.185.

Trop m’alimenter en nourriture même quand un effort de concentration m’était demandé était trop car la tension était alors multiplie. La sensation trop riche.

La cafetière prête à exploser.

§.186.

Je venais de m’interdire tous rien, sauce et huile grillé excitait juste ses yeux ne devaient pas se permettaient de se fermer.

Je venais d’engendrer mon potentiel ait donc je ne sais combien d’année.

§.187.

Le livre était ce que la société me permettait de penser.

Faute d’un enfant que je ne pouvais avoir (car ce bouquin = tout mon temps + = tout mon argent.

§.188.

je t’offre de voir mes tendances « lion en cage » mais c’est de moi même les admettre qui fait que cela ne vas pas plus loin que cela (et puisque mes confidences vont à toi.)

Le cinquième émoi, envoi, email dont la premier de la serie aurait du me régulariser comme les quatre autres qui le suivirent.

§.189.

Je sais que je dois chercher quelqu’un aux yeux marrons.

Et toi tu sais être attendu déjà.

§.190.

jouer à cela n’est passé depuis bien.

§.191.

La notion de guerre ne nous faisait pas peur. Bien que nous n’étions que des enfants. On ne l’avait pas vécu mais pas un pays n’était resté sans.

§.192.

Dépassant la responsabilité                    the control of.

Ce qui m’amuse c’est que ces notion puisse être attribué délimité. Comme si un homme de par ce qu’on lui donnait sans contrôle pouvait valoir plus qu’un autre.

Et c’est à ce train / que tout peut dérayer. (dérailler).

Être digne de décider donc de réfléchir.

§.193.

J’avais projeté à un moment de raconter, de revenir sur les étapes de cette histoire. Je jugeais n’en avoir pas le temps et des précisions seraient anecdotiques seulement.

Je voulais juste briser ce tabou de la mort chose. Le fait que après deux ans passés dans une institution et à lire les bouquins il me fallut devenir plus chaotique personnellement.

Pour que je sache clairement que la psychose voulait dire hallucination comme un jour il m’arriva d’entendre des voix (les bruits extérieurs se transformant en quelque chose d’intelligible pour moi ou internes.

Ou plutôt je les entendais et me concentrais tellement sur eux qu’ils en revenaient changé selon la fantaisie qui à mon insu me prenait.

Aussi audible et je le soutiens aussi véritable que ce que je crois que les autres ne désigne comme concret.

(je crois dans le sens qu’est-ce que sont les autres et que croit-il en vrai) qu’est-ce qu’on est capable de réellement échanger sans ce leurrer sur l’exactitude de ce qu’on pense qu’il est).

Comme aussi irréelle que la réponse ou la question « de qui suis-je »lorsque entre deux phrases je décide de m’arrêter.

Or j’essaie mais éternellement en vain de ne regarder.

On se saisit jamais en entier.

§.194.

Exclue – mule ont.

Les exclus sont ceux que les règles le reste, plus eux  société n’avoir pas encore pu.

§.195.

Je suis entre anglais et écrit.

Les jours où je ne vais travailler,Je calcule si j’aurais à m’approcher très près des gens comme ça je peux me laver à l’eau douce plutôt que de me savonner.

§.196.

quelle puisse être taper par quelqu’un d’autre de la souffrance lié à mon travail, relire plus que je n’en voulais de fois, me délivrera.

(bien que l’étape de la vérification du sens et de l’orthographe lui resta peut-être était-il pour bien me rendre compte de ce que j’avais pondu celui-là.

§.197.

Pas université anglaise.

Décision. DESS.

Plus routier inter pour payer secrétaire.

Pas de perte de temps- enchaînement licence.

Sinon avant deux ans dans camion                anglais plus payer dactylo.

Solution de tout être et pas écrit et venu quand je comprend que autrement important sans cela, j’enregistrerai tout sur des disques, mon gain de temps sera que Je ne parlai pas de notre           on verra ce que cela donnera.

Mon camion.

Interrompue à chaque fois que besoin d’argent.

Je sais que aujourd’hui mon refuge à mes études que je pourrais ne cesser de lire, d’écrire et d’étudier tout à la fois ? même si je ne trouve pas d’emploi définitif après étude dans le pire des cas.

Combien à lui je suis assurée d’être à vie.

Pourvu en ce qui constitue le B A ba de l’enseignement pour lequel mon cœur bat.

Bien que pour eux de penser à se boulot et le stress généré relève du même procédé.

§.198.

La chaîne où l’on est bouffé.

La bouffe ne devenait plus un plaisir si à rien ne servait.

Elle persistait à l’être si la digestion nous permettait de dormir et si dormir nous arrachait à l’oisiveté.

Et pourquoi ne pas se divertir.

Ne pas faire, se faire.

N’était plus pouvoir se désirer.

§.199.

En couple on apprend à réfléchir d’être tellement proche que tout ce qu’on peut dire peut se retourner contre soi.

De vivre tellement l’autre de s’apercevoir que toute réflexion vient aussi de ses propres remarques.

Que tout ce qui est ce qu’on partagea.

§.200.

Ensemble avec lui c’était que par sa main puisse être comme par l’autre touché.

§.201.

A force d’heures de communication les gars devenaient présentateurs T. V.

Et parlaient tout seuls.

Diffus vrai pas diffuser.

§.202.

Je n’achetais pas de viande (excepté le boudin) pour apport en fer. Certainement j’aurais pu le remplacer par autre chose mais je n’étais pas nutritionniste et ne songeait pas à ce qu’on dépeint le plus communément riche en fer.

J’arrête cependant mon végétarisme de viande que je suis depuis plus de trois ans simplement parce que je sais que je donnais à mange en collectivité et qu’alors plus qu’une chose m’importera, manger bien et assez.

no

§.203.

A la photocopieuse, le crayon s’efface.  –  –  –  – .

Peut-être qu’autrement qu’en volume si la moitié de ce que j’ai écris s’envolait je ne saurai m’en apercevoir.

J’écris cela maintenant que mes écris sont en duplicata en deux endroits.

Je leur laisse leurs vies à part maintenant que je les sais en sécurité.

Orgueil – choc. Select DOC DANY.

§.204.

Je pense que c’est d’avoir vécu avec des animaux qui m’a enseigné in consciemment leur pensée deleur et de notre troupeau.

Fonction de mort et reproduction dans les notre plus enveloppé ou plus avoir à cela à penser.

§.205.

Cette feuille pour foudroyer.

Car se dire ne pas faire en fait cela c’est se restreindre et donc s’arrêter, se diviser.

Puisque ce qu’on se dit n’est quantifié.

Ce n’est pas parce qu’on se dit cela ou pas que cela est vrai mais seulement le temps qu’on prend va se réaliser.

A le formuler                  Sorte de parenthèse à gérer son fait,

}      Pendant ce temps là s’est,

Environnement               Echappé, l’essence du sujet central.

Grave si c’est de vie ou de mort dont il s’agissait.

§.206.

On doit couper avec l’énergie en train de se reconditionner.

On ne doit pas être cette pensée mais une autre car je suis dans le cadre restreint de sur quoi je m’exerce à cogiter.

Ce monde restreint ou mon esprit n’est pas confronter à tous les problèmes ? se cache de certaines réalités. Et donc en face peut toutes les regarder.

Une pensée ne doit s’affoler.

Une pensée est une solution en train de s’élaborer une réflexio élargissant sa portée. Select DOC DANY.

§.207.

Toute la propagande faite autour du sexe et de l’identité sexuelle permet de symboliser par rapport à l’autre (exemple : je n’ai pas envie de toi parce que tu es mais parce que une femme tu es, et en tant qu’homme, quelque soit nos relations je me dois d’avoir envie de te sauter. (L’amour de LA personne en tant que telle il est où là dedans). Select DOC DANY.

§.208.(perso)

Je devais me servir de ma force non pas pour mon coup de poing pour le ramener et me protéger mais ce geste fini l’autre poing changeant de place par son rôle optimum de protection continuait à assurer.

§.209. (perso)

Ne pas vouloir donner la mort car sans cela on peut se débrouiller, ne pas vouloir la donner car alors geste incomplet (dans le cadre de poing devant s’abattre alors laisserait la porte ouverte à ce que sur nous alors elle n’ai plus que (reprise) feuille pour foudroyer.

§.210. (suite – – 209.perso)

Comme si l’espace était se trouvait des forces qui nous fallait rejoindre à notre cause au bout d’équilibre qui était le seule façon de gagner le combat.

§.211. (perso)

Boxe anglaise qu’avec les poings.

Ben oui ils sont tous cul de jatte. (bien mon bijou d’amour)

Pour ceux qui croiraient que le but c’est de recevoir des coups.

Esquive.

§.212. (perso)

L’art martial c’est tellement quelque chose qui exige de la souplesse, de l’équilibre de la puissance, qu’il est appeler art car à longueur de journées entre les entraînements on doit penser à comment réorganiser ce qu’à chaque combat on a du développer, renforcer autrement.

Le combat est inventif et de ces éléments de ressentir nouveau il fait retrouver un positionnement du cops qui nous permettra de réaliser l’enchaînement qu’on sait.

Que notre expérience nous permet d’imaginer, de concevoir comment étant le secret de notre salut dans une circonstance donnée. Leur combinaison au futur qui l’emporterait pour e former.

§.213. (perso)

On se fait avoir au combat car que l’on combatte face à soi même ou face à un adversaire c’est toujours sur plusieurs appuis qu’il se fait

§.214. (perso)

Théorie de masochisme pas de moi.

De plus en plus dur.

Comme ça le cran moins haut nous permet facile à supporter.

Réaction visant à s’accommoder de l’iniquité.

§.215. (perso)

J’avais repris mes études pour continuer à vivre en aventurier.

Tant, la voix de ce que je pouvais pour permettre à mes compétences de s’appeler.

Il n’y avait de toute façon qu’en cela que l’individu vivait,se sentait vivre et pouvait alors résumer les risques, l’état de personnes que l’autre avait (être réceptive.)

Etre là où il fallait – Respecter la vie y faire attention tout le temps et sans pourtant avoir peur, l’absolu faisait que rien ne pouvait plus inquiéter de ce qui survenait.

Vie contre vie.

Vie toujours reprise.

§.216. (perso)

Pour sortir de la pression de sa propre vocation c’est relativiser en se disant qu’à une autre carrière on avait pu se vouer.

Toute vocation amène à une pluie – disci plurialités.

Avoir un développement de qualités qui fait que d’autres passions montrent le bout de leur nez et c’est toujours consciemment que précisément en un lie non va ou non se diriger.

§.217. (perso)

Appel de l’autre.

Les uns reproduisent, intègrent inconsciemment une pensée, un geste, un son, une réaction, une posture, tout un tas de choses peu, prou ou qui permettent de totalement identifié celui à qui on à emprunté.

Suite en anglais, (maintenant détestés par moi. D.PF. )

§.218. (perso)

Je me posais la question de si je devais héberger des gens (Histoire d’aider une un sans papier et / ou alors).

Est-ce que cela n’allait pas changer ma concentration donc ma créativité.

Assurément une présence la changerait.

D’abord cette créativité par tout les jours étaient changé.

Elle s’inspirait de tout. L’ART était (EST) LIBERTE.

§.219.(Perso)

Mon niveau en anglais demandait d’autant plus de travail que j’étais habitué à longueur de journée à formuler mes idées une bonnes fois.

En combat garder l’équilibre tout en contrôlant son coup, c’était ramener sa garde aussi vite qu’on aurait dû un                 en condition extrême (Auxquelles,on devait être prêt.

§.220. (Perso)

Donner, donne l’humilité.

De voir qu’on ne se repose de rien.

Et que de ne pas donner à se nourrir soi même revient A donner ce que l’on se doit.

§.221. (Perso)

La langue.

Permet de pouvoir se représenter les différentes pensées et à quoi elles sont associées.

Habitudes.

Créativité = outil et domaines ou la recherche humaine s’est appliquée.

§.222.(Perso)

Je savais que je serais lu maintenant avec patience en pensant à celui qui alors taperait mes lettres je formais.

Aussi libéré que quelqu’un pris le temps de les déchiffrer.

(Je savais lui donner du plaisir à pouvoir le faire sans difficulté.)

Autant que ma main savait qu’elle ne pourrait tout faire et ce poids en moins l’avait même avant de devoir le faire. Bien qu’à savoir que l’avenir de l’écrire n’était pas la future illustration de devoir le taper.

§.223. (Perso)

On n’avance que dans la continuité sinon on n’avancerait pas.

( Monsieur de La Palisse.).

2003 : Présidente, commission ?——–.

§.224.

Quand Quelqu’un faisait une erreur sur mon compte je lui disais :  « Donnez cela de ma part à un mendiant.— ? »

§.225.

Je devais cacher avoir été malade, consciemment, pour être tranquille si jamais on me repérait.

§.226.

J’avais passé ces quatre dernières années à me demander comment j’avais pu y tomber maintenant que mes symptômes avaient disparus. (Qu’est ce qu’il en était de toutes les autres sensation – Rien sinon que je me demandais comment on faisait pour ne pas péter un plomb d’autres auraient faillis. Mais je ne vais pas épiloguer.)

Au fait c’est à cela que l’homme s’adonnait.

On ne pouvait s’occuper de trop des choses parce que de ne pas complètement débloquer, tout le monde était à cela occupé.

Ce qui passait pour s’inventer des histoires pour supporter ces situations sans pour autant bouger.

§.226.

Je compris ce qu’elle était pour moi.

De ces qualités aux particularités me réservaient en d’autres circonstances ( De l’avoir aimé j’étais devenu ce que j’en voulais ) bien des sensations des états que je ne connaissais.

§.227.

Elle s’éffondra.

Plutôt je la retrouvais comme cela.

Que se passa t-il ? Qu’est – Qui est.

Elle finit par me dire que tout partait, que tout nous lâchait dans la vie.

Il n’y avait pas eu de morts mais c’est à eux qu’elle pensait là.

C’est vrai que les absents les abandonnés finalement s’offrait le luxe de ne pas mourir.

Une vie sans mort ne se pleurait pas.

(Une séparation n’en est-elle pas une ? Forme de : MORT.)

§.228.

En dehors d’écouter nos sens et d’en faire ce que notre expérience pouvait en offrir comme traduction (quels étaient nos outils de concentration, d’application) ; en dehors de cette stricte vision (incapable d’être repensé en dehors de la mémorisation.) on ne peut rien « créer » dans le sens de démontrer, ni recréer.

§.229.

Art – ancienne conjugaison du verbe être à la deuxième personne du singulier.

§.230.

Professeur JONHSON.

César Cléopâtre qui, about César  et the fatal Cléopâtra for whom he lost the world and was content to lose it.

(Tu m’emmouscaille avec tes English).

§.231.

Je devais rester dans le camion, j’allais bientôt ne plus pouvoir aller en cours.

Je suffoquais.

Non je pourrais aller chercher des devoirs à faire et revenir, quérir les corrigés ce ¼ d’heure passés avec mes professeurs allait resté.

Quand qui voyait comment je progressais, voilà ce que l’élève peut enseigner.

§.232.

Se démêler les cheveux à la main brasser uniquement le cuir chevelu.

Puis terminer le démêlage à la main.

Permet aux cheveux de ne pas être arrachés.

§.233. (Perso)

Le combat.

Sont des gestes qui doivent recourir aux gestes de soins car le combat n’est sain (et gagnable, valable) que si il ne cesse de préparer un terrain de paix, qui dans le respect de soi, de l’ardeur, de la cause du par terre peuvent se trouver des dangers ;

Des problèmes.

Gagner un combat c’est savoir le mener.

C’est à dire arranger les choses sans le moins détériorer et le mieux ranimer.

§.234. (Perso.)

Combattre = mettre, positionner toujours en avant prêt à bondir bassin, bras poids – toutes articulations amenant l’autre à pouvoir se déployer dans la position qui vient sans avoir à la bouger pour la placer là où elle devra aller.

Toujours tout devant, tout mobiliser, les               du corps placés de façon à tout savoir, devoir balancer.

§.235. (Perso).

Les maîtres en arts martiaux de 50 kilogrammes qui ne peuvent être soulevés par des altérophylistes .

Où l’art je suppose de transférer leur poids en certain endroit qui va faire que le poids étant mouvant dans le corps on ne puisse pas « s’appuyer » dessus ou se servir d’un poids d’équilibre comme levier et donc déjà cela rend la capacité de le basculer.

detecter chez l’autre le poids; et chez soi le balader.

§.236. (Perso).

Les pieds ne se mettent pas systématiquement entre ce qui permet à toute la jambe (au nombre de deux, [c’est nouveau ?]), de différemment se positionner dans l’axe de la jambe.

§.237.

La dictature du commerce puisque tout se monaye.

Science imposée.

§.238.

Du mal à s’arranger car même le peu de ce qu’on sait.

= Le réel.

Nous signale que nous sommes totalement dépassé.

Soleil (S) et astres rieurs. (Oui soleils au pluriel dans l’univers combien d’étoiles, pouvant êtres autant de systèmes ?).

Rien qui lui même ne se sentent souvent pas bien.

§.239.

Si cela s’était passé.

Ne pas parvenir à quelque chose (Faute de quelque chose) c’est se dévaloriser, ne pas comprendre ce qui nous manque,

(La foi en l’autre) alors se dire que nous sommes des êtres « retardés ». (exact).

Et ainsi l’être désemparé faire n’importe quoi ( Y compris d’in civilisé).

§.240.

A vouloir garder ce qu’il y avait de plus signifiant on donnait à l’autre la moitié de quelque chose qu’il allait méprendre :

Et contre-carré.

§.241.

Le paradoxe est quand on se sent bouger.

C’est à ce moment là qu’on apprenait aux autres d’une grande fixité.

Exemple : pour se sentir soi même cela implique de s’observer.

Donc  i (u)biquité. (Don d’ubiquité).

§.242.

L’abus de celle-ci.

L’abus qui par sa simple inutilité doublé de nocivité (puisqu’il aurait était à d’autres touches), sa simple existence était.

§.243.

Pas de complexes à avoir.

Chacun pourrait être meilleur comme être pire.

Ceci est la dureté autant que la grandeur de l’effet de maturation et mutation.

§.244.

Le tabou. Ne pas parler par besoin de maintenir une distance.

Problème sans solution immédiate.

Ne pas réfléchir car tient sur des faussetés.

§.245.

Le pouvoir émotionnel, situationnel ancien dans la mémoire ce qui a à gérer.

§.246.

Le temps de comprendre pourquoi cela ne restera qu’un rêve.

Quels éléments manquant.

La mise en valeur alors des éléments qu’on a en mains vraiment.

Qu’est-ce qui fait que pour arriver à cela il faille des années.

Mes années passées ?

Peuvent servir à quelque choses que rien ne servirait aussi bonnement.

§.247.

On n’a envie de se mettre à quelque chose que la meilleure façon de procéder on a trouvé.

Ceci conceptualiser la même chose à faire devient le pied.

§.248.

Un geste toujours le bien venu, toujours opportun.

Car un geste est le résultat quelque part attendu ou dedans se trouve ce qu’il sera.

Programmé.

§.249.

Patience – attendre.

Que tout ce que l’on sait qui déjà va pouvoir très bien aller.

§.250.

continuer à disposer, avoir pensé au mieux pour que l’énergie continue à s’allier.

N’a pas qu’autrement ; elle ne se marre pas mais le fait en sachant précisément quoi et comment ( = exactement ce qu’on élabore en soi = déjà en cours d’élaboration, de projection)

C’est pouvoir étudier le résultat.

§.251.

La surveillance du chien de garde.

Comme on lui apprend à ne rien faire on lui disait surveille les petits.

Ainsi cela devenait son unique responsabilité.

Mais quand on n’avait pas besoin de celle-ci.

L’agressivité montait quand on l’(auto – alter), mettait en cause.

§.252.

Le problème quand il devient émotionnel revient alors ne peut s’oublier.

Ainsi on va s’en occuper.

§.253.

Nécessité de faire soi même son ménage pour savoir comment ne faire sans déranger.

Fait structurer.

§.254.

Chaque mouvement pouvait être ramené au besoin de notre corps de pulser.

§.255.

Le tabou.

Individu sexué. Besoin de sexe.

Tabou homo sexualité.

Comme pour dire attention partie de la sexualité qu’on ne sait maîtriser = c’est comme un symbolisme de ce qu’il ne faut pas toucher.

Montrent une distance.

§.256.

Le titre n’est ni une coordination, une intro, une conclusion mais la direction, la réflexion par l’auteur soulignée.

L’art – l’amuse. (La muse. La mienne est partie.)

L’art – l’accompagne. (La compagne cela devient trop facile.)

§.257.

L’individualisme, et inégalitarisme. (Inégalitaire.)

A été instauré pour que les gens se protège leur âme car société incapable de s’organiser à cet effet.

Qu’en est – il de l’âme commune = âme de tous.

Et un chacun.

§.258.

Ne plus forcer le lien, tenter d’exprimer sensation sentiment.

C’est un avoir assez vu, sur l’inter action, savoir qu’elle est en train, en cours, d’opération.

§.259.

Le fait de faire pour les autres –     –       -.

Le maximum de nos moyens de lumière (car faire utile).

(Incertain mal écrit.)

supprime l’agressivité car on ne peut plus avoir confiance qu’en soi.

Obligation d’être par les autres aidé, guidé. Plus on devient gardé, chéri, plus on en vient à s’estimer.

Autant que le projet et l’ensemble des choses qu’il veut et s’attache à rassembler.

§.260.

Rencontre.

Et bien moi aussi j’aime bien Internet.

C’est bien la seule chose que j’ai l’occasion d’aimer d’ailleurs.

Mais |o|.

§.261.

L’individualisme car le groupe n’a pas encore trouvé de moyen pour rendre assez efficace une particularité individuelle à explorer et instrumental(isme) qui à cette somme pourrait convenir, être partagé.

Exemple : Transport.

Comment ne pas perdre de temps dans un bus et plus de voiture pour moins polluer ?

Desservir.

Service – disponibilité et gratuité.

§.262.

Quand à tous les coins chacun pourra accéder.

Plus de lutte pour aller vite.

Quand les trajets, par la communauté, enregistrés.

Sera prévu à cet effet.

Commande de véhicule/ cas particulier.

§.263.

Je ne serais pas tiède si tu devais me quitter.

J’aimerais qu’il sache comme je le suis maintenant que c’est fait. Malheureuse comme les pierres il m’a laissé.

§.263. (Bis) page 864 verso.

Mais faites qu’il n’en soit rien car c’est de ne pas croire que le contraire serait mieux qui peut mon bonheur présent sauver.

(Mais ? C’est une prière que cette dernière phrase ! En as-tu eu conscience en l’écrivant ?).

§.264.

On prenait de l’alcool pour s’auto justifier des crises de transes ?

Que sans plus voir de même on traversait.

§.265.

Charnier ?

Inquisition ?

Collaboration ?

On ne pouvait qu’être attaché à ces moyens qui même si ne faisait que semblant devenait le seul moyen instauré par la société pour rendre la justice.

Et ce semblant était.

Le seul moyen qui garantissait de tenir lors du chaos.

(Quel ? Changement ? Aucun !).

Car la pire des règles.

Pourquoi était-elle pire restait à nous de le dire.

§.266.

Rester – Groupe – Ire.

§.267.

L’affirmation la plus –    – libère dénonce un recul de l’assemblée devant le débat posé par la question.

§.268.

On dit que la vie est un théâtre ainsi cela nous permet de penser de vivre toutes les situations psychiques uniquement en en faisant un jeu.

Quelque chose qu’on peut se permettre = l’expérience d’une –    – sa réflexion, intellectualisation sans danger – sans réel – réalisation.

§.269.

les différentes pensées qui permettent d’être moins que la patate chaude puissent de mains en mains se passer.

270.

La vie tel un rêve car on est chargé d’expérimenter la pluralité pour pouvoir penser l’unité

Rêve éveillé.

 

 

§.271.

Vivre et couvrir quelque chose de fabuleux.

§.272.

La pédophilie est ne pas ce rendre compte d la différence entre adulte et enfant.

17Pas de structure parentale au sein de la société.

18Observation / distribution et équilibration, responsabilité.

§.273.

Toutes affirmations ne révèlent pas la pensée de l’un mais les dires de tous.

Esprits de corps – chœur.

§.274.

L’expression.

Et préoccupation.

§.275.

Le geste et son objet.

Le geste a pour but d’être reçu = admettre que nous sommes deux à communiquer.

En l’absence de l’autre la conscience de soi prend le relais.

§.276.

Le fantasme est une revanche en cours de route.

De n’avoir eu assez de temps pour rêver.

Rien que pouvoir y penser.

§.277.

On jumelait les villages mine de dire une vie, des villes, des gens et voisins à cinq cent kilomètres.

Imaginez.

§.278.

l’agressivité est du à croire qu’on ne va pouvoir déployer sa force comme on veut.

Que l’on va être spolié d’une manière ou d’une autre.

Amène, que l’expression de cette réalité – Réalité psychique va être puni représente un danger.

Danger certain – Crever de ne mieux pouvoir conduire ce que l’on sait.

Connaissance et respect.

Prise en compte.

Devoir.

§.279.

Se mettre dans une position, un état d’esprit est s’obliger à réagir à celui-ci.

C’est à dire bloquer sa réaction, s’obliger à un geste précis pour débloquer une situation.

C’est le pouvoir de s’arracher à la communauté humaine tout en trouvant la même possibilité de se retrouver en dehors d’elle.

§.280.

Intérieur ?

Aussi découvert qu’une bite lorsque les lèvres ouvre sur un clito.

§.281.

Musulmans.

19Femmes voilées ?

20Hommes barbus.

21Trouver la vérité dans sa passion.

22Vivre et raison.

§.282.

L’expérience : Se sentir vieux, jeune, emprunter les labyrinthes des ages comme ceux de la maturation.

Le mysticisme étant la garantie que le vie ne finit, qu’elle se retrouve, comme se rejoint.

§.283.

Aimer tomber amoureux d’un endroit (De tout ce qu’il contient) puisqu’on est voué à y habiter.

§.284.

Voir l’effroyable en fait.

Faire face à sa propre horreur.

Permet après de s’occuper de ce qu’on doit sans plus s’émouvoir.

Sang-froid garder.

Et chacun sa phobie. Des choses que l’on peut supporter pour rester et d’autres choses faire progresser, avancer, simplement daigner s’en occuper.

§.285.

Travail de routier – dit masculin car pas plus physique qu’un ménage à faire. Mais le danger qu’encours la femme, dans un travail de distance, de se faire attraper.

§.286.

Femme précieuse – Enfant et au sein d’une famille facile à détenir comme prisonnière.

§.287.

Faire le vide autour de soi.

Car il avait tellement peu d’expérience qu’il pouvait s’occuper à peine de lui.

Mais alors pour tenir la place de patriarche pas d’autres moyens que d’évacuer un à un les membres de la famille.

§.288.

Se prendre à deux fois pour faire quelque chose n’est pas du temps perdu car cela assure pour la prochaine fois que d’un coup d’un seul il sera fait.

§.289.

Ces exclamations fortes, quasi violentes proférées.

Non pas parce qu’elles tombaient sous le sens mais de la même manière dont on les avaient apprises.

Ressassées.

§.290.

Manger, s’expliquer, s’organiser. Tout ces temps, d’assimilation qui crée une famille.

Plusieurs gens pour les vivre.

Ces temps qui font que la perception différencie plusieurs individus, ces temps qui à mesure qu’on peut les éviter donne que comme, tel qu’un le groupement va ensuite se consolider.

§.291.

Logique.

23Les femmes dehors sont des putes (Les hommes aussi mais ça ils se traitent de manières plus implicites)

24Alors que sont les touristes ainsi laisser à vacquer.

§.292.

On parle de boulot – Passion.

Tous le sont.

Ainsi vacances et consommation ne seraient plus vus comme des boulets.

L’amour du perfectionnement, l’économie et harmonie des énergies feraient.

§.293.

25Problème affectif que les professeurs ils disaient.

26Le problème c’est qu’il n’y avait personne à la maison pour m’aider à déculpabiliser à trimer à ce que je voulais.

§.294.

Evidemment je n’avais pas vu que des choses marantes, mais ces gensqui fermaient les yeux sur tout ça, tu crois vraiment qu’ils avaient en circonstance de plus grandes raisons que moi d’aller.

§.295.

La personnalité.

Montrer les traits de caractères, donner à l’autre un échantillon de ce qu’il nous faut pour nous protéger de ce qu’on a connu de ce qui peut se passer.

Solution : chimique, caustique, électrique. (etc).

Transfert de hic.

Pour que l’autre puisse aussi sur celui à l’origine opérer .

§.296.

Les gros mots existent pour le éviter.

Ne pas les dire c’est éviter de tomber dans l’appréciation type j’aime ou j’aime pas. Qui pense que s’approfondissant sur l’émotionnelle faute d’arguments va être par l’hystérie remplacée.

§.297.

Se taire.

Pour mieux formuler.

§.298.

Le traumatisme du voleur (fautif) c’est de devoir à longueur de journée justifier un lui ce qu’il fait.

Le sadisme a peut être pour recherche premier cet effet.

S’occuper, discuter en soi même à longueur de temps.

§.299.

J’avais tout cassé, une faute majeure pendant que je pensais à elle.

J’aurais pu me bourrer la gueule avant cela aurait eu le même effet.

Heureusement le patron savait que je ne me biture pas.

Heureusement avec elle, en cequi la concerne il fallait justement que je modifie les effets secondaires qu’elles avaient sur moi.

Addition.

Etat amoureux et gestion de la dépendance.

On tolère les concessions plus ou moins qu’on est pas et ne rencontre pas d’individu nourri de la même passion.

§.300.

Une réponse, sa recommence ou son insistance. Tous procédés la mettent en avant.

Permet la question.

Puisqu’ainsi on ne fait pas sans rien et l’on sait qu’au moins on peut commencer à élaborer une réponse avec cet ingrédient.

§.301.

L’originel devait se battre dans la mesure où s’il était c’était de l’être avec :

1/8.

Je ne suis pas tout seul : {      En fonction de :}   L’autre.

Pareillement à.

§.302.

Afin de les rendre plus épais pour affronter le dehors, qu’instaurèrent nos ancêtres.

§.303.

La piste pour explorer la teneur de la réalité tenu par l’autre.

C’est pour que chacun demeure dans l’effort de neutraliser son énergie.

Où se connecter (A ce que de son plus rationnel il pense trouver de cette manière là la plus dense énergie (pôles).

Refonte des mondes.

§.304.

La personnalité de l’individu se dessine chez l’individu de façon à ce que puissent les autres et lui- même pouvoir des situations anticiper.

§.305.

Avoir été élevé comme ci, comme ça.

Pas facile à porter pour un enfant.

L’enfant lui pensait que c’est ce qu’on en disait qui était traumatisant.

§.306.

La barbe pourrait être un procédé de nos ancêtres coupant les cheveux.

Les gamins tenus à l’écart avec leur questions qui dérangeaient.

§.307.

Aimer sa maison le recueillement ainsi résider avec passion.

Dans ce qui est le prélude du tombeau.

§.308.

Battre sa femme n’est-ce pas digne d’un environnement machiste prendre sa femme comme son égale ?

§.309.

S’accorder le geste qui vient pour que celui d’après puisse être celui qu’on veut.

§.310.

Accéder au sentiment c’est porter l’esprit que nous a préalablement confié quelqu’un. (ou qui ne nous a pas echappé.

§.311.

L’observation permet de s’occuper du problème de l’autre.

Le point à colmater.

Ce que l’autre offre à voir d’une division.

§.312.

La théâtralisation du fait passé.

Puisque référence à fait connu.

Emphase.

Préférer décrire les sentiments anciennement éprouvés.

(un problème amoureux d’il y a dix ans que celui qui nous a dernièrement frappé).

Que ceux susceptibles de nous mettre aux prises avec des événement nous faisant encore haleter.

SUSPENDRE. Suspendu.

§.313.

Faire – amène à la critique.

Et la critique de soi.

A la patience (distance) qu’il faut pour me lâcher.

§.314.

Etre auprès des autres.

Et connaître ce qu’à soi-même on est en réserve d’admirer.

Et être pour, à, l’autre, de ce qu’il amène le messager.

§.315.

La passion et sa transmission permet de tous les sentiments ( = l’indicibles)pouvoir utiliser = en terme d’énergie.

§.316.

L’acceptation du conflit émotionnel au sein de son couple rend inutile le conflit dans sa généralisation.

Enfant il n’y conflit mais stupéfaction, incompréhension mais ce que l’on confirme  en tout mouvement comme une pulsion de vie.

§.317.

La recherche de prise de conscience d’elle.

§.318.

S’occuper des autres.

Se reconnaître soi- même.

Et de quels soins à travers cela je cherche, trouve et m’émerveille.

§.319.

Il faut expérimenter l’inutilité, –    –       – que gère un acte pour avoir conscience de la laisser = la remplacer dans la perspective de mieux l’agencer.

§.320.

On s’arrache, on est arraché.

Pour simplement se demander à quoi est-on raccordé.

(dans une plus grande globalité de ce que su avant)

et s’enchaînent les pourquoi des comment.

§.321.

L’homme –      – à ce qui l’entoure.

Qu’est ce que ma vie supporte.

Ma vie faisant que cela est-  –  –  –

Vue ainsi.

Point de vue – Angle – Futur project.

§.322.

L’art est le soulagement d’une même chose qu’on regarde,

qu’on reprend.

D’une source ou va s’abreuver toute la troupe.

§.323.

Ce qu’elle peut trouver en ces dires, la certitude de poursuivre le sentiment n’importe où.

§.324.

Imaginer ce qu’elle fait.

Et l’imaginer en ce même moment faire ce geste (accomplir sa destinée) comme elle pouvait sentir que même le soufle vient mon visage caresser.

§.325.

Un amour.

Une présence.

N’est-il plus là ?

Il l’est encore autant.

Comment le redonner ? (Il ne fallait pas les prendre !).

§.326.

La souplesse de la jeunesse.

Récupération permet de s’-    – en tout la vérité de rester.

Rester attacher à une forme.

§.327.

La solidarité.

Permet de vivre tous ces sentiments en sachant qu’ils sont simplement ce qu’on est entrain de mystifier.

§.328.

Accepter et engendrer de toute notion de sentiment.

§.329.

Le premier son à une drôle de vibration.

Car je ne sais si tu y es.

Mais le second lui est parfait car je sais que puisque de le continuer, tu pourras t’y trouver.

Si on veut.

Où ce que j’aurais su en convenir.

§.330.

Le reflet avec ses jeux de lumières fait que plus –         – je me vois ou pas.

Et je sens si aussi me recherche de qui je suis à l’affût.

§.331.

Je m’étais rendu compte avoir aimer à l’aimer alors que croire en avoir souffert.

Car dans mes souvenirs cette année là il n’y eu pas d’hiver.

J’avais tellement cherché la lumière.

§.332.

Un homme ne peut faire que le travail d’un homme et sa puissance lui est donné, concédé par ses frères.

La puissance qu’on laisse faire.

Ce champ dans lequel, de le voir on va (y être) (se) glisser.

La puissance est le fait de ce qu’à plusieurs est fait.

§.333.

l’amour, la présence.

Pouvoir continuer à m’occuper de l’autre même quand on ne le voit pas.

Ce sentiment permet de s’affranchir du temps (mort) et des distances (absence).

§.334.

Le charme d’une conversation, d’un thème.

N’avoir pas de règle.

N’être pas obligé de lui donner un sens une continuité.

Parce que son secret résidait toujours dans ce qu’il n’avait encore été absorbé.

A l’affût du mot qui le permettrait.

§.335.

Vouloir sentir sa force.

Eprouver son énergie.

Inclus alors qu’on ne puisse en disposer soi même inclus que l’on s’attache à humer l’air et pour le faire, cela exclu la possibilité de s’en tenir à quelque chose que l’on compte faire.

§.336.

Se dire que quelque chose est sous sa responsabilité.

Ce qui s’est mal passé représentant notre part, la part de faute comme qui possède le moyen de régler.

§.337.

Penser à elle, n’était qu’un prétexte pour prendre un break sur soi même.

Réaliser qu’il me fallait cesser car elle décidait ou non de m’aimer.

Ma réflexion ne pouvait lui demander d’être par elle alimenté.

Sinon cet égoïsme un jour ou l’autre se payerait.

§.338.

L’art.

Est comme tous nos gestes qui ne peuvent être pour personne d’autres qu’en l’honneur de tous.

Passant en tous nos savoirs.

Destiné à celui qu’il voudra qu’il soit pris.

§.339.

Le souffle et ce dont à besoin l’homme à chaque fois qu’il n’a de structure pour le soutenir, le modifier, le conseiller mot auprès de lui.

§.340.

Chaque effusion d’énergie me nourrissait, après tout c’était le fruit de mon odyssée ce qu’à chaque instant je découvrais.

§.341.

Ce qui nous attisaient et vers lequel on ne pouvait aller car notre devoir en serait alors amputé.

Nous apporte le contrôle du plaisir.

Je ne peux le faire mais le plaisir m’envahissait du savoir devoir me conduire.

Le conduire aussi implicitait. (impliquait).

§.342.

Le chemin qu’on empruntait tous en tant que celui qu’on savait refuser nous appartenait.

§.343.

La vie était des sagesses à laisser s’entrouvrir.

Entre mettaient . ( ? Tiens donc comme on se retrouve ;Au royaume des putes ?).

§.344.

Une caricature qui restituerait toutes les pensées que tous les hommes ont. (Il n’y a pas comme une erreur ?).

§.345.

L’homme crée des instrument à partir de ce qu’il qualifie de non vivant.

Non vivant vraiment ?

§.346.

L’homosexualité était à peine pensable car représentait le sexe prohibé.

Un danger de mort à elle.

Attachait.

§.347.

Elitisme = voir un marché se développer et en être exclu.

(En ce qui me concerne : Je considère cela maintenant comme un honneur !  Au vu de ce qu’il est devenu ? ).

§.348.

Séparation des sexes dans le boulot = arrête la compétition répartition arbitraire selon critère.

Que personne ne peut modifier.

§.349.

Pas de compétition = pas de conflit, pas de –         – dans formation de personnes et de procédé = équilibre sans besoins et n’ayant engagé d’office préservé.

§.350.

La sensation de folie intérieure une fois apaisé fait que la folie extérieure ne peut plus nous blesser.

§.351.

Voyager, aller plus loin à la rencontre pour s’apercevoir de la confusion, du désordre et continuer vers l’harmonie. (N’existera plus jamais avec personne !).

§.352.

Le plus beau métier du monde.

S’appliquer.

A ?

Chacun de ces moments qui sont tels qu’il nous en faut.

Un chemin qu’ils ont .

Cueillis.

Planté.

§.353.

Les parents ne voulaient sur leur enfants les traces d’adultes car la mention « vacciné » comporta quel danger.

§.354.

L’agressivité est la crainte de ne pouvoir sa confiance (affection) reposer. (Avec moi vous êtes tranquille sur ce sujet je verrais DIEU ou le CHRIST descendre devant mes propres yeux que je n’y croirais pas n’aurais pas confiance).

§.355.

L’injustice en soi cesse quand on en faisait de juger l’autre, et que sa mère on en vient à interroger.

§.356.

La communication = spiritualité car entre façon d’être compris et de suivi comme poursuivi = empreinte qu’on laisse comme une piste que la vie nous a prêté.

§.357.

La force est se qu’on laisse se transformer.

Sans cette disponibilité.

Prendre comme mal.

Arrêter – tuer.

§.358.

La hantise en un rapport entre la peur de ses sentiments ses explosions. ( Ne plus JAMAIS les concrétiser pour PERSONNE).

§.359.

L’art. (Et ta connerie).

Sous quelle forme laisse-t-on sa vie ?

§.360.

Le besoin d’appartenir à une ethnie car même si était difficile d’adapter son rythme d’à celui-ci la question du –       – cessait d’imposer la démarche de l’allure en cours.

§.361.

L’agressivité se justifie par la compétition et la recherche de performance car dans chaque action y compris dans le bien est tombeau le pourquoi de cela marche comme celui  de son état mal sain.

Cette apparence malle saine.

Connaissance technique.

Recherche art de durer.

§.362.

Amour et mort. (Il faut le répéter la mort c’est la perte d’un amour, certain ne refleurisse jamais cœur usé trop vieux. Le dernier.).

Parce que personne savoir préserver son nid il fallait le quitter.

Mort et amour.

Car il fallait faire mourir certaines choses pour que sa capacité s’ouvre sur les autres. (Et que d’autres se ferment à tout jamais !).

Que n’aurais-je fais pour toi ? (Tout ! Sauf ? Ce qu’il fallait).

Après tout je ne suis pas folle et de faire cela ne le serais pas.

Non mais le deviendrais.

§.363.

Faire cela était envisageable mais que me resterait-il après.

Ce énième chemin que l’on devait garder.

Ou bien parce que l’autre pourtant n’était à nous ou bien qu’on s’y perdrait.

§.364.

L’amour était honorer le passé tout en servant ce que le présent fraîchement amenait.

Deuil et veille.

Peut être le poids généalogique par chacun porté faisait que l’esprit/ conscience d’être savant se vivifiait = êtres.

§.365.

Et ceux qui ne se reproduisent pas ?

La conscience c’est toucher ces deux lignes.

La réflexion c’est l’amas des pensées reconnues.

§.366.

Un même combat.

Une dimension recomposée.

§.367.

En soi rien n’était compliqué.

C’était associer « le fait » et le pourquoi qui avivait la concentration qui donnait une raison à continuer cela en particulier.

Que constituait la prouesse de tout esprit = affairé.

§.368.

Accepter de considérer être responsable de toutes les actions imaginées car la conscience est là pour prévoir de comment avant qu’il s’abatte.

L’empêcher.

§.369.

Ce mot « il » suffisait au rappel de tous les moments de ma vie.

§.370.

Il est drôle de parler à quelqu’un en sachant qu’il aura une fin ;

Ceci amène à être distant par rapport au présent mise en relief de l’illusoire ou de la possibilité que soi mise à l’écart la douleur, le sentiment.

La mort est une introduction au contrôle du temps.

Quand m’intriguera plus ce flux.

§.371.

On laisse au monde ses questionnements. (Questions).

C’est à dire que ce que l’individu à vécu de mystère et poursuivit de quête.

Ce qui a constitué l’essence même de son être se tiendra sur tenue jusqu’à ce que solutionné.

La résolution de l’individu tient dans cette continuité.

§.372.

Fait peur ?

Laquelle ?

§.373.

Les vieux représentent la mort pour nous faire oublier que ni nous ne sommes éternels.

§.374.

Ni l’amas de culture ou d’intelligence ne suffit à passer à coté que nous sommes(tues) (tuables ou mortels) qu’à demi.

Faire les curieux alors que curieusement on laisse les choses au pire.

Con – (F) – usion.

«Mort»

§.375.

Une violence libératrice entre ceux qui mettent en péril comme à la hauteur de la souffrance quand on ne peut arrêter le réel qui la nourrit.

§.376.

servir les Opprimés.

Faire que l’on ne peut (puisse) plus se poser de question sur ce qu’on  va laisser.

L’économie de ce calcul offre la santé.

§.377.

L’erreur de l’autre.

Ce qu’il nous demande d’en tirer.

§.378.

n’être mais paraître plus stable.

Selon ce qu’on en montrait.

Selon ce par quoi on était touché.

Et par quoi l’on s’exprimait.

Et encore par quoi réceptionné.

§.379

L’effort qu’on produit,source d’énergie qui désigne un but possible.

Une distance expliquant la situation de croisée de chemin : Un tremplin.

L’effort se suffit. A lui même.

§.380.

On ne disait rien de peur de se faire engueuler.

Maman le lien parce que c’est en elle qu’il voyait comment se calmer.

§.381.

Ma réaction impliquait.

Moi – même comment je réagis = qu’est-ce que serait les accros futurement (futures) accomplies, sans les responsabilités, résolutions aujourd’hui position, décision, analyses.

Prises.

§.382.

Dans toute action celle de la plus ou moins longue survie.

Or de la mort pourrait questionner toutes les vies.

Temps illimités – Pas compté – La mort n’ayant elle même de délai.

La mort servait à connaître la signification de déterminé définitif.

OR.

Ce qui ne se compte vaut.

Autrement dire qu’au delà du nombre va continuer.

§.383.

La vie est courte autant que sont les nuits.

§.384.prendre un direct non pas pour s’en servir comme réserve de ; Mais parce que c’est celui appartenant à quelqu’un.

Prendre un objet pour que puisse y reposer sa main.

§.385.

Le cherche.

La personne nous regarde en croyant qu’il est clair qu’elle nous perçoit comme elle se le prend en pleine face.

Mais qui nous sommes pour l’autre ?

Nous ne le savons pas.

§.386.

L’éternité.

Se déconstruisit.

Pour comprendre ce qu’était le temps et ce que vers alors elle irait sans lui.

27Si tu me quittais ? Je mourrais.

28Il faudra pour cela que je meurs.(Ne te presse pas il y a tout le temps, plus qu’il n’en faut !).

§.387.

La fatigue se-  -.

Comme le sentiment de mort ( De vie morne-      -) s’évite.

§.388.

Il disait qu’il préférerait faire l’amour sans strerat.

L’argument suprême (il ne se rendait plus compte que c’était un prétexte que cela s’appeler) pour tous les jours sinon tout le jour s’en-            -.

§.389.

La personne ne se passe des scènes de ménages inter parties ou inactives.

Feuilleton cherche animateur de place publique –         -, Guignols, jouets.

Pas de cynisme n’appelons pas cela comédiens.

Ou sont les sages, les guerriers ?

Entre drogue et dope.

Quel âme à la vérité.

On s’endort.

§.390.

La vie passe comme une braise.

Tant mieux nous,

}       Capacités moins vite en formation.

Dépassées.

Préparer.

§.391.

Se fermer pour rester réceptif à ce que préalablement fixé.

L’impuissance tout susciter la question de mon, plus, comment, on fait mes sur la nature même de ce que l’on fait.

§.392.

(Il va vraiment falloir apprendre à écrire CARO)

29- est une raison à l’action.

30Une manière de se reposer (= éviter le problème, l’écueil)

Organisation.

Pour d’ancrage de problèmes personnel, réalités, nécessités.

§.393.

On se détrompait sur la situation.

 = Si A = B.

on savait très bien que B n’était pas le cas, alors on se disait Que A non plus ne le serait pas.

Pour la simple raison que l’on avait pas envie d’admettre que A était.

Raison à la mauvaise estimation.

 

 

§.394.

Se focaliser sur un objet.

N’entreprendre que ce qui nous y relie.

Plus une fois compris qu’un élément même indirect doit se faire pour que l’on continu alors on reporte sa concentration.

Et on réussira aussi vrai que par elle rien ne nous arrêtera.

Autant de perdu ?

Nous sommes ses serviteurs.

N’oublions pas.

§.395.

Il n’avait pour ainsi dire pas eu de prise.

§.396.

Quand je lui expliquais des trucs tout cons, j’en étais très énervée avant de comprendre qu’il m’autorisait un instant à prendre la place de PAPA.

§.397.

Vieillir être en perte de vitesse.

Mais qu’importe.

Savoir que l’esprit peut se contenter de rien est contenter.

Mûrir.

§.398.

Comme ses plus grandes passions, des rêves sont.

§.399.

Mais que l’envie de vivre s’éloignerait si ces amours là on décrétait d’abandonner.

(C’est fait, il leur faudra se démerder sans NOUS.).

§.400.

Il y a ce que les attirances font pour un et ce qu’il continu à seul expérimenter. Vous viennent des histoires. (De fous).

§.401.

L’expérience rapprochait les mondes.

On était obligé de penser un monde par rapport à ce qu’on savait ou vivait de l’autre.

Ainsi vie rimait avec mort.

Ainsi haine rimait avec Amour.

Ainsi lutte rimait avec paix.

Et ma fée protéger ou pourfendre tout ce qui s’absorbait ou vivait en mon pourtour.

(La fée Morgane ou Viviane, ça va Lancelot).

A mes bas de laine-        -.

Non, non tu es aussi une victime t’es pas la seule con.

Echoué.

§402.

Ses parents lui avait dit il ne recherche que le sexe, aussi elle ne comprit pas que je l’aimais.

La pensée du sexe pouvait être  = être apaisé du corps parle corps.

Plus envie de se redonner.

§.403.

La recherche d’une connaissance, d’une sur fonctionnement, cinq que l’on va vers une limite chaque obstacle.

Ce parcours qu’on trace pour que puisse être sauté.

Division !

Fin de la DOC 14.

A corrigé.

computerised extra doc 13

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

 

DOC 13.

Pages 701 à 800.

§.1.

Prendre le temps maintenant avec la vie, de réanalyser les moments ou je ne le pris.

Faire ce qu’il fallait par rapport à son sentiment d’amour pour une personne, permet de comprendre que l’on aurait pu être amoureux, digne, absolu dans les moments où on ne le fit.

§.2.

Ce n’était qu’une sorte de tombola.

Une manière d’approuver l’action mise en place par l’autre ? une façon aussi fort pratique d’évaluer les besoins.

C’est là que les affaires réussissent ?

C’est là de cette façon que sont le mieux satisfait les besoins.

§.3.

On escomptait se donner à l’un à l’autre le bonheur mais le bonheur dans le bonheur de tous uniquement pouvait.

§.4.

N’être pas malheureux de son destin, conjurer le sort consiste à donner le plus et ce qu’il advient, admission, de toute façons nous étions occupé corps et âme et c’est tout ec qu’il y a de bien.

§.5.

L’esprit s’en sortait avec peine en n’ayant le potentiel aux miracles dans le sens du complet mystère de l’existence et en se représentant la vie comme étant irréelle ou bien puisque éphémère faire savoir à sa consommation d’eau, de détergent, cela évitait.

§.6.

Le captif, l’emprisonné est celui qu’on fait qu’il va rester fait, confronté à la folie au sein de la famille puisque indivisible, ou de la folie institutionnalisée (torture.)

§.7.

Le captif soit parce qu’on craint sa différence ou bien que l’on le tienne entre quatre murs ainsi obligé de subir les non sens qui lui sont fait, permettant aux malades d’avoir un « médecin » une personne à sa maladie, son acte maladif relié.

§.8.

Comme toute réflexion est lié à une expérimentation, comme tout chercheur devra sur son propre rapport au corps, puis à l’espace ses théories élaborées.

Captiver.

§.9.

Si la mort venait des certitudes dont on avait besoin ou celles qu’on se refusait.

Qu’on décrétait.

Dé-créer ?

§.10.

Pourquoi m’aimes-tu ?

Je l’aimais comme une folle.

Je répondais le mieux que je pus.

§.11.

Redonner ce qui nous a été donné étant le seul moyen pour comprendre et faire comprendre ce qu’il nous faudrait (échanges de bases de donnés comparé.)

§.12.

Il n’y a plus d’endroits ou y mettre nos secrets. Cet endroit où allait la main et tout s’essayerait.

§.13.

Elle nous avait appris la dureté.

A passer au- dessus du bonheur.

Finalement cessant de le chercher.

Pouvoir suivre pourtant ou il était.

Sans contrée.

Pas rang – (parent)

§.14.

Les discussions qui se révélaient inutiles évitaient (si tant est qu’on y réfléchissaient) que pareillement à eux on agissaient.

§.15.

Faire du sport.

Pour avoir chaud.

Manger pour être réchauffés.

Excès de bouffe (envie supplémentaire)­

A la hauteur de l’exercice attendu, demandé, recensser.

§.16.

Je savais fort bien qu’il était le chemin manquant.

Mais pour qu’il se place il fallait attendre qu’il le devienne consciemment.

Communication ouverte.

Affichage, réitération du sentiment.

§.17.

Manger.

Signal assez et pas démesurément pour continuer à aller à la classe.

Être important à l’égard de quelque chose, de quelqu’un.

Vouloir que de la fierté se dégage du regard de maman.

§.18.

L’homosexualité prohibé afin de garder une fidélité.

Puisque femme parce que maternante devant au camp rester et homme à l’extérieur pour assurer une balance entre intérieur et extérieur.

Pouvoir compter sur cette prohibition sociale pour garder homogénéité.

§.19.

L’émotion – Le porte parole.

Être troublé tant que pas au courant de deux parties voulant échanger, le glissement de sens par l’énergie du troisième permit.

Et qui va être en même temps !

Comme regardé et « activé » par A et B.

§.20.

Mettre tout dans un autre, car que resterait-il après Maman.

Identification au néant.

La vibration poursuivant l’object à atteindre.

L’émotion.

L’un cherche ce point qu’il en dehors de tout               .

L’autre peut alors regarder ce qu’il en est.

Et lui dire ce qu’il en a vu ( ou l’autre était).

§.21.

Être son propre chef.

Être sélectif.

Simplement afin de prendre et rendre les infos dont on saura le mieux s’occuper.

§.22.

Faire une connerie, ne pouvoir l’avouer.

En refaire une que l’autre pourra tout juste identifier comme étant la nôtre.

C’est à dire pouvoir sans cette force lui communiquer un élément de réalité ?

L’informer.

§.23.

Professer une chose est montrer comment l’on s’en sort avec.

L’action devant être.

Ce sont donc les actions concomitantes, donc celles dont-on a perdu le contrôle ou en tout cas ne sont pas de notre volonté, souhait ou fait.

Vectoriel d’accomplissement, de sensation de bien être

§.24.

Performance.

Mémorisation.

Instrumentalisation.

Travail restreint.

 = manipulé, filtré.

Cession – exhaustif.

§.25.

Renoncer.

 = puissance à décrypter et entre les codes un temps remonter puisque l’inconscient dit à la conscience que la connaissance de ce quelle ne peut en faire.

§.26.

Intégrer.

Etre au courant de toutes ces transformations.

Mais réellement portant sur ? Non bien sur.

Non de plus que mémoire ?

Maîtrise des systèmes = changement d’unité.

Réponses après humanité.

§.27.

Support : L’esprit voulant établir une relation.

Absence signification juste.

 = reproduction illimitée.

Pouvoir tout moment connaitre.

Et point de vue.

Réceptacle.

Contrôle.

Nouvelle rencontre remettre tout son œuvre en de nouvelle occasion.

Idée pas tentée. Occasion de communication : Réaction.

§.28.

The langage of :

La mode rappelait l’époque.

Musée portatif.

§.29.

L’autre nous donne l’énergie nécessaire à ce qu’il peut apprendre de nous, et moins de nous.

§.30.

Un signe d’étrange – attire l’attention.

Problème – la perturbation.

Complète le problème.

Folie et raison.

§.31.

La communication.

Etalage des traumatismes.

Pour constater que le traumatisme par l’ensemble porté, comme un peut, quelque chose à décréter, ne plus le refuser mais se servir des vibrations nous ayant secoué.

§.32.

On ne peut rendre hommage à ce que fit une action car impliquerait l’immodestie de savoir ce qu’amène (et était impliqué, aidant) cette aubaine.

Eviter d’attendre la cloche pour partir ou arriver car peut subvenir une pensée à traiter.

Et attention à cette cloche qui peut vite nous faire déraisonner.

Comme la sonnerie de téléphone que pour une fois on laisse sonner et l’on se dit qu’on est sifflé.

Activé.

§.33.

L’existence vis à vis du combat.

Quand il faut combattre pour pouvoir au mieux élever ses enfants.

Et s’il y a mort d’homme ?

Et si l’humanité ne me laisse pas le choix ?

Combattre non plus pour l’espèce mais pouvoir ne pas être bouffé.

Se sauver conduit à développer son instinct de procréationqui donnera ensuite bien à l’idée d’espèces, de descendances éparses.

La notion de co-éducation qui revient à se dire qu’il faut que mon voisin l’accès à l’harmonisation d’avec l’environnement est.

§.34.

L’on est occupé à se demander qu’est ce que peut penser avec son esprit.

L’on se demande occupation à plein temps.

Et la vie ça y est, est partie.

§.35.

Ne pas s’offusquer du compliment c’était pourquoi, comment on vit.

Etre influent ?

Oui ! Mais cela impliquait de s’occuper de tout le monde à la fois, d’un système sans plus s’occuper du cas.

§.36.

La position originale est compliquée car on demande à celui qui l’expertise de confirmer, on évite la méprise.

Mais ce qui est rendu conscient d’un coté même si doit l’être, représente le danger d’avoir son tour des            ,  enterré.

§.37.

C’est parce que vient à la conscience que l’esprit n’est censé s’exécuter, car c’est parce qu’a la conscience suffit, pour se repérer et enchaîner sur la recherche, avoir assez de repère pour la surprise accepter de faire vivre ce qui c’est déjà par elle manifesté.

§.38.

La solidarité masculine naît de ce que l’on sait que par sa femme on peut perdre par tous ces simagrées.

Dépasser la conscience pour permettre à l’esprit de se soulever ?

§.39.

De dépasser les repères qui le forme dans un premier temps et qui l’emprisonne après.

Dépasser la conscience comme étant le commun des projets commun propriété savoir ce que l’autre fait.

§.40.

Importance dans la vie apporte le projet.

Le sans fin. La pensée sans finet donc infiniment définissable, précisable ; Suffit à alimenter une vie.

§.41.

Faire l’amour c’est lui donner ma chaleur, celle qu’il sentira quand toujours une fois moi partie, ces gestes que l’on fait comme pour qu’à l’autre il ensemble, mon corps.

§.42.

L’événement complet est un avenir du conflit interne, en soi.

Avenir ayant pour vœux la résolution or on résout une équation en campagne de tout ce qu’on sait être déjà.(là)

§.43.

Sensation, mouvement sexuel, comme ceux cardiaque ou respiratoires sauf que pulsionnelles, volontaires, mais bien vitaux.

On s’attaqua aux organes génitaux après qu’on eut connu tout le reste par cœur déjà.

§.44.

Une action ne peut apporter cent pour cent de contentement. De bienfaisance (dans l’intention, dans ce qu’il apporte comme complexité de transformation de métamorphose à l’état d’âme ?)

Car chaque acte à été fait en pensant à être en faveur d’une perspective ( la différence d’une autre étant le résidu, le résultat de l’incontrôle.)

§.45.

On ne peut pas dire quand tu es dans cet état là n’ouvre pas/car cela reviendrait à ne plus avoir à se soucier de l’autre que pour ouvrir son tombeau.

Lieu de résidence du mort à l’intérieur comme à l’extérieur de mon appartement.

Suis-je vivant ?

Qu’est-ce qu’est ?

§.46.

demander à quelqu’un une réaction immédiate impliquait sinon une réaction de rejet au moins une réaction de son assimilation.

Le corps apprend justement à ne pas intégrer ce qu’il connaît : Trier, réfléchir à – L’assimilation n’ayant d’être que d’être au courant de ce qu’on est constitué.

§.47.

Avoir de l’amour pour son conjoint. Vouloir être toi (te prêter main forte)accompagner ton esprit pour pouvoir la toucher.

Lui rendre par toi ce qu’il m’a appris.

§.48.

La mythique se salive.

Parler, parler. Il le faut jusqu’au moment ou parler devient gênant.

La mythique puisque logique qu’on vue d’où on en est, la caresse se savourait tardée.

§.49.

Le respect est penser que l’autre n’est pas obligé de penser comme soi.

Se donner le défi et la permission à la diversité.

Car l’avis est divers.

Car il faut comprendre s’expliquer d’ou l’on vient et que cela est unique.

§.50.

Il me fallut vieillir pour comprendre que l’on pouvait vouloir pour conjoint quelqu’un de vieux.

Le corps vieillit et alors ce n’est pas une punition, signe de démission – il vieillit – il en est ainsi.

S’occuper de l’autre, elle est une idée à l’amour apparenté et à donner du bonheur.

Elle suffit.

§.51.

Subir et constater les évènements.

Vivre c’est avoir la surprise d’expérimenter ce qu’on ne savait que par rapport à nous mais bien intriqué à notre histoire il s’était passé.

§.52.

Dire que l’éducation risque d’être privatisé.

A fait attention à cela et à mieux pouvoir l’arrêter. La remarque suivante était. Vaut mieux pas être là pour voir cela. T é.

Elle était tout pour elle.

Ceci n’était pas réducteur.

Simplement qu’elle se connaissaient si bien, que l’une pouvait représenter tout ce que l’autre connaissait.

§.53.

La forme de l’écriture change lorsque la main est fatiguée et qu’alors on se déconcentre sur le comment écrire vite et lisiblement et sans appuyer sur le crayon mais assez efficacement sans pour autant mettre la pression sur les articulations.

§.54.

Ne pouvoir tenir ses résolutions plus longtemps.

Ne plus être sur d’avoir compris.

Mais ce qu’on sait ce qui est loin ayant qu’un canal est la vie.

§.55.

Il ne savait pas s’il pouvait lui expliquer alors au lieu d’échanger des idées il l’embrassait pour dire combien il le voudrait ou rouspétait quand l’autre mal s’y prenait (pour faire comprendre ce que pourrait.)

Le sentiment pour faire l’expérience que soit même en s’embrouille (porter sur le système, constater le trouble.)

Figure qu’il faille se ré estimer, reconsidérer le tout pour qui nous entoure.

Et ainsi par l’autre être réceptionnés.

§.56.

Le geste convulsif rappelle que l’on peut avoir une action.

Savoir que l’on peut agir est savoir que doser, maîtriser une énergie il y a.

§.57.

La cigarette pouvait porter en elle la symbolique de la braise pouvant le cancer réduire en cendre, cautériser.

§.58.

L’on part pour revenir !

Et trouver une nouvelle manière de s’associer.

§.59.

Les esprits demandent le temps de se connaître.

Et que le destin leurs servent (ils s’inter proposent) ce qui leurs ira, et donc par là retentira sur toute la communauté.

Le destin est le joint de cela et de ce qu’il n’en pu encore être à ce jour.

§.60.

L’instinct permet de constater ce que l’intelligence aura reliée et à pour but de systématiser.

§.61.

Il me fallut voir sur une autre ses yeux pour me rendre compte qu’un jour je pourrais chercher désespérément à les voir sur d’autres, ou ne plus rien tenter puisque partielle le serait à jamais, quand la ressemblance l’absence dit -.

§.62.

L’image mentale doit se faire en soi pour comprendre que l’autre l’a et pour pouvoir songer, estimer à quelles répercutions elle peut avoir sur soi.

Changer d’air, ne plus tomber dans cela.

§.63.

On ne peut rien cacher à l’esprit.

Tout ce qu’un esprit vit par l’autre pouvant être induis,compris, senti  .  .  . et tout les mots qu’on dit.

L’esprit ne peut se considérer comme humain mais comme une idée. L’esprit ne peut, me coller à l’idée de ce qu’on dit à quoi il est attaché, de quoi il est formé, sa corporalité mais de tenir compte de tout ce dont son corps (et bien)est entouré.

L’esprit sait qu’en suivant l’idée, il va tracer des allées, suivies, continues dans laquelle il sera possible de se retrouver, en plus ou moins de la distance de fait. (Cet 7 sept.) [sept, peste,  Sete, piste, set, tu en veux d’autres.]

§.64.

On répète non pas ce qu’on à compris mais ce que de surprise on ne savait pas.

Femme, homme.

Foule = compulsion.

§.65.

Elle est belle la femme.

Belle ai-je dit ? Désirable.

Beauté souveraine car implique le danger qu’il y a .

Beauté éternelle, absolue car doit inspirer le guerrier, le reste sans peur d’être tué.

§.66.

Apprécier le compagnon qui les réunit.

Mais nouvelle         =             -.

§.67.

La connaissance de la réalité explique la folie.

Faire l’amour c’est se rapprocher le plus étroitement, le plus délicatement possible = Savoir.

§.68.

Les comportements ont une signification, c’est d’expliquer leur pourquoi à ceux qui les utilisent comme outil :

De ce qu’ils sont.

Qu’ils viennent de quoi.

§.69.

Il ne répondait pas.

Irrespect ?

Toute notion est une question en surpression.

On ne répondait pas, ou à coté parce qu’en cours de réflexion, interrogation, considération.

Puisque tout, tout transformait.

§.70.

La vie prise par son coté extrême.

L’extrême, la ligne.

Ce qu’on peut revêtir de mort – vivant.

Être là comme plus là.

Ce qu’ici on montre que l’être tue la mort.

Evidemment.

En affrontant les traîtres que non pas à la vie mais qu’ont les vivants.

§.71.

Le sud. Stratégie.

Appelé MAT.

§.72.

Elle calmait ma tristesse autant que la sienne était présente mais : Désactivée.

§.73.

Chaque relation est spéciale par rapport simplement à notre rapport en temps.

Sont représentantes de ces instants vis à vis de quel ont muri et prend du recul. Pouvant ainsi prendre connaissance et faire varier leur poids.

§.74.

Provoquer les défauts de l’autre pour prendre conscience de ses propres ressources.

§.75.

Obéirais-je à ce que je dis hier ou aujourd’hui ?

§.76

Constitue en tout trouver.

Nous sommes appelés à croire illusoirement en ces différences car à chaque situation un temps de maturation vers l’harmonie va s’imposer.

D’où variation de tension d’où émotivité.

Changement de monde point de vue et considération.

§.77.

Le cri d’un bébé particulier à la discussion qui se fait.

Comme l’adulte qu’il est, et à croître plus que les autres occupé.

§.78.

Il me fallut le répéter plusieurs fois avant de me rappeler que c’était quelque chose d’intégrer d’ors et déjà.

Donc intégrer maintenant de n’avoir plus a me remettre ça.

§.79.

Patience mise à mal, au même degré de ne pas être prêt à trouver une solution.

Evènement, remise à plat, relativisation, remise en question sur sa propre résistance et appui plus large.

Vue englobante.

§.80.

Si ce n’était qu’un rêve d’avoir réussi mais qu’en fait en train de dormir, je l’avais raté.

§.81.

L’élasticité, la rapidité relative à la conscience de l’éloignement.

Etre toujours prêt.

Me préparer à sa venue.

Qu’il soit aussi bien avec moi, comme instant après instant j’ai couvé.

Une vie pour laquelle ma mère pourrait se passionner.

§.82.

considérer les êtres de différentes façons.

Selon leurs sexes, leurs ethnies.

Leur classes, ou notre degré d’intimité.

Alors que la valeur de chaque être et chaque moment  .  .  ..

§.83.

La liberté et la proximité au choix.

Permet à la personne de ne pas avoir tendance à se laisser aller dans l’oisiveté.

§.84.

La main sculptée.

Avant que son désir de posséder,

De prendre ou de comprendre ?

§.85.

Elle me rappelait ma grand mère.

Bien qu’elle avait mon age.

Quelle drôle de réaction cela a provoqué.

§.86.

avoir une personne dans sa vie et lui dire que l’on réussi ce qu’on entreprend et chaque défi.

Avoir des centaines comme des réflexions jamais finies.

§.87.

1      Et si on était plus que trois.

2      Ben on se mettrait à trois.

§.88.

se rappeler de tout.

Un élément amenant à un autre.

Et reclasser selon l’importance et ce qu’on veut cerner des divers sujets et focalisation.

§.89.

Parce que les réunions de travail amène toute la profondeur des sujets au cœur de notre activité.

Le cœur de notre activité là au sein du groupe à s’activer.

§.90.

Le blocage ou la suspension dans la réaction.

Dénote pour quelqu’un qui est en train de chercher.

  1. Ce que cela lui évoque.
  2. Qu’en penser ?
  3. Qu’en rejaillisse.

Un mouvement, un élément qui fait que puisse continuer.

§.91.

N’être pas sur à propos de quelque chose.

Mais être en même temps assuré de ne pas être par cette incertitude rongé (pas de fatalisme ou d’issue – impasse)

Permet la distenciation permettant l’humour et la remise en question en même temps l’inspiration reconnaissance que l’on doit à tous les sujets (Et ce qui se bâtit autour.)

Ne pas être au delà. Mais opposé.

Etre dans.

§.92.

Je me laissais branler par l’un comme pour ou ne pas pouvoir selon les cas, revenir à l’autre.

§.93.

L’avancée du temps.

Est la possibilité de faire une balade, de créer partout un point d’équilibre – Mentalement de tous les autres points du passé.

(Penser le futur projeter faisant partie du passé de l’esprit évidemment.)

Donner des qualités à quelqu’un faisant partie du processus en lequel on va pouvoir affirmer les siennes.

Tremplin.

§.94.

l’apprentissage du vêtement.

Vêtement sexué.

Ne pas pouvoir y prétendre.

Comme la tenue sociale ne peut se permuter.

Rester à la place attribuée.

§.95.

Rencontrer les anciennes connaissances. (A non surtout pas)

Et tout ce qu’elles (Et on pour mission de) représente.

Il le remets ?

Oui je le remets ! ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ®

Vous en avez assez ou il vous faut un meurtre ? D.PF.

§.96.

Tu ne mû pas en ma guérison.

Pourtant tu fus mon remède.

Comprendre de moi que je t’avais fait fuir, toi qui étais ou plus exactement avait pu aider sinon être mon horizon.

Quelle confession ! D.PF.

§.97.

Aimer c’est ne pouvoir rien regretter.

Puisque devoir à chaque chose qui s’est passé.

Le fait que maintenant tu sois.

Ne serait-ce que je te sache.

§.98.

Contrôler la sexualité de l’autre en contrôlant la tienne est le pouvoir donner à ces pulsions de la profondeur = du sentiment et cette intelligence qui permet de creuser les évènements s’ils émerveillent.

Le passé était un temps ou on se rappelait de jeux s’adressant à un soi qui avait changé de peau.

Maintenant.

§.99.

Ne pas suivre une communauté et devoir ou en changer ou être étranger à d’autres fait que comme ces absents nous nous comportons.

Permet à la folie de s’ignorer, d’ignorer ce qu’elle est, d’ignorer ce qu’est régler une question non pas pour elle en tant que telle mais pour qu’en entraîne d’autres ; son essaie de résolution.

§.100.

Je me le rappelais.

Il avait pu être l’homme de ma vie pendant des années.

Je me le rappelais, car tel quel il le restait.

§.101.

Faiblesse = Les autres.

Car faiblesse d’un est de croire en l’existence et prévalence d’une loi unique.

J’ai toujours cru que ceci voulait dire destruction alors qu’il était une intro à comment communiquer autrement.

C’était comme un conteur qui m’aurait raconté une histoire une réalité autre et pourtant m’entourant.

§.102.

Prendre des risques, se mettre en difficultés.

Ne pas avoir peur d’être pris pour un con,assumer son étrangeté. Gagner.

§.103.

Tuer l’injustice de la vie se baser sur l’expérience au quotidien « Si j’avais pu je l’aurais fait »

Revenant.

§.104.

Je ne lui avais pas dit ce que j’avais ressenti.

Mais ce qui m’étais venu de lui.

L’avouer était l’explication de ce que j’avais expérimenté.

§.105.

Dans quelle galère allais-je me mettre ?

Dans quelle galère faudrait-il que j’aille surtout.

§.106.

La sympathie raison pour laquelle on lutte entre les terreurs de la vie.

Keep cool.

§.107.

Présent, majestueux, droit vers le ciel dressé, comme autrement que tout muscles tendus elle ne pouvait autrement rester.

Trop épuisé pour qu’un autre geste soit fait.

Avoir tout fait.

§.108.

L’exclu, celui qu’on rabaisse se servant de sa propre anormalité.

C’est à dire qu’il en sera accusé on en fera l’objet.

§.109.

Le sage est celui qui par les autres est éduqué.

§.110.

De la déconstruction d’un élément s’en fait toute une théorie.

§.111.

On remerciait on s’excusait auprès de quelqu’un , ainsi lui appelant, aussi comme la seule façon (en dehors de l’action) à apprendre à l’autre qu’il se respecte.

Puisque l’on est ou souhaite devenir, l’aide, le soutien, l’éclairage donné aux autres.

§.112.

La normalité ce n’est pas d’être P. D.

La normalité c’est le restant qui ignore qu’il l’est.

§.113.

L’écriture c’est pouvoir dire des choses sans avoir à les ré exprimer en toutes occasions.

Différentes manières d’expressions ou activité c’est pouvoir faire des choses et échanger une réalité avec des gens sans lesquels d’accord sur certains aspects on ne pourrait faire abstraction du reste (tous pour tous ayant des différences.

§.114.

Tout ce temps de perdu, ces expériences ratés, traumatisantes, décevantes, attristantes, apologie de ce qui est en nous est erroné irréaliste, inachevé.

N’avais-je pas la prétention de savoir ?

N’avais-je pas celle d’avoir des choses à raconter ?

Ce n’est pas une perte de temps toutes ces heures passées à réparer ou à se remettre de leur effet.

L’école de la vie était ce qu’il y avait à professer.

Celle là même qui nous a rang d’instruit et d’instructeur au dessus de tout nous remettait

§.115.

Tenir en compte une personne simplement permettre à son esprit de trouver un moyen, le moyen par lequel il a ressenti la présence, ce qui est une relation directe avec les moyens d’action dont il dispose comme intervention.

Cette expérience amenant après à améliorer et renforcer moyen et analyse de ce qu’il faudrait = moyen mis en action afin de pouvoir mieux encore y recourir = estimation, exploration, configuration.

§.116.

Le sexe n’est pas évident car comme la jouissance est le bruit faisant qu’on focalise où est-ce que l’autre s’en va.

Le sexe est l’alliance des gestes et personnalités, le sexe n’est pas chose évidente.

Alors pour ce qui est de bander ne nous ne l’interdisons pas.

§.117.

Il me disait, tu ne penseras plus à moi.

Semblant ignorer que la mort, l’oubli moi non plus ne m’épargnerait pas.

§.118.

La torture, l’humiliation.

La réponse à comment peut-on être démolit et s’en sortir.

Comment ne pas croire être perdant, avoir perdu, être réellement diminué dans ces conditions-ci.

Puisque ceux qui torturent sont à la solde d’un régime qui leur a fait subir des traitements analogues.

§.119.

Ils en viennent à expérimenter de manière cette fois ouverte, matérialisée,manifeste, de ce que ces conditions sont et peuvent causer.

§.120.

Communication de sentiments, d’énergies.

Je te le passe comme addition et l’échange c’est que fais-(tu avec = continu avec, comment ?

A l’aide de ton style de concentration.

§.121.

Le compagnon sert à enregistrer nos impressions.

La communication à l’autre, comme pour sceller nos étapes, nos surprises et conclusions.

§.122.

Le respect du vieux ?

L’attente qu’on lui doit, se mettre à ses cotés, le supplées –  –  -parce que le vieux pour poursuivre son émotion, se glisser en et où incorporer ce qu’elle touche, effleure où percute, est spécialiste de ça.

§.123.

Le rapport qui s’instaure entre ceux qu’on aime.

Je l’aime comme moi même ainsi sa femme dans mon cœur comme la mienne aussi fort.

§.124.

Le fragment ambigu – entre avoir l’égard du compagnon de celui qui d’une manière ou d’une autre pourra nous faire gagner, perdre l’affection.

§.125.

Le temps consacré à l’expérience échouée avant de pouvoir en dire quelque chose et de bons concepts à cela et réaction avancer.

§.126.

Il ne s’agissait pas de savoir si leur plans que j’imaginais marcheraient ou pas, il s’agissait de savoir si ces plans partaient d’un bon raisonnement et par là me mettait en de bonne disposition (et en fait se trouvait à ces résultats).

§.127.

Sur la manière même dont j’allais prendre les choses à venir.

 = avec les résultats à tester pas temporaires mais ceux qui deviendraient états, propriétés.

§.128.

Une idée en valait une autre.

Ce qui les différenciaient était suivant les jeux de mots qu’on faisait autour d’elles.

Ainsi invitant à rechercher en soulignant les jeux, corrélations, les mises en valeur de subtilité dont elles avaient déjà fait l’objet.

§.129.

J’avais prévu de faire cela.

Mais ce que je ressentit en cours de marche c’est le choc que cela pût être pour lui.

Ce qui ne m’avait pas effleuré jusque là.

Alors je suspendais le programme pour le reprendre, mais le suspendre pour marque qu’était possible cette réalité là.

Me rappeler qu’elle était peut-être le cas, quelle l’était potentiellement et qu’elle faisait partie des réflexions qui serait en moi. Partie, inter partie de mes réactions.

Ce que l’on appelle instincts et qui vient frapper notre réflexion, notre train – train d’action.

§.130.

Ne viendrait-il pas de ce qu’a appris l’expérience.

Ce que j’avais fait normalement nonobstant cette voix qui me dit « attention »

Parce que toi, ou autres choses, qui m’a appris qu’en dehors de ce que je sais de ma logique, mon action recouvre d’autres conséquences.

§.131.

Il ne comprenait pas ses reproches car il ne savait pas ses projets.

Elle l’embêtait pour ce qui était du détail maintenant mais pour ce qui se révèlerait déterminent après.

§.132.

A force de me connaître il représentait ce que du monde je connaissais et par son intermédiaire avec eux je communiquais. Ce que maintenant du passé je comprenais, servant l’individu à se conduire présentement à retenir ce que du temps on prend par lui on est chargé de relancer.

§.133.

Mais comme je me trouvais toujours potable (toujours moyen pour que cela puisse se faire) car l’entourage me permettrait cette ère.

§.134.

Dans l’extinction de la femme, d’un sexe( = voile ou emprisonnement, sorte de tuerie symbolique) on voulait en fait tuer le sexe complètement, le mot même de sexe, car la fin en serait que des hommes ou des femmes donc plus de distinction à effectuer.

D’ailleurs c’est pour cela qu’on les organisait en deux parts distincts d’un même foyer.

Sans l’un, deux, pas d’unité.

§.135.

Je suis au moins sure que tu es partie je ne sais pas trop où.

L’attitude psychique n’a rien à voir avec ce que pense l’individu mais comment on peut attirer son attention, comment on peut garder notre attention sur lui.

§.136.

La brume sortant de ma gorgele réchauffe puisqu’elle va te parler.

§.137.

Celui qui a eu à devoir se contenir en état d’esprit de se battre.

§.138.

Avant tu ne mangeais pas comme cela.

Je mangeais comme cela avant de te rencontrer.

Tu aurais du le deviner.

§.139.

Devoir lui en parler me rappelais ce que j’avais à faire.

§.140.

Symbole d’une époque, d’un contexte, penser à elle était tout cela regrouper.

§.141.

Le progrès sert à extraire notre esprit des ratés passés.

Compter sur lui pour qu’eux cesse de nous empoisonner.

§.142.

Ecrire pour quelqu’un c’est s’apercevoir quel style, quelles stratégies s’habitue-t-on à déployer.

§.143.

Le travail de poète set dé diviniser.

Car d’une langue à l’autre ne se traduit pas.

Et quand il n’y aura plus qu’une langue les hommes alors seront à inventer un autre langage que celui là.

Une autre communication et travail sur élaboration.

La tour de Babel viendra.

 

§.144.

Conquérir le territoire.

Le même espace.

Le signer, le border, le barner.

Comme la poursuite amoureuse.

Le même poteau (point).

Convoiter, toucher, sentir, couvrir.

§.145.

Le développement d’une société faisait que pour défendre son enfant on n’avait besoin d’être performant à la pêche , à le chasse, à l’agriculture mais que chacun fait à sa spécialité.

Afin d’être plus performant une société développée permettrait à chacun d’être spécialisé dans ce qu’il pense qu’il lui sied.

Ainsi que de se développer  en tout les autres domaines :

2      Asseoir sa longévité.

3      Sa largeur.

4      Plaine.

5      Plénitude.

§.146.

L’aimer l’homme de sa vie.

C’était pouvoir tout ressentir en pensant toujours à lui.

C’était savoir que tout ce que je ressentais étaient des sentiments, tous me rendant l’espoir.

§.147.

Tu as ce défaut revenait à lui dire.

Tu en périras connard !

§.148.

Et connard ça pousse pas les poches plastiques et divers.

§.149.

Le sexe est le prêt à l’éjaculation.

§.150.

Histoire de dire j’étais déjà en train.

Je prévoyais ou bien je savais mobiliser.

§.151.

Partie de sujet d’actualité sans un mot permettait des insinuations dans l’attitude simplement allant de soi, ne nécessitant pas du visage qu’il exprime une transformation(en son corps tentant de statuer de dire sur quoi) le traitement officiellement naturellement dans l’ensemble et envi[EI]rons.

§.152.

Le monde comme image de soi..

Si on s’occupe méthodiquement de déformer la douleur le remède est aussi de ne souffrir pour lui et ce que l’on n’y fait pas.

Parce que le monde est mourrant.

Tout comme soi.

§.153.

Vouloir mourir en été, pas dans le froid.

Pas avoir à récolter ses dernières forces pour avoir à combattre celui-là.

Et après tout mourrant le jeu continuait ! N’est ce pas ?

Ou peut être que consciemment on pouvait travailler pour lui, se dire que je devienne à avoir même tension que l’art, que je réchauffe au lieu de garder cela pour moi.

Etre en harmonie qu’il fasse soleil ou bien nuit.

§.154. Page 741. Courier CAROLINE Perso. DOC :13.

Un mois après.

Une bonne nouvelle, je ne peux toujours pas enregistrer sur : C. D. ma voix et mes leçons, mais j’ai rencontré quelqu’un chez qui je vais pour m’ enregistrer, (moi) avec son ordinateur c’est possible ce qui fait que j’aurais cette année quelque chose de tout à fait adapté à écouter dans le camion ; chose qui depuis le début n’est guère arrivé.

Je ‘tai écris le jour où j’ai reçu les photos, 10 minutes avant l’heure prévue pour te téléphoner.

Et puis il fait tellement beau maintenant que la photos me rappelle qu’il y a eu un été.

Là je suis à la bibliothèque POMPIDOU, celle qui est incorporée aux locaux du musée d’arts contemporains.

(quartier CHATELET plein milieu de paris) il y a beaucoup de choix évidemment, moi je me concentre sur les journaux.

Je pense bien à vous, étant donné les dates je sais déjà que je ne pourrais pas venir pour le 31.

Mais je me demandais si cet hiver tu allais tricoter.

CAROLINE.

§.155.

Le besoin de concentrer sa force ?

D’être réparable ;

Que son énergie soit prenable pour se voir en l’autre, se mouvoir, s’attester.

Etre en vie.

§.156.

L’individu que j’, l’on, aime.

Celui qui s’occupe de ce que je suis

Mais il s’occupe de moi plus que reste dans la voix, sinon tout partira.

Si le contrat on ne respecte pas.

§.157.

Avoir était l’horreur.

Car impliquait la question.

§.158.

Attention. (N’avoir pas ).

De l’après =.

§.159.

C’est toujours dans mes moments de grand lyrisme que j’en oublis l’entretien des outils et carburant.

Mais par quoi va t-on cependant.

Recherche et enseignement.

Sont le nerf de la guerre.

§.160.

l’$, l’échange.

Maintenant place à la conscience de l’immondice l’$ permet de circuler, maintenant à tous de faire qu’il puisse régner.

§.161.

« Pour notre sécurité à tous, nous vérifions les bagages »

Et les frontières hermétiques qui permettent l’indifférence envers les pires délits. Pour la sécurité de qui ?

§.162.

Ce que j’apprends de l’autre.

L’autre que mon fils finira par rencontrer.

§.163.

Le tabou est le délit généralisé.

Comment dire que nous avons été traumatisé par ce qui institutionnalisé.

EST.

§.164.

Etre au contact de l’autre, pour qu’il tienne de nos erreurs, l’erreur ne nous plonge pas dans la douleur si on peut se raccrocher à cela.

§.165.

Douleur :                 vaniteux.

Avoir la viabilité de son rapport.

Et attitude fait à son mode de vie.

Toute peur de tomber.

Délicatesse phobie.

§.166.

Parce que l’homme en progressant doit à chaque fois préciser et prendre un chemin différent.

A terme chacun deviendrait seul inéluctablement.

L’homme seul = celui qui sait le devenir par nature (à ressortir) est un homme mort, aussi la durée de vie n’excède pas quelques dizaines d’années.

§.167. (166)

 = Celui qui sait le devenir par nature !

§.168.

On attendait simplement d’être plus civil avant de s’engager dans le maintien d’une relation.

Puis le cimetière arrêtait cette progression.

§.169.

Il y avait les camps servant à s’évader et ceux à s’y remettre et la confiance dans les autres permettant de régler les derniers.

§.170.

J’avais fait.

J’avais tout fait.

§.171.

Le rire vient :

Qu’il y ait consciemment une appréciation de l’appréciation.

Il est la dérision.

Que l’on communique comme un cri à l’attention se sachant être analysé.

§.172.

Tenir à un prof, un collègue proche ; Car détenteur écrivain de notre évolution.

Parent – PAS – RENTE.

§.173.

Le deuil est-il une tentative de mordre du vivant.

§.174.

Le poète disait les sentiments.

Mais c’est bien fait aux sentiments (des autres) que sa poésie était appréciée.

§.175.

L’écrivain fait rire de lui – même.

Lorsqu’il fait de la littérature tellement il est lettré à expliquer comme un livre, avec la précision de ce quelqu’un.

§.176.

Le récit peut exiger que quand il en a l’intention il peut faire comme s’il en faisait comme une devise.

Reste de la distance par rapport à de son écriture.

Evite ses sentiments par rapport à lui – même par rapport à ce qu’à loger il était.

Faire ce qu’il fallait.

§.177.

La physique c’est discuter tellement = à fond d’un sujet.

Qu’on fasse qu’il ne puisse plus apparaître comme un problème.

Mais en chaque occasion (exploitée) une occasion de différents chemins ressurgir du fait qu’il apparaît.

§.178.

Comme fini, mépriser des gens.

Ce poète trouve la ruse de ne pas recopier.

Cent fois tu me copieras le je t’aime à sa muse.

Mais mille fois autrement- 

§.179.

L’on va intervenir psychologiquement, de s’être fait une idée de ce que auparavant.

EN fait on n’agit pas sur la situation ou sur l’autre (qui a sa propre idée, et qui peut prendre à son compte volontairement les créations énergétiques du voisin) mais sur cette idée qui met en nous des activations, connections, configurations.

On agit sur soi et sa relation à ce que l’idée va montrer quand nous sommes fait d’éléments.

§.180.

Les traces de la folie s’éclatent pour expliquer le malaise qui est mais qu’on ne voit parce que chacun s’attache et voue son énergie justement à le cacher = explique que pendant ce temps les problèmes (partout jamais) ne soient réglés.

§.181.

Me montrer digne de l’amour présent, permettait à mon esprit d’accéder à ce que je n’avais vu des précedents.

§.182.

La réflexion permet de repenser les instincts.

Avoir réfléchit avant aux conséquences de ce qu’on a par réflexes appris. (Dû à l’éducation ou aux circonstances qui furent lors dans notre vie.)

§.183.

Voir son type d’intelligence s’adapter et à ce qu’il se produit et aux instruments permet entre nous et l’extérieur une jonction.

Ou être équipé.

Ou se donner à des métamorphoses internes (qui peuvent prendre plus que plusieurs génération.)

Et est ce bien le but de s’y adapter d’ailleurs.

§.184.

A un certain age on ignore plus rien de soi.

Ou qu’on l’assure, ou le règle, ou qu’en tout de ce qui n’est pas régler pour faire ses essais ; oubliant que le problème est du à l’ensemble des problèmes. (y compris ceux soutenus par la société.)

§.185.

Femme – chargée de rester dans le monde intérieur.

Homme – pour s’occuper d’un monde caché essayer de stabiliser.

Caractériser la violence du père –  –  –

Relation entre interêt enfant.

Homme affronter élément extérieur.

§.186.

Extérieur / intérieur attribué à des individus car sinon tout le monde transiterait à droite à gauche et fuirait les problèmes.

Les points chauds et donc la difficulté de chacun en fuite viendrait le chaos.

Place assez calcaire, figées pour permettre à la débandade de ne se passer.

Avoir préoccupation première faire des petits pour que l’importance des nations reste entière, puisse se défendre.

La famille éclatée car surpopulation est venue la conscience du devoir d’une seule et même famille éclatée = dont tous les membres devraient être permis de bouger.

§.187.

Laisser la question  –  –  –  –   –    –     – trotter.

§.188.

Aimer de la difficulté.

Que l’on puisse être juste satisfait de soi.

Même déjà savoir devoir tout son temps lui consacrer.

S’occuper de soi pour ne pas s’effondrer.

§.189.

Le théâtre est l’attestation que l’on à besoin et envie de l’autre comme compagnon (regardé, regard) quand le même contexte partageant = nourrir le contexte

Avancer sur la même question.

Arriver par la même question.

Pour qu’il y ai réconciliation il faut qu’il y ai réparation.

La réparation c’est le partage actif et passif de tous à l’égalisation.

Esclavage.

§.190.

Les gens réagissent à la moindre remarque, parce que n’importe quels prétextes sont pris pour les harceler et que l’on peut toujours trouver quelque chose pour les houspiller.

La peur de ne pas se convenir ou convenir seulement aux boulots abrutis.

§.191.

La pression devant être prise comme moteur.

Moteur à prise de conscience, à chercher qu’elle responsabilité, responsabilité première – Fait que la pression la notion, la sensation de la présence de l’autre puisse la recherche de son utilité à ce par quoi on est entouré trouver.

Utilité = complémentarité.

 = Façon de survivre en soi même mais tout le reste et soi dans le reste, car qu’est-ce que le temps. Il n’y a  pas de longueur puisque tout va se terminer.

 = Un Kandir.

 = Qu’est-ce qu’un Kandir ?

 = Je veux un Kandir.

 = Mais cela existe ça un Kandir ?

§.192.

Hétérosexualité = Beaucoup de rivalité donc on ne peut compter sur preuves de camaraderies.

Donc la famille = plusieurs unités, même la plus petite doit prodiguer des exemples de camaraderies ( = Attirance réelle = shera corporelle définie par relationnel relative à son corps aux corps.

Sans que de cela s’engage une volonté de s’accoupler = attirance avec laquelle on sait qu’on va devoir faire jouer ou transférer en sexe par procréer on fait attention au danger que ce désir peut créer.

On ajuste cela, attention de cela en amour filial.

DANGER.

§.193.

L’adoration de l’adulte car on croit qu’il n’a vécu de chose véritable = vieillissement épreuves pour en arriver là.

Désir de reproduction de ce qu’il est.

Désir de reproduction avec lui.

Bienvenue car répare ce que l’expérience à en lui de traumatismes provoqué. (d’usure, d’incompétences.)

§.194.

Avant de parler de la même chose il fallait par détermination une infinité de répétition.

Les autres secrets, secrets que parce que notre expérience d’être refaite à personne nous entourant n’était redemandé.

§.195.

La sensation partagée est histoire de sentie que l’autre est dans notre environnement directement (c’est même étonnant l’idée de sentir cela de lui.

On fait qu’il le sache ou le sente donc nous aussi.

Pas de combat mais déballer.

§.196.

L’impression de violence ramassant que ici les différences essentielles aux renouvellements de la vie par transformation = la mort de ce qui est.

Qu’est – ce qui pour l’individu ? LUI.

§.197.

Tuer une entité ne peut avoir qu’un voulu symbolique fort = matière à penser  car une entité va représenter une partie de soi même et de ce qu’on voudrait qu’il soit comme son contraire.

S’ÊTRE.

§.198.

Il faut être rigolo pour pouvoir travailler sérieusement après.

§.199.

La demande comment jouit donc entre deux hommes ou deux femmes se demandait sous couvert comment jouit-on ?

§.200.

Il fallait donc la possibilité à l’autre de penser ce qu’il voulait car tout simplement quoi qu’il pense son job était de s’en démerder. (Parce que ceci d’être pensé – devait être gérer.)

§.201.

Le groupe (sécurisant ses places) doit être constitué afin que chacun puisse assumer ses particularités = Ce que de cette position il va pouvoir examiner = analysable.

De plus : Ne pas être obligé de jouer un rôle de représentation pour que son statut, soit sinon accepté, quand même signifié.

C’est rôles qui ne sont que révélateurs des traumatismes de la société qui réjoui l’individu.

Permet toute individualité, particularité.

§.202.

L’apparence de sagesse naît de ce que l’on à appris par élément plus élément ajouté ne peut en une fois se ré expliquer donc implique d’expliquer un (avant d’enchaîner) en même temps que porter.

§.203.

La maturité fait que, en plus de circonstances on parvienne à retrouver des traces de particularité.

Comme cette ride = ce point d’appui, de travail, de soutien, d’admis, de régularité de constance à la régulation.

Cette ride ne bougeant plus – constitutif de l’individu et ou tout se conduit pour y être conduit.

§.204.

Homme et homme.

Tradition de l’excitation du désir (vers la femme, de l’homme)et du désir d’être observé (de la femme vers l’homme) la vieillesse contre balançant les réflexes inculqués, relativisant, être d’accord pour ne pas en être l’objet, y céder.

Homme et femme séparés pour donner à l’individu un sentiment de choix à travailler dans ses amours.

Lui donner le sentiment de pouvoir contrôler ses pulsions.

Contrôle de pulsion = influences sur soi et donc sur son environnement.

Alors même qu’il ne peut car régime hétéro va de paire avec contrôle des mariages, histoire d’en rajouter.

§.205.

Le mimétisme est une façon de se rassurer en se disant j’imite celui là.

Celui qui a survécu à ce qui lui a été infligé = gage de réussite ou processus d’accéder à une certaine adaptabilité.

Réalité.

§.206.

Ils se foutent de ma gueule !

Mais évidemment puisque quand cela ne va pas c’est bien qu’il y a entité à changer.

§.207.

Le sens du vouloir constater, mais le constat sort de ce qu’on croit détenir.

A voir.

La perte de sens et une autre raison qui réclame à être faite.

§.208.

La notion du vice, c’est m’imaginer lui donner toute ma vie,tous mes gestes et pensées et d’un coup d’un seul qu’il me ferait faire perdre son envie d’amour à mon égard.

§.209.

Pourquoi exiger la fidélité, s’ils ne comprennent pas pourquoi.

Bloquer et souffrir de ce blocage et non d’être cocufié.

§.210.

Le regroupement familial prodigieux. Le respect de tous les ages. Respect de la vie à tous ces stades, ces développement.

§.211.

Croire en l’autre.

Chercher à trouver des explications à ce qui ne va, ce qui irait.

Croire en soi, pour jusqu’au bout aller = Risquer.

Mais croire en les autres c’est savoir que de risque il n’y a car cela est ce qui est par tous convoités.

Le trouble ?

Parce que toutes formes on doit respecter, même ce qui humain n’est et donc explorer (ce qui implique de point ne plus savoir, de réfléchir, de se redemander.)

§.212.

Le sens de la vue ne s’userait-ils pas de devoir se représenter les choses pour développer les capacités que l’on a imaginées nous libérer.

§.213.

Mon moyen de sécurité.

Je le désirais avec passion non par passion mais parce qu’il était jusque là la meilleure solution que j’eus trouvée.

§.214.

Je savais qu’il fallait écouter tous les conseils sinon tôt où tard ils finiraient par revenir sous la forme de leçons, de problèmes.

§.215.

l’homme doit vivre la solitude pour se rendre compte qu’il peut s’énerver seul (Sans l’aide de personne)

Et qu’il peut se re stabiliser de tout (le plus personnel des drames étant de se constater seul et de néanmoins se trouver une utilité.)          Néanmoins.

Né en moins.

(pour les autres qui n’ont besoin de nous car étant nous, déjà d’être repéré.

Haut ton hom.

§.216.

Conscience par le sens = ambiance = possibilité d’un groupe relié.

§.217.

Vivre son handicap. Comme un rappel qu’on eu donc raison de réagir à !

§.218.

Le bouc émissaire existant plus ou moins que les plus différentes relations n’ont établies.

Et puisqu’il faut toujours qu’elles soient agrandies.

§.219.

Je n’arrivais pas à imaginer.

Ce que m’aurais provoqué la mort de voir à l’age de mes douze treize ans.

Je ne l’avais pas imaginé dans le sens où jamais il ne m’était venu à l’idée de me mettre à la place de cette femme que je trouvais si fragile (oubliant que de cela pouvait naître la fragilité).

Je ne m’étais imaginée car connaissant comment les choses m’étaient arrivées, à cet age là précisément.

Je crois que je ne m’en serai pas relevée.

§.220.

Accepter quelqu’un.

Et des difficultés à communiquer.

S’apercevoir ce qu’en soi même on n’arrive pas à prendre en compte = énergie utilisé.

§.221.

Ce que je devais aux amours fictifs.

La volonté qu’ils deviennent (Fictives : Force ? Toutes formes conviennent)

D’eux viennent.

§.222.

On revenait empêcher.

Pour avoir la confirmation de ce contre quoi on se battait quand on l’évitait.

Comprendre sa fatigue.

Comprendre son ennui.

Se réconcilier.

On revenait empêcher.

Pour constater que c’est moins que la dernière fois que le devoir de vivre le peut puisqu’en quel on s’est rattaché.

Comme pour voir le plein par béatitude du juste repos le             –

§.223.

Le suprême nuisible était P. D.

Car c’est en fait les misogynes, l’effort de la concentration des pouvoirs qu’il désignait.

Comme tout homme où femme.

Dont le but était de travailler pour mieux régner.

La misogynie religieuse, la veste des hommes et des femmes.

Les gens pédérastes qui s’ignoraient.

Tabou = Infertilisé.

 

§.224.

Le jeu.

De passe malade plus ou moins que pas trouver la maladie.

De saint à esprit.

§.225

Ce qu’on appelle conscience.

 = conscience de jouer même rôle = équilibration de ces connaissances – arrivantes, arrivées.

§.226.

On cherchait à reproduire avec les jeunes la même relation qui nous reliait avec les vieux = Le traumatisme qu’on acceptât de subir et de perpétuer et avec lequel s’élabore maintenant leur meilleures les plus abondantes.

= Plus conscientes.

= Possiblement mises à mes.

= possiblement à travailler.

De nos équilibration = fonctionnement énergétique.

§.227.

Avoir de vieux os.

Pour connaître cela pouvoir vouloir être en fin de vie.

Recevoir la mort non plus comme on est puni mais comme une simple logique de vie.

§.228.

Le clochard comme le prince on le même rôle à tenir.

Discuter entre et en leur âme et conscience.

Former un autre, d’autres mondes, dans lesquels l’une et l’autre puissent tenir.

§.229.

Régime totalitaire.

La place du prince explique à celle de l’esclave que c’est pour devenir lui comme = symbole.

§.230.

Le camp dans «  l’appel de la forêt, soit son instinct, ce dont il aura besoin pour sa survie. »

L’instinct de la survie.

Mais cet instinct est le fruit de ce que le loup pense ou sera son état prolongé.

Sa mort, la mort de tout venant cette soif épier.

§.231.

On n’est pas piégé selon ce qu’on est mais selon le rôle que l’on peut jouer.

C’est à dire que ceci apporte autant de progrès négatifs, que positifs.

Préjugés : Autant de choses qu’on doit perter.

§.232

Une révélation. (Comme le dit radio classique à ce même instant 16 h 05 le 12 novembre 2005. Non je n’écoute ou pas si peu !)

Je ne peux parler sans m’énerver.

Je me suis assez livrée à vous pour que vous l’ayez remarqué.

Ecriture, thérapie déposée.

Ne m’en voulez surtout pas Lucienne (poésie et lyrisme de votre prénom – Vos parents « m’ » avaient prévu) j’aime bien mettre les gens au courants de mes mauvais côtés. Mettre au courant combien on est con, c’est vouloir dire que con ne veut pas dire méchanceté.

§.233.

Vous parlez de confiance ? Que c’est un coup de main que je vous quémande, j’en suis très au courant.

La méchanceté n’est pas dans celui que l’on dit méchant mais de celui qui croit que ce n’est pas con qu’il est mais qu’il a raison de réagir violent, que d’autres choix il n’y aurait.

Je suis fidèle en amitié, je montre tout de suite mes affreux côtés pour n’avoir à être une mauvaise surprise après.

§.234.

Faire style de ne pas pouvoir.

Œuvrer avoir dans sa tête un idéal, le rencontrer et se dire non, non, je ne dois pas y penser.

Echouer.

Et justement trouver à son échec une justification selon laquelle on l’a refuser = contraint à échouer.

Et de là le poursuivre incessamment.

Dans l’objectif de comprendre non pas ce, mais sur ce qui c’est passé.

§.235.

La violence des réactions lorsqu’on vient vous reprocher des responsabilités venant du fait qu’on sait pourvu que l’enfant (En soi, symbolique ou non ne vous soit pas enlevé)

§.236.

L’affolement le trouble communiqué = Je te donne ma peur de mourir à apaiser.

Soi en te voyant disparaître aussi, soit en te voyant y remédier.

Dans le trouble de l’autre l’attestation que quelqu’un de perdu il est en train de chercher et est par l’autre cherché.

Tenter, essayer, un co –nu.

§.237.

Cette impression d’être suivi.

D’être vulnérable, d’être tuable, être fini.

Cette peur obsédante.

Est-ce une envie.

§.238.

La cause s’expliquant simplement par le parent trimant depuis des siècles en pensant à ce que cette sueur il pourrait donner de réconfort à l’enfant.

Comme réconfort aux nôtres, s’appelle respect de l’environnement.

Harmonie à l’environnement.

§.239.

Fait avoir fait des POP, faire le tour de la planète.

Fait avoir fait à POP.

Connaissance de notre nature contenant.

Elle plus division mais pluriel maintenant.

Ne plus craindre sa prédation que de la développement car maintenant que tout se touche, elle voit par A + B,

instantanément que faire du mal à un des participants est se disqualifier soi.

Maintenant que plaçant.

Sans faire du mal, ne pas concéder à l’autre de pouvoir faire du bien.

Faire = société usée – société U. S.-

§.240.

En espagnol : Amarre.

Comme Amour.

§.241.

Avoir la conscience d’avoir de la chance !

Amène à vouloir = Vivre être porteur de cette chance envers l’autre lui permettre la même chance.

La même chose = La VIE.

La VIE = La sienne comme celle d’autrui.

§.242.

Créer des cabas.

Mais peu importe.

Les gens voyaient ainsi le résultat de leurs liens et une seule de ces visions peut donner du courage pour quatre-vingt ans et plus.

§.243.

Porter la sensation de l’autre.

Pour pouvoir son action continuer.

Puisque éducation = Energie.

Y parvenir est se rendre compte que l’autre peut être soi ou est obligé.

Et que les émotions se valent.

Et que les positions sont à se toucher.

Tous finissants par passer par la personne aimée.

Par lui décider de tout remarquer.

 = ne plus être étonné ou peureux de quoi que ce soit.

Par elle.

Elle.

Pour pouvoir tout accepter, envisager assurer.

§.244.

Le respect au vieux dû cela va de soi.

Association.

Même objet.

Assurer les continuités. L’un comme l’autre.

§.245.

Mon grand-père lisant son journal.

Présent.

S’occupant de moi.

Comment il lisait reste en moi.

§.246.

L’obscénité.

Il fallait tellement se battre pour sa part.

Au faîte le problème réglé.

§.247.

Penser à quelqu’un sous son contrôle.

C’est penser qu’il a perdu le contrôle.

§.248.

La survie du montagnard et de reconnaître les sherpas aussi indispensables que lui, la montagne, à l’expédition qu’est la vie.

§.249.

Les revendications qu’on jouaient.

Paraissait tellement tomber sous le sens que l’on minimisaient leurs portées sur les gens qui les écoutaient.

Alors que justement puisqu’elles restaient à revendiquer autant d’impact elles avaient rapport avec le trouble, les disputes entraînées.

§.250.

Celui qui lit attentivement un auteur va devoir se concentrer, contenter de n’en lire que très peu. Mais par cette action attention sera devenu eux.

§.251.

Croire que parce qu’on savait que quelqu’un prépare ce qu’il va dire, qu’il contrôle son passé.

  1. Les mots ont sur l’autre un impact que personne ne peut imaginer.
  2. Préparé en un moment donné qui n’est jamais le même que celui où il est dit.
  3. On dit pour que ces mots retentissent dans la mémoire.
  • Sont fait de réflexion.
  • Ont pour fruit l’action.
  • Permet aussi de ne pas penser tout le temps les mouvements.
  • Le fait de les dire les inspire, les questionnes naturellement.
  • Les gardent en réserves, sans cela il faudrait rester à ne cesser de les penser.

§.252.

Le chemin est plus long.

Et c’est à celui qui prend la diligence pour la première fois qu’on va dire qu’il est responsable des intempéries.

Plus directement car justement ne voyageant pas plus loin que son nez à la mise en cause du temps on ne pense pas.

§.253.

Séparé sur une documentation anglaise.

§.254.

L’étude des différentes langues permet d’associer différemment les mots par leurs sons, étymologie –  –  –  – – phonies.

Et différentes associations d’idées à attache particulières aussi.

§.255.

Etre en relation avec des gens lors de l’action confère à notre relation aux choses (à faire de toucher un objet par exemple) une sensibilité à nos gestes.

Avoir pour résultante notre amour de l’objet et donc de l’inventivité, de sentir de quoi il est constitué et possiblement le sculpter comme on cherche en notre propre corps de quelle matière et à quelle matière il est relié.

Cela ramène, mène, notre sensibilité en la matière.

 Pour mieux la sculpter

 Pour que la formation, la recherche, la précision de soi vienne dans le rapport à l’objet = rapport au travail à cette usure qui fait que la vie s’éteint en soi parce que de cette rencontre avec la matière on se destitue au lieu de s’en émouvoir.

§.256.

Il avait fermé la porte non pas d’être injuste envers l’autre mais de la peur que l’autre le soi.

§.257.

La sensation de l’humanité.

Différente, ne serait-ce que quand on voit un visage par jour ou cent millions par année.

§.258.

Vivre la discipline.

Implique de ne vivre que les moments choisit mais auxquels on ne peut par aucun moyen renoncer.

A ce moment là s’éclipse la notion de sacrifice ou de danger, car sans ces moments c’est la de la vie vraie, donc la vie même qu’on se couperait.

§.259.

Etre inspirer par quelqu’un et lui rendre son effet.

1      Ce qu’on la verrait être (en tant qu’inquisiteur)

2      Ou à nos côtés. (La vie comme cela invité)

§.260.

On peut éprouver de l’horreur face à nos revendications.

Avec elles sont des compulsions choisit volontaires, construites, élaborées, occupant la volonté (A rendre un monde plus supportable. Avoir des raisons et des défenses ou interdiction outrepassées) lui trouver.

§.261.

Tout à coup elles deviennent compulsion intervenantes aussi vite aussi servantes sans que l’on ne tienne plus rien maintenant, aussi imprévisible et intenable que l’on a passé son temps à leur fondation.

§.262.

N’avoir l’air de rien certes mais en jouir.

§.263.

Je devais à ce que je voyais.

Qu’il stabilise l’environnement.

La preuve ?

Le fait de pouvoir regarder.

Et qu’on ne peut plus rien voir c’est que l’on va au dela de la stabilité.

Résolution d’inconnu = Dimension N ième.

§.264.

La crainte d’être pédophile (Ou tendance de maltraitance)

 = La crainte de mal, inspiré en l’esprit.

L’enfant représente ce qu’il faut que nous contenions de nos pulsions.

Mais pour qu’il les contrôle lui- même il faut pourtant bien qu’ils les voient.

§.265.

Le monde est une manière de pouvoir sculpter l’autre.

En dessous des vêtements.

§. 266.

Une catastrophe peut être bien venus car elle oblige à une reconsidération de position.

Une catastrophe naît parce qu’on n’avait en tête toutes les contraintes. Donc la catastrophe peut être bien venue de ne s’apercevoir plus dans une attitude, une dynamique qui souterrainement s’emplissait.

§.267.

Être très organisé implique donc se savoir désorganiser.

Être très organisé permet plus de progrès = réorganisation de fait.

§.268.

Je ne savais comment la prendre plus ou moins que je ne me rendais pas compte de l’importance qu’elle a sur moi = des décisions qu’elle influence sans que je ne m’en aperçoive.

Peut être les décisions superficielles, dont je pourrais me passer = nourrissant à la source mon objet = la raison pour laquelle je ne m’aperçois car raison, action biaisée donc valeurs absolues m’y affairaient.

!

§.269.

Ecrire aussi minutieusement qui soit.

Etre gonflant, le savoir très bien.

Mais écrire comme on l’écrirait pour un lecteur qui deviendrait un intime au même objet auquel on a décidé de confier sa propre intimité.

!

§.270.

Et défaut de l’avoir fait.

§.271.

Montrer quelque chose est voir la réaction de l’autre = surprise (La surprise venant d’un état qu’autrement on croyait.)

C’est pour se mettre dans la disposition, d’être montré.

§.272.

Je pensais à l’autre.

Et les yeux de la personne me faisaient face reflétait axactement ce que je savais de comment l’autre viendrait me rassurer sur cette pensée.

§.273.

Quand je riais aussi je pensais à l’être cher ce rire dans tous les états (puisque pensant à lui) me mettait après.

Moment.

Emotion =                               = Destin = Point d’interrogation.

Plus âme.

§.274.

L’âme de la réflexion est ce qu’elle a de pré existentielle.

Elle s’élabore sur quelque chose de s’adresser à quelque chose.

Sa profondeur réside dans l’écho qu’elle aura.

Qu’elle a par définition toujours.

Mais percevable si on sait ce qu’elle englobe seulement.

§.275.

Chacun sait la mort.

Pas de mauvaise odeur.

§.276.

Ainsi que les hommes sont les mêmes.

Marchait avec la même loi.

Puisqu’il est emprunt du même système.

Tout ce que l’on voit.

Notre système.

§.277.

La liberté, le bonheur s’acquiert toujours dans la douleur car il fait comprendre ce qu’on fait mal pour pouvoir progresser = l’expérimenter avant d’améliorer.

§.278.

Mieux conteste travailler.

Pour suivre.

Jusqu’à comprendre.

Ce qui nous avait échappé.

§.279.

Toujours mettre les formes est un métier.

Comme l’écrivain racontait les vies.

Plutôt que d’être obligé de les savoir.

Invitant l’autre à un jeu d’imagination.

L’histoire aussi dans ce qu’il m’écrivait.

§.280.

Ma caissière qui me rend joyeux d’aller faire mes courses.

Ou l’écrivain qui explique ce comment A Einstein était à ça arrivé.

METTRE les formes.

§.281

Le problème est toujours que ce qui nous arrive est toujours issu de ce que notre esprit (percevait) était d’accord pour le régler, l’arranger. Notion de temps.

§.282.

On préfère sexualiser les rapports car l’individu en dehors d’une communauté aura tendance à chercher à se mettre en couple = suivi des années plus quotidien ou sexualiser pour « écrémer » ; ne pas chercher cela dans cent mille relations « amicales », ne pas perdre son temps précieux. Chercher à s’associer démontablement dans un boulot durable = qui tout le temps et dans son couple.

Plutôt qu’éparpillement.

§.283.

Bien sûr on pouvait toujours se dire qu’il nous fallait arrêter ce à quoi on s’adonnait( qu’on pense sa lubie comme étant bienfaisante.

Car ne serait-ce que nous faisait vivre, bouger, ou pas assez performante ou destructrice.)Tout le monde était en cette capacité.

Problème : Pour faire quoi.

Quoi de bien.

Quoi qu’on puisse chambouler .

Soi ou l’autre ou ce que déjà fait.

§.284.

Peuples primitifs.

Ne rien comprendre.

Ne pas chercher à savoir psychiquement, car ce que l’on observe ne peut que complètement rester un mystère.

Peuple développé.

Croire tout savoir.

Et l’enfer créer.

De ne plus admettre que compréhension seulement en superficialité.

§.285.

Avoir une impulsion.

La guérir.

Communiquer avec celui avec lequel on la partageait.

Et nous viendra en l’inconscient ses solutions aux problèmes abordés, qui nous reliaient.

§.286.

Constater les performances de quelqu’un.

C’est aussi pouvoir observer fragilités. Mises à nues car force égales choses sur lesquelles on a dû insister.

De pouvoir de cette force une autre issue lui suggérer = faiblesses insoupçonnées car pas détectées d’être inusitées, abandonnées.

§.287.

Présenter sa faiblesse répond à la question genre ; Montre moi cela j’ai la solution.

Qu’on soit l’occasion de cette situation est.

§.288.

Les qualités dont on se voit doté.

Alors qu’elles sont le fruit de ce dont on est entouré.

Exemple : se croire ordonné alors que sa femme fait le ménage plus propre que d’autres alors que ce sont les bâtiments qui le sont, ne pas connaître l’insalubrité.

!

§.289.

L’homme connu est celui qui voyage.

Qui fait aller sa connaissance.

Il doit subir l’anonymat. C’est pour ça qu’on lui donne la notoriété. D’être personnellement connu ou de par sa fonction, son titre.

!

§.290.

Ces signes que j’avais trouvé insignifiant.

Ces signes dont je me souviens encore maintenant alors que j’ai oublié à quel moment précis de ma vie je les avais rattachés, depuis longtemps.

!

§.291.

Réaction impulsive.

Faire la gueule.

Non.

Le fortement normal.

Pas rattrapable.

Pas sans influence.

Pas négociable.

§.292.

le sentiment amoureux = mettre tout ses sentiments en un = devenir sensitif à souhait = développement des sens.

Problème : finir par croire ses sens comme éléments capable de tout gérer = nombril de la terre.

§.293.

Croire que les idéaux qu’on a et la possibilité, la rage, le courage   de les vivre.

§.294.

La revendication met tout le monde en transe.

Car elle est le combat.

On peut revendiquer mais si on est laisser tombé, qu’est-ce qui se passera.

La vie ayant besoin perpétuel de changement.

§.295.

Lien d’être.

Lien ancien.

Libre liens       pour retrouver le pourquoi du compromis, sachant que cet unité micro étant la plus consciente de ce qu’elle a tout âme que chacun soit bien servi.

§.296.

L’avenir avec ou sans mous.

Mais se fera l’avenir.

Il suffit d’une connexion pour ne plus s’écrire.

Mais tellement d’autres peuvent se créer, d’autres qui restent insoupçonnées.

Et ou on savait tout.

Cela faisait longtemps qu’on le savait.

§.297.

Le style, contrôler l’orientation sexuelle.

Amour, hêtres, obéissance.

Evoluer.

§.298.

L’homme se fait une idée vorace de la lutte pour la vie car toute la vie est vivace.

Jusqu’à ce que l’on voit que cette lutte débouche sur exemple :

La pollution, la disposition des espèces dont nous savons maintenant que si nous ne les préservons pas, nous les suivrons.

§.299.

C’est aux familles d’élever ses rejetons ?

C’est parce que les familles ont fait ce qu’elles ont voulues ; Qu’on est dans le merdier qu’à engendrer compétition – sur production  –  –  –  –

!

§.300.

L’homme vieillit.

Perd comme gagne des lieux et connexions.

Ne pas avoir peur de vieillir.

L’on vieillit ; C’est un besoin de la vie.

L’homme, tout être comme çà.

Un indicateur. Renseigner telle est la fonction élémentaire.

§.301.

Réussir son épreuve.

Un des grands plaisirs était de le dire.

Connaître le soulagement des autres à cet égard.

Savoir que ce soir, cela va être la fête de ses parents.

§.302.

sexualité et signes sexuel.

Peur de l’impuissance.

Comme la société fait croire qu’on est réduit à néant si hors de production.

Ne parlons pas de productivité.

Faudra t-il qu’on sache l’évaluer.

Sexualité – admissibilité – homme du groupe.

A son image via l’éducation.

§.303.

Observation de quelque chose est plus que cette chose mais comme palier, développement ; il rassemble également ce que l’on va accepter de ce nouveau positionnement.

L’abstention n’est qu’une étape ; mais un endroit d’où l’on voit mieux le reste.

Implique une meilleure confiance, car avancée dans la finition.

§.304.

Accepter – non accepter.

La sécurité physique étant de savoir que c’est par nous tout autant que par tout autre que tout peut arriver.

Ma vie.

Un monde allant, venant, changeant.

§.305.

On se rappelle, ou entre des moments que l’on endure pour que dans les moments où on a peur ou que l’on souffre, on sache que pas loin, en nous et donc en ce que l’on voit se trouve le désir.

Quand il n’y a plus                 -.

Cela ne se peur la vie, en est témoin.

§.306.

Pourquoi le désir est-il intimité ?

Le désir de voir, ou le désir de terminer.

FORMER, TUER.

§.307.

Le loisir, le              .

Ou de sortir de la difficulté.

Car dans le stress on peut s’aider à cela penser.

Penser à la récompense qu’on associe pas directement au projet mais à un moment bon pour la santé, synonyme de décontraction.

Le loisir limite, l’angoisse, la tension.

§.308.

Mettre quelqu’un à l’écart.

 = mettre un vécue de coté.

A marquer.

§.309.

Problème face à sa propre émotivité.

Fuir les endroits où il se peut qu’il y soit.

Inactivité de l’un pour supporter, encaisser, actionner où activé , le mouvement de l’autre.

§.310.

Elle me donne la liberté.

Sans elle je ne voulais plus de ce dont elle m’avait fait révé.

§.311.

A priori sur A.

Faisait que B je ne couperait pas.

Et que ce qui m’arrivait – le destin – je ne dévoyais pas.

§.312.

Le conflit au paroxysme.

Trouver le droit re se tromper.

Se dévouer entièrement.

Le faire pour soi.

Se dévouer comme on se trouve.

Le bonheur de ça.

Et de le pouvoir se comporter.

Comme un enfant le fait,comme un parent le reçoit.

§.313.

Elle pensait j’aimerais entendre le vent dans les arbres.

Et son enfant lui soufflait.

§.314.

Mon défaut est de sortir de son rêve vers l’action mais en ayant une amertume parce qu’on s’est mis à mener parce qu’empiétant sur notre action.

Alors que sans rêve pas d’action pensée.

La stupeur du temps passé.

Mais qu’est ce que le temps ce qu’on peut en penser.

Ne pas s’accaparer fusion, idées questions.

C’est pour se répandre en l’autre et que d’autres choses en nous puisse se révéler.

§.315.

J’en viens à me contracter jusqu’à ce que je reprenne conscience de non être pourvu de sens.

Et pouvoir explorer la dimension ou je suis.

(Ou je me sens être.)

§.316.

La perte de poids le débit, la qualité du sanguin.

La sensation à son corps change.

Différentes pressions qui s’exerce sur le corps.

Différences de changement de sensations.

§.317.

Les doigts crochus des sorcières, en fait la force des doigts de cyniques auront survécus.

§.318.

Rencontrer quelqu’un proche de ce qu’on savait (conscient) représenté mais qu’on osait fantasmer.

Rencontrer ce que cela comporte comme de vrais dangers.

Le pourquoi l’autre savait, pouvait avoir peur de ce que l’on était.(Nous jusque là n’osant admettre cette peur légitime.)

Si pas dans circonstances actuelles dans certaines circonstances si devenaient.

Comment tout peut arriver.

!

§.319.

Être en danger potentiel.

Car.

Se faire une idée = être bloqué.

Ne pas se faire une idée = avoir à expérimenter.

 = casse en perspective.

L’état n’était ni l’un ni l’autre.

!

§.320.

S’inspirer = aller vers une exigence productrice de plus de légèreté.

§.321.

L’accumulation des biens provoquer une idée.

Renverser.

§.322.

Remettre quelque chose au lendemain et s’en moquer parce que demain il sera encore à l’heure.

Mais à cette heure qu’elle place d’un autre accomplissement il aura pris.

Qu’est-ce qui prendra du retard à ne pouvoir être au plus tôt traité.

A la place que la prévenance aura gagné.

§.323.

Style de communication psychique.

Exercice de l’esprit.

Orientation.

Dans quel monde est-on ?

A la question je me construis réponds ?

!

§.324.

Où de prendre d’un côté ou de l’autre.

La réflexion, car quand on veut continuer on se casse la gueule de ne pas être juste.

Et l’on doit se recharger.

§.325.

On dit de la femme qu’elle était sans âme.

Car puisque le gros de la compréhension se faisait par la physique ! Que devenait ce qu’on ne parvenait pas à comprendre.

 = désamorcer.

§.326.

Le bonheur est dans l’idée.

Objet permet. L’orientation suggérer.

§.327.

Tout faire nos gestes, en devenir conscient.

Si conscient de pouvoir en autre endroit l’amener.

§.328.

Et si les signes par un jeu d’avec les significations pouvaient être le contraire de ce qu’on leur concède de définition.

La définition étant à cette attention, faites pour construire un équilibre entre un pôle et ce qu’il infère comme connaissance contraire afin d’accéder non à des connaissances mais à des  règles produisant un rythme qu’on pourra tenter d’influencer.

 = construire.

!

§.329.

Croire en un pôle.

                Déconstruction, désillusion, déséquilibre.

Croire en deux pôles.

                Questionnement, tension.

Cherche autre chose, échapper.

§.330.

La non acceptation du troisième est symptomatique de la non compréhension des deux pensées entre elles.

Homme plus homme.

Pensée  plus pensée.

Vivant plus abstrait.

§.331.

Les gens mettent de l’argent en eux (soins esthétiques) pour trouver une raison de ne pas se laisser aller.

6      A la dépression.

7      A la souillure.

8      –  –  –  –  –  –  –  .

§.332.

Ne pas croire en ce qu’on va faire, car issue d’un calcul que l’on fait avec jamais les éléments au complet.

Mais c’est pourtant ce calcul, cette visée qui va le mieux nous amener à honorer notre complément d’informations.

§.333.

Elle ne pouvait se douter paraître prétentieuse, ce sentiment puisqu’elle, était en train de tout déballer, ce sentiment c’est moi qui le tenait.

Comment faire pour signaler ?

§.334.

On ne pouvait lui en vouloir,avoir été vendu par quelqu’un dépendant d’un système de prostitution.

Etre honnête, malhonnête puisque les états abreuveraient les hommes de mains des vieux rois. La hiérarchie tout permets les maquereaux mieux.

La richesse avait été donnée aux seuls états.

Peut être l’argent avait-il été dilapidé en guerre plus qu’en industrie commerciale. (Pollution substitué à mitonner.)

§.335.

Être discret.

Promulguer un secret – di ssecret.

C’est à dire se prêter à l’ambiance plus ou moins et si bien que l’on se met à disposition de ce que veut percer.

Première règle en sortira ce que soi même ne sait.

D’où attitude de réserve lui étant rattaché.

§.336.

pour articulation. Les laisser retomber (exemple/ Plier son coude à fond) à partir du moment où on y met aucune tension.

§.337.

L’aimer follement.

Résolument l’aimer.

§.338.

Le rire ! (La réaction complice) ne venait pas de ce que nous avions dit mais de tout le passé et vécu qui a fait qu’on puisse tenir ce propos.

§.339.

Dormir – Mourir.

Vivre.

Pour que commence une nouvelle journée.

§.340.

Ne pas donner de réponse de savoir que ce qu’on en dira sera en dessous de ce que trouvé.

J’ai déjà entendu cela ne peut m’empêcher de le redire car ça c’est mes parents les plus durs qui me l’ont donné.

De les avoir vu, attendre que sur moi puisse se contempler.

Contemplable parce qu’évoluant.

Tout ce que j’avais c’était dans le rôle du Papa.

Papi et en crés.

§.341.

L’amour est justement comme il fait contre pour n’avoir aucune séparation qui soit assez longue pour s’en faire le deuil.

Où de l’oublier ou le manquer avoir que dans notre âme elle puisse continuer.

§.342.

Un régime sous lequel on préfère l’affirmation de peur qu’on voit laisser conspuer, maltraiter, accuser ses questions.

§.343.

Quoi faire de nos énergies devant d’autres avec lesquels on n’a le droit de se marier, de construire un avenir partagé  –  –  –

Tension.

§.344.

Le fruit psychologique.

Les défauts que nous contractons sont le résultat des différences de perceptions.

Ne pas voler est ne pas s’apercevoir qu’à tout moment tout peut partir en fumée ou nous être personnellement enlevé.

Alors pourquoi ne pas le faire ?

De ne pas ressentir la solution à éviter le risque d’être soi même pillé.

Est – ce que les solutions à cela prennent en compte toutes les réalités, résolvent le problème sans d’autres en créer.

Réponse = impossibilité ; plus ou moins tant qu’il y aura quelque chose à chourer.

§.345.

Donner à l’autre possibilité d’être enfant où parent.

On fait tellement de conneries que le monde meurt maintenant.

Profite de l’occasion sans différer plus longtemps.

§.346.

Je ne voudrait pas avoir leur age. (En parlant des adolescents) ils vont mourir trop tôt.

§.347.

Avoir peur du pêcher = peur de possible et réelles puisque constituants l’inconscient même si y restant tout à fait et jamais ne surgissant dans le conscient autrement que par la crainte d’être accusé, ou de laisser la menace sur les enfants peser.

Est être conscient également  (Donc susceptible de participer) aux structures mises en place afin de prévenir ou punir ce qui est condamné, (contaminé) par la société (nous le sommes tous).

§.348.

Répondre à un désir sexuel =

Répondre à un désir de reproduction = adaptation.

Adaptation = réussite.

Où trop de volonté de se conformer aux mêmes avant :

L’extinction.

§.349.

Eclipsé = si l’on ne trouve le moyen d’être reconnu par, vers quoi l’on s’est tourné.

Alors on n’arrive pas à se reconstituer et l’on se sait mort tout à fait.

!

§.350.

Le mythe de l’acteur.

Celui qui se fait connaître à symboliser les vies.

A vivre.

§.351.

On ne peut supporter le poids d’une injustice que fait que si elle est réparée.

Et la réparer = l’arrêter où plus exactement en arrêter une autre, où un système qu’elle puisse être perpétué.

Le traumatisme doit ainsi se surmonter.

Le traumatisme avait-il un but inavoué.

Si conséquences, aussi une raison est.

Je mange donc je chie.

§.352.

La recherche de la sensation corporelle = transformation ou émotion.

Refuser car ne pas pouvoir se sentir.

Rechercher car n’avoir plus que cela à sa charge.

§.353.

La réussite incite à la victoire.

Car pour la savourer il faut sortir d’ou l’on est, donc conduit à s’ouvrir.

§.354.

Tellement en a manger.

Que de pouvoir s’imaginer que son corps est en chocolat.

Comme ne plus pouvoir le digérer le foi.

Comme son cœur pourrait alors se croquer comme une vulgaire barre, aussi pur en cacao que soit.

§.355.

Être reconnu par ce quoi on se constitue où plus exactement savoir comment se sentir reconnu par cela.

Car se tourner vers quelque chose, être vivant.

Vivre par l’analyse d’une chose est d’être mort pour autre chose = s’être était être parti d’un ensemble pour tenter d’être complet, de s’assembler (Et donc de pouvoir regrouper aussi ce dont on s’était inspirer.)

On apprenait comment plus concentration = peut être, devenir une démonstration d’équilibre.

Quand le sujet qu’on exploite nous est demandé.

Que l’on devient indicateur et que l’on voit dans le fait même de supporter l’information une manière directe à sa progression.

Elaboration de la réalité, dans la réalisation.

Accessions mis sur priorités.

§.356.

Le courage implique de faire face aux fantasmes de l’autre.

Et leur fantasmagorie.

§.357.

On évite les sensations, les sentiments car on s’écroule, si on y réfléchit petitement.

§.358.

Avoir revu sa mère.

S’apercevoir combien on tient d’elle.

Les ans qu’on voit que les autres peuvent prendre de nous, les ayant pourvu d’elle.

§.359.

Persévérer.

(Préserver : le souvenir du) le jour ou tu es venu t’asseoir à mes côtés.

Oui peut être.

Simplement besoin de savoir.

Mais si c’est non tu me prend pour je ne sais quoi alors que c’est tout ce que tu me devais

Fin de DOC 13

computerised extra Doc 29 encadre.

Les documents ci-dessous ne sont utilisés que pour pouvoir être comptabilisés par les moteurs de recherche, la couleur est blanche pour rester invisible bien que représentant ce que la main a tra©é. Ils sont les documents d’empreinte digitale, mais sont quelquefois trop peu ressemblants à l’original, qui est lui sous forme manuscrite. Si toutefois vous souhaitez jeter un coup d’œil sur les feuilles en question, suivez le lien (bas de page): https://cetviesenfrancais.wordpress.com/

AUDIO I. Cassette N° 1/12. 1 ère série.

[ « é è ê î ï à â ù û ô ¤¤¤ ¨¨¨ Ô Ê Ë ç ++  |  §.++ »]

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Chacun à des raisons d’avoir fait ce qu’il à fait au moment ou il l’a fait pris dans un tourbillon soit mis dans une situation selon qu’il l’a fait exprès ou pas exprès.

Le volontaire et l’involontaire existe, par contre ce qui n’existe pas ce sont les choses sans raison : C’est à dire des raison mécaniques qui n’ont peut être rien à voir avec l’acte en lui même mais qui l’on conduit à agir ainsi, évènements effacés chacun portant, qui complète ce qu’il a envie et n’arrive encore à mener et résultat de la sécheresse qu’il peut boire un litre d’un trait.

Maintenant je peux dire une chose des plus merveilleuses du monde si mon doigt n’était là pour actionner le crayon. Qui écrirait ?

Enfin la personnalité ne peut pas être, et par personne, évaluée car l’inconscient est inconscient à l’autre comme à soi puisqu’on est inconscient aussi à ce qui nous pousse ainsi.

Analyser c’est se faire une idée sur un phénomène dont on n’a pas toutes les données.

Donc déjà, c’est d’avoir une intention qui forcément sera faussée. Parce qu’on va essayer d’établir un système en ne tenant pas compte  que le temps n’est pas contre soi.

Voir que quand il arrive que l’on doive franchir le seuil de nos efforts et que ne pas le franchir ce serait attendre que derrière une fois encore : On continue vers ce que l’on a fait et vers quoi doit faire que l’on le fasse encore.

Quelles sont les conséquences évaluables, analysables, donc qui agissent en conséquences sur le présent.

Je ne m’alimentais pas suffisamment  et je savais que mon corps pouvait alors se différer comme perdre le sens de la vue et j’en venais à perdre la ligne.

Je venais d’expliquer à l’incompréhension ou à l’essaie de compréhension de pourquoi je grossissais et pourquoi je le vivais comme une nécessité.

Parfois nos élans manquaient.

Nos élans vers des contrées tout juste soupçonnées tout juste parce que l’énergie de s’être égarés va alors nous y guider fait qu’à cela notre esprit commence à s’éveiller cherche peu le fait de pourvoir spirituellement.

A l’injustice on peut rajouter comme pouvoir entier et indivisé, à sonder et apprendre indéfiniment ce qui est entrain de se rencontrer même si les conditions font que ce n’est que l’air du temps. Puisqu’en fait tout ce qu’on rencontre est cela évidemment.

On peut insister sur un écho.

C’est à dire que cette rencontre peu à vie berner un monde nouveau qui est entrain de se constituer et au-delà de cela se connecter.

C’est savoir que nous sommes une partie d’un tout et que toutes ces parties si elles-mêmes se réunissaient chacune, d’entre elles pourraient plus longtemps penser et ainsi ne cesser de suivre ce pourquoi la vie est donnée.

Ce qui veut dire, nous est donnée et ce qu’on sait dans l’accomplissement même dans la plénitude la complétude ce qui appartient à tout le monde et ne sera jamais la même.

Et les gens sans appui, faire qu’ils se développent parce que chacun trouvera des moyens de se développer à tous les niveaux.

Faire qu’au niveau général de ce qui devrait faire que l’on soit uni comme en respectant les besoins et les capacités de chacun de nous là fait , que nous nous renforçons dans une folie du fait de ne pouvoir pas tenir compte de l’autre, de ne pouvoir compter calculer de se sentir exister que dans cette force flou et qui ne repose sur aucun critère défini mais qui nous évite à tout un et chacun tout les moments où on va vers elle dans le geste accompli.

Ce qui fait que quand on est dans ces moments là on ne voit rien de la conséquence de nos actes tant que notre entraînement dans la société et la place qu’elle a dans notre existence.

Née là à  notre entraînement dans la manière même de sentir les autres.

Sans cet entraînement là on est incapable de discerner ce que l’on fait que ce soit en faveur de notre bien être ou de celui du voisin.

Là où se déroule mais qu’importe où il va se poser ne percevant pas l’autre rien ne peut l’arrêter n’ayant connaissance de l’ensemble d’inégalité du fait que certain des éléments on est incapable de calculer.

Alors du fait que l’on grossit pouvoir avoir une pseudo explication de ce qui peut se tramer les temps permettent aux gens des troncs imposants et aux jambes démusclées (A moi lorsque le ventre me ballonnait).

Bien sur on avait peur car puisque la pauvreté maintenant justifie les inégalités.

Par : A bien oui, mais nous on a travaillé en rapport.

Avec ce que les autres n’avaient pas à le justifier ne produisant pas de travail officialisé.

Maintenant on peut craindre de ceux qui règlent les inégalités par encore une fois ne plus rien branler.

Peut être l’égalité pousserait les gens à faire ce qui leur plairait tant que serait mis au point pour que l’ensemble de nos besoins primaires soit satisfait, d’abord il fallait nous relier.

L’art était un témoignage de quelqu’un qui avait pu en quelques endroits se rencontrer était un témoignage à l’autre qu’il n’y avait que chacun y pouvait se rencontrer

Il ne fallait pas lui en vouloir, c’était juste la vision de la vie qu’il avait et on doit même faire des erreurs grossières ; Pour pouvoir démonter le mécanisme qui fait que nous sommes dans l’erreur sans nous en apercevoir.

Puisque ce sont des choses sur lesquelles on ne se pose même plus de questions qui sont  incriminées.

Ce qui avait d’excitant dans les films policiers c’est qu’on savait qu’également les gendarmes et les voleurs les regardaient.

L’action, la découverte la persévérance l’endurance autant de choses qui font que chaque élément se transforme en éléments qu’on prend en compte. Qui renouvelle, qui rafraîchit notre réflexion c’est à dire que ce qui devient magique dans la réflexion elle-même.

On montre, on peut mettre sur papier la manière même, la façon même, dont notre réflexion s’est transformée puisque à être tout à fait dans ce qu’on fait.

C’est à dire à connaître le plus possible les composants entraînés, le composant nouveau et en pouvant d’écrire en discussion ou ne discutant pas. L’un ou l’autre nous donnait des idées, idées qui faisaient que notre chemin se poursuivait et au fur et à mesure nous voyons.

Il nous était donné de voir ce qu’il se passait de discuter d’échanger ou de ne pas échanger.

Le fait est que nous avions une idée que cette idée nous amenait . Ainsi au fur et à mesure il nous était donné de voir ce qu’il était pour tous ceux qui ne comprenaient pas les terreurs qui pouvaient ce passer.

Qui égrainait quelques faits divers bien trempé.

Il n’était qu’une seule chose à répondre.

C’est combien de misère ?

La misère existe c’est effectivement vrai.

De notre propre réaction alors que nous lui laissions la place dans le système de pensées.

La vertu, la rigueur ne pouvaient me gagner parfaitement que la qualité de ma réflexion intérieure en dépendait que la manière dont j’appréciais le monde qui s’agrandissait, par autant de fois perfectible était significatif d’un emprisonnement d’une porte qui nous rappelait une issue pas encore trouvée, d’un rapprochement qui pour l’instant ne se faisait.

La place qu’on voulait se donner

Puisque la rencontre à l’autre est un voyage et que le fait de pouvoir rassembler nos forces les combiner ;  Le fait de nous comprendre de nous parler d’expliquer dans les sphères partagées ce que l’on fait.

Le besoin de communication dans plusieurs échelles.

Notre relation est imbriquée, les conneries, les abus et la communication.

La communication seule puisse nous rappeler que les autres tours (recours) sont en train d’exister.

Les besoins parallèles à nos envies, nos besoins de se développer, parallèles à ceux qui sont  comme outils notre rapport à l’autre.

La communication l’échange la performance le raisonnement puisque la raison ne tient que parce que l’on approche, c’est à tout le groupe que l’on se relie.

On peut s’imaginer être piquant des boules de pu nous nous trimballions si utilement qu’une poche de pu chez nous ou en l’autre nous crevions.

Si on savait consciemment qu’une pâtisserie était trop grasse, trop sucrée à manger et qu’on adoptait un régime adapté à la santé. L’extrême plaisir qu’on associe toujours à la pâtisserie n’est pas celui qui nous est donné de la manger, mais le régime le permet.

En fait :  La pâtisserie représentait l’autre aliment.

C’est à dire suivre un régime suivre son idée on savait que cela nous mènerait de plus en plus à partir du moment ou c’était le bon. Mais sur le moment c’était pas le bon parce que pour moi l’on pourrait l’appliquer à la lettre.

Bref le plaisir que l’on peut se prendre à manger une pâtisserie par exemple mais le symbole qui allait se réaliser dans l’aboutissement présent.

La pâtisserie parce que son effet n’était pas encore de nous connut le fait qu’on s’en rende compte de c’est bien fait et à ce moment là c’est les aliments que l’on mange qui deviennent un extrême.

Dans tout ce que j’entends et dans tout ce que je vois la haine de l’homme pour l’arbre.

Puisque si maintenant il représente la vie tant de fois il a représenté ce qu’il ne pouvait traverser pour lui, la forêt.

Explication d’une destruction d’aujourd’hui.

C’est pour cela qu’il invente des concepts pour dire d’une manière ou d’une autre elle n’est pas vraie, elle n’est pas là, il se voile l’esprit.

Parce que l’on  devient fou à savoir que cela peut être rayé.

Parce que sur un plan qui peut être en harmonie, en équilibre, sur un plan tel que celui : Là on peut escompter pouvoir le changer si tant est qu’on soit mis dans une situation  ou on ne peut pas.

Audio 1. Fin de cassette N°1.

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Audio 1. Cassette N° 2/8.

Dans des années auparavant pour notre chance de la succession des moments nous savons que cela certainement comment l’individu se spolie pour continuer à travailler sur un sujet défini.

Parce que s’il vivait son développement en plein alors d’autre il voudrait à exercer son talent sur d’autres terrains.

La logique c’est que tout le monde soit toujours vivant et continue en son élan  soit que tout le monde meurt il n’y a donc n’y à avoir mal ni à avoir peur ou l’on veut que toutes nos pensées puissent s’embrasser puissent toutes dans mon histoire d’arc en ciel que l’anglais dit pour fixer une limite, (capte – cap ?)

On pouvait ne plus avoir peur car on voyait un car on se rendait compte.

L’événement nouveau nous surprenait suite à cet élément.

Les faits nous protégeaient nous n’avions plus peur de celui-ci.

A l’inverse, le moins de l’habitude s’associe avec un problème.

Le moindre bruit faisait que l’on pouvait être par lui effrayé.

J’enregistrais un petit peu des moments, des bruits, que j’entendais. Le chant des oiseaux, celui de la pluie dans un parc ou lorsque j’étais en train de rouler des moments qui dans mon cheminement m’accompagnaient.

Cheminement intérieur m’accompagnaient.

Sur le pare brise je voyais une ombre de moi, une bouche et deux autres cavités, qui pourtant avaient un volume, une présence, cette ombre quand je la regardais.

Ces pépiements d’oiseaux, réentendre, écouter, ou cette peur terrible d être dépasser par une voiture à l’endroit du point mort.

Déboîter  et entendre sa carrosserie se briser peut être que ces moments là seront les seuls à me rester.

Autres que ce que ma mère peut me porter ou de l’attention d’autres ou de la mienne pour eux.

Savoir, pouvoir, sur l’autre pouvoir reposer que la confiance puisse s’installer pour cela la seule manière donnée était d’être attentionné et surtout que chacun soit identiquement traité.

Les chauffeurs qui dans la nuit éclairaient leurs cabines.

N’était pas nécessairement pour être vu.

Mais ce qui est sûr c’est que c’est leur reflet qu’ils voyaient.

Le rapport à la pâtisserie peut être soi même fait que son corps respire la santé les odeurs de son corps deviennent une friandise.

Le sein.

Rapport à la féminité le fait d’en prendre conscience les font se redresser car relation à la féminité.

Glande mammaire n’est pas un muscle relié c’est à dire que on prend conscience en dehors d’un mécanisme de contraction musculaire.

On a peur des personnages que l’on va incarner.

Du personnage en tant que la sensation qui va se peindre sur notre visage.

On n’a pas conscience qu’il est à chaque fois différent et qu’il y en a une infinité.

On se r’attache toujours à des stéréotypes alors qu’en fait ces sensations là nous amènent une réalité de soi par laquelle on est tout le temps heureusement dépassé.

A un moment donné j’ai parlé de la peur de la peur.

Des petites peurs, des grandes peurs de la peur, qui ne s’installait pas parce que l’évènement qui se produisait, on n’était quand même protégé tout cela et cetera.

On pourrait ajouter que, à la sensation, il faut se mettre dans la tête que la sensation de l’événement, que l’on ai peur ou pas, ne nous protège en rien dans le sens ou ce n’est nullement la sensation qui fera l’événement ou pas.

Bon admettons qu’elle le fasse.

Il faut laisser faire la sensation et le boulot d’un homme est d’agir en fonction de l’évènement qu’il ai une influence O.K. mais qu’on ne contrôle pas.

Mais en plus qui a une influence sur des  évènements plus tard en tous cas sur le présent elles n’en ont pas, à par le pont à l’acte de choix.

L’acte de se remplir.

Le fait de mettre l’objet de son désir l’objet que l’on assimile à sa survie en ne pouvant être mieux protéger que ici inviolable que ici irreprenable.

L’homme !  Les parasites de la terre entière.

Ils vont puiser  devoir passé devant un bâtiment éclairé de savoir que le reste de la terre de froid est entrain de crever.

Passer devant un bâtiment aussi impuissant a arrêter ses lumières que l’on passe impuissant devant les massacres perpétrés comme s’il devait savoir nous laisser informé comme s’il nous fallait savoir nous glisser dans l’irréalité non pas dans l’irréalité  de ce que le monde nous offre a voir. Mais même dans l’irréalité de ce que l’on est, de ce que l’on croît connaître, si le fait de ne pas relier l’énergie personnelle au énergie au but commun fait qui oblige l’individu à se développer lui même.

Mais pour cela il doit avoir des stratégies qui font que le développement d’une part de ce qu’il fait devient complètement incontrôlable et va être source d’une inégalité encore accrue.

Puisque partira du principe que pour arriver à ces fins du principe de compétitivité qui revient à nuire à l’énergie de l’autre pour pouvoir que la sienne, que l’on met dans cette compétition directement à son talent, à nous donner notre manifestation intérieure.

Quand je compris que mes démons et mes manifestations intérieures la haine, on voulait tout comprendre dans nos délires, le passé, le présent d’un être, tout savoir de sa vie.

Et on y est arrivé.

Alors évidemment la haine ou l’adoration était choisie pour combler ce qui s’était passé en dehors de notre contrôle des bonnes et des mauvaises surprises.

La maîtrise de soi est la seule maîtrise qu’on ai et socle de tout les respects même à la sensation qui va de nous se dégager  puisque notre être et la sensation que les autres et que cette sensation est le mouvement encore y allant raccorder nos êtres n’avait pas été au point avec la stratégie qu’il fallait que je tienne les idées qui venaient en ma tête et repartaient sans que je puisse les retenir sans que ma mémoire les retiennent la folie du bon et du mauvais traitement son propre être entre ne absolument pas réaliser ce qui est autour de soi  et se prendre.

Prendre son corps pour un corps pour être plus ou moins que  devrai être à chacun les responsabilités impossibilités de se relier vraiment. Donc ce que sait chacun et ce quoi devrai écouter la part d’éducation et d’enseignement est complètement mal répartie et d’on cette incapacité à reconnaître l’existence de l’autre ou à la glorifier.

Ne tellement pas la reconnaître donnant lieu aux deux extrémités. Rien n’est trop beau pour moi et d’une manière obsessionnelle ne pas récolter le plus mauvais.

Toujours, tous les jours, non pas que je sois  le plus vertueux, parce que la vertu comme toutes les autres caractéristiques, ne se pose pas. Mais tous les jours, je sais qu’elle me tend les bras, moi il pouvait me dire tout ce qu’il voulait, cela ne me dérange pas.

Mais de relief la vie à la pasticher, on avait droit à la comédie, il y avait pas de mal à ça.

Tant que les apparences, le fric, le vampirisme, devait s’inventer des lits.

Avant d’avoir peur on s’inventait des personnages aventure à penser être plus vertueux plus méritant et surtout accroché à se que l’on croit, ignorant de ce qu’on ne sait pas.

Subsiste une once d’inégalité alors aucun esprit ne peut connaître la société.

Puisque toutes pensées à pour but de pensée dans le bon droit il faut connaître les gens à connaître les qualités et les défauts de chacun pour comprendre : Qu’on ne vaut pas plus que les uns ou les autres, on ne vaut pas moins.

L’harmonie avec soi même est la seule chose a laquelle prétendent peut se fier chacun.

Et cette harmonie là  c’est l’évènement qui le crée c’est à dire que c’est les défauts et les qualités de chacun qui nous met dans la situation d’avoir une propre moralité simplement pour ce qu’on a rencontré les coutumes les façons de vie comme un héritage du passé comme pour l’individu une raison d’être le fait qu’il ne puisse appréhender la diversité l’incontrolabilité du monde entier ce qu’il a appris il sait que c’est ses ancêtres qu’ils l’ont construits qu’il est en fait le fruit d’années de travail de survie si cette survie donc ce bon coté de la vie est transmis nous sommes dans un état d’urgence sanglant.

Que la mort rôde sous forme de guerres intestines ou extérieures. Mais les coutumes, c’est à dire tout ce qui est en rapport avec  les corporations des métiers, les costumes, la cuisine, sont autant d’éléments auxquels on se raccroche.

Comme pour nous peut être persévérer lorsque l’on sait être dans le tord la moitié car si on le savait complètement peut être que l’on s’arrêterait tout à fait.

Tout cela est bien pour nous montrer, pour nous prendre en flagrant délit de défaut peut être  pour se rappeler que tout le monde voudrait le bonheur pour tous.

Le problème étant que jusqu’à nouvel ordre ceci n’est pas aisé c’est pas qu’il aurait voulu être violé par lui mais il fallait être violé et tant qu’à y être pourquoi pas avec celui qui lui était désigné.

On réagissait tous pareils à des moutons parce simplement ce que nous étions en train de faire répéter comme quelque chose  que nous signons comme ces préjugés inlassablement répétés  simplement nous nous comportions comme des moutons parce que dans le même temps à autre chose complètement autre chose nous étions en train de penser. La grâce ne peut me toucher qu’à mesure ou nous la rendons ou c’est en son honneur que ainsi le rythme d’une musique à partir du moment ou c’est sur son rythme que la grâce même nous concevons l’âme se ressent personnellement car on est sensible à ce que nous vivons et de la manière dont on le vie préalablement elle nous reconnaît exprimée.

On reconnaît ce que l’on vit par l’expression d’une autre vie et ce qu’elles ont de similaire alors nous emplies les miroirs de l’âme et de l’amour.

Nous avons tendance à reproduire nos défauts dans oui c’est la dernière c’est le dernier, marquer son temps.

Marquer pour avoir une seizure pour essayer de pouvoir apprécier mesurer les effets de la vertu nouvelle car il n’y a pas d’autre moyen d’évaluer son existence que la résistance.

Donc la résistance au péché,  au péché dans le sens que l’on pense que l’on ne doit perpétuer et cette résistance là existe dans une notion d’habitude.

Si il faut y résister, a partir du moment ou on a l’habitude de faire autrement et l’on veut marquer son temps.

Or c’est oublier que notre résistance en d’autres circonstances va s’exercer parce que déjà l’habitude par laquelle le péché, une nouvelle habitude se crée.

Ces moments là ne sont pas à manquer puisqu’à chaque nouvelle opportunité une nouvelle adaptation de comportement une nouvelle sratégie il faut adopter.

De plus, cette résistance là à partir du moment ou elle a fait ses preuves dans un domaine, alors un autre domaine nous est donné avec d’autres envies bénéfiques et malfaisantes et avec cette même acuité à développer en ce qui concerne la connaissance la recherche l’expérimentation puis l’exercice de sa volonté vis à vis des principes que l’on croit avoir trouvé.

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Audio 1 Cassette N° 3/8.

Un passage anglais supprimé, repère 125 sur lecteur.

Démarrer à donc : Point 126. Repère Cassette 3. Face A.

Cette nuit la lune seule dans son coin de ciel flirt à une étoile un rayon les relie entre elles la lune c’est peut être moi ce soir et elle l’astre puisque mon véritable soleil puisque incombe puisque lui incombe, mon réveil de faire ma femme, décide que si c’est avec moi qu’elle se marie, ce soir, alors la lune pourra briller pour moi, si ce soir elle dit OUI. Elles ont toutes leur moitié de ciel.

(28 où 22 ?) 02 2004.

En fin de compte la lune est à 90/100 éclipsées à 10/100 allumées et son étoile suspendue à son étoile là c’est vraiment accrocheur la moitié de ciel que je regarde n’est sans doute cette fois, si en pleine journée je les verrais, tellement que ne me touche plus que leur propre luminosité.

Pour une fois que je serai le soleil de la lune en cherchant à voir si j’ai une réelle patience une réelle écoute.

A chercher à voir si maintenant qu’elle savait qu’être son amant j’y mettrais toute ma puissance.

Etre la mère de ses enfants pourrait elle avoir toute confiance également elle pensait tellement à moi.

Tout ces gestes tous ces mots tous ces regards me le prouvant et par ce pouvoir qu’elle avait ainsi chercher ma relation à elle me guidant rien que pour ça toute ma vie.

L’attendre je l’aurais fait et de cela très content et sers à cela le temps, le temps perdu qui ne l’est pas, sert tout simplement à ça.

Le temps de, l’autre pense à moi, puisque s’activer dans le temps : C’est comme une accumulation,  comme remonter cette machine et attendre l’explosion, accumuler, accumuler, accumuler, et n’avoir  plus qu’à attendre la transformation, la machine à remonter le temps.

Et le corps humain lui même, dans le sens ou il accueille le passé il fabrique le présent et de lui le futur peut se projeter.

Remonter le temps dans le sens de pouvoir tout accueillir et de cela tout renaît rapport au temps c’est à dire l’occuper physiquement spirituellement et caetera.

Et ce schéma de moteur à explosion c’est de pouvoir se remplir pour que quelque chose d’un accord de cette pluralité nous étions des littéraires et avant que quoi que ce soit nous arrange, j’ai honte, pour que les bébés délibérés, puisse à un roman, donné matière au come tip.

Ô combien il était rassurant d’éprouver de l’affection pour les gens que l’on insultait peut être cela participait aussi que si (nous étions) on était mis en position de faiblesse dans une certaine situation donc en se sachant soi même en difficulté sur un certain aspect des choses donc se sachant insulté plus ou moins consciemment ou inconsciemment dire qu’on était pas détestable pour autant.

Des (par) fois j’avais tellement l’impression de dépenser rien de mes journées énergétiquement je me demandais si on n’avait besoin de manger vraiment.

On (nous mangions) mangeait frugalement, de combien notre action notre pensée était frugale aussi.

Le monde de notre point de vue ne pouvait être autrement que fou et frêle.

Savourer le moment, regarder les gens faire cela, était pouvoir refaire le moment à tout autre instant.

La mémoire portable.

La jeunesse permettait à l’amour de se concevoir sur la base du tout est permis puis (plus) on avançait dans nos vies puis (plus) on savait ce qu’elle était ce qu’on en avait choisit.

L’amour pouvait être toujours aussi profond.

Même plus car on savait comment la crever et même si avec tout le monde et en tout il demeurait, et notre, avec tout autre qu’avec nous même, pouvons nous, la partager.(le type : Il avait attendu quelle soit enceinte pour la frapper).

Il y a des réactions qui apparaissent floues de faire diversion car sans celle ci des choses auraient explosées.

Toute chose est bonne à se révéler par exemple se transformer en loup garou aveugle au moment ou on à besoin de ses yeux et de ses mains pour conduire et ne pas se foutre dans le fossé.

Il vaut mieux être par autre chose, happer.

L’art est là pour nous rappeler des moments vécus et des moments espérés.

C’est vrai c’était dans mes capacités que d’écrire cela mais je compris peu à peu que de lui envoyer cela ne l’était pas.

C’était en accord avec ce que je pensais et ce que je ressentais de cette idée me la rendais belle.

Tout ce qu’une émotion peut amener de la vivre comme une réplique de ce que l’on est, mais elle, à quoi elle l’a raccrocherais.

Au dolmen simplement que moi, que nous, le pot dont nous avions discuté.

L’art, est l’art de soi.

L’art est la conduite de son énergie et pour cela il nous apprend à se conduire soi même que faire de son outil afin que cet état de grâce. L’art nous indique quelle voie prendre pour que la voix se fasse entendre.

L’art est la retransmission des ondes sur lequel est l’autre sur lequel est l’un.

Le champ de bataille sur lequel tout reposera enfin, s’occuper de son destin, se faire l’amour à soi même.

Inutile de mentionner les enfants qui suivent l’acte :   Même.

M’aiment.

Le contrôle sexuel : Se respecter et admettre également la sexualité en temps que source et circulation de l’énergie dans le corps en entier.

Qu’on ne peut séparer et donc quelque chose qui se passe à longueur de journée.

Refus et difficulté, contrôle de son émotivité, de son avidité. Contrôle :

Préserver la violence qu’on ferait à l’autre, qu’on se ferait à soi même dans le cas ou on violerait cette sexualité, c’est à dire la vouloir à tout prix sans penser au désir de l’autre ou sans penser à ses propres devoirs  et sans plus se soucier de sa longévité.

Si l’on associe oisiveté sexualité et luxure contrôle de la sexualité donc contrôle énergétique.

De toute manière l’aboutissement c’est trouver l’amour dans tout ce qu’on fait : Amour et bien être. Merci ma peste.

La conversation intérieure que l’on a  permet un échange visible de l’extérieur, un échange intérieur visible de l’extérieur une construction de l’esprit, un dialogue puisque tout ce que l’on fait : Son rapport à :

L’objet.

Son rapport aux souvenirs.

Son rapport à l’idée.

Son rapport même aux autres intellectualisés.

Par exemple le dialogue intérieur que l’on a est souvent symbolisé par :

Je parle bon, enfin !

Je m’entretiens avec ce que me dirait la position de :

Mon père.

De mon frère.

De ma patronne.

De la connaissance.

D’un autre.

De toute manière cette relation là, cette existence, cette manœuvre de l’esprit, donc permet à celui qui est à coté  de voir ce que l’esprit de son voisin fait comme chantier.

Ce qui ne serait pas possible sans ce dialogue intérieur qui permet finalement à l’autre d’observer l’autre.

Laisser une œuvre derrière soi c’est l’espérance que ces bribes d’idées puissent être rassemblées d’une année sur l’autre.

D’un élément éloigné l’on sait que quelque chose vient de quelque chose et ira vers quelque chose d’imprimé cela en leur donnant une chance plus grande pour quelle soit plus vite assemblée

Remarque une idée n’a pas besoin d’être construite pour donner une idée.

Une simple idée peut en étant lue simplement révélée à l’autre. Devant toute manière ou isolé devra faire la connexion, aux siennes d’idées déjà installées.

En conclusion l’art peut se résumer au souffle que l’on émet.

Rêver et écrire de  façon différentes.

Je n’insistais jamais sur les conneries dont la personne savait était en totale état de savoir ce qu’elle avait dit.

En fait c’est dire des conneries quand elles arrivent à l’inconscience. C’est une sorte de jalonnement personnel de se dire tiens, je n’ai pas intérêt à glisser, donc au lieu de pierre nous allons dire repère, c’est lui-même lançé.

On était guidé par bip.

On était dirigé par la nécessité de trouver, de dégager ce que l’on rencontrait de particulier.

Nous étions seuls parce que unique en notre destinée, mais le fait unique était l’élément à l’ensemble que nous avions à ajouter.

Le fait même que à l’ensemble l’on appartenait. Le fait la preuve même.

Et après cela se replonger dans l’œuvre de l’autre afin d’avoir une ouverture supplémentaire sur ce qui nous entourait, donc sur ce qui constituait l’ensemble, donc situer une idée sur ce que l’on aurait de ce que l’on pourra en nous trouver et raccorder (ces mots là s’exprimant que le mouvement puisse se replonger dans l’œuvre de l’autre) l’identité de son ressort qui permettra de le retrouver en nous puisque l’on va au-delà de sa réflexion

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AUDIO 1. CASSETTE N° 4/8.

Il faudra m’indiquer tu as été scolarisée que j’évite cette région ou ville.

Qui sait si ce n’est pas contagieux ?

Plus qu’à remercier la vie.

La vie ?

C’est lui dire merci !

Posséder totalement sa force et devoir cela point par point.

Ce que l’on a et ce que l’on vit, imprenable, ce que chaque chose est en relation avec l’énergie.

Ce qui fait le fait même qu’une chose ai pu se être elle se distingue ainsi.

Parfois tellement fatiguée que je pouvais comme un accident désiré. je désirais l’accident afin de l’imaginer avec un nombre limité, relatif de pots cassés,   car la fatigue se refusait à admettre que un accident à sa mesure pourrait arriver.

Elle adorait me voir comme ceci car mon attitude reflétait sans que moi même puisse le savoir une relation sinon un lien totalement direct voir identique avec ce qu’elle était en train de penser ces moments.

Ainsi aux gens remarquent ce qu’ils transportent ne sont pas des sentiments passés.

N’est pas autre chose que des expériences et des idées qui ne demandent qu’à continuer, qu’à progresser, et c’est en voyant ces similarités entre individus :   Ces concepts.

Ces connaissances.

Ces savoirs.

Ces expériences.

Font que l’attitude des uns et des autres se recoupent.

C’est grâce à ces échos que la foi anime et circule dans tout ce qui ainsi transparaît.

Je l’attends, ferait-elle partie de ces gens qui ne prennent, qui n’ont pas même le temps de penser qu’on les attend.

Ou n’ose le soupçonner.

Mais pourquoi alors croit-elle pouvoir me le proposer.

On ne doit pas se précipiter dans le sens ou chaque action pense faire sauter, peut être mise en parallèle avec une réflexion :

C’est à dire, j’agis, je réfléchis pas forcément à la même chose, parce qu’on peu agir, on peu baptiser, ou en tout cas le temps et la réflexion peuvent occuper différentes parties du cerveau et donc ne pas se péricliter.

Mais l’objectif est de pouvoir faire les deux en même temps car gain de temps, gain en air, parce que déjà faire une action qui ne permet pas de réfléchir c’est être totalement voué totalement dans les brancards [(quoi déjà quoi) C’est du langage écrit cela ?] donc c’est dangereux car on n’a pas de recul vis à vis du temps, vis à vis de la vie.

On exécute et l’erreur est fatale.

Sur un autre plan on perd en air.

Agir et réfléchir en même temps donne :     Un rythme.

Une profondeur.

Un relief.

Action, réflexion vie, présent, avenir aussi.

Le fait que l’action puisse à tous moments se dévouer à la réflexion et la réflexion, à tous moments à l’action.

Le fait de pouvoir  faire les deux en parallèle et vivre son existence par rapport à cela.

C’est à dire vivre l’action en tant que réflexion et vivre la réflexion en tant qu’action.

C’est aussi s’habituer à un rapport stratégique avoir un rapport sans arrêt critique, analytique de se distancer, d’émotionnellement se contrôler  d’avoir une plus juste vue de ses ressources

Des ressources en temps, en vitesse, en espace, on a l’impression parfois que ses membres prennent une indépendance par rapport au reste du corps.

En fait, je pense que cette impression vient lorsque le membre se connecte et en relation étroite, directe pourra t-on dire et pas celle qui est à coté et dont on présuppose un mécanisme linéaire.

Le membre prend son indépendance avec justement ce qui elle a une action à coté peut avoir un rapport de levier entre la partie qui bouge et une autre partie sur laquelle elle a une action sur laquelle elle s’appuie.

D’où l’extrême importance de la culture physique qui développe les divers chemins de l’indépendance et de son auto aptitude à se soigner.

[(C’est sûr que de cette façon là ce n’est pas intellectuellement que tu va te développer.

Sais-tu que la chasse aux monstres préhistoriques est fermée depuis quelques MILLIONS d’années pour cause de pénurie, et que dans le monde actuel nos sociétés sont plutôt à la recherche de cerveaux. Pas au sens de l’instruction ! Cela en apprenant « par cœur » n’importe quel (elle) couillon (ne) peut y parvenir, mais au sens de la capacité de REFLEXION !

Un mot qui semble être inconnu du plus grand nombre.

En ANGLAIS je t’entends apprendre par coeur des phrases toutes faites, pas à les constituer toi même dans le sens que tu pourrais apprendre de la philosophie ANGLAISE QUI SEMBLE ËTRE TON CHOIX.

JE ME VOIS TENU de te dire ce que j’ai dit à d’autres en d’autres temps :

Les, la, connerie(es) c’est comme les coups de marteaux sur la tête : C’est très bien !

Quand cela s’arrête : Abrutie !)] D.PORTEBOEUF.

Ce à quoi il peut être pluriellement relié est égal.

Corps pas coincé la peur qu’on à de se baisser.

La peur que l’on a de faire mal à son dos que si on se baisse ceci est un moyen de tirer la colonne vertébrale en tout  cas les muscles pouvant la soulager comme le mouvement des yeux à partir du moment ou le but n’était plus de voir le mouvement des yeux pouvait refléter le mouvement de l’esprit tout mouvement est égal à une rencontre.

Les yeux pouvaient symboliser l’esprit touchant un autre esprit la douleur, elle, était là pour nous faire comprendre que l’homme pouvait se(’y) soustraire, ou l’on pouvait provoquer ce qu’on fait que par (la) nature (de) notre esprit.

(SOURIRES DE CAROLINE quand je lui ai demandé si elle s’ennuyait autant en dictant cela, que moi en le tapant au clavier.)

Touche à notre esprit et que par nature tout esprit est tout autre et que donc nous sommes en communication permanente avec le tout que l’on voit ou soit comme isolée ou soit comme quelque chose qui rejoint de toute manière l’ensemble les esprits regroupés pendant qu’ils en est encore temps j’aime bien regarder la télévision (Tu as du temps à perdre ?).

Lyrisme.

Devra naître en grande partie de se parler à soi même, (mentalement ou non, d’ailleurs ! Là d’accord) de l’entraînement à se parler à soi même l’entrain le monologue mais qui prends les formes du dialogue la poésie prend les formes du dialogue en fait la poésie c’est un dialogue unifié concilié, (Ou chaque lecteur doit pouvoir se reconnaître comme l’interlocuteur de l’auteur ; Impersonnalité du texte aussi bien en prose qu’en vers.)

L’effort c’est faire que ses idées d’elles-mêmes puissent se ranger.

Il ne faut pas tomber dans l’aigreur : Parce que si l’on se défend rien que pour avoir une idée de vengeance assouvie, le seul message qui peut transparaître c’est ; Continuons la folie.

Le sang froid c’est se défendre et défendre celui qui est en proie à (ou pris comme, la, une, proie) ceci concernant tous les acteurs de ce vaste cinéma, vaste   .   .   .   .    cinéma.

Je viens de ressentir dans mon ventre comme si les copains m’avaient branché un tuyau et que le pu sorte du rafiot.

Les gens se réservaient l’autoroute  eh ! bien ouais faut pas déconner qui pique-nique.

Ils ont une livraison à faire faut dire que c’est pas marrant les vacances faut dire que la vie en général ça l’est pas voilà ce qu’on se disait avec Papa pourquoi pas aller en forêt mais c’est pas le bitume qu’il préférait c’est la nature et la nature véhicule l’idée de la solitude, d’être seul et c’est ça que certains ne peuvent supporter ce qui est d’ailleurs légitime parce que personne ne  peut se faire face sans quelque chose en lui à travailler et donc sans avoir un outil intermédiaire lui permettant de le faire.

On peut élargir évidemment la question avec le rapport à la nature le fait que l’homme la souille sans .  .  .  .    .SCRUPULE.

Ce n’était pas qu’il ne s’intéressait pas c’est simplement que la vie donnait à chacun la possibilité de s’élever en ayant que pour repère ses gestes son souffle.

Mon grand père qui avait passé sa vie comme pêcheur et comme menuisier.

Maintenant moi même je savais ou il était.

Il était dans son meuble.

Il était dans son arbre qu’il avait regardé.

Il était dans ses poissons.

Tout autant que dans moi, l’esprit du grand père, ne cessait de couler, ne s’arrêtait de couler et ne cesserait pas.

Nos mimiques, nos gestes, et caetera ne sont que des attestations du fait  que l’on capte mutuellement se reçoit.

On a pas de gestes stricts ou agressifs conciliant, ou, et caetera.

Les gestes ne sont que des signes que l’on partage le même air ou l’énergie se déploie.

La route, toujours la route.

Etre parfois au bout du roulant me référant et l’équilibrant d’un pont c’est à dire qu’il est fait pour qu’on se repose dessus.

On peut dire que l’exploit est réalisable, qu’on puise analyser ce qu’il a fallut comme imagination comme détermination à l’encontre de l’inconnu pour pouvoir y arriver, donc ça étant de moins à faire, vis à vis de la situation du fait concret.

On peut tenir le fait concret, comme quelque chose allant de soi et garder cette réserve de l’exploit, de l’absolu qui est la rencontre de toute inconnue et que tout homme à en soi.

Bateau.

Nous étions les parasites d’un autre qui avait trouvé comme homicide, pesticide homicide, de nous faire crever à fonction que nos corps avançaient.

Il doit bien en être pour quelques uns que le temps. ( et non pas TAON, cela ne pique plus : Je l’ai tué.)

Donc ce qu’on peut appeler peut être la forme et le déplacement humain de l’esprit donc le temps de que qu’on voit de maintenant de l’esprit de l’humain.

Il doit bien en être (ainsi) pour certain.

N’est pas, ni de vie ni de mort, donc que le temps soit un cercle qui pour nous serait sans fin et qui pour l’autre aurait une fin.

Après le temps, quoi d’autre programme, qu’il fallait le supprimer. Pourquoi faire.

Une seule constatation de notre point de vue c’est qu’on est toujours plus mûr à pouvoir en décider.

On réfléchit sur le temps, bientôt cela sera sur la question d’après.

Je m’en fous, je ferais tout autant le cafard que celui qui l’a pourchassé.

Je vivrais en tant que cafard heureux accord té et dans mon agonie, dans toute agonie, je sais que  toujours plus loin.

Le phénomène de compétition est un faux précepte un faux concept puisque scie quelqu’un.

C’est une manière artificielle de retenir l’attention alors que la manière naturelle serait d’être à ce qu’on fait et non pas à surpasser ce que l’autre fait puisque l’autre a des capacités propres, une vue propre et caetera, enfin tout dans son contexte lui est propre et de notre contexte différencié la manière naturelle, est de trouver sa voie.

C’est à dire que si celui là, est plus fort que moi, dans ça.

Et bien ?

C’est non !

Pas à moi de le surpasser.

Et que je n’ai plus qu’à inventer ma propre psychique ma propre activité.

Dans le jardin d’EDEN l’esprit peut manger tout ce qu’il désire C’est à dire tout lui est offert, tout lui est tendu, pourtant il s’arrête pour avoir la continuité, pour avoir la connaissance, la connaissance de quoi que parce qu’il se ressent comme partie comme appartenant à un tout et qu’il a besoin de voir ce qu’il goûte ce qu’il fait pour que son appartenance au tout et sa destinée lui soit bien confirmée. L’attirance de l’inconnue, la mort est notre vie, cette attirance l’est, l’incertitude de l’infini il voit la puissance de l’accrochage, puis après l’écoulement, l’agressivité n’est que le choc de la rencontre. Ceci passé la lumière peut entrer.

Parce qu’elle revenait en moi je comprenais quel rôle que se pouvait que je jouais dans sa vie.

Le regard qu’elle avait celui demeuré alors interdit.

Tant qu’il y aura des gens pour connaître l’amour qu’est la vie à cohabitée avec eux ou avec n’importe quelle autre idée il sera d’autre (s) animal (ux) sur terre.

Se dédier à, et du même coup la raison même de se pourquoi l’on vit.

L’homme n’était connecté alors chacun n’avait d’autres alternatives que d’établir de grosses colonies bunkers face à tous les dangers hermétiques à l’autre intérieurs comme extérieurs ils furent obligés de former. Fin de la voix de CAROLINE, pour l’instant. D PF.

Les teneurs, les corps des écrits, suffiraient s’il était besoin à oser dire que :

Pour deux personnes se chargeant de la dictée :

Plusieurs.

D’autres.

Ont, par période été les inspiratrices des textes, tant les niveaux en :

Français.

Termes d’élocutions.

Psychologie.

ET philosophie.

Sont non seulement différents, mais de :

Basses extractions.

Mauvaises éducations.

Pour certains de ces écrits dictés, alors que l’on trouve chez d’AUTRES :

Une parfaite éducation que j’oserais dire peaufinée, et une :

Instruction.

Erudition.

Finesse philosophique.

Et psychologique.

Très au dessus de la moyenne et une parfaite instruction dans l’emploi de la langue française.

Pour ce qui est d’avoir tout mélangé :  C’est champion.

Mais quand on connaît les personnalités de :

Il est impossible de se tromper.

Certains de ces textes.

Grossiers pour certains dans leur teneur autant que dans leurs rédactions ne sont pas plus de l’inspiration de l’une que de l’autre.

Reprise de la voix de MARIE HELENE.

Quand le conflit arrive sans raison, le petit djin des uns des autres, si j’arrive avec le sourire je repars avec celui ci.

Y (ils ne)vont quand même pas influer sur lui ces enfants gâtés  n’ont pas encore compris que le monde faisait autre chose qu’au tour de tourner.

Chaque individu, son caractère, son souvenir, sa mémoire.

Car si on expérimente quelque chose qui va nous incommoder on peut le refaire l’instant d’après, sans toutefois broncher pour ne pas le refaire il faut refaire automatiquement un lien logique il faut se rapeler si ça plus ça plus ça va être égal à CA (CELA)

Ça est il égal à CELA en français parlé et écrit.

Non en écrit NOUS éviterons dans lA MESURE QUE FAIRE CE PEUX toute : CONTRACTIONS.

Que nos expériences ne nous appartiennent pas l’on fait, l’on essaye de théoriser dessus mais l’expérience de la vie ne reste pas.

Il faut pour se contrôler au même moment une incitation de nos mémoires associée à la réflexion qui n’est qu’une mémoire capable de juxtaposer de faire des séries de se qui s’est passé.

Simplement aussi parce que un état global échappe à la compréhension, de toute manière, puisque une action entraîne cent cinquante mille causes et cent cinquante mille conséquences différentes, qu’on peut en même temps on est en mesure d ‘apprécier.

C’est pour ça que l’expérience de la douleur qu’on la reçoit (ve) ou qu’on la provoque n’est pas innée  c’est à dire que l’on peut faire mal.

D’ailleurs l’on fait mal sans se rappeler ce que le mal est. Les bonnes habitudes en fait c’est par l’habitude sociale c’est à dire empirique on fait comme ça et pas autrement. sinon c’est plutôt fortuit.

Ou quand l’individu à des objectifs, pour suivre ces objectifs l’individu va être obligé de réfléchir.

(Et) (S)a stratégie va devenir plus évoluée (et si) par exemple je n’irais pas jusqu’à la crise cardiaque en courant ;

Parce que en courant je sais que je dois réfléchir à cela.

(Parce que)(J)e sais que je ne dois courir que deux heures.

Je sais que demain je dois être en forme et de toute manière pour  X et X raisons mon corps est habitué à courir à cette allure là.

(et) (A)insi je ne frise pas l’abus de courir trop ou de délaissé mon corps à une cadence (et) qui a ce moment là (se) réveilleras la douleur s’inscrit dans le temps et le mal n’est pas inné.

Et l’on n’est jamais conscient si on le fait, quand on le fait.

La conscience de ça vient après.

Quand le mal est ingéré.

Sinon son intellectualité doit revenir en nous pour nous arrêter si tant est qu’elle soit, qu’elle est un moteur aussi motivant qu’un autre moteur qui pourrait allez à l’encontre de ça.

C’est à dire :

Aujourd’hui je cours à m’en éclater le cœur parce que je peux supposer qu’il y a un dragon derrière moi.

Tout individu est artiste son histoire ainsi peut le suivre pas à pas. C’était des souvenirs heureux.

Je les ais transformés en malheureux.

Je ne comptais que sur ceux là, c’était des souvenirs mitigés ils se transformaient en acide.

Tout le temps prêt à me ronger puisque ce genre de souvenirs étaient là pour être battus alors que d’y penser comme quelque chose qu’on peut combattre c’était tout comme les inviter en eux naissaient ma tendresse, à personne je n’avais donnée ma tendresse quotidienne et j’étais rassurée.

S’apercevoir qu’on est pas seul c’est s’apercevoir que les sentiments qu’on transporte peuvent être transportables par tous ceux qui se retrouvent partout.

Ceux que l’on croise tel le cri du chanteur qui transporte notre éveil. Le dévouement à sa matière nous donne tout le don de sentiment des expressions des qualités.

Par contre l’on s’allie avec des irréalités que de vouloir que de chercher à mettre en scène toutes ses propriétés.

On ne devient pas.

On ne joue pas au joyeux.

On n’essaie pas de prendre du bon temps.

De bien manger.

De bien rigoler.

Ceci n’est valable, n’est possible que dans sa complétude qui alors ne peut plus donner.

Le reste est pastiche désespéré en réalité car rien à en espérer cela me paraît drôle comme parler d’histoire de vie, de gens décédé maintenant.

(et) (J)e me dis ainsi bienvenue dans le monde des morts dans pas longtemps en train déjà et cela ne faisait rien.

Je savais que cela n’était pas si révoltant c’est peut être parce que mes expériences ne restent pas en nous en tant que connaissances absolues mais en tant que mémoires.

Quand elles y restent parce que c’est cela aussi que l’expérience peut se promener de tête en tête et que l’on ressent des sentiments n’appartenant pas forcément à ceux qu’on peut dire de strictement en concret.

D’ailleurs si l’on parle de concret rien ne se passe en réalité :

On voit des trucs.

On entend.

On sent.

Toute appréciation devient subjective et donc que se passe t’il en réalité absolument rien, absolument rien qui puisse être souligné c’est parce que la mort est mélangé à le vie que l’on peut savoir ainsi que l’on peut reconnaître l’émotion comme trompeuse car puisque la vie est mélangée à la mort logiquement  l’existence ne peut avoir d’échelle de valeur quant à ces deux interactions l’émotion ne viendrais pas de ce qu’on vit dans les faits des mondes qui essaient de s’accoupler.

Nouveaux changements de voix bien entendu. Décidément ces demoiselles ne fréquentent que des faux jetons qui ne me font penser qu’à de sales petites pédales.

Puisqu’elles se voient, sans cesse obligées de :

Permuter leurs rôles.

Ces messieurs n’ont pas le plus joli dans cette histoire.

Ces rôles qu’ils tiennent reniflent le poisson pas frais.

Je pense bien sur aux : Harengs, et autres, Maquereaux ;

Avariés qui plus est. 

Ce n’est pas un compliment.

Et ce n’est pas donc pas à prendre comme tel. D PF.

MARIE HELENE.

L’homme croit en DIEU car l’homme peut croire en tout ce qu’il (le) veut.

Il n’y a rien qui puisse être plus important pour l’individu que la poursuite de ces idées que ce soit en persévérant jusqu’à se qu’elle s’arrête ou jusqu’à ce qu’elles ne puissent plus être,qu’à ce qu’en d’autres elles puissent nous inspirer si les activités nous mettais en dépressions le stress faisait que nous ne voyons plus ce qu’il y avait à faire vivre et mourir était faire la cuisine doser l’énergie et ces deux composantes en était la seule manière j’aurai voulu qu’on retienne mon nom j’aurais donné mon nom à une rue et je l’aurais appeler madame Tartempion était un con (cela mérite bien pour le moins une majuscule)

Un passage de répétition d’anglais  phonétique occulté bien sur.

L’analyse des choses ne se fait pas dans un mouvement c’est à dire que on a tendance à analyser les faits comme étant quelque chose sans la possibilité d ‘évaluer ainsi on va considérer la société avec des principes moraux et caetera figés alors que justement et on va adapter notre attitude par rapport à cela en comportement figés obsessionnels non évolutifs comme si demain ne nous appartenait je ne dis pas, pas alors que la société est justement bouleversée d’être en perpétuel reconstruction la société de consommation chaque objet symbolisant une portée d’action donc une liberté et chacune de ses possibilités ne sont en fait exploités à tort et à travers et le trot et le travers explique la nécessité d’expérience et donc qui soit utilisé jusqu’à se qu’on comprenne et recomprenne que toute liberté est synonyme de sans limite si on lui est dévouée à notre propre fin elle est dévouée c’est à dire lisez quand c’est des champs sans fin qu’elle est ouverte et non quand dans une systématique  rentrant dans une systématique alors elle va nos renfermer je ne mange pas parce que je dois manger mais parce que je sais que ce que je mange va pouvoir être directement transporté je sais que la tentation c’est l’autre que lui a besoin d’une nourriture différente de celle dont on a besoin nous mais évidemment il va peut être plutôt être porté à nous protéger ce à qui ne nous fier et ce dont on à besoin  on est le seul et unique à pouvoir le sentir et le délibérer j’avais tellement peur de ça que j’aurais pu faire n’importe quoi à l’idée de me retrouver face à ce que je pouvais provoquer je pouvais en provoquer n’importe quel autre je n’y pensais pas ou je créais le danger je n’avais pas en tête l’idée je vais créer le danger ou même si je l’avais ce qui conduisais qui tétanisais mes bras était attention à celui dont je sais qu’il peut à tout moment venir m’éclater.

Son rapport à lui sa manière de s’alimenter.

Sport de combat réclame qu’on se cultive des deux cotés de la même manière qu’on soit adapté de gauche comme de droite et néanmoins avec des gestes totalement indépendants  devant intervenir indépendamment autant que coordonnés pour la puissance indépendamment pour la souplesse et jamais les mêmes gestes et les mêmes suites et les mêmes appuis l’instrument même est la gravité que son corps peut avoir dans une position données par rapport à une position qui lui est « opposée »

L’art est la preuve d’une transposition donc dans tout ce qu’il y a je vis si je veux je vis la tradition mes gestes avaient besoins.

La tradition c’est si on fait la possibilité à l’individu par chacun des gestes effectué par l’ensemble du groupe que ce soit au niveau de l’espace de sa société des croyances qui relie d’ailleurs la logique des différentes castes entre corporation et caetera qui soit même au niveau temporel bref qui permet à l’individu de toucher de se mettre en relation avec la société.

Et celle ci devant être inculquée, façonnée, arbitraire, tant qu’elle ne peut être le fruit d’une recherche commune et mise en commun.

L’individu son objectif.

Son objectif et les moyens qu’il a à sa disposition fait qu’il va pouvoir surmonter prendre sur lui certaines conditions se transformants va être à la base des sujets naissants.

C’est parce que l’on convient que la nourriture est quelque chose de fondamental qu’on développe les outils nécessaires à doser notre alimentation.

En même temps ces outils, ces moyens, en parallèle se trouvent la manière de les vérifier de les jauger ça veut dire que je vais être affecter par ?

Si j’ai fait une connerie que je sais que j’ai trop bouffé je vais sentir aussi un malaise que je vais pouvoir dûment relier à cette trop grosse nourriture, trop prise de nourriture.

Du même coup mon comportement alimentaire face à ce que je sais que j’expérimente que je peux doser et caetera.

Ce comportement là va être directement relié au malaise et c’est par rapport à cette connaissance relative que j’ai sur  un sujet précis nommé.

Que tout mes malaises plus ou moins rationnels vont pouvoir se régler.

Tant que problème il y a.

De toute manière plus je règle le problème plus j’avance dans la connaissance, et mon expérience devant attesté, certifié la connaissance qui se trouve être par la répétition.

Et la féerie des expériences que je vais plus ou moins certifier.

En tout cas cette attitude là cet effort là cette ligne là va pouvoir toute les autres regroupées. QUOI ?

Nous traitons décidément, a ce que je vois et lis et entends de tout les sujets sur ce genre de texte, et par toutes personnes confondues. D.Porteboeuf.

LES TEXTES BIBLIQUES.

Avaient une autorité morales O.K.

Mais en fait il faisaient des gestes quotidiens et donnaient ainsi à loisir  à déspiritualiser sa vie à tout un chacun en fait avec tout son spirit cela ne peut jouer à tout ce qu’on souhaite que rien de nos sourires et de nos larmes n’a d’impact sue le spirituel notre entièreté comme est aussi (bien) pour la vierge que la prostituée rien entame ça et à partir de la tout peut se rejouer et c’est parce que tout peut être rejouer que chacun peut de toute situation se délivrer.

Le peuple religieux à pour vocation de porter en lui la destinée et l’histoire de l’humanité.

L’histoire spirituelle donc rattachée à chaque individu s’entends.

De la  gaule ?

A un pont on rejette toutes les questions.

Un monde à son double sens établit des liens de par lui même comme des liens qui devraient pouvoir être fait donnant son pain (ni queue ni tête) c’est comme ça qu’on démêle l’obscurité et la lumière d’un mauve c’est en établissant des correspondances qui définira(ont) de l’aspect (qu’) on retient il a un sens la polysémie c’est un sens par rapport à un absolu par rapport à un texte à une phrase par rapport au paragraphe et les liaisons qu’il a avec son partenaire rend la poly-dimensionnalité finalement et la complexité on peut avoir à expliquer un fait concret comme tout fait concret est aussi concret qu’il est abstrait qui met en jeu des formes visibles due les formes invisibles revêt que des formes que l’on peut à un moment donné quantifier et que celles qu’on quantifies sont là pour servir le fond du paquet. [Je sais sur ce livre là y a plein de conneries mais ce sont mes préférées.] ( Eh, bien ! En effet le moins que l’on puisse dire est que : Niveau intellect ? Cela vole très bas !)

La maladie me donne de voir à quel point les douces de chaque choses peuvent prendre une importance qui va tout bouleverser.

Je suppose que de tout temps elles bouleversaient  absolument tout sauf que cela était certainement en des sphères auxquelles je n’étais pas sensibilisée.

Le présent ma donné la mesure que dans le futur il ne peut compter que ce qui est entrain de se présenter.

Il ne compte la pauvreté la solitude (que) dans le sens ou la vie reste, n’est jamais si pleine, que lorsque l’on est face à face avec ce qu’elle a à nous donner.

Le tout juste ce qui (qu’il) faut à la même intensité et cela plus que c’est à la personne en question de pouvoir se gérer le stratagème de l’existence se contenter un simple geste à peine perceptible. D’ailleurs l’on cherchait à être perceptible lorsque l’on ne croyait pas, n’avait encore peser la force naturelle de son être, émanent à son être, les gestes à peine perceptible qui le tout pouvait transporter.

Continuer.

Stabiliser.

Et cetera, et cetera.

Avoir (conscience) confiance en ses gestes c’était pouvoir l’inconstance le vagabondage arrêter la tête insensée sans but le but était atteint à la première marche alors quand on a en tête de monter tout un escalier la réflexion venait de ce que j’avais vu bouger la réflexion me réveillait l’apprentissage naissait d’une nécessité à cultiver sa conscience de l’autre au delà de flash que la rencontre revêtait là mais pour  qu’il y ait flash déjà il fallait  une compréhension une certaine stabilité dans une ligne donnée l’apprentissage me servait tout simplement à comprendre à saisir l’événement nouveau de l’évènement qui survenait l’apprentissage faisait qu’en tout point en tout moment mon comportement était détaché ceci m’assurant une plus grande .  .  .  . un plus grand discernement et une plus grande capacité à ne pas être impliquée dans l’acte par lui heurtée, donc de ne pas avoir à souffrir de ce qui évoluait.

Le dénuement qu’on voyait, la certitude, la vie, l’existence même portait en elle toutes les (dotées ?) et qu’on voyait qu’en même temps.

Le sens que ce n’était qu’en servant la vie que celle ci se dévoilait en même temps que les horreurs mais en se dévouant lui ainsi, l’on comprend nos erreurs.

Les erreurs que l’ont a l’impression de subir dans un premier temps. Que la face dévoilée des erreurs que l’on est en train de perpétuer. Par contre de voir l’horreur, fait que l’on va pouvoir remonter le fil et prouver ce qu’il y a à modifier.

L’art pour répondre.

L’art pour résister.

La peau se ride aussi parce que les muscle ont une attitude grandissante à s’assouplir ou si ce ne sont les muscles qui ont cette attitude peut être les commandes la connaissance intuitive corporelle musculaire.

CAROLINE.

Entre faire la différence entre s’économiser et se diminuer quand je lui ai fait reprendre prise avec la réalité, les autres vies, ce que pouvaient être les gens essayer de quels étaient les autres alternatives et cetera.

En fait quand je voulais me rapprocher de cette réalité là, la réalité de ma vie.

C’est l’emprise que j’avais sur elle qui disparaissait.

La religion.

L’amour dans le seigneur, est la seule alternative que les hommes aient trouvée de pouvoir vivre dans des sociétés inégalitaires ;

Tout en vivant dans une paix artificielle ou on ne voit en fait que soi ou on pense l’existence de l’autre utile à la communauté.

En fait on se retrouve dans la peau de tous.

Peu importe c’est ainsi le seigneur la désigné.

MARIE HELENE.

Invocation de la fatalité.

Et une même croyance dans un futur plus ou moins proche. Rassembler les énergies le pourquoi, des choses devaient, être fait et ainsi conférer à tous les actes une spiritualité et un mouvement qui range l’ensemble.

Aucune emprise sur le débit la puissance qu’il a.

Un homme est un homme une énergie est une énergie et il ne pourra jamais produire que cela.

Par contre, ce sur quoi il peut avoir un impact c’est sur le temps, çà veut dire :

Son moyen, sa manière, d’user la véhiculation de son énergie.

Le fait de pouvoir éviter des pertes.

D’ailleurs il n’y a certainement pas de pertes puisque ce qui est perdu d’un coté est repris de l’autre.

Ce qui peut être une perte pour lui.

Je n’avais aucune peur de la mort comme je n’avais aucune peur de la vie.

Et laisser mon esprit en paix autant que j’avais appris à la respecter. Pour ce qu’elle était et non pour ce que j’en désirais.

L’amour de sa perfectibilité, autant la sienne que la mienne si ces deux là étaient conciliées.

N’était pas systématiquement contre le système, il faut dire qu’il m’avait donné l’opportunité de faire des trucs biens aussi, de faire des trucs, de vivre des trucs.

La légèreté faisait que l’on sentait ses articulations entre elles correspondre et se dérouiller il suffisait d’un aliment minimum pour que tous se mettent en charge, en marche.

Des fois je mangeais davantage simplement parce que le peu que j’avais besoin que relatif à l’énormité de ce qu’on pouvait donner. Créer ceci m’effrayait et de ne pas avoir idée de jusque là se frayer le chemin.

Alors la faute à moi s’imposait, quand on dit de ne pas savoir une idée sur ce que l’on ne s’est vu.

L’avant n’avait d’autre signification que les moyens que l’on pouvait regrouper de défendre ses positions.

Maintenant on voyait à partir du moment ou tout le monde peut posséder, sa santé, faut-il encore avoir cette conscience là. Maintenant au niveau des conditions de travail également si l’on se sait en conflit avec une extériorité, avec le fait qu’au plus gros taux de la production, la famine toujours est en train de persister, alors là la condition des travailleurs peut atteindre toutes les misères.

Elle est par la situation d’urgence justifiée et par tout le monde tolérée.

Mon dos devenait celui d’un escargot à mesure que ma tête s’efforçait à l’écriture du mot.

Et si les mauvaises actions que je perpétuais c’était parce que si je faisais le bon choix je réaliserais alors qu’il me faudrait encore viser autre chose que ce que je fais actuellement.

Et viser autre chose cela voudrait dire ne pas avoir, plus avoir de projection dans le présent.

Exemple : Si je fais ça il faut que je devienne ça et à ce moment là, la femme avec qui je suis en ce moment avec qui je veux être et avec qui bientôt je vais être :

Eh, bien !

Il me faudra y renoncer parce que ça conviendrait plus à ce qu’il me faudrait.

Or, c’est la potentielle présence de cette femme qui actuellement est en train d’adoucir souvent, de motiver ce que je fais.

Ce pourquoi je suis en train de persévérer.

Quelle idée pouvait bien pouvoir dans n’importe quelle tête cherz n’importe le quel d’entre nous à l’égard.  .  …    …   …   … .

CAROLINE.

J’étais parfois tellement fatiguée que je me reposais sur les chiottes et le coté de mon bras sur le mur adossé.

En fait, je ne dormais pas puisque si j’avais eu envie de dormir j’aurais fait quelque pas de plus qui m’auraient raccompagnée au lit.

Mais là, c’était une manière de faire tomber la pression, me dire que ma fois toute ma vie pouvait être là, et serait à moi une vie.

Une vie tout comme celle que je vivais. Avec, à, moi maintenant.

TON Daniel.

MARIE HELENE.

Le souvenir c’était faire admettre faire partie de souvenirs.

Je me demande si les beugs de vision ne viennent pas de gène alimentaire, si on peut s’arrêter diminuer l’activité, selon que l’on est plus du tout alimenté en énergie.

La vue elle reste très souvent branchée et désin-activée, désin-activable la plupart du temps.

On communique plus par la psyché.

Les merveilleux parviennent ensemble à se retransmettre, (il) y a les méchants et (il) y a les gentils sauf que tout le monde laisse faire les dégueulasseries.

Réagir c’est le fait incontestable qu’on a des faiblesses.

Les faiblesses ?

Eh, bien !  C’est la force, cela devient une force (de) reconnaître ses faiblesses c’est ces moments de force, ces moments de faiblesse quand la pente est de tel ou tel coté.

C’est en fait le moyen pour jouer avec les forces, pour jouer avec sa force et donc ne plus subir.

Et ne plus subir donc !

Tous les sentiments avaient de la grandeur.

C’était de la pureté car il nous fallait tous pouvoir les ressentir et pouvoir les accepter.

Si l’on escomptait continuer dans ce qu’il fallait faire.

(Il)  ( F)aut dire que si on affrontait pas de sa tristesse à sa joie de son in-désir à sa répulsion, toute chose, puisque toute chose procure des deux cotés.

Puisque toute chose peut être négative, si elle ne progresse pas et si elle est une étape à une transformation future.

En tout cas il faut pouvoir assumer tous ses sentiments pour finalement ne pas s’émouvoir et continuer ce qu’on a à faire ;

Et aussi, ce qu’on a à faire aussi, c’est d’exister par rapport à soi même communiquer ses énergies.

Et faire que ces énergies communiquent fait aussi que pour nous : Pour s’activer à l’activité.

Qui est en train de nous transformer.

Qui nous forge à cette diversité et à pouvoir que les énergies. Justement puisse se lier et se délier.

Une pile de réflexion :

Quelle était la différence entre le moment ou je me sentais ;

Ou je suis psychotique sans le savoir et le moment ou je suis psychotique en le sachant parfaitement.

C’est super intéressant de s’apercevoir que selon la rapidité à laquelle s’écoule la voix  entre la voix d’un homme et la voix d’une femme il est absolument impossible de distinguer en tout cas à l’oreille nue.

Ouais. C’est impossible de distinguer à l’oreille.

Je me sens pas de finir une vie avec quelqu’un étant donné que pourquoi, ainsi que je l’ai commencée avec personne.

Deux traductions anglaises occultées.

Le travail à l’extérieur ne peut se prendre que (par) la luxuriance de la nature (est) due à un quotidien, à de quotidiennes averses.

Conduire :  C’était tenir son volant en sachant qu’il n’y avait aucun intérêt à le tenir jusqu’à ce que tout les deux cent mille ou cinq cent mille kilomètres le pneu éclate et là soit :

On s’enfonce complètement dans le décor soit on arrive à dominer sa monture.

Il fallait bien tenir son volant.

Une fois tout les cinq cent kilomètres.

Quand je ne vivrais plus je ne sais pas ou je serais mais je sais que le monde qui continue sera dans une autre dimension que celle que je connais.

Etre écrivain c’est avoir une démarche intellectuelle ou mentale de prendre un évènement d’en saisir ce que l’on veut  de rapport causes conséquences et de pouvoir transformer cet événement.

De pouvoir le transposer en d’autres occurrences.

Jouer avec ce qu’on a trouvé d’un système pour le ré-illustrer à sa convenance notre réaction psychique ne doit pas être élaborée.

La solution se trouve devant soi le plus simplement qui soi, le principe c’est d’économiser l’énergie donc d’être en harmonie avec son débit (voilà quoi).

Le reste la façon dont (cela-ça) peut être perçu, c’est illusion, donc vaut mieux s’abstenir de jouer les fortes têtes et le contraire. D’ailleurs, déjouer quoi que ce soit à par l’interactivité qu’on a de chacun, de justement (de) se mettre en adéquation, (ce) qui est face à nous qui directement se révèlera si tant est que l’on est pas dans l’idée de faire paraître quelque chose de précis.

Le procédé de l’accumulation lui (ben) ça vient du truc de la meute quoi çà veut dire on à peur de l’inéquité de ce dont on a besoin. Alors pour ça on est obligé d’additionner a partir du moment ou les choses ne sont pas redistribuée justement :

  1. Equitablement redistribuée.
  2. Et qui palie aux besoins les plus nécessaires.

Si ces besoins là ne sont pas paliés, bon.

Eh, Bien ! On cède tous à la folie ! Quoi !

Protéger mais il en était incapable comme chacun l’aurais été entraînés par nos conditions, entraînés par nos destinées, par les forces adjacentes, qui nous dépassait et moi de le haïr alors que c’est son envie même sa désespérance même de ne pouvoir changer les choses qu’à ses yeux je détruisais.

Je l’admirais pour certaines choses pour certaine de ces facilités mon admiration fit qu’il m’apprit ainsi t’a m’aimer puisque ces cheveux là que je cherchais finir par germer, finir en moi par germer.

Pourquoi ? Les gens ne voulaient pas bouger d’un poil les choses ? Parce qu’en cas de problèmes et DIEU sait que le changement attirait l’imprévu.

En cas de problème c’est pour leur place que depuis tant de temps, on leur avait permis d’exister leur avait permis.

C’est la place qui leur avait permis.

Et non pas le droit de vie et d’épanouissement que le bonheur commun doit à chacun accorder.

Le bonheur commun est le seul qui soit puisqu’il est le seul à pouvoir circuler.

Il fallait sentir comme la règle d’être pénétrée et pénétrée les énergies c’est en fait prendre leur mouvement perpétuel. Et (il) y a des moments ou on sentait simplement ce qui se passait puisqu’on était dans une phase analytique à ce qui nous advenait.

On pourrait faire un parallèle  avec çà.

Est ce que le regard qu’on porte sur l’autre  n’est pas simplement un regard qu’on porte sur soi ?

L’autre ne serait pas soi, comme étant, je me place d’un point de vue localisé ce point c’est moi à un moment donné.

Et l’autre est le point que je regarde peut être que je convoite que je vise puisque tout à un sens.

Puisqu’il faut convenir que solitaire la seule raison de vivre d’un individu est bien de communiquer.

Il peut communiquer avec autre chose que ces semblables.

Peut être que la mort peut représenter une communication en suspend dans le sens de en cours.

L’un ne peut pas répondre aux questions existentielles puisque ce sont les questions de tous.

La paix entre individus n’existe pas puisqu’il faudrait que l’une et l’autre psyché pour avoir une confiance tout à fait extrême en l’autre.

De l’une à l’autre branchée ce qui est tout à fait impossible puisqu’il y a d’autres évènements autour.

D’autant plus que ce sont d’autres évènements tourmentés et que  l’on revient au postulat que de toute manière :

Il est égoïste de s’inventer une relation privilégiée avec quelqu’un, étant donné que nos semblables sont à aider.

L’un d’entre nous dans l’autre, surprotégé et cetera.

Il n’y a pas de fou sur terre.

Il n’y a que simplement d’autres gens qui subissaient d’autres lois et d’autres réalités que celles que l’on a admises communément comme telles.

Des codes ; D’ailleurs ces codes font certainement qu’on oblitère tous des énergies parallèles.

On oblitère dans l’obsession commune de pouvoir échanger ce qu’on produit en sachant que s’il y a un bon coté, le coté restrictif de la chose c’est certainement ces énergies parallèles ont des solutions en bien ont des solutions aux problèmes insolubles  dans l’état actuel de nos réceptivités un semblant de réalité un semblant de volonté de figurer les choses de dire.

Ah, bien ! Oui c’est çà, c’est pas ça, on va dire de formaliser les choses c’est à dire en fait une façon de viser quoi.

Si je pense çà je vais me mettre en communication avec ce point là. C’est le mal nécessaire pour réussir à reprendre contenance dans, justement ce monde qui est faussé.

Dans le fait que l’on y voit pas le millième de ce qui est en train de s’y passer.

Le désir d’appartenance est lié au désir d’affirmation.

Amputée elle même par une appartenance au groupe parce que le groupe n’est jamais assez divers et préparé pour recevoir tout les besoins de chacun.

Et donc elle est amputée d’une, par  négativement peut être, que l’affirmation de l’appartenance au groupe, c’est à dire une force qui porterais à l’extérieure, rectifie ces manques internes.

(Et) (E)n tout cas cela peut être vécu positivement aussi, quand on sait que de toute manière, ceci ne nous est accordé que parce que si le groupe en est incapable.

Accorder une souplesse dont il n’est pas capable à l’entorse.

Donc on va dire que c’est plutôt un réflexe pour que la totalité des gens puisse avoir un maximum de liens entre eux sans étouffer sans empiéter.

Il se croyait le seul en perpétuelle rébellion, la preuve en était qu’il n’avait encore rien compris.

Il ne s’était pas encore rendu compte du constant effort du reste des abrutis.

Les infos c’était pour nous rappeler que les évènements se passaient. (et) (Q)u’on était pas les seuls a en voir défiler et que tout çà, encore devant, il y avait à devoir éviter sur le devant sur les cotés.

(C’était) lorsqu’on fai(sai)t le maximum pour elle en son entier en sa complétude que la société nous remercie par la sensation pleine de lui servir et de lui appartenir.

La sentir couler dans nos veines et de nous sentir complet.

Le maximum de ce que l’on fait.

Le maximum de ce que l’on essaie de projeter.

Rien qu’un monde me faisait frémir à savoir ce que j’avais vécu dedans.

Cet enseignement déplace sous l’insolite que j’aille pour y croître. Chacune d’entre elles représentait tout ce pourquoi j’y avais été et tout ce pourquoi il avait fallut continuer du premier jour à maintenant.

Quand on ne regardait l’autre, et que justement on ne savait comment l’appréhender, suivait une période d’agressivité.

Ou en fait l’énergie accumulée à ne pas avoir opté pour l’évacuation d’énergie la plus simple, rapide, et sans perte donc.

II y a accumulation de fuite d’énergie et donc ce qui peut provoquer de l’agressivité parce que en fait perte des repères perte de la fluidité à ne pas confondre, à ne pas penser que l’agressivité doit être justifiée par l’un ou l’autre des stimulus extérieurs qui justement nous a une complexité, révélé.

Lorsque le muscle est tendu, masse les ligaments et toutes les attaches active la circulation du sang.

Le désir de changement s’installe après avoir enduré un présent au moins en ce qui concerne la conscience des ressources.

Les appuis les délires et cetera tout ce qu’il y a au présent après en avoir ressentit l’épuisement.

Le nous de majesté, ce nous de majesté, ou de droit divin, le nous est représentatif, et tout les DIEUX qu’on a réussit à conceptualiser sont représentatif d’une volonté du groupe de conceptualiser du plus merveilleux.

En sa conception du merveilleux d’actualité le plus beau cadeau que je puisse faire, c’est un cadeau à ma mère, le fait de me surpasser. C’est ma mère, en tant que celle qui m’a élevé et c’est le plus beau cadeau aussi parce que pour se surpasser il faut aller au delà de ce qu’on a appris.

Parce que forcément on apprend et on apprend  aux autres aussi des conneries mais après aussi on réussit avec l’adversité c’est une bonne démonstration qu’ on a pas toujours tord.

Et dans le même temps vu que l’amour suprême c’est vers celle qui a élevé justement enfin les sentiments suprême sont celle qui nous a élever.

Cela implique aussi que s’il avait fallut aller au delà  de l’éducation première, cela veut dire aussi, que dans le plus profond, de ce que l’on donne actuellement.

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AUDIO 1. CASSETTE 5/8.

La mansuétude et le pardon.

Du présent puissent soutenir avec celles du passé, puissent trouver leurs raisons d’être directement : Dans un futur projeté.

Même si l’on sait qu’il va transformer, est toujours porter à nous transformer le futur que l’on projette.

Mais qu’importe des choses transformées l’on peut toujours se référer, être porter pour une femme comme pour un homme.

Pouvoir sentir les gestes d’un homme ou d’une femme en soi s’est pouvoir se sentir de la même caste que celui à qui on s’adresse.

C’est égal, pouvoir se sentir armées des mêmes outils qu’on nous a donné ce qui veut dire par extension pouvoir à son adversaire potentiel se mesurer, pouvoir répondre a ses menaces pouvoir le tuer.

Ce qui n’est pas considéré comme tel à partir du moment où on se sert beaucoup (de ce) dont l’un où l’autre ne connaît pas, n’a pas été élevé (formé), à cela, c’est une espèce de scission ou psychologiquement on évite qu’il y ai un conflit puisque on est pas propre à se mesurer puisque étant habitué formé à des épreuves.

Le dévouement à sa cause atteste à l’individu qu’il pourra réaliser se qu’il souhaite faire, faire que son souhait, son souhait c’est la cause et sa façon la seule façon à la réaliser en soi c’est de lui être dévoué donc déjà à partir de là à partir du moment où il suit cette philosophie chaque moment est pour lui un accomplissement autant fini (que) parce qu’en tant que tel, accomplissement et infini.

Puisque accomplissement rime avec renouvellement et renouvellement fait que à sa cause il trouve tout les moyens à sa disposition et que le moyen c’est celui de la recherch.

La recherche le comble et comme il comble la recherche, il invente et invente tout le temps une manière à faire ce qu’il entend :

Ce qu’il entend dans le sens outil parallèle de prédication, de révélation associé à renouvellement.

La drogue comme on peut voir la fumée sortir de ses narines alors que une telle substance seul on ne pourrait produire. (Tu en es sure ? le cannabis sous un autre nom est en vente libre en France dans certain magasin spécialisé, je t’aiderais et te sauverais malgré toi s’il le faut.)

La drogue est une manière de se prouver que les événements naissent et n’y est rattachée à cent pour cent pas (pour) que notre volonté (ait à) se prouver qu’il y a des choses extérieures comme une substance extérieure qui est en nous.

Comme la manière de pouvoir contrôler les choses qui désespérément, accoutumance ou non, reste à nous échapper.

Une fois cela compris, peut être la force de l’individu vient-elle a se contrôler, même si le fait peut toujours paraître toujours paradoxal. Puisque aussi loin que l’on puise on ne saura jamais comment et en quelles mesures les éléments sont en train de nous modifier.

Ou : Qu’est ce que de la maîtrise de nous même nous sommes entrain de guider de maîtriser de connaître et de cette même maîtrise ?

Sommes nous, et bien quand même laisser, l’endroit par lequel on s’est usé peut être l’endroit logiquement de notre force  d’une inquiétude spécifique particulière parce que se sachant fort de ce coté on peut très bien(prendre) le risque (de) l’user en pensant c’est un point fort mais le fait de mal se positionner à répétition dessus fait que sa force résiste jusqu’au point ou il va craquer.

D’ailleurs le respect de nos forces : Le fait de penser qu’elles ne sont pas là pour porter le surplus et cetera, fait que l’on prend conscience des déséquilibres autour d’elle et que ces déséquilibres qui sont faiblesses peuvent alors être renforcées.

L’innocent est celui qui se donne à autrui.

Hors on n’accepte pas celui qui se donne à l’autre puisque l’on désire quelqu’un qui puisse nous rester ;

Avec lequel on puisse avoir une confiance et un temps infini ou au moins indéfini espérer.

Se donner à autrui veut dire se donner à tout autre.

Donc l’innocence dans la gueule du loup va directement se jeter puisque celui qui ne pense qu’à être, se construire, fidèle à lui ; Pense que l’ouverture à l’autre lui sera forcément signe d’infidélité.

(Il n’en est jamais pensé autrement)

Alors l’innocence rentre dans la pathologie du loup en lui promettant confiance, alors que cette autre, désespère et désespéré  par justement la confiance.

Puisque la confiance ne peut pas se capturer et ainsi le loup n’à plus que comme moyen illusoire de marquer.

Que les griffes qu’ils va à l’autre pouvoir cingler.

Peut être que le sectarisme sexuel était une manière d’adoucir les préjugés qu’on a contre quelqu’un.

Quand on est porté à fréquenter un couple même si nos passions nos actions nos activités façons de parler et patati et patata.  .   .     .se porte plus par exemple pour un homme vers un autre homme que vers sa femme qui s’ait complètement par plusieurs paramètres, que c’est avec l’homme qu’il s’entendrait bien.

Le carcan social lui oblige d’avouer que finalement se serait un individu beaucoup moins adapté à sa sensibilité comme faire à se propos la femme avec qui pourtant il se marierait et avec qui il est obligé de se  projeter comme l’individu qu’il choisirait «  pour se marier pour partager sa vie son cœur son intimité et cetera ».

Comme l’on peut dire femme et homme et la caste dans la caste. Pourquoi pas une manière de s’exercer à la tolérance ou à l’intolérance quotidienne que l’on doit subir ou faire subir à toutes les sortes de discriminations possible.

A d’autres pratiques que c’est une caste biologique qui se retrouve dans tous les groupes ethniques et donc c’est une manière de différenciation  qui se retrouve chez toutes les ethnies.

Qui fait, donc, que les ethnies puissent se comparer et par rapport à cela ont toujours ce moyen de comparaison, qui peut être une manière de focalisation, de compétition, voir de réconciliation.

Etre soi même c’est à dire être ce qu’on ne sait pas que la situation va être.

Mais en tout cas réussir à n’écouter que l’énergie d’or et déjà en train de travailler.

S’occuper de l’énergie d’or et déjà en train de nous habiter.

C’est à dire ne pas faire pression sur l’autre, ne pas vouloir quoi que ce soit figurer c’est justement permettre à l’autre autant qu’à soi même faire que l’énergie naturellement en lui se débloque ou se bloque.

J’aimerais être consciente le moment ou je vais mourir mais en fait être conscient de ce qu’est la mort constamment dans la vie.

Qui fait que l’on puisse la découvrir le fait de la détruire pour pouvoir nous nourrir comme la mort en nous à des demi mesure à nos défauts l’ont courbe le dos.

L’écrivain et cetera.

L’artiste est juste un présentateur de ce qu’il est.

De ce que la vie lui a présenté de ses facultés et les outils dont il peut bénéficier qui lui ont permis de pouvoir s’exprimer.

L’homme est sans rapport au monde.

L’homme est lui.

L’homme et son rapport au monde et l’ont rajoute sa conscience l’homme et lui, sa conscience, l’homme et lui.

Le besoin de croire en un prophète le besoin de croire en soi même. C’est à dire, je crois au prophète parce que je suis quelqu’un d’assez sensible, raisonné, profond pour capter, pour réaliser, pour comprendre.

En gros, être à la hauteur de son enseignement, de ce qu’il a vécu. Pour vocation fabriquer un outil qui permettra à l’autre d’exprimer son savoir.

Savoir qui permettra à l’autre d’exprimer son propre savoir et cetera.

La chaîne  faisant que nos propres bien être dépend que tous ces savoir le soit.

J’étudie les auteurs.

Je m’informe de ce qui à été dit auparavant pour ne pas répéter  et surtout pour pouvoir continuer compléter.

L’adaptation à l’environnement l’adaptation à des données.

Voilà comment tout a commencé problème une connaissance restreinte de l’environnement une connaissance restreinte de ce que l’on est.

Adaptation tronquée.

Objectif et énergie ceci donc : Objectif extérieur énergie interne et vise versa.

Permet une mesure stratégique du temps.

Cette mesure là permet le contrôle de ce qui se passe.

C’est à dire le fait que rien ne soit fait ou laissé au hasard.

Ce contrôle du temps exerce un pouvoir sur la mémoire.

La mémoire qui intervient dans le processus intellectuel.

Puisque processus d’association et dans le processus émotionnel dans le processus d’association aussi et dans le fait que le contrôle de ça le fait que l’on puisse rattacher ses éléments à un fil conducteur.

C’est aussi que l’on garde sa concentration à ce que l’ont fait que pour regrouper les autres éléments est la nécessité de regrouper les autres éléments, on est pas perturbé.

Ce qui me faisait très peur, c’est ce qui me faisait penser que des autres, en général, on pouvait avoir à redouter le genre de réflexion :  Mais j’ai évolué dans un milieu d’homme.

Mais les autres m’ont pas emmerdé et tous les gens qui paraissaient très surpris du fait que je ne le sois pas.

Alors que c’était dans un milieu professionnel donc j’avais peur de ses réactions parce que au point de vue professionnel cela aurait pu être ce genre de personne qui aurait fait qu’on me dise ne pas pouvoir être embauché parce que ma situation de femme pouvait engendrer des problèmes.

Et sur un point de vue global c’était le genre de personne à ne pas laisser sortir leur femme parce que croire dur comme fer que tout les autres, à ne pas se regarder eux même d’ailleurs, que tout les autres étaient forcément des monstres à baiser.

Quoi donc ? Une manière, une façon politiquement correcte d’exprimer une volonté au couple de s’enfermer.

A l’autre c’est une manière d’être enseigner, d’être renseigner. D’ailleurs pour que l’un ou l’autre marche il faut que l’autre soit activé.

C’est à dire qu’on ne peut être renseigner qu’en enseignant soi même en terme de comparaison de continuation de rapprochement de combinaison logique compréhension avec le même mouvement qu’est ce qu’on aurais fait au cas ou on ne serait pas présent avec eux à ce moment là  c’est à dire au moment ou je parle à quelqu’un et si dans ma tête je n’avais pas à remplir ce devoir là sans ce devoir alors je serais en train de travailler alors je lui donnerais le sérieux de mon travail tout ce que j’y transmettrait, je lui transmettait ça quoi.

Ma voix se retrouvait  sur le dictaphone, ma voix sur le dictaphone elle repasse ce que je dis je trouve pas le moment ou je me suis arrêté je dois chercher sur la bande (le compteur et la remise à zéro te servent à quoi par rapport à l’origine départ.)

Et il n’y a qu’une chose qui puisse me soulager c’est de mettre la radio (CLASSIQUE ALORS) et que je puisse chercher sans avoir à réécouter ce que je dis la voix d’un autre artiste recouvrant mes litanies. (Tu es dure avec toi-même ?)

Laisser les gens s’exprimer comme ils l’entendent.

Ce que tu dis ce sont tes pensées et ce sont les miennes aussi.

Celles que de famille en famille, de jours en jours, on s’est transmis. Ces paroles, ce sens auquel tout le monde pense et réfléchit.

Je chercherais bien du boulot auprès des chevaux.

(Alors là tu es folle un cheval n’est bon que dans l’assiette en steak ou rôti et encore faut-il qu’il n’ai pas travaillé que sa viande soit tendre mais tu peux me dire qu’il en est de même pour le porc(t) et bœuf mouton et autres. Par contre les poulets, et volailles, doivent avoir la chair maigre et bien ferme. Demande à SIMONE, la veuve de mon père, je serais surpris quelle te dise le contraire. C’est le surnom quelle nous donnait à tous les trois : Le père et ses deux fils. C’est toute la différence avec toi qui préfère les chapons. D.PF.)

Le problème, peut être, serait dans la tentation d’y finir ma vie. L’amour que je donne à mes parents sera celui que je saurais porter à mes enfants.

L’amour sans bornes de l’adulte indépendant et indépendant dans ses choix et toute sa vie entière, mais qui comprend les contradictions de l’éducation.

Qui sait ainsi, que les problèmes familiaux ne sont par ni les uns ni les autres choisis.

Apprendre à aimer quelqu’un. Même, si, c’est apprendre justement. Notre amour sous condition n’en est plus.

Comprendre alors que comme à son parent, à tous ces enfants l’on doit aimer au même degré la liberté de l’autre comme celle qui m’est offerte instant après instant.

Que les erreurs n’ont qu’un intérêt c’est d’arriver à : Toujours.

Le fait est qu’elles viennent que l’on s’est mal compris.

Comme tout un chacun à l’impression que la vie, est sa vie.

Jusqu’à temps que sa vie lui montre de quelle autre il est.

Ce que l’autre tentait d’expliquer.

Mais comment tenter d’expliquer, à quelqu’un, quelque chose qu’il n’a lui même expérimenté.

[Son énergie sur nous dosée, que son énergie peut se mêler.]

N’avoir peur qu’à partir du moment ou elle se mêle.

De plus, que celle de l’autre, ne puisse vous troubler.

Vous échapper.

Et cela des deux cotés de tout les cotés de chaque coté.

La place de conciliateur n’était pas une place que l’on avait en soi. Mais une place que chacun nous donnait d’avoir ou pas.

C’est ainsi qu’on ne peut parler du respect qu’au passé ou prendre la réconciliation, la faute ou le succès, sur la seule personne.

Et non pas sur tous les éléments, qui peuvent être détectés.

C’était l’acte même de diviser.

C’est le conciliateur, exister parce que l’esprit de conciliation était par tout le monde octroyé et pensé.

L’esprit de conciliation, car rien n’était parfait rien en son état, rien n’était parfait dans l’état que l’on connaît.

Pas d’état qu’on ne connaît.

Le fruit de la connaissance est un péché car il est péché à partir du moment ou on pense pouvoir le consommer, le voir, le prendre et cetera, et cetera.

Alors que la connaissance n’est rien d’autre que ce que à chaque moment l’on doit cultiver.

Travail est devoir de création et ne peu se reposer que sur celui qui a tout donner.

Tout donner, c’est savoir à un moment donné qu’on ne peut plus rien faire d’autre que ce que l’on fait.

Et continuer, et le fait de continuer c’est d’être empli et être en tout être ce qui est tout du moment qu’il a tout fait.

C’est à dire plus apprendre chaque pensée être mise au fait.

Etre attaché à rien c’est pouvoir s’unir à tout, être tout, au tout.

Les aventures les contre temps donnent à chaque coup des idées comment le rattraper comment faire de sa vie quelle puisse l’épouser ma santé était la seule voie qui me permettait de le suivre en tout ses pas.

La réussite la progression les stades franchit le pouvoir de se décupler.

La progression c’est de savoir pouvoir à chaque fois recommencer.

C’est à dire de gravir une marche ou une échelle en sachant qu’elle nous amène, a une autre échelle dont on commencera par le premier échelon progresser c’est accepter de tout le temps recommencer et ainsi de garder contact avec tout les stades de pensées tous niveaux.

On trouve cette force dans l’objet, dans la communauté, et c’est ainsi que naturellement, être sur la défensive, ne pas savoir ce que l’autre a protégé.

Mais si son truc s’était de philosopher et qu’on ne lui avait jamais permis de pouvoir parler.

Et cette agressivité de sa tête, ses mains ou quoi que se soit comme outils, qu’il a du protéger ou qu’il a vu s’atrophier.

En fait, je m’étais trompé.

Ce n’était pas enterrer le passé que je voulais.

Je voulais le reconnaître.

Je voulais me convaincre que tout mon passé était trompé. Comment puis-je admettre donc mettre en scène que ce qu’il ne pouvait que de toute manière mon passé était ce pourquoi avec quoi tout ce qui aidait ma pensée, ma pensée mon âme qui charriait de mon esprit.

De toute beauté, de toute bonté je ne pouvais la renier.

Il fallait que j’accepte que j’ai moi même progressée, que je n’avais plus en tête d’avec mon amour de rat la faire chier.

Le danger, inverse, serait de penser que c’est l’amour qui serait raté. C’est l’amour qui me servait, ma pensée, mon étoile, l’infini me dévoile.

L’amour c’est le chemin qui est fait ce chemin issu du mouvement sans arrêt ces phrases que je prononce comme un onguent.

Comme seul onguent à mes plaies et m’épeler.

Chacun se délivre et se livre chacun en son comportement le visage sous lequel mon amour s’abritait, aussi idéal que le parcours ne s’achevait, aussi idéal que la toute liberté.

J’arrêtais de penser mon esprit arrêtait de penser à partir du moment ou de décision il ne prenait.

Mon esprit arrêtait de penser car il n’était que le temps alors que d’ores et déjà, la solution il détenait, car la solution c’était le temps qui la détenait, non pas dans le sens qu’il aille me l’apporter mais qu’il me fallait le suivre.

C’est à dire suivre la raison du fait que le choix devait se porter sur ce que l’amour au temps à jamais.

Le temps qui à jamais nous guidait, le temps qu’il nous fallait quitter.

Celui qu’à lui-même il fallait tout redonner.

Donc le temps constamment à jamais qui était à nous guider.

Le temps auquel il fallait, puisque le temps nous était donné.

Il fallait lui-même, de lui-même, de notre temps propre, lui redonner.

C’est à dire donner tout le temps vers quoi l’on savait qu’on devait avancer.

Le principe de la vie, celui de la transmission, la retransmission le temps qu’il nous fallait, qui faisait que nous pouvions donner le temps de continuer.

Le temps de vie était, le temps à rechercher.

Ne pas perdre son temps, c’est en fait voir, ou y croire assez pour ne pas être perdu, pour que l’on passe le temps à être transporter.

A chercher à ce que la rencontre puisse nous inspirer, nous entraîner.

Le rapport pour, au temps, c’est d’avoir assez confiance dans son but pour ne pas « gagner du temps »  ne pas tenter de faire ça rassembler ce qui paraissait le plus paradoxal en sachant que tout s’emboîtait parfaitement.

La vie on ne peut le nier est bien un jeu d’enfant .

La souffrance s’était d’accepter de faire des conflits alors que tout s’orchestrait.

Tout le son observé, avoir observé, savoir qu’on ne s’appartenait ainsi la souffrance disparaissait le degré ou ton père aimait son [cancer- la kan- la can(e)sert- serre ] camp sert afin que celui-ci fasse son chemin et cesse d’être acide [ a-cid-sid] ce qui reviendrait à ce qui cesse de nous agresser.

Peut être est-ce une manière de muter.

Le fait d’accepter cette transformation saulinière cette différenciation. [Certains ont tentés de me faire prendre racine à moi aussi, toi tu as réussit]

Peut être faut-il aimer son cancer ?

Et simultanément que l’on peut aimer sa propre matière et dans le même temps, mysticisme par rapport à la mort.

Qu’il est aussi normal à tout moment d’en rire que d’en pleurer.

Tant qu’ainsi l’énergie est toujours convoyée lie délie.

Il n’a pour but que de converger n’ayant pour but que dans mes écrits, c’est dans l’art, c’est dans la nature que l’art est.

N’appartenir à rien ni à personne le paradis ben chapeau un check [pour rien] un qui va et qui vient.

Ce qui m’amène à la folie c’est de penser  que le dialogue, le savoir intérieur se prend individuel.

La folie aussi c’est de penser que le sentiment qui nous l’amène ne serait-ce que pour deux est le même.

Le visage, peut être le visage d’un homme.

Tu as l’air triste !

Non ?

Moi j’adore ce genre de question.

Sans fondement sans raison.

Qu’est-ce que la tristesse, quatre fois dedans, heureusement les gens répondent eux mêmes à se genre d’interjection d’ailleurs tu as l’air triste, j’argule long.

Fournissent préposition et interjection, c’est décider selon l’objectif c’est de soi qu’on devient son compagnon c’est devoir prendre un autre paramètre que soi-même de prendre des décisions mais l’on peut s’appuyer sur la raison.

{Le silence aussi à pour manière de pope.}

La maîtrise donne que l’homme n’ait plus d’appréhension par rapport au mysticisme et à la mort.

Se savoir observateur se sentir observé accepter son corps de la même froideur tout comme un récepteur.

L’énergie jamais en suspend, il suffit d’y penser pour la faire circuler où pour la faire, car on la voit circuler pour la sentir puisque par elle, emporter avec elle tout entier.

Elle circule, comme nous fait prendre conscience de nous.

Après l’unité, points espacés, nous amène sur un même point fait que tout peut faire se fier.

Nouveau.

CHANGEMENT DE VOIX MARIE HELENE en dictée.

Remettre à sa place un élément :

Un élément de son émotion, d’une action, d’un ordre, d’une réalité. Puisqu’on sait toujours.

L’individu sait toujours sur un plan ce qu’il doit faire et c’est à partir du moment qu’il fait ce qu’il sait qu’il doit qu’à un autre élément alors il peut s’affairer et qu’avant était, sinon, hors de portée.

Je pensais à quelque chose que je pourrais manger alors que je n’en avais pas besoin et l’eau à la bouche me venait.

Elle ne me venait pas du fait que je m’imagine inconsciemment manger ce dont je n’avais pas besoin.

Mais de ne point le manger et d’attendre le moment ou il me faudrait l’avaler.

Le moment opportun.

L’occupation primordiale c’est la recherche de nourriture.

Ceci  pouvant se transformer en passeur, serveur, tout ce qui se rapporte au progrès, au développement.

A partir du moment ou évidemment on peut améliorer ce ramassage et ou on l’améliore.

En fait que par rapport à l’autre à un moment donné la qualité dépendra du fait que l’on sache se concerter et la quantité n’aura d’intérêt que parce qu’on est regroupé.

C’est le fait de pouvoir sillonner, d’avoir un chemin de recherche. Donc en fait d’être au contact de plusieurs sources.

C’est seulement cela qui évite la redondance, le plagiat, le mimétisme.

Parce que la richesse des savoirs fera que : Une chose ne fait pas rappeler directement à la même chose mais à une boule de neige élément moins directement, nié plus ramifié.

Ramification.

Les idées viennent de l’addition des consciences.

D’une conscience s’imaginant une autre pourquoi pas que les idées viendraient au moment où quelqu’un qui pense à ce que lui avait  fait penser, alors ceci.

Débloque quelque chose, qui vous fera à votre tour penser.

( Le début était excellent mais à la fin de cette phrase c’est toi qui débloque et tu le sais puisque tu cherche tes mots.

Pas de soucis cela nous arrive à tous à un moment quelconque de notre vie.

Tu pensais à autre chose en même temps et ne suivais plus le fil de ton développement. )

C’est pour cela que les anciens ont un rapport aux symboles parce que :

Que peut-on dire de cette relation qui continue avec les gens ou les esprits que l’on captent par rapport à leurs anciens écrits ou leurs anciennes prestations.

Où va alors, où, par cette corrélation pourrait-on alors supposer un troisième objet une complicité non pas touchant l’un à l’autre, mais l’un et l’autre se raccordant en un point particulier.

On pense souvent à :

Tiens ?

Je suis en train de déconnecter je ne suis plus à ce que je faisais et à cela s’associe souvent un sentiment de déception style mais je n’arrive jamais à me concentrer et cetera, et cetera or c’est la sensation de ne plus être concentrer qui donne le rappel à y être ce qui veut dire que jusqu’à ce moment là on y était même si on n’y était pas à ce qu’on était « sensé »

(La perte de concentration peut inconsciemment être provoquée par un flash  subconscient tellement rapide, et fugace, qu’il ne sera pas perçu par le conscient, mais suffisamment puissant dans sa brièveté pour faire perdre la concentration et l’attention sur l’occupation momentanément pensée comme d’importance majeure.

Or : Lors de ce laps de temps infime en durée, c’est le subconscient qui envoi une idée plus forte que l’occupation du moment, peut être même primordiale, mais trop brève pour être captée, elle est diffusée, flouée, occulté par le trop d’attention attribuée à l’occupation du moment.

Heureux si cette idée subconsciente revient par la suite dans un moment de plus grande « disponibilité » de l’esprit.)

Le problème c’est :

Est-il bien raisonnable de penser savoir à quoi chacun serait le mieux à plancher.

L’on est (Nous sommes) capable de penser qu’à travers soi,

c’est à dire la manière de raisonner ne pouvant s’ériger, qu’à travers ce qu’on connaît, ce qu’on a rencontré, le problème est qu’émotionnellement toujours ainsi l’on va (nous allons) penser.

C’est à dire (Encore : J’aurais mis « En conséquences, au lieu- – – ») qu’au lieu d’aller chercher des solutions à un problème de manière ouverte sur soi ou sur un élément en particulier on va vite se (nous allons vite nous ) focaliser et donc scléroser, paralyser le problème, en faire un problème, alors qu’un problème est simplement une question posée.

(Mais d’accord sur l’idée d’ensemble.)

Pour justement permettre la recherche d’autres éléments  et cette collecte d’éléments afin que des éléments nouveaux et de manière nouvelle puisse s’associer se regrouper que quelque chose soit formé.

(Là tu te mets à réciter du par cœur et à rabâcher, c’est moins bon. Autant dire pour l’humanité :

Restons curieux, des choses intéressantes, mais ne perdons jamais de la pensée.

La primordialité : Qui est la sélection des enjeux, des objectifs en fonction de leurs degrés d’importance et d’urgences qu’ils soient matériels, sociologiques, ou philosophiques.)

Pour apporter à soi ou à quelque chose de précis revient à remettre en jeu un système et des éléments que l’on connaît ou que l’on ne connaît pas justement mais que l’on subit.

En tout cas faire que la réflexion s’arrête ( Tu ne réfléchis plus : Tu devient un zombi sans réaction pas même capable de résistance par inertie, refus.) on peut, doit faire appel à ces systèmes.

Aux systèmes que l’on connaît.

Non pas pour les reproduire mais justement parce que la situation nouvelle nous permet d’y nouvellement réfléchir.

Le seul remède c’est d’apprendre à agir pour les autres c’est à dire que agir pour que les autres apprennent à comprendre, à savoir que l’autre n’agit pas tant par rapport à soi même ou à l’autre, mais par rapport à l’idée qu’il y a et l’idée n’est jamais complète.

( Preuve sur table le bordel qu’il y a alors ( celui qui est, celui que nous vivons a présent en suivant les idées telles que tu les transmet nous sommes bien d’accord au moins sur ce point ) c’est sur les deux que les deux peuvent s’associer c’est admettre que chacune nous apprends autant de l’autre qu’elle nous apprends de nous même.)

« Les excitants les drogues. »

(Tu passe du coq à l’âne.

Pour le § précédent il y a de très bonnes idées mais pas mal de contradictions.

Fait le ménage, c’est avec des idées aussi confuses et contradictoires que les dirigeants mondiaux se sont mélangés les identités, les idées, les fonctions.

Donc se sont mélangés les pinceaux et sont parvenus à un déséquilibre « ECONOMIQUE » mondial tout au moins pour certains d’entres eux.

Comme il n’y en a jamais eu par le passé toutes proportions gardées en fonction des époques.)

Les excitants les drogues, les excitants quelconques, en fait libèrent une énergie que non plus on ne peut gérer mais dont on va essayer.

Que l’on va que le flux en dehors de contrôle ne puisse nous déborder.

En fait cela prouve que ce qui est important n’est pas l’énergie qui y est.

L’énergie est une espèce de carrefour délié donc ne dépend pas de l’individu mais de ce dont il est entouré.

(Dans la réalité certains excitants te donne un surcroît de tension nerveuse pendant « UN CERTAIN TEMPS » D’AUTRE TE PLACE DANS UNE SORTE DE POSITION PSYCHIQUE EUPHORIQUE, qui vont annihiler la pensée négative du :

« Je n’y arriverais pas »

[J’ai très bien connu cette excitation inconsciente parfois lors d’examens ou tests multiples compétitions sportives (BASKET LES AUTRES PRENAIT DU DESTRO ENERGUEN j’y ajoutais autre chose en douce sans que personne bien sûr ne puisse le soupçonner] en prenant autrefois des comprimés qui étaient en vente libre. Interdit à la vente depuis les N 63.

Ils étaient à base d’ : AMPHETAMINES.

CELA NE S’INVENTE PAS.

Si le Frangin a bonne mémoire il a du en prendre aussi sur prescription de ?

Notre génitrice pour ses examens. En dose mesurée bien sûr.)

Le but en fait de l’individu c’est de comment de sa propre énergie :

Le fait justement de pouvoir connaître ce dont il a besoin et de ne pas en rajouter.

Alors à ce moment là il pourra connaître les oeuvres propres à lui. Qui vont montrer comme elle se bloquent, pourquoi elles se bloquent et comment elles se délient.

Remonter son propre mécanisme et à ce moment là être capable non plus d’être dans un tourbillon mais de remplacer ça par une possibilité d’association des énergies.

Il suffit d’un mur à une femme pour faire pipi.

Croiser les genoux croiser les bras et fait qu’au mur on ne la voit pas.

La vertu pouvoir accumuler de l’énergie c’est savoir comment la  redistribuer à bon escient, (Restituer ?  Il s’agit d’énergie : Donc d’un élément virtuel, non matériel.)

Sinon elle explose dans les mains.

Le péché est un frein donc l’erreur c’est demander à être appris.

Le problème de prendre un chinois avec son atmosphère c’est d’oublier que lui même et les autres partagent le même air.

Très bien vu, même si beaucoup oublient que dans l’univers nous partageons AUSSI la même PLANETE ? LE MÊME SOLEIL ? LA MÊME EAU ? D PF.

Qu’on le voit l’expérimente où non qu’on soit seul ou accompagné

Voir l’air est possible sous certaines conditions de réaction calorifique cela m’est arrivé à plusieurs reprises.

Toujours tout de même sous le même aspect.

L’attention, la puissance, la réalité d’une certaine manière c’étaient éteintes à nos yeux.

Certainement la peinture qu’on achevait était celle à laquelle les expériences passées nous avaient prédisposés.

Tu n’avais rien oublié ?

Qu’est ce qu’un oubli ?

Qu’est ce qu’une omission ?

Il le fait exprès ?

Non si peu !

D. A. E. PF.

Le fait de rechercher alors est de s’ouvrir : De pouvoir percer la face opposée c’est à dire que quelque chose est, car il est opposé il est en sens inverse en tout cas il est imbriqué à une autre réalité.

Le fait de chercher alors, nous fait connaître cet autre versant et la manière de travailler les choses, alors nous allons prendre la  profondeur de savoir que les choses à gauche comme à droite, que les choses, ont plus d’une dimension, bien plus qu’une, –  –  –  –  -.

(Tu bafouille)  extension.

Dans le sens aussi, alors, que l’idée ne peut plus s’arrêter qu’a partir du moment ou une chose est :

Elle peut s’étendre dans la vie à l’infinité. (l’infini.)

Oh ! Les filles vous vous êtes misent à fréquenter tonton bamboula maintenant ?

Moi parler bien français depuis que tonton François il a appris à moi a jacter comme une vache Portugaise – Angolaise.

Pour quelqu’une, qui est censée être montée jusqu’au doctorat ce n’est pas fort !

Je vais encore devoir rectifier vos conneries pendant combien de temps. Bougre de Bougniouls.

Raciste ?

Et comment ! Il y a de quoi le devenir !

D. A. E. PF.

La notion de la droite et non pas des choses segmentés.

Faire accepter de glisser sur le mouvement que notre corps est déjà en train d’être : Et non pas se forcer à une certaine attitude à une certaine impulsion, simplement parce que les blocages, le blocage, est ce qui dans notre conscient n’est pas encore arrivé.

C’est à dire une infinité de chose puisque consciemment tout est à une raison d’être afin que tout puisse se lier et se délier, tout à la fois, donc agir d’une manière que l’on maîtrise soi.

C’est en fait pouvoir à terme faire que ce flottement là puisse être réalisé.

Nous laissons (ou laisserons. [Si tu veux]) s’exprimer le courant naturel des choses.

Alors le groupement va s’en apercevoir, va naturellement les intégrer, puisque c’est un processus naturel.

Cela permet à ce processus de continuer donc de s’affirmer.

A ce moment là nous ressentons une résistance, certes, puisque le blocage vient du fait que notre conscience est à des kilomètres de ce que nous imaginions.

Pas tout à fait d’ailleurs, parce qu’en réalité notre conscience est aux portes de ce qu’elle fait.

Tant que la porte n’est pas ouverte pour nous c’est l’inconnue l’innomée et à partir du moment ou la porte s’ouvre les clés sont des clés universelles à partir du moment ou on ouvre une porte déjà c’est que tout le monde qui l’a vu était en train de s’en occuper et donc à partir du moment ou une porte est ouverte tout le monde en possède aussi la clé.

TU DECONNE DE PLUS EN PLUS. D. PF.

On peut comparer le groupe, l’humanité ou toute conscience et sens d’appartenir à quelque chose que l’on peut détecter.

C’est à la même bête qu’on sait, sous laquelle on sait être rattaché. Sinon si c’est à la même bête est-on de la même unité ?

Unité évidemment, mais est-on soi- même unité.

Evidemment mais de quelle autre pluralité.

L’unité est, de ce blocage au niveau symbolique, en est : La clé.

C’est seulement avouer qu’à partir du moment ou on est en relation avec un problème cela veut dire que, à la base on a plus directement

Ne faire qu’il apparaisse donc du moment ou on trouve une solution c’est que c’est le problème même qui se proposait avec sa solution.

Un des plus grands plaisirs de ma vie est de m’occuper des animaux.

(Tu y reviens toujours, sur ce sujet, c’est un manque à ta vie.)

Cela aurait été de s’occuper des chevaux par exemple.

Un choix !

Que de ne plus m’occuper de cela, car ma mission est ailleurs.

La mission personnelle à pour particularité de :

Tous nos désirs, plaisirs, su et vécus, pouvoir rassembler et additionner.

Nous savons que c’est cette intensité là qui de la vie vient de toutes parts, mais que nous ne pouvons regrouper en un seul et même point et ne pas savoir.

C’est ce qui est à savoir.

J’aurais pu donner ma vie aux chevaux et c’est ce fait là qui fait, que, il  m’aide à chaque pensée à aller au-delà.

Que même la plus grande de mes passions le plus grand de mes attraits auraient pu s’il avait été seul me faire penser que je le pouvais.

Le rapport narcissique à l’aide c’est « trop aider vouloir apporter une aide qui n’en est pas une parce qu’un certain forcing est entrain de se dégager.

Implicitement c’est, je m’aide, c’est à dire restreindre mon champ d’action à ce dont j’accorde l’honneur » :

De l’avoir rencontré.

Ce n’est pas admettre que justement rien n’est à forcer et que les choses sont perdues de ne s’être pas encore rencontrées.

La totale aventure est la seule façon de continuer à se donner parce que justement se donner et apprendre son étroitement lié.

Impossible à séparer : Psychose et paranoïa, focalisation sur un objet, essaie d’isolation, de l’isoler.

Car pas d’idée sur ce qui va pouvoir se passer après.

Que le garde comme étant son seul lien à la vie, l’isole et s’isole, en même temps des autres objets, de ce qui pourrait le mettre en danger.

De ce qui pourrait simplement faire qu’il puisse se transformer,

continuer à évoluer.

C’est parce que toute solution se trouve que l’on se sent mortel.

Nous avons agis, et c’est permis, par le désespoir, le laisser aller. Nous donnant comme principe que par les éléments, les événements, la structure dans laquelle nous étions, allions même, par elle-même, nous arrêter.

Or nous trouvons toujours une manière de mieux s’arranger.

C’est quand nous avons compris cela, que nous comprenons que ces reculades sont le pourquoi même de nos difficultés.

C’est admettre de pouvoir toujours avancer et  est d’ores et déjà gagné.

Savoir avoir d’ores et déjà tout en main pour se réguler :

Savoir c’est trouver.

C’est plutôt le pouvoir retrouvé.

Se détacher de l’argent c’est pouvoir être au service de son talent. Rattacher son talent à ceux des autres :

Le concept d’une énergie sans perte est lié.

Pour moi la définition du bonheur est donnée.

Pouvoir se mettre en groupe sur un concept ?

C’est le fait que le concept puisse vivre, progresser, muer.

C’est aussi le fait que puisse aucune autre chose emprisonner.

C’est à dire faire qu’une personne dépende de lui dans le sens ou il dépendrait d’une personne de pouvoir le conceptualiser l’amener à !

Et celui qui l’apporte véhiculé le mouvement perpétuel est lancé.

Une partie en conversation inaudible. Non enregistrable. Refusée.

Documentation audio 5 terminée.

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Audio, pour ne pas dire idiote, Six.

Cassette totalement vierge.

Marque :  T. D. K. N° : A. G. J. L. 620.

C’est parfait il y a moins de souci à se faire pour l’avenir.

Six ?

CE n’est rien.

Nous serons ainsi certains de ne pas être encore obligé de nous embourber quelque chose dont nous ne voudrions pas.

Puisque :

Sans six : Je ne prends rien, refuse tout, toutes et tous.

J’aimerais savoir comment vous faites pour :

Comme exemple ;

Ecrire sans  la sixième lettre de l’alphabet ?

Compter sans le chiffre six.

C’est votre problème !

Pas le mien.

Sous-entendu !

Démerdez-vous avec vos conneries. Ce sont les votres ! D. PF.

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AUDIO SEPT.

CASSETTE SONY N° : B 2 C A 2029 B.

Cassette O. K. comme les cinq premières.

Voix de Marie Hélène.

L’individu c’est la mémoire du corps, de l’esprit donc des sens et de la réflexion.

L’émotion en rapport avec le corps et les sentiments, en rapport avec l’esprit.

C’est la résultante de ce qu’on essaye de rallier ensemble, cela en est la transition.

Savoir qu’on est partout en danger.

C’est savoir tout le temps, partout apaiser et le danger de s’affaiblir soi même, de manquer à son devoir.

N’avoir que cela en tête.

Ne plus jamais être perturbé ?

C’est prendre sa vie sous son aile, savoir que rien jamais ne s’arrête.

Je prends des ans.

Je ne fais ni plus ni moins que les choses que je faisais avant et pourtant mes tissus s’amollissent.

Mes tissus s’amollissent ?

Pourtant, plus j’essaie d’enfreindre certaines règles de mon idéal ?

Plus ma fatigue et l’envol de ma forme, est considérable.

Chaque vie est prendre en son sein  ce qu’on pense devoir, pouvoir allaiter.

La vie est mère et chacun de nous mère est.

Chacun prend en son sein ce qu’il en connaît et le jugement en est impossible parce que si on n’apporte pas de solution : C’est qu’on n’est pas ce que l’on juge.

La vie est en chacun de nous ce que nous en avons demandée, et est.

Pour moi vous êtes l’écrivain me dit-elle.

Je suis tombée amoureuse de vous, repense, relisez bien.

Tu seras un homme et comme tout homme tu te préoccuperas de comment bouffer, de comment améliorer ce que tu bouffe.

De temps à autre, tu te poseras la question ?  Tu te demanderas mais à quoi cela peut-il bien rimer.

Pas trop te compliquer la mission il fallait bien l’avouer.

N’entendre rien, ne s’occuper de rien, voilà quelle était pour se reposer, la seule façon.

Après cela le travail reprenait place ou bien la dissolution.

L’art de pouvoir continuer ses gestes sans leur donner signification ? C’est l’art de pouvoir vivre toutes les situations !

Vivre pacifiquement toutes les situations.

Cette attitude vient du fait de l’absence de fantasme.

D’ailleurs, je ne crois pas que ce geste dans ma tête aille plus loin que le besoin qu’un être vivant ai des gestes et ait besoin de cela.

La vie est une circulation.

Ce que je trouve fascinant chez l’homme, c’est qu’il souffre en sa chair.

Ce qu’on appelle sensation.

L’énergie en lui qui transite et que ceci passe innommée, non étudiée pourtant, alors qu’elles sont preuves que le corps n’est pas un bloc qui communique.

Donc qu’il n’y a dans ce que le sens de la vue pourrait donner comme intérieur extérieur en fait qu’il n’y ait pas de limite.

La poésie c’est articuler ce qu’on entend de la vie.

Se faire de la poésie, entendre de la poésie c’est communiquer avec ce son.

Le poème révélant ce qu’on lui donne comme don.

Le culte de l’infériorité a été inventé par les gens qui ne trouvent en eux les ressources de pouvoir mieux équilibrer le monde.

Qui, alors, pour pouvoir évoluer dans un système ou l’on allait d’aberration en aberration, afin que leur esprit supporte l’illogisme de la chose, se sont abreuvés, martelés le cerveau pour se dire qu’une partie du monde :

Soit : Au service d’une autre.

Cette idéologie là était pour leur faire oublier comment les esprits de chacun et des autres étaient à cause de cela complètement tiraillés.

La télévision était une boite à invention quant-on savait la regarder de manière à être surpris à chaque fois que nous l’allumions (la mettions en fonction, (j’allume le feu, pas la télé ou je la fous en l’air), surpris des nouveautés en sachant  que tombant sur les bons programmes quelques heures par an suffisaient. (Là je suis d’accord à cent/cent avec les quelques heures par an.)

Il fallait dire qu’avant je m’en étais gavée.

D’ailleurs la réalité était que je pensais que le monde était pollué et que maintenant que j’explore le monde, la terre peut me donner une image de ce qu’elle est.

Et non pas à sa taille le formater.

La vie c’est vrai au-delà des problèmes de cohésion de groupe que l’on a  de toute manière.

La vie c’est se servir soi aller à l’encontre de ses particularités et quelques soient les moyens qu’on a c’est de se donner les moyens LE DROIT, de les parfaire ou pas. (Mon accord avec toi n’est que relatif sur ce sujet. Si c’est pour que les perfectionnements servent encore à une bande de salopes profiteurs. Alors c’est non.)

Répondre à un petit roquet, m’intéressait à quelque chose de secondaire, selon sur  ma lancée m’arrêter, c’est pour cela que je ne réponds qu’à ce qui en elle peut me freiner.

J’ai arrêté la psychologie bon marché.

Peut-être aussi du même coup, ne me suis-je plus pensée à un cas à redresser.

Ne plus penser !

Non pas un cas !

Mais ! Simplement de savoir que ce qui me forme est mon couple et non pas ma personne qui ne peut que se restreindre si à elle ou à d’autre elle s’en remet.

Il dépendait de moi, vis à vis, de ce que j’avais à faire progresser. Comme quand nous ne pensons pas à ce que nous bouffons et quant nous ne pensons pas aux performances sportives que notre corps doit réaliser.

Alors notre poids nous est étranger nous ne réalisons pas ce qui est pourtant à nous manquer nous ne sommes pas en position de les détecter.

Nous savions que nous regardions des programmes cons mais nous arrivions à nous en détacher au fur et à mesure de nos impératifs nous arrivions à dire NON je n’allume pas cette PUTAIN de télévision.

Et nous savions que cela nous en coûtais de faire autre chose.

Le fait de penser à une télévision allumée (en fonction) plutôt qu’à ce que nous devions faire nous rendais malade à gerber.

Je pense que l’attirance que nous avons même quand nous savons que les programmes sont vachement plus cons que ce qu’on peut faire en remplacement nous y tenons parce que la télévision fait partie de nos habitudes et se dire que, effectivement, c’est con de LA regarder comme un travail pré- inconscient.

Se dire mais qu’à t’on fait de ces années ?

C’est aussi ne pas se rappeler que pour en arriver à une conclusion ! Eh, bien des années et des années d’expériences sont à effectuées. Que de cette expérience là, même, une plus grande sagesse peut se révéler.

Voir autre chose qui nous permettrait de comprendre.

Mais la compréhension, le fait de pouvoir s’abreuver totalement d’un monde en expansion, par rapport à sa propre action :

Ce n’était pas voir mais faire, voir nous permettait d’attendre, simplement et le monde se laissait connaître pour en arriver à cela évidemment faire engager l’être totalement.

Faire engager l’être totalement voir lui donner une idée pas de triche en ce jeu, l’harmonie ou tout fini. (Tu sais, tu vois ou cela vous a mené : A NE RECEVOIR PLUS QUE DE LA HAINE) D. PF.

Ne pas se forcer gestuellement ?

C’est ne pas reconduire le manque d’un passé.

Les manques, les signes, les codes d’une culture, qui sont bien heureusement dépassés par le progrès même que leurs résistances à leurs problèmes, à créer.

Ne pas créer au niveau gestuel c’est à dire se créer soi même c’est alimenter les fantasmes dû au manque.

Les fausses compensations, des prétextes à l’approximation, au délire, à la parano, à la vanité, à tout ce que le comble du manque avait plus ou moins installé :

A plus ou moins installé.

J’avais toute tendance à vouloir dépasser les gens, ne supportais pas à voir ce qui se trouvait en premier plan.

Mais savait que cette tendance en même temps venait du fait que je ne prenais pas assez de distance par rapport à celui qui me précédait, NON qui était avant et donc devant lui, le fait de me placer devant, faisait que je ne voyais rien que lui, avec le danger inévitable de ruer dans les brancards si au moindre mauvais pas qu’il ferait je devais au rôle de premier revenir au rôle du second que je portais.

Se faire une idée de ce que le monde est,  sur notre propre action le seul moyen de se faire une idée autrement qu’une action est faite pour réfléchir et si on la comble par des futilités, alors le groupe est autant responsable que l’individu qui dans cette voie va s’engouffrer.

Pour ma santé j’étudiais debout et je sais dès aujourd’hui, que peut être, je pourrais travailler avec les chevaux parce que mes livres reposeraient sur leur abreuvoir tandis qu’une pile m’éclairerait et leur chaleur en été comme en hiver m’ennivrerait. ( DEBILE. )

La douleur était un bon souvenir en sachant que, maintenant, je n’avais plus besoin de la fuir.

Que simplement ma connaissance faisait d’elle que je pouvais la transformer.

Transformer l’énergie même, qui tant que je ne la connaissais, m’y aurait amenée et qui maintenant me maintient dans ma ligne. Au lieu que je vois une force inconnue me faire chavirer.

Avoir de l’autorité c’est savoir que son influence se répercute, que l’autorité ne se gagne qu’avec la maturité et l’expérience et que ces deux qualités résonnes aussi loin qu’il nous a fallut les puiser.

( Eh, bien ! Tu as intérêt à puiser très loin toi, et je ne sais même pas si tu as les allonges suffisantes. J’en doute fort.)

L’autorité est un don de soi et c’est ainsi que comme tous les dons il n’a à être forcé.

Ne pas céder à ces propres vices ses démesures c’est avoir l’esprit tranquille.

C’est à dire que même si contre toi se trame des choses on les sait, de les avoir expérimentés, de les savoir exister dans l’intellect. Que parce que comment elles pouvaient se passer.

Mais si on sait qu’elles sont présentent, si l’on sait qu’il faut s’en méfier de toute manière, rien arrêter sauf le fait que notre esprit elles viennent ronger.

C’est à dire occuper notre esprit vingt quatre heures sur vingt quatre. Oui mais si contre moi cela on voulait. Mûrir c’est devoir encore mieux et devoir tout à fait, faire que le maître ?

Eh ; Bien le devenir !

Les choses passent : Arrêter de souffrir.

Toutes choses passent.

Le bonheur ?

C’est de pouvoir le trouver en son cœur, en la matière même de la vie.

Cultiver sa passion et le voir exister dans la communion, la transmission.

Il m’avait klacsonné au moment ou je piquais du nez.

Il m’avait sauvé la vie il avait porté attention à mon camion.

Ne donner de temps à rien d’autre, qu’à part de ma vocation.

Si ces autres pourraient se révéler d’ardentes passions, sans être sûre d’éclatements, d’explosions sans me trahir moi-même.

Sans ne plus pouvoir compter sur elle.

J’étais l’une de ses erreurs et comme toute erreur elle nous sert de réflexion à notre bourrage de crâne intérieur comme à une parfaite, à un de ces parfaits non-sens.

Insuffisance dégueulasserie, comme une parfaite illustration.

L’acte qu’il avait commis ;

Il s’en servait comme d’un appuis.

Mais bancale était sa résolution.

Je le hantais, je le savais.

Et je pense que c’était pour cela que son souvenir de cette manière là me revenait.

J’étais en fait son paradis perdu sa désespérance et je ne m’en doutais pas.

Le pourquoi il n’y arrivait pas.

Je repense au gens que j’ai bien connu et que je ne reverrais jamais dont je ne sais absolument pas ce qu’ils peuvent, pourront, devenir.

La vie est romantique la vie pousse a l’imagination, c’était un fait, à l’imagination de l’autre.

Il ne faut pas avoir quelque chose dans la tête en ce qui concerne l’énergie.

Car ce qu’on a dans la tête est forcément le produit d’un blocage intérieur le mieux à faire le plus direct.

L’art, l’étape la chose qu’on peut reprendre qu’on peut revoir, dans un état qui lui ne change pas en reprenant une chanson en revoyant cela ce que l’on peut voir c’est notre changement ( évolution) à nous.

Notre propre changement d’état;

L’art est l’évolution de l’étape. (Et non pas l’ablation abrutie).

Je lui avais posée cette question.

Je connaissais sa position.

Mais c’est tout un problème insoluble que je lui avais posé.

Je savais que l’utilité de l’avoir fait, compte tenu qu’il me prêtait de son esprit, à pouvoir rendre supportable une situation que moi même je trouvais intenable, insupportable.

Si je maintenais celui qui était en moi jusqu’à présent son état d’esprit à lui faisait que je pouvais supporter ce qui était pour moi une tenaille avant.

La fatigue, voir trouble, arrêter pour essayer de voir clair.

Puisque ceci  n’est plus possible.

Accepter de voir trouble pour continuer à voir.  Ma main qui ratait les charlottes au chocolat.

Je pense maintenant que peut-être cela était bon.

Je pense maintenant que, peut être, ma main, ne s’amusait-elle pas.

Ne pas rejeter la douleur car elle-même apparaît.

Que se pointe l’orgie, c’est pouvoir pleinement continuer à s’enseigner et que toute énergie en une énergie accouplée.

On s’énervait de petits riens de risques occasionnels cette tension affolée incontrolable de l’esprit une insulte à soi des comportements des autres gens alors que ces mêmes gens là sévères avec eux et sévères pour tout le monde les respectait plus que ceux qui étaient sympas.

Sympas de ne pas pouvoir les calculer il n’y avait aucune règle ni des comportements de méprise, ni de solidarité.

L’énergie, les manifestations  de celles-ci qu’on jugeait de n’avoir encore compris tout ce qui nous entourait systèmatiquement constituées l’animal dormait (D’or mets tu es sûre de ce que tu avance?) et si les manifestations spéciales de notre énergie n’était que les remues ménages de notre esprit ?

Que nous les sentions particulièrement parce que bercés pris dans la démesure de ce que l’on voulait de  ce comment l’on se préparait et caetera : En fait une disproportionnalité entre moyens, ressources, besoin de ces philosophies.

C’était expliquer un phénomème très particulier avec des termes généralisés ce qui donnait naissance à un système que l’on pouvait à sa guise appliquer non pas que le philosophe voyait tout, c’est qu’il expliquait de sa lucarne sans justement la dévoiler et à ne rien se focaliser alors la petite tache qu’il voyait, il n’en faisait pas une généralité, et savait que la généralité pouvait expliquer un système dans lequel elle était imbriquée.

Sa démarche était aussi : [Ce n’était pas parce qu’on avait éclairé un endroit qu’on s’y installait]

(Tout à fait d’accord ! D. PF.)

Mais bien que ce que l’on éclairait n’était qu’un abord de ce que l’esprit méconnaissait, était et demeurerait incapable de déchiffrer tant qu’il continuerait à, sans cesse, voyager, visiter.

Tu bafouille Marie Hélène !

Parcourir, continuer, admettre que la compréhension en tant que telle ne pouvait ce trouver qu’à l’orée.

La pensée était ce qui, {NON} [et tu te reprends encore] que la réllexion, la compréhension était le lien entre les pensées diverses qui ammenait à elle et la réflexion qui amenait à la résolution.

Tu devrais réécouter ton charabia je ne sais pas si tu y comprendrais quoi que ce soit toi-même, je t’ai connue plus forte que cela !

La résolution elle, qui ne pouvait être qu’universelle naturelle et donc par cela ancunement forcée ou légiférée.

Vouloir imposer son esprit à quelqu’un dans la bagarre se voir c’est s’en recevoir un puisqu’on est absorbé à ce qu’on ressent ou qu’on préssent et plus du tout à non pas du tout à ce qui est en train de se passer puisque cela on ne peut le voir mais vivre ce qui est en train de se passer.

Puisque le mouvement si on le voirt dans l’autre puisque le mouvement né puisque philosophiquement c’est perdre son temps à vouloir contrôler un esprit inutilement  puique cela fait partie de la systèmatique au lieu de s’adonner à une action c’est à dire d’expérienter de savoir , où dire qu’est-ce que cela fait que l’important n’est pas tout ce que l’on dit, puisque tout ce que l’on dit ne peut-être qu’à coté mais l’esprit avec lequel ce quoi on fait donc le but du jeu n’est pas de s’en persuader mais soit non pas un apport à ntre persuasion qui est limité mais un apport à l’action.

(Nous avons tous des moments plus ou moins forts mais là tu aurais pû forcer un peu !)

L’âme d’un secret, d’une liaison, entre pensée et action. Qui donnera à toutes non pas l’illusion de la vérité leur sens c’est leur raison d’être profond carburant de l’émancipation explorer toujours plus notre contitution.

On se méfie de notre intuition car une intuition peut-être très bien la bonne dans le sens ou elle nous indique ce qu’il faut faire à l’état brut. Et une intuition peut très bien nous indiquer ce que l’on doit faire dans notre processus de compréhension des choses, c’est à dire nous pousser à être conscient d’exécuter un acte en nous demandant si oui ou non il est pertinant, pour se rendre compte que c’est une erreur.

Mais le fait de s’être demandé si, il était avisé, de le réaliser ou non est une promesse d’analyse de processus de ce que l’on fait. (Là par contre tu es aux meilleures de tes capacités.)

Le malaise se trouve toujours entre quel est l’abord que l’on prend des choses, puisque les choses peuvent être prises au sérieux comme en dérision.

Comme une illusion est la base de toute concrétisation.

On se balade entre intemporel et éphémère de ce qui nous fait. Et le fait que lon puisse tout défaire, la confiance dans le pouvoir de l’autre, la confiance dans son énergie dans l’énergie de l’autre c’est le pouvoir que les circonstances nous ont données de pouvoir quelque chose pour autrui, représenter. C’est à dire qu’il place sa confiance en ce qu’on est, c’est à  dire qu’il donne la possibilitéé de garder la distance mais de pouvoir seulement être occupé à maîtriser, à disposer de ce que l’énergie va pouvoir accorder. On ne peut pas rétorquer par la spécialisation par exemple de se dire qu’un sportif pour être au niveau doit être dispensé des meilleurs soins de kinésithérapie. Seulement dans un système égalitaire il devrait lui-même dispenser des soins pour pouvoir en bénéficier. On ne pourrait pas dire qu’il est empêché de progresser car le temps qu’il passerait à prodiguer des massages serait du temps à ne pas faire du sport parce que si l’on pense performances, on pense longue durée et le fait de savoir masser l’autre et ses propres massages que l’on reçoit sont à double effet à partir du moment où l’on sait au niveau interne et externe ce que cela peut-il bien m’entraîner. Savoir se faire du bien, savoir faire du bien les deux phases que le sagesse connaît, tout n’est qu’illusion oui c’est entre ce qu’on veut nous faire croire, ou bien est-ce ce on, que l’on est.

Changement de voix : Caroline ! Mon bijou ma petite lesbienne d’amour.

Les strictes inspirations par le nez expirations par la bouche que ses rythmes eux-mêmes étaient de pouvoir limiter la sur-oygénation pour optimiser ses capacités permanentes.

Mais en cas d’urgences à évènement dont on pouvait faire autre chose que de vouloir s’en protéger une grosse urgence, une grosse peur quelque chose qu’on ne pouvait pas se dire mais absolument à éviter donc possibilité de sur-oxygénation mais qui ne doit pas être un entraînement incorporé.

De nouveau voix de Marie Hélène.

Se rendre compte que l’autre est en train de serrer la main et remarque que quand elle la déserre son genoux ou son coude reçoit la variaton de ce qu’elle était en train de faire.

Une des phrases les plus ségrégationiste que j’ai pû entendre que fit plus d’un d’être traité selon le caractère que l’on dit avec laquelle on obtempère l’illusion extrème est de croire qu’on est quelqu’un et que tous les autres on aurait pû être ces petites salopes qui pensaient que les putes avaient méritées de l’être.

La spiritualité c’esr cotoyer la mort dans ce que assumer la vie comporte de risque, la vie est dans ce qu’on franchit.

Caroline, Mon bijou D’amour !

Le sentiment d’aimer quelqu’un c’est simplement de se reconnaître en lui, de s’apprendre et en cela une idée de l’infini ui soit infini d’autre et caetera donc d’espoir à ce que tout trouve à se combiner et se combinera pourtant ma vie c’est tout ce que j’avais à lui donner.

(Cela ! C’est bien de toi ma chérie. TON DANY

Marie Hélène.

On n’aime l’immobilité parce que celle-ci a le fait de rester sur un poste, de rester sur une situation qui ne va pas pour X, Y , Z, raisons évoluer c’est apprendre à garder, à garder le terrain occupé, (alors on en append tout les jours.) [Et moi j’ai intérêt à être sérieusement équilibré et de nerfs solides pour travailler avec vous deux en paralèlles. DANIEL.]

Tous gestes si il lui était apparut dans ce monde ou il était laissé tel une pourriture (Et c’est comme cela qu’ils se sont eux-mêmes définis, déterminés !)

Les pires des choses étaient faites parce qu’on était pas apte à pardonner parce que sans cette aptitude là et celle implicite d’un meilleur avenir d’un meilleur savoir faire  et de façon de pouvoir soigner et d’éviter de se blesser tant que cette capacité là n’y était pas cela voulait dire que l’évènement était plus fort que l’être en lui-même donc l’être aurait tendance à agir de manière incnséquente qu’on pourrait dire que l’être recherche à ressentir des sensations. (Si tu crois ce que tu dicte, tu n’as pas évoluée dans le bon sens Marie-Hélène. ) qui n’arrive pas à ressentir par son propre développement car donc il se sent coincé désespéré ce qui fait que n’importe quel évènement semble l’arrêter et donc pour augmenter se sensation d’existence il va tenter de la faire par d’autres procédés

(Ou la vengeance simplement : La loi du talion. Celle là tu n’y a pas pensé, m’a été eseignée par mon parrain de baptême il y a cinquante ans. Paix à son âme il est en terre depuis le cinq avril deux mille six .)

Soit en voulant agir sur l’évènement, soit sans agir sur l’évènement mais en provoquant des choses insensées, que l’autre aussi du coup aura du mal à maîtriser.

On les appelait les recrues ils esayaient de ne pas bouger.

Ne plus souffrir c’est tout ce qui les préoccupaient attendre les choses tellement les choses n’étaient que potentiellement empirées..

Le coeur se donne par des pages et des pages, sa manière, son système de pensée jusqu’au moment ou il se dit qu’à chaque fois il ne peut rééditer, alors ses phrases il leurs laisse de plus en plus porter le sens que chacun voudra leur accorder. (Je ne sais de qui tu parle mais mon avis est que tu te mêle encore de ce qui ne te regarde pas.) Et au dela du travail on se faisait une idée de ce qu’était la vie, sauf qu’on faisait du temps avec ce que l’on avait une seule et même responsabilité, donnait le meilleur aux gens et les moments de solitude et d’absolu où on se savait capable de perçer le temps et on on (nous nous savions, même erreur que Caroline, décidément vous dictez aussi mal que vous parlez, en langage courant) se savait vieux comme un moment de flottement et heureusement que la vieillesse n’était pas un état, mais un état d’esprit simplement. On ne se sortait pas de la gêne émotionnelle tant qu’on ne se rendait pas compte que l’évènement ou le souvenir de l’évènement n’était pas relié par les sensations elle-même on n’avait pas à justifier le sourire qui apparaissait quand on pensait que pourtant moralement que l’on éprouvait de la gêne ou de la colèe justement la morale faisait que notre esprit arrivait à ne pas être influencé par nos conditions premières ou l’apparence d’une condition parce qu’on pouvait aussi, pourquoi pas, prendre l’habitude de sourire à quelque chose qui nous suscitait de la joie, mais de quelque chose que, si l’on creusait, nous remplirait d’effroi. Comme manger pouvait-être le plus grand des soulagements que de penser que la mort du veau  du cancer comme promesse plus en avant de penser d’une horreur on l’analysait.

Et tu as eu une agrégation en philo toi ?

Et bien heureusement que tu n’as pas été jusqu’au doctorat parce que c’est pour le coup que tu étais bonne :

à enfermer avec tes professeurs en internement psychiatrique.

Maintenant soyons sérieux :

Te rends tu compte que les conneries que tu raconte n’ont ni queue ni tête, aucune suite dans les différentes idées développées la dernière fois que je t’ai eue au téléphone tu m’a parlé d’un handicap, je confirme et c’est même grave et mental.

Bon j’espère que si je reçois d’autres cassettes je retrouverais la VRAIE Marie Hélène, celle, logique intelligente instruite et rationnelle que j’ai connu autrefois, parce que je ne sais de qui tu es entourée pour déconner à ce point : Mais Là ! TU N’ES PAS TOI! Daniel.

Alors qu’on l’analysait comme un problème se découvrant ne pas croire qu’un sourire ou un pleur avait autorité pour être tenu, maintenu ou (extirper ou expliquer) refusé cependant une sensation est juste une énergie qui a besoin d’être contenue, une sensation c’est l’esprit et le corps qui se font en la matière, prévenant.

Alors que l’esprit voudrait partir différemment alors que dans les moments ou il n’est sûr de ce qu’il est dans la situation du danger, il rapporte ses sensations au point de vue sexuel puisque c’est une chose exacerbée, une chose sensible nous tenant en alerte.

C’est aussi des sensations à langage corporel à pouvoir avec chacun partager le B. A. BA de l’acceptation ou rebellion formation du couple reproduction ou violence à cet effet à ne pas trop tenir à se genre de personnage.

Elle fut ce qu’elle fut avec moi, par contre quand j’ai rencontré dans l’avenir quelqu’un qui me faisait penser à elle parce qu’en fait elle fut sympa avec moi alors j’en finis à l’avenir lorsque je rencontrais des gens ayant eu avec moi un comportement que je jugeais ressemblant au sien alors de les rencontrer j’étais content puisqu’ils me remémoraient ce que j’avais été bien content d’avoir en elle, appréciée.

Les liens du mariage avaient fait de la personne telle très bien régulier dans les systèmes les plus dictatoriaux qu’ils soient le fait que en fait tout se reportait sur le pouvoir d’une personne et non sur un objet, des lois une administration une autorité en fait des choses que l’on pouvait toutes conceptualiser, partager, que l’on se rassemble autour, à défaut de cela était le fait que c’était d’une « personne » qui a une autre appartenait.

Voilà ce qu’on se permettait  à l’un ou à l’autre de posséder. Si l’homme disposait de la femme, par un refflet d’autorité les enfants devaient allégeance à leur père et à la loi extérieure mais bien évidemment les enfants dans les mains des mères étaient rapports extérieurs père.

Le fait que cette autorité ne puisse être contesté, d’autorité finale par rapport à ce qu’une autorité est impossible d’avoir ce rôle si elle est visible au quotidien si elle peut-être à lui qui élève  puisque l’autorité comme on en parle ainsi est une sanction, non pas un procédé, non pas un apprentissage, une référence un exemple, quelque chose dans la durée.

Le devoir accomplit était l’armure sans défense.

Dès que l’éloignement de la fatigue permettait de me rapprocher de ce qu’il fallait même si je n’étais plus capable de faire dix fois moins que ce que je faisais cela n’avait en fait aucune importance, mon âme y était.

Les immigrés des premières générations se posaient des questions sur la représentativité de leur ethnie de leur pluri-nationnalité sur les postes  de responsabilité particulièrement sur les postes de politiciens.

Il fallait se rendre compte que les chances devant l’éducation n’étaient pas les mêmes et que cela resterait tant que cela serait et que ces chances là si elles se résorbaient seulement avec l’aide de l’éducation nationale de ce qui est l’instrution nationale et non l’éducation nationale.

L’éducaton nationale étant seule à égaliser les chances, même si l’instruction nationale pouvait y parvenir il faudrait des générations pour que cela puisse s’installer.

Simplement dans le fait que de pouvoir s’exprimer sans faute de français ce qui représentait des heures et des heures devant des émissions culturelles des pays riches quand ce n’était l’amusement, c’était l’instruction qui empêchait de se porter au devant de tout les conflits qui se présentaient et qu’on entendait à chaque fois que l’on tournait le bouton des informations.

Heureusement il y avait cela car sans recul que ne fait-on pas et que le corps nous fait sentir que l’on ne sait-on pas et que l’on a travaillé et qui faisait monter et le corps de toutes ces approximations nous rappelle combien nous sommes limités et paradoxallement près à tout brasser pourvu que tout puisse se trouver pourvu que ça et alors chacun le courage de rassembler on aura.

La vie psychiquement supportable parce quand on croit que l’on connaît le monde je pense que c’est comme une introspection

total sur ses sensations introspection aussi qui implique une totale « mission » entre la sensation et les croyances que l’on a qui nous conduit  en les croyances complètement stupides mais qui nous premettent de faire un bond puisque c’est dans l’extrême non pas des comportements mais des décisions parce que l’on peut très bien faire des choses extrêmes en pensant  que ce n’est pas extrême par rapport  à l’ensemble de ce que l’on a vécu et faire des petits trucs qui nous semblent extrême ce n’est pas tant dans le résultat mais dans l’état d’esprit dans lequel on le fait le creux qui se creuse entre ce que l’on veut, ce que l’on est, ce que l’on croit, etc, etc, qui fait que  l’on sait qu’il y a autre chose à intervenir dont-on ne se doute pas ou c’est savoir que l’n soit amer en prison ou en tant qu’explorateur sur la terre on sait que le monde qu’on est en train d’explorer est toujours limité puisque mais qu’importe puisque ce bout de terrain nous avons en charge en mission de le restaurer de le rendre plus vivable, sachant que toute vie doit passer et que l’on soit dans les champs entre quatre murs dans des bureaux à faire tout ce qu’on peut imaginer chaque acte est cela et reviens à pouvoir épouser un monde d’avec son esprit  et cela représente pour l’être des possibilités de travail sur le monde infini et tout travail sur le monde engendre un aautre monde.

Le couple.

Le fait de ne pouvoir le dissoudre le couple jouait un rôle social et sanitaire fondammental dans toute société il y avait une histoire de loterie et il falait par le but du jeu communément admis que l’un et l’autre s’occupe de lautre qu’elle que soit sa maladie, qu’elle soit physique ou mentale.

{|[(Nous y voilà :

Et je vous assure que  nous allons en reparler sous peu de cela.

Entre les plaisanteries outrancières, « parfois », l’humour, l’amour, et la HAINE qui a été insufflée par certains comportements depuis 16 ANS, COMPTEZ sur moi pour y mettre « mon grain de sel » et « bon ordre » dans les mois à venir.

Leurs vies ne vont pas manquer de « piquant » faites moi confiance, nous allons les traiter : A la métode voyageurs !

Et comme le disait LAURE sur RADIO-CLASSIQE il y a quelques temps, je vais régler mes comptes !

Et je vous garantis que cela ne va pas se passer tout en tendresse ni inaperçut cette fois, et maintenant c’est moi qui manipulerais )

Pour infos et réponses : Transfert de RADIO CLASSIQUE 18 juin 2006.

C’est la préparation de ma vengeance entrée en exigences qui te fait rire  Mitsou ?

Que pense tu de mon idée ? Je vais très bientôt rigoler a Romilly / Seine à l’institut médico psychologique MOI !

Pourquoi je me génerais la vengeance est gratuite, comme les consultations du reste !

Tu imagine, Michèle, Caroline, Nicole, et moi en train de « cuisiner » un médecin psy ? choloque ou psychopathe ?

Le pauvre !

TOUT le monde sait bien qu’ils sont plus malades que leurs patients, même que les vrais patients à problèmes !

Non tout seul, avec la préparation que m’ont forgées maintenant les quinzes dernières années de ma vie je serais bien suffisant puisque j’irais avec LA vigilancedu but de ma vengeance !

Je vais leur faire le coup de l’hyper – sur – dé – pression nerveuse, la dépression c’est eux qui vont la faire.)]|}

et je pense qu’il est évident que chacun était parfaitement conscient du rôle qui lui incombait on peut tenir spirituellement en tenant compte que chacun a une infinie liberté tout le monde est à la même églité dans le sens ou tout le monde à sa liberté et celui ou quoi que l’on fasseaucune  injustice !

Audio 7 terminé.

Audio cassette N°: 8.

Cassette en  anglais : Aucun intérêt ! AUDIO 8 Annulée ; Pour archives.

Cassette N° 9. O. K.

Je repensais tellement et tellement chaque jour, chaque moment, chaque endroit, chaque passage, que tous les objets finissaient par le rappeler à ma pensée ; et leur propre évolution la faisait évoluer de couleur, de taux, d’humidité, de chaleur elles changeaient.

Les idées comme les feuilles du vert, saison renouvellée.

Le trépas.

Elle disait que le fait de ne pas soigner les malades du cancer du poumon que c’était une philosophie car c’est une mort qu ils avaient provoqués par leur propre « enfin leurs gestes volontaires »  (j’aurais mis : agissements, choix ou décision de dérivatif, choix de contenance d’occupation manuelle.   D.PF. )

A retorquer une philosophie instaurée par ceux qui ont de l’argent pour payer  Elle l’a maltraitée maintenant de la même manière qu’elle crût que l’amour de l’autre était de faux semblants.

Il avait du mal à s’exprimer à l’oral puisque tout ce qu’il cherchait était à faire rimer les sons autant que les idées et pour cela il avait pris l’habitude de réfléchir sainement, de réfléchir seulement, pour le coucher sur papier la notion de ponctuation à l’oral va changer la manière de s’exprimer à l’oral par rapport à l’écrit étant donné que la ponctuation est absente et que la structure et les liens ne peuvent apparaître aussi manifestement qu’à l’écrit.

Comportement sexuel relié à une gestuelle ayant pour but de déterminer une zone sensible particulière dans le corps, donc en fait c’est un exercice qu’on peut tout simplement ratacher aux exercices de méditation actuelles de l’imagerie corporelle.

Dites !

Tu n’as pas besoin de la violer libération sexuelle acceptation de sa sexuualité dite féminine ou masculine dans le sens zones corporelles, peut-être intérieures, extérieures peut-être avoir rapport avec la gravité où est-ce qu’on situe le point d’appui en tout cas libération de ce qu’on pourrait appeler des gestes sexuels, c’est à dire ce qu’on peut apparenter à un mélange des forces, à la convergences dans un point.

Un groupe n’a pas lieu de violer parce que grâce à cette libération du geste déconoté justement sexuellement parce que ( la conotation n’apprends jamais plus que la superficialité ) pas besoin  de violer car qu’on peut se finir tout seul.

Dites est-ce que l’intériorité féminine n’est peut-être pas encouragée dans les actes gestuels afin de pouvoir être en relation avec la relation avec le bébé en gestation : Peut-être une relation thérapeutique à cet effet, dite sexuelle et coup de rein à la base et conoté avec la colonne vertébrale et grâce au coup de rein on peut donner son appui à l’autre.

C’est le point le plus fort,  avec le plus de précision, en même temps une surface la plus large possible et une sensibilité aussi pour aider à remettre les vertèbre avec un maximum de pression (j’aurais mis précision).

Dites clair net et précis !

La présence du  sida était la raison principale qui restait, non pas la principale, mais celle qui restait en cas d’urgence, en cas de situation désespérée pour ne pas manger régulièrement trois fois par jour.

Cela répartit les envies de manque que secrêtes l’estomac de devoir se réactiver.

Bip :

Les cris s’étaient pour vérifier se qu’on racontait (après une grosse connerie) de bafouiller.

Bip :

A force de fixer la lune n’importe qu’elle lumière je pourrais fixer.

Remarque n’importe qu’elle lumière le ciel pouvait représenter.

Elle saît quitter, on peut l’écrire : ELLE SAÎT QUI TU ES ! Et elle saît qui tuer, et elle s’est quittée.

Problème binaire concernant les femmes, problème urinaire exitation sexuelle, problème d’une appartenance à une délimitation, une appartenance à un territoire puisqu’on leur fait croire qu’elles ne savent garder leurs territoires, on colporte ce genre de conneries à des fins d’amusement bien obligé de voir que l’on colporte des insanités, pour garder en tête que tout ce que l’on dit, tout ce que le monde nous décrit avec impartialité (Là j’aurais mis le contraire, il y a un non sens / au début de la phrase, c’est au contraire de la partialité, un manque d’analyser les actions, réactions, pensées et comportement de façon objective) pour garder en tête au quotidien que tout ceci n’est que fruit déraisonner le poête prouve que l’écrivain se parle. (Attention un poême doit avant tout avoir la propriété de laisser au maximum de lecteurs la possibilité de se retrouver des « moments d’émotions vécus », de « tranches de vies », aux lecteurs, même si le poête a décrit un moment de vie « privé » il doit l’écrire de telle façon que son lecteur puisse « se retrouver » une personnalisation dans ce qu’il lit ; C’est le seul moyen de réussir à « faire capter » le message.) en lui-même, provoque « l’émotion » puisque c’est cela qui dicte son crayon.

Tel un voyageur, tel un vagabond elle n’avait pas confiance dans le propre de l’amour, mais le propre de l’amour, était son l’obsession

§.194.

Le devoir d’apprentissage.

Analyser le geste de l’autre pour pouvoir le conseiller.

Intégrer ses erreurs pour pouvoir remonter jusqu’au cause et savoir quoi en dire pour qu’elle puisse s’arrêter.

§.195.

Donc porter un problème qu’on sait localiser grâce à ce qu’on l’a vu sur quelqu’un se manifester.

Savoir quelle geste nous soulageait  puisqu’on s’est analysé auparavant.

Comment notre bon état, lui se pouvait.

§.196.

Faire un geste c’est aussi faire le geste que l’autre devrait faire pour nous ou pour se lui-même soulager.

Puisque le corps, le sien comme celui de l’autre doit pouvoir se sentir (car telle est le propre de la sensation va et vient et pouvoir plus tard intervenir différemment

Analyse, amélioration d’un point capable de remonter jusqu’au trèfond de ce qui n’est encore soupçonné par rien.

§.232.

Notre poids, tente de se stabiliser.

Difficulté d’une conscience d’unité de son propre corps car ses différents points en relation, accrochés à différents problèmes de l’extérieur sur lesquels le poids va donc transiter.

§.250.

Comme l’équilibré s’ancre dans le sol.

Chaque point du corps en relation avec la structure et les articulations de –         – ou de tout support sur lequel   – – – -.

§.270.

Les silences entre nous deux devenaient beaux puisqu’on savait (nous savions) ce à quoi l’autre faisait seul mais donc pas. Puisque l’autre le savait.

L’autre alors devenait un pilier, un endroit d’ou on savait que notre action était su. Ce sentiment les émotions offraient un condensé de ce que nous avions vécu et aussi comme ça ils servaient.

§.274.

Les pêchers étaient des gestes que j’avais appris, sentis. Pour comprendre cela et me faire naître d’eux il me fallait avant les exécuter.

Capital.

§.276.

La promiscuité fait savoir à l’esprit que le plus intime de nos souffles, l’autre, tout autre peut détecter.

Et la promiscuité n’est qu’affaire de subjectivité.

§.293.

Faire les choses en un minimum de mouvement.

Avoir plus de temps gagner.

Faire les choses en un minimum de temps.

Les espaces rassemblés.

§.295.

La culpabilité ou la fatuité, vanité, c’est se dire que telle chose est à cause de ce que j’en fais  –          -.

Maman est décédé car ce matin là je ne lui ai pas proposé d’entrer avant le poisson (idiot comme idée)

Comme si Maman n’avait que moi à penser !

Attention.

§.307.

Il était rigolo car pour me bâcher il ajoutait que des trucs au moins circonstanciellement pas vrai.

Encadré Doc 19.

§.4

L’ironie était de l’humour se délectant toujours même si par malheur il fallait bien finalement le prendre avec dépit.

§.20.

Il fallait un entraînement quotidien pour pouvoir travailler ce qu’avait provoqué comme impression l’entraînement avant :

D’un jour.

De deux jour.

De trois jour.

Gain.

Combatre.

Ré équilibration.

Lien.

Le temps qu’on mettait dans le sport chaque jour était celui de plus en plus tard ou l’on pouvait encore courir.

§.27. On n’était plus dans le complexe du handicap.

C’est à dire que sa particularité n’était plus véhicule de douleur.

A partir qu moment où l’autre peut être à cent pour cent dans ce qu’il fait.

C’est à dire que les esprits peuvent se rencontrer.

C’est à dire (encore ?) que le mien alors il arrivera à expromer, à délivrer. (que de répétition.)

Et que d’un même cuop il comprendra que ma particularité est une porte ouverte que jeporte sur une autre dimmension (simplement pas encorre atteinte.)

Et que cela sur nous n’aura comme effet de chacun se permettre à installer nos – – aux échelles qui fera que chacun ou pas-      – pourra s’articuler.

La douleur fantôme.

Le handicap fantasmé.

§.39. (encadré)

Comme on aimait son toi !

D’être celui par lequel toute l’expression de se toi.

(Si l’amour pour la femme à l’homme appartenait.)

(Si l’amour pour l’homme à la femme ppartenait.)

§.40. (encadré)

Il fallait être aussi illuminé que les religieux pour comprendre de quel aveuglement = une lumière qui obstinément voulait éclairer (d’où ce qui éblouissait) d’un côté laissant dans l’ombre l’autre part.

§.50. (encadré)

Après avoir inventé la différenciation il fallait inventer la Parité.

§.52. (encadré)

Il critiquait mais ainsi se préraraît à voir ses propres boiteries et dans le moment même  où il formulait le problème son esprit un remède délirait.

Le problème énonçé, la solution restait, envisagé.

L’esprit ainsi se formait une conscience des difficultés auxquelles il devait faire face.

§.65. Encadré.

Les sorciers.

Toutes traditions, les manières de faire, de se manifester.

Tout simplement pour que les existences les unes les autres puissent se prouver, c’est à dire l’importance de se retrouver, communiquer.

Tous ces gestes de ressentis les plus affreusement.

Mais qu’est-ce d’autre que la vie que de tenter de se signaler, afin de naître partout. Darwinisme psychologique.

Mais puisque nous partageons et composons toute psychologie l’existence à tout ce que nous connaissons et accompagnons sans grade ni ordre de garder rattaché.

Je te prouve que je vis et devant nous ( l’émotion, le partage d’énergie.

La conscience de l’autre, de sa pensée, des montagnes que l’on représente (nous représentons) et qui sont ce sur quoi nos corps peuvent nos corps étendre et leurs appuis trouver.

§.133. (encadré).

Il m’avait fallu toucher ses muscles pour me demander comment les miens pourraient devenir comme cela.

Par exemple s’asseoir sans jamais courber le dos.

Sans jamais s’appuyer sur ses bras.

§.163. (encadré).

Elle était balbutiante, analysait tout et bien quand on tenait compte du peu d’infos  qu’elle avait mais voilà le plus brillant qu’on soit ou ne sait les tout et même si ayant petit petit.

Toujours des détails qui apparaissent comme tel et qui portant la signification des choses changeant tout.

Or ces détails s’oublient et on ne se le rappelle pas quand une autre info fait que maintenant ils deviendraient la clef de tout.

§.164. (encadré).

Il ne comprenait pas que mes moments dans le reculdevant nos sursauts, quand on a la force qui était en marche en nous on avait surpris, n’était pas la peur de trop aimer mais l’instant que je vouais à prier.

Ce temps (de secondesà dez années) qu’il me fallait pour demander comment faire pour toujour en être accompagné.

La prière d’ailleurs était un moyen.

Pour le suivre, fait que plus que dans mes souvenirs mais aussi dans ma réflexion, ma volonté ce moment soit encré et ait été utilisé. Ce n’est pas le genre de chose qu’on supporte de pouvoir brader.

Encadré de DOC 20.

§.8.

Le statut de penseur ne venait pas de sa position mais était l’emblème de l’être car de pierre. Le temps donné à la réflexion le mouvement suspendu.

§.10.

Soufler à la ligne de l’insecte.

Le voir, nous apprécier au lieu de devoir finir à tout prix.

§.16.

Le sexe dans le couple.

Le geste affectif et corporel.

Il était comme ces moments de la journée où tout le temps être affairé à ce qu’on doit faire progresser.

Naturellement le souvenir d’autres choses que ce à quoi on est attaché vient nous divertir.

Toujours d’ailleurs comme étant des informations nouttissant directement une avancée.

Quelque chose de pertinent.

Le sexe était Tabou tant que le couple s’était choisi et choisit ses possessions, les conseils quil reçevait n’existait.

Peu d’occasion, alors quelle que soit la nécessité de s’occuper. Masser les corps est : Journalier.

§.18.

La mort paraissait à l’esprit naturellement (à donner) à mesure que ce qu’on connaissait de la langueur du monde.

La mort était le seul moyen de ne supporter une situation jusqu’à la fin des temps (toujours ceux qu’on connaît. Pas plus loin que le jour même)

Faire mourir était alors la seule solution. Pour que son monde puisse changer !

Puis on apprend que la mort d’un, va faire mourir un autre et finalement nous tuer.

Aussi que ce qui est mal là serait la providence pour quelque chose à côté.

Question : Que deviendrait la mort si l’esprit ne la voyait plus comme une solution ?

§.20.

On devait avoir une notion de valeur.

Car c’était la notion de perte de temps, qui nous faisait, nous donnait la force de, dans la vie, faire des choix.

§.22.

Il préférait se faire passer pour un imbècile ainsi les trucs qui bougeaient, qui faisaient réagir les gens autour il n’en prenait pas la responsabilité, sachant qu’elle ne lui revenait.

Quelles étaient le fruit de tous.

Simplement qu’on désigne celui qui fut montré du doigt, celui qui prit sur lui la décision de revenir au même endroit.

Et à ce même moment regarder la même chose un individu) pour se rendre compte de comment après se dispatcher l’énergie.

Le pouvoir de regrouppement et de distention.

§.38.

Les trucs pour les abdominaux.

C’est de toucher son dos en éliminant.

En faisant masse sur le creux du dos et ne relever les épaules que si le dos est parfaitemeny ancré au sol.

Abdominaux plus massage colonne vertébrale.

§.40.

C’était me retirer des années après qui me plaisait, m’apportant ainsi la chance de me rectifier.

Les pertes de formes plus celles de fonds qui m’y maitenaient.

§.69.

Elle ne me comprenait ou me croyait.

Elle me faisait souffrir car je ne la comprenais ou ne la voyais.

§.73.

Reste lugubre tant que le but de toute vie d’être pour tout autre prolifique, bénéfique n’est achevé.

Le culte du lugubre car tant qu’elle ne peut rester lugubre c’est par ce biais là qu’elle doit être consacrée plutôt qu’ignorer.

Car consacrer n’est qu’une forme (donc modifiable) sans laquelle on décide qu’elle va être tentée.

Mais l’impact n’est pas le comment juste dépendant des circonstances mais de la décision consensuelle qui permet que tout groupe s’y attele donc puisse s’y constituer..

La force de la concentration étant de tout regrouper.

C’est faire que tout s’organise pour que ne dure plus le pleur du bébé.

§.76.

Le maléfice est rassurant.

Que la mort soit consacré !

Puisqu’en ne respectant la vie.

Sous des prétextes de la faire avancer.

La mort prend un aspect lugubre.

Plutôt que la nature continuant à s’acheminer.

Être tout le temps occupé avec la possibilité de planifier les choses c’est à dire de coordonner, d’enchaîner.

Qu’une chose soit faite pour une autre, en appelle une autre, fasse réfléchir d’une autre.

Sentir en soi les coses s’enchaînner, se dérouler, se constituer.

Cela apportait la possibilité d’une énergie appellée c’est à dire de pouvoir demander ce dont on avait besoin, pouvoir détecter ce qu’elle était d’où elle venait, comment s’en débrouiller (même si évidemment elle était complétement extérieure) mais avait pour particularité l’exigence stricte de répondre à un appel que notre connaissance (conscience, explorer) pour faire que cet équilibre( = l’élargissement, l’approfondissement de la chose) puisse en nous continuer ( = âme même des choses allant s’y rapporter, s’y joindre)

C’est à dire dans une logique de prolongement c’est à dire sans se couper de rien avant unité s’élargissante.

Son unité appelle un élément à s’intégré.changeant sans désavouer l’élément A pour que lui-même vive, naisse D.

Que dis-je plus d’élément mais une entité en train de se détacher !

§.81.

Administration.

Truc.téléphoner à plusieurs reprise jusqu’à trouver quelqu’un réelement capable (formé, réactive, de bonne humeur, motivé) de vous arranger.

Quand bloque un dossier !

§.84. Victime – Bourreau.

Le malheur de sentir qu’on ne représentait qu’un aspect.

Ne pas être à tout meler ou ainsi vu, considérer compris.

Le malheur restitué.

A quand ?

A qui ?

De le reconstituer.

A tous si on ne voulait le perpétuer.

§.87.

Accepter toutes les forces.

Pouvoir pourtant reposer.

§.128.

L’étude est de pouvoir associer quantité de chose à un seulement.

11.         Travaille de mémoire.

12.         travaille de réflexion – La logique les reliants.

13.         L’innovation vient de cela. A

A, pour, par, sa pratique attire :

L’expérience, l’observation.

B – C – D – E –  –  –  –

H par pragmatisme attire : E – F – I – J – K.

Donc on s’aperçoit que si on retrouve E dans les deux même cas.

C’est que d’autres associations s’y trouvent aussi.

Les essais hasardeux mais toujours sensés et à même de trouver des résultats suivant font, aspects donc utilisation d’étude, de plus ample et structuré = durablement relié, étudiable, peuvent se créer.

§.129.

Les signes trouvent forcément un sens puisqu’ils viennent de l’extérieur qu’on observe particulièrement en pensant et en leur donnant une valeur symbolique de choses intérieures.

Les signes sont ce que l’on fait figurer au centre de nos questionnements et intérêts.

Ils sont là comme des bornes chargées de nous rappeler quels sont-ils ou on été.

Et ainsi véhiculant le cours de la vie, ils servent de repères parallèles à ce que fût les étapes de notre passé, de nos pensées.

§.144.

Quelque chose de visé, permettait à l’autre de se projeter, en même temps que de se calculer.

§.145

Penser à A.

C’était n’être vraiment en lui.

Mais opérer une transfiguration = ce mouvement là est celui qui m’inspire quand j’ai cette pensée = produire un mouvement identifiable par exemple par B.

Ce mouvement là, visible, pouvant visiblement alors se répercuter sur par exemple : C.

Donc à l’origine manquer de fissionner (ou fusionner [illisible]) avec C et tout autre lettre de cela constater.

§.146.

Et de sentir en lui quel effet.

Et de sentir comme-ça, ce qu’en lui cela reliait ou à l’extérieur de lui à quoi il pouvait.

§.150. Et conflit, tension.

Et quoi comme mouvement pour se réconcilier.

Conflit – S’être reconnu.

Et divisé.

Et le mouvement décomposé analysé.

Et le système pouvoir reconstituer en tout réadapter.

L’analyse. La décomposition – clef du mouvement qu’on pourrait perpétuer et perpétuel. Le temps que l’on faisait que son support puisse s’alimenter.

Et ne demeurait qu’une chose que dans l’équilibre des, aux autres choses qui se constituait.

§.155.

Le complexe de l’humanisation.

Combien demain serait-on.

Qui aurait réussit à se reproduire et que réussisse à se reproduire à son tour sa production.

L’impression de ne pas mourir.

Oubliant que l’esprit n’avait pas de forme, que partout en tout nous devrions faire que continu la, et de la notre vie.

§.157.

Je voyais en cela cet amour.

Mais en fait qu’est-ce que cela m’en dit.

Cet amour bien qu’il soit tellement de choses pour moi.

L’ai-je honoré si bien que cela ?

Est-ce en signe que j’ai été valable en ce combat.

§.159.

L’exitation sexuelle.

La mobilisation.

Quand on la ravisse, la vise, la dévie, l’envie, l’évite, est cruelle.

Car crée un faux mouvement.

Car cette énergie a rassemblée en un point hypersensible, toutes nos sensations. Voilà ce que son but est. Ca et seulement.

Cette énergie là rassemblant la force pouvant tuer autant qu’engendrer.

Le combat quand on meurt.

Le combat quand on est.

La jouissance donnant aux gestes un impact en délà, de la où ce qui paraît les supporter étaient.

Les gestes donnant un après.

§.162.

Le suicide quand la douleur devenait trop forte.

Elle l’était toujours quand celles des autres, du monde on ignorait.

Ignorant la façon même de la calmer.

§.167.

L’être traumatisé était celui qui sortant d’une quelconque torpeur, tombait dans l’agressivité en craignant que celle-c soit sanctionnée :

Peur.

Surplus regain d’agressivité.

Ou rentrer volontairement dans l’arrêt de communication. (Tiens donc ?)

(Se regarder s’écouter.)

Volonté de ne plus du moins pouvoir.

L’autre exister= porter des responsabilités dont on ne se sentait pouvoir les assurer.

§.187. Rentrer  dans sa vie comme dans un roman.

Se raconter des histoires.

Ou se préoccuper des sujets pour toute la communauté.

C’était s’assurer avoir toujours quelque chose à penser, réfléchir.

§.196.

2+2+2. faux.

Effet sur génération.

Effet kiscool, ce qui nous tombe dessus et demande étude et préservationdes études pour savoir comment se débrouiller de choses apprises bien que mortelles ou même de choses dont on ne sait pas comment elles sont là.

Pas le mal. Mais la difficulté à remonter et s’arranger.

§.197. (Encadré spécial en vie 12 New et select doc Dany.)

Je n’avais pas à faire ce geste là. (Moi non plus, et avant moi MARC encore moins : [Le bras d’honneur.].) Il était (depuis) longtemps une habitude.

Maintenant je pouvais m’en défaire.

Quand je pense à : que je peux  maintenant le remplacer par autre chose le remplacer va à elle ou à tout autre mécanisme qui pourrait lui en être formé.

Ce mouvement qui dans mon corps ou dans tout autre peut quand même se répercuter.

Pensé d’avoir été si souvent porté, expérimenté, accompli, senti.

§.200.

La croyance en la sorcellerie dû à la manifestation de maladie.

D’où venait-elle ?

On ne savait pas.

Mais seule la force de notre esprit de notre attention pouvait arrêter cela.

Qu’est ce qu’éprouve quelqu’un qui voit son être cher passer de vie à trépas sans savoir ce qu’il y a.

D’ailleurs cela a rendu nécessaire à notre esprit de prendre en compte ces réalités vivantes, agissantes sur le corps.

Ce souci fait que nous nous concentrions sur cela, et ou ira l’esprit lorsqu’ils n’aura plus à être là.

Où le repos de certaines parties (de son corps) l’ammenera.

Quels rondes s’ouvriront.

De ces guérisons.

§.219.

Etre chez soi son domaine.

Entendre les choses respiter.

Malgré les lieux.

Etait une activité de vivants.

La manière de le faire, elle, devenait enterrée, cachée, même des mieux initiés.

C’est ainsi que la vie se transformait c’est tout ce qu’on savait.

Et !

Le lien intime entre toutes choses qu’elle permet.

Tout est permis.

Se chercher et trouver.

Remet.

§.227.

A tester.

Attester.

Plus personne ne pouvait me faire du mal.

La vie n’était que tentative que de se faire du bien.

§.242.

Il lui était arrivé cela à 12 ans.

Et à ses 12 ans elle revenait dès que cela d’une façon ou d’une autre revenait sur le plancher.

§.241.

Clivage homosexuel.

Plus sexe séparé.

Permet à un groupe de ne pas virer à la partouze car partage de moment de vie à cela dans les esprits occupés tous à la même chose, aux mêmes endroits.

Conduit à cela sans pouvoir être évité.

§.242.

Il lui était arrivé cela à 12 ans.

Et à ses 12 ans elle revenait dès que cela d’une façon ou d’une autre revenait sur le plancher.

§.246.

Peur de la malédiction.

On ne raconte pas les victoires de chacun (dans la famille)

Parce que les esprits cogitent traumatisés.

§.247.

Point commun. Tous échangeons.

Stocke et perd de notre vie.

Mais le monde viable pour tout échange d’énergie.

§.248.

Bien sûr qu’il dépassait le maître puisque c’est en lui que le contrôle était.

§.250.

Le chef  l’est parce qu’il se donnait à l’énergie du groupe.

Celui qui en est le plus consciemment le carrefour et celui sur qui on a plus de support sur comment s’est-on organisé.

Cette intimité au groupe est aussi une garantie que le chef sent qu’a lui il est rattaché, donc sera prendre la mesure de ses responsabilités.

Sensibilisation au je suis ce que je fais.

Elle me battait pour s’assurer que je pouvais me protéger des coups et rester à la soutenir dans son agonie.

Elle me tapait pour savoir si elle pouvait ce qu’elle avait du subir. Où voir que subissait sans broncher.

Il fallait qu’elle s’assure que je sache qu’on ne sache quoi faire en ces moments durs bien qu’on sache que l’on sent.

Que cela n’est pas une histoire où elle ne puisse puiser .

Rien en elle ne sait faire que détruire. Si on croit cela c’est à sa mort qu’elle serait conduite.

Encadré Doc 21.

§.24.

Son trouble venait que je lui rappelais sa mère.

Mais ce rappel là faisait que comme sa mère envers loi elle se considérait.

Remarque : A être une mère, une mère ne lui avait pas qu’enseigné.

§.45.

Chaque moment de l’autre était une aide (en soi en tant qu’autre) à la méditation.

§.46. (Encadré.)

Devoir travailler longtemps permet de travailler posturalement – obligation de positionner très nettement son dos vers vertical.

Sensation intérieure profonde.

§.47. (Encadré.)

L’echec ne pouvait être échec car il suffisait de vivre les choses complètement, en sachant que chaque moment était une aide à sa vie, à la vie.

Un inséparable, irremplacable supplément.

L’échec ne pouvait être vécu comme un échec car n’importe quelle situation nous apportait un monticule de renseignements (aussi profond qu’on décide de les creuser simplement.)

L’échec n’est pas.

Mais est ce qui ne s’est pas passé comme on le voulait.

Autant d’informations à précieusement garder.

§.48.

Tout là, se tient la notion de destinée vivre tellement de choses pour ce qu’elles sont.

Les éléments qu’on a pour que le combat puisse se mener en soi.

§.51.

La psychose.

Entendre des voix des hallucinations.

N’est pas une question d’y croire ou de n’y croire pas.

Mais de vivre avec.

Ni plus ni moins ce que certains appelent halucinations est une simple discussion que l’esprit nous ramène.

C’est à dire qu’on ne doit ni plus ni moins les écouter, y croire, s’y conformer.

Mais sont des éléments qui comme les autres permettent de réagir, à faire réfléchir.

Une manifestation du monde, quelque chose qui est quoi qu’on en fasse plus loin (les endroits de pensées additionés) a amené.

Et pouvoir y réagir à l’infinité ; différemment puisque la réflexion est l’art de pouvoir tout continuer.

Et chaque série un nouvel enfant qui garde à la postérité tous ses parents.

Additif postérieur  l’enregistrement. (reprise)

Les sens, les perceptions et bien plus que le présent, et bien plus que celles présentes.

§.55.

Pourquoi je ne t’appelle pas tous les soirs ?

Parce que tu as peur.

Oui bien ça, facile.

Mais ce dont j’ai peur c’est qu’on arrive plus à distinguer nos priorités.

Il fait toujours dans notre recherchele plus dure et que ma moitié puisse comprendre les sacrifices qu’il me faut lui dévouer.

La plus belle des récompenses que cela fait. C’est de comprendre que personne n’a besoin vraiment de ce que l’on est.

La pire des épées de d’amoclès (Damoclès) envolée

§.56.

Je peux mourir mon amour, (car penser à elle était penser à tout ce que j’avais), en paix.

§.62.

L’aimer tellement.

Pouvoir baiser correctement.

N’avoir plus peur de mon agressivité car c’est la hargne de tout protéger qu’il me donnait justement.

Et tout protéger, n’avoir plus peur, transformer l’agressivité en puissance, en force d’accord.

Mais la peur d’être quitté par lui ne me rongeait plus.

Je savais l’amour trop grand, je me savais intouchable, forte comme rien capable de m’en faire douter.

N’avoir peur de la douleur – Car ce n’était simplement que ce qu’on ne parvenait à relier. Ne pas s’en croire personnellement l’objet.

Juste au centre; le problème vécu pour tout le monde était.

§.73.

Voir l’autre comme son égal et soutenir l’entièreté l’unité qu’il sont également

Elle   me défend l’entrée de son jardin jardin, qu’elle m’avait ouvert pourtant.

§.79.

On formatait les esprits.

Si on pouvait se dire que mon compagnon pense comme moi.

Alors du même coup je me sentirais prêt à le rendre heureux comme ça.

S-L.

Question que je ne me pose même pas.

§.97.

Et l’existence au sein du groupe en train de porter.

Dénié, charge à la personne de montrer la présence en elle du défunt et la présence dans la réflexion du destin.

Incarmer la situation à gérer.

Mort statufiante.

Constante autour duquel un code peut s’instaurer, une communication.

Communication = info sur condition = but existentiel de la vie.

§.139.

Elle s’occupait de sa mère comme si était était la sienne mais s’il arrêtait de s’occuper d’elle (De sa mère ou de la sienne) alors c’était leur couple même qui se dédierait.

Le couple c’était pouvoir s’occuper à deux de deux fois plus de choses qu’une seule personne ne le pouvait.

§.109. (encadré.)

Ne plus chercher ou dépendre de sa compagne de son compagnon.

C’est n’être plus servile de rien.

N’avoir rien à désirer convoiter.

ENCADRE ; DOC 23.

§.21.

L’image voiture.

Du professionel toujours premier.

Jamais en panne.

§.66.

A quelqu’un que l’on ne reverra pas. C’est étrange comme en 2 ou 3 entretient d’1/2 h une personne peut être présente n’importe quand ?

Vous avez voyagé que je voyageais. L’amour fait que l’on ne quitte rien !

§.70.

Ce qui nous choque chez l’autre c’est le conseil qu’il nous offre et qu’on ne peut encore prendre pour sa part !

§.77.

Comme la voie vers l’éternité.

Infinitude et infinité.

§.78.

Aimer la difficulté comme on aime être en contact avec le temps qui va changer.

§.79.

Se moquer de soi même.

Permet aux autres d’en rire et d’en rajouter et enfin d’avoir une idée sur ce que les autres peuvent penser.

Et de là s’améliorer.

§.88.

Se sentir ensemble à une communauté car on passe tant de temps à comprendre comment le mieux s’en sortir dans des conditions donnes que les suggérer à l’autre engendre un lien de complicité.

Compagnons d’armes.

Les effets destructeurs du combat éloigner.

§.93.

Mais pourquoi partout de tant d’énergie m’emplissait.

Mais bien-sûr.

L’astre était aussi, les personnes qui à moi leurs rêves prêtaient, ceux qui sur moi veillaient.

§.94.

L’ UN E comme L’AUX  TRES

§.101.

L’écrivain note patiemment les idées qu’il a d’avoir écouté.

Celui qui lit.

De celui qu’il a lu.

§.109.

Adam et Eve.

Comme quoi besoin de personne pour s’éduquer, ni même pour éclore.

D’une façon ou de l’autre.

§.144.

Passer du temps avec celui qui nous aide à travailler.

Jouvence.

A Dada. (Merçi mon amour pour ce compliment)

§.148.

La tristesse, le sacrifice. La vie est savoir construire des choses sans pouvoir les finir.

Mais force de cette tristesse dans l’élévation de ce qu’on fait, pouvoir (se) réinvestir.

§.152.

Le paradis. (Au fou !)

Un endroit stabilisé, profitable souhait.

Problème = raréfaction de l’espèce.

Idée combativité.

Et risque par le milieu d’être absorbé plus ou moins qu’on ne lutte pour garder sa forme. (Afin de riposter)

§.155.

On est bien dans le noir, de se dire qu’il n’y avait pas de plus ténébreux.

Ainsi on désigne le mal, pour soi se sentir mieux.

§.157.

Le signe qu’on ne s’est y avoir pas assez mis.

§.167.

La place des opprimés, des torturés, parce que pour tout, comme dans les zones de non-droit.

Ils ont irréductiblement un nombre aussi important au sein du groupe que celui qui en est dit être le chef.

Irréductible.

§.173.

Conduire le jeune.

Être mort pour la vie redonner.

Le jeune qui va pouvoir prendre du recul et le système qui dévore, améliorer.

A l’image de ce que lui, aura apporter et non croqué.

§.208.

Avoi un art.

Le vivre.

Le faire.

Le protéger.

L’inculquer.

L’étudier.

Avoir la chance de vivre des vies différentes.

§.213.

On regrette sa vie.

Parce qu’on croit qu’on a manqué ou fait manqué.

Tout n’est-il pas en train de s’arranger ?

§.215.

Revendiquer c’est formuler = établir en soi ce à quoi on veut se (dévorer) dévouer (si tu veux)

Se dévouer = Être à l’optimum (au p’tit môme) de son art ! ? (grosse cochone va)

§.220.

Problème = un change qui s’arrête.

Morale ; Ne pas arrêter l’échange.

§.221.

Le sentiment.

Puisque chaque événement change la vie.

Suivant – conséquences.

Pouvoir de retraduction des expériences, vécus précédent.

Emotions fortes =Entre vie et mort.

§.222.

Et plus important que toute cette accumulation d’embalage nous menant tout droit  une pollution non plus menacante la longétivité de l’individu mais celle de toute l’espèce.

(Tu m’en fait une drôle d’espèce de con toi avec ta longétivité « Longévité ; abrutie »). D. PF.

§.224.

La femme interdite de vote.

Car s’occupe des gens, de leur intérieur géographique, psychologique, les lois à ceux qui combattent l’extérieur.

Pour qu’elles ne se départissent de la réalité des conditions d’expressions.

(Je parlais D’UN métro de retard ? Autant pour moi tu en as plusieurs.)

§.234.

Penser aux siens = ceux qui sans la mort nous suivent.

Permet de ne pas penser à l’espèce humaine. Comme nous ayant rejetté = Sans avenir.

§.237.

On ne réagit pas à ce qui nous est dit mais à ce qu’on croit qui sera.

§.239.

Contrôle et sans vrai possibilité d’en débattre ou de faire avancer. Serait trop dangeureux comme sujet en plus que la place des autres tiendraient à  ne pouvoir être résolues.

§.244.

Obligé de consommer des kilos de plastique ne serait-ce que pour l’achat de manger.(nourriture conne)

§.245.

N’avoir pas l’impression de toucher, de faire du tord à l’autre car de croire que tout d’avance est arrangé ou contrôllé.

Revient à dire aucune importance si je vole cela. Il te sera remplacé.

Mais puisque la condition sociale ne peut bouger et puisque tout va en découler ; Si tu es victime c’est par toi que je peux, les salauds, viser. Si tu es capable tu l’as bien mérité. Terreur paranoïde entraînant volont de prendre le pouvoir et donc de vouloir  tut prix gagner, et donc de manipuler. La compilation  la source de la paranoïa.

§.248.

Emettre une pensée est déjà connaissance à lutter philosophiquement contre sa tendance. (Faux = instabilité, incertitude. Manque de réflexion, de profondeur, de détermination, de maturité dans la pensée en question. Remise en, donc, question.)

§.280.

Avoir remédier = Maîtriser une attitude pour voir l’autre arriver, l’étrange conflit propose réaction, position qu’un avait eût, nous crûmes.

N’arrivait.

Race pour protéger intérêt d’un peuple.

Prétexte habilitation spéciale  = danger d’être exploité.

§.291.

Ne parvenir à s’aider de la difficulté. Ne pas avoir conscience du livre qui s’ouvrait ou se refermait.

De combien de douleur.

De combien d’allié.

§.292.

Apprendre de la difficulté à réagir avoir à se tenir prêt à sentir son potentiel sous forme de rage retenant à la vie menée.

§.293.

Il fallait la voir dans les autres pour comprendre que les autres même la rendait comme je cédait, la montrait. Amour chéri.

§.296.

Savoir d’une situation qu’il faut en profiter, de tout.

Parce que de bien la mener = en changer et donc bien savourer tous ce qu’elle peut nous apporter de réflexion  .    .

§.300.

Idée qu’un esprit peut recevoir un corps par le combat de la maternité.

Esprit.

Encadré Doc 24.

§.30.

Chocolat chaud aux mots accolés.

Alcool – est. (I)

§.32.

Mariage manqué homosexualité verifiée les parents et les enfants de l’amour à l’autre ne pouvait parler.

§.43.

Le noir fait peur.

Car l’esprit se demande comment devait-il réagir pour un ennui éviter, alors la tension à cela. Pour réagir très vite sentir le mouvement dans le noir (Symboliquement d’avoir à se battre contre quelque chose qu’on ne peut pas se représenter)

La peur.

Que cette pession ne soit pas utilisée, dégagée.

§.62.

Pour moi, à attendre ce moment Le temps s’arrêtait .

Voila ce que celà me provoquait Quelles pouvaient bien être les autres conséquences sur moi (différentes tenues) et ailleurs puisqu’il fallait bien qu’il aille se représenter.

§.68.

On ne voulait pas vivre avec les gens, ce qui supposait de nous, de montrer de l’accoutumance et de répandre la nécessité de s’habituer aux gestes que l’autre produisait. Les gens étaient des sources d’attentions, autant que les idées, les faits, les activités que l’on côtoyaient.

L’esprit ne pouvait pas faire tout cela en se disant que tôt ou tard il serait trahi ou obligé de trahir (= de se départir, d’abandonner, de décevoir).

C’est ainsi que son rapport à l’autre humain dans un rapport d’universalité à l’autre, l’adorement (= je rendrais visite et soignerais mon père même s’il pête le plus complet des plombs.

L’ultime est la seule forme d’équilibre convenant.

Le pourquoi de notre sauvagerie si distinguée.

§.71.

Les mots, les réflexions, que l’on prend mal, avec lesquels on se sent mal –  –   –     – parce qu’à tord on prend les mots pour soi, n’appartenant plus à une mémoire ayant traversée les temps (dépassée, de l’action, du vouloir).

Les mots, comme les êtres, les significations, les applications, et tout ce qui est du ressort de l’un – incompréhension n’être ni plus à l’un qu’à l’autre.

Ces uns et autres, dont on ne sait ce qu’il s’y trouve, dont on ne sait où ils se trouvent de toute façon.

§.72.

Fait entièrement à son art. Faire de soi des personnes.Chercher en permanence qu’elle piste a t-on à chercher.

Être obligé à l’honneteté fait à ce qu’on fait.

Car a-t-on absorbé toute la vie, de cette vie il se nourrit donc suivre ou ne plus suivre son filon.

Fait que l’on renforce sa capacité à renforcer mon énergie.

Oui ou non, cette recherche de la source la plus dense.

La même que dans le temps débonnaire.

Fait de nous des gens fiers.

Eliminés et pas rayés dans la –       – ?

Tout moment qu’on peut vivre bien est un moment mystique sur lequel peuvent reposer tous nos efforts et difficultés d’après et même d’avant.

Ah non. Aujourd’hui il n’a pas envie d’être rigolo.

Et les moments d’avant revivable émotionnellement car tous instants d’accomplissements, de profonds témoignages d’existences pouvant renaître à notre esprit ainsi, l’incalculable don de l’esprit donné.

Le rapport à notre énergie cela pouvant et refaisant.

L’existence est cette somme de combat.

Puis plus étrange  chaque (religion prouvant  la limite de ce que l’on croit et dans pourquoi la croyance ne s’arrête pas, la frontière toujours plus loin. Ou pas de frontière des fores qu’on ressert, ressent.)

La somme des combattant.

Et pourtant nous constituant tout autant.

Faire la somme physique des combattants.

Et pourtant nous y sommes tout autant.

Et pourtant en nous tout autant.

Et pourtant là tout autant.

§.73.

Je suis comme ceci, je fais comme ceci.

Et c’est comme cela que je l’ai rencontré. Je sais qu’ils peuvent être en défaut. Mais parce que je les sais aussi qualités.

Je considère mes traits comme des particularités. Je les considère comme ce qui est de ma vie.

Ce que je peux en fabriquer.

Et puisque la vie peut s’aimer.

§.75.

Il faut se transformer pour le contempler et l’être,

Pour qu’un paysage puisse s’admirer.

§.76.

Il fallait éprouver les conséquences de ses actes.

C’est à dire ne pas les narguer avec d’autres vélléités pour se rendre compte de ce qu’ils prodiguaient et pouvoir en toute conscience les améliorer, les proscrires, les doser.Il fallait donc un déjà épuré.

Pour que se construise un bloc sans faille,

ou donc les failles. Car interdépendance consciente de tous les actes faits, que puissent à volonté se colmater.

§.77.

Sans me soigner, je devenais plus capable de m’entretenir, entretien physique, mental, spirituel.

Et il me fallait le faire, car personne ne pourrait cela soulager comme moi les autres plus que je ne le pourrais.

Car nos émotions, notre rapport à ce qu’on était en train d’être de ce qui se passait pour aux autres (même donc relation) le rapporter.

Le rapport d’équilibre à nous même.

Le rapport d’équilibre à ce qu’on fait.

Sont bien heureusement des pasages obligés à notre longévité et empreinte de ce qu’on crée.

De la création terrestre, le visible, aux inspirations et mouvements célestes ; Invisibles.

Indicibles.

Car formes pas encore décelées dont on ne sait où l’esprit encore est puisque nos sens n’ont pas tout découvert donc pas d’élément à décrire et à savoir qu’inconsciemment c’est ce qui est d’ors et déjà et depuis les premières heures, de fait.

§.82.

Ces moments sans lesquels je n’aurais pas compris.

Tout évènements qui se sont passsés de ceux-ci

§.110.

Mon art.

La relation à l’autre.

C’était pouvoir cesser de me répéter.

Les choses soient, avaient été inscrites soit dans le résultat même de ce que je vivais étaient la preuve  même qu’elles persistaient.

L’obsession elles de les tracer pareille  ce que je les re et re ressentais pouvait cesser.

La mort, ma trace en d’autres lieux.

Changer de données.

L’usure qu’elles procurent.

Et pourtant toute la persistance, l’attention qu’on doit pouvoir administrer.

§.112.

Je me disais, pas la peine d’écrire.

Je l’ai déjà fait.

Mes écrits sont ce que de mon parcours, j’ai pu  moi même attester.

§.126.

L’individu cherchant son équilibre peut très bien marcher  la vitesse de celui d’un pépé, d’un enfant tout en pouvant plus avoir sa puissance libérée, renforcée.

§.130.

Facile la posie.

En elle tous les sens permis.

(L’essence.)

§.131.

Pour combattre la mauvaise humeur.

Il fallait admettre suffisammnt l’être.

§.135.

C’est parce que j’étais sienne qu’étais double tout ce qui était auprès de moi.

§.150.

Le poête fait des vers, transforme des mots, change de sons s’amuse de ce qui est déjà sur la palette de son papier, fait des mots, des nouvelles teintes puisque associés dorénavant et toujours tous différents.

Le poête crée.

Sa soif vient des mots en premier posé.

Il faut absolument les continuer, car sinon son oeuvre pourrait être poursuivie dans ce que lui considère comme n’importe comment.

Cette soif que ces mots se rapprochent, de ce que lui voudrait puis de ce qu’avec eux et son devenir, devenant du voyage , fait, fit.

(Maintenant que tu es partie les poêmes il ne faut pas rêver je ne VEUX plus en faire le 63 ième a été le dernier, comme un cadeau, en quelque sorte, à titre postume)

§.166.

La muse représentait ce qu’on disait de l’autre et le plaisir d’être là.

§.183.

L’agressivité.

C’est croire ne pas toucher alors que vivre est être en contact ne peut être divisé.

§.185.

Non pas que je ne me rendais pas compte de quoi, de quel sujet pouvais traiter les autres mais de conserver son énergie pour autre chose que cela on avait le droit. Ce qui laissait un momet de flottement certes mais à chacun tenait de ne pas se faire un problème de cela.

§.189.

Savoir qu’un jeune, je ne pourrais plus le masser, le caresser mais le savoir toujours sentant, raccroché à tout mes frissons, à toutes mes aspirations tant que j’y penserais.

§.192.

On parfaisait la technique.

Dans le sel but que les idées soit plus longtemps et abondemment diffusées.

Choix et chemin.

§.196.

Il ne fallait pas s’en vouloir de se sentir souverain lorsqu’on était débutant, la bonne voie est toujours vécue comme ceci même si on sait être encore puisque très disponible.

§.199.

La maladie d’Alzheimer apprenait tout simplement à son entourage dans quel état de transe fallait-il se retrouver pour traverser les évènemets qui nous avaient chqué sans cette aptitude à s’en dèconcter.

§.202.

Je savais qu’il ne répondrait pas à ma lettre. Non pas manque de politesse mais parce qu’il voulait éviter que je puisse quoique ce soit espérer.

Il fallait penser, cogiter mais l’image de l’autre comme par peur de l’action, de l’investissement on tentait par une image de ce fait emprisonner, ainsi donnait au mental une raison, une application, une idée sur comment était, s’était-il emelés dans ses propres croyances, comment lui – même s’aveuglait, se racontait des histoires pour finalement s’être tellement embobiné que de ne plus pouvoir bouger.

A la seule différence que chacun son histoire connaissait et donc garder intact les moyens à dispositions pour qu’une fois immobilisé, fil par fil on puisse se défaire parce que sachant de quoi c’est fait.

En gros se mettre en état, en position de responsabilité et de rattrapage face à la cata plus vécu, conçu que tombée.

§. 203.

Je n’avais pa à me méfier de mes qualités si elles paraissaient me mener dans l’impasse. C’est que l’exercice à s’en sortir aller faire que je puisse emprunter les chemins le plus vertueux verdoyant après.

§.209.

Quand ces hésitations sonnaient en moi comme une preuve qu’il n’osait su moi se reposer (et que j’allais pouvoir lui montrerque j’étais bien) Quand c’étit l’impression emporante en moi qui n’en croyait rien.

Elle n lui faisait pas l’amour.

aussi loin de pnser que son corps puisse ête un don plutôt qu’un fardeau.

§.220.

La vie des hommes n’était structurés par rien d’autre que par leur vie de famille et c’est ainsi qu’en droit tous puissent avoir un membre était donné. Ainsi le pouvoir en un, dans les mains de un était donné assurait soit une continuité.

Les choses ne pouvaient se faire sans lui elles étaient passées en fusion de lui du début jusqu’à la fin.

Soit si pas continu assurait alors la fatalité. Ce n’est pas comme ça mais à moi je ne peux pas en vouloir, ni à l’autre, ni à celui qui a tout droit d’en décider.

Ainsi les destins étaient-ils lourds à porter.

Ainsi on ne se lancait pas dans n’importe quel danger(ce qu’on faisait à partir du moment ou psychologiquement dans une situation d’auto resposabilité on se trouvait.

§.223.

La dévotion à son art doit combler (ce que nos efforts pourraient s’ils étaient mis en d’autres espaces à nous apporter) La création naît de se dire en dehors de sa table de ravail ça et ça aurait pû être fai (nécessire donc d’un rapport eterne à son art, une vue sur ce que l’atre peut réaliser) et donc puisque à ça j’ose penser, voir, pour cela je  me sers et comment en être éclairé, alors que cela se refuse dans mon atelier.

§.233.

Les signes dans la vie, arrivent.

Ils viennent, certains viennent Mais que fait-on de ceux qui ne viennent pas.

Un signe transporte ce qu’on lui a attribué déjà plus inexorablement à quoi dans sa nouvelle apparitionon le raccrochera (signe anonciateur mais rétroactif dans un – deux jours – 12 ans ouplus de 123 siècles de cela)

Le signe arrive les bons jours, les jours pareilsà chaque autre (sauf que peut être on compte demander en mariage ce jour là) [ Tu  t’en souviens  encore mon minou ?] Alors le signe sera un pic émotionel, réactionnel pour que s’empreinte à jamais cette journée-là. en fait c’est parce qu’on le souhaite que le signe deviendra.

Il est également une sorte de relativisme. Cartoute sa vie peut être convoyé par l’apparition d’une couleur.

– On ne peut se séparer de ce symbole.

– Si je m’aimais d’une couleur, je m’habitue à l’émotion, la conjure comme cela, je serais moins  troublé par la rochaine apparition de toute sorte.

– Il est l’instauration.

D’un rapport aux choses.

Puisque j me sers d’elle, explique les forces que je donne, je vois aux formes pensées comme non vivantes et qui poutant combattent.

je crée une sorte de pont, de terrain de négociation entre elles et moi.

§.234.

Toutes différences sont aussi ma main mise sur l’évènement. Mon interprétation libre, la modulation, la traduction qu’ainsi sort de soi.

§.235.

Et que dire des signes qui se passent et que je ne vois pas.

Ouvrez les yeux ouverts, se tenir à l’affût les gars.

§.244.

Nourrir, et être nourri par la communication, la force humaine.

§.245.

L’ art est une précision de ce qu’on connaît comme tout avancement dans la vie.

§.252.

Le guérisseur a comme spécialité le don qu’il partage avec celui qu’il va soigner.

Être sensible.

Avoir déjà combattu. S’être fait mal.

Et avoir gagné.

Donc pouvoir ressentir ce que en autre partie commune chez l’autre, comme chez soi il est en train de se passer, accéder à ça pour pouvoir apaiser.

§.255. Enc.

Préparer.

Je m’arrêtais de faire la tête, car le feuillet ayant été préparé avant que mon courage soit menacé, je voulais (parce que confiance inchangée) lui confier ce qu’elle avait pû couper.

l’échange comme cela (par exemple le chassé croisé d’une écriture à deux voix.

Répondre à la précédente avant de voir la suivante.

C’était mettre en avant ce que l’autre ne supposait pas, ‘attendais pas de l’un.

On s’offrait des continents à ainsi procéder.

L’autre devenait automatiuement le miroir de ce qu’on croyait de l’autre et forcément la marge donc juste comme celle où l’on se plante.

Ainsi que comment est-ce que l’on peut être lui.

Le doit – on se féliciter ou précision nécessite ou ce qu’o ne connaissait absolument pas.

cette part incompréhensible de ce qu’on croyait puisque justement va imbriquer quelque chse nous ayant dépassé et aynt pour conséquences invendable de nous échaper. L’autre est ce témoin, le rapporteur de cela.

Fin des Encadrés Doc 24.

Encadré Doc 25.

§.4.

Rapport Lardo – Braso.

Rapport distendu. Pas confortable car à situation imposé, toujours là même, alors on va varier les positions même si à la base celles qui posent problèmes dans l’optique de pouvoir s’en sortir de plus en plus indemne.

Posiion dans la position.

§.9.

La violence c’est que l’effort ne soit pas relevé.

L’étalage de ce que’on en a retenu. le résultat lui n’aparaissant pas de la manière escarpé.

puisque toutes découvertes, apprentissage, se parre différemment de ce qu’on croyait.

Mais c’est cette connaissance de l’être qui construit, (donc le contact avec l’encore irréalité) qui constitue ce que la connaisance en subsistance est.

§.23.

Je n’arrivais pas à exécuter l’exercice car mon corps était pêt à le faire autrement plus amplement, plus rapidement, plus décomposé, plus claquant , plus léger. Que sais-je encore ce qu’il avait à convoyer pour que la force qu’il porte il puisse faire aller et prendre celle qu’il lui fera dire bienvenue à la remplaçante via l’acte précédent.

§.24.

Cette impression de ne pas pouvoir car il était temps de savoir.

§.32.

Il vaut mieux que je jette quelque chose en un endroit pour qu’après je puisse me mouvoir, atteindre cet espace plus facilement. comme quelque chose de fixe sur lequel peuvent alors pivoter mes mouvments.

§.34. Attention encadré à l’initiative de Daniel.

Je pleurais, je m’effondrais.

Me rappelais tous les objects [ d’objectivité, du : {sujet d’objection.} (O.K.)], tout ce qu’elle avait touchée et qui maintenant pourris me la rapellait.

Mais pourquoi pleurais-je ?

Tout d’elle était plein.

C’était certainement de (me) le demander qui en fait me vidait moi-même me rendait chagrin.

§.35.

On va mourir. cette remarque faisait de toute expérience une passade. Et aussi que tout ce qui avait allait être, était en fait autant au courant que nous et comme nous n’allait n’allait pas le rester. Le respect de tout, l’adoration de rien .

C’est pour ça que les religions sont si flous.

Permettre à l’homme de faire les même choses en sachant que la ensée ne s’arrête pas, est toujours pus loin.

La pensée qui souffre mais qui sait que sa délivrance future et liberté nature n’est de pouvoir être contrainte.

§.40.

Le rapport à l’art !

J’étais différent sur une question si elle métait posée e que je devais y répondre du tac au tac (Ô râlement) que si j’avais une feuille un crayon ou de la terre glaise un scalpel pour y répondre d’une manière que je considère :

«Définitivement, quelque chose de, sinon complet, au moins d’achevé.»

La multiplicité des arts, mon ubiquité m’apprenant

§.42.

Se tromper souligne simplement le temps qu’on passe à penser. Et comme on le pense perdu on le compte en moins bien que de voir les choses se réaliser est imposible puisque l’objet (O.K.) est là pour faire que puisse se dépasser l’idée.

§.48. Enc.

(On m’a) Rayé dans le manuscrit.  C’est parce que j’ai été fuit pour mon infidelité liée à la non conscience du devoir de fidélité qu’on m’a retrouvé marié à elle.

Voir ma réponse en D.PF du 18 03 2006. 23h36.

§.50.

Je lisais le texte au 2, 3, Quatrième degré non pas comme cela mais avant il fallait que je sache ce qu’elle avait pû elle-même en écrivant en penser. Qu’avait-elle voulu me dire ?

Qu’elles étaient ses connaissances et ses projets.

La connaissance qu’on a de l’auteur est le relief et l’intérêt d’une recherche. Ainsi le lecteur analyse critique. Ce qu’on peut y trouver et ce qui ne s’y trouve pas.

§.52. Page 79.

Après avoir son corps tout débloqué de s’occuper de son sexe je voulais la sentir me supplier.

§.53.

Ne voir, que concerter hétérosexualité et séparation des sexes car sinon ou on se brûlait les yeux devant tout le symbole de ce qu’on convoite, de notre variété.

§.55.Enc.

Différence entre ce que j’écris et ce que je pense et ce que je penserais sans pouvoir l’écrire, m’énerver.

ETAPE.

§.57.

Il y a les phrases dont je sais qu’elles ne seront lues avec plus lourd de sens et pourtant elles me sont apparues à moi comme étant avoir l’émission de même intensité. La recherche en pensant aux autres différait même pour moi, le premier jet toujours l’impression d’une réflexion comblée.

§.71.

Faire le point entr soi et l’autre.

le travail de l’amoureux.

La vie pour toi.

Toute vie est toi.

la vie que l’on donne deça.

Tote vie se donne à ça.

§.72.

Les sentiments sont ceux que l’on veut inspecter, ce que l’on veut comprendre, ce qui va changer.

§.73.

Et ce que l’n fait est le choix ce quoi on a décidé de sur quoi cogiter.

§.74.

Si une peu de lui ne laisser tombe, l’existenced’une peut exister, sans n’importe quelle aute forme j’étais autorisé à la chercher.

§.75.

Je tombait du pont.

Nos esprits s’aimaient tellement fort que relié au sien mon corps ne tombait plus qu’au ralenti.

Mais il arriva le moment où l’esprit de n’avoir pas tout connu et devenir tout à connaître se demande alors comment cela est possible. Regarde comment est possible cela. Et le fil n’est plus, puisque qu’on en empreinte un autre déjà.

OR FAIT.

§.76.

Et ces moments qui nous rejoignent 20 ans après.

§.78. Enc à l’initiative de Daniel.

Son trouble du comportement était de se plier en deux et de tendre l’oreille.

Accoucheuse. Médecin de la pouvoir enceinte ou non.

Ainsi faisait-elle son stétoscope particulier.

§.79.

L’apprentissage consisteen l’acquisition dune logique.

C’est à dire qu’au fur et à mesure des expériences on peur slectionner ce que l’on a à en apprendre, le reste reposant déjà dans son esprit sous une autre fome, tracée certes mais cette corrélation, une corrélation avec le fond (apprendre la métamorphose qui n’et ni une perte de A ou B mais juste le chemin de l’une  l’autre que C nous) leur fait prendre.

INITIATION.

Tes § : 78 et 79 frise la folie hérétique.

Et exercice illégal de la médecine apparemment !

§.91.

Il vivait plus fort, devenait du même coup plus impressionnant et tellement vrai, telement convaincant, non pas parce’il aait raison mais parce qu’il y pensait tout le temps.

§.92.

Principe d’irremplaçabilité.

Je n’arrêtais pas de penser à des choses quand je me rendais compte que d’autres pouvaient ou les avaient sns aucun doute traités.

Tais-toi boucher.

§.108.

On était heureux avec la même personne mais j n’osais trop le dire  sachant que l’enfermement de l’un sur l’autre à quelle horreur peut conduire.

§.113.

EGARE – HAGARD.

Ne plus savoir comment se conduire.

Si je veux dire, si on attention est accompagnée et veut communiquer avec un élément éloigné et que perte la même chose celui ci alors c’est en seconcentrant sur un élément intermédiaire que l’échange de flux peut se créer.

Dans ses yeux tu verras ce que mes yeux (nos yeux font de pouvoir se rencontrer.

§.114.

Ils m’ont fait faire.

de peur d’être pris pour des P. D.

Garçons manqués.

§.115.

Les coups mauvais qu’on m’avait fait.

Mais qu’est-ce que donc peut bien penser quelqu’un qui les faits.

Au plus amusant, voir l’attitude de certaines personnes et font croire aus autres qu’ils ont réagit différemment, retrace ce qu’il croit avoir tirer leçon de ( et c’est là que se sentait inconsciemment en manque d’expérimentation ils poursuivent leurs gamineries.

§.116.

Ce que l’on pense des autres.

Ce que l’on manque de savoir sur soi.

§.118.

Peu importe ce qu’on en disait mais sachnt qu’on ne contrôlait pas, n’avait pas assez d’éléments pour doser ce qu’il fallait et était en train déjà d’avancer.

Alors on prenait n’iporte quelle position sur cela dans le seul but de bloquer, prendre le temps de mieux analyser.

Le besoin d’analyse représnté par les conneries que l’on sortait symboliquement.

§.121.

Prendre la responsabilité de ce qui se passait, les tensions alors on con – prenaint.

§.140.

Peur de mourir parce que ne plus pouvoir aimer. Et du même coup pouvoir se rendre compte qu’alors on en aurait rien compris.

Regret A mère.

Non mais comme l’homme est en train de vivre le comment il s’est rangé.

§.149.

J’avais besoin que mon vieux puisse changer  celle d’un de mes vieux puisse me conseiller.

§.150.

impression différentes aux entrailles.

Enterrement des déchets quand on mange moins.

Se remplit de cela.

D’ou peut être une relectance à s’arrêter de manger.

§.158.

Sa voix tremblait car sa voix tout son corps n’avait qu’une sensation,  n’était qu’une attention celui de se glisser dans mon conduit d’oreille et le soigner ainsi.

Mais pour que cela se fasse puisque en conscience de cela n’était pas arriver à nos esprits, il fallait que ceS mots ( Un seul pluriel ?) ne deviennent plus qu’imbrication.

Il fallait perdre alors le sens formel de la communication.

Et on tremblait.

A nous de comprendre pourquoi on y arrivait pas.

§.159.

A plusieurs on ressentait moins d’intimité.

Car la relation moins exclusive. Moins longtemps pour s’attendre.

Le flux sexuel, intérieur se répartissait.

On gagnait sertainement à plusieurs en comparaison première de ricochet des forces, plus le temps d’observer cela, car plus de visages qu’à ce jeu on voit.

§.162.

Le tabou n’2tait pas le sexe mais comment le débloquer. Tout le corps autour, son entretien, son respect.

Tabou par la façon dont il nous fallait travailler.

Une ligne illisible annulée !

§.178.

Alors en regrouppement femme et homme vont pouvoir s’appuyer sur la nouveauté , l’inconnu.

Se nourir mutuellment le soir de ce que dans la journée on a pas vu.

§.182.

Ne pouvoir avoir besoin de personne pour le ménage car chaqueespace qu’on occupait était un espace où c’était notre propre ordre qui primait.

§.212.

On lui avait prété des dons de sorciers, d’accord.

Mais quand on lui enlevait alors parce que c’est ainsi qu’il cultiva sa place au jeu du groupe. Alors quand on lui enleve. L’impression d’être vidé elle persisait cette fois.

§.225.

Je prenais conscience de la mort de pépé. Parce que plus les années passaient plus je me disais en voyant les vieux hommes non ce n’est pas son age mais 20 – 30 ans de plus il aurait.

Ou alors pour celui mort plus jeune.

Je voyais les gens du même age que lui naguère vieillir alors que l’image que j’avais reste inchangée.

Ou bien mon propre corps qui m’explique comment mort naquit.

§.227

Ces quelques trucs intelligents permettait à l’absurde de se maintenir assez longtemps pour comprendre comment pouvoir faire pour que l’environnement transmettre.

§.228.

L’incidence de penser quelqu’un l’être.

Être – Etat.

Et la pensée, et la réflexion.

Et la vie se figea.

§.229.

Elle.

Le pourquoi ma vie il était.

Il y était.

Il y avait.

§.230.

En maison de retraite.

Les vieux s’occupaient des vieux.

§.232.

Elle rangeait ses objets avec tout l’amour que je lui savais.

Et à chaque coup la chaleur de, mouvement qui lui avait ranger quand je devais le reprendre. Son mouvement le mien accompagnait.

§.233.

La tenue recouverte.

le nombre de kilomètres parcourus comme il aura fallut pour chaque service rendus.

§.250.

Sept vies !

Ou la vie selon moi.

§.259.

Les visages que je connaissais comme faisant partie de moi même déjà j’avais intégré leurs traits et plus profond en eux pouvait aller ou alors n’avait pas besoin de les saouler pour les sentir ou alors savoir qu’on se sentait et pouvoir autre chose (ce qui nous échappait naguère à deux déceller.). Ou avoir tout le temps à partir que les éléments savaient où ils étaient postés établissant un peu sur le quel l’action peur reposer.

Alors sur lequel l’action peut reposer. ALors sentir ce que globalement cela fait également d’unmême lieu en changer l’impact.

Continue autrement les effets.

§.263.

Avoir, n’avoir pas. les codes des gestes sur cela basé.

Cette préoccupation commune fait que la communiation infra-verbale peut-être individuellement s’opérer.

§.264.

La pensée; L’art, la mémoire.

Cette faculté que chaque geste pouvait être fait en l’honneur en liaison au passé.

Liaison = identité = mémoire + nouveauté, futur possibement constructible.

§.266.

Chassée croisé. Force exploité entre regroupé.

Femme sur femme.

Homme sur femme.

Mais pas dans la perspective individuelle.

Couple.

Emporté.

Force exploitée entre couple.

Femme et homme.

Mais pas dans la perspective de corps de métier connaissance.

Règle respectée.

Pouvoir.

§.286.

La tension quand je pense que tu ne répondra pas. Le sourire quand je sais que tu sera là. La société établie, obligée, évite à l’individu de vivre ces drames là.

Drames qui le rendent romantique, prêt à tout ou à n’importe quoi. Attaché comme un fou à la vie ou ne trouvant plus goût en quoi que ce soit. Société donne des rôles inchangeants et l’individu ne peut plue jouer avec cett pression là = découvrir la propre subversion en soi.

Laquelle il réappliquerait illico.

§.327.

La pensée s’arrête là ou commence l’émotion.

L’émoton obligatoire qui contrôle sensoriellement si on est suivit compris, et pas mis en danger dans la présente situation.

§.325.  Enc à l’ inititive de Daniel.

Que je dise, IL !

Que je dise, ELLE !

C’est toujours le même individu : Qui m’y amène.

                                                Qui me convienne.    

Celui que je choisis.

(Tout tes écrits deviennent : On ne peut plus clair !) D. PF.

§.330. Explicite aussi ce §. Enc à l’initiative de Daniel.

Le mensonge.

Je ne vous l’expliquerais pas.

N’en sachant pas plus.

Il fallait être à plusieurs pour maintenir l’intelligence.

Il fallait de l’intelligence pour maintenir le choix.

Il fallait le choix pour maintenir la dualité.

Il fallait la dualité pour maintenir la naissance.

Il fallait la naissance pour maintenir ce qui crée.

Il fallait un créateur pour maintenir le suivi.

Il fllait un suivi pour maintenir la raison.

il fallait la raison maintenir, pour recommencer.

Il fallait recommencer pour maintenir le désordre.

Il fallait le désodre pour maintenir la réflexion.

il fallait la réflexion pour maintenir le chaos.

Car chaque raison ses raisons avaient.

Le chaos c’est quand on peut encore parle de différentes unités.

Qu’est-ce qui tenait le chaos, et largement enchevêtrés.

L’infini s’appelait.

Et ne reposait sur rien si le cercle se fermait et permettait de ne rien contraindre.

§.331. Mêmes Enc : ensembles dans le manuscrit. 1.

Et qu’est-ce que la connaissance de l’infini créé ?

§.332. Mêmes Enc : ensembles dans le manuscrit. 2.

Le temps.

Le temps de la conscience.Comme mes actes s’imprégnaient.

Comme il y avait des naissances que l’on constataient.

Je savais que le temps en n autre endroit avait quelque chose, autre chose continué puisque mon souffle en mon corps et hors de lui naviguait.

§.333. Mêmes Enc : ensembles dans le manuscrit. 3.

Les couleurs naissent de la même lumière.

La lumière c’était tout ce qu’elles désignaient.

La surface des choses leur profondeur n’étant que couches supperposées.

Comme les couleurs ce n’était qu’une histoire de point de vue si on croyait on si l’on pouvait saisir ou non un object.

Rapport de lumière, rapport d’épaisseur, rapport de condensé. 1. 2. 3.  Fin d’Enc triple.

§.334. Enc initiative Daniel.

Ne pas choisir sa femme.

Ne pas avoir de relation à soi,à l’être avecelle.

Faisait qu’il nous restait plus que sexe pour nous nreprésenter ce que l’amour était.

Et en lui toute notre tristesse, et ce qu’on avait pas réussit à boucler de notre rapport amoureux au monde était.

Sang larmes.

sans l’arme.

Lymphe.

J’étais perturbé dans mon travail par certains, ou pensées intérieures à chaque fois que je ne comprenais pas le travail que je faisais.

Lecture. Soit que je n’avais pas compris un mot soit qu’il aurait fallu que je saute des lignes pour passer mon temps ur d’autres textes (selon objet) car infos importantes ailleurs se trouvaient.

L’important c’est.

Ce que je couperais.

Et ne cessait.

Et ne m’y aidait.

Oui nous sommes d’accord tous les écrits ont été mélangés par paragraphe selon ce qui arrivait. J’avais compris depuis pas mal de temps, mais pour ce qui est ; Que tous je te les reprennent et remettent à leurs places tu peux leurs transmettrent qu’ils ne leurs restent plus qu’à se chatouiller, jouer à touche PIPIS.

En un mot plus clair ils peuvent se branler ! D.Porteboeuf.

§.338. Enc initiative Daniel.

Je n’étais pas sévère avec lui, mais ma sévérité acclamait, honorait.

Puisqu’elle m’aidait.

Puisqu’elle m’aimait; (Fait gaffe à ce que tu dis tu sais que je suis jaloux. Alors parle de moi et écrit IL M’AIME ! c’est du présent de l’indicatif chez moi pas du passé.) Ton DANY.

§.342. Enc initiative Daniel.

Mon écrit (Mes écrits) n’était (ent) pas pareil que mon parlé (pas les mêmes que mon langage),  car de, à différentes choses ils s’appliquait (car ils partaient de différentes origines éducatives) et l’un disait à l’autre ce qu’il avait négligé.

§.350. Enc initiative Daniel.

Voilà un exemple de la diversité de tes textes. Le sport + le sexe + la philo + l’amour + la psycho. Pour les trier comme prévu, tu repasseras, ils repasseront.

Tendre les parties de son corps jusqu’au point ou leur étirement est en train de progresser = conscience du point jamais auparavant atteint l’assouplissement permet de garder la conscience du corps permet d’être prêt à l’attaque.

Tension porté sur ce point qu’on s’occupe à dérouiller c’est à dire occupé à tout son doigté et équilibre.

Mesure.

Poids.

de la force qu’on met.

§.383.

Le promeneur ne voit pas que son chien danse sur la musique passant dans mon balladeur. Et pourquoi je rs non plus bien qu’il entende celui-là.

§.388.

L’occupatiotn à la maison est-ce qu’on avait en commun nécessairement avec l’enfant. L’enfant qui voyait se mouvait, s’etretenait son parent ?

D’ou la croyance en a seule qualité maternelle, le paternel lui partageant moins de moments. ( Faux ! Pas systématique relation d’age et de sexe. Vrai pour la petite enfance. Plus tard, le garçon, se rapproche, pour les jeux, sports, loisirs, passions, passe-temps, professions, plutôt de son père.) Daniel.

§.390.

Mon art consistait simplement lui, et me donner une idée de ce que j’étais ou n’était pas, de l’entrelacement des moments ; de leur tout contenant. Dedans.

L’autre et l’déal était.

C’est ainsi que ma lutte toute avenante.

§.463.

Je savais que tu avai vécu cela sans t’en apercevoir.

Je priais pour qu’il t’arrive dans la vie quelque chse qui te le ferais savoir.

§.470.

Admettre qu’un signe en est un.

C’est accéder aux mervilleux.

C’est se penser en communication ou se voir influencer par les évènements qui n’ont plus pour nous qu’un dehors de déconoter entre eux.

Le merveilleux, les relier, se trouver au centre de leur relation est alors que la stupeur apprenaît car on comprend qu’on est point des lecteurs mais cela la mère qui crée le texte (comme son texte crée) la stupeur de se dire cela était un signe quelque chose qui me fait souvenir, réfléchir à pour y adhérer, le rejeter et si cela aujourd’hui c’est que d’une façon particulière j’ai conçu voulu ce qu’il en était. Car enfin être au courant des choses, introduites automatiquement un choix le choix de notre comportement fait au situation, le seul qu’on est.

Et puis si j’avais des choix alors ce n’est pas le strict destin c’està dire que je pourais être à des kilomtres de là en train de vivre autre choses sans pour autant qe ce soit  mieux ou pire. Juste un autre endroit où ma conscience des choses j’aurais traîné.

Il est aussi du même coup forçé de constater que cette communiction à l’évènement fait que notre conscience s’st retrouvée faite à un choix peut alors imaginer et donc se projeter dans oùen serait-on Si j’avaisdifféremment statué.

L’esprit alors peut se permettre être en plusieurs endroits come on invente un lieu. On peut passer à coté de ce que le lieu où on est

invente pour pour que nous puissions continuer.

Reste que pou comprendre un signe il fallait vivre ce qu’il pouvait signifier. Est-ce que nous nous mettons pas en condition de chix car ainsi on donne du poids à une décision. La concurence où l’investissement qu’on a mit dans les autres relativiserait celui qu’on a fait (ce n’est pas la seule traité, mais pas la seule vie qui se pointait elle ne me touche pas ) ou bien se dire que tient bon la barre que je l’amène jusque là destinée.

Enc Doc 25 Fin.

Encadré. DOC 26.

§.29.

Libéralisme. puisqu’il condamne à être maître d’un chien pour que simplement l’espèce canine ne soit mise en danger.  !

§.36.

Gens discutant au milieu du trottoir emêchant les deux fles a sens inverses de passer.

– Vous génez le passage on ne peut plus passer.

– Et bien vous attendrez !

– vous attendez sur nous.

Patiente.

§.47.

L’affectif a pour but de relier les moments dans la mémoire afin que tout son être se réveille lorsqu’il va au combat.

§.58.

Toujours proposer une solution alternative pour ne pas se sentir déposséder.

je suis qui ne laisse pas passer une seconde et sans jamais être à un jour près.

§.90.

Faire une activité si fréquemment, si courramment; que pouvoir faire quelque chose en même temps.

Mettre les choses, différemment.

§.103. Encadré initiative Daniel.

Comme il brûle le pétrole alors qu’il est son sang.

( Cette fois c’est certain tu es folle, Même pris de façon imagée  ! )

§.104. Encadré initiative Daniel.

Se foutre de comment les choses vont se passer. Savoir de soi plus de sa volonté qu’un seul chemin, seul, saura les réconcilier.

( Là ! Enfin, tu as tout compris et tu es bonne. Ce seul chemin est celui que certains suivront en procession pour conduire à un cimetière, j’en suivrais un demain matin. Il ne suffira pas à la réconciliation, d’autres la feront, cette réconciliation,  lorsqu’ils suivront LE MIEN. )

§.105.

Make-up – Inventer.

Mettre fin à une querelle.

Maquiller ? Art- Guerre et paix.

Le combat comme gagnant.

§.111.

L’homme ne rerette-t-il pas d’avoir a s’alimenter, parce qu’il lui faut tuer.

comme celui qui cueille le fruit sait que vivant il est.

Ne se punirait-on pas –                   – après.

Premier des moyens = trop ou mal manger !!!

( Tu te contente de minéraux toi ? N’importe quels des légumes est vivant aussi! )

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( §.118. )Sans airENC initiative Daniel !

Le vieux respectait le plus jeune car il savait qu’il avait comme souvenir, comme compagnie, cela.

Anticipation de quatre § pour avertissement !

Si je dépasse le § 118 nous sommes d’accord cela voudra dire  (R) Adios classiques, vous ne me verrez jamais chez vous, c’est trop tard, un à fait une erreur que je ne peux pas pardonner !

Autrement dit : Adios tous espoirs, ceux des autres, MES illusions il y a longtemps qu’elles ne sont plus !

****************************************************************************

§. 125.

Gonflement estomac associé à dilatation anus. Autre conséquence : Pression lombaire. ! .

§.132.

J’avais l’impression de bien le protéger.

Qu’est ce que de ma vie, de mes propositions, de mon destin, de mon inconscient, sa présence me prévenait. Sur quoi j’agissait.

§.141.

On insulte l’étranger pour donner une idée à ses descendants de ce qu’il prendrait si on les déshéritait.

§.142. Enc. Initiative Daniel.

Un paragraphe schématisé, représenté, mais vide en place du 142.

Je fais l’impasse.

§.145.

Sélectionner dans le texte l’info importante, c’est regrouper l’énergie, l’accumuler pour la transformer, et la retenir, ou bien la comprendre, mieux la continuer ainsi.

§.152. Encadré. (Partiel)

Dresser : ne pas avoir peur, ne faire peur. ! .

§.156.

J’écris en penant à ma mère. Mais quiconque me prendra pour son enfant, vera quel amour, vérité je lui tendais.

§.159.

L’attente révèle que l’action qui la précédait n’était pas assez intense pour nourir le suspend d’info, par la réflexion, reconsidération, remise à nieau.

Met en avant un pas, assez de progrès.

§.170.

Faire l’effort de bouger.

Devoir le faire.

Pour comprendre que les contraintes nouvelles sont ou doivent là être utilisées afin de s’adapter à de nouvelles issues et destinées à soulager un ensemble ( qui se bloque présentement ou qui n’arrière font d’être clairement source de dépolution.

§.172.

La spiritualité est la foi en la foi des autres.

§.177.

S’il est allemand évidement ?

Parce que le maintenir en évidence c’est obtenir qu’il s’applique dans les endroits que l’on ne croyait naturellement .

Et ainsi sa vie sauver, de la voir là où elle serait resté caché autrement.

§.181. Enc. Partiel.

La sensation sexuelle liée à la conscience d’être regardé, désirée on en danger.

(Dany j’écris bien que j’ai le petit rdi mais la je te recontes même pas dans quel quartier. comme près du dépot.)

§.189. Enc.

Conjure UP – Inventer.

§.201.Enc initiative Daniel.

Vous quand on est insulté. Je ne suis pas si bête il ne faut pas perdre le rspect. Tenir le danger en respect. C’est l’admettre et se faire une idée du par quoi il est.

Pas évident cela peut être une prise de distance et de subalternisation,de subordination de l’autre ! En tout cas c’est comme cela, que moi, je le perçois. Coupe court à toute relation possible même et surtout amicale future.

§.208. Encadré initiative Daniel/

PARAGRAPHE ENTIEREMENT EN ANGLAIS PAGE 461

PUREMENT ET SIMPLEMENT REFUSE. 

§.216. Enc. initiative Daniel.

Paragraphe vide : Impasse.

§.230.

Et si celui qui est acco recommence aussi pasce que la sensation de manque, la maîtrise, fait bander.

D’autres évasion.

Remède.

§.245. Enc.

Il pensait qu’on se foutait de sa gueule mais derrières les igolades on voulait lui expliquer langoisse qu’il suscitait lui qui pensait que sa bonne foi et volonté était moqué. Onbliant que les autres aussi en était doué.

De cet oublie l’envie de tout casser. (Tu oublie un peu facilement ceux qui dans la vie ne veulent rien faire et laisse toute la tâche aux autres, tout le fardeau, leur en demandant l’exécution à leur place se déclarant  :

 » incapable  » de le faire.)

§.256. Enc. Initiative Daniel.

T’en fait pas plus que cela apparait bien que tu n’est pas aussi vicieux.

§.263. Enc.

Vous ne me croyez pas alors je dois mentir et le faire de manière grossière pour votre pitié. (Pour leurs conneries ! OUI ! mais au mieux laisser définitivement tomber ne plus s’occuper des cons. tu as maintenant LA recette infaillible, LE MEPRIS! Mais tu m’as obligé à te rafraichir la mémoire.) 

Comme si j’avais crié à l’aide sans que personne ne viennent.

Que cela de vrai.

§.264. Enc. initiative Daniel.

Esprit, Solitude, problèmes.

Se signaler quand on est heureux.

Rarement.

Pourtant pour un couvrant.

§.265. Enc initiative Daniel.

Bien compris que les encadrés sont ceux et celles qu’on ne peux ou veux plus revoir.

O. K. mon bijou d’amour ET j’avais compris depuis le début mais il fallait laisser le temps au temps de démolir LA menteuse, LA salope. (Tu ne dois plus rien à personne, moi non plus, même le cirque avait été payé sur l’héritage de mon oncle :

NORBERTPORTEBOEUF.)

Ne pas arrêter de faire connaître = selon perspectives

Horizon est.

Toujours capable de changer. Au lieu de lire je ferais 10  kilomètres à pieds. ON change ce qu’on range mais 100 Kms jamais.

§.281. Enc. initiative Daniel.

Comme grand inconnu, de nous mettre à nue aussi surpris enfant que l’on à été de découvrir l’autre en fait.

Enfant comme sans titre. (Dany réveille – toi !  !  !

Trop tard mon bijou d’amour ton DANY à dit stop à « tous et à toutes » ils, elles m’ont trop joués (ées) la même sérénade DANY n’est plus là pour personne !  Vous pouvez vous gardez vos garages à bites pour vous comme le suggérait quelqu’un de cirque ces jours passés. )

§.304.

En crise d’être, on doit.

Le destin que l’on suit afin d’être plein de lui.

Puisque la vie se mesure à cela.

§.308.

Peur de celui qui réfléchit car il trouvera un truc, une dynamique intellectuelle qui rendra lois ses pensées. (Jolie ! Cette analyse Caroline là d’accord je veux croire que tu es dans ce texte qu’il est de toi ou de quelqu’un à même de : Réfléchir justement)

§.311.

Toute expressionest une tentative d’indication sur ce qu’l se passe à l’entente de ce avec quoi on communique, sur ce qui se pesse mais dont lui n’est encore au courrant.

Ce pourquoi essai d’expression et trouble relatif à lui.

§.321.

Être pris, dans une situation chaude, déliatecuisante, inquiètante –   –   –  –

Et ains ne plus bouger, ne plus faire, être immobilisé, et ses mauvaises habiudes, et réflexes ainsi aussi stoppés.

Fin d’Enc Doc 26.

Encadré DOC 27.

§.2.

Je pouvais penser à quelque et sa sensation qui s’enchaînait. J’étais alors protégé, et c’est ce que la pensée rechercait, provoquer quelque chose chez moi, l’autre en prenant ce qu’il en voulait.

Mais pas du tout il faut croire que la pensée révèle quelque chose de vrai elle est seulement là pour m’abreuver.

Mélanger les éléments, les relier.d

Me sentir.

§.42. Enc initiative Dany.

J’écrase les cafards, innondation, rafale et tremblement de terre.

( Tu y crois à tes conneries ! La cause et les effets ? Tu étais là avant ?

Mais alors le big bang, c’était toi ! Et moi qui ai raté cela ? OUI là je me fous gentiment, mais royalement de ta gueule ! )

§.120. Enc. initiative Daniel.

La liberté c’est que ne voulaient rien dire les gestes que l’on fait.

La donation soumission ne sont que des résultantes de rapports aux esprits et utilisation des produits – (devoir de régulation assurant que chaque esprit libère.) L’individu illimité n’est jamais perdant même emprisonné, énergie dans espace illimité.

(Très bien vu cette analyse ma chérie d’amour, et très juste la réflexion, toi et moi en savons quelque chose.) Ton Daniel.

§.183. ENC initiative Daniel.

Il rapportait tendrement, fièrement quelque chose qui ne voulait rien dire et qui tenait pourtant tant d’importance. La complicité avec ses lecteurs, ceux qui suivaient ces mots jusque là, étaient là. ils savaient tous que n’était que code que tout cela et que les codes entre deux personnes sont applicables à tout à souhait, et on sait perpétuellement éduquer et déséduquer sur cela.

Attention !

Fabrice, Marcel, Daniel et tous les autres rapportant ce que je leur avais demandé pour pouvoir « continuer » rapportant fièrement du dérisoire mais indispensable à la poursuite du, travail, voyage dans le temps. Et tous ces acquis comme autant de preuve d’amour, d’affection, d’amitié et de reconnaissance d’être « tous ensembles ». C’est con de vieillir !

Select Dany. Daniel.

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Doc 29.

Enc 1.

§.16. Encadré.

Chaque geste auquel on veut (nous voulons) trouver une explication est un phantasme (fantasme)

extrait du PETIT ROBERT :

fantasme [fStasm] n. m. VAR. (vieilli) phantasme
• 1891, répandu au XXe par la psychanalyse; 1836 méd. « hallucination »; XIVe « fantôme »; 1190 « illusion »; lat.  phantasma, mot gr. « vision »
¨ Production de l’imagination par laquelle le moi cherche à échapper à l’emprise de la réalité. Þ imagination, rêve. Vivre de fantasmes. Des fantasmes de richesse. Fantasmes sexuels. Les fantasmes de Mme Bovary.  « Il eut l’idée de rentrer chez lui, puis il se rendit compte qu’il ne travaillerait pas, qu’il retomberait, tout seul, dans ses phantasmes » (Huysmans).

Jean Marais serait encore de ce monde il en rirait mais on ne peut même plus lui faire jouer Fantomas.

De plus à supporter.

Le Fantasme partant à la réalisation d’une réalité d’une règle, d’un système qui au lieu de nous porter nous portera à reproduire le même sché.ma sans plus y réféchir ou plutôt à y obéir sans plus tenir compte de ces dangers, même si on sait ce que shera peut entraîner. Eh ! Tu ne veux pas épouser Shiva, il paraît qu’île est lesbien.

Croire qu’un geste dépend d’une pesée (le –    – contre une situation, une condition, un état de fait) c’est ne plus entourer d’autres gestes de s’appliquer et non plus qu’une autre situation ou analyse de la situation puisse se créer.

§.22. Encadré. 29

Le rapport monstrueux à soi-même on s’en rend compte quand au contact de la mystique on voit que l’on garde pour soi de la nourriture que d’autres non pas. Et que l’on fait des réserves en prévision du prochain et qu’on s’en achète de petits morceaux lors qu’on aurait pû nourir deux personnes de plus avec des prix plus bas

Mais on devient tellementeffrayé par cette fatigue qui nous prend parfois que l’on  se dit  ; (Celle-là que que pourtant qu l’on se dise à peine il y a quelques heures, que rien ne peut empêcher à ma volonté d’nvoyer un pas devant l’autre. Et maintenant l’idée d’un geste vous ferez nous évoluer.

Alors on reste st atique là juste assez conscient pou tenir sa position et se die que pour ce qui est de bouger on peut pas. Qu’i faut attendre que l’énergie se rassemble là ou ilfaut rester à attendre sinon en échapée.

Cette fatigue dont on se dit qu’elle peut nous amaner à la prostration, au dessus du pont public,à la mort cérébrale ou biologique, à l’infini.

Cette fatigue ont-on se ditque tel ou tel morceau d’élément ou club med ou autre, pourra faire que s’améliore ou sinon s’améliore que rien fasse que puisse continuer nos vies.

Et sans cela qu’est-ce que je ferais ?

Elle volait compulsivement comme faisant appel à son courage lorsqu’enfnt elle volait se rapellant d tout les plats manquantsdont elles avaient l’impression q’ils la grignotaient.

Pas une vie, pas sa vie mais le point amenant à le plus de toute vison de l’esprit doit-être “la vie à améliorer” car et c’est en cela que la mort, en plus grande quantité et au plus long terme de possibles se transformera en vie en train de continuer.

Peut-être que comme cela tout le monde sera ressucité, le tout devant nos yeux, entre deux yeux c’est le cas de le dire, regroupé.

Fin d’encadré 22.

§.25. Encadré. 29.

On s’émerveille de l’artiste.

On s’émerveille de ce qu’il a vécu.

Cette émerveillement vient de ce que ce dernier s’exerce à ce encore mieux (et s’en rapproche à mesure qu’il essaie) devine ce qu’il vit (tout ou quasiment dans le concentré de ce qu’il est, pense et expérimente de la vie)

La personne qui le vit, le lit part du principe (dans un processus d’identification) après que ce qu’elle a vécu elle-même a étéaussi vécu sur le ressnti de lui.

Ce qui n’est absolument pas vrai.

L’artiste dans la peau de tout autre récitait tout simplement tout ce qu’il a écrit.

Ce processus d’identification se retourne lorsqu’on part du principe que la personne en face est en train de gérer les mêmes sentiments que soi alors qu’elle sa situation psychique est tout à fait différente et que l’on compare à ce que soi s’en débrouille et on devient fascié par cette manière que lon voit autre, mieux(alors qu’elle est simplement porteuse du système de tout ce qu’on ne saît pas.)

§.26. Encadré. 29.

J’ai un travail, harrassant come celui des autres, et faite que cela dure, qu’il ne s’arrête pas.

Le travail,l’effort qui arrache l’être à l’enterrement sinon de l’esprit et du corps.

§.80. Encadré. 29.

L’excellence pouvait s’installer après quelque victoire : avant il fallait se dire que les moments durs étaient normaux et qu’il fallait juste se trouver un moyen de les traverser toujours tomber.

Se dire notre faiblsse.

Une voie trouvé.

§.94.Encadré. 29

Que ferais-je pour combler le temps que le vice ne parvient plus à m’arracher.

La conscience de son défaut va tout son temps bouffer, son énergie à retablir sa crédibilité; c’est à dire qu’en permanence l’individu doit se réciter les raisons pour lesquelles il exécute les gestes quil fait. Parce qu’il n’est pas le seul, sans, des raisons toujours on peut et dans cette positon doit trouver)

Mais cette position là bloque l’énergie et donc la découvertede ses défauts ou qualités inconnus cela avance à cela avancer ne peut être cause.

§.101.Encadré. 29.

Le créteur façonne sa vie.

De manière à créer.

Et devient conscient de lui à mesure de ce qu’il pense que de cette façon de penser s’exerce, se travail dans sa vie autant qu’elle peut l’autre intriguer, inspirer.

§.104. Encadré. 29.

Mourir en ces circonstances là.Une chance par rapport à 10 mêmes.

Moi qui serait foutu de gagner au loto à ce moment là.

§;110. Encadré. 29.

Les peuples exploiés, à n’importe quel régime peuvent être soumis par habitude d’être outil.

La mort le génocide, la discrimination sauvage n’est juste que d’autres circonstances plus rude de vie. Avec toujours des pauvres e des nantis.

§.111. Encadré. 29.

La magie d’une oeuvre qui avance c’est de pouvoir écrire sans avoir à rappellerce que l’on souhaite souligner. Le sous-entendu, ce qu’implique des réflexion déjà défini, et c’est dans ce cadre là que la nuance apparaît.

§.127. Encadré.

L’émotion traduisait ce qu’on pensait de notre pace,  de notre fonction et ce qu’on en pouvait effectivement penser.

Or quel autre poids que de se neutraliser.

§.128. Encadré.

Les prétendues positions attention de domination, ou soumission sont autant de codes auxquels ont  (on, pronom indéfini, ou  bien, nous faisons première personne du pluriel du présent de l’indicatif du verbe faire ! Tu le fais exprès ?) fait attention.

L’interraction de ces codes ferait que l’on (La preuve on pronom indéfini tu n’as pas, là, utilisé la troisième personne du pluriel de l’indicatif du verbe avoir) regarde les gestes exécutés par l’autre.

Que cette attention là est l’assurance d’une prise de conscience de l’autre et aussi de la cristalisation de conflit qui parce que cette question là vont (va, le sujet est : Question. Qui est la chanière de préposition de : L’Attention) se mobiliser sur cette prestation mettant en attente le soulèvement de problème sans solutions présentés.

Ces codes sont aussi une manère de rester en un tenant que l’on connaît, ne pas s’aventurer plus loin dans son expression que dans  (qu’en) celle d’à côté  qui ne peut jamais être achevé. C’est une manière de renforcer la condition de groupe s’étant fait.

§.148. Encadré.

Le sexe fort était chargé de protéger le sexe faible, telle était la mission.Non que cela soit vrai mais on peut tenir comme cela la nécessité d’un lien au sein de la famille et sa cohésion. Devoir de service et de protection et sans que plus loin, d’après les critères sociaux aux allures de faux bio.

§.149. Encadré.
Les questions plus loin, être posées, ne puissent ! (une inversion maladroite et non justifiée ma puce, pas à sa place ! )

§.159. Encadré

Communiquer quelque chose à quelqu’un.

Elle révêrait à ce que cette chose puisse éternellement circuler.

Cette énergie toujours à tout revient.

Existence et éternité ne font qu’un.

Moi je vis dans les nuits, savoir que se donner soi à l’un à être, à pouvoir passer, d’interne dire en intermédiaire dans tout autre tiers.

L’omniprésence , travailler seul s’inscrit moins dans l’art que chacun dans sa vie saît.

Ça vissé.

Ça vie c’es.

A vie sait.

Avisé.

§.161. Encadré.

La diversité des expériences et comme la variation des poids que l’on porte. On doit garder la même symétrie, la même balance pour que le squelette garde sa droiture alors si les poids change nt, la pression sur les organes et les organes qui portent va (vont) changer aussi (La pression + LES organes  =  pas suffisant ?Pour marquer le pluriel sur les verbes changer et aller ? !) car équilibre créer (créé) avec d’autre balance,  points de résistance et d’appui ). seul n’ayant  (de but) que de connaître son corps /que ceci. (je verrais mieux, que de ceci, mais acceptable)

§.162. Encadré.

La régularité, la poursuite du but est pouvoir rapporter son consient de son inconscient.

De pouvoir doser ce que l’on est en train de pnser.

§.164. Encadré.

On ne peut qu’appartenir qu’à son temps. La réflexion en dehors de lui d’abord son environnement doit créer.

L’esprit des hommes, l’histoire, son dépassement, qu’y a-t-il après ?

Ensemble dans tout son temps est faire qu’il puisse lui-même s’établir, se projetter, les consciences qui (qu’il) lui faut utiliser.

L’avancée dans le contexte du temps prodigue à l’être qu’il peut s’oublir, puisque la rencontre de l’extérieur est un inter révélé.

§.165. Encadré.

L’effort permettait de sentir qui on était. Cette sensation permettait de sentir ce qu’          ???? était.

Elle mettait en marche la réflexion, l’art de coordnner le mieux possible les nouvelles informations enregistrées.

L’effort, être au contact de sa propre limiteoffre de ne pas dans sa colère tomber par l’assurance de progrès. La ralité d’un monde dire, que personne e faisait ce qui (‘il) voulait.

L’énergie pourtant toujours disposée à être utilisée

§.169. Encadré.

Pour quel besoin l’esprit a-t-il en besoin de les inventer.

§.174. Encadré.

La conscience de son extraordinaire progrès vient dans la relation à l’objet. Se servir de lui et nous confères les merveilles de l’ingénuité. Qu’est-ce que pouvoir se faire.

L’éernité dans l’étude de ce que l’on pourra apparailler. Pareil.

Sciences éléments. §.220. Enc.

ILa vie des hommes n’était structurés par rien d’autre que par leur vie de famille et c’est ainsi qu’en droit tous puissent avoir un membre était donné. Ainsi le pouvoir en un, dans les mains de un était donné assurait soit une continuité.

Les choses ne pouvaient se faire sans lui elles étaient passées en fusion de lui du début jusqu’à la fin.

Soit si pas continu assurait alors la fatalité. Ce n’est pas comme ça mais à moi je ne peux pas en vouloir, ni à l’autre, ni à celui qui a tout droit d’en décider.

Ainsi les destins étaient-ils lourds à porter.

Ainsi on ne se lancait pas dans n’importe quel danger(ce qu’on faisait à partir du moment ou psychologiquement dans une situation d’auto resposabilité on se trouvait.

§.300.

Idée qu’un esprit peut recevoir un corps par le combat de la maternité.

Esprit.

Enc 1

§ 1.

Elle faisait toute une hystérie d’une situation. Elle la retournait de façon à aggraver, à dramatiser, à falsifier certains aspects pour arriver aux résultats de n’être que par eux préoccupés.

Pour que le drame sous terrain qui la hante puisse prendre des airs d’être oublié.

§ 3.

Bercé par l’énergie qu’apportait nos idées.

§ 4.

Ainsi on peut par l’intermédiaire de comportements caricaturaux.

Compenser, remplacer par l’intermédiaire d’un individu.

Du père, de la mère, de l’enfant enfin autant de rôle qui ne sont des rôles

Afin que soit symbolisées des personnes distinctes.

Personnes distinguées car besoin de la communauté à ce que différentes.

Capacités, potentiels et espaces exploités soit attribués.

Se différencier puis se singer.

Capacité d’un groupe consistant à se déployer et se regrouper.

S’armer.

§ 5.

Il lui disait (fleurise) féminise (flétrisse) toi il essayait de provoquer des réactions en elle.

Qui fassent qu’il ne l’aime plus.

Qu’elle agisse pour lui que lui n’apprenne plus (ce que lui même voyait).

§.6.

J’étais à tous les carrefours car c’est ce qu’était ma vie

Récolter la force prêter main forte et je l’étais pour cela.

Tous les drames pouvaient, se dérouler de se comprendre

Ma présence, ma neutralité (assumer par mon déjà ressemblant, mon objectif tout ne visant rien)  le permettait.

Dieu on m’appelait.

§.7.

Pomme croquée.

Verge. Verger.

§ 8.

Il faut en connaître d’une épreuve pour savoir comment la préparer et avoir les choses en mains et de moins en moins avoir à se charger.

§ 9.

Ce n’était pas du tout celle là ma pensée complexe mais il fallait absolument que je me trouve à l’élaboration que j’en avais fait.

Il fallait absolument que je m’en trouve à la conclusion de la meilleure solution qui m’apparaissait. Celle là même dérivée de toutes ces expériences venant de partout à chaque fois retracées, retraçant, m’ayant amenées là, de toutes ces années.

L’on pouvait en faire la synthèse, alors j’en disais n’importe quoi

Pourvu que cela me maintienne vers les actes qui pourront se faire passer

Comme étant ce qui me conviendrait.

§.10.

On avait l’impression de faire des actes héroïques mais quelles étaient les erreurs qui nous y avaient conduites. Quelles étaient celles qui faisaient qu’encore le mal avait suite.

Quelles étaient les solutions sages de fuite.

§11.

Elle me faisait des réflexions comme si elle n’avait pas lu ce que j’écrivais.

J’avais l’habitude de n’être pas lue.

De cette condition m’échappait donc l’art de l’explication.

Ce qui manquait n’était pas de l’avoir dit mais approfondi.

§ 12.

L’expression de la rapidité de l’automatisme de l’intellect.

Mémoire et pratique.

Jusqu’à ce que la chose ne devienne plus un évènement mais quelque chose qu’on prononce sans penser à ce qu’il contient, ce qu’on fait et que l’autre ressent.

Un comble.

Qu’est ce que cela pouvait-il bien illustrer ?

Qu’est ce qui en parallèle de cela vivrait ?

Qu’est ce qui au travers de cette description allait interpeller ?

§ 13.

J’écrivais simplement ce qui se passait et si à la fin de cela.

Il fallait trouver le mot , la phrase qui lui enleverait sa platitude,

C’est à dire la similitude avec le monde de celui qui le lirait.

Qu’est-ce que cela pourrait-il bien illustrer ?

Qu’est-ce qui en parallèle de cela vivrait ?

Qu’est-ce qui allait au travers cette description interpeller.

§ 14.

Le rôle de représentation, comment se situer.

S’émarger de toutes les dualités.

Dualités qui dans un monde ou on à besoin de cette représentation.

(Représentation de son intelligence, de sa force, de quelque qualité que se soit) pour n’être éliminé, puisque société inégalitaire.

§ 15.

Faire les choses volontiers, non qu’elle nous plaise ainsi puisque c’est l’amour qui peut s’installer.

§ 16.

Le comportement est la maladie contracté pour faire semblant de s’y être fait.

§ 17 .

Demander franchement les choses, aller directement vers elles.

On les              pas mais au pourquoi de l’           on accédait.

La substitution, et ou l’évolution familiale que cela impliquerait.

Ne pouvait être que plus approprié.

§ 18.

La difficulté de tous.

C’est d’avoir quelque chose à faire accepter.

L’exclusion pendant au nez.

Eclairement à condition que tout acte comme un soleil à révéler se voyait.

§ 19.

Un être s’occupe pareillement de toute être et toute idée tout phénomène ou communauté ni sexe précurseur trans-sexualité effacement parfois différent égal indépendance face répartition :

Du rôle éducatif.

§ 20.

Les êtres qu’on croit comme saint de sexe n’en ont pas.

Idée. Communauté religieuse séparé = distinction de sexe – asexualité.

Plus de question sur le rôle vis à vis de l’élevage des enfants mais prier est la pensée donnée au monde.

Même être s’occupe pareillement de tout être tout phénomène et toute idée

Ou communauté ni sexe, précurseur trans-sexualité, effacement        différence = indépendance                    répétition rôle éduquant.

§ 21.

Un péché n’était acceptable que parce qu’on savait les raisons pour lesquelles on n’avait réussi à le repousser et d’en constater les conséquences mais pouvoir se dire je jure qu’il sera le dernier.

§ 22.

Son extrême maturité devait me prévenir aussi que pour être ainsi au courant il avait fallu en voir de toutes les couleurs et qu’avoir vécu ce genre d’aventures signifiaient être passé à coté d’autre.

Explication de comment mon amour elle me voyait.

Comme ces choses qu’il fallait petit à petit redéployer.

Petit à petit bien que gestes après gestes on ne fait qu’essayer.

§ 23.

Tenir compte des leçons pour jamais  ne se retourner.

Regretter c’est vouloir les retenir et n’être plus qu’à se demander

Ce que sans il en aurait été.

§ 24.

Le sport est la possibilité d’utiliser dans la journée ce qu’on à ingérer de trop comme quantité.

Une manière de réajuster.

Toujours valable car la prévision dans les meilleurs moments ne peut-être exacte puisqu’il arrive des surprises dans comment les choses vont se dérouler et avec elles les éléments qu’on va pour elles brûler.

§ 25.

La réflexion en cours avec des gens autour.

C’est à dire devoir compter avec leur mouvement comme support à nos sens les plus explicites, direct.

Compte sur l’absorption et le rebondissement de ceux là dans la gestion de notre conscience = répondre à la question

3.   Mis en sécurité.

4.   Mis dans l’optimisation.

Meilleure position pour collecte d’infos.

Et devoir compter sur cela pour garder ses concentrations, profiter du mouvement extérieur de l’émotion inconsciemment inspirant pour son œuvre continuer.

C’est à dire de l’environnement L’IMPREGNER.

§ 26.

Et apprendre à son endroit à toucher sans visée.

Elle s’empreinte et selon les         pouvoir foncer.

Selon le rythme de la pensée en liaison avec le rythme.

Extérieur- S’inter-exciter.

§ 27.

Ne pas pouvoir s’en instruire.

Préoccupation première si pas réussir dans l’amour.

Et le développement d’une spécialité, d’un travail.

Objet. Pognon

Pognon. Instruction.

Accession.

§ 28.

Dire quelque chose avec force car de le dire et le refaire.

Sans profondeur épaisseur construire.

Ou dire quelque chose en passant.

De nouveau fruit de la conclusion.

D’une succéssion d’acte.

La recherche d’une étape déterminée, un point précis dans sa quête.

Ou les mots qui sortent comme étant une respiration,

Le cri d’un état.

§ 29.

Avoir fait l’action la plus absolue.

Permettait de pouvoir se retourner dessus en se disant.

5.   L’analysant étant tranquille pour ce jour,

Considérer le sujet de plus loin faisons toujours valable pour avoir choisit l’option.

6.   S’en servir comme moteur.

J’ai eu raison.

Pas de processus destructif de culpabilisation.

S’arrêter à l’irréversible car partir du principe que cela a ouvert la situation.

§ 30.

Partage et circulation de l’énergie.

Parce que ce qui nous anime peut et va venir de toutes les sources et à toutes autres aller.

Parce que cette circulation n’existe que pour tous et tout se rejoigne.

§ 31.

le psychisme est obligé dans toutes conditions, d’exprimer tout sentiment,

Puisque pensée devenant indépendante si de tout on peut tout.

§ 32.

On ne se rappelle pas exactement quelqu’un mais ce quelqu’un est pour nous ce qu’on a partagé de nos instants.

On part de qui est l’autre si on le voit toujours qu’avec nos propres yeux en

Même temps ?

§ 33.

Reste tout ce qu’on ne sait pas justement.

Et si ce que je ressentais de mon

Corps, nourrissait la force du vent, ou

Veille de mon ordinateur et son clignotement.

§ 34.

La nature.

Qu’est ce qu’au début pouvait-on bien se dire ?

§ 35.

Etre                c’est ne rien se céder ou se refuser.

§ 36.

La perte de nos sens.

Parce que peur de l’allucination.

Hallucination = différence entre ce que les autres (…et…) nous disent

Qu’ils perçoivent.

§ 37.

Différent point de vue.

Sensation.

Concentration.

Sujet.

Complot et cachotteries.

§ 38.

Elle répétait sans cesse la même phrase.

Simplement car d’autres réponses à cette perpétuelle

Question elle, on cherchait.

§ 39.

Une femme.

Je le choisis comme papa.

Parce que lui.

Et ma femme l’avait choisi.

§ 40.

Choix de la procréation.

Est un enfantement en premier lieu.

Lequel, de nous, avec l’un de nous serait.

Le couple. Quelque chose qui naît.

ENCADRE DOC 1

FIN.

§41. A retrouver et déterminer position.

Ce n’était pas du tout celle là ma pensée complexe mais il fallait absolument que je me tienne à l’ élaboration que j’en avais fait, il fallait absolument que je m’en tienne à la conclusion de la meilleure solution qui m’apparaissait celle là même dérivée de toutes ces expériences venant de partout m’ayant amené là de toutes ces années je ne pouvais à maintes fois rattraper alors j’en disais n’importe quoi pourvu que cela me tienne vers les actes que tout cela me fait passer comme étant ce qui conviendrait.

§ 42.

Ce qui me protège de l’éventuel processus destructif de culpabilisation

S’arrêter avant ou ne pas se laisser impressionner par l’idée de l’irréversible car partir du principe que cela a ouvert la situation.

ENCADRE DOC. 2.

E 1. page 10. Doc 2 . à peprendre avec CAROLINE.

Son amour de la matière.

La consance de l’esprit face à un déjà à former.

Etabli les règles constantes permettant d’analyser le changement.

D’apprécier le mouvement.

Que toute énergie extérieures soient apporter à la prolongation de sa réflexion.

E 2. Page 19.

Destituer.

Renard.                                   – ré narre.

Sacripant.                    – sacre y pend.

E 3 Page 32.

Ce déséquilibre vient que l’on s’assoit une logique qui fait un temps pour que les autres saisissentet que nous nous aapuyons sur l’autre pour s’assurer de sa portée.

E 4 Page 64.

Menace sexuelles.

Car écrase maternité.

Quisque femmes élève enfant si la matrenité prenait la place qu’elle devrait.

La femme serait devenue personnage tout puissant. (Exact !)

E 5 page 68.

Simuler la bagarre.

Simuler l’handicap paternel.

Barre-toi. Abandonne-moi pour qu’avant que tu le fasses quand j’en viendrais à mourir sans toi.

E 6 Page 69.

Jugement = fantasme exprimé = ce qui –        – être cerné = la formation, l’expression de ce qui se trouvera être prochainement à neutraliser.

Jugement = prochaînement chose à prévenir.

E 7 page 84.

Je ne veux marquer de ce que je considère comme des signes car il deviennent signes si

1 . Ils confirment.

– qu’est-ce qui est terminé ?

2 . s’ils s’accumulent.

Bien qu’un signe ne peut avoir de valeur s’il peut imperceptiblement varier car les choses elles-mêmes ne peuvent la même chose deux fois signifier.

La recherche du signe, du sens.

Increusable tout pas encore trouvé.

Et je les oublie, j’oublie leur ordres d’arrivée. Eu OUI car maintenant je suis ce qu’ils ont dit qui arriverait.

(M’ont ammené.)

et puis je n’y repense car serai que ferais-je de ceux qui viennent.

Il me faut les voir.

Les croiser.

E 7 Bis Page 93.

La sensation, l’émotion ramenant des souvenirs. De la réflexion. Ce voyage dans le temps permet à l’esprit de se détacher des sujets de réflexion que nous imposait le présent.

E 8. doc 2 page 95.

Je m’occupe de cet oiseau. Lui enseigner mes expériences;

comment lui communiquer ce que je sens des diverse choses  nous entourant conjointement.

Grace à notre union, je revoyais, se refaisaient certains traits de ma vie.

A chaque fois que se reconnaissaient nos esprits.

E 9 Page 96.

La spiritualisation est un jeu qui transforme notre corps en sanctuaire,

En temple de l’extase et qui nous rend à le signifier.

(Art et le dramatique) toujours avec l’impression d’être vulgaire,

Fait à ce que nous donne la vie.

Comme de n’avoir qu’un plaisir celui de constituer quelque chose de soi, quelque chose de vivant (une famille ou son équivalent)

Mais l’impression de ne plus être quand on s’occupe de ce résultat,

Car ne plus faire fructifier cette plus value qui nous apprend à ressentir,

Et donc courir la sensation de porter la vie plus qu’elle nous coule.
De soi (activité relationnelle mais au concept via l’objectif certes mais dans une visée utilitaire, de performance ; le relationnel avec ce qui nous développe et élabore notre vérité de réparation-  se réapproprier, accepter (la) nécéssité qu’(que l’)autre avait éprouvé.

Travailler = donner.

Essai de communication.

Transfert (d’) N.R.J.

E 10 PAGE 98.

Pour ne rien oublier.

Se préparer tout le temps.

E 11 page 100. 

J’avais l’aisance d’une danseuse.

Une heure de danse. Je faisais cela.

Je me reconnaissais en cela.

Art-Partenariat.

E 12 Page 102.

Voyage dans le temps.

L’animation que le retour à l’idée produit.

Conscience de l’autre.

Conscience de soi.

E 13 Page 109.  

On se charge en émotion.

On s’occupe de l’autre .

Ainsi face aux problèmes on se sent responsable, agissant. Le problème  met en situation d’échec, d’impuissance ou force à se déconnecter de ce qui est en train de se passer. Trouver des raisons, se retrouver comme support à la réflexion.

Au fur et à mesure donner un objet.

E14 Page 119.

Entre deux points. Leur jonction, l’énergie naissante.

Sur l’équilibre, elle repose et se dépose lorsqu’en mouvement.

E 15 Page 120.

La performance tiendrait à apporter exactement ce qu’il faut dans le champ qu’on cmopte explorer.

Recherche.

E 16 Page 150.

Les gestes parasites sont en fait des gestes que l’on a inscrit dans notre pratique quotidienne et qui en se déclenchant permettent au corps des  gestes qui le détendent, qui l’assouplissent on à l’esprit de ne s’embarrasser

de pensées inutiles ou qu’on compte éviter.

Ces gestes deviennent parasites quand on pense à vérifier si les clefs sont là alors qu’ont le sait parfaitement, qu’ont est soulagé d’exécuter ce geste, afin d’allonger son bras, sa main (en même temps que sa nuque ou son bassin) et qu’une fois fait on vérifie les clefs alors que le but réel n’était pas là.

E 17 Page 159.

Représenter quelque chose d’unieque est une mise en danger car comme toute ré^résentation de quelque chose elle n’englobe tout.

Et tout puet sentir (vis à vis) de cela comme ayant intérêt à riposter.

Comme toute chose réprésentant un esprit de toute vie.

E 18 Page 159.

La rencontre avec les autres mondes est la révélation de combien réduit le sien.

A ne pas lier, l’avoir faussement interprété.

A se préjuger, se condanner.

Se tue-t’on ?

E 19 Page 166.

Se plonger dans des haures et des heures de rélexion était le moyen d’individualiser la création. Filer les application qu’elles avaient des méconnues, des êtres, une vie, une autonomie (et c’était qui gravite autour voir se former.

E20 Page 171.

Les signes.

Je ne les calculais plus, je ne savais où j’allais et pourtant sinon était juste (c’est la vue alors que j’en aurais) ils feraient partis de ce qui me menaient à la vérité.

E 21 Page 176.

L’art.

7.   C’est ma vie raconté.

8.   Je me reconnais.

9.   C’est les vies que je ne savais.

10. C’est la vie que je pourrais.

E 22 Page 184.

Il fallait que j’arrête ces écrits relatant qu’aucun geste n’avait d’autres portées que de l’énergie portée.

Ou alors ceusx qui pathologiquement penseraient ou bien pour qui serait bien que son émition lui prouve que les idées sont faites pour changer, mais croit encore que l’autre lui peut du mal.

S’en méfie.

E 23 Page 203.

Inceste, violence,………..

Rien n’est arrêté mais au moins n’implique que le chef de famille. Et enlever le droit aux autres permet que tous se taisent

C’est à dire évite les guerres intestines, au cas ou plusieurs auraient responsabilité, si la légalisation de la violence permet.

E 24 Page 205.

L’annonce du Messie, comme instauré programmé.

Afin que l’imposteur que nous sommes tous potententiellement

ne fauche sa place.

E 25 Page 207.

C’est pas que j’avais pas voulu la vie de

Famille mais je n’avais pas le temps de faire commodément cela. Alors qu’on ne vienne pas m’emmerder sur la tenue de ma tanière. J’aurais voulu aussi le beau petit appartement aussi moi.

Mais bon comme à force de m’occuper d’autres choses, je restais sans plus pouvoir bouger.

E 26 Page 210.

Loin de mon ordinateur ou de mon crayon.

J’ai peur qu’évite une idée.

E 27 Page 218.

La théorie de la race.

Ou espèce de rivalité.

C’est pour cela que l’on dit

Les envieux demeurés d’âmess de bambin, etc….

Théorie cela a bien être en plus heureux des sourires.

C’est avec celui là qu’il couve sa prochaine maladie

Toutes les couches de la population.

E 28 Page 220.

Toutes les comètes de la pop.

E 29 Page 221.

La patience permet de réfléchir non

Pas à son emportement

Aux conséquences mais aux causes et de l’une à l’autre ce qui nous permet d’arrêter un processus, un procédé.

E 30 Page 224.

L’amour de ce qu’on fait, quand on peut le faire au mieux.

On ne déroge pas.

Ce qu’on peut faire au mieux nous dominant au plus de subsistance à l’existence.

Etat d’esprit ou la question existentielle n’étant que pour donner vie moins à croire réside en moins ce que la mort

N’ai plus de secret pour toi.

Ne plus craindre rien, ni même soi.

Tout les gestes me libèrent et cette liberté me porte sans cesse.

Si elle reste en moi.

E 31 Page 224.

Elle croyait que je lui avais dit même pas mal parce que je ne l’aimais pas.

Pour pouvoir aimer quelqu’un il fallait tout d’abord que.

La douleur n’est pas de prise sur soi.

Le tiers – l’autre – l’objet.

Pouvoir l’autre faire.

Se voir réagir tout pour l’analyse.

E 32 Page 233.

Ce ventre plat. A ses entailles à fleur de peau et circulation.

La gestuelle. Le mouvement ; faire voyager.

L’esprit dans le temps. En elle toutes les possibilités.

Doit être capable de tous les retournements. Prévoir pour m’avoir à guérir. Ou guérir directement.

E 33 Page 236.

Pouvoir changer de manière.

En emboîter une autre.

Fantaisie du guitariste qui ne voudrait lâcher sa guitare que pour dormir

Et si ça mais n’a plus besoin de repos.

Est ce qu’il dormira.

E 34 Page 238.

Lépuisement fait qu’on peut se ré énergiser en n’ayant aucune concentration à avoir afin de n’être perturbé par l’environnement.

Autimatiquement le résultat du sommeil.

Qu’est-ce que la mort éveille.

E 35 Page 243.

Pédophilie.

Opportunité, sexuel, corporel,

Forgée et dont il peut par l’accoutumance

Aux gestes de violences croire

Que l’autre est dans l’acceptation.

E 36 Page 251.

Pouvoir regarder quelqu’un avec envie,

Car l’autre est l’inspiration.

Mais pouvoir n’en ressentir de désir.

Car est convertit en Action.

Qu’il nous auras inspiré.

Jalousie.

L’est en fonction de l’aide qu’on peut.

Procurer, que les aides dont on à.

Besoins peuvent arriver.

E 37 Page 252.

Il m’avait fallut le voir sur l’autre pour m’apercevoir

Que j’aimais et donc refiler cette expression,

Qui venait d’un autre.

Cette conscience de le donner amenant

La conscience de ce qui m’avait été donné.

Le don de l’utiliser.

E 38 Page 264.

Apprenant à copuler devant la télévision.

Ne marche pas sympathique de nos sociétés.

Virtuel.

Servir encore d’inter activité.

Est quand rapporte prétention télé-visuelle.

Fin des enc 2. (Révisé.)

A reprendre a l’avenir les manquantes pour panne de Compact.

Encadre DOC 14.

§.27.

L’expérience = Habitude aux changements.

Ne plus prendre le changement comme un coup du sort mais d’une chose dont il faudra sortir.

Modification.

Prendre le changement comme une épreuve en constant, c’est à dire le prendre à bras le corps maintenant.

Stabiliser son comportement. Ne pas tomber dans la dépression, dans la terreur, dans l’erreur, le découragement.

Chaque problème à la résolution de celui qui vient = celui que l’on considère comme vraiment principal.

Participant.

§.34.

Apprendre à ne pas être perturber par l’autre.

Pour que son amas d’informations puissent continuer à influer, tout en continuant à réfléchir de son côté.

Ne pas tenir ni l’une ni l’autre des sources.

Inspiration sans interruption.

Conseil motivé ; alimenté.

§.33.

Il se sentait diminué.

C’était l’age qui à tout le monde apportait cette idée.

Le fait même de changer et que ne donne jamais longtemps l’adaptabilité.

Je ne pensais pas cela de lui.

Qu’il puisse s’y sentir assujettit.

Pour moi le sur homme.

De ne l’avoir compris.

L’illusion se  portant sur l’être aimé, ainsi on a le temps de le repenser (et de le soigner) toute sa vie.

Mon parent. De la racine, à la tête, à l’esprit.

§.35.

Donner la solution, la recette à l’autre.

Toujours chercher.

Partir à la conquête.

Problème une fois fait, remise en question. Qu’est-ce qu’on fait.

Vie et danger. (youpi)

§.36.

La conscience du geste que l’on fait.

Par la technique, l’expérience.

Tolérance, persévérance, redondance qui conduit à tout lui donner, tout y voir.

Le pouvoir de soi même se dresser.

A soi s’adresser.

§.37.

Ses mains étaient magnifiques.

Bien sûr c’est à elles qu’ils pensaient.

Dans le statisme qu’ils vivaient.

Par elles qu’ils soupesaient.

§.38.

Faire la démarche de.

Pouvoir sentir ce qu’implique.

Y renoncer.

Ou modifier.

Ne pas en plan laisser, essayer, réfléchir entre les étapes.

En chez ne ment.( tu ne te serais pas plante quelque part ma cherie ; enchainement)

§.44.

Dans la pauvreté on parvenait à oublier que ce n’était pas par pitié qu’un plus riche pouvait nous regarder.

Être regardé par admiration.

Oublier ce que notre vie avait compté.

Tant de choses qu’il fallut surmonter.

§.50.

Donner corps au mouvement. Y investir l’N.R.J.

Afin que le flux se stabilise, se régularise, se focalise.

§139.

Dans un milieu différent, les gens nous regarde étrangement.

Comme notre arrivée, ils nous apprennent à constater la nouveauté, ainsi demandant qu’on nous réponde à ce que cela suscite de questionnement.

Mimétisme.

§.141.

Une machine de muscles et de nerfs.

L’animal à l’œil nu.

§.143.

Exultation du sexe.

Retombé car n’amène rien sans amour = tout donner.

Exaltation car tout le monde concerné.

Dans une activité personnelle reformée.

Aussi englobante que l’envie

§.144.

Etre dur avoir tellement douillé.

Avoir peur des changements comme de la menace d’être tiraillé, écartelé.

D’être formé.

Devoir se transformer encore en quelque chose d’obligé. ?

§.145.

Se délecter de sa faim car elle rétablit ces excès passés.

§146.

Peur froid = personne ne meurt d’une douche à peine tiède = au contraire.

Nos corps préviennent si encore plus froid problème.

Quand on doit prévenir le corps qu’il n’a à s’inquiéter, la tension va se stabiliser.

Peur du froid = gèle = mort.

§.169.

Seul ? Qu’importe le vieux s’inspirera des mouvements que l’on fait.

§.170.

Vivre est communiquer.

Communiquer consiste à exister, à interagir – faire circuler une information, une énergie, des éléments.

Sans se sentir mourir.

Encadre Doc 15 .

§.277.

Emporter le secret de l’existence avec soi aux yeux des autres.

Mais bien sûr elle ne nous laissera partir comme cela.

Encadre Doc 16.

§.355.

Sexe faible.

Car convention par être un devoir par rapport à ça.

Protéger.

La femme convoitise, pourvoyeuse d’armée.

Petit = celui qu’on peut dresser.

§.358.

Le temps de la narration permet de dire et de sentir ce qu’on va développer ou non. Préparation à l’implicite du texte le non dit par non temps, de l’installation on dit en lecteur que l’auteur lui même se sent encore sur le sujet trop ignorant.

§.359.

Le regard est le miroir de l’âme car il indique à l’autre où nous regarder, ce qu’on met en avant, la sensation qu’on contrôle ou peur par laquelle on est jauger.

Doc 17. enc.1.

§.4.

L’imagination réelle à la question.

Ah ! sers-je au monde.

§.7.

Qu’est l’autre à mes yeux et les meilleurs hommes qu’ainsi me paraissent parce que lui loge à soulever

§.31.

La mort faisait mal, de ne rien pouvoir y changer.

On ne peut changer ce qu’on ne connaît.

La mort ne pourait donc être ce qu’on disait qu’elle était.

§.86.

Elle disait n’importe quoi .

Des trucs que je savais.

Ou insensé.

Ou qu’on c’était déjà dit vingt fois.

Mais c’était une sorte de mise, en scène, en valeur, en action.

C’était me montrer comment elle était quand elle pensait à moi.

Son esprit vagabond, elle le gardait quand les gens n’étaient plus là.

Je fini par aimé, adoré, savouré et l’essentiel perdu de la graine, passant par là.

L’intelligence ne subsiste que si elle ne perd pas de vue la grossièreté de ce qu’elle sort.

§.91.

(Choire) Chois – y.

La mort dit de la vie qu’on ne sait jamais.

§.110.

Connaître quelqu’un parfaitement c’est faire que la mort ne sépare plus rien.

La mémoire est continuer à le comprendre.

A sentir ce qu’en soi l’autre, le temps ne cesse en sème ?

§.194.

Le port du signe ( informe en tout genre) représente pour l’individu l’emblème de toute l’autorité, la difficulté, le combat (implicitement pour tous même si que conceptuellement  retardait) de sa communauté. L’uniforme lui rappelle que sans lui toutes les responsabilités et habilités (habilitations) et paramètres à perdurer endurer ; contourner l’uniforme est le spectre du devoir et du droit que l’adaptation des sociétés parmi les autres sociétés nous force à observer se tapir, revêtir, (se) représenter.

§.220.

Le couple jaloux.

L’est de ne pas voir que c’est tous les rôles qu’il joue.

Du père, de la mère, de l’enfant, du collègue, de l’événement, de l’environnement, de l’inconnu.

Ne pas penser être quelque chose de défini est pouvoir vivre un amour infini, recueillant tout.

§.243.

J’éprouvais la profonde impression de n’être peut inciter.

Je savais que l’on en veut plus, ne pas faire ça, car de l’autre côté les autres se disaient que c’est ce que je voulais faire qu’on avait fait.

Alors je ne ressentais plus rien.

Je savais que cette sensation là il ne tenait qu’à toi de la faire dégager.

Je savais que le désir de vengeance ( de dédain, toutes les façons d’entraver quelqu’un) n’étaient que des moyens utilisés pour se faire croire qu’était utile cette rancœur (venue en fait de ne comprendre pourquoi le s choses ainsi se présentaient.)

DOC 18.Encadré.

§.87.

Il disait ne pas aimer le théâtre refusant de voir en lui un instrument d’expression. Cet instrument que tout le monde pouvait utiliser.

Il se serait douté que des choses parlant directement à son esprit.

Le théâtre tout les styles de gens, de reflexion, de style de vie pouvait s’y trouver, s’y échanger, s’y découvrir (dans le sens de la nouveauté, dans le sens du revenir).

Il disait ne pas aimer le théâtre car tout comédien qu’il était, il pensait que des textes qu’il aurait pris comme siens, il n’aurait pu trouver.

Vivement être vieux (pour pouvoir considérer tous ceux que je rencontre comme mes bébés.

Responsabilités.

Peut être en meurt-on ?

§.90.

La femme n’a pas l’instinct du violeur car elle s’handicape et devient à la merci lorsque engrossée.

§.194.

Le devoir d’apprentissage.

Analyser le geste de l’autre pour pouvoir le conseiller.

Intégrer ses erreurs pour pouvoir remonter jusqu’au cause et savoir quoi en dire pour qu’elle puisse s’arrêter.

§.195.

Donc porter un problème qu’on sait localiser grâce à ce qu’on l’a vu sur quelqu’un se manifester.

Savoir quelle geste nous soulageait  puisqu’on s’est analysé auparavant.

Comment notre bon état, lui se pouvait.

§.196.

Faire un geste c’est aussi faire le geste que l’autre devrait faire pour nous ou pour se lui-même soulager.

Puisque le corps, le sien comme celui de l’autre doit pouvoir se sentir (car telle est le propre de la sensation va et vient et pouvoir plus tard intervenir différemment

Analyse, amélioration d’un point capable de remonter jusqu’au trèfond de ce qui n’est encore soupçonné par rien.

§.232.

Notre poids, tente de se stabiliser.

Difficulté d’une conscience d’unité de son propre corps car ses différents points en relation, accrochés à différents problèmes de l’extérieur sur lesquels le poids va donc transiter.

§.250.

Comme l’équilibré s’ancre dans le sol.

Chaque point du corps en relation avec la structure et les articulations de –  – ou de tout support sur lequel   – – – -.

§.270.

Les silences entre nous deux devenaient beaux puisqu’on savait (nous savions) ce à quoi l’autre faisait seul mais donc pas. Puisque l’autre le savait.

L’autre alors devenait un pilier, un endroit d’ou on savait que notre action était su. Ce sentiment les émotions offraient un condensé de ce que nous avions vécu et aussi comme ça ils servaient.

§.274.

Les pêchers étaient des gestes que j’avais appris, sentis. Pour comprendre cela et me faire naître d’eux il me fallait avant les exécuter.

Capital.

§.276.

La promiscuité fait savoir à l’esprit que le plus intime de nos souffles, l’autre, tout autre peut détecter.

Et la promiscuité n’est qu’affaire de subjectivité.

§.293.

Faire les choses en un minimum de mouvement.

Avoir plus de temps gagner.

Faire les choses en un minimum de temps.

Les espaces rassemblés.

§.295.

La culpabilité ou la fatuité, vanité, c’est se dire que telle chose est à cause de ce que j’en fais  –      -.

Maman est décédé car ce matin là je ne lui ai pas proposé d’entrer avant le poisson (idiot comme idée)

Comme si Maman n’avait que moi à penser !

Attention.

§.307.

Il était rigolo car pour me bâcher il ajoutait que des trucs au moins circonstanciellement pas vrai.

Encadré Doc 19.

§.4

L’ironie était de l’humour se délectant toujours même si par malheur il fallait bien finalement le prendre avec dépit.

§.20.

Il fallait un entraînement quotidien pour pouvoir travailler ce qu’avait provoqué comme impression l’entraînement avant :

D’un jour.

De deux jour.

De trois jour.

Gain.

Combatre.

Ré équilibration.

Lien.

Le temps qu’on mettait dans le sport chaque jour était celui de plus en plus tard ou l’on pouvait encore courir.

§.27. On n’était plus dans le complexe du handicap.

C’est à dire que sa particularité n’était plus véhicule de douleur.

A partir qu moment où l’autre peut être à cent pour cent dans ce qu’il fait.

C’est à dire que les esprits peuvent se rencontrer.

C’est à dire (encore ?) que le mien alors il arrivera à expromer, à délivrer. (que de répétition.)

Et que d’un même cuop il comprendra que ma particularité est une porte ouverte que jeporte sur une autre dimmension (simplement pas encorre atteinte.)

Et que cela sur nous n’aura comme effet de chacun se permettre à installer nos –     – aux échelles qui fera que chacun ou pas- – pourra s’articuler.

La douleur fantôme.

Le handicap fantasmé.

§.39. (encadré)

Comme on aimait son toi !

D’être celui par lequel toute l’expression de se toi.

(Si l’amour pour la femme à l’homme appartenait.)

(Si l’amour pour l’homme à la femme ppartenait.)

§.40. (encadré)

Il fallait être aussi illuminé que les religieux pour comprendre de quel aveuglement = une lumière qui obstinément voulait éclairer (d’où ce qui éblouissait) d’un côté laissant dans l’ombre l’autre part.

§.50. (encadré)

Après avoir inventé la différenciation il fallait inventer la Parité.

§.52. (encadré)

Il critiquait mais ainsi se préraraît à voir ses propres boiteries et dans le moment même  où il formulait le problème son esprit un remède délirait.

Le problème énonçé, la solution restait, envisagé.

L’esprit ainsi se formait une conscience des difficultés auxquelles il devait faire face.

§.65. Encadré.

Les sorciers.

Toutes traditions, les manières de faire, de se manifester.

Tout simplement pour que les existences les unes les autres puissent se prouver, c’est à dire l’importance de se retrouver, communiquer.

Tous ces gestes de ressentis les plus affreusement.

Mais qu’est-ce d’autre que la vie que de tenter de se signaler, afin de naître partout. Darwinisme psychologique.

Mais puisque nous partageons et composons toute psychologie l’existence à tout ce que nous connaissons et accompagnons sans grade ni ordre de garder rattaché.

Je te prouve que je vis et devant nous ( l’émotion, le partage d’énergie.

La conscience de l’autre, de sa pensée, des montagnes que l’on représente (nous représentons) et qui sont ce sur quoi nos corps peuvent nos corps étendre et leurs appuis trouver.

§.133. (encadré).

Il m’avait fallu toucher ses muscles pour me demander comment les miens pourraient devenir comme cela.

Par exemple s’asseoir sans jamais courber le dos.

Sans jamais s’appuyer sur ses bras.

§.163. (encadré).

Elle était balbutiante, analysait tout et bien quand on tenait compte du peu d’infos  qu’elle avait mais voilà le plus brillant qu’on soit ou ne sait les tout et même si ayant petit petit.

Toujours des détails qui apparaissent comme tel et qui portant la signification des choses changeant tout.

Or ces détails s’oublient et on ne se le rappelle pas quand une autre info fait que maintenant ils deviendraient la clef de tout.

§.164. (encadré).

Il ne comprenait pas que mes moments dans le reculdevant nos sursauts, quand on a la force qui était en marche en nous on avait surpris, n’était pas la peur de trop aimer mais l’instant que je vouais à prier.

Ce temps (de secondesà dez années) qu’il me fallait pour demander comment faire pour toujour en être accompagné.

La prière d’ailleurs était un moyen.

Pour le suivre, fait que plus que dans mes souvenirs mais aussi dans ma réflexion, ma volonté ce moment soit encré et ait été utilisé. Ce n’est pas le genre de chose qu’on supporte de pouvoir brader.

Encadré de DOC 20.

§.8.

Le statut de penseur ne venait pas de sa position mais était l’emblème de l’être car de pierre. Le temps donné à la réflexion le mouvement suspendu.

§.10.

Soufler à la ligne de l’insecte.

Le voir, nous apprécier au lieu de devoir finir à tout prix.

§.16.

Le sexe dans le couple.

Le geste affectif et corporel.

Il était comme ces moments de la journée où tout le temps être affairé à ce qu’on doit faire progresser.

Naturellement le souvenir d’autres choses que ce à quoi on est attaché vient nous divertir.

Toujours d’ailleurs comme étant des informations nouttissant directement une avancée.

Quelque chose de pertinent.

Le sexe était Tabou tant que le couple s’était choisi et choisit ses possessions, les conseils quil reçevait n’existait.

Peu d’occasion, alors quelle que soit la nécessité de s’occuper. Masser les corps est : Journalier.

§.18.

La mort paraissait à l’esprit naturellement (à donner) à mesure que ce qu’on connaissait de la langueur du monde.

La mort était le seul moyen de ne supporter une situation jusqu’à la fin des temps (toujours ceux qu’on connaît. Pas plus loin que le jour même)

Faire mourir était alors la seule solution. Pour que son monde puisse changer !

Puis on apprend que la mort d’un, va faire mourir un autre et finalement nous tuer.

Aussi que ce qui est mal là serait la providence pour quelque chose à côté.

Question : Que deviendrait la mort si l’esprit ne la voyait plus comme une solution ?

§.20.

On devait avoir une notion de valeur.

Car c’était la notion de perte de temps, qui nous faisait, nous donnait la force de, dans la vie, faire des choix.

§.22.

Il préférait se faire passer pour un imbècile ainsi les trucs qui bougeaient, qui faisaient réagir les gens autour il n’en prenait pas la responsabilité, sachant qu’elle ne lui revenait.

Quelles étaient le fruit de tous.

Simplement qu’on désigne celui qui fut montré du doigt, celui qui prit sur lui la décision de revenir au même endroit.

Et à ce même moment regarder la même chose un individu) pour se rendre compte de comment après se dispatcher l’énergie.

Le pouvoir de regrouppement et de distention.

§.38.

Les trucs pour les abdominaux.

C’est de toucher son dos en éliminant.

En faisant masse sur le creux du dos et ne relever les épaules que si le dos est parfaitemeny ancré au sol.

Abdominaux plus massage colonne vertébrale.

§.40.

C’était me retirer des années après qui me plaisait, m’apportant ainsi la chance de me rectifier.

Les pertes de formes plus celles de fonds qui m’y maitenaient.

§.69.

Elle ne me comprenait ou me croyait.

Elle me faisait souffrir car je ne la comprenais ou ne la voyais.

§.73.

Reste lugubre tant que le but de toute vie d’être pour tout autre prolifique, bénéfique n’est achevé.

Le culte du lugubre car tant qu’elle ne peut rester lugubre c’est par ce biais là qu’elle doit être consacrée plutôt qu’ignorer.

Car consacrer n’est qu’une forme (donc modifiable) sans laquelle on décide qu’elle va être tentée.

Mais l’impact n’est pas le comment juste dépendant des circonstances mais de la décision consensuelle qui permet que tout groupe s’y attele donc puisse s’y constituer..

La force de la concentration étant de tout regrouper.

C’est faire que tout s’organise pour que ne dure plus le pleur du bébé.

§.76.

Le maléfice est rassurant.

Que la mort soit consacré !

Puisqu’en ne respectant la vie.

Sous des prétextes de la faire avancer.

La mort prend un aspect lugubre.

Plutôt que la nature continuant à s’acheminer.

Être tout le temps occupé avec la possibilité de planifier les choses c’est à dire de coordonner, d’enchaîner.

Qu’une chose soit faite pour une autre, en appelle une autre, fasse réfléchir d’une autre.

Sentir en soi les coses s’enchaînner, se dérouler, se constituer.

Cela apportait la possibilité d’une énergie appellée c’est à dire de pouvoir demander ce dont on avait besoin, pouvoir détecter ce qu’elle était d’où elle venait, comment s’en débrouiller (même si évidemment elle était complétement extérieure) mais avait pour particularité l’exigence stricte de répondre à un appel que notre connaissance (conscience, explorer) pour faire que cet équilibre( = l’élargissement, l’approfondissement de la chose) puisse en nous continuer ( = âme même des choses allant s’y rapporter, s’y joindre)

C’est à dire dans une logique de prolongement c’est à dire sans se couper de rien avant unité s’élargissante.

Son unité appelle un élément à s’intégré.changeant sans désavouer l’élément A pour que lui-même vive, naisse D.

Que dis-je plus d’élément mais une entité en train de se détacher !

§.81.

Administration.

Truc.téléphoner à plusieurs reprise jusqu’à trouver quelqu’un réelement capable (formé, réactive, de bonne humeur, motivé) de vous arranger.

Quand bloque un dossier !

§.84. Victime – Bourreau.

Le malheur de sentir qu’on ne représentait qu’un aspect.

Ne pas être à tout meler ou ainsi vu, considérer compris.

Le malheur restitué.

A quand ?

A qui ?

De le reconstituer.

A tous si on ne voulait le perpétuer.

§.87.

Accepter toutes les forces.

Pouvoir pourtant reposer.

§.128.

L’étude est de pouvoir associer quantité de chose à un seulement.

11. Travaille de mémoire.

12. travaille de réflexion – La logique les reliants.

13. L’innovation vient de cela. A

A, pour, par, sa pratique attire :

L’expérience, l’observation.

B – C – D – E –  –  –  –

H par pragmatisme attire : E – F – I – J – K.

Donc on s’aperçoit que si on retrouve E dans les deux même cas.

C’est que d’autres associations s’y trouvent aussi.

Les essais hasardeux mais toujours sensés et à même de trouver des résultats suivant font, aspects donc utilisation d’étude, de plus ample et structuré = durablement relié, étudiable, peuvent se créer.

§.129.

Les signes trouvent forcément un sens puisqu’ils viennent de l’extérieur qu’on observe particulièrement en pensant et en leur donnant une valeur symbolique de choses intérieures.

Les signes sont ce que l’on fait figurer au centre de nos questionnements et intérêts.

Ils sont là comme des bornes chargées de nous rappeler quels sont-ils ou on été.

Et ainsi véhiculant le cours de la vie, ils servent de repères parallèles à ce que fût les étapes de notre passé, de nos pensées.

§.144.

Quelque chose de visé, permettait à l’autre de se projeter, en même temps que de se calculer.

§.145

Penser à A.

C’était n’être vraiment en lui.

Mais opérer une transfiguration = ce mouvement là est celui qui m’inspire quand j’ai cette pensée = produire un mouvement identifiable par exemple par B.

Ce mouvement là, visible, pouvant visiblement alors se répercuter sur par exemple : C.

Donc à l’origine manquer de fissionner (ou fusionner [illisible]) avec C et tout autre lettre de cela constater.

§.146.

Et de sentir en lui quel effet.

Et de sentir comme-ça, ce qu’en lui cela reliait ou à l’extérieur de lui à quoi il pouvait.

§.150. Et conflit, tension.

Et quoi comme mouvement pour se réconcilier.

Conflit – S’être reconnu.

Et divisé.

Et le mouvement décomposé analysé.

Et le système pouvoir reconstituer en tout réadapter.

L’analyse. La décomposition – clef du mouvement qu’on pourrait perpétuer et perpétuel. Le temps que l’on faisait que son support puisse s’alimenter.

Et ne demeurait qu’une chose que dans l’équilibre des, aux autres choses qui se constituait.

§.155.

Le complexe de l’humanisation.

Combien demain serait-on.

Qui aurait réussit à se reproduire et que réussisse à se reproduire à son tour sa production.

L’impression de ne pas mourir.

Oubliant que l’esprit n’avait pas de forme, que partout en tout nous devrions faire que continu la, et de la notre vie.

§.157.

Je voyais en cela cet amour.

Mais en fait qu’est-ce que cela m’en dit.

Cet amour bien qu’il soit tellement de choses pour moi.

L’ai-je honoré si bien que cela ?

Est-ce en signe que j’ai été valable en ce combat.

§.159.

L’exitation sexuelle.

La mobilisation.

Quand on la ravisse, la vise, la dévie, l’envie, l’évite, est cruelle.

Car crée un faux mouvement.

Car cette énergie a rassemblée en un point hypersensible, toutes nos sensations. Voilà ce que son but est. Ca et seulement.

Cette énergie là rassemblant la force pouvant tuer autant qu’engendrer.

Le combat quand on meurt.

Le combat quand on est.

La jouissance donnant aux gestes un impact en délà, de la où ce qui paraît les supporter étaient.

Les gestes donnant un après.

§.162.

Le suicide quand la douleur devenait trop forte.

Elle l’était toujours quand celles des autres, du monde on ignorait.

Ignorant la façon même de la calmer.

§.167.

L’être traumatisé était celui qui sortant d’une quelconque torpeur, tombait dans l’agressivité en craignant que celle-c soit sanctionnée :

Peur.

Surplus regain d’agressivité.

Ou rentrer volontairement dans l’arrêt de communication. (Tiens donc ?)

(Se regarder s’écouter.)

Volonté de ne plus du moins pouvoir.

L’autre exister= porter des responsabilités dont on ne se sentait pouvoir les assurer.

§.187. Rentrer  dans sa vie comme dans un roman.

Se raconter des histoires.

Ou se préoccuper des sujets pour toute la communauté.

C’était s’assurer avoir toujours quelque chose à penser, réfléchir.

§.196.

2+2+2. faux.

Effet sur génération.

Effet kiscool, ce qui nous tombe dessus et demande étude et préservationdes études pour savoir comment se débrouiller de choses apprises bien que mortelles ou même de choses dont on ne sait pas comment elles sont là.

Pas le mal. Mais la difficulté à remonter et s’arranger.

§.197. (Encadré spécial en vie 12 New et select doc Dany.)

Je n’avais pas à faire ce geste là. (Moi non plus, et avant moi MARC encore moins : [Le bras d’honneur.].) Il était (depuis) longtemps une habitude.

Maintenant je pouvais m’en défaire.

Quand je pense à : que je peux  maintenant le remplacer par autre chose le remplacer va à elle ou à tout autre mécanisme qui pourrait lui en être formé.

Ce mouvement qui dans mon corps ou dans tout autre peut quand même se répercuter.

Pensé d’avoir été si souvent porté, expérimenté, accompli, senti.

§.200.

La croyance en la sorcellerie dû à la manifestation de maladie.

D’où venait-elle ?

On ne savait pas.

Mais seule la force de notre esprit de notre attention pouvait arrêter cela.

Qu’est ce qu’éprouve quelqu’un qui voit son être cher passer de vie à trépas sans savoir ce qu’il y a.

D’ailleurs cela a rendu nécessaire à notre esprit de prendre en compte ces réalités vivantes, agissantes sur le corps.

Ce souci fait que nous nous concentrions sur cela, et ou ira l’esprit lorsqu’ils n’aura plus à être là.

Où le repos de certaines parties (de son corps) l’ammenera.

Quels rondes s’ouvriront.

De ces guérisons.

§.219.

Etre chez soi son domaine.

Entendre les choses respiter.

Malgré les lieux.

Etait une activité de vivants.

La manière de le faire, elle, devenait enterrée, cachée, même des mieux initiés.

C’est ainsi que la vie se transformait c’est tout ce qu’on savait.

Et !

Le lien intime entre toutes choses qu’elle permet.

Tout est permis.

Se chercher et trouver.

Remet.

§.227.

A tester.

Attester.

Plus personne ne pouvait me faire du mal.

La vie n’était que tentative que de se faire du bien.

§.242.

Il lui était arrivé cela à 12 ans.

Et à ses 12 ans elle revenait dès que cela d’une façon ou d’une autre revenait sur le plancher.

§.241.

Clivage homosexuel.

Plus sexe séparé.

Permet à un groupe de ne pas virer à la partouze car partage de moment de vie à cela dans les esprits occupés tous à la même chose, aux mêmes endroits.

Conduit à cela sans pouvoir être évité.

§.242.

Il lui était arrivé cela à 12 ans.

Et à ses 12 ans elle revenait dès que cela d’une façon ou d’une autre revenait sur le plancher.

§.246.

Peur de la malédiction.

On ne raconte pas les victoires de chacun (dans la famille)

Parce que les esprits cogitent traumatisés.

§.247.

Point commun. Tous échangeons.

Stocke et perd de notre vie.

Mais le monde viable pour tout échange d’énergie.

§.248.

Bien sûr qu’il dépassait le maître puisque c’est en lui que le contrôle était.

§.250.

Le chef  l’est parce qu’il se donnait à l’énergie du groupe.

Celui qui en est le plus consciemment le carrefour et celui sur qui on a plus de support sur comment s’est-on organisé.

Cette intimité au groupe est aussi une garantie que le chef sent qu’a lui il est rattaché, donc sera prendre la mesure de ses responsabilités.

Sensibilisation au je suis ce que je fais.

Elle me battait pour s’assurer que je pouvais me protéger des coups et rester à la soutenir dans son agonie.

Elle me tapait pour savoir si elle pouvait ce qu’elle avait du subir. Où voir que subissait sans broncher.

Il fallait qu’elle s’assure que je sache qu’on ne sache quoi faire en ces moments durs bien qu’on sache que l’on sent.

Que cela n’est pas une histoire où elle ne puisse puiser .

Rien en elle ne sait faire que détruire. Si on croit cela c’est à sa mort qu’elle serait conduite.

Encadré Doc 21.

§.24.

Son trouble venait que je lui rappelais sa mère.

Mais ce rappel là faisait que comme sa mère envers loi elle se considérait.

Remarque : A être une mère, une mère ne lui avait pas qu’enseigné.

§.45.

Chaque moment de l’autre était une aide (en soi en tant qu’autre) à la méditation.

§.46. (Encadré.)

Devoir travailler longtemps permet de travailler posturalement – obligation de positionner très nettement son dos vers vertical.

Sensation intérieure profonde.

§.47. (Encadré.)

L’echec ne pouvait être échec car il suffisait de vivre les choses complètement, en sachant que chaque moment était une aide à sa vie, à la vie.

Un inséparable, irremplacable supplément.

L’échec ne pouvait être vécu comme un échec car n’importe quelle situation nous apportait un monticule de renseignements (aussi profond qu’on décide de les creuser simplement.)

L’échec n’est pas.

Mais est ce qui ne s’est pas passé comme on le voulait.

Autant d’informations à précieusement garder.

§.48.

Tout là, se tient la notion de destinée vivre tellement de choses pour ce qu’elles sont.

Les éléments qu’on a pour que le combat puisse se mener en soi.

§.51.

La psychose.

Entendre des voix des hallucinations.

N’est pas une question d’y croire ou de n’y croire pas.

Mais de vivre avec.

Ni plus ni moins ce que certains appelent halucinations est une simple discussion que l’esprit nous ramène.

C’est à dire qu’on ne doit ni plus ni moins les écouter, y croire, s’y conformer.

Mais sont des éléments qui comme les autres permettent de réagir, à faire réfléchir.

Une manifestation du monde, quelque chose qui est quoi qu’on en fasse plus loin (les endroits de pensées additionés) a amené.

Et pouvoir y réagir à l’infinité ; différemment puisque la réflexion est l’art de pouvoir tout continuer.

Et chaque série un nouvel enfant qui garde à la postérité tous ses parents.

Additif postérieur  l’enregistrement. (reprise)

Les sens, les perceptions et bien plus que le présent, et bien plus que celles présentes.

§.55.

Pourquoi je ne t’appelle pas tous les soirs ?

Parce que tu as peur.

Oui bien ça, facile.

Mais ce dont j’ai peur c’est qu’on arrive plus à distinguer nos priorités.

Il fait toujours dans notre recherchele plus dure et que ma moitié puisse comprendre les sacrifices qu’il me faut lui dévouer.

La plus belle des récompenses que cela fait. C’est de comprendre que personne n’a besoin vraiment de ce que l’on est.

La pire des épées de d’amoclès (Damoclès) envolée

§.56.

Je peux mourir mon amour, (car penser à elle était penser à tout ce que j’avais), en paix.

§.62.

L’aimer tellement.

Pouvoir baiser correctement.

N’avoir plus peur de mon agressivité car c’est la hargne de tout protéger qu’il me donnait justement.

Et tout protéger, n’avoir plus peur, transformer l’agressivité en puissance, en force d’accord.

Mais la peur d’être quitté par lui ne me rongeait plus.

Je savais l’amour trop grand, je me savais intouchable, forte comme rien capable de m’en faire douter.

N’avoir peur de la douleur – Car ce n’était simplement que ce qu’on ne parvenait à relier. Ne pas s’en croire personnellement l’objet.

Juste au centre; le problème vécu pour tout le monde était.

§.73.

Voir l’autre comme son égal et soutenir l’entièreté l’unité qu’il sont également

Elle      me défend l’entrée de son jardin jardin, qu’elle m’avait ouvert pourtant.

§.79.

On formatait les esprits.

Si on pouvait se dire que mon compagnon pense comme moi.

Alors du même coup je me sentirais prêt à le rendre heureux comme ça.

S-L.

Question que je ne me pose même pas.

§.97.

Et l’existence au sein du groupe en train de porter.

Dénié, charge à la personne de montrer la présence en elle du défunt et la présence dans la réflexion du destin.

Incarmer la situation à gérer.

Mort statufiante.

Constante autour duquel un code peut s’instaurer, une communication.

Communication = info sur condition = but existentiel de la vie.

§.139.

Elle s’occupait de sa mère comme si était était la sienne mais s’il arrêtait de s’occuper d’elle (De sa mère ou de la sienne) alors c’était leur couple même qui se dédierait.

Le couple c’était pouvoir s’occuper à deux de deux fois plus de choses qu’une seule personne ne le pouvait.

DOC 22.I. Voir Sélect Doc Dany. 

§.109. (encadré.)

Ne plus chercher ou dépendre de sa compagne de son compagnon.

C’est n’être plus servile de rien.

N’avoir rien à désirer convoiter.

(Jolie pensée CAROLINE !)

ENCADRE ; DOC 23.

§.21.

L’image voiture.

Du professionel toujours premier.

Jamais en panne.

§.66.

A quelqu’un que l’on ne reverra pas. C’est étrange comme en 2 ou 3 entretient d’1/2 h une personne peut être présente n’importe quand ?

Vous avez voyagé que je voyageais. L’amour fait que l’on ne quitte rien !

§.70.

Ce qui nous choque chez l’autre c’est le conseil qu’il nous offre et qu’on ne peut encore prendre pour sa part !

§.77.

Comme la voie vers l’éternité.

Infinitude et infinité.

§.78.

Aimer la difficulté comme on aime être en contact avec le temps qui va changer.

§.79.

Se moquer de soi même.

Permet aux autres d’en rire et d’en rajouter et enfin d’avoir une idée sur ce que les autres peuvent penser.

Et de là s’améliorer.

§.88.

Se sentir ensemble à une communauté car on passe tant de temps à comprendre comment le mieux s’en sortir dans des conditions donnes que les suggérer à l’autre engendre un lien de complicité.

Compagnons d’armes.

Les effets destructeurs du combat éloigner.

§.93.

Mais pourquoi partout de tant d’énergie m’emplissait.

Mais bien-sûr.

L’astre était aussi, les personnes qui à moi leurs rêves prêtaient, ceux qui sur moi veillaient.

§.94.

L’ UN E comme L’AUX  TRES

§.101.

L’écrivain note patiemment les idées qu’il a d’avoir écouté.

Celui qui lit.

De celui qu’il a lu.

§.109.

Adam et Eve.

Comme quoi besoin de personne pour s’éduquer, ni même pour éclore.

D’une façon ou de l’autre.

§.144.

Passer du temps avec celui qui nous aide à travailler.

Jouvence.

A Dada. (Merçi mon amour pour ce compliment)

§.148.

La tristesse, le sacrifice. La vie est savoir construire des choses sans pouvoir les finir.

Mais force de cette tristesse dans l’élévation de ce qu’on fait, pouvoir (se) réinvestir.

§.152.

Le paradis. (Au fou !)

Un endroit stabilisé, profitable souhait.

Problème = raréfaction de l’espèce.

Idée combativité.

Et risque par le milieu d’être absorbé plus ou moins qu’on ne lutte pour garder sa forme. (Afin de riposter)

§.155.

On est bien dans le noir, de se dire qu’il n’y avait pas de plus ténébreux.

Ainsi on désigne le mal, pour soi se sentir mieux.

§.157.

Le signe qu’on ne s’est y avoir pas assez mis.

§.167.

La place des opprimés, des torturés, parce que pour tout, comme dans les zones de non-droit.

Ils ont irréductiblement un nombre aussi important au sein du groupe que celui qui en est dit être le chef.

Irréductible.

§.173.

Conduire le jeune.

Être mort pour la vie redonner.

Le jeune qui va pouvoir prendre du recul et le système qui dévore, améliorer.

A l’image de ce que lui, aura apporter et non croqué.

§.208.

Avoi un art.

Le vivre.

Le faire.

Le protéger.

L’inculquer.

L’étudier.

Avoir la chance de vivre des vies différentes.

§.213.

On regrette sa vie.

Parce qu’on croit qu’on a manqué ou fait manqué.

Tout n’est-il pas en train de s’arranger ?

§.215.

Revendiquer c’est formuler = établir en soi ce à quoi on veut se (dévorer) dévouer (si tu veux)

Se dévouer = Être à l’optimum (au p’tit môme) de son art ! ? (grosse cochone va)

§.220.

Problème = un change qui s’arrête.

Morale ; Ne pas arrêter l’échange.

§.221.

Le sentiment.

Puisque chaque événement change la vie.

Suivant – conséquences.

Pouvoir de retraduction des expériences, vécus précédent.

Emotions fortes =Entre vie et mort.

§.222.

Et plus important que toute cette accumulation d’embalage nous menant tout droit  une pollution non plus menacante la longétivité de l’individu mais celle de toute l’espèce.

(Tu m’en fait une drôle d’espèce de con toi avec ta longétivité « Longévité ; abrutie »). D. PF.

§.224.

La femme interdite de vote.

Car s’occupe des gens, de leur intérieur géographique, psychologique, les lois à ceux qui combattent l’extérieur.

Pour qu’elles ne se départissent de la réalité des conditions d’expressions.

(Je parlais D’UN métro de retard ? Autant pour moi tu en as plusieurs.)

§.234.

Penser aux siens = ceux qui sans la mort nous suivent.

Permet de ne pas penser à l’espèce humaine. Comme nous ayant rejetté = Sans avenir.

§.237.

On ne réagit pas à ce qui nous est dit mais à ce qu’on croit qui sera.

§.239.

Contrôle et sans vrai possibilité d’en débattre ou de faire avancer. Serait trop dangeureux comme sujet en plus que la place des autres tiendraient à  ne pouvoir être résolues.

§.244.

Obligé de consommer des kilos de plastique ne serait-ce que pour l’achat de manger.(nourriture conne)

§.245.

N’avoir pas l’impression de toucher, de faire du tord à l’autre car de croire que tout d’avance est arrangé ou contrôllé.

Revient à dire aucune importance si je vole cela. Il te sera remplacé.

Mais puisque la condition sociale ne peut bouger et puisque tout va en découler ; Si tu es victime c’est par toi que je peux, les salauds, viser. Si tu es capable tu l’as bien mérité. Terreur paranoïde entraînant volont de prendre le pouvoir et donc de vouloir  tut prix gagner, et donc de manipuler. La compilation  la source de la paranoïa.

§.248.

Emettre une pensée est déjà connaissance à lutter philosophiquement contre sa tendance. (Faux = instabilité, incertitude. Manque de réflexion, de profondeur, de détermination, de maturité dans la pensée en question. Remise en, donc, question.)

§.280.

Avoir remédier = Maîtriser une attitude pour voir l’autre arriver, l’étrange conflit propose réaction, position qu’un avait eût, nous crûmes.

N’arrivait.

Race pour protéger intérêt d’un peuple.

Prétexte habilitation spéciale  = danger d’être exploité.

§.291.

Ne parvenir à s’aider de la difficulté. Ne pas avoir conscience du livre qui s’ouvrait ou se refermait.

De combien de douleur.

De combien d’allié.

§.292.

Apprendre de la difficulté à réagir avoir à se tenir prêt à sentir son potentiel sous forme de rage retenant à la vie menée.

§.293.

Il fallait la voir dans les autres pour comprendre que les autres même la rendait comme je cédait, la montrait. Amour chéri.

§.296.

Savoir d’une situation qu’il faut en profiter, de tout.

Parce que de bien la mener = en changer et donc bien savourer tous ce qu’elle peut nous apporter de réflexion  .    .

§.300.

Idée qu’un esprit peut recevoir un corps par le combat de la maternité.

Esprit.

Encadré Doc 24.

§.30.

Chocolat chaud aux mots accolés.

Alcool – est. (I)

§.32.

Mariage manqué homosexualité verifiée les parents et les enfants de l’amour à l’autre ne pouvait parler.

§.43.

Le noir fait peur.

Car l’esprit se demande comment devait-il réagir pour un ennui éviter, alors la tension à cela. Pour réagir très vite sentir le mouvement dans le noir (Symboliquement d’avoir à se battre contre quelque chose qu’on ne peut pas se représenter)

La peur.

Que cette pession ne soit pas utilisée, dégagée.

§.62.

Pour moi, à attendre ce moment Le temps s’arrêtait .

Voila ce que celà me provoquait Quelles pouvaient bien être les autres conséquences sur moi (différentes tenues) et ailleurs puisqu’il fallait bien qu’il aille se représenter.

§.68.

On ne voulait pas vivre avec les gens, ce qui supposait de nous, de montrer de l’accoutumance et de répandre la nécessité de s’habituer aux gestes que l’autre produisait. Les gens étaient des sources d’attentions, autant que les idées, les faits, les activités que l’on côtoyaient.

L’esprit ne pouvait pas faire tout cela en se disant que tôt ou tard il serait trahi ou obligé de trahir (= de se départir, d’abandonner, de décevoir).

C’est ainsi que son rapport à l’autre humain dans un rapport d’universalité à l’autre, l’adorement (= je rendrais visite et soignerais mon père même s’il pête le plus complet des plombs.

L’ultime est la seule forme d’équilibre convenant.

Le pourquoi de notre sauvagerie si distinguée.

§.71.

Les mots, les réflexions, que l’on prend mal, avec lesquels on se sent mal –  –   –     – parce qu’à tord on prend les mots pour soi, n’appartenant plus à une mémoire ayant traversée les temps (dépassée, de l’action, du vouloir).

Les mots, comme les êtres, les significations, les applications, et tout ce qui est du ressort de l’un – incompréhension n’être ni plus à l’un qu’à l’autre.

Ces uns et autres, dont on ne sait ce qu’il s’y trouve, dont on ne sait où ils se trouvent de toute façon.

§.72.

Fait entièrement à son art. Faire de soi des personnes.Chercher en permanence qu’elle piste a t-on à chercher.

Être obligé à l’honneteté fait à ce qu’on fait.

Car a-t-on absorbé toute la vie, de cette vie il se nourrit donc suivre ou ne plus suivre son filon.

Fait que l’on renforce sa capacité à renforcer mon énergie.

Oui ou non, cette recherche de la source la plus dense.

La même que dans le temps débonnaire.

Fait de nous des gens fiers.

Eliminés et pas rayés dans la –            – ?

Tout moment qu’on peut vivre bien est un moment mystique sur lequel peuvent reposer tous nos efforts et difficultés d’après et même d’avant.

Ah non. Aujourd’hui il n’a pas envie d’être rigolo.

Et les moments d’avant revivable émotionnellement car tous instants d’accomplissements, de profonds témoignages d’existences pouvant renaître à notre esprit ainsi, l’incalculable don de l’esprit donné.

Le rapport à notre énergie cela pouvant et refaisant.

L’existence est cette somme de combat.

Puis plus étrange  chaque (religion prouvant  la limite de ce que l’on croit et dans pourquoi la croyance ne s’arrête pas, la frontière toujours plus loin. Ou pas de frontière des fores qu’on ressert, ressent.)

La somme des combattant.

Et pourtant nous constituant tout autant.

Faire la somme physique des combattants.

Et pourtant nous y sommes tout autant.

Et pourtant en nous tout autant.

Et pourtant là tout autant.

§.73.

Je suis comme ceci, je fais comme ceci.

Et c’est comme cela que je l’ai rencontré. Je sais qu’ils peuvent être en défaut. Mais parce que je les sais aussi qualités.

Je considère mes traits comme des particularités. Je les considère comme ce qui est de ma vie.

Ce que je peux en fabriquer.

Et puisque la vie peut s’aimer.

§.75.

Il faut se transformer pour le contempler et l’être,

Pour qu’un paysage puisse s’admirer.

§.76.

Il fallait éprouver les conséquences de ses actes.

C’est à dire ne pas les narguer avec d’autres vélléités pour se rendre compte de ce qu’ils prodiguaient et pouvoir en toute conscience les améliorer, les proscrires, les doser.Il fallait donc un déjà épuré.

Pour que se construise un bloc sans faille,

ou donc les failles. Car interdépendance consciente de tous les actes faits, que puissent à volonté se colmater.

§.77.

Sans me soigner, je devenais plus capable de m’entretenir, entretien physique, mental, spirituel.

Et il me fallait le faire, car personne ne pourrait cela soulager comme moi les autres plus que je ne le pourrais.

Car nos émotions, notre rapport à ce qu’on était en train d’être de ce qui se passait pour aux autres (même donc relation) le rapporter.

Le rapport d’équilibre à nous même.

Le rapport d’équilibre à ce qu’on fait.

Sont bien heureusement des pasages obligés à notre longévité et empreinte de ce qu’on crée.

De la création terrestre, le visible, aux inspirations et mouvements célestes ; Invisibles.

Indicibles.

Car formes pas encore décelées dont on ne sait où l’esprit encore est puisque nos sens n’ont pas tout découvert donc pas d’élément à décrire et à savoir qu’inconsciemment c’est ce qui est d’ors et déjà et depuis les premières heures, de fait.

§.82.

Ces moments sans lesquels je n’aurais pas compris.

Tout évènements qui se sont passsés de ceux-ci

§.110.

Mon art.

La relation à l’autre.

C’était pouvoir cesser de me répéter.

Les choses soient, avaient été inscrites soit dans le résultat même de ce que je vivais étaient la preuve  même qu’elles persistaient.

L’obsession elles de les tracer pareille  ce que je les re et re ressentais pouvait cesser.

La mort, ma trace en d’autres lieux.

Changer de données.

L’usure qu’elles procurent.

Et pourtant toute la persistance, l’attention qu’on doit pouvoir administrer.

§.112.

Je me disais, pas la peine d’écrire.

Je l’ai déjà fait.

Mes écrits sont ce que de mon parcours, j’ai pu  moi même attester.

§.126.

L’individu cherchant son équilibre peut très bien marcher  la vitesse de celui d’un pépé, d’un enfant tout en pouvant plus avoir sa puissance libérée, renforcée.

§.130.

Facile la posie.

En elle tous les sens permis.

(L’essence.)

§.131.

Pour combattre la mauvaise humeur.

Il fallait admettre suffisammnt l’être.

§.135.

C’est parce que j’étais sienne qu’étais double tout ce qui était auprès de moi.

§.150.

Le poête fait des vers, transforme des mots, change de sons s’amuse de ce qui est déjà sur la palette de son papier, fait des mots, des nouvelles teintes puisque associés dorénavant et toujours tous différents.

Le poête crée.

Sa soif vient des mots en premier posé.

Il faut absolument les continuer, car sinon son oeuvre pourrait être poursuivie dans ce que lui considère comme n’importe comment.

Cette soif que ces mots se rapprochent, de ce que lui voudrait puis de ce qu’avec eux et son devenir, devenant du voyage , fait, fit.

(Maintenant que tu es partie les poêmes il ne faut pas rêver je ne VEUX plus en faire le 63 ième a été le dernier, comme un cadeau, en quelque sorte, à titre postume)

§.166.

La muse représentait ce qu’on disait de l’autre et le plaisir d’être là.

§.183.

L’agressivité.

C’est croire ne pas toucher alors que vivre est être en contact ne peut être divisé.

§.185.

Non pas que je ne me rendais pas compte de quoi, de quel sujet pouvais traiter les autres mais de conserver son énergie pour autre chose que cela on avait le droit. Ce qui laissait un momet de flottement certes mais à chacun tenait de ne pas se faire un problème de cela.

§.189.

Savoir qu’un jeune, je ne pourrais plus le masser, le caresser mais le savoir toujours sentant, raccroché à tout mes frissons, à toutes mes aspirations tant que j’y penserais.

§.192.

On parfaisait la technique.

Dans le sel but que les idées soit plus longtemps et abondemment diffusées.

Choix et chemin.

§.196.

Il ne fallait pas s’en vouloir de se sentir souverain lorsqu’on était débutant, la bonne voie est toujours vécue comme ceci même si on sait être encore puisque très disponible.

§.199.

La maladie d’Alzheimer apprenait tout simplement à son entourage dans quel état de transe fallait-il se retrouver pour traverser les évènemets qui nous avaient chqué sans cette aptitude à s’en dèconcter.

§.202.

Je savais qu’il ne répondrait pas à ma lettre. Non pas manque de politesse mais parce qu’il voulait éviter que je puisse quoique ce soit espérer.

Il fallait penser, cogiter mais l’image de l’autre comme par peur de l’action, de l’investissement on tentait par une image de ce fait emprisonner, ainsi donnait au mental une raison, une application, une idée sur comment était, s’était-il emelés dans ses propres croyances, comment lui – même s’aveuglait, se racontait des histoires pour finalement s’être tellement embobiné que de ne plus pouvoir bouger.

A la seule différence que chacun son histoire connaissait et donc garder intact les moyens à dispositions pour qu’une fois immobilisé, fil par fil on puisse se défaire parce que sachant de quoi c’est fait.

En gros se mettre en état, en position de responsabilité et de rattrapage face à la cata plus vécu, conçu que tombée.

§. 203.

Je n’avais pa à me méfier de mes qualités si elles paraissaient me mener dans l’impasse. C’est que l’exercice à s’en sortir aller faire que je puisse emprunter les chemins le plus vertueux verdoyant après.

§.209.

Quand ces hésitations sonnaient en moi comme une preuve qu’il n’osait su moi se reposer (et que j’allais pouvoir lui montrerque j’étais bien) Quand c’étit l’impression emporante en moi qui n’en croyait rien.

Elle n lui faisait pas l’amour.

aussi loin de pnser que son corps puisse ête un don plutôt qu’un fardeau.

§.220.

La vie des hommes n’était structurés par rien d’autre que par leur vie de famille et c’est ainsi qu’en droit tous puissent avoir un membre était donné. Ainsi le pouvoir en un, dans les mains de un était donné assurait soit une continuité.

Les choses ne pouvaient se faire sans lui elles étaient passées en fusion de lui du début jusqu’à la fin.

Soit si pas continu assurait alors la fatalité. Ce n’est pas comme ça mais à moi je ne peux pas en vouloir, ni à l’autre, ni à celui qui a tout droit d’en décider.

Ainsi les destins étaient-ils lourds à porter.

Ainsi on ne se lancait pas dans n’importe quel danger(ce qu’on faisait à partir du moment ou psychologiquement dans une situation d’auto resposabilité on se trouvait.

§.223.

La dévotion à son art doit combler (ce que nos efforts pourraient s’ils étaient mis en d’autres espaces à nous apporter) La création naît de se dire en dehors de sa table de ravail ça et ça aurait pû être fai (nécessire donc d’un rapport eterne à son art, une vue sur ce que l’atre peut réaliser) et donc puisque à ça j’ose penser, voir, pour cela je  me sers et comment en être éclairé, alors que cela se refuse dans mon atelier.

§.233.

Les signes dans la vie, arrivent.

Ils viennent, certains viennent Mais que fait-on de ceux qui ne viennent pas.

Un signe transporte ce qu’on lui a attribué déjà plus inexorablement à quoi dans sa nouvelle apparitionon le raccrochera (signe anonciateur mais rétroactif dans un – deux jours – 12 ans ouplus de 123 siècles de cela)

Le signe arrive les bons jours, les jours pareilsà chaque autre (sauf que peut être on compte demander en mariage ce jour là) [ Tu  t’en souviens  encore mon minou ?] Alors le signe sera un pic émotionel, réactionnel pour que s’empreinte à jamais cette journée-là. en fait c’est parce qu’on le souhaite que le signe deviendra.

Il est également une sorte de relativisme. Cartoute sa vie peut être convoyé par l’apparition d’une couleur.

– On ne peut se séparer de ce symbole.

– Si je m’aimais d’une couleur, je m’habitue à l’émotion, la conjure comme cela, je serais moins  troublé par la rochaine apparition de toute sorte.

– Il est l’instauration.

D’un rapport aux choses.

Puisque j me sers d’elle, explique les forces que je donne, je vois aux formes pensées comme non vivantes et qui poutant combattent.

je crée une sorte de pont, de terrain de négociation entre elles et moi.

§.234.

Toutes différences sont aussi ma main mise sur l’évènement. Mon interprétation libre, la modulation, la traduction qu’ainsi sort de soi.

§.235.

Et que dire des signes qui se passent et que je ne vois pas.

Ouvrez les yeux ouverts, se tenir à l’affût les gars.

§.244.

Nourrir, et être nourri par la communication, la force humaine.

§.245.

L’ art est une précision de ce qu’on connaît comme tout avancement dans la vie.

§.252.

Le guérisseur a comme spécialité le don qu’il partage avec celui qu’il va soigner.

Être sensible.

Avoir déjà combattu. S’être fait mal.

Et avoir gagné.

Donc pouvoir ressentir ce que en autre partie commune chez l’autre, comme chez soi il est en train de se passer, accéder à ça pour pouvoir apaiser.

§.255. Enc.

Préparer.

Je m’arrêtais de faire la tête, car le feuillet ayant été préparé avant que mon courage soit menacé, je voulais (parce que confiance inchangée) lui confier ce qu’elle avait pû couper.

l’échange comme cela (par exemple le chassé croisé d’une écriture à deux voix.

Répondre à la précédente avant de voir la suivante.

C’était mettre en avant ce que l’autre ne supposait pas, ‘attendais pas de l’un.

On s’offrait des continents à ainsi procéder.

L’autre devenait automatiuement le miroir de ce qu’on croyait de l’autre et forcément la marge donc juste comme celle où l’on se plante.

Ainsi que comment est-ce que l’on peut être lui.

Le doit – on se féliciter ou précision nécessite ou ce qu’o ne connaissait absolument pas.

cette part incompréhensible de ce qu’on croyait puisque justement va imbriquer quelque chse nous ayant dépassé et aynt pour conséquences invendable de nous échaper. L’autre est ce témoin, le rapporteur de cela.

Fin des Encadrés Doc 24.

Encadré Doc 25.

§.4.

Rapport Lardo – Braso.

Rapport distendu. Pas confortable car à situation imposé, toujours là même, alors on va varier les positions même si à la base celles qui posent problèmes dans l’optique de pouvoir s’en sortir de plus en plus indemne.

Posiion dans la position.

§.9.

La violence c’est que l’effort ne soit pas relevé.

L’étalage de ce que’on en a retenu. le résultat lui n’aparaissant pas de la manière escarpé.

puisque toutes découvertes, apprentissage, se parre différemment de ce qu’on croyait.

Mais c’est cette connaissance de l’être qui construit, (donc le contact avec l’encore irréalité) qui constitue ce que la connaisance en subsistance est.

§.23.

Je n’arrivais pas à exécuter l’exercice car mon corps était pêt à le faire autrement plus amplement, plus rapidement, plus décomposé, plus claquant , plus léger. Que sais-je encore ce qu’il avait à convoyer pour que la force qu’il porte il puisse faire aller et prendre celle qu’il lui fera dire bienvenue à la remplaçante via l’acte précédent.

§.24.

Cette impression de ne pas pouvoir car il était temps de savoir.

§.32.

Il vaut mieux que je jette quelque chose en un endroit pour qu’après je puisse me mouvoir, atteindre cet espace plus facilement. comme quelque chose de fixe sur lequel peuvent alors pivoter mes mouvments.

§.34. Attention encadré à l’initiative de Daniel.

Je pleurais, je m’effondrais.

Me rappelais tous les objects [ d’objectivité, du : {sujet d’objection.} (O.K.)], tout ce qu’elle avait touchée et qui maintenant pourris me la rapellait.

Mais pourquoi pleurais-je ?

Tout d’elle était plein.

C’était certainement de (me) le demander qui en fait me vidait moi-même me rendait chagrin.

§.35.

On va mourir. cette remarque faisait de toute expérience une passade. Et aussi que tout ce qui avait allait être, était en fait autant au courant que nous et comme nous n’allait n’allait pas le rester. Le respect de tout, l’adoration de rien .

C’est pour ça que les religions sont si flous.

Permettre à l’homme de faire les même choses en sachant que la ensée ne s’arrête pas, est toujours pus loin.

La pensée qui souffre mais qui sait que sa délivrance future et liberté nature n’est de pouvoir être contrainte.

§.40.

Le rapport à l’art !

J’étais différent sur une question si elle métait posée e que je devais y répondre du tac au tac (Ô râlement) que si j’avais une feuille un crayon ou de la terre glaise un scalpel pour y répondre d’une manière que je considère :

«Définitivement, quelque chose de, sinon complet, au moins d’achevé.»

La multiplicité des arts, mon ubiquité m’apprenant

§.42.

Se tromper souligne simplement le temps qu’on passe à penser. Et comme on le pense perdu on le compte en moins bien que de voir les choses se réaliser est imposible puisque l’objet (O.K.) est là pour faire que puisse se dépasser l’idée.

§.48. Enc.

(On m’a) Rayé dans le manuscrit.  C’est parce que j’ai été fuit pour mon infidelité liée à la non conscience du devoir de fidélité qu’on m’a retrouvé marié à elle.

Voir ma réponse en D.PF du 18 03 2006. 23h36.

§.50.

Je lisais le texte au 2, 3, Quatrième degré non pas comme cela mais avant il fallait que je sache ce qu’elle avait pû elle-même en écrivant en penser. Qu’avait-elle voulu me dire ?

Qu’elles étaient ses connaissances et ses projets.

La connaissance qu’on a de l’auteur est le relief et l’intérêt d’une recherche. Ainsi le lecteur analyse critique. Ce qu’on peut y trouver et ce qui ne s’y trouve pas.

§.52. Page 79.

Après avoir son corps tout débloqué de s’occuper de son sexe je voulais la sentir me supplier.

§.53.

Ne voir, que concerter hétérosexualité et séparation des sexes car sinon ou on se brûlait les yeux devant tout le symbole de ce qu’on convoite, de notre variété.

§.55.Enc.

Différence entre ce que j’écris et ce que je pense et ce que je penserais sans pouvoir l’écrire, m’énerver.

ETAPE.

§.57.

Il y a les phrases dont je sais qu’elles ne seront lues avec plus lourd de sens et pourtant elles me sont apparues à moi comme étant avoir l’émission de même intensité. La recherche en pensant aux autres différait même pour moi, le premier jet toujours l’impression d’une réflexion comblée.

§.71.

Faire le point entr soi et l’autre.

le travail de l’amoureux.

La vie pour toi.

Toute vie est toi.

la vie que l’on donne deça.

Tote vie se donne à ça.

§.72.

Les sentiments sont ceux que l’on veut inspecter, ce que l’on veut comprendre, ce qui va changer.

§.73.

Et ce que l’n fait est le choix ce quoi on a décidé de sur quoi cogiter.

§.74.

Si une peu de lui ne laisser tombe, l’existenced’une peut exister, sans n’importe quelle aute forme j’étais autorisé à la chercher.

§.75.

Je tombait du pont.

Nos esprits s’aimaient tellement fort que relié au sien mon corps ne tombait plus qu’au ralenti.

Mais il arriva le moment où l’esprit de n’avoir pas tout connu et devenir tout à connaître se demande alors comment cela est possible. Regarde comment est possible cela. Et le fil n’est plus, puisque qu’on en empreinte un autre déjà.

OR FAIT.

§.76.

Et ces moments qui nous rejoignent 20 ans après.

§.78. Enc à l’initiative de Daniel.

Son trouble du comportement était de se plier en deux et de tendre l’oreille.

Accoucheuse. Médecin de la pouvoir enceinte ou non.

Ainsi faisait-elle son stétoscope particulier.

§.79.

L’apprentissage consisteen l’acquisition dune logique.

C’est à dire qu’au fur et à mesure des expériences on peur slectionner ce que l’on a à en apprendre, le reste reposant déjà dans son esprit sous une autre fome, tracée certes mais cette corrélation, une corrélation avec le fond (apprendre la métamorphose qui n’et ni une perte de A ou B mais juste le chemin de l’une  l’autre que C nous) leur fait prendre.

INITIATION.

Tes § : 78 et 79 frise la folie hérétique.

Et exercice illégal de la médecine apparemment !

§.91.

Il vivait plus fort, devenait du même coup plus impressionnant et tellement vrai, telement convaincant, non pas parce’il aait raison mais parce qu’il y pensait tout le temps.

§.92.

Principe d’irremplaçabilité.

Je n’arrêtais pas de penser à des choses quand je me rendais compte que d’autres pouvaient ou les avaient sns aucun doute traités.

Tais-toi boucher.

§.108.

On était heureux avec la même personne mais j n’osais trop le dire  sachant que l’enfermement de l’un sur l’autre à quelle horreur peut conduire.

§.113.

EGARE – HAGARD.

Ne plus savoir comment se conduire.

Si je veux dire, si on attention est accompagnée et veut communiquer avec un élément éloigné et que perte la même chose celui ci alors c’est en seconcentrant sur un élément intermédiaire que l’échange de flux peut se créer.

Dans ses yeux tu verras ce que mes yeux (nos yeux font de pouvoir se rencontrer.

§.114.

Ils m’ont fait faire.

de peur d’être pris pour des P. D.

Garçons manqués.

§.115.

Les coups mauvais qu’on m’avait fait.

Mais qu’est-ce que donc peut bien penser quelqu’un qui les faits.

Au plus amusant, voir l’attitude de certaines personnes et font croire aus autres qu’ils ont réagit différemment, retrace ce qu’il croit avoir tirer leçon de ( et c’est là que se sentait inconsciemment en manque d’expérimentation ils poursuivent leurs gamineries.

§.116.

Ce que l’on pense des autres.

Ce que l’on manque de savoir sur soi.

§.118.

Peu importe ce qu’on en disait mais sachnt qu’on ne contrôlait pas, n’avait pas assez d’éléments pour doser ce qu’il fallait et était en train déjà d’avancer.

Alors on prenait n’iporte quelle position sur cela dans le seul but de bloquer, prendre le temps de mieux analyser.

Le besoin d’analyse représnté par les conneries que l’on sortait symboliquement.

§.121.

Prendre la responsabilité de ce qui se passait, les tensions alors on con – prenaint.

§.140.

Peur de mourir parce que ne plus pouvoir aimer. Et du même coup pouvoir se rendre compte qu’alors on en aurait rien compris.

Regret A mère.

Non mais comme l’homme est en train de vivre le comment il s’est rangé.

§.149.

J’avais besoin que mon vieux puisse changer  celle d’un de mes vieux puisse me conseiller.

§.150.

impression différentes aux entrailles.

Enterrement des déchets quand on mange moins.

Se remplit de cela.

D’ou peut être une relectance à s’arrêter de manger.

§.158.

Sa voix tremblait car sa voix tout son corps n’avait qu’une sensation,  n’était qu’une attention celui de se glisser dans mon conduit d’oreille et le soigner ainsi.

Mais pour que cela se fasse puisque en conscience de cela n’était pas arriver à nos esprits, il fallait que ceS mots ( Un seul pluriel ?) ne deviennent plus qu’imbrication.

Il fallait perdre alors le sens formel de la communication.

Et on tremblait.

A nous de comprendre pourquoi on y arrivait pas.

§.159.

A plusieurs on ressentait moins d’intimité.

Car la relation moins exclusive. Moins longtemps pour s’attendre.

Le flux sexuel, intérieur se répartissait.

On gagnait sertainement à plusieurs en comparaison première de ricochet des forces, plus le temps d’observer cela, car plus de visages qu’à ce jeu on voit.

§.162.

Le tabou n’2tait pas le sexe mais comment le débloquer. Tout le corps autour, son entretien, son respect.

Tabou par la façon dont il nous fallait travailler.

Une ligne illisible annulée !

§.178.

Alors en regrouppement femme et homme vont pouvoir s’appuyer sur la nouveauté , l’inconnu.

Se nourir mutuellment le soir de ce que dans la journée on a pas vu.

§.182.

Ne pouvoir avoir besoin de personne pour le ménage car chaqueespace qu’on occupait était un espace où c’était notre propre ordre qui primait.

§.212.

On lui avait prété des dons de sorciers, d’accord.

Mais quand on lui enlevait alors parce que c’est ainsi qu’il cultiva sa place au jeu du groupe. Alors quand on lui enleve. L’impression d’être vidé elle persisait cette fois.

§.225.

Je prenais conscience de la mort de pépé. Parce que plus les années passaient plus je me disais en voyant les vieux hommes non ce n’est pas son age mais 20 – 30 ans de plus il aurait.

Ou alors pour celui mort plus jeune.

Je voyais les gens du même age que lui naguère vieillir alors que l’image que j’avais reste inchangée.

Ou bien mon propre corps qui m’explique comment mort naquit.

§.227

Ces quelques trucs intelligents permettait à l’absurde de se maintenir assez longtemps pour comprendre comment pouvoir faire pour que l’environnement transmettre.

§.228.

L’incidence de penser quelqu’un l’être.

Être – Etat.

Et la pensée, et la réflexion.

Et la vie se figea.

§.229.

Elle.

Le pourquoi ma vie il était.

Il y était.

Il y avait.

§.230.

En maison de retraite.

Les vieux s’occupaient des vieux.

§.232.

Elle rangeait ses objets avec tout l’amour que je lui savais.

Et à chaque coup la chaleur de, mouvement qui lui avait ranger quand je devais le reprendre. Son mouvement le mien accompagnait.

§.233.

La tenue recouverte.

le nombre de kilomètres parcourus comme il aura fallut pour chaque service rendus.

§.250.

Sept vies !

Ou la vie selon moi.

§.259.

Les visages que je connaissais comme faisant partie de moi même déjà j’avais intégré leurs traits et plus profond en eux pouvait aller ou alors n’avait pas besoin de les saouler pour les sentir ou alors savoir qu’on se sentait et pouvoir autre chose (ce qui nous échappait naguère à deux déceller.). Ou avoir tout le temps à partir que les éléments savaient où ils étaient postés établissant un peu sur le quel l’action peur reposer.

Alors sur lequel l’action peut reposer. ALors sentir ce que globalement cela fait également d’unmême lieu en changer l’impact.

Continue autrement les effets.

§.263.

Avoir, n’avoir pas. les codes des gestes sur cela basé.

Cette préoccupation commune fait que la communiation infra-verbale peut-être individuellement s’opérer.

§.264.

La pensée; L’art, la mémoire.

Cette faculté que chaque geste pouvait être fait en l’honneur en liaison au passé.

Liaison = identité = mémoire + nouveauté, futur possibement constructible.

§.266.

Chassée croisé. Force exploité entre regroupé.

Femme sur femme.

Homme sur femme.

Mais pas dans la perspective individuelle.

Couple.

Emporté.

Force exploitée entre couple.

Femme et homme.

Mais pas dans la perspective de corps de métier connaissance.

Règle respectée.

Pouvoir.

§.286.

La tension quand je pense que tu ne répondra pas. Le sourire quand je sais que tu sera là. La société établie, obligée, évite à l’individu de vivre ces drames là.

Drames qui le rendent romantique, prêt à tout ou à n’importe quoi. Attaché comme un fou à la vie ou ne trouvant plus goût en quoi que ce soit. Société donne des rôles inchangeants et l’individu ne peut plue jouer avec cett pression là = découvrir la propre subversion en soi.

Laquelle il réappliquerait illico.

§.327.

La pensée s’arrête là ou commence l’émotion.

L’émoton obligatoire qui contrôle sensoriellement si on est suivit compris, et pas mis en danger dans la présente situation.

§.325.  Enc à l’ inititive de Daniel.

Que je dise, IL !

Que je dise, ELLE !

C’est toujours le même individu : Qui m’y amène.

                                                            Qui me convienne.    

Celui que je choisis.

(Tout tes écrits deviennent : On ne peut plus clair !) D. PF.

§.330. Explicite aussi ce §. Enc à l’initiative de Daniel.

Le mensonge.

Je ne vous l’expliquerais pas.

N’en sachant pas plus.

Il fallait être à plusieurs pour maintenir l’intelligence.

Il fallait de l’intelligence pour maintenir le choix.

Il fallait le choix pour maintenir la dualité.

Il fallait la dualité pour maintenir la naissance.

Il fallait la naissance pour maintenir ce qui crée.

Il fallait un créateur pour maintenir le suivi.

Il fllait un suivi pour maintenir la raison.

il fallait la raison maintenir, pour recommencer.

Il fallait recommencer pour maintenir le désordre.

Il fallait le désodre pour maintenir la réflexion.

il fallait la réflexion pour maintenir le chaos.

Car chaque raison ses raisons avaient.

Le chaos c’est quand on peut encore parle de différentes unités.

Qu’est-ce qui tenait le chaos, et largement enchevêtrés.

L’infini s’appelait.

Et ne reposait sur rien si le cercle se fermait et permettait de ne rien contraindre.

§.331. Mêmes Enc : ensembles dans le manuscrit. 1.

Et qu’est-ce que la connaissance de l’infini créé ?

§.332. Mêmes Enc : ensembles dans le manuscrit. 2.

Le temps.

Le temps de la conscience.Comme mes actes s’imprégnaient.

Comme il y avait des naissances que l’on constataient.

Je savais que le temps en n autre endroit avait quelque chose, autre chose continué puisque mon souffle en mon corps et hors de lui naviguait.

§.333. Mêmes Enc : ensembles dans le manuscrit. 3.

Les couleurs naissent de la même lumière.

La lumière c’était tout ce qu’elles désignaient.

La surface des choses leur profondeur n’étant que couches supperposées.

Comme les couleurs ce n’était qu’une histoire de point de vue si on croyait on si l’on pouvait saisir ou non un object.

Rapport de lumière, rapport d’épaisseur, rapport de condensé. 1. 2. 3.  Fin d’Enc triple.

§.334. Enc initiative Daniel.

Ne pas choisir sa femme.

Ne pas avoir de relation à soi,à l’être avecelle.

Faisait qu’il nous restait plus que sexe pour nous nreprésenter ce que l’amour était.

Et en lui toute notre tristesse, et ce qu’on avait pas réussit à boucler de notre rapport amoureux au monde était.

Sang larmes.

sans l’arme.

Lymphe.

J’étais perturbé dans mon travail par certains, ou pensées intérieures à chaque fois que je ne comprenais pas le travail que je faisais.

Lecture. Soit que je n’avais pas compris un mot soit qu’il aurait fallu que je saute des lignes pour passer mon temps ur d’autres textes (selon objet) car infos importantes ailleurs se trouvaient.

L’important c’est.

Ce que je couperais.

Et ne cessait.

Et ne m’y aidait.

Oui nous sommes d’accord tous les écrits ont été mélangés par paragraphe selon ce qui arrivait. J’avais compris depuis pas mal de temps, mais pour ce qui est ; Que tous je te les reprennent et remettent à leurs places tu peux leurs transmettrent qu’ils ne leurs restent plus qu’à se chatouiller, jouer à touche PIPIS.

En un mot plus clair ils peuvent se branler ! D.Porteboeuf.

§.338. Enc initiative Daniel.

Je n’étais pas sévère avec lui, mais ma sévérité acclamait, honorait.

Puisqu’elle m’aidait.

Puisqu’elle m’aimait; (Fait gaffe à ce que tu dis tu sais que je suis jaloux. Alors parle de moi et écrit IL M’AIME ! c’est du présent de l’indicatif chez moi pas du passé.) Ton DANY.

§.342. Enc initiative Daniel.

Mon écrit (Mes écrits) n’était (ent) pas pareil que mon parlé (pas les mêmes que mon langage),  car de, à différentes choses ils s’appliquait (car ils partaient de différentes origines éducatives) et l’un disait à l’autre ce qu’il avait négligé.

§.350. Enc initiative Daniel.

Voilà un exemple de la diversité de tes textes. Le sport + le sexe + la philo + l’amour + la psycho. Pour les trier comme prévu, tu repasseras, ils repasseront.

Tendre les parties de son corps jusqu’au point ou leur étirement est en train de progresser = conscience du point jamais auparavant atteint l’assouplissement permet de garder la conscience du corps permet d’être prêt à l’attaque.

Tension porté sur ce point qu’on s’occupe à dérouiller c’est à dire occupé à tout son doigté et équilibre.

Mesure.

Poids.

de la force qu’on met.

§.383.

Le promeneur ne voit pas que son chien danse sur la musique passant dans mon balladeur. Et pourquoi je rs non plus bien qu’il entende celui-là.

§.388.

L’occupatiotn à la maison est-ce qu’on avait en commun nécessairement avec l’enfant. L’enfant qui voyait se mouvait, s’etretenait son parent ?

D’ou la croyance en a seule qualité maternelle, le paternel lui partageant moins de moments. ( Faux ! Pas systématique relation d’age et de sexe. Vrai pour la petite enfance. Plus tard, le garçon, se rapproche, pour les jeux, sports, loisirs, passions, passe-temps, professions, plutôt de son père.) Daniel.

§.390.

Mon art consistait simplement lui, et me donner une idée de ce que j’étais ou n’était pas, de l’entrelacement des moments ; de leur tout contenant. Dedans.

L’autre et l’déal était.

C’est ainsi que ma lutte toute avenante.

§.463.

Je savais que tu avai vécu cela sans t’en apercevoir.

Je priais pour qu’il t’arrive dans la vie quelque chse qui te le ferais savoir.

§.470.

Admettre qu’un signe en est un.

C’est accéder aux mervilleux.

C’est se penser en communication ou se voir influencer par les évènements qui n’ont plus pour nous qu’un dehors de déconoter entre eux.

Le merveilleux, les relier, se trouver au centre de leur relation est alors que la stupeur apprenaît car on comprend qu’on est point des lecteurs mais cela la mère qui crée le texte (comme son texte crée) la stupeur de se dire cela était un signe quelque chose qui me fait souvenir, réfléchir à pour y adhérer, le rejeter et si cela aujourd’hui c’est que d’une façon particulière j’ai conçu voulu ce qu’il en était. Car enfin être au courant des choses, introduites automatiquement un choix le choix de notre comportement fait au situation, le seul qu’on est.

Et puis si j’avais des choix alors ce n’est pas le strict destin c’està dire que je pourais être à des kilomtres de là en train de vivre autre choses sans pour autant qe ce soit  mieux ou pire. Juste un autre endroit où ma conscience des choses j’aurais traîné.

Il est aussi du même coup forçé de constater que cette communiction à l’évènement fait que notre conscience s’st retrouvée faite à un choix peut alors imaginer et donc se projeter dans oùen serait-on Si j’avaisdifféremment statué.

L’esprit alors peut se permettre être en plusieurs endroits come on invente un lieu. On peut passer à coté de ce que le lieu où on est

invente pour pour que nous puissions continuer.

Reste que pou comprendre un signe il fallait vivre ce qu’il pouvait signifier. Est-ce que nous nous mettons pas en condition de chix car ainsi on donne du poids à une décision. La concurence où l’investissement qu’on a mit dans les autres relativiserait celui qu’on a fait (ce n’est pas la seule traité, mais pas la seule vie qui se pointait elle ne me touche pas ) ou bien se dire que tient bon la barre que je l’amène jusque là destinée.

Enc Doc 25 Fin.

Encadré. DOC 26.

§.29.

Libéralisme. puisqu’il condamne à être maître d’un chien pour que simplement l’espèce canine ne soit mise en danger.  !

§.36.

Gens discutant au milieu du trottoir emêchant les deux fles a sens inverses de passer.

– Vous génez le passage on ne peut plus passer.

– Et bien vous attendrez !

– vous attendez sur nous.

Patiente.

§.47.

L’affectif a pour but de relier les moments dans la mémoire afin que tout son être se réveille lorsqu’il va au combat.

§.58.

Toujours proposer une solution alternative pour ne pas se sentir déposséder.

je suis qui ne laisse pas passer une seconde et sans jamais être à un jour près.

§.90.

Faire une activité si fréquemment, si courramment; que pouvoir faire quelque chose en même temps.

Mettre les choses, différemment.

§.103. Encadré initiative Daniel.

Comme il brûle le pétrole alors qu’il est son sang.

( Cette fois c’est certain tu es folle, Même pris de façon imagée  ! )

§.104. Encadré initiative Daniel.

Se foutre de comment les choses vont se passer. Savoir de soi plus de sa volonté qu’un seul chemin, seul, saura les réconcilier.

( Là ! Enfin, tu as tout compris et tu es bonne. Ce seul chemin est celui que certains suivront en procession pour conduire à un cimetière, j’en suivrais un demain matin. Il ne suffira pas à la réconciliation, d’autres la feront, cette réconciliation,  lorsqu’ils suivront LE MIEN. )

§.105.

Make-up – Inventer.

Mettre fin à une querelle.

Maquiller ? Art- Guerre et paix.

Le combat comme gagnant.

§.111.

L’homme ne rerette-t-il pas d’avoir a s’alimenter, parce qu’il lui faut tuer.

comme celui qui cueille le fruit sait que vivant il est.

Ne se punirait-on pas –                        – après.

Premier des moyens = trop ou mal manger !!!

( Tu te contente de minéraux toi ? N’importe quels des légumes est vivant aussi! )

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( §.118. )Sans airENC initiative Daniel !

Le vieux respectait le plus jeune car il savait qu’il avait comme souvenir, comme compagnie, cela.

Anticipation de quatre § pour avertissement !

Si je dépasse le § 118 nous sommes d’accord cela voudra dire  (R) Adios classiques, vous ne me verrez jamais chez vous, c’est trop tard, un à fait une erreur que je ne peux pas pardonner !

Autrement dit : Adios tous espoirs, ceux des autres, MES illusions il y a longtemps qu’elles ne sont plus !

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§. 125.

Gonflement estomac associé à dilatation anus. Autre conséquence : Pression lombaire. ! .

§.132.

J’avais l’impression de bien le protéger.

Qu’est ce que de ma vie, de mes propositions, de mon destin, de mon inconscient, sa présence me prévenait. Sur quoi j’agissait.

§.141.

On insulte l’étranger pour donner une idée à ses descendants de ce qu’il prendrait si on les déshéritait.

§.142. Enc. Initiative Daniel.

Un paragraphe schématisé, représenté, mais vide en place du 142.

Je fais l’impasse.

§.145.

Sélectionner dans le texte l’info importante, c’est regrouper l’énergie, l’accumuler pour la transformer, et la retenir, ou bien la comprendre, mieux la continuer ainsi.

§.152. Encadré. (Partiel)

Dresser : ne pas avoir peur, ne faire peur. ! .

§.156.

J’écris en penant à ma mère. Mais quiconque me prendra pour son enfant, vera quel amour, vérité je lui tendais.

§.159.

L’attente révèle que l’action qui la précédait n’était pas assez intense pour nourir le suspend d’info, par la réflexion, reconsidération, remise à nieau.

Met en avant un pas, assez de progrès.

§.170.

Faire l’effort de bouger.

Devoir le faire.

Pour comprendre que les contraintes nouvelles sont ou doivent là être utilisées afin de s’adapter à de nouvelles issues et destinées à soulager un ensemble ( qui se bloque présentement ou qui n’arrière font d’être clairement source de dépolution.

§.172.

La spiritualité est la foi en la foi des autres.

§.177.

S’il est allemand évidement ?

Parce que le maintenir en évidence c’est obtenir qu’il s’applique dans les endroits que l’on ne croyait naturellement .

Et ainsi sa vie sauver, de la voir là où elle serait resté caché autrement.

§.181. Enc. Partiel.

La sensation sexuelle liée à la conscience d’être regardé, désirée on en danger.

(Dany j’écris bien que j’ai le petit rdi mais la je te recontes même pas dans quel quartier. comme près du dépot.)

§.189. Enc.

Conjure UP – Inventer.

§.201.Enc initiative Daniel.

Vous quand on est insulté. Je ne suis pas si bête il ne faut pas perdre le rspect. Tenir le danger en respect. C’est l’admettre et se faire une idée du par quoi il est.

Pas évident cela peut être une prise de distance et de subalternisation,de subordination de l’autre ! En tout cas c’est comme cela, que moi, je le perçois. Coupe court à toute relation possible même et surtout amicale future.

§.208. Encadré initiative Daniel/

PARAGRAPHE ENTIEREMENT EN ANGLAIS PAGE 461

PUREMENT ET SIMPLEMENT REFUSE. 

§.216. Enc. initiative Daniel.

Paragraphe vide : Impasse.

§.230.

Et si celui qui est acco recommence aussi pasce que la sensation de manque, la maîtrise, fait bander.

D’autres évasion.

Remède.

§.245. Enc.

Il pensait qu’on se foutait de sa gueule mais derrières les igolades on voulait lui expliquer langoisse qu’il suscitait lui qui pensait que sa bonne foi et volonté était moqué. Onbliant que les autres aussi en était doué.

De cet oublie l’envie de tout casser. (Tu oublie un peu facilement ceux qui dans la vie ne veulent rien faire et laisse toute la tâche aux autres, tout le fardeau, leur en demandant l’exécution à leur place se déclarant  :

 » incapable  » de le faire.)

§.256. Enc. Initiative Daniel.

T’en fait pas plus que cela apparait bien que tu n’est pas aussi vicieux.

§.263. Enc.

Vous ne me croyez pas alors je dois mentir et le faire de manière grossière pour votre pitié. (Pour leurs conneries ! OUI ! mais au mieux laisser définitivement tomber ne plus s’occuper des cons. tu as maintenant LA recette infaillible, LE MEPRIS! Mais tu m’as obligé à te rafraichir la mémoire.) 

Comme si j’avais crié à l’aide sans que personne ne viennent.

Que cela de vrai.

§.264. Enc. initiative Daniel.

Esprit, Solitude, problèmes.

Se signaler quand on est heureux.

Rarement.

Pourtant pour un couvrant.

§.265. Enc initiative Daniel.

Bien compris que les encadrés sont ceux et celles qu’on ne peux ou veux plus revoir.

O. K. mon bijou d’amour ET j’avais compris depuis le début mais il fallait laisser le temps au temps de démolir LA menteuse, LA salope. (Tu ne dois plus rien à personne, moi non plus, même le cirque avait été payé sur l’héritage de mon oncle :

NORBERTPORTEBOEUF.)

Ne pas arrêter de faire connaître = selon perspectives

Horizon est.

Toujours capable de changer. Au lieu de lire je ferais 10  kilomètres à pieds. ON change ce qu’on range mais 100 Kms jamais.

§.281. Enc. initiative Daniel.

Comme grand inconnu, de nous mettre à nue aussi surpris enfant que l’on à été de découvrir l’autre en fait.

Enfant comme sans titre. (Dany réveille – toi !  !  !

Trop tard mon bijou d’amour ton DANY à dit stop à « tous et à toutes » ils, elles m’ont trop joués (ées) la même sérénade DANY n’est plus là pour personne !  Vous pouvez vous gardez vos garages à bites pour vous comme le suggérait quelqu’un de cirque ces jours passés. )

§.304.

En crise d’être, on doit.

Le destin que l’on suit afin d’être plein de lui.

Puisque la vie se mesure à cela.

§.308.

Peur de celui qui réfléchit car il trouvera un truc, une dynamique intellectuelle qui rendra lois ses pensées. (Jolie ! Cette analyse Caroline là d’accord je veux croire que tu es dans ce texte qu’il est de toi ou de quelqu’un à même de : Réfléchir justement)

§.311.

Toute expressionest une tentative d’indication sur ce qu’l se passe à l’entente de ce avec quoi on communique, sur ce qui se pesse mais dont lui n’est encore au courrant.

Ce pourquoi essai d’expression et trouble relatif à lui.

§.321.

Être pris, dans une situation chaude, déliatecuisante, inquiètante –   –   –  –

Et ains ne plus bouger, ne plus faire, être immobilisé, et ses mauvaises habiudes, et réflexes ainsi aussi stoppés.

Fin d’Enc Doc 26.

Encadré DOC 27.

§.2.

Je pouvais penser à quelque et sa sensation qui s’enchaînait. J’étais alors protégé, et c’est ce que la pensée rechercait, provoquer quelque chose chez moi, l’autre en prenant ce qu’il en voulait.

Mais pas du tout il faut croire que la pensée révèle quelque chose de vrai elle est seulement là pour m’abreuver.

Mélanger les éléments, les relier.d

Me sentir.

§.42. Enc initiative Dany.

J’écrase les cafards, innondation, rafale et tremblement de terre.

( Tu y crois à tes conneries ! La cause et les effets ? Tu étais là avant ?

Mais alors le big bang, c’était toi ! Et moi qui ai raté cela ? OUI là je me fous gentiment, mais royalement de ta gueule ! )

§.120. Enc. initiative Daniel.

La liberté c’est que ne voulaient rien dire les gestes que l’on fait.

La donation soumission ne sont que des résultantes de rapports aux esprits et utilisation des produits – (devoir de régulation assurant que chaque esprit libère.) L’individu illimité n’est jamais perdant même emprisonné, énergie dans espace illimité.

(Très bien vu cette analyse ma chérie d’amour, et très juste la réflexion, toi et moi en savons quelque chose.) Ton Daniel.

§.183. ENC initiative Daniel.

Il rapportait tendrement, fièrement quelque chose qui ne voulait rien dire et qui tenait pourtant tant d’importance. La complicité avec ses lecteurs, ceux qui suivaient ces mots jusque là, étaient là. ils savaient tous que n’était que code que tout cela et que les codes entre deux personnes sont applicables à tout à souhait, et on sait perpétuellement éduquer et déséduquer sur cela.

Attention !

Fabrice, Marcel, Daniel et tous les autres rapportant ce que je leur avais demandé pour pouvoir « continuer » rapportant fièrement du dérisoire mais indispensable à la poursuite du, travail, voyage dans le temps. Et tous ces acquis comme autant de preuve d’amour, d’affection, d’amitié et de reconnaissance d’être « tous ensembles ». C’est con de vieillir !

Select Dany. Daniel.

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Doc 29.

Enc 1.

§.16. Encadré.

Chaque geste auquel on veut (nous voulons) trouver une explication est un phantasme (fantasme)

extrait du PETIT ROBERT :

fantasme [fStasm] n. m. VAR. (vieilli) phantasme
• 1891, répandu au XXe par la psychanalyse; 1836 méd. « hallucination »; XIVe « fantôme »; 1190 « illusion »; lat.  phantasma, mot gr. « vision »
¨ Production de l’imagination par laquelle le moi cherche à échapper à l’emprise de la réalité. Þ imagination, rêve. Vivre de fantasmes. Des fantasmes de richesse. Fantasmes sexuels. Les fantasmes de Mme Bovary.  « Il eut l’idée de rentrer chez lui, puis il se rendit compte qu’il ne travaillerait pas, qu’il retomberait, tout seul, dans ses phantasmes » (Huysmans).

Jean Marais serait encore de ce monde il en rirait mais on ne peut même plus lui faire jouer Fantomas.

De plus à supporter.

Le Fantasme partant à la réalisation d’une réalité d’une règle, d’un système qui au lieu de nous porter nous portera à reproduire le même sché.ma sans plus y réféchir ou plutôt à y obéir sans plus tenir compte de ces dangers, même si on sait ce que shera peut entraîner. Eh ! Tu ne veux pas épouser Shiva, il paraît qu’île est lesbien.

Croire qu’un geste dépend d’une pesée (le –   – contre une situation, une condition, un état de fait) c’est ne plus entourer d’autres gestes de s’appliquer et non plus qu’une autre situation ou analyse de la situation puisse se créer.

§.22. Encadré. 29

Le rapport monstrueux à soi-même on s’en rend compte quand au contact de la mystique on voit que l’on garde pour soi de la nourriture que d’autres non pas. Et que l’on fait des réserves en prévision du prochain et qu’on s’en achète de petits morceaux lors qu’on aurait pû nourir deux personnes de plus avec des prix plus bas

Mais on devient tellementeffrayé par cette fatigue qui nous prend parfois que l’on  se dit  ; (Celle-là que que pourtant qu l’on se dise à peine il y a quelques heures, que rien ne peut empêcher à ma volonté d’nvoyer un pas devant l’autre. Et maintenant l’idée d’un geste vous ferez nous évoluer.

Alors on reste statique là juste assez conscient pou tenir sa position et se die que pour ce qui est de bouger on peut pas. Qu’il faut attendre que l’énergie se rassemble là ou il faut rester à attendre sinon en échapée.

Cette fatigue dont on se dit qu’elle peut nous amaner à la prostration, au dessus du pont public,à la mort cérébrale ou biologique, à l’infini.

Cette fatigue ont-on se ditque tel ou tel morceau d’élément ou club med ou autre, pourra faire que s’améliore ou sinon s’améliore que rien fasse que puisse continuer nos vies.

Et sans cela qu’est-ce que je ferais ?

Elle volait compulsivement comme faisant appel à son courage lorsqu’enfnt elle volait se rapellant d tout les plats manquantsdont elles avaient l’impression q’ils la grignotaient.

Pas une vie, pas sa vie mais le point amenant à le plus de toute vison de l’esprit doit-être “la vie à améliorer” car et c’est en cela que la mort, en plus grande quantité et au plus long terme de possibles se transformera en vie en train de continuer.

Peut-être que comme cela tout le monde sera ressucité, le tout devant nos yeux, entre deux yeux c’est le cas de le dire, regroupé.

Fin d’encadré 22.

§.25. Encadré. 29.

On s’émerveille de l’artiste.

On s’émerveille de ce qu’il a vécu.

Cette émerveillement vient de ce que ce dernier s’exerce à ce encore mieux (et s’en rapproche à mesure qu’il essaie) devine ce qu’il vit (tout ou quasiment dans le concentré de ce qu’il est, pense et expérimente de la vie)

La personne qui le vit, le lit part du principe (dans un processus d’identification) après que ce qu’elle a vécu elle-même a étéaussi vécu sur le ressnti de lui.

Ce qui n’est absolument pas vrai.

L’artiste dans la peau de tout autre récitait tout simplement tout ce qu’il a écrit.

Ce processus d’identification se retourne lorsqu’on part du principe que la personne en face est en train de gérer les mêmes sentiments que soi alors qu’elle sa situation psychique est tout à fait différente et que l’on compare à ce que soi s’en débrouille et on devient fascié par cette manière que lon voit autre, mieux(alors qu’elle est simplement porteuse du système de tout ce qu’on ne saît pas.)

§.26. Encadré. 29.

J’ai un travail, harrassant come celui des autres, et faite que cela dure, qu’il ne s’arrête pas.

Le travail,l’effort qui arrache l’être à l’enterrement sinon de l’esprit et du corps.

§.80. Encadré. 29.

L’excellence pouvait s’installer après quelque victoire : avant il fallait se dire que les moments durs étaient normaux et qu’il fallait juste se trouver un moyen de les traverser toujours tomber.

Se dire notre faiblsse.

Une voie trouvé.

§.94.Encadré. 29

Que ferais-je pour combler le temps que le vice ne parvient plus à m’arracher.

La conscience de son défaut va tout son temps bouffer, son énergie à retablir sa crédibilité; c’est à dire qu’en permanence l’individu doit se réciter les raisons pour lesquelles il exécute les gestes quil fait. Parce qu’il n’est pas le seul, sans, des raisons toujours on peut et dans cette positon doit trouver)

Mais cette position là bloque l’énergie et donc la découvertede ses défauts ou qualités inconnus cela avance à cela avancer ne peut être cause.

§.101.Encadré. 29.

Le créteur façonne sa vie.

De manière à créer.

Et devient conscient de lui à mesure de ce qu’il pense que de cette façon de penser s’exerce, se travail dans sa vie autant qu’elle peut l’autre intriguer, inspirer.

§.104. Encadré. 29.

Mourir en ces circonstances là.Une chance par rapport à 10 mêmes.

Moi qui serait foutu de gagner au loto à ce moment là.

§;110. Encadré. 29.

Les peuples exploiés, à n’importe quel régime peuvent être soumis par habitude d’être outil.

La mort le génocide, la discrimination sauvage n’est juste que d’autres circonstances plus rude de vie. Avec toujours des pauvres e des nantis.

§.111. Encadré. 29.

La magie d’une oeuvre qui avance c’est de pouvoir écrire sans avoir à rappellerce que l’on souhaite souligner. Le sous-entendu, ce qu’implique des réflexion déjà défini, et c’est dans ce cadre là que la nuance apparaît.

§.127. Encadré.

L’émotion traduisait ce qu’on pensait de notre pace,  de notre fonction et ce qu’on en pouvait effectivement penser.

Or quel autre poids que de se neutraliser.

§.128. Encadré.

Les prétendues positions attention de domination, ou soumission sont autant de codes auxquels ont  (on, pronom indéfini, ou  bien, nous faisons première personne du pluriel du présent de l’indicatif du verbe faire ! Tu le fais exprès ?) fait attention.

L’interraction de ces codes ferait que l’on (La preuve on pronom indéfini tu n’as pas, là, utilisé la troisième personne du pluriel de l’indicatif du verbe avoir) regarde les gestes exécutés par l’autre.

Que cette attention là est l’assurance d’une prise de conscience de l’autre et aussi de la cristalisation de conflit qui parce que cette question là vont (va, le sujet est : Question. Qui est la chanière de préposition de : L’Attention) se mobiliser sur cette prestation mettant en attente le soulèvement de problème sans solutions présentés.

Ces codes sont aussi une manère de rester en un tenant que l’on connaît, ne pas s’aventurer plus loin dans son expression que dans  (qu’en) celle d’à côté  qui ne peut jamais être achevé. C’est une manière de renforcer la condition de groupe s’étant fait.

§.148. Encadré.

Le sexe fort était chargé de protéger le sexe faible, telle était la mission.Non que cela soit vrai mais on peut tenir comme cela la nécessité d’un lien au sein de la famille et sa cohésion. Devoir de service et de protection et sans que plus loin, d’après les critères sociaux aux allures de faux bio.

§.149. Encadré.
Les questions plus loin, être posées, ne puissent ! (une inversion maladroite et non justifiée ma puce, pas à sa place ! )

§.159. Encadré

Communiquer quelque chose à quelqu’un.

Elle révêrait à ce que cette chose puisse éternellement circuler.

Cette énergie toujours à tout revient.

Existence et éternité ne font qu’un.

Moi je vis dans les nuits, savoir que se donner soi à l’un à être, à pouvoir passer, d’interne dire en intermédiaire dans tout autre tiers.

L’omniprésence , travailler seul s’inscrit moins dans l’art que chacun dans sa vie saît.

Ça vissé.

Ça vie c’es.

A vie sait.

Avisé.

§.161. Encadré.

La diversité des expériences et comme la variation des poids que l’on porte. On doit garder la même symétrie, la même balance pour que le squelette garde sa droiture alors si les poids change nt, la pression sur les organes et les organes qui portent va (vont) changer aussi (La pression + LES organes  =  pas suffisant ?Pour marquer le pluriel sur les verbes changer et aller?!) car équilibre créer(créé)avec d’autre balance,  points de résistance et d’appui ). seul n’ayant  (de but) que de connaître son corps /que ceci. (je verrais mieux, que de ceci, mais acceptable)

§.162. Encadré.

La régularité, la poursuite du but est pouvoir rapporter son consient de son inconscient.

De pouvoir doser ce que l’on est en train de pnser.

§.164. Encadré.

On ne peut qu’appartenir qu’à son temps. La réflexion en dehors de lui d’abord son environnement doit créer.

L’esprit des hommes, l’histoire, son dépassement, qu’y a-t-il après ?

Ensemble dans tout son temps est faire qu’il puisse lui-même s’établir, se projetter, les consciences qui (qu’il) lui faut utiliser.

L’avancée dans le contexte du temps prodigue à l’être qu’il peut s’oublir, puisque la rencontre de l’extérieur est un inter révélé.

§.165. Encadré.

L’effort permettait de sentir qui on était. Cette sensation permettait de sentir ce qu’            ???? était.

Elle mettait en marche la réflexion, l’art de coordnner le mieux possible les nouvelles informations enregistrées.

L’effort, être au contact de sa propre limiteoffre de ne pas dans sa colère tomber par l’assurance de progrès. La ralité d’un monde dire, que personne e faisait ce qui (‘il) voulait.

L’énergie pourtant toujours disposée à être utilisée

§.169. Encadré.

Pour quel besoin l’esprit a-t-il en besoin de les inventer.

§.174. Encadré.

La conscience de son extraordinaire progrès vient dans la relation à l’objet. Se servir de lui et nous confères les merveilles de l’ingénuité. Qu’est-ce que pouvoir se faire.

L’éternité dans l’étude de ce que l’on pourra apparailler. Pareil.